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Belles carrosseries au Javits Center

Les amateurs de belles voitures ont rendez-vous à partir du 18 avril au Javits Center pour le sacro-saint Salon international de l’automobile de New York.
Cela fait 22 ans que ça dure. Pendant une semaine, plusieurs milliers de voitures vous attendent. Certains fabriquant profitent de l’évènement pour révéler leurs nouveaux modèles en “avant-première”. Cette année, les fans de Chrysler découvriront notamment la nouvelle Chrysler 200, pas encore commercialisée. Alfa Romeo, qui n’a pas participé à un salon automobile américain en 22 ans, révèlera elle sa nouvelle 4C. Et en l’honneur de ces cinquante printemps, Ford présentera sa Mustang du cinquantenaire, produite à un peu moins de 2.000 exemplaires.
Jusqu’au 27 avril.

6 endroits pour avoir la paix à New York


Ca y est, vous craquez. Vous n’en pouvez plus des New-Yorkais ! C’est normal. Dans une ville de 8 millions d’habitants, souvent les uns sur les autres, il faut de l’air. Heureusement, la ville regorge de petits paradis pour misanthropes. Voici notre sélection. N’oubliez pas d’ajouter vos idées en commentaire !
1. The Garden at St. Luke’s in the Field (West Village)
Un petit jardin, gorgé de verdure, situé au coeur du West Village. La rue est proche et loin à la fois. 487 Hudson Street (et Christopher Street). Site ici
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2. St John the Divine (Harlem)
La cathédrale d’Harlem est tellement grande qu’il y a toujours un endroit où avoir la paix. 1047 Amsterdam Ave (et W110th St). Site ici

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3. Roosevelt Island (Manhattan)
Peu de gens osent s’aventurer sur cette ile entre Manhattan et le Queens, accessible par téléphérique (2dn Ave et 60th St) et par metro via la ligne F (quand elle marche). Tant mieux.
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4. La Little Red Lighthouse à Fort Washington Park (Washington Heights)
Juste à côté de l’Hudson River, ce petit phare au pied du Pont George Washington (nord de Manhattan) est devenu le point de ralliement de tous ceux qui n’en peuvent plus de l’humanité. Fort Washington Park, Hudson River Greenway, New York, NY 10032

5. Morris-Jumel Mansion (Washington Heights)
Ce manoir, le plus vieux de Manhattan, est situé dans le quartier de Washington Heights (nord). On peut le visiter pour 5 dollars. Et profiter de son jardin pour s’échapper. 65 Jumel Terrace, New York – (212) 923-8008 – Site ici

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 6. Queens Museum (Flushing Meadows, Queens)
Point de hordes de touristes ici, mais plein de choses à voir dans ce musée qui met en valeur les travaux d’artistes du Queens. A voir aussi: le panorama géant de New York. Pour contempler la ville… sans les New-Yorkais. Flushing Meadows-Corona Park, Queens. Site ici

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Un Français s'offre la villa la plus chère de Los Angeles

Et vous, que feriez-vous avec 74 millions d’euros, soit 120 millions de dollars? Un Français ne s’est pas posé la question bien longtemps puisqu’il s’est offert la Fleur de Lys Mansion à Los Angeles, en vente depuis 2007. La demeure compte parmi les plus chères des Etats-Unis, selon Forbes.
Mais que ceux qui voudraient se faire inviter réfrènent leurs ardeurs : l’identité de l’acheteur est pour le moment tenue secrète. On sait néanmoins qu’il s’agit d’une transaction record puisque la villa, qui appartenait à la philanthrope Suzanne Saperstein, est la plus chère de la Cité des Anges… Autre information : le mystérieux acheteur a payé “cash”, selon le journal Le Parisien.
Inspirée par le château français de Vaux-le-Vicompte, la demeure se trouve sur la colline de Holmby Hills, non loin de Beverly Hills et Bel Air, toutes trois réputées pour leur chic et leurs villas démesurées habitées par des personnalités célèbres.
Avec un tel nom, « Fleur de Lys », il semble presque logique que la maison soit revenue à un Français, même si la concurrence avec des acheteurs chinois et britanniques fut rude. L’histoire dira comment le richissime français compte profiter de sa nouvelle demeure de 4.000 mètres carrés, comprenant douze chambres, quinze salles de bain, une très grande piscine, une salle de bal et une salle de cinéma, une salle de sport, des courts de tennis ainsi qu’un garage pouvant contenir jusqu’à neuf voitures.

