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Où voir les matches des Bleus au Texas ?

Pas envie de regarder les matchs de Bleus dans le salon ou par internet ? Pas de problème ! Aux quatre coins du Texas, les Français et francophiles se regroupent pour encourager l’équipe de Didier Deschamps en Coupe du Monde.
Houston
Houston’s French Gang se retrouvera au pub irlandais Galway Hooker, 5102 Washington Ave. RSVP sur Facebook.
Le nouveau rassemblement des jeunes français et francophones Nos Rencontres Jeunes donne rendez-vous aux 18-30 ans à la résidence avec piscine AMLI 2121, 2121 Allen Pkwy. RSVP sur Facebook.
Dallas
Le Club des Français de Dallas propose, pour l’occasion, de découvrir un nouveau bar-restaurant du Nord de la ville tenu par un Français : la Draft House, 3940 Rosemeade Pkwy.
RSVP sur MeetUp.
Austin
Dans un esprit de « rivalité amicale », un professeur d’éducation physique et sportive français arrivé récemment à Austin invite ses compatriotes et tous les supporters de l’équipe de France à venir encourager la sélection tricolore en présence de fans de l’équipe adverse.
Pour le premier match, dimanche, à 14h, contre le Honduras, rendez-vous est donc donné au restaurant hondurien Las Hamacas, 825 E Rundberg Ln. L’établissement offrira des appetizers.
RSVP sur Facebook.
Photo : Coda via Flickr.

Joël Dicker en dédicaces à Houston

L’auteur suisse du gros succès littéraire La Vérité sur l’affaire Harry Quebert sera à Houston pour une conférence le 13 juin à la librairie Murder By The Book.
A seulement 27 ans, Joël Dicker a réussi le pari d’obtenir coup sur coup le Grand prix du roman de l’Académie française et le prix Goncourt des lycéens en 2012 pour ce roman, son deuxième.
La Vérité sur l’affaire Henry Quebert raconte comment un écrivain atteint du syndrome de la page blanche met tout en oeuvre pour prouver l’innocence d’un de ses amis, lui même écrivain, accusé dans une sordide histoire de meurtre. Vendu à plus d’un million d’exemplaires (traductions comprises), le livre est un succès dans le monde entier.
Joël Dicker se livrera également à une séance de dédicaces après la conférence.

"Violette" : une écrivaine incomprise sous les projecteurs

Fort de ses sept Césars pour « Séraphine », biopic sur la peintre autodidacte Séraphine de Senlis, Martin Provost réitère dans le genre et s’intéresse une fois de plus à un personnage féminin autodidacte : l’écrivain Violette Leduc. Le film sort en salles à New York le 13 juin.

« Si vous ne m’aimez pas c’est parce que je suis laide? » demande une Violette Leduc désemparée à une Simone de Beauvoir impassible. C’est par cette laideur subie que Martin Provost ouvre son film « Violette » : on y voit la future grande écrivaine affublée d’un chapeau ridicule expliquant que si les belles filles sont dévisagées dans la rue, c’est pour leur beauté, et si les filles laides le sont aussi, c’est pour cette laideur.

Avec ce genre de réflexion, l’écrivain maudit ouvre la fenêtre sur son mal-être, l’estime médiocre qu’elle a d’elle même, elle qui a toujours cru qu’elle n’accomplirait rien dans sa vie. Elle se jette sur tous ceux qui ne veulent pas d’elle (les écrivains Simone De Beauvoir et Maurice Sachs, le parfumeur Jacques Guérin et Hermine, une femme mariée).

Violette Leduc se sent mal, et seule. Pourtant, elle a du talent, un talent tout de suite remarqué par celle qui deviendra son mentor, Simone de Beauvoir, elle-même au seuil de la gloire. C’est à elle que Violette Leduc donne le premier roman qu’elle écrit L’Asphyxie, qui parle de son enfance et de sa relation à sa mère. Un roman dans lequel elle a mis « toute sa vie ». Cette mère ne cessera de peser sur sa vie. En témoigne leur relation faite de hauts et de bas et la désormais célèbre  « Ma mère ne m’a jamais donné la main », première phrase de L’Asphyxie.

