Amateurs de pétanque, venez découvrir le sport-boules sur la plage de Venice Beach, dimanche 13 avril, avec un professeur de prestige : Lionel Pomiro, détenteur du record américain de tir rapide de sport-boules.
Que cela soit pour s’essayer à la boule lyonnaise ou seulement observer les joueurs et écouter les conseils avisés du champion français “Yo” Pomiro, la journée sera placée sous le signe de la détente. Des concours de photos et du meilleur look sont aussi organisés, avec à la clé de nombreux lots tels que des parfums, des lunettes de soleil ou des sacs de plage. Vos photos et meilleurs looks sont à envoyer jeudi au plus tard à : [email protected]
Gratuit.
Pétanque et pastis à Venice Beach
Le duplex de l'ambassadeur de France à l'ONU officiellement en vente
French Morning vous l’avait annoncé il y a un an, c’est maintenant chose faite: la France a mis en vente la résidence de son ambassadeur auprès des Nations Unies. Mise à prix: 48 millions de dollars.
Décidée dans le cadre d’un plan d’économie au Quai d’Orsay (qui vend également un immeuble qui abrite plusieurs diplomates sur la Cinquième Avenue et 95ème rue), la vente permettrait à la France d’empocher une belle plus-value. Le magnifique duplex avait été acheté en 1979 par la France pour 600,000 dollars de l’époque, aux alentours de deux millions de dollars traduit en dollars constants.
La mise en vente d’un appartement à cette adresse est un petit évènement dans le monde de l’immobilier new-yorkais. L’immeuble, au 740 Park Avenue, souvent surnommé “l’immeuble des milliardaires”, est un des plus prestigieux de Manhattan. On peut y croiser dans l’ascenseur l’industriel David Koch (également financier bien connu du mouvement dit du Tea Party), l’héritier des cosmétiques Estée Lauder, Ronald, l’armateur grec Spyros Niarchos, le patron de hedge fund Stephen Scharzman ou encore la créatrice de mode Vera Wang.
Les annonces des deux agences immobilières qui le proposent à la vente (Sotheby’s International et Brown Harris Stevens) montrent des photos des espaces de réception, un très grand séjour et une salle à manger de quelque 60 mètres carrés, mais rien des appartements privés de l’ambassadeur à l’étage.
Il y a deux ans, un appartement comparable avait été vendu pour 52 millions de dollars. Un autre, à un étage moins noble (2ème et 3ème) est proposé en ce moment à 32,5 millions. Le prix est “donc raisonnable” nous assure un agent immobilier expert du secteur qui explique également que “vue l’excellent santé du marché en ce moment, la vente pourrait très bien aller au-delà de ce prix demandé“.
Le 740 Park Avenue est un “co-op”, ce type de résidence où il faut être accepté par les autres co-propriétaires. Les règles non-écrites de l’immeuble exigent que les candidats acheteurs disposent d’au moins quatre fois la somme en liquide disponible immédiatement. Donc en l’occurrence de 200 millions de dollars. Il faut aussi être prêt à payer les quelque 24.000 dollars de charges mensuelles…
Mais il ne suffit pas d’être -très- riche pour pouvoir prétendre acheter le duplex. Le “board” aime les fortunes colossales mais discrètes. Les milliardaires étrangers, aux fortunes rapides et parfois suspectes n’ont guère de chance d’être acceptés. Pas plus que toute personne dont le “style de vie” est jugé par trop excentrique. Auteur d’un livre consacré à l’immeuble, « 740 Park », le journaliste Michael Gross assure par exemple que Barbara Streisand s’est vu refuser le droit d’acheter un appartement.
L’ambassadeur de France auprès des Nations Unies (actuellement Gérard Araud, qui doit quitter son poste cet été et sera remplacé par Jacques Audibert) ne sera pas pour autant jeté à la rue. Le gouvernement français est en passe d’acheter une nouvelle résidence du côté de l’East River, quartier de Sutton Place, “pour une sommes très inférieure au prix de la vente du 740” nous assure un bon connaisseur de l’immobilier new-yorkais. Contactée par French Morning, la Mission française a refusé de confirmer cette transaction, pas encore finalisée, ou d’indiquer son montant.
Paris Photo de retour à Los Angeles
Paris Photo Los Angeles revient dans la cité des Anges du 25 au 27 avril, pour la plus grande joie des amateurs de photographie. Comme lors de sa première édition en 2013, la foire s’installe dans un des lieux mythiques d’Hollywood: les studios de cinéma de la Paramount.
« Vue la dimension qu’a pris Paris Photo (ndlr : 55 000 visiteurs en 2013), depuis sa création il y a 17 ans, il y avait un vrai besoin de créer un équivalent à l’international », explique Julien Frydman, directeur de l’événement organisé par Reeds Exposition.
« Los Angeles s’est très vite imposée comme une évidence. D’une part parce que le marché new-yorkais est complètement saturé et d’autre part parce que L.A est clairement en train de s’imposer depuis 2 ou 3 ans comme un nouveau centre artistique très dynamique. Pour nous, c’était aussi une manière d’aller au-delà des clichés sur Los Angeles en montrant qu’il y a autre chose derrière l’aspect un peu superficiel des parcs de loisirs et des attractions pour touristes».
Reeds Exposition a d’ailleurs récemment réitéré son intérêt pour le potentiel artistique de Los Angeles en annonçant en janvier la création d’une édition internationale de la Foire Internationale d’Art Contemporain (FIAC), dont la première édition aura lieu l’an prochain, en même temps que Paris Photo, en avril 2015. «A partir de Los Angeles, l’idée est vraiment de parvenir à créer un hub dynamique très bien placé sur la côte ouest, car au carrefour de l’Asie et de l’Amérique du sud » ajoute Julien Frydman.
Cette année, avec 78 exposants venus des quatre coins de la planète (Asie, Amérique, Europe), Paris Photo L.A accueillera des artistes confirmés tout en accordant une place importante aux jeunes talents émergents. « Le but de la foire est aussi de permettre au public de découvrir sans à priori des artistes encore inconnus» rappelle l’organisateur.
Des photos d’archives inédites de la police de L.A
L’un des temps forts de l’édition 2014 de Paris Photo sera le programme Sound and Vision, composé de débats et de projections qui aborderont notamment les différentes pratiques contemporaines liées à l’image. Les intervenants comprendront les conservateurs Walead Beshty, Leigh Ledare, Stephen Shore, Taryn Simon ou encore Jeff Wall mais aussi le nouveau directeur français du MOCA Philippe Vergne.
Cette année, Paris Photo lance aussi un cycle d’expositions intitulé UNEDITED !, consacré à la présentation d’archives photos rares. La première exposition sera consacrée à des photos inédites de la police de Los Angeles, la LAPD, dont les plus anciennes remontent à 1925. Images d’archives, de propagande et de vues de scènes de crimes, « ces photos ont une puissance narrative extraordinaire, à la fois ancrées dans le réel, tout en faisant penser au genre du film noir » note Julien Frydman.
Enfin, plusieurs projections d’un film remasterisé de Dennis Hopper datant de 1971 « The Last Movie », encore jamais montré au public, depuis sa mort en 2010, seront organisées. D’autres événements autour de la photographie auront lieu dans la région de Los Angeles, notamment au Annenberg Space for Photography, au Getty, au Hammer Museum, au LACMA ou encore au MOCA.
Le dressing en or de Vestiaire Collective ouvre aux US
Le printemps arrive, c’est le moment de faire un peu de tri dans votre penderie. Cela tombe bien : depuis le 4 avril, Vestiaire Collective, une start-up française spécialisée dans la vente de vêtements d’occasion, est officiellement lancée aux Etats-Unis.
