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Brice Mousset chorégraphie l'enfer du travail

Si le monde d’aujourd’hui est plus en plus connecté, l’Homme, lui, est de plus en plus seul. C’est ce paradoxe qu’explore “Travailler: Act 1 & 2”, un spectacle de danse imaginé par un Français.
Fondée en 2013 par Brice Mousset, la compagnie Oui Danse se produira sur la scène du Ailey Citigroup Theatre le 26 juillet. Pour ce show, présenté pour la première fois à New York, le chorégraphe s’est inspiré du concept de “loi du plus fort”, montrant des travailleurs dans la frénésie du travail et comment la recherche du succès, la répétition des tâches et le stress “polluent” les esprits.

Un trésor de la cathédrale de Chartres aux Etats-Unis en 2016

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Après le nettoyage de cinq lancettes du portail sud de la Notre-Dame de Chartres au printemps 2013, l’association American Friends of Chartres (AFC), qui aide à la préservation et à la restauration de la cathédrale, se lance dans un autre projet d’envergure : la restauration d’une verrière du XIIIe siècle.
Ce chef-d’oeuvre sera visible aux Etats-Unis, lors d’une exposition en 2016. La présidente de l’AFC, Dominique Lallement, ne peut pour l’instant dévoiler ni le nom ni la ville de l’heureux destinataire. “Tout ce que je peux dire, c’est que ce sera dans un musée qui présente une belle collection d’art médiéval, glisse-t-elle. Les lancettes mesurent plus de 6 mètres de haut, ce qui signifie qu’il va falloir construire une structure similaire à celle de la Cathédrale pour les accueillir.
Car les Américains adorent Chartres, et Chartres le leur rend bien. Ils sont plus d’un million chaque année à admirer l’architecture gothique et l’histoire de la Cathédrale. Cette même architecture et histoire qu’on retrouve dans nombre de livres américains, comme Da Vinci Code de Dan Brown ou The Monuments Men de Robert Edsel.
La verrière, qui se situe dans la partie haute de la nef, représente le Christ trônant, Saint-Pierre, Saint-Jacques le Majeur, ainsi que des boulangers qui, avec les charpentiers ou les maçons sur d’autres vitraux, forment un tableau des différents métiers de l’époque.
Une fois démonté, chaque panneau fera l’objet d’une identification pour repérer l’usure due au temps ou aux visiteurs. La restauration, elle, commencera à la fin de l’année.
Pour la première fois, l’AFC a recours au crowdfunding pour financer ce projet, dont le coût est estimé à 250.000 $. Pour Dominique Lallement, le financement participatif permettrait d’envisager d’autres restaurations de la nef. “Ce serait mon grand rêve !“.

"Les Nubians" en concert à Los Angeles

A l’occasion du 50ème anniversaire du jumelage entre Bordeaux et Los Angeles, le groupe bordelais “Les Nubians” se produira à Los Angeles le 2 août. Créé en 1997, les soeurs Hélène et Célia Faussart s’inspirent du R&B contemporain.
Cet événement s’inscrit dans une série de concerts appelée “People get ready: a soundtrack of the civil rights movement”. Car le 50ème anniversaire du jumelage des deux villes correspond aussi à celui du mouvement des droits civiques et du Civil Rights Act de 1964, qui met fin à la ségrégation raciale aux Etats-Unis.
Sur la scène du California Plaza, le duo rendra hommage à l’histoire de l’Amérique noire à travers des reprises de grands classiques du répertoire jazz et R&B.
 
 

Du jazz au Moca

Cet été, les amateurs de jazz ont rendez-vous au Museum of Contemporary Art North Miami (Moca). Chaque dernier vendredi du mois, un concert gratuit vous y attend !
En cette fin de mois de juillet, c’est Martin Bejerano, un natif de Miami, qui viendra pianoter sur scène. Ce professeur adjoint de piano à l’University of Miami Frost School of Music a été nominé pour un Grammy en 2004 pour son album “Fountain of Youth” dans la catégorie “meilleur album de jazz instrumental”.
Il a joué avec des sommités du jazz comme le Christian McBride Band, Kenny Garrett, Roy Hargrove, Adam Nussbaum, ou encore James Moody.