Et puis elle grandira dans l’ombre des succès de Simone de Beauvoir et essuiera deux échecs avec L’Asphyxie et Ravages, qui passent inaperçus aux yeux du public et de la critique mais lui font gagner l’estime de ses paires, Camus et Sartre en tête. Elle ne connaîtra la gloire qu’à 57 ans avec La Bâtarde, thème qui la hantera toute sa vie étant elle-même un enfant illégitime.

Le ton est cru – souvent dira-t-on d’elle qu’elle parlait comme un homme – sans craindre la censure. Car Violette Leduc raconte ce que nulle autre femme n’avait osé. Elle décrit avec franchise mais poésie ses moments les plus intimes. Poussée par son mentor, elle parle aussi de sujets qui à l’époque étaient considérés comme tabou: l’amour saphique, son avortement, pour « rendre service aux femmes », dira le personnage de Simone de Beauvoir.

Si le film de Martin Provost a le mérite de braquer le projecteur sur une femme peu connue, il n’en reste pas moins que la matière du film, le personnage de Leduc, est plus passionnante que le film lui-même. Emmanuelle Devos, blonde et enlaidie pour les besoin du film, est convaincante en féministe forte et fragile, influençable mais inflexible.

Quant à Sandrine Kiberlain, elle incarne Simone de Beauvoir avec force et conviction, même si son personnage, assez solitaire, se cantonne à jouer la protectrice de Leduc. On croise aussi Jean Genet, Raymond Galimard, la présence de Jean Paul Sartre est toujours palpable, même si on ne le verra jamais, tout comme Albert Camus, ajoutant au film une dimension historique parfois pesante.

Sans être le biopic de l’année, « Violette » met en lumière une femme résolument en avance sur son temps, talentueuse et incomprise. De la salle de cinéma, on ressort avec nous aussi l’envie de coucher des mots sur le papier.

1,2,3… Prêts pour l’été au camp Bleu Blanc Rouge

Article partenaire. Créé en 2010 par Brigitte Saint-Ouen, marchande d’art expatriée, le camp Bleu Blanc Rouge revient cette année pour sa quatrième édition à New York. Il est le lieu idéal pour parler français à travers l’art tout en s’amusant !
Tout au long des 6 semaines, les enfants participeront à des activités axées autour de l’art, de la langue française, de sa culture, de ses habitudes et de la galanterie.
Chaque semaine, plusieurs thèmes sont mis en avant tels que le théâtre, la peinture, la cuisine, le dessin, le chant (inclus dans le répertoire : « Let it Go » en français), la photographie, l’architecture et bien d’autres.
Le camp Bleu Blanc Rouge LLc propose des activités en plein air, des visites de musées, des cours d’écriture et des exercices de lecture pour les plus grands et bien sûr, la compréhension d’histoires en français.
A travers ces activités, les petiots apprendront le français avec leurs nouveaux copains et dans la bonne humeur.
Prenez-part à la magie d’un tournage
Cécile Ragot, productrice primée de films, est de retour cette année pour tourner un court-métrage avec nos petits bambins. Les plus grands auront l’honneur d’écrire le script et toute la classe aura un rôle en tant qu’acteur. Les enfants vont dessiner le décor et créer leurs costumes avec une initiation à la couture.
Voici le film réalisé l’année dernière
Ne vous inquiétez-pas, on assure !
L’encadrement et l’apprentissage sont dispensés par des professeurs et des professionnels d’origine française. Le camp Bleu Blanc Rouge convient parfaitement aux enfants qui parlent et qui aiment le français ou issus d’une famille qui encourage la langue française ainsi que sa culture.
Colonie de création et d’art en anglais
Et pour la première fois, le camp Bleu Blanc Rouge offre une classe d’art dispensée en anglais. Les enfants auront la possibilité de laisser libre cours à leur imagination et à leur créativité !
Les œuvres-d’art sont réalisées à partir de pâte à modeler, de charbon, de gouache, de poudre de Jell-O.
Ce camp d’art est basé sur un thème bien précis et ce dernier est ensuite travaillé sous tous les angles, artistiques, culinaires, etc.
Pour les plus courageux, les petits campeurs pourront s’essayer à de nombreux rôles sur le tournage. Et le dernier jour de la semaine, une représentation devant les parents aura lieu afin d’admirer le talent de vos enfants pour les campeurs francophones en français et pour les campeurs anglophones en anglais.
Il est également possible pour les petits anglophones d’apprendre à parler le français avec des sessions d’1 à 2 heures par jour.
Fondatrice de Bleu Blanc Rouge Brigitte Saint-Ouen explique, “La mission de Bleu Blanc Rouge est de présenter les bénéfices de l’art à tous les enfants et d’assurer l’avenir de l’art en inspirant la génération prochaine d’artistes et d’amateurs d’art.”
 
