Article partenaire. Alors que la Coupe du Monde de football vient de se terminer, un autre grand rendez-vous sportif prend le relai : Le Tour de France. Avant l’arrivée aux Champs-Élysées le 27 juillet, les étapes de cette 101e édition sont diffusées cette semaine sur TV5 Monde.
Mercredi 16 juillet à 2.30 pm (EST)
Étape 11 : Besançon/Oyonnax (187,5km). Après une journée de repos, les cyclistes partent de Besançon, une étape habituelle du tour puisqu’elle l’a déjà accueilli 19 fois. En revanche, Oyonnax, sera une ville-étape pour la 1ère fois.
Jeudi 17 juillet à 2.30 pm
Étape 12 : Bourg-en-Bresse/Saint-Étienne (185.5 km). La préfecture de l’Ain a seulement accueilli le Tour à deux reprises, la 1ère fois étant en 2002. La ville de Saint-Étienne l’a déjà accueilli 24 fois.
Vendredi 18 juillet à 2.30 pm
Étape 13: Saint-Étienne/Chamrousse (197.5 km). La 13e étape est une véritable étape de montagne, avec une longue montée sur les 50 derniers kilomètres.
Samedi 19 juillet à 2.30 pm
Étape 14: Grenoble/Risoul (177 km). Deux sommets mythiques pour la 14ème étape: Lautaret puis Izoard. Arrivée à Risoul, une ville-étape inédite.
Dimanche 15 juillet à 14h30
Étape 15: Tallard/Nîmes (222 km). Cette longue étape part de Tallard, le royaume des sports aériens, pour se terminer dans l’arène de Nîmes.
Les six étapes restantes seront diffusées la semaine prochaine sur TV5 Monde, jusqu’à l’arrivée à Paris le dimanche 27 juillet.
Le Tour de France roule sur TV5 Monde
Escape the room, le jeu d'évasion remue-méninges
Marchez jusqu’au 25 West 31st Street. Montez au onzième étage. Entrez dans la pièce. La porte se ferme. Tic-tac-tic-tac. Le décompte a commencé. Vous avez 60 minutes pour sortir.
Escape The Room, “live escape game” grandeur nature rassemble à chaque session entre six et dix participants. Les joueurs doivent accumuler des indices, disséminés dans la pièce puis les combiner entre eux pour résoudre l’énigme qui leur permettra de sortir. Un chronomètre affiché au centre de la pièce indique le temps qui s’écoule.
Le concept, qui existe dans plusieurs villes dans le monde, s’inspire des jeux vidéos d’évasion du Japonais Toshimitsu Takagi et notamment “Crimson Room” et “QP-Shot”.
À New York, vous aurez le choix entre trois univers : “The Office”, “The Room” ou “The Agency”. Seul le nombre de participants change en fonction du thème. À l’intérieur de la pièce, tout est potentiellement source d’indices. Des tableaux accrochés aux murs à cet étrange vaisselier aux tiroirs cadenassés, en passant par ces casseroles, posées négligemment sur une table. Gardez en tête que RIEN n’est laissé au hasard. Heureusement qu’un membre du staff est là pour vous éviter de ruiner la pièce. Car on a beau vous rappeler des règles de bon sens telles que “n’arrachez rien des murs”, vous aurez tôt fait d’avoir les idées les plus farfelues pour arriver à votre but.
Si vous séchez, pas de panique. Seulement 20% des joueurs arrivent à sortir de la pièce à temps. Si les premières énigmes sont accessibles, la difficulté va crescendo et vous aurez besoin de toute votre concentration et votre mémoire pour résoudre les dernières.
Pour avoir testé le concept -et échoué- voici quelques conseils pour augmenter vos chances :
– Soyez organisés : fouillez bien la pièce et assurez-vous d’avoir trouvé tous les indices avant de vous atteler à la résolution des énigmes
– Communiquez avec le reste de votre équipe : donnez de la voix quand vous trouvez un indice afin que tous les membres de votre équipe soient au courant
– Une fois qu’un indice a été utilisé, il n’est pas pour autant périmé et pourra vous être d’une aide précieuse pour la suite
Ces quelques clés en main, il ne vous reste qu’à vous laisser porter par vos idées, logiques ou farfelues.