EDF va importer du gaz de schiste texan en Europe

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A l’heure où les fournisseurs européens cherchent à diversifier leurs sources d’approvisionnement pour sortir de la dépendance au gaz naturel russe, la société texane Corpus Christi Liquefaction a annoncé un contrat avec EDF qui devrait en faire le premier importateur de gaz de schiste américain en Europe.
« Electricité de France est le premier client du terminal n°3 de Corpus Christi Liquefaction », a souligné Charif Souki, le PDG de cette entreprise chargée de développer un port d’exportation de gaz naturel liquéfié à Corpus Christi. « Nous avons hâte de fournir en gaz naturel liquéfié ce leader européen de la production et la distribution d’électricité ».
EDF n’a pas commenté cette annonce.
Corpus Christi Liquefaction est une filiale de Cheniere Energy, déjà en contact avec différents groupes européens dont Total.
Un autre terminal du groupe Cheniere Energy, celui de Sabine Pass, en Louisiane, devrait toutefois être achevé avant celui de Corpus Christi, qui attend toujours le feu vert définitif des autorités fédérales. Ce dernier équipement sera la première installation d’exportation de gaz naturel aux Etats-Unis, jusque récemment importateurs de gaz naturel.
 

Trois jours à Saint Barth

St Barth est un îlot paradisiaque (24km2), parfait pour un long week-end de soleil et de saveurs tropicales.

Découverte par Christophe Colomb en 1493, elle s’appelait Ouanalao mais fut rebaptisée Saint-Barthélemy en l’honneur du frère de l’explorateur. Ni les pirates ni les Suédois qui l’occupèrent ne pouvaient imaginer que le jet setter américain David Rockefeller qui y acheta une mansion en 1957, en ferait la Mecque du tourisme de luxe aux Antilles ! De New York, comptez cinq heures de vol avec une escale à Saint Maarten avant un dernier atterrissage sur l’aérodrome de St Barth, juste avant la plage St Jean. De Miami, comptez trois heures.

Day 1

Le premier jour, laissez vous envouter par l’une des quatorze plages de St Barth, à commencer par St Jean et ses eaux turquoises. À midi, lunch au Sand Bar (80$ par pers.) de l’hôtel Eden Rock ou si vous vous sentez l’âme plus festive, au Nikky Beach (60$ par pers). Pour séjourner, l’Eden Rock est d’ailleurs le summum du palace dans l’île, situé sur un rocher de la plage St Jean. Il abrite par ailleurs le On the rocks (100$ par pers.), deuxième restaurant de l’île orchestré par le célèbre chef Jean-Georges Vongerichten.

Derrière la plage, un shopping de fin d’après midi s’impose dans la Villa Créole et ses petites boutiques comme Calypso ou Filles des îles. Mais pour un shopping de catégorie poids lourd, direction le Carré d’or à Gustavia. À l’entrée du port de St Barth, cette élégante galerie de boutiques de luxe rassemble tout ce que la planète compte de couture et de joaillerie haut de gamme. À visiter comme une « exposition permanente du modus vivendi des ultra riches ». Certaines boutiques restent néanmoins plus accessibles comme United of St Barth, idéale pour ramener t-shirt et maillot de bain (70$ pièce environ) griffés St Barth !

Pour l’apéro, on vous recommande les cocktails du Carré (25$), un bar en plein air tenu par Franck Methevet, jamais avare de bonnes anecdotes sur St Barth…

Pour le diner, tout est possible à Gustavia, du plus simple comme le Select, la plus vieille terrasse de St Barth et son impitoyable punch (5$ le verre) ou l’Isoletta, une pizzeria de poche dans les hauteurs de la ville (45$ par pers.). Plus romantique et plus jet set, risquez Bonito (90$ par pers.) dont la nouvelle cuisine tropicale autant que la vue imprenable sur Gustavia by night ravissent les yeux et les papilles. Malgré un personnel vraiment peu aimable (ce qui vous rappelle au passage que St Barth est une île française).

Day 2

Envie de débuter votre journée par un chill-out chic, faîtes vous bichonner au Spa Sisley du Christopher. L’un des plus beaux hôtels de St Barth (450$ la nuit pour deux) où vous pourrez, un fois massée et huilée, vous installer vous au bord de la piscine à débordement et admirer, sur un écran grandeur nature, les rouleaux et surfeurs de la Pointe Milou. Pour déjeuner (ou diner), le restaurant du Christopher, Taino & Mango (60$/80$ par pers.) est une adresse gastronomique renommée de St Barth pour sa cuisine métissée de poissons grillés, fruits de mer, condiments caribéens et asiatiques. Un régal !

