La compagnie de danse Christiane Emmanuel se produira à Bryant Park le 4 juillet dans le cadre du Booking Dance Festival Edinburgh.
Venue tout droit de Martinique, la compagnie est dirigée par la chorégraphe Christiane Emmanuel. Ancienne élève de Jean-Claude Zadith et Nicole Chirpaze, elle a fait ses classes à Paris et Cuba. Elle fonde le Groupe Experimental de Danse Contemporaine à la fin des années 1980. Très influencée par les rythmes martiniquais et caribéens, la compagnie de danse adopte un langage résolument contemporain.
Le 4 juillet, la compagnie Christiane Emmanuel ne se produira pas seule puisque huit autres compagnies de danses américaines feront le déplacement pour l’occasion.
Des danseurs martiniquais à Bryant Park pour fêter le 4 juillet
Vincent Lindon à l'honneur au FIAF
Le French Institute Alliance Française de New York rend hommage à l’un des acteurs les plus populaires de l’Hexagone. Pendant le mois de juillet, venez (re)découvrir sept films dans lesquels Vincent Lindon occupe le haut de l’affiche.
Avec une carrière cinématographique impressionnante de plus de 30 ans – et après été avoir nominé cinq fois aux Césars sans en remporter – Vincent Lindon est devenu l’un des plus acteurs français les plus célèbres.
Les films seront projetés en français, sous-titrés en anglais et un verre de vin viendra clôturer chaque session. Toutes les projection accueilleront un invité.
Programme :
Le 1er juillet à 16h et 19h30 : Augustine, en présence de Marie-Thérèse Guirgis, la productrice.
Le 8 juillet, retrouvez Mademoiselle Chambon à 16h et Pater à 19h30 pour sa première new-yorkaise en compagnie de Florence Almozini, programmatrice française.
Le 15 juillet, à 16h et 19h30 Pour elle. Invité bientôt annoncé.
Le 22 juillet, à Welcome et à 19h30 Vendredi soir. Invité bientôt annoncé.
Le 29 juillet, à 16h et 19h30, Quelques heures de printemps. Invité bientôt annoncé.
Montréal-New York en 2 CV pour Bastille Day
“Ce sont de vieilles dames. Il faut faire attention“. Danielle Bellanger sait que pour aller loin il faut ménager sa monture. En l’occurrence… ses “Deux Chevaux”.
La Française de Montréal et son mari Michel Larouche ont mobilisé pas moins douze “Dedeuch” pour rallier la ville québécoise à New York. Ils s’arrêteront à Lake George et Piermont, avant de terminer leur course dans un parking près du Novotel de Times Square le 11 juillet. “Avoir de vieilles voitures françaises à New York, summum de la grande ville, c’est la Vieille Europe arrivant dans le Nouveau monde“, raconte la fan de 2 CV.
La petite équipe de 24 membres a financé elle-même le voyage. Les voitures ont été trouvées dans le réseau de Danielle Larouche et de son époux, qui répare des 2CV près de Montréal. Le duo organise également des balades de 2 CV tous les deux ans. « Ce n’est pas une voiture, c’est un art de vivre », raconte-t-elle.
Mais c’est la première fois que le couple monte une telle expédition. “Ce projet, c’est une aventure. On part en vacances, quoi!“, glisse Danielle Bellanger. A New York, ils rejoindront le cortège de 25 2CV et Velosolex qui s’élancera le 13 juillet à 10h de Grant’s Tomb (122eme rue et Riverside Drive) pour gagner la 60eme rue, où se tiendra le traditionnel Bastille Day du French Institute Alliance Française (FIAF). Après, ce sera le retour au Québec, en 2 CV bien entendu. “Les voitures vont tenir le coup, sourit Danielle Bellanger. On aura deux mécanos dans l’équipe“.