Bisous, Ciao, l'autre roi du macaron
“Au téléphone, avant de raccrocher, je dis souvent ‘bisous, tchao’. Ma femme, qui est Américaine, trouve cela mignon.” Voilà pourquoi Alexandre Warzee, un Francais originaire de Valenciennes, a décidé de donner ce drôle de nom à sa société, qui fabrique et vend des macarons à New York.
Encore une, pensez-vous ? Bisous, Ciao fait plutôt partie des vétérans. La première boutique a ouvert à fin 2010, dans le lower east side. “A l’époque, on était peu nombreux. Il y avait Payard, un Macaron Café, et nous”, raconte cet ingénieur des Mines de 32 ans, qui a travaillé cinq ans comme consultant chez Bain à Paris et New York. Et qui est venu à la pâtisserie via son épouse.
“Les macarons explosent à New York depuis fin 2011, après l’arrivée de Ladurée”, poursuit-il. C’est d’ailleurs quelques mois auprès l’ouverture, Upper East Side, de l’incontournable pâtisserie parisienne que Bisous, Ciao a ouvert une seconde boutique sur Bleecker Street. Comme dans la première, ambiance zen, épurée et moderne – à mille lieux des frou-frou Second Empire de Ladurée. “En ce moment, on cherche un emplacement pour une troisième boutique midtown. J’espère qu’on aura trouvé d’ici la rentrée.”
Car oui, la folie des macarons, à New York, ne s’essouffle pas (encore). Depuis sa création, Bisous, Ciao voit son chiffre d’affaires grossir de 40% par an. “On approche le million de dollars”, calcule Alexandre Warzee. Le week-end, le va-et-vient n’en finit pas. “En fin de semaine, on peut vendre jusqu’à 1000 macarons par jour dans chaque boutique. Beaucoup de femmes, des hommes qui font des cadeaux, des touristes. On voit aussi des célébrités comme James Franco, l’équipe de Gossip Girl, Tyra Banks. Claire Danes est passée pour une baby shower.”
Alexandre Warzee fabrique aussi des macarons pour des entreprises (“avec des logos dessus”), et des grandes surfaces. Il y a un mois, il a signé un partenariat pour placer ses macarons dans les cinq magasins Dean & Deluca de New York.
C’est sa femme, pâtissière formée chez Fauchon et Gordon Ramsay, qui créée les recettes et supervise la fabrication des macarons, dans une cuisine qui jouxte la boutique du Lower east side. De ce qu’on a goûté, il y a du niveau… Mention spéciale pour le parfum sésame et celui à la rose. “Contrairement à nos concurrents, on fait tout sur place, à la main”, précise Alexandre Warzee. “Ceux Ladurée sont très bons, mais ils sont faits à une autre échelle, et exportés congelés. Chez nous, tout est plus artisanal, plus local. Et on ne les congèle jamais.”
Et si la macaron-mania passe, comme tant d’autres modes à New York ? Alexandre Warzee est serein : l’évangélisation n’est pas terminée. “On est loin du sommet. Même à New York, peu d’Américains connaissent. Quand on dit macarons, ils pensent aux macaroons, des biscuits coco. La bulle, c’est quand tous les coffee-shops en proposeront.” A quand les macarons chez Starbucks ?
Eminem et Rihanna enflammeront le MetLife Stadium
Invitée l’an passé sur le morceau “Monster” d’Eminem, Rihanna se produira sur scène aux côtés du rappeur les 16 et 17 août.
Les deux stars démarreront leur “Monster Tour” au Rose Bowl de Los Angeles les 7 et 8 août, avant le MetLife Stadium à New York les 16 & 17 puis Detroit le 22 août, la ville où Eminem a passé son adolescence.
Un retour sur scène attendu pour le rappeur qui ne s’est pas produit en concert depuis le festival Lollapalooza de Chicago, il y a trois ans. Rihanna quant à elle, travaille à son huitième album après son Diamonds World Tour de 2013.