Si vous vous sentez plutôt l’âme d’un Robinson, direction l’est vers les plages de Grand et Petit Cul de sac. Deux lagons réputés pour la plongée et le snorkling au milieu d’une faune marine extravagante. Les locaux recommandent Plongée caraïbes et Ouanalao (site) pour l’exploration des récifs.

Autre joyau local, le rhum vanillé de St Barth encore assemblé à Grand Cul de sac. A consommer avec « extrême modération », n’oubliez pas que vous n’êtes pas d’ici. Cette partie de l’île garde d’ailleurs un charme insulaire palpable dans les assiettes des restaurants. O’Corail (environ 35$ par pers.) et Bartô (environ 70$ par pers.) sont parfaits pour un déjeuner devant l’eau bleue ou un diner à la sérénade de la houle tropicale…

Day 3

En quête d’aventure pour terminer votre séjour ? Mettez la barre au sud pour la matinée dans la anse du Gouverneur ou de Saline, deux plages voisines vierges de toute empreinte humaine. Attention celle de Gouverneur nécessite un petit treck (avec eau, crème, chapeau et serviette). La légende veut que le pirate Montbard ait enterré son fabuleux trésor quelque part sous le sable blanc de cet éden. L’accès à Saline se fait plus facilement, par la route, puis par un chemin de dunes. Cette plage est un vrai mirage où un ciel bleu électrique rejoint une mer mirifique. Si vous vous sentez d’humeur sauvage au retour de Saline, un arrêt s’impose au Meat & potatoes, pour vous régaler d’excellentes viandes au BBQ (60$ par pers.).

Plus civilisée mais tout aussi paradisiaque, la plage des Flamands, au nord ouest de l’île. Le déjeuner sous les tentes de La cabane de l’Isle est un délice (90$ par pers). Certainement l’un des plus beaux restaurants de plage de St Barth. Attention, cette plage a une houle assez capricieuse dont les rouleaux surprennent souvent les meilleurs nageurs.

Enfin, si vous désespérez de donner une touche culturelle à votre séjour, vous pouvez vous lancer à la découverte des sentiers de St Barth en compagnie d’Hélène Bernier, spécialiste de la faune et de la flore d’Ouanalao (tarifs variables selon itinéraires) ou en visitant le Musée de la pointe avant de reprendre l’avion…

À savoir

• Y aller : New York – Saint Maarten avec Jetblue (350$ par pers.) puis Saint Maarten – St Barth avec St Barth Commuter ou WinAir (70€ par pers). Miami – Saint Maarten (600$ par pers.) avec US AirwaysCaribbean Airlines
Comité du tourisme de Saint-Barthélemy et activités sur St Barth Online
• Hôtels chics : Eden Rock (600€ la nuit), Taiwana (370€ la nuit), Christopher (370€ la nuit)
• Boutique Hôtels : Tom Beach Hôtel (330€ la nuit) Les Ilets de la plage (225€ la nuit)
• Déjeuners chics : La cabane de l’Isle, Taino & Mango
• Diners chics : Sand Bar, Bonito, Bartô, On the rocks
• Casual restaurants : Le Carré, Isoletta, Le Select, O’CorailMeat & potatoes
Plages : St jean, Flamands, Gouverneur, Salines, Grand Culs de sac, Petit Cul de Sac
• Shopping : Gustavia (Calypso, Lined Gallery, United of St Barth…), Villa Créole – St Jean (Fille des iles, Amaluna, Angels & Demons, Little St Barth…)
Musée de la pointe de Gustavia

Hommage aux exilés d'Hollywood au Billy Wilder Theatre

Venez découvrir une sélection de films réalisés par une «génération perdue» de cinéastes américains, qui ont fui les Etats-Unis en plein maccarthysme. A voir du 25 juillet au 17 août au Billy Wilder Theatre.
Alors que certains sont partis pour le Mexique, d’autres, comme Jules Dassin, Joseph Losey (ci-dessus), Cy Endfield, Ben et Norma Barzman et Donald Ogden Stewart, ont trouvé refuge à Londres, Paris et Rome. Sept films  de ces exilés américains – réalisateurs, acteurs, scénaristes – sont au programme:
25 juillet à 19h30 : Christ in Concrete (UK/US, 1950) a.k.a. Give Us This Day/Salt to the Devil. En présence de Norma Barzman et de l’auteure Rebecca Prime –séance de dédicace à 19h.
26 juillet à 19h30 : Du rififi chez les hommes (France, 1955); Night and the City (UK/U.S., 1950)
1er août à 19h30 : Hell Drivers (UK, 1956); Impulse (1954). En présence de l’auteur Alan K. Rode.
4 août à 19h30 : The Intimate Stranger a.k.a. Finger of Guilt (UK, 1956); Stranger on the Prowl (Italy/U.S., 1952)
9 août à 15h : These are the Damned (UK, 1963); Escapade (UK, 1955)
13 août à 19h30 : Pardon My French (France/U.S., 1952); Headlines of Destruction (Je suis un sentimental) (1955)
16 août à 15h : The Victors (1963)
17 août à 19h :  Eve (Eva) (France, 1962)Time Without Pity (UK, 1957)
 

Concerts gratuits tout l'été au Santa Monica Pier

Les Twilight Concerts vont donner à vos semaines estivales un air de vacances : tous les jeudis, rendez-vous au Santa Monica Pier pour des concerts gratuits !
En place depuis le début du mois de juillet, vous avez jusqu’au 11 septembre pour en profiter. N’oubliez pas de réserver en ligne !
Voici les prochains concerts qui vous attendent -tous sont à 19h :
24 juillet: Cayucas/ PAPA
31 juillet: Omar Souleyman
7 août: Jagwar Ma
14 août: La Santa Cecilia / Sergio Mendoza
21 août: The Zombies / Mystiv Braves
28 août: Lee “Scratch” Perry / Mexico 68
04 septembre: Ok go
11 septembre: Charles Bradley /King James & The Special Men

La France, de Sète à Barbès

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Revue de presse. Le Wall Street Journal revient sur les débordements survenus ce week-end, lors d’un rassemblement pro-palestinien dans le quartier parisien de Barbès, interdit par les autorités françaises. « “Chaque fois que le conflit s’enflamme au Moyen-Orient, nous voyons la violence exploser en France,” explique un chercheur de l’IFRI dans les colonnes du journal.
Pour le WSJ, « la controverse autour de ce rassemblement montre comment le gouvernement français fait tout pour éviter que le conflit israélo-palestinien n’attise les tensions entre musulmans et juifs dans le pays ».
Le Wall Street Journal brosse le portrait rapide d’un pays tiraillé entre ses communautés juive et musulmane. D’un côté, « les musulmans -qui représentent environ 10% des 65 millions de la population-  se sont souvent plaints d’être marginalisés au sein de la société française. Bien qu’il n’y ait pas de statistiques officielles, beaucoup de musulmans de France vivent dans les banlieues les plus pauvres marquées par un taux de chômage élevé ».
De l’autre, « la communauté juive, estimée à environ un demi-million en France, se plaint d’être victime d’un antisémitisme omniprésent ».
Le New York Times à Sète
Prenons un peu le large pour se détendre, direction l’Hérault. Sète, sa plage, ses poissons. Élaine Sciolino a assisté à la célébration du saint des pêcheurs à l’occasion du grand pardon de la Saint Pierre. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que la journaliste du New York Times a aimé. Beaucoup aimé.
“Contrairement aux villes côtières de la Côte d’Azur à l’est, avec leurs yachts, hôtels de luxe et visiteurs célèbres, Sète est habitée par la classe ouvrière. La zone portuaire offre un mélange d’odeurs de la mer, de poissons avec un soupçon de diesel”, explique la journaliste, visiblement conquise par tant d’authenticité.
Les pêcheurs se vantent de leur poisson, en en consommant de grandes quantités, le tout accompagné d’un verre de rosé du pays“, raconte Élaine Sciolino. Avant de conter la magie de la ville : “Paul Valéry, qui est né et est enterré ici, a immortalisé Sète dans sa poésie; le chanteur et compositeur Georges Brassens, un autre natif, a écrit et chanté une chanson entraînante à ce sujet qui semble être jouée un peu partout au moins une fois par jour”.
Le “fait maison” en force
L’authenticité, décidemment un maitre-mot en France, si l’on en croit la presse américaine de la semaine dernière. L’agence de presse Associated Press revient sur le lancement en France du label “fait maison”, qui certifie que les produits vendus dans les restaurants sont confectionnés sur place.
Dans son article, repris par le Seattle Times, AP observe que la quantité de produits surgelés a augmenté dans les restaurants français avec la crise, alors que la cuisine française est reconnue par l’UNESCO, rappelle malicieusement la journaliste.
Pour elle, ce label est une manière pour la France de “combattre la mauvaise nourriture de restaurant“. Et seule la France pouvait lancer pareille initiative. Elle cite Carole Delga, secrétaire d’Etat à la Consommation: “Il s’agit d’envoyer le signal que la France est un pays où l’on mange bien, où nous avons des compétences, en particulier des compétences culinaires. Nous voulions donner des outils concrets aux Français et aux touristes pour reconnaitre la cuisine comme une partie intégrante de notre identité française“.
Les Français, maîtres de la manifestation et de la drague
Terminons sur une note d’humour. Le Huffington Post rend hommage au pays des droits de l’homme en dressant une liste des 14 choses que la France fait mieux que les autres.
Mieux que quiconque, “Les Français semblent maîtriser parfaitement l’art de protestation” : Qu’il s’agisse d’une manifestation autour de l’âge de la retraite, les chemineaux en grève ou les passagers fatigués de cette mobilisation et se positionnant contre, les Français ne sont jamais trop timides pour descendre dans la rue”, note le site.
Cliché ou réalité ? S’appuyant sur un article publié par Alternatives Economiques, le journaliste fait une conclusion édifiante : “alors que le pays compte aujourd’hui moins de grèves que dans les années 70, la nation a toujours plus de grèves que la plupart des autres pays développés”.
Autre mode d’expression favori des habitants de l’Hexagone : la drague. “Avec ses bars mignons, les bords de Seine et Montmartre, cet endroit magique Paris est régulièrement en haut des listes des villes les plus romantiques au monde et est LA destination pour une lune de miel. Des mots comme “chérie”, “amour” et “baiser français” sont devenus partie intégrante d’un lexique plus global de l’amour”.