 
Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un client qui en détermine le contenu.

Pour Mélanie Pain, la nouvelle vie après Nouvelle Vague

“Ça faisait longtemps qu’une annonce de concert ne m’avait autant enthousiasmée, explique Mélanie Pain. Quand on m’a dit “New York c’est confirmé”… Wahouu!”Le 13 juin, la chanteuse, connue pour sa participation à Nouvelle Vague, fera ses premiers pas new-yorkais, au Global Beat Festival.
Mélanie Pain s’illustre en 2004 en participant au premier album de Nouvelle Vague. Plusieurs artistes comme Camille ou Vanessa Paradis ont participé à ce projet musical qui proposait la reprise de titres classiques de la “new wave” en version “bossa nova”. Mais c’est véritablement sur scène, lors de la tournée, que la chanteuse se révèle. En 2006, sur le second opus, elle interprète cette fois cinq titres, contre deux sur le premier, dont certains sont devenus des classiques:  « The Killing Moon », « Ever Fallen In Love » ou encore « Dance With Me »
En 2009, elle fait ses premiers pas en solo avec la sortie de son premier opus My Name, en 2009, suivi d’un second, Bye Bye Manchester en 2013.
La chanteuse avoue ne pas encore savoir si elle interprétera des titres de Nouvelle Vague à New York.  “Je me pose la question. C’est déjà arrivé lors de précédents concerts mais là, j’ai déjà beaucoup de mes chansons à jouer. Ce sera Mélanie Pain sur scène, pas Nouvelle Vague”. Lors du concert, elle retrouvera Mélissa Laveaux, une chanteuse québécoise dont la musique est teintée d’influences haïtiennes, de blues et de folk.
Avec des morceaux oscillant entre pop british et chanson française, une voix douce et des paroles délicates, Mélanie Pain n’a aucun mal à exister en solo. Son univers atypique et charmant a de quoi séduire un public large. D’autant que ses textes sont en anglais et en français.
Mais le chant n’est pas le seul talent de Mélanie Pain qui s’essaye, peu à peu, à la composition: “Sur le premier album, j’avais composé quelques morceaux et sur le deuxième j’ai quasiment tout composé, explique-t-elle.
Son troisième album, sur lequel elle travaille actuellement, comportera des titres en français et en anglais : Depuis dix ans, je chante avec Nouvelle Vague en anglais, je ne peux pas l’abandonner. J’ai besoin des deux langues pour me sentir bien, explique la jeune femme. J’ai un peu tout à prouver et en même temps, je vais chanter avec mon plus grand sourire”.