Eminem et Rihanna ont travaillé à quatre reprises ensemble en studio, notamment sur le dernier album d’Eminem “The Marshall Mathers LP 2”.
Les "sleepovers" pour adultes du Musée d'histoire naturelle font le plein
Si il y a une chose dont sont friands les habitants de la Grosse Pomme, c’est bien les événements décalés en tout genre. La dernière lubie new-yorkaise a fait fort : le 1er août, 150 adultes passeront la nuit sous la baleine bleue du Musée d’histoire naturelle.
Depuis 2007, le musée organisait des nuits au musée mais pour les enfants uniquement. Devant le succès remporté par le concept, l’offre a été élargie aux adultes. Le musée a écoulé, en seulement quelques heures, les tickets à 375$ – à ce prix, les invités ont droit à une réception au champagne sur fond d’orchestre jazz. Pour une première, c’est donc une grande réussite.
Aucune nouvelle date pour les adultes n’a été communiquée. Pour les enfants, rendez-vous les samedi 9 août et vendredi 26 septembre. Pensez à équiper votre progéniture : le musée ne fournit que les lits d’appoints et les repas. Brosse à dent, duvet, pyjama et compagnie doivent être apportés.
Evariste Galois renaît et donne de la voix
Le mathématicien français Evariste Galois inspire une comédie musicale très rock, présentée du 23 au 26 juillet dans le cadre du Ice Factory Festival.
2G, une troupe de théâtre contemporain américano-asiatique s’est intéressé à l’homme de chiffre français pour le côté supposément romantique qu’on lui attribue. En effet, petit génie de l’abstraction, c’est grâce à ses travaux que les mathématiques modernes sont ce qu’elles sont. Il est notamment à l’origine du Théorème fondamental en algèbre linéaire.
Républicain radical, révolutionnaire, ce qui surprend surtout dans la biographie du mathématicien, c’est l’âge de sa mort: 20 ans tout juste. C’est donc dans ses très jeunes années qu’Evariste Galois a su montrer toute l’étendue de son intelligence…avant de perdre la vie dans un duel (pour une belle!). Ce n’est que quatorze ans après sa mort que son « Mémoire sur les conditions de résolubilité des équations par radicaux » est publié, lui valant une notoriété à titre posthume qui perdure encore aujourd’hui.
Quand les entrepreneurs français apprennent à parler d'eux…
« C’est difficile de parler de soi, d’être en mode show-off devant tout le monde. Ce n’est pas naturel pour des Français. » Ce mercredi soir, Guillaume Gauthereau ne sait pas bien pourquoi il se retrouve à cette répétition, qui préfigure la soirée du 23 juillet.
Une représentation au cours de laquelle il se produira, en mode stand-up, devant une centaine de personnes. « J’ai fini par accepter car c’est une manière d’essayer un truc nouveau », dit l’ex-patron de la success-story Totsy, qui triture dans ses mains le gobelet qui lui sert de faux micro.
Ce Français fait partie, avec quatre compatriotes installés aux Etats-Unis (Mathieu Nouzareth, Luc Hardy, Sandira Calviac, Thierry Daher) et un Américain (TejPaul), de la prochaine soirée « Stand-Up for Passion ». Une édition tournée spécialement vers la communauté française, organisée au Consulat. Lancées à New York en avril par Arnaud Collery et Serge Ganem, ces rencontres mensuelles font monter sur scène des passionnés de toutes nationalités, à la manière des Ted Talks.
« Chaque intervenant dispose de sept minutes, et parle de ce qui l’a construit, ce qui le rend heureux, ce qui le fait vibrer. Je sélectionne mes intervenants parmi des dizaines de candidats, et je leur demande à tous de venir à deux ou trois répétitions », explique Arnaud Collery, entrepreneur tous azimuts, comédien, auteur et coach spécialisé dans les thérapies du bonheur en entreprise.