Quand la Coupe du monde s'invite dans les bureaux américains
Tous les jours, vers 11h30, le même rituel se produit dans la rédaction de French Morning. Le patron se lève de son bureau, traverse la salle vers la télévision et l’allume, à temps pour voir le premier match de coupe du monde de la journée. “Il y a des choses importantes dans la vie“, a-t-il dit une fois, toujours philosophe, en activant le téléviseur.
La coupe du monde au Brésil tombe mal pour les entreprises américaines: les matches se déroulent presque tous (à l’exception du week-end) pendant les heures de travail. Face à cette malheureuse coïncidence, les employeurs ont le choix: agir comme French Morning et faire profiter tout le bureau des joies du ballon rond, ou au contraire, serrer la vis en rappelant que le travail, c’est le travail.”Ça serait une folie pour un employeur d’autoriser ses employés à quitter le lieu de travail pour aller voir les matches“, s’exclame pour sa part le cadre d’une grande banque française à New York.
Baisse des volumes de transactions
Les partisans du « zéro foot » ont raison. Ballon rond et productivité ne font pas toujours bon ménage. Lors la coupe du monde 2010, le volume des transactions sur les marchés latino-américains a chuté de 77% en moyenne lorsque les équipes de la région jouaient. Des baisses de 63% en Afrique, 43% aux Etats-Unis et 38% en Europe ont également été enregistrées selon les données de la Banque centrale européenne. Toujours en 2010, la société Inside View a estimé à 121 millions de dollars la perte résultant des pauses-foot aux Etats-Unis (bien moins que les 7,3 milliards estimés pour le Royaume-Uni).
Et comme le rappelait un récent article du New York Times, la coupe du monde chamboule les relations entre les employés en créant des dissensions entre footeux et non-footeux, entre ceux qui sont “in” et les autres.
A la mission française auprès des Nations Unies, où le futur ex ambassadeur de France Gérard Araud ne cache pas son désamour du foot, on est en plein dedans. En témoigne ce tweet de l’Ambassadeur le jour de France-Suisse:
Match France/Suisse. L’ambassadeur erre seul dans les couloirs de la mission déserte…..
— Gérard Araud (@GerardAraud) June 20, 2014
Chez BGC Partners, une firme financière où travaille le très footeux franco-américain Charles Kergaravat, on a fait le choix de tout montrer. “Les écrans de télé dans la salle des marchés sont habituellement sur Bloomberg TV ou sur CNBC. Ces jours-ci, c’est la coupe du monde. Tout le monde se prend au jeu“, indique-t-il. Mais l’œil sur le foot n’est pas toujours désintéressé. “Certaines entreprises montent pendant la coupe du monde, notamment les entreprises des pays qui gagnent, ou les sociétés qui sont impliquées dans le coupe comme Adidas, Nike, Budweiser ou Visa“.
Pour Ariane Daguin, PDG de d’Artagnan, qui emploie 160 employés du monde entier, la coupe du monde n’est pas un casse-tête de productivité. “Personne ne suit les matches pendant les heures de travail. Ce n’est pas comme en Gascogne. Ici, tout le monde bosse, glisse cette native de Gascogne. Dans notre entrepôt, on ne peut même pas écouter les matches car les écouteurs sont interdits“.
Et pourtant, le magazine Forbes, voix du capitalisme américain, affirme dans une tribune parue mercredi que “la coupe du monde augmentera la productivité au travail“. L’auteur de l’article, le vice-PDG de la société Imagine Easy Solution, raconte qu’il a organisé un quizz de foot avec buffet brésilien à l’occasion du match Etats-Unis vs. Ghana. Cette modeste operation aurait permis de ressouder les liens dans ses équipes.
Il donne aussi trois conseils pour accroitre la productivité au bureau pendant la coupe du monde. Parmi eux: diffuser les matches en streaming dans une salle de conférence pour préserver la connexion Internet (si tout le monde les regarde sur leur ordinateur, le système risque de ramer). Finalement, on a tout compris à French Morning.