Le principe est simple : on prend des photos de ses bottes, de sa besace ou de la parka de son fils, les experts de Vestiaire Collective décident s’ils l’acceptent ou non (on ne propose pas son vieux col-roulé H&M – le site est centré sur les marques chics et chères), en fixent le prix, puis le mettent en vente. Quand l’article a trouvé preneur, il ne reste qu’à l’envoyer au QG de Vestiaire Collective à New York, qui effectue un contrôle qualité et une remise en état avant de le faire parvenir à l’acheteur.
Ce modèle en plusieurs étapes a fait le succès de Vestiaire Collective, créé en 2008 à Paris sous le nom Vestiaire de copines. La société, qui emploie désormais une centaine de personnes en France, enregistre un chiffre d’affaires de 23 millions de dollars.
En septembre 2013, elle a effectué une levée de fonds de 20 millions de dollars – de quoi financer son développement à l’international. Le principal investisseur ? Le grand groupe média américain Condé Nast. Un allié précieux pour assurer le bouche-à-oreille au démarrage aux Etats-Unis…
Dans le loft que la start-up loue depuis quelques semaines à Chelsea, dans un ancien bâtiment industriel avec vue sur l’Hudson, tout est prêt pour le lancement. « En France, c’était monté très vite, et on s’attend à la même chose ici », assure, confiant, le Français Adrien Wiesebron, responsable de Vestiaire Collective aux Etats-Unis. Les camions ont la possibilité de débarquer directement les marchandises dans l’immeuble. La chaine de contrôle qualité et les portants n’attendent que les colis de vêtements.
Vont-ils se multiplier ? Aux Etats-Unis, le créneau de vide-dressing d’occasion est déjà bien encombré, avec des sites comme Shop Hers, The Real Real, Thred Up. Plusieurs Français se sont positionnés ce créneau : à Los Angeles, Ambre Dahan a lancé Walk in My Closet en 2013 ; à New York, Marine Soussan-Gouachon et Fanny Chereau ont créé The Social Closet en début d’année. Si certains font florès, d’autres ferment leurs portes. L’année dernière, Eric Gagnaire avait créé Hello La Mode sur ce modèle, et abandonné quelques mois plus tard, faute de traffic suffisant.
Mais cela ne fait pas ciller pas Adrien Wiesebron. « Notre point fort, c’est que nous ne partons pas de rien, et que nous avons le soutien d’investisseurs puissants. Nous avons un catalogue de qualité, très français, avec des marques qui font figure d’autorité dans la mode, ce qui peut nous distinguer des autres. Et puis, notre force, c’est que nous avons une communauté de deux millions de membres, qui interagissent et commentent. » Deux millions de placards, qui dit mieux ?
Chicane : quand Monaco s'invite à SoHo
C’est au 430 Broome Street, en lieu et place de l’Orange Bleue, que le Monegasque Jérôme Solamito a ouvert Chicane.
Il n’a rien laissé au hasard. Baptisé “Chicane” en l’honneur du Grand Prix de Monte-Carlo, le moindre détail a été pensé, et le thème est respecté, du sol au plafond. Le travail qu’il a réalisé de concert avec son designer Christopher Tierney, est impressionnant. Des banquettes en cuir doux aux lustres suspendus par des cordes de voilier, en passant par des couleurs chaleureuses, l’ambiance est sophistiquée. “Je voulais un endroit chic et cool”.
Diplômé de l’EDHEC, Jérôme Solamito comprend rapidement que la finance n’est pas faite pour lui. Il part alors voyager et découvre le Brésil et les États-Unis. En arrivant à New York, il tombe amoureux de la ville. “J’ai toujours aimé la restauration et l’hospitalité“, indique-t-il. Mu par l’envie d’entreprendre, il commence alors à travailler sur le projet d’un restaurant.
“Je n’ai pas seulement cherché à monter un restaurant. L’idée c’est vraiment d’avoir une marque et de la développer à l’échelle internationale“, précise-t-il.
Si l’originalité du restaurant réside dans la touche “French Riviera”, le propriétaire ne souhaitait pas ouvrir un lieu réservé aux expatriés français, bien au contraire : “On a une clientèle très multiculturelle : il y a bien entendu des voisins, les artistes et quelques stars qui viennent régulièrement, mais aussi des touristes, des Français et des Américains“. Orlando Bloom s’est laissé tenter “plusieurs fois“, selon le restaurateur.