Hattemer Academy : l'excellence scolaire en ligne

Article partenaire. Attirée par the American Way of Life, la communauté française installée aux Etats-Unis a augmenté de 3,5% en 2013, classant les Etats-Unis n°12 sur la liste des pays où il fait bon s’expatrier.
Cependant, faire ce grand changement de vie n’est pas évident lorsque se pose notamment la question de la scolarisation des enfants. Pour accompagner cette aventure, Hattemer Academy propose une scolarité d’excellence pendant toute la durée de votre expatriation, accessible n’importe où et n’importe quand.
Priorité à l’enseignement des savoirs fondamentaux
Pour vous permettre de vivre cette expatriation sereinement, Hattemer Academy, l’enseignement à distance de l’école Hattemer qui a accueilli sur ses bancs, Jacques Chirac, Anne Sinclair, Jean d’Ormesson et bien d’autres anciens élèves devenus célèbres, propose une scolarité complète de votre enfant allant de la maternelle au lycée. Faciliter son apprentissage à travers une pédagogie unique qui a fait ses preuves, la méthode Hattemer combine l’enseignement des savoirs fondamentaux comme les mathématiques et le français, avec un suivi personnalisé. Votre enfant se sent en confiance et progresse à son rythme, ces raisons expliquent le succès grandissant de l’école à la maison.
Un programme scolaire adapté à toutes les situations
Ordi-HA_WordingQue ce soit au moment de votre déménagement, pendant la période d’installation, tout au long de votre expatriation ou à votre retour en France, l’enseignement à distance proposé offre flexibilité, qualité et rigueur. La pratique de la « home schooling » est d’ailleurs très répandue aux Etats-Unis et votre enfant pourra se faire des amis au cours de ses activités de loisirs lui facilitant son intégration dans son nouveau pays. Immergé dans un nouvel univers linguistique, votre enfant bénéficiera de l’avantage de maîtriser sa langue maternelle et l’anglais.
En effet, en fonction de vos souhaits, l’enfant peut suivre les cours en scolarité complète, pour une ou plusieurs disciplines données (notamment le français) ou encore des cours de vacances. Le programme scolaire est d’ailleurs très bien adapté aussi pour des écoliers Américains qui souhaiteraient apprendre le français et ainsi devenir bilingues à leur tour ! Parce que c’est « so chic » de parler français aux Etats-Unis, bien maîtriser la langue de Molière est un atout au pays de l’oncle Sam, c’est aussi un moyen pour votre enfant de garder un lien naturel avec son pays.
La modernité au service de l’excellence académique
Pionnière des cours par correspondance, l’institution Hattemer a dès IMG_42831930 mis en place le système d’envoi des cours pour que les familles géographiquement éloignées de l’école puissent bénéficier de son enseignement. Aujourd’hui, les familles ont accès aux cours, devoirs, notes et bulletins sur le site Internet en se connectant directement sur leur espace personnel, facilitant encore plus l’apprentissage à distance… qui n’est finalement plus “si distant” que cela.
Grâce à un suivi individualisé et régulier créant ainsi une vraie proximité entre les élèves et l’équipe pédagogique, l’excellence scolaire est au rendez- vous comme on peut le constater lors de la cérémonie de remise des prix pour la 129ème promotion d’Hattemer qui s’est tenue au Théâtre du Châtelet ce 25 juin. En France comme aux quatre coins du monde, Hattemer Academy accompagne vos enfants vers la réussite. Faites d’emblée le choix de l’excellence pour éviter toute perte de temps ! Vous pouvez inscrire vos enfants à n’importe quel moment de l’année sans aucune contrainte de formalités.
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un client qui en détermine le contenu.
 