Fleur Pellerin sur Alstom: "tous les gouvernements protègent leurs secteurs stratégiques"
La Secrétaire d’Etat au commerce extérieur (entre autres) était à New York à l’occasion de la French Touch Conference, qui rassemblait des entrepreneurs français venus à la conquête de l’Amérique. Elle parle à French Morning de la “diplomatie économique”.
Fonzy, une comédie fertile
Être parent d’un enfant n’est pas chose aisée. Alors imaginez 533..! C’est le sujet de “Fonzy”, sorti à New York le 20 juin et sur les plateformes digitales.
Fils d’immigrés espagnols, Diego (José Garcia) est livreur de poissons dans la boutique familiale aux côtés de ses frères. En proie à des dettes, il mène un vie instable et sa maturité équivaut à celle d’un adolescent. De 1988 à 1990, Diego a participé à un protocole pour la recherche dans le centre de fertilité de la clinique Vallée. 693. C’est le nombre exact de dons de sperme à son actif. Quant à Fonzy, ce n’est autre que le pseudonyme qu’il avait alors utilisé. Jusqu’ici tout va bien. C’est lorsque Maître Chassaigne, lui apprend qu’il est père de 533 enfants dont 142 veulent connaître son identité, que les choses se compliquent.
Diego va alors partir à la rencontre de sa marmaille, incognito bien entendu. De la star de football, à l’enfant handicapé en passant par la jeune fille rebelle, il n’a pas fini d’avoir des surprises avec sa progéniture.
Isabelle Doval réalise ici le “remake” français du film canadien Starbuck sorti en 2011. Le concept de Ken Scott remporte décidément du succès puisqu’un remake américain a également vu le jour en 2013 : Delivery Man.
Dans “Fonzy”, José Garcia est très très drôle. Ca tombe bien, il occupe la majorité du temps à l’écran. Il interprète à merveille son personnage et fait une excellente imitation de l’homme de ménage espagnol. Tordant !
Raphaël François veut remettre Le Cirque en piste
« Il faut que je fasse vite mes preuves. Les gens ont de grandes attentes, et ne vont pas être patients. » Raphaël François, le nouveau chef du restaurant gastronomique Le Cirque, est attendu au tournant.
Référence de la cuisine française classique à New York, haut-lieu de l’establishment, la vénérable institution de la famille Maccioni a vu passer des chefs « stars » comme Daniel Boulud, Jacques Torrès, Pierre Schaedelin, Christophe Bellanca...
Mais depuis quelques temps, le chapiteau a perdu de ses couleurs. Le Cirque a été ébranlé par une critique assassine du New York Times fin 2012, qui a rétrogradé sa note de trois à une étoile. Dans la foulée, le chef Olivier Reginensi a rendu sa toque (et rejoint la Maison Kayser). Et le restaurant n’a jamais décroché d’étoile Michelin.
« Les clients, le Michelin et le New York Times. Ce sont mes trois priorités. J’ai la pression. Surtout qu’on est jamais à l’abri d’une erreur, et que ce n’est pas évident de s’insérer dans une institution qui a une si riche histoire », raconte le jeune chef barbu de 35 ans, chemise noire et lunettes à grosses montures, dont le teint clair et la blondeur font écho à ses origines belges.
Derrière les pianos du Cirque, Raphaël François n’a pas fait la révolution. Aidé par une vingtaine de personnes, il jongle, depuis le mois de mars, avec les classiques de la maison : paupiettes, sole meunière aux amandes, foie gras. Et a apporté quelques nouveautés – pigeon à la mandarine, Saint-Jacques à la betterave et au parmesan, langoustines cuites dans un bouillon de pomme. « Culturellement, je suis influencé par le nord de la France et la Belgique. Là-bas, on utilise beaucoup le mélange fruits – protéines. J’y suis très sensible. »
Dans la famille de Raphaël François, chacun cuisine, mais personne n’a fait carrière dans la restauration. Lui y est venu un peu par hasard, à 16 ans. La révélation pris la forme d’une julienne de légumes. « J’étais au lycée en section scientifique, et je faisais la plonge au Giverny, à Tournai, pour me faire de l’argent de poche. Au bout de trois jours, on m’a demandé de l’aide pour une julienne. J’ai tout de suite adoré l’univers, la relation avec les gens, le travail d’équipe. J’ai continué. »
Ses pas l’ont mené dans une école hôtelière, puis au restaurant de l’hôtel George V, au Crillon, ou encore à L’Aubergade, un restaurant étoilé près d’Agen. Avant d’arriver à New York, il était chef exécutif du restaurant deux étoiles d’Hélène Darroze à Londres, The Connaught.