Des films français en plein air à Miami Beach

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Des films français en plein air: c’est le concept de Films on the Beach. Cet évènement totalement gratuit fête sa première édition.
S’inspirant du beau succès qu’a connu le festival de films en plein air “Films on the Green” de New York, il espère attirer les foules. La programmation mise sur la qualité plus que sur la quantité puisque seuls quatre films sont programmés du 17 avril au 15 mai, mettant en avant notamment le chef de file de la Nouvelle Vague française, François Truffaut.
Deux films plus récents seront aussi présentés. Des repas seront servis sur place.
Programmation
17/04 à 20h
« Les 400 coups » (1959)  de François Truffaut
24/04 à 20h
« Jules et Jim » (1962) de François Truffaut
8/05 à 20h
« Une vie de chat » (2010) de Alain Gagnol et Jean-Loup Felicioli
15/05 à 20h
« Le chat du rabbin » (2011) de Joann Sfar et Antoine Delesvaux. Film diffusé le  dans le cadre du Festival du Film Juif de Miami

Patrick Timsit et Thierry Lhermitte, meilleurs ennemis sur scène

“Dès qu’on a lu le livre, on s’est téléphoné avec Patrick et on s’est dit que ce serait génial de se retrouver sur scène pour le jouer, puis quelques années plus tard on nous l’a proposé à tous les deux”. Le destin fait bien les choses pour Thierry Lhermitte et Patrick Timsit.

En 2012, Jean-Marc Dumontet et Laurent Ruquier, les propriétaires du Théâtre Antoine, proposent aux deux hommes de rejoindre la troupe d’acteurs qui vont se relayer tous les mois pour interpréter la pièce “Inconnu à cette adresse”. Parmi ces acteurs, on trouve Jean-Pierre Darroussin, Charles Berling, Franck Dubosc et Michel Boujenah. Le duo accepte sans hésiter.

L’histoire, c’est celle d’une amitié prise dans les tourments de l’Histoire. Martin Schulse (Thierry Lhermitte) et Max Eseinstein (Patrick Timsit) se connaissent de longue date. La montée du nazisme en Allemagne ne va pas être sans conséquence sur leur relation. Au fil de leur correspondance, une distance insupportable s’immisce entre les deux amis (le premier est allemand, le second est juif allemand).“C’est l’histoire de deux amis dont l’un va chavirer, il va être endoctriné. Il n’y a pas de gentil ni de méchant”, résume Timsit.

Entre le 23 et 30 avril, ils exporteront la pièce tour à tour à New York, Los Angeles et San Francisco. “La pièce parle d’amitié et c’est aussi notre amitié avec Thierry qui se joue sur scène” explique un Patrick Timsit très loquace par rapport à son partenaire de scène. “La difficulté a été de trouver le ton entre lecture et interprétation (…) S’il s’agit de lire, il n’y a pas besoin de nous. On ennuie le public. Finalement, il s’agit d’interpréter sans que ça se voit”.

“Ce texte est un bijou absolu et c’est un livre que tout le monde s’offre”, poursuit l’acteur. “À chaque fois qu’on joue, on découvre un nouveau sens aux phrases”.

Très populaire, le roman épistolaire de Kathrine Kressmann Taylor a fait l’objet de plusieurs pièces au théâtre. Pourtant, l’adaptation de Michèle Levy-Bram, la mise en scène de Delphine de Malherbe couplées aux jeux des acteurs ont réussi à faire la différence. Nommée “Meilleure pièce de théâtre” aux Globes de Cristal de 2013, la pièce est également saluée par la critique.

“J’ai demandé à Thierry, tu fais quoi cet été ? Tu ne veux pas qu’on aille au Festival d’Avignon?” se rappelle Patrick Timsit. Le résultat est concluant. Pendant un mois, les deux hommes remplissent le théâtre avignonnais du Chêne Noir. On leur souhaite le même succès aux Etats-Unis.

 
 

Patrick Bosso fait rire New York

Une bonne poilade, avec un bel accent marseillais. Le comique Patrick Bosso s’offre deux dates aux Etats-Unis.
L’humoriste présentera son dernier spectacle “K Marseille” à New York (20 mai à l’Auditorium du NYIT sur Broadway) et Miami (24 mai)… entre deux dates à Barcelonnette et Menton. C’est la première fois que Bosso, qui a joué sur les plus grandes scènes françaises (de l’Olymipa à la Comédie de Paris) et est connu pour ses rôles dans “La fille du Puisatier” ou encore “Qui a tué Pamela Rose?”, s’exporte aux Etats-Unis.
Avec l’accent chantant qui fait sa renommée, le comique, qui s’est tourné vers le one-man show après des cours de théâtre avec Niels Arestrup, évoquera avec tendresse les bons et les mauvais côtés de Marseille, la ville de son enfance. Non sans faire quelques blagues sur ses différents voyages aux Etats-Unis.