La carte propose des plats pour toutes les bourses, de 7 à 32 $. Côté assiette, la cuisine de la côte Est à l’honneur: moules-frites, tartare de thon, des produits de la mer frais. Quelques spécialités font honneur aux origines de Solamito, comme les Barbajuans, la Pissaladière ou la Bouillabaisse. Les végétariens ne sont pas oubliés : gnocchis, gratin de macaroni à la truffe et au potimarron. Pour résumer, une cuisine de qualité, accompagnée d’un large choix de vins – la rédac’ vous recommande le Pouilly-Fuisse, Château Fuisse ‘Tête de Cru’ 2011.
Les Nubians de passage à San Francisco
Une date et une seule! Les princesses françaises du R&B seront en concert à San Francisco.
Munies de leur style unique, les soeurs Faussart, Célia et Hélène, sont attendues de pied ferme par leurs fans au Yoshi’s, le jeudi 24 avril. Le duo réinterprètera les chansons de son album de 2010, Nu Révolution.
Les deux sœurs tchadiennes, parties de rien, ont conquis le cœur des Français et des Américains avec leur style coloré, nourri d’influences diverses. Elles ont été remarquées pour la première fois aux Etats-Unis lors de nomination aux Grammy, pour leur album “Princesses nubiennes” sorti en 1999. Elles demeurent aujourd’hui l’un des groupes français les plus connus aux Etats-Unis.
Jellynote : les geeks du son triomphent à New York
Bouteille de champagne dans une main, Prix dans l’autre, Baptiste Poirier et Adrien Cognée affichent un grand sourire. Et pour cause : ils viennent de remporter le 6ème Prix de l’entreprenariat franco-américain (FAEA), lundi à New York, avec leur start-up Jellynote, une plateforme pour apprentis musiciens.
Depuis sa création en 2008, le prix de l’entreprenariat franco-américain vient donner un beau coup de pouce aux entrepreneurs en herbe. À la clé, un chèque de 10.000 dollars, six mois de coaching avec des professionnels, six mois de loyer à New York pour leur entreprise, et un abonnement au groupe d’entrepreneurs Club 600 ainsi qu’à la Chambre de Commerce franco-américaine de la ville.
Cette année, ils étaient 28 à candidater, un nombre record. Le choix a été rude puisqu’au lieu des trois finalistes initialement prévus, ils étaient quatre à se disputer le Prix, lundi. Outre Jellynote, Jarvis Legal, une app créée pour aider les avocats à organiser leur business-, Sketchfab, une plateforme de partage de fichiers 3D, et Souk, une application de shopping, convoitaient également le prix.
Avant l’annonce du grand gagnant, le public a pu voter pour élire son projet favori. C’est Thomas Devos avec Souk qui a été plébiscité.
Jellynote permet une initiation et un perfectionnement en musique à travers des partitions interactives, classées par titre, difficulté ou instrument. Par un système de reconnaissance sonore, le programme détecte chaque faute que l’utilisateur commet en jouant la partition. A chaque erreur, la musique s’arrête et ne reprend que lorsque l’erreur est rectifiée. À la fin du morceau, un récapitulatif de performance indique comment l’internaute peut s’améliorer.
“On souhaitait créer un service qui rende possible l’apprentissage de la musique de manière ludique et pédagogique”, explique Baptiste Poirier. Accompagné d’Adrien Cognée, 26 ans aussi, ils représentaient tous deux Jellynote lors de la remise du Prix. Le troisième laron, Arthur Lenoir n’était pas présent. La start-up n’est pas encore basée aux Etats-Unis, même si la plupart de ses utilisateurs sont américains.
“Voilà bientôt deux ans qu’on est à temps plein sur le projet, on a quitté nos boulots pour s’y consacrer” explique Adrien. Quant à l’idée, elle est née d’un constat partagé par les trois acolytes : “on est tous les trois musiciens, et on s’est rendu compte qu’il n’y avait pas de programme adapté pour apprendre de nouvelles chansons“.