Mille-feuille Bakery arrive dans l'Upper West Side

Gourmands et gourmandes, vos papilles vont s’affoler! La pâtisserie Mille-feuille du chef Olivier Dessyn vient d’ouvrir un nouveau magasin dans l’Upper West Side.
Jusqu’à présent, si l’envie d’un Saint Honoré, d’un éclair ou d’un fraisier se faisait sentir, on pouvait se rendre dans la boutique située place La Guardia dans l’East Village. La pâtisserie vient d’ouvrir sur Broadway, entre la 76ème et la 77ème rue. “C’est un quartier que nous aimons beaucoup avec ma femme, assure Olivier Dessyn, c’est un quartier plein de vie, familial et on connaît pas mal de gens là-bas“. 
La petite pâtisserie, lancée en mai 2011 par Olivier Dessyn et sa femme, continue donc son bonhomme de chemin. Après l’école de cuisine du Ritz à Paris et une formation avec Camille Lesecq (meilleure chef pâtissière de 2010) au Meurice, Olivier Dessyn a également officié dans la pâtisserie du grand Pierre Hermé.
Après tout ce dur labeur, cette deuxième boutique arrive à point nommé : “C’est l’aboutissement de beaucoup d’efforts“, raconte le chef. Pour lui, cette boutique, plus grande, lui donne l’occasion de  faire connaître ses produits à d’autres personnes. “Une vraie fierté“, explique le pâtissier.
Et même s’il nous avoue avoir besoin de se reposer, il ajoute : “On pense ouvrir une troisième boutique, mais pas tout de suite. Ce sont des choses qui prennent du temps“. 
 

Une pre-school française ouvre à Daly City

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Aux abords de San Francisco, à Daly City, une maman désireuse d’offrir à sa fille un enseignement en français, a décidé de créer La Maternelle, un jardin d’enfant à la française, pour les petits de 3 à 6 ans.
Avant d’arriver à San Francisco, Virginie Arbusto a vécu à Las Vegas et Redding. Cette juriste de formation, désormais maman d’une petite fille de deux ans, se disait en arrivant dans la Baie qu’elle allait trouver le lieu idéal pour sa fille, pour lui offrir une éducation à la française comme elle l’espérait.
Mais face au manque de réponses, elle décide de se lancer et de créer cette école dont elle rêvait pour sa fille. «Ainsi je l’aurais auprès de moi et je saurais dans quel environnement elle évolue».
Un gros projet pour lequel elle a pris des cours au City College de San Francisco pour se former. Au départ, cinq enfants seront admis. Objectif: augmenter la capacité de l’école et ouvrir, sur le moyen terme, un lieu en dehors de la maison. «Je devrais être rejointe assez vite par une autre femme elle-même en formation, et nous pourrons aller sans doute jusqu’à 12 enfants assez rapidement».
Les inscriptions sont ouvertes. Et Virginie Arbusto est prête : “Je travaille sur un programme avec une institutrice de Monaco. La maison est conforme aux exigences sanitaires et de sécurité. J’ai hâte de démarrer.”

Le Harmony Dance Center fête ses dix ans!

La compagnie de danse Harmony Dance Center fête ses dix ans et vous invite à venir célébrer cet anniversaire dans la bonne humeur au Montgomery Theater.
Au programme, un spectacle de danse présenté par les danseurs de la compagnie, ainsi que des danseurs professionnels, suivi d’une réception et d’une after party pour les plus motivés. Les danseurs du Harmony Dance Center sont âgés de 6 à 17 ans et ont reçu une formation de jazz, danse moderne et hip hop.
La compagnie de danse est dirigée par Anne Lorraine Bahi, une chorégraphe française passée par le Conservatoire d’Aix-en-Provence. Cela fait plus de 15 ans qu’elle enseigne la danse dans la Baie de San Francisco.