Patrick Bosso exporte Marseille à Miami

Une bonne poilade, avec un bel accent marseillais. Le comique Patrick Bosso s’offre deux dates aux Etats-Unis.
L’humoriste présentera son dernier spectacle “K Marseille” à New York (20 mai) et Miami (24 mai au Miami Grand Theater)… entre deux dates à Barcelonnette et Menton. C’est la première fois que Bosso, qui a joué sur les plus grandes scènes françaises (de l’Olymipa à la Comédie de Paris) et est connu pour ses rôles dans “La fille du Puisatier” ou encore “Qui a tué Pamela Rose?”, s’exporte aux Etats-Unis.
Avec l’accent chantant qui fait sa renommée, le comique, qui s’est tourné vers le one-man show après des cours de théâtre avec Niels Arestrup, évoquera avec tendresse les bons et les mauvais côtés de Marseille, qui est aussi la ville de son enfance. Non sans faire quelques allusions à ses différents voyages aux Etats-Unis.

Amplis d'hier au Sonos Studio

Plus rap que dub, Los Angeles ? Sûrement. Mais c’est pourtant à L.A. que le journaliste Seb Carayol a choisi de poser les “sounds systems” de son exposition-hommage à ce courant musical né en Jamaïque.
L’expositon “Hometown Hifi” présente jusqu’au 24 avril les origines du dub en quelques installations dans la galerie de Sonos Studio. Ce courant musical est étroitement lié au “Sound System”, ces énormes sonos empilées qui diffusent du gros son et permettent de grandes fêtes en extérieur.
Seb Carayol veut “faire reconnaitre la culture sound system comme un courant majeur dans la naissance de toutes les musiques urbaines d’aujourd’hui : électro, hip hop , reggae, tout ça vient de la culture sound system tel qu’inventé en Jamaïque”.
Le clou de l’exposition, c’est le sound system sur lequel jouait King Tubby, le maître de la musique dub. Cette pièce de collection a été retrouvée par un Anglais passionné de musique jamaïcaine dans un jardin de Kingston, où elle servait de poulailler.
Des photographies de Beth Lesser, des pochettes de disques dessinées par Limonious, des documentaires et un film montrent l’avant-gardisme graphique et musical de la Jamaïque depuis les années 50. Et les trouvailles géniales de certains artistes.

Une master class avec Claude Lelouch à Colcoa

Claude Lelouch tiendra une « master class » dans le cadre du festival de cinéma français Colcoa, le mercredi 23 avril.
Le réalisateur, oscarisé pour son film «Une homme et une femme» (1966), viendra parler réalisation. La classe suivra la projection de « On t’aime, salaud » (« We love you, you Bastard ») à 13h. La « master class » est gratuite pour les étudiants et professeurs. 
On ne le présente Claude Lelouch. Nominé plusieurs fois pour les plus grandes distinctions du 7e art, lauréat de la Palme d’Or à Cannes, de plusieurs Oscars et d’un Golden Globe (pour “Les Misérables”), Lelouch est l’un des plus grands réalisateurs français aujourd’hui.

A Café Crème, de l'art et des croissants

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Café Crème, la France rencontre Austin. Ce café-pâtisserie vend croissants, espressos et cafés au lait, mais arbore aussi sur ses murs les travaux d’artistes locaux – en ce moment, ceux de l’artiste locale Eya Floyd – et proposera bientôt de la musique.
Cet établissement d’East Oltorf, spécialisé jusqu’à present principalement dans le gros, a été repris par un couple pour le moins international: la Vietnamo-Américaine Sue Duong et le Franco-Américain Cédric Theys, venus de Houston. Les traditionnels muffins, kolaches, cookies et autres roulés à la cannelle sont toujours vendus, mais le couple a voulu apporter une touche artistique au café.

Lui s’est installé à Austin il y a deux ans pour y développer sa maison de disques, Mad Ducks Records – il a d’ailleurs installé son studio son dans une pièce attenante au café. Elle a démissionné de son poste à responsabilité dans la finance pour y concrétiser son rêve : un café-pâtisserie ancré dans un environnement jeune et artistique.
Oltorf, « c’est un quartier qui monte, avec beaucoup d’étudiants et de jeunes actifs. Nous souhaitons participer à y construire un sentiment d’appartenance », commente la nouvelle patronne.
Pour se faire connaitre, le couple organise une première “block party”, le 19 avril, avec plusieurs artistes, dont la violoncelliste Jenuine Cello

« Nous ne cessons de recevoir des retours positifs, affirme Sue Duong. Cela prend du temps de se faire connaître. Mais nous avons déjà des habitués et la fréquentation du Café Crème nous semble prometteuse. »

Tapis rouge pour le cinéma français à Hollywood

Les cinéphiles francophones vont se régaler. Cette année, le prestigieux festival de cinéma français à Hollywood, City Of Light City of Angels (Colcoa) revient du 21 au 28 avril avec pas moins de 61 films au programme, dont 32 longs-métrages.

