Article partenaire. La chaîne TV5 Monde diffuse le dernier film d’Axelle Ropert, « Tirez la langue, mademoiselle », avec Louise Bourgoin, le 29 juin à 20h30 (EST).
Dans le 13ème arrondissement de Paris, Judith élève seule sa fille Alice. Boris et Dimitri Pizarnik, eux, sont médecins dans ce même quartier. Passionnés par leur métier, qu’ils exercent dans le même cabinet, ils consacrent tout leur temps à leurs patients. Un soir, les deux frères sont amenés à soigner Alice qui souffre de diabète. Les deux médecins tombent tous les deux amoureux de la jeune femme, serveuse dans un bar. La relation entre les deux hommes commence alors à s’étioler.
Dans ce triangle amoureux, on retrouve Louise Bourgoin, ex-miss météo de Canal + qui a su prouver, au fil de ses rôles, que le cinéma a eu raison de lui faire les yeux doux. Quant aux deux frères, ils sont joués par Laurent Stocker, sociétaire de la Comédie Française, et Cédric Khan, réalisateur et scénariste de « Les Regrets » et « Une vie meilleure ».
« Tirez la langue mademoiselle » est le second long métrage d’Axelle Ropert en tant que réalisatrice. C’est également sa huitième collaboration avec le réalisateur Serge Bozon, dont elle a scénarisé tous les films. « La famille Wolberg », son premier long métrage, avait été présenté lors du Festival de Cannes 2009 dans le cadre de la Quinzaine des réalisateurs.
« Tirez la langue, mademoiselle » sur TV5 Monde
Miami fête la musique
Miami fête la musique! Les services culturels de l’Ambassade de France à Miami organisent la Fête de la Musique (« Make Music Miami ») le week-end du 20 et 21 juin.
Les festivités commencent vendredi à partir de 18h, car Make Music Miami s’associe avec l’évènement mensuel « Big Night in Little Haïti ». Deux heures durant (jusqu’à 20h), tous les musiciens qui le veulent seront invités à se produire sur une scène ouverte. A 20h, place aux pros avec le groupe haïtien Gabel, qui viendra donner un concert exclusif.
Le lendemain, on remet ça, et cette fois, ce sont les bars et les restaurants de la ville qui proposeront des concerts gratuits. Pour être sûr de vous rendre dans les lieux partenaires, ouvrez l’oeil : ceux-ci seront signalés par des ballons jaunes arborant le logo de la Fête de la musique! Miami sait définitivement s’amuser!
Nouvelle édition du Taste of the Nation South Florida
Taste of the Nation South Florida se tiendra la 17 juin. Les plus grands chefs et mixologues donneront de leur temps, de leur talent pour endiguer la faim des enfants en Amérique, le tout avec passion.
Depuis 1988, cet événement encourage les plus grands experts culinaires à faire don de leurs compétences pour une bonne cause. Cette année encore, une ribambelle de chefs sera de la partie : plus de 50 restaurants seront représentés.
Parmi eux, le légendaire chef Allen Susser -président du Taste of the Nation Miami depuis 25 ans- ainsi que Timon Balloo, chef du restaurant Sugar Cane Raw Bar Grill.
Rejoignez cette soirée élégante, autour de la gastronomie et du vin, au Loews Miami Beach.
Le LACMA plonge dans "West Beirut"
Le 21 juin, le LACMA diffuse « West Beirut », en présence du réalisateur libanais, Parisien d’adoption, Ziad Doueiri.
A Beyrouth, en avril 1975, la guerre civile éclate. La ville se retrouve divisée en deux avec à l’est, les chrétiens et à l’ouest les musulmans. Tarek et Omar, deux jeunes musulmans dont l’école est fermée indéfiniment, veulent réaliser un film avec une Super 8. La mère de Tarek, elle, veut fuir la ville, alors que son père refuse. Tarek passe aussi beaucoup de temps avec May une jeune chrétienne. L’innocence des adolescents commence lentement à être aspirée par les tensions grandissantes.