Ce soir de répétition, Luc Hardy, président d’un fonds d’investissement en capital-risque, rodait son discours. « Je ne suis pas habitué à ce format. C’est très différent des PowerPoints ! Pour moi, c’est un vrai défi. » Modestement, sans notes, il déroule son parcours. Ou comment ce fils de militaire, devenu banquier puis investisseur, a connu une « épiphanie » lors d’un voyage au Népal. Et mène, parallèlement à son métier, une vie d’explorateur, organise des expéditions dans des dizaines de pays, se passionne pour la photographie et les pôles. Applaudissements dans la petite assistance.
« C’est mieux structuré que la dernière fois, mais il faut que tu te mettes plus en avant ! On dirait que tu minimises tout. Pense que tu es face à des enfants, fais nous rêver », commente Arnaud Collery. « J’ai toujours peur de me vanter, mais je sais que je devrais y aller plus à fond, surtout face à un public d’Américains », acquiesce Luc Hardy.
Guillaume Gauthereau, en short et bracelets ethniques, prend ensuite place sur scène. L’ancien véto raconte sans pudeur comment le faîte de son succès entrepreneurial chez Totsy coïncidait avec une profonde tristesse intérieure. A 38 ans, il a tout quitté, emmenant « 30 choses » avec lui. Il a voyagé pendant un an en Asie et fait du bénévolat pour « se trouver ». Un périple spirituel qui a préfiguré une conversion dans le monde de la nourriture bio et de l’apiculture.
« Aujourd’hui, j’ai 40 ans et je suis heureux », lance-t-il. Discours bouclé, sept minutes pile-poil. « T’étais super, mieux qu’à la précédente répétition », le félicite Arnaud Collery. Reste à assurer le jour J.
Rencontre avec Gaël Monfils et Richard Gasquet pour l'ouverture du Tournoi de tennis d'Atlanta
LA FACC (Chambre de commerce franco-américaine) d’Atlanta organise une soirée le 23 juillet en présence de Gaël Monfils et de Richard Gasquet, à l’occasion de la 27ème édition du BB&T Atlanta open.
Pour 100$, les membres et non-membres pourront se rendre à la réception (nourriture et boissons compris) et assister au match d’ouverture, suivi d’un concert du groupe Yacht Rock revue. Si vous faîtes partie des 150 premiers à réserver, vous aurez le privilège de discuter avec les célèbres joueurs de tennis et de regarder le match en étant bien placé.
Il vous faudra simplement récupérer votre pass à la réception du Twelve Hotel le soir même à 17h. Pour l’achat d’un pass, vous aurez peut-être la chance de gagner deux places VIP pour assister aux matchs du 24 juillet après-midi. Vous avez jusqu’au 18 juillet pour réserver !
Le Tournoi de tennis d’Atlanta aura lieu du 19 au 27 juillet.
Réservations ici (Cliquer sur “Register Now”).
Contact auprès du FACC à l’adresse mail : [email protected].
A Houston, des maraîchers francophones venus d'Afrique
Dans la ferme urbaine située à l’angle de Fondren Road et Willowbend Boulevard, au Sud-Ouest de Houston, le jeudi est un jour de récolte. Dans les allées de roquette, haricots, basilic et autres courgettes de Plant It Forward, on s’active. Et les allers-retours avec le petit camion frigorifique de cette association créée il y a deux ans sont incessants.
S’enquérir de la prochaine tâche à accomplir, rappeler de refermer la porte du camion après y avoir déposé son chargement, trouver un sécateur de remplacement… Tous ces échanges ont lieu en français et en kituba, l’une des trois langues du Congo-Brazzaville dont est originaire le responsable de cette exploitation de trois acres (soit 1,2 ha), Constant Ngoula.
C’est là la particularité de cette ferme commercialisant sa production garantie sans pesticides au marché Urban Harvest de Richmond Avenue et par le biais de paniers prépayés, à récupérer sur place les mardis soirs, ou bien au marché le samedi matin : elle n’emploie que des réfugiés africains.