«C’est le plus gros line-up de Colcoa depuis sa création en 1996», raconte le directeur du festival François Truffart. «L’avantage, c’est que cela nous permet de présenter le plus large éventail possible de films, des blockbusters à la française aux films plus intimistes, de la comédie romantique au film noir ou au drame».

Au programme, entre autre : “Salaud, on t’aime”, le dernier film de Claude Lelouch (avec Johnny Hallyday), sorti sur les écrans en France mercredi dernier, et qui fera l’ouverture de Colcoa lundi prochain. Quelques césarisés dont « Les garçons et Guillaume à table », de Guillaume Galienne, cinq fois récompensé en février dernier et «La Venus à la fourrure » de Roman Polanski, qui a reçu le César du meilleur réalisateur.

A noter également deux gros succès populaires, « Supercondriaque » de Dany Boon (qui sera présent lors du festival) et « 9 mois ferme » d’Albert Dupontel, mais aussi «Casse-tête chinois» de Cédric Klapisch, «Jeune et jolie» de François Ozon, « l’amour est un crime parfait » des frères Larrieu ou encore «Marius, Fanny» de Daniel Auteuil.

La comédie et les nouveautés à l’honneur

Le festival fait cette année la part belle à la comédie et au film romantique, « deux genres en vogue chez les scénaristes français de ces deux ou trois dernières années, estime François Truffart. Les participants pourront ainsi voir “Pas son genre” de Lucas Belvaux ou encore “une rencontre” de Lisa Azuelos avec François Cluzet et Sophie Marceau. “L’avantage pour un public en partie américain comme celui de Colcoa, c’est que ce sont des genres très appréciés et respectés aux Etats-Unis. Nous avons choisi  plusieurs comédies bien écrites, avec des valeurs assez universelles pour pouvoir être appréciées par des Américains ».

Autre nouvelle tendance de cette 18e édition de Colcoa : la présentation de films extrêmement récents, dont certains sortiront en France pendant voire même après le festival. C’est notamment le cas de « Pas son genre »  ou encore du «Dernier diamant » d’Eric Barbier avec Bérénice Bejo et Yvan Attal, présenté en avant-première internationale. Quant au film de clôture de Colcoa, “Une rencontre” de Lisa Azuelos, il sortira dans l’Hexagone le 23 avril, en plein festival.

« Au lieu de devoir attendre une année de plus pour voir les films, cela permet au public d’être au cœur de l’actualité cinématographique française. Par ailleurs, comme Colcoa s’adresse aussi aux professionnels du cinéma, c’est une manière de leur permettre d’anticiper, de repérer certaines pépites, quelques semaines avant le marché du film à Cannes, dont Colcoa est le partenaire depuis cinq ans » note François Truffart.

Depuis près de deux décennies d’existence, Colcoa a petit à petit su gagner en popularité et en notoriété à Hollywood. “Il y a 20.000 places au total, rappelle le directeur du festival. L’année dernière nous en avions vendu 19.500 et je suis à peu près sûr que nous allons exploser ce record cette année !

San Francisco fête les cerisiers en fleurs

Les cerisiers sont en fleurs, mais pas pour longtemps – elles ne restent sur les arbres que quelques jours avant d’être emportées par la brise de printemps. Pour marquer le coup, et célébrer la beauté de la nature, la communauté japonaise de San Francisco organise le Northern California Cherry Blossom Festival.
Chaque année, plus de 200.000 personnes assistent à cette manifestation. Cette année, le festival se déroulera les week-ends du 12-13 et 19-20 avril sur Post Street entre Laguna et Fillmore Street. Vous y retrouverez des stands de nourriture, des spectacles de musique et d’arts martiaux et des  expositions…
Des démonstrations de l’ikebana (arrangement floral), sumi-e (brosse / peinture à l’encre), de calligraphie, bonsaï, origami et fabrication de poupées auront lieu. Sur fond de musique traditionnelle japonaise.
A noter: le dimanche 20 avril, la tenue de la Grande Parade, grand défilé de la communauté nippone. Départ 13h depuis l’hôtel de ville et arrivée dans le quartier japonais.