« West Beirut » a en partie été produit par le Ministère de la Culture Français et le Centre National du cinéma et de l’image animée. Le réalisateur, Ziad Doueiri a commencé sa carrière comme assistant sur les films de Quentin Tarantino. Ce film, sa première réalisation, a remporté de nombreux prix en 1998, dont le Prix FIPRESCI du Festival International du Film de Toronto, et le Prix François-Chalais du Festival de Cannes.
Jay-Z et Beyoncé en concert à Miami
Ce sont probablement les deux plus grosses stars du moment. Jay-Z et Beyoncé seront à Miami le 25 juin pour le début de leur tournée On the Run qui promet une soirée complètement folle!
Les deux tourteaux ont été bien occupés jusqu’en début d’année avec leurs tournées respectives, « Magna Carta Holy Grail » pour Monsieur et « Mrs Carter Show » pour Madame. Les deux bêtes de scène remettent ça et ensemble cette fois!
On the Run Tour sera probablement l’occasion d’entendre les chanteurs reprendre leur plus célèbres morceaux, avec « Crazy in love », « Upgrade U » et le plus récent « Drunk in love ». La tournée s’achèvera le 6 août à San Francisco.
L'art du Belge James Ensor décortiqué au Getty Center
Le Getty Center accueille, le 22 juin, « A Love / Hate thing : James Ensor and the French Avant Garde », une conversation autour des oeuvres du peintre belge.
Scott Allan, commissaire associé de l’exposition :The Scandalous Art of James Ensor”, reviendra sur la carrière du peintre dont les oeuvres ont façonné le paysage pictural belge du XIXème siècle. Membre fondateur du groupe bruxellois “Les Vingt”, il a laissé derrière lui une oeuvre expressionniste importante, annonciatrice du surréalisme.
Consulaires à Washington: deux demandes d'annulation déposées
Les électeurs de la circonscription de Washington vont-ils retourner aux urnes? Deux recours demandant l’annulation du scrutin ont été déposés auprès du Conseil d’Etat. En cause: la domiciliation d’Olivier Piton, tête-de-liste UMP-UFE, élu conseiller consulaire fin mai.
Le premier recours, qui vient d’être enregistré par le Conseil d’Etat, vient d’une électrice de Washington, Christiane Juster. Elle accuse M. Piton d’avoir donné une adresse professionnelle pour s’inscrire sur la liste électorale consulaire (LEC) de la circonscription et se porter candidat, alors qu’une adresse de domicile est nécessaire pour figurer sur les listes. Selon elle, M. Piton n’a aucun domicile réel dans la circonscription.
Son recours évoque aussi un “détournement massif de codes de votes ” intervenu lors du vote par Internet. En cause : un message électronique envoyé par la présidente du Club d’Amitié Franco-Internationale, candidate sur la liste UMP-UFE, dans lequel elle invite les membres de l’association à lui envoyer leurs identifiants afin de voter à leur place.
Dans un e-mail, Mme Juster précise qu’elle a déposé ce recours “en tant que citoyenne“. “Je n’étais candidate sur aucune liste“.
Demande de radiation
Le second recours a été déposé par l’ancienne conseillère AFE Christiane Ciccone, qui n’était pas non plus candidate à l’élection consulaire. Dans ce recours, qui vient d’être déposé, elle demande aussi l’annulation de l’élection sur la base de la domiciliation de M. Piton, a-t-elle indiqué à French Morning.
Avant l’élection, Mme Ciccone avait demandé au Tribunal d’instance de Paris la radiation du candidat UMP de la Liste électorale consulaire de Washington au motif qu’il n’avait pas de domicile réel dans la circonscription. Cette demande a été rejetée: le tribunal a estimé que les preuves mises en avant ne suffisaient pas établir que M. Piton n’habitait pas sur place. Mme Ciccone a depuis porté l’affaire en cassation.