Cosmos Copa: les Bleus de New York vont en quarts

L’aventure continue pour l’équipe de France de New York. Les Bleus ont terminé en tête de leur groupe, dimanche, avec sept points. Ils se qualifient pour les quarts de finale de la Cosmos Copa, la coupe du monde des footballeurs amateurs de New York.
En quarts, ils rencontreront le Salvador, qui est arrivé deuxième de son groupe. La rencontre aura lieu le 26 juillet à Flushing Meadows Park dans le Queens, à 8h ou 10h (horaire à confirmer).
Pour se qualifier, les Bleus sont venus à bout de l’Albanie 3-2 après avoir été menés 2-1, et ont étrillé l’Afghanistan 4-0. Samedi, lors de leur premier match, ils ont fait égalité avec l’Italie (0-0). Les Français sont champions du monde de New York.

Cacolac, le lait choco de Bordeaux, arrive aux USA

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Cacolac a 60 ans. Et pour son anniversaire, la marque bordelaise se paie une traversée de l’Atlantique. Cet hiver, la boisson vintage au chocolat fera son apparition aux Etats-Unis, en commençant par New York et la côte est. Une première.
“On espère se démarquer par la qualité de notre produit, fabriqué en France, dont la recette n’a pas bougé depuis 60 ans. Les Américains consomment des boissons au lait de ce type, mais notre produit est moins gras, moins sucré, affirme le patron Dominique Rault. Nous n’avons pas le budget pour faire beaucoup de promotion, mais nous allons jouer sur notre côté vintage, patrimonial. On vend du goût et de l’excellence à la française.” 
Depuis 2011, cet homme d’affaires a repris, via sa société Trixaim Investissements, cette PME basée à Leognan, à côté de Bordeaux.
L’histoire de Cacolac a débuté en 1954, lorsqu’un certain Robert Lauseig, patron d’une laiterie, imagine cette recette de lait sucré au cacao, et commence à en livrer des petites bouteilles par camionnette dans sa région.
Au cours de la décénie suivante, le Cacolac est distribué dans toute la France, puis dans les cafés. La “Société Fermière des produits Cacolac” connait son heure de gloire dans les années 70 et 80, avant de s’offrir une nouvelle cure de notoriété dans les années 90 grâce à Jean-Pierre Papin et aux Guignols.
Depuis, Cacolac a vécu quelques années difficiles. Mais l’entreprise, qui a réalisé 7 millions de chiffre d’affaires en 2013, a renoué avec la croissance en 2014. “Nous devrions faire +14% cette année, un chiffre tiré notamment par l’export”, indique Dominique Rault. Après l’Algérie, le Ghana, le Nigeria, Cacolac attend beaucoup de son arrivée au Canada et aux Etats-Unis.
“On envisage entre 50 et 100 conteneurs par an pour le marché américain, soit un chiffre d’affaires d’environ 1,5 million d’euros”, prédit Guyaume Arseneault, qui depuis le Canada, supervise l’implantation de Cacolac en Amérique du Nord. A voir si les Américains succomberont à cette autre boisson “made in Bordeaux !”