Echange d'ambassadeurs entre New York et Washington

L’Ambassadeur de France à Washington, François Delattre, quitte la capitale américaine mais pas les Etats-Unis. Il a été nommé en Conseil des Ministres ce mercredi matin Représentant permanent de la France auprès des Nations Unies.
Il remplace Gérard Araud, qui va, lui, faire le trajet inverse et devenir le nouvel ambassadeur de France aux Etats-Unis. Cette nomination ne sera toutefois annoncée officiellement qu’après l’agrément par les autorités américaines.
Pour François Delattre, il s’agit d’un retour dans la Grosse Pomme où il a été Consul général entre 2004 et 2008 avant de devenir ambassadeur au Canada puis de rejoindre Washington en 2011.
Le départ de Gérard Araud est annoncé depuis plusieurs mois mais jusqu’à il y a peu, c’est un autre diplomate qui devait prendre sa place, Jacques Audibert, ancien directeur politique du Quai d’Orsay. La nomination de ce dernier comme “sherpa” (conseiller pour le G7 et G8) auprès de François Hollande aura redistribué les cartes.
François Delattre et son épouse Sophie Hélias n’emmènageront pas dans le luxueux duplex du 740 Park Avenue qui servait de résidence officielle au représentant français à l’ONU. Celui-ci a en effet été mis en vente par la France pour 48 millions de dollars et il est actuellement “sous contrat” dans l’attente imminente de la signature définitive de la transaction. Pour reloger l’ambassadeur, la France est en passe d’acheter un autre logement, également luxueux, mais nettement moins cher puisque, d’après les informations de French Morning, ce nouvel appartement sur les bords de l’East River, va coûter moins de dix millions de dollars.
Toujours au chapitre immobilier, Gérard Araud va lui emménager en arrivant à Washington dans la résidence temporaire de Foxhall Road, la traditionnelle, et immense, résidence de  Kalorama Road étant actuellement en rénovation.

Huit festivals d'été à (re)découvrir à New York

Pas facile de s’y retrouver : comme chaque été, c’est le déferlement de festivals à New York. Voici une petite sélection des “immanquables” de cette année.
1. SummerStage NYC : du 3 juin au 24 août
Ce programme de la City Parks Foundation présente des spectacles d’une qualité artistique exceptionnelle. Des artistes aux univers différents, connus ou émergents, des représentations en plein air: SummerStage a pour vocation de s’adresser au plus grand nombre. Concerts, spectacles pour toute la famille, danse: des shows sont donnés dans les cinq boroughs de New York.
Parmi leurs programmes phares, The Metropolitan Opera Summer Recitals Series qui offrira cette année, six représentations. À noter que les artistes français -M- et Émilie Simon se produiront à Central Park à l’occasion de la Fête de la musique. Spectacle gratuit. Programme détaillé ici.
2. Northside Festival 2014 : 12 au 19 juin
Une semaine de musique, films et de discussions avec des entrepreneurs et/ou des innovateurs ! Ce Festival annuel se tient dans différents lieux à Brooklyn, dont le Music Hall de Williamsburg et le McCarren Park. Programme détaillé ici et tickets ici. De 10$ -ticket pour une manifestation- à 235$ -full pass.
3. River to River Festival : 19 au 29 juin
Festival artistique qui revient tous les ans depuis 2002, River to River est devenu la pierre angulaire de la culture dans le sud de Manhattan, offrant un moyen original de découvrir les quais, parcs, places, hôtels, monuments historiques, espaces de bureau temporairement vacants et autres sites du quartier. Onze jours pour découvrir plus de 90 artistes au cours de 35 projets mêlant théâtre, danse, films, musique et beaucoup d’autres expériences uniques ! Programme détaillé ici. Gratuit.
4. Charlie Parker Jazz Festival : 23 et 24 août
Véritable institution new-yorkaise, tout comme la musique qu’il promeut, ce festival, gratuit, a lieu depuis plus de 20 ans. Cette année vous pourrez applaudir entre autres :  The Wallace Roney Orchestra, Lionel Loueke ou encore Melissa Aldana au Marcus Garvey Park à Harlem et Brianna Thomas ou Kenny Barron au Tompkins Square Park à Alphabet City. Programme détaillé ici. Gratuit.
5. Electric Zoo : du 29 au 31 août
Le festival annuel de musique électronique revient pour sa cinquième édition. Comme d’habitude, il se tiendra le week-end de la Fête du travail au Randall’s Island Park. La France sera plutôt bien représentée : le 29 août, ne manquez pas Gesaffelstein et David Guetta. Le lendemain, le jeune prodige de la nouvelle scène électro Madeon sera aux platines. Un programme qui devrait ravir les amateurs d’électro. Programme détaillé ici. De 79$ à 599$. Tickets ici.
6. Films on the Green (jusqu’au 1er août, avec projection spéciale le 4 septembre)
On ne résiste pas à l’envie d’inclure le festival de cinéma français en plein-air dans cette sélection. Le festival prend place dans différents parcs de la ville. Retrouvez “Buffet froid” le 13 juin, ou encore “La Haine” le 27 et “La Moustache” le 11 juillet. Gratuit. Programme complet ici
7. HBO Bryant Park Summer Film Festival: du 16 juin au 18 août
On sait que l’été arrive à New York quand Bryant Park sort son écran géant et qu’il devient impossible de trouver de la place sur la pelouse. Les projections gratuites ont lieu toutes les semaines au coucher du soleil. Au programme: “The Shining”, “Saturday Night Fever” et “Karate Kid”. Un conseil: arrivez le plus tôt possible. Gratuit. Programme ici
8. Make Music New York: le 21 juin
La Fête de la Musique a pris racine à New York. Tous les ans, le 21 juin, Make Music New York prend ses quartiers dans plus de 300 lieux à travers la Grosse Pomme. Et bien entendu, tout est gratuit. Programme ici
 
 

Ai WeiWei investit Alcatraz

L’artiste chinois a choisi Alcatraz comme décor de sa prochaine exposition, un choix hautement symbolique.
Après avoir été arrêté en 2011 et passé 81 jours en prison, Ai WeiWei n’a toujours pas récupéré son passeport, et ne peux donc sortir de son pays. C’est donc depuis son studio à Pékin que Ai Wei Wei a fait tout le travail artistique qui sera présenté le 27 septembre, à San Francisco, pendant sept mois.
Sept installations seront présentées dans quatre endroits différents, certains fermés au public d’habitude. L’exposition est gratuite, mais il faut acheter un billet de 30$ pour prendre le ferry qui mène sur l’île d’Alcatraz.  Les tickets seront disponibles fin juin.
 

10 adresses françaises pour voir les Bleus gagner à Miami

Il y en a bien plus que dix bien entendu, mais voici notre sélection de bars et restaurants français qui retransmettent les matches des Bleus. On attend vos adresses en commentaires!
La Gloutonnerie: 81 Washington AveMiami Beach, FL. 305-503-3811. Site ici
Villa Azur: 309 23rd StMiami Beach. 305-763-8241. Site ici
Cafe de Paris:  715 E Las Olas Blvd. Fort Lauderdale, (954) 467-2900. Site ici
A la folie cafe: 516 Española Way, Miami Beach (305) 538-4484. Site ici
La Sandwicherie (adresse de Brickell): 34 W 8th St. 305 374 9852. Site ici

Cafe Bastille: 248 SE 1st St Miami, (786) 425-3575. Site ici
Bon fromage: 500 Brickell Ave, Miami, FL 33131. (786) 329-5632. Site ici

db Bistro Moderne: 255 Biscayne Blvd Way, Miami, FL 33131 (305) 421-8800. Site ici

L’Entrecote de Paris:  1053 SE 1st Ave, Miami. (305) 755-9995.  Site ici

Sage French Cafe: 2378 N Federal Hwy, Fort Lauderdale, 954 374 2299. Site ici