M. Piton, qui est également suppléant du député des Français d’Amérique du Nord, Frédéric Lefebvre, n’a pas répondu à notre demande de commentaire. Aux consulaires de mai, sa liste avait obtenu 518 voix et décroché deux des quatre sièges en jeu dans cette circonscription qui regroupe le District de Columbia, le Delaware, le Maryland, la Pennsylvanie et la Virginie. Le Conseil d’Etat devrait mettre trois mois à trancher.
Une Fête de la Musique très classique dans la Silicon Valley
L’Alliance Française de la Silicon Valley lance son premier Festival de musique classique française. Il se tiendra à Mountain View les 20 et 21 juin.
Au programme, huit compositeurs français classiques seront mis à l’honneur : Charles-Valentin Alkan, Ernest Chausson, Gabriel Fauré, Andre Jolive, Darius Milhaud, Edith Piaf, Francis Poulenc et Maurice Ravel. Avec, sur scène, plus d’une vingtaine de musiciens renommés vivant dans la Bay, dont le prodige de violon Stephen Waarts.
C’est Mark Starr, chef d’orchestre vivant dans la région – et marié à la Première Flûte du Conservatoire de Paris de 1970 Isabelle Chapuis, aujourd’hui Première Flûte de l’orchestre de l’Opéra de San José – qui en est à l’origine : « Ça faisait longtemps que je me disais qu’il y avait beaucoup de festivals aux Etats-Unis, mais je n’en connaissais pas sur la musique classique française alors qu’il existe un public important pour cette musique dans notre pays. Sans compter que dans la Baie, la communauté francophone est nombreuse et que les Américains amoureux de musique classique française sont eux aussi très friands d’évènements de ce genre. Alors cet automne, j’ai soumis cette idée à Max Bouchard qui venait de prendre la direction de l’Alliance Française de la Silicon Valley et l’idée l’a tout de suite séduit.»
Le 20 juin, l’Ensemble de San Francisco offrira «Une Soirée Parisienne» et le 21 juin Mark Starr lui-même dirigera «Musique de Chambre Virtuose» avec une vingtaine de musiciens sur scène à la Community School of Music and Arts de Mountain View.
Rad à la conquête des Etats-Unis
La start-up parisienne Rad n’a pas fini de faire parler d’elle. Après avoir conquis l’Europe, c’est au marché américain que s’attaque la plateforme de vente de vêtements et d’accessoires en ligne.
Synonyme de “cool” en anglais, Rad a su, en seulement deux ans, se démarquer de ses concurrents. Son secret ? Le site s’est spécialisé dans la vente de collections éphémères. Aujourd’hui très prisée des hipsters, le site compte 1,5 million d’inscrits en Europe et travaille avec plus de 1.500 marques dans le monde.
“On propose des choses qui sortent de l’ordinaire dans le secteur de la mode”, indique Alexandre Ali, directeur des opérations de la marque.
Des collections renouvelées tous les sept jours, des prix doux et des promotions régulières, voilà les clés du succès de la start-up. “La mode est devenue beaucoup plus ouverte avec Internet et un produit cool peut maintenant devenir un grand classique. La mode est plus que jamais en constante et rapide évolution. Nous ne croyons pas en deux, trois ou quatre collections par an, mais plutôt des centaines d’entre elles”, analyse Alexandre Ali.
Pour avoir accès aux collections, il suffit de créer un compte. L’inscription est gratuite et le système bien connu est attractif : un bon d’achat vous est offert à chaque inscrit que vous dénichez.
Créée il y a deux ans à Paris par quatre copains de fac, la boîte connaît depuis une ascension fulgurante. Avec un capital de départ de seulement 20.000 euros, le site est devenu en peu de temps la référence incontournable du streetwear. “Pendant les six premiers mois, nous n’avons fait aucune dépense marketing. Le site s’est développé sur le principe du bouche à oreille“, explique Alexandre Ali.
En juin 2013, Rad rassemblait 2,5 millions d’euros grâce à une levée de fond menée par Index Ventures, un fonds d’investissement suisse déjà très présent dans le commerce de mode en ligne. Nicolas Santi-Weil, le co-fondateur de la marque de prêt-à-porter française The Kooples a également participé à l’opération.