Ce solide CV devrait aider Raphaël François à relever les défis du Cirque : assurer la qualité malgré le débit (150 couverts par service, un chiffre élevé pour un restaurant gastronomique), dompter des clients “très exigeants et qui n’hésitent pas à dire quand ils ne sont pas contents”, tout en apportant une fraicheur. Trouvera-t-il le chemin de la piste aux étoiles ?
Jean-Baptiste Rudelle: "la R&D coûte 2 fois moins cher en France"
Le co-fondateur de Criteo, la star des startups française, parle de son rôle de modèle pour les entrepreneurs français et des atouts français dans le monde de “l’ad tech”:
Deux sacres pour finir la French Touch Conference
La première French Touch Conference s’est refermée, vendredi, sur au moins deux sourires. Ceux d’Adrien Cognée et de Xavier Zeitoun.
Sous les applaudissements de la secrétaire d’Etat au numérique Axelle Lemaire et de l’organisateur de la conférence Gaël Duval, les deux entrepreneurs ont remporté le concours de start-up refermant cette grand-messe de la tech française à New York. Le premier heureux gagnant est le co-fondateur de Jellynote, une plateforme interactive qui permet à l’utilisateur d’apprendre à jouer de la musique. Le second a co-fondé 1001Menus, un service qui aide les restaurateurs à améliorer leur visibilité sur le web.
“J’ai appris la présentation assez tard. Je suis très content d’avoir reçu le prix“, sourit Adrien Cognée, qui vient de s’installer à New York pour développer Jellynote. C’est la seconde distinction que reçoit la jeune pousse, qui revendique un million d’utilisateurs par mois: elle avait décroché le French American Entrepreneurship Award en avril. “Trente pourcent de nos utilisateurs sont aux Etats-Unis. Nous voulons augmenter cette part en nous installant ici, en développant des licences avec les éditeurs“.
Pour sa part, 1001Menus n’a pas l’intention de s’implanter aux Etats-Unis dans l’immédiat. La start-up compte déjà 1.200 clients et a levé deux millions de dollars depuis sa création il y a trois ans. « On veut se faire une place au niveau européen d’abord », explique Xavier Zeitoun.
Pour remporter le prix, nos deux entrepreneurs ont du faire un “pitch” de cinq minutes devant plusieurs “business angels” américains et français, dont Brian Cohen, président des New York Angels, l’un des clubs d’angels les plus actifs au monde. Douze start up étaient invitées par les organisateurs à présenter leur produit.
Pas d’argent à la clé, mais la satisfaction d’être reconnu. “C’est gratifiant. Ça permet de repartir à Paris avec un super trophée, s’enthousiasme Xavier Zeitoun, et des investisseurs de renom qui ont validé qu’on faisait quelque chose de bien“.
Fleur Pellerin passe par la case "cronut"
« J’adore les croissants et les donuts ». Pas de doute, le “cronut” était fait pour Fleur Pellerin. La Secrétaire d’Etat au commerce extérieur était, jeudi, la dernière personnalité politique en date à venir se montrer avec Dominique Ansel, le pâtissier français le plus connu de New York. « J‘ai goûté quasiment tous les produits de la boutique », glisse-t-elle.
Fleur Pellerin est à New York pour promouvoir la French Tech, en ouvrant jeudi la French Touch Conference, un rassemblement d’entrepreneurs français dans la tech. Elle s’est offerte une pause gourmande en se rendant, comme Valérie Trierweiler l’an dernier, chez Dominique Ansel. Elle a prévu de se rendre, vendredi, chez Ladurée et au Fancy Food Show, un salon culinaire auquel participent de nombreux Français dont… Dominique Ansel.
Lire: A New York, la French Tech se serre les coudes
Lire: Valérie Trierweiler découvre le cronut (sans faire la queue)
Il n’a pas fallu prier Fleur Pellerin pour qu’elle s’essaye à la dernière création en date de Dominique Ansel : le cookie shot, un cookie cylindrique d’une dizaine de centimètres de hauteur dans lequel on verse du lait. La secrétaire d’Etat a rappelé que Dominique Ansel « est un bon exemple de réussite, alliant créativité et talent ».
« Le cronuts a fait le tour du monde sans campagne de marketing. On vient de partout pour le goûter » s’enthousiasme-t-elle, rappelant aussi que chaque matin « 200 personnes font la queue pour en avoir un ! ». La success story du pâtissier de Soho, qu’elle qualifie de « très belle histoire car non délibérée », elle la souhaite aussi pour d’autres entrepreneurs français.
Un business angel américain: "On veut travailler avec des Français"
Brian Cohen est un homme qui compte… dans tous les sens du terme. Ce business angel, qui ne mâche pas ses mots, dirige les New York Angels. Non, ce n’est pas une équipe de basket, mais un groupe d’investisseurs d’une centaine de membres basé à New York qui investit dans des jeunes pousses prometteuses. Vendredi, il participait à la French Touch Conference à New Y0rk. Nous lui avons posé trois questions.
Les start-ups françaises comptent pour vous?
Nous voulons travailler avec des compagnies françaises. Nous en cherchons. Nous sommes excités par les opportunités venant de France. J’étais au Consumer Electronics Show de Las Vegas, et il y avait un gros contingent français. C’est excitant de voir les Français sortir de leurs pays et venir aux Etats-Unis. Il y a plus d’argent ici et il y a plus de mentoring pour les soutenir.
Les Français ont beaucoup à apporter à la communauté tech. Nous investissons dans des entreprises qui ont du potentiel, quelle que soit leur nationalité. Nous investissons là où nous voyons de la promesse, dans des entreprises qui une croyance, et un produit que les consommateurs vont acheter.
En tant qu’angel professionnel, qu’est-ce qui vous intéresse dans un pitch?
Je veux voir les chiffres. Mais j’investis aussi de manière “pré-revenu” alors qu’aux Etats-Unis, de nombreux angels se sont fait beaucoup d’argent et ne cherchent pas à investir. Je cherche juste une entreprise qui a un grand potentiel de revenu, et surtout une stratégie de désengagement – soit le rachat, soit l’entrée en bourse. Les business angels font dans la stratégie de désengagement, et non dans l’investissement.
Vous avez écrit What every Angel Investor wants you to know. Quels conseils donneriez-vous aux Français qui veulent se lancer aux Etats-Unis?
Les angels choisissent avant tout de soutenir une entreprise car il y a un contact personnel avec son créateur, une connexion à ce que l’entrepreneur pense et dit. J’aime bien quand un entrepreneur commence sa présentation en disant: “Je crois dans quelque chose” plutôt que “je vais vous montrer ce que j’ai” ou “je vais vous dire ce que les gens vous pouvoir faire avec ce que j’ai inventé”. Je veux savoir en quoi ils croient, ce qu’ils ont dans leur cœur. Je ne suis pas un client, je veux qu’ils me montrent leur business, ce qu’ils construisent et comment ils l’exécutent. Il y a beaucoup de bonnes idées, mais très peu de bonnes exécutions.
Axelle Lemaire: "les entrepreneurs français sont des optimistes"
La Secrétaire d’Etat à l’économie numérique, Axelle Lemaire, est venue à New York pour participer à la French Touch Conference, qui pendant deux jours a célébré les entrepreneurs français. Elle dit à French Morning pourquoi les entrepreneurs français ont des raisons d’espérer…