L’exil, un choix par défaut
Constant Ngoula a ainsi fui sa Dolisie natale lors de la guerre civile qui a ravagé le Congo-Brazzaville en 1997. Réfugié au Gabon après s’être caché dans la forêt en compagnie d’un jeune neveu, il aurait pu y faire sa vie. « Entre réfugiés, nous nous sommes regroupés pour créer une exploitation maraîchère, car il n’y avait pas de légumes à Tchibanga. Mais beaucoup d’entre nous étaient encore étudiants et nous ne pouvions pas poursuivre nos études au Gabon. »
Cinq ans après son arrivée au Gabon, dans l’impossibilité de rentrer au Congo où les exilés de la guerre civile recevaient des menaces, Constant Ngoula et ses camarades se sont donc résolus à demander refuge en dehors d’Afrique. « Nous ne pouvions pas vivre sans avenir. »
Premiers à répondre favorablement à la demande du groupe, les Etats-Unis ont toutefois mis deux ans à réaliser le rêve du maraîcher. Mais Constant Ngoula est finalement arrivé à Houston avec sa famille en 2006.
Là, à l’issue d’une rude période d’adaptation, il a d’abord travaillé à la chaîne pour le salaire minimum (7,25$/h). Puis, après avoir suivi des cours d’anglais et une formation ad hoc, comme gardien de nuit (pour 11$/h), tout en suivant des cours de construction et de mécanique au Houston Community College. Avant qu’une opportunité de travail épanouissant se présente enfin il y a deux ans par le biais de Plant It Forward.
Six fermiers à leur compte
L’association met à disposition les terres urbaines qu’on lui donne à des maraîchers réfugiés à Houston qu’elle forme pendant un an aux productions locales en les rémunérant. « Le sol de l’agglomération texane est similaire à celui de Tchibanga, mais au Gabon il n’y a pas d’hiver », explique Constant Ngoula.
Depuis le 1er juin, une première promotion de six fermiers a pris son indépendance financière en exploitant seuls une parcelle louée à Plant It Forward. Tandis qu’un nouveau cycle de formation de dix candidats à l’installation a commencé à l’angle de Fondren Road et Willowbend Boulevard, sous l’œil attentif de Constant Ngoula. « J’ai également le projet de m’installer à terme. Mais j’aime mon travail et je me sens responsable. »
Sur cette base solide, Plant It Forward se prend à rêver du jour où chaque quartier de Houston aura sa ferme de proximité, tandis que les réfugiés en nombre croissant vivront d’un travail gratifiant.
Riverside Park accueille La Grande Illusion
Film on the Green vous donne rendez-vous le 18 juillet pour (re)découvrir un grand classique de Jean Renoir : La Grande Illusion.
Ce chef d’oeuvre du cinéma français et international sera projeté gratuitement au Riverside Park Pier I le 18 juillet.
Au cours de la Première Guerre Mondiale, deux soldats français sont capturés par le commandant von Rauffenstein, un Allemand raffiné et respectueux. Conduits dans un camp de prisonniers, ils aident leurs compagnons de chambrée à creuser un tunnel secret. Mais à la veille de leur évasion, ils sont transférés dans une forteresse de haute sécurité dirigée par von Rauffenstein. Celui-ci traite les prisonniers avec courtoisie, se liant même d’amitié avec Boeldieu. Une deuxième fuite est alors organisée par les détenus..
Retrouvez les acteurs emblématiques de l’époque : Pierre Fresnay en aristocrate déclinant, Jean Gabin en parisien gouailleur et Erich von Stroheim en officier très rigide.
Le film sera projeté en français, sous-titré en anglais.
Des menus pas chers pendant la Restaurant Week
La Restaurant Week, c’est une bonne occasion de partir à la découverte des restaurants de LA sans faire un trou dans son porte monnaie.
Du 17 au 24 juillet à Los Angeles, la Dine L.A Restaurant Week, organisée par le centre de convention et de tourisme de Los Angeles, vise à attirer de nouveaux clients dans les établissements de la ville.
Pendant cette période, 300 restaurants proposeront des menus à prix fixe pour le déjeuner et pour le dîner. Le tout à prix doux : à partir de 15$ le midi, et 25 $ le soir.
Parmi les restaurants participants, figurent l’Akasha, l’AOC, le Lukshon, le Scarpetta. Sushis, pizzas, pâtes ou fruits de mer, tout le monde trouvera son bonheur.