Les 1,2 million de vues par mois dont se targue Jellynote sont un premier signe du succès qui attend les trois jeunes hommes. On leur souhaite un parcours sans fausse note.
Les Nubians visitent le Texas
Sortez vos calendriers, les Nubians arrivent au Texas le 25 avril. Après un bref tour en Californie, le duo de R&B entame une tournée de trois concerts au Texas.
Les sœurs Faussart, Hélène et Célia, commenceront par Austin, en jouant à l’Empire Control Room à 20 heures (entre 15 et 20 dollars). Le lendemain, le 26 avril, Les Nubians se produiront au Last Concert Café, à Houston. Le spectacle, qui débutera à 20 heures vous coûtera environ 20 dollars et sera ouvert aux mineurs. Les sœurs donneront un dernier concert à Dallas le 27 avril, au Kessler Theater à 19 heures (entrée à partir de $22).
Les fanatiques français de R&B ne seront pas déçus, car le duo mythique viendra promouvoir son album de 2011 Nu Révolution…
Le TGV est sur de bons rails au Texas
Pour la première fois depuis vingt ans, on reparle de train à grande vitesse au Texas. Attentives, les entreprises françaises ne veulent pas avoir un train de retard.
Alors que « près de 50.000 Texans font le trajet entre Houston et Dallas-Fort Worth en empruntant l’autoroute I45 plus d’une fois par semaine », les maires de ces trois villes ont officiellement annoncé leur soutien au projet de ligne à grande vitesse entre les deux premières agglomérations texanes porté par Texas Central Railway la semaine dernière.
Et dans une récente interview au Texas Tribune, le président de Texas Central Railway se montrait confiant dans les chances de son projet à réussir là où le précédent, lancé en 1989, a échoué. «C’est un projet important, qui est là depuis longtemps et qui s’accélère », confirme Jean-François Bonneté, le président du conseil d’administration de la Chambre de commerce franco-américaine de Houston.
Dans un Texas en plein essor démographique, le projet défendu par Texas Central Railway devrait aussi susciter moins d’opposition que par le passé de la part des territoires ruraux de l’Etat. Au début des années 1990, les ruraux s’étaient inquiétés de voir des terres mobilisées par la future ligne sans pour autant bénéficier du nouveau mode de transport. Ils se sont organisés en lobbies anti-TGV aux doux noms de “DERAIL” ou “Citizens Against the Bullet Train” qui ont grandement contribué à faire capoter le premier projet de TGV texan, rappelle le Texas Tribune…
Pour le magazine, il était « optimiste » de prévoir, comme l’avait fait Texas TGV il y a vingt ans, que le train à grande vitesse s’avérerait d’une utilité telle que la loi fédérale sur le financement des infrastructures serait assouplie afin de lui permettre de voir le jour. C’est ainsi que l’objectif de neuf millions de voyageurs annuels entre Dallas-Fort Worth, Houston et San Antonio d’ici à 2014 est devenu un mirage. Et que la technologie du Shinkansen japonais a pris l’avantage sur celle du TGV conçu en France par Alstom.
Implication française
Texas Central Railway est partenaire de la Central Japan Railway Company et « les Japonais ont fait beaucoup de lobbying ces dernières années », reconnaît Jean-François Bonneté. Mais « une délégation de la Chambre de commerce franco-américaine de Houston a emmené le vice-maire de Houston, Edward Gonzalez, visiter à Poitiers, dans le cadre de la convention d’échanges économiques passée entre la Chambre et le Département de la Ville, la finalisation du tronçon de ligne à grande vitesse qui mettra Bordeaux à deux heures de Paris.
“Nous allons rencontrer le président de Texas Central Railway pour vérifier si la technologie du Shinkansen est définitivement reconnue. Et nous sommes en train de monter la visite d’une délégation française au Texas avec tous nos acteurs clés en juin », signale le responsable économique.
Car même si Alstom ne parvient pas à se repositionner au Texas, « il y a tous les autres aspects du projet qui concernent des entreprises comme Vinci, exploitant déjà d’importantes infrastructures dans l’Ohio, ou Sisdra, qui mène des études préliminaires à la construction de lignes ferroviaires », souligne Jean-François Bonneté. Dans la bataille du train à grande vitesse texan, les Français ne s’avouent pas vaincus.
Dominique Ansel contre-attaque, se prend pour Rocky
Dominique Ansel ne sait pas que faire des cronuts. Il est aussi doué en communication. Fermée, vendredi, par le Département de la Santé new-yorkais en raison de la présence de souris, la Dominique Ansel Bakery rouvre ses portes ce mardi matin, 8h, et le fait savoir.
Le pâtissier et son équipe ont posté, lundi, une photo sur Facebook dans laquelle on les voit lever le poing en signe de victoire et arborer un ruban rouge autour du front. Allusion non feinte au boxeur Rocky.
Une souris avait été filmée par un client dans les locaux de l’établissement et avait fait le tour du web, jeudi, déclenchant une inspection des services sanitaires. C’est la deuxième fois que la pâtisserie de SoHo est épinglée pour violation du code sanitaire.
Lire: une souris fait fermer Dominique Ansel
Dans un message posté par la pâtisserie, l’entrepreneur explique qu’il est victime de son succès. “Depuis l’an dernier, nous nous levons tous les jours en sachant que notre succès nous a rendus vulnérables à plus d’attaques malicieuses que n’importe quel autre petit commerce, peut-on lire. Mais nous refusons de penser que nous vivons dans un monde où le succès nous a transformé en cible de méchanceté et de mépris“.
Mardi, Dominique Ansel Bakery servira des cronuts inspirés de “Rocky”. De l’art de transformer une crise en opportunité marketing…
Phoenix et The Strokes au Governors Ball
Le Governors ball Music Festival revient avec une programmation des plus alléchantes ! Lancé en 2011, il est connu pour proposer un large éventail de genres et de styles de musique, du rock à l’électro en passant par le hip-hop, l’indie, la pop ou encore la folk.
Voici un aperçu de ce qui vous attend, côté musique les 6,7 et 8 juin. Beaucoup d’autres artistes sont attendus!
Vendredi 6 juin :
Les Frenchies du groupe Phoenix ouvriront le bal. L’électro-pop de La Roux, la soul de Janelle Monáe et le folk de Jenny Lewis donneront à la programmation une tonalité éclectique.
Samedi 7 juin :
The Strokes, le célèbre groupe de rock américain sont incontestablement la tête d’affiche de ce deuxième jour de festival . Broken Bells, un autre groupe de rock américain se produira le même jour. L’électro sera de la partie avec le duo britannique qui cartonne en ce moment, Disclosure, et le Californien Skrillex.
Dimanche 8 juin :
L’électropop d’Empire of the Sun viendra fermer le festival en beauté. L’indie pop de Foster the People et la pop américaine de Vampire Weekend seront également de la partie. Une belle clôture en perspective !
Bénissez votre animal sur Olvera Street
Si vous croisez une procession d’animaux, dirigée par une vache décorée de fleurs, samedi 17 avril dans les rues de Los Angeles, ne soyez pas étonnés. Nous vous encourageons même à participer au rituel en amenant votre animal de compagnie.
Depuis 1930, c’est la tradition. Chaque samedi avant Pâques, un cortège d’animaux, divers et variés, serpente vers le bas d’une des plus anciennes rues de Los Angeles, où chaque animal est ensuite béni.
Rendez-vous avec votre animal au Plaza sur Olvera Street. N’ayez crainte, nulle obligation d’avoir un animal de compagnie pour assister au spectacle. Pour les enfants, c’est d’ailleurs une véritable aubaine, la chance d’apprécier un zoo pas comme les autres et de faire des promenades à poney gratuitement. Cette tradition est observée depuis 1930.