Il y a un an presque jour pour jour, l’un des fondateurs annonçait au Figaro son ambition de développer la marque aux États-Unis dans les deux prochaines années. C’est avec un peu plus de 300 jours d’avance sur leurs prévisions que la marque s’est lancée à l’assaut du marché américain, il y a quelques semaines.
“On pensait initialement nous concentrer sur l’Europe mais le marché US s’avère très intéressant pour nous. Beaucoup de trafic naturel provenait des US, ce qui confirmait l’attrait pour nos produits avant même qu’on puisse les distribuer” explique Alexandre Ali. “La mode et le streetwear sont nés aux US. Il est donc logique de s’y développer”.
Aux Etats-Unis, Rad veut s’implanter sur un créneau bien rempli. Plusieurs sites de vente de vêtements et d’accessoires existent déjà. Mais la marque arrive avec un atout de taille: “Plusieurs dizaines de milliers” d’inscrits aux Etats-Unis. Alors que son siège social, à Paris, emploie désormais 30 personnes, la marque envisage de se développer physiquement aux États-Unis en y implantant des bureaux.
La "Tony Parker féminine" arrive aux Etats-Unis
Sur les parquets américains, le basket français ne se conjugue pas uniquement au masculin. Les joueuses tricolores s’illustrent également en WNBA, à l’image de la plus emblématique d’entre elles, Céline Dumerc.
A 31 ans et du haut de son mètre soixante-neuf, la capitaine de l’équipe de France vient en effet de s’engager avec la formation du Dream d’Atlanta (après avoir été longtemps en négociations avec les New York Liberty), qu’elle a rejoint sitôt la finale du championnat de France terminée (défaite face à Lattes-Montpellier).
Elue meilleure joueuse européenne en 2012, Céline Dumerc était depuis longtemps convoitée par les franchises américaines, notamment suite au parcours de l’équipe nationale lors des derniers Jeux Olympiques, qui avaient vu les Françaises décrocher la médaille d’argent.
Un résultat qui s’ajoutait à trois podiums successifs (dont une médaille d’or en 2009) lors des trois derniers championnats d’Europe. Son palmarès en clubs plaide également en sa faveur, avec cinq titres de championne de France avec Bourges et deux titres de championne de Russie pour l’équipe d’Ekaterinburg, ainsi que huit coupes nationales.
Surnommée la “Tony Parker féminine”, Dumerc a débuté sous ses nouvelles couleurs mardi dernier, lors d’un match à domicile face aux Los Angeles Sparks, où évolue une autre Française, Sandrine Gruda. Encore en rodage, la capitaine de l’équipe de France n’a pas particulièrement brillé (6 minutes de jeu pour 1 interception et 3 balles perdues), mais la victoire était tout de même à la clé (93-85).
“Je dois encore m’adapter à ce nouvel environnement, confiait-elle après le match. J’ai à peine terminé ma saison en France qu’il faut déjà me lancer dans ce nouveau défi, en tenant compte de nouvelles contraintes, de nouveaux schémas, et du décalage horaire. Mais c’est une belle opportunité qui arrive au bon moment dans ma carrière.”
Et la jeune femme de préciser : “Même si cet été j’ai décidé de rejoindre la WNBA, je ne ferme pas la porte à l’équipe de France, à qui j’ai toujours donné ma priorité. Mais dans la carrière d’une basketteuse, aller vivre une expérience aux USA constitue toujours un plus. Je trouve cela excitant, même si mon but n’est pas d’enchaîner les performances, mais de découvrir une nouvelle forme de basket.“
Un Français chez Ronald McDonald
La Maison Ronald McDonald de New York vous invite à participer à une grande levée de fond en faveur des enfants atteints du cancer.
Sur l’invitation de son président, William T. Sullivan, la Maison ouvrira pour la première fois ses portes au public, qui plus est pour mettre en avant le travail d’un artiste français.
Une série de plus de 35 œuvres de l’artiste-designer Cyril Verdavainne feront l’objet de la vente. Les dernières oeuvres du Français, notamment ses statues monochromes, seront en vente.