Cet événement a été annulé
Les poèmes de Gertrud Kolmar, née à Berlin en 1894, seront mis en musique par deux artistes québécois : la soprano Pascale Beaudin et le pianiste Olivier Godin le 27 mars au National Arts Club de New York.
La poétesse allemande, issue d’une famille juive assimilée, a étudié à l’Université de Dijon, dont elle ressort, après la Première Guerre mondiale, avec un diplôme d’enseignante. Déportée puis assassinée à Auschwitz en 1943, ses poèmes seront sauvés grâce à la correspondance qu’elle entretient avec sa soeur.
Pascale Beaudin a fait ses classes à l’Opéra de Montréal en incarnant Zelina de l’opéra “Don Giovanni” (composé par Wolfgang Amadeus Mozart) et Oscar dans “Un ballo in maschera” (de Giuseppe Verdi). Elle se produit par la suite en Europe dans des opéras de Rossini, Haydn et Menotti.
Olivier Godin est le directeur de l’atelier d’opéra du Conservatoire de musique de Montréal. Pianiste accompli, son répertoire comprend les classiques de Claude Debussy, Francis Poulenc et des compositeurs québécois comme Raoul Sosa, Raymond Daveluy et Rachel Laurin.
La performance est mise en scène par Mathieu Guertin.
Hommage québécois à la poétesse allemande Gertrud Kolmar
"The Parisianer": la Une du "New Yorker" à la sauce parisienne
Croquer Paris tout en rendant hommage aux couvertures du célèbre hebdomadaire new-yorkais, voici le pari que se sont lancé deux jeunes illustrateurs français, Aurélie Pollet et Michael Prigent.
Les deux complices ont rassemblé autour d’eux une centaine de dessinateurs. Chaque artiste a eu carte blanche, invité avec son propre univers à exprimer une image de Paris, vécue ou rêvée. Ils ont ainsi inventé « leur » couverture d’un magazine imaginaire, « The Parisianer », en partageant chacun une version originale de la capitale française.
« On avait envie de faire un grand projet, rassemblant les talents émergents de l’illustration. Nous les avons accompagnés pour éviter des répétitions dans les thèmes abordés. Nous leur avons demandé un croquis préparatoire pour être sûrs qu’ils traiteraient leur image avec finesse, et ne répondraient pas par des clichés. L’idée était de dévoiler un Paris subjectif, qui surprenne, mais fasse complètement sens pour le spectateur» raconte Michael Prigent.
Tout y est : le métro, les pigeons, les graffitis, la Tour Eiffel, les Parisiens grognons, les parapluies. Virginie Morgand, une des illustratrices, qui a imaginé une foule dans le métro pour sa couverture, raconte : « J’aime le côté labyrinthique des métros. Même si des gens se croisent en l’espace de quelques secondes, il y a toujours pour moi des interactions entre eux, des actes manqués, des regards. C’est ce qui fait Paris. J’utilise souvent la technique de la sérigraphie dans mes projets, j’ai voulu gardé un univers très coloré même dans un décor qui peut paraître gris”.
A l’aide d’un site de crowdfunding, Michael Prigent et Aurélie Pollet ont levé les fonds nécessaires à l’édition d’un ouvrage unique. Un livre rassemblant ces dessins est sorti ce vendredi 14 mars en France, tiré à 700 exemplaires, une co-édition entre La Lettre P, les créateurs du concept, et les Éditions Michel Lagarde.
On y découvre un Parisien enfermé dans une boule à neige, une colonne de Buren découpée tel un arbre, la tour Eiffel est tour à tour électrique ou sculptée en allumettes, le métro se transforme en piscine ou encore les danseuses du Moulin Rouge portent des coiffes directement inspirées de Marge Simpson. En feuilletant les 96 pages illustrées, on re-découvre un Paris avec un regard curieux et décalé.
Un projet de longue date qui prend vie pour Michael Prigent et Aurélie Pollet : « Les couvertures du New Yorker sont une référence en tant qu’illustrateur. D’un point de vue éditorial, c’est un magazine qui a offert sa plus belle et importante page à l’illustration, et ce, depuis près d’un siècle. Leur sélection est très exigeante, les images sont toutes justes, fortes, inspirantes, touchantes. Elles expriment parfaitement la ville, un détail au coeur du tumulte. La France y a été à l’honneur, avec des dessinateurs tels que Sempé ou Loustal ».
Outre la sortie de l’ouvrage, une exposition a déjà eu lieu à Paris, à la Cité internationale des Arts en décembre dernier. Objectif aujourd’hui: continuer à faire vivre cette aventure. « Nous sommes en train d’imaginer la suite. Faire voyager le projet, montrer ces images à un public international, organiser des expos à l’étranger, aux Etats unis, en Asie ».
Les poèmes métalliques de Fabienne Cuter
Fabienne Cuter, l’artiste sculptrice et peintre française, exposera ses oeuvres à Chelsea 27, à New York, du 10 mars au 12 avril.
Son œuvre allie photographie, sculpture, peinture, encaustique et gravure. “On me dit que ça ressemble à des daguerréotypes, que c’est assez différent de ce qu’on voit d’habitude“, raconte-t-elle.
Artiste depuis le début des années 2000, sa formation scientifique l’a poussée à développer son propre processus créatif. “Je collectionne des composants technologiques et je créé des sculptures avec“, explique Fabienne Cuter. Après cette première phase, elle photographie ses oeuvres, et ses images sont ensuite imprimées sur de l’acier brossé. “Les objets photographies retrouvent leur qualité métallique et il est difficile de dire s’ils sont encore la devant nos yeux ou si ce n’est que leur image”.
“L’idée c’est de faire de la poésie avec de la technologie”. L’exposition baptisée “Steel Life” présentera sa série “Metallic poems” qui fait partie d’un ensemble plus vaste d’ objets photographiques réalisés sur différents supports : inox, aluminium, boîtes métalliques. Cette série “flotte malgré la lourdeur du support d’acier inoxydable et des éléments technologiques métalliques“.
“J’assemble des composants technologiques dans l’unique but de capturer leur image et les donner a voir de manière différente, poétique, explique l’artiste. Je cherche à représenter la légèreté, la fragilité, l’évanescence, le moment où l’on bascule dans le futur”.
Robert Charlebois, un magicien des mots à Los Angeles
Le chanteur Robert Charlebois vient entonner ses plus grands succès au Théâtre Raymond Kabbaz de Los Angeles le 24 mars dans un spectacle intitulé «Avec tambour ni trompette».
Très populaire au Québec, d’où il est originaire, le chanteur se produira sur scène en compagnie de trois musiciens et fera revivre ses classiques tels « Vivre en ce pays » ou « J’t’aime comme un fou », mais aussi des succès plus récents. Amateurs de jeux de mots et de paroles comiques, Robert Charlebois a plus de 40 ans de carrière derrière lui et a déjà joué dans les salles de spectacle les plus renommées.
C’est en 1962, alors qu’il n’a pas 20 ans, que ce Montréalais d’origine fait ses débuts sur scène. Il enchaîne rapidement les succès (“C’est pour ça”, “Marie Noël” et “Demain l’hiver” entre autres) et recevra de nombreux prix pour sa contribution au monde de la musique, dont la Médaille d’or des Olympiades de la chanson en 1973.
Un camp d'été sur la francophonie à Miami
L’association Education Francaise Floride- France Miami (EFF), qui fait la promotion de la langue française dans l’Etat, organise son Summer camp du 9 juin au 3 juillet pour les enfants âgés de 4 à 14 ans. Les inscriptions sont ouvertes.
EFF s’engage à faire passer à vos enfants un été inoubliable grâce à des jeux, des cours de cuisine et de yoga, des classes de français ou de culture générale. Ces activités seront toutes en lien avec différentes parties du monde concernées par la francophonie.
Deux sessions auront lieu: du 9 juin au 20 juin, sur l’Afrique et le Canada; du 23 juin au 3 juillet, sur les Caraïbes, Thaiti et la Nouvelle Calédonie. Le camp aura lieu à la Downtown Miami Charter School.
Facefeed, un chatroulette de "selfies"
C’est à la fois un fil de “selfies” d’inconnus, un site pour faire des rencontres, et un cruel palmarès de popularité. Facefeed, la nouvelle application mobile (iOS) lancée fin février par le Français Benjamin Broca, permet de faire défiler des photos de personnes au hasard, avec qui l’on peut entrer en contact en privé. Chacun est aussi classé, selon son taux d’interaction avec la communauté.
“L’idée, c’est de permettre des conversations avec des gens très divers. C’est assez casual. Pour le moment, les gens accrochent. En deux semaines, 500 000 selfies ont été envoyées sur Facefeed”, raconte l’ingénieur de 28 ans, qui a installé sa petite start-up, Now Labs, dans un espace de co-working branché du Lower East Side.
Autre originalité : il n’est pas possible de modifier ou reprendre sa photo, envoyée directement sur le fil. “La plupart de ces portrait auraient été effacés. Les gens font parfois de sales têtes, les photos sont cadrées bizarrement. C’est une esthétique très authentique”, assure Benjamin Broca. Et lorsqu’on lui demande si son application n’est pas la proie de dérives en tout genre, à l’instar du site chatroulette, il répond qu’il a eu occasionnellement quelques “problèmes” mais qu’une équipe s’occupe de les endiguer.
Où cette application le mènera ? Comment sera-t-elle monétisée ? Chaque chose en son temps, et Benjamin Broca, avec son allure de hipster à barbe heureux, trace sa route en s’amusant. Coté financement, il a de quoi envisager les prochains mois sereinement. Cet ex-étudiant de Centrale et de Columbia, qui travaillé deux ans dans le trading chez Barclays Capital, à New York, a effectué une levée de fonds de 1 million de dollars en décembre 2013. Pas pour Facefeed, mais pour Context, une application de photo-messaging qu’il a lancée en septembre 2013. Six mois après son lancement, il reconnait que Context marche, mais n’est pas un succès massif. “Par contre, nous avons des utilisateurs bien implantés dans le milieu tech. Mark Zuckerberg s’est mis dessus, et pas mal de gens de Airbnb”.
En 2012, Benjamin Broca a aussi créé une autre “app”, Now, celle qui l’a incité à troquer le costume de banquier pour le jean-basket du patron de start-up. Disponible sur iOS, elle permet de découvrir des évènements autour de soi grâce aux données d’Instagram. “Now a bien décollé, j’ai 150 000 téléchargements. Mais je ne vois pas de business model clair pour le moment, il faudrait passer au stade d’après”, glisse-t-il.
Avec Facefeed, sa petite société, qui compte 4 employés, espère faire le carton attendu. Sinon, Benjamin Broca sortira une autre idée de sa casquette.
Gagnez des places pour Sabina Sciubba à New York
La chanteuse italienne Sabina Sciubba viendra présenter son premier opus solo « Toujours » au Highline Ballroom le 20 mars.
Seul membre féminin du groupe de musique electro new-yorkais Brazilian Girls, la belle vole désormais de ses propres ailes. Celle qui avoue que son mot préféré est « oui » viendra chanter ses titres écrits en français, allemand et italien (trois langues qu’elle maîtrise parfaitement) sur un mélange de bossa nova, d’electro et de pop.
Pour gagner des places pour le concert de Sabina Sciubba, remplissez ce formulaire. Les trois premières adresses se verront offrir deux places chacune pour la soirée.
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Sarkozy, plus fort que Julie Gayet
Revue de presse. Sarkozy en incontournable en France. C’est le New York Times qui le dit dans un article “Out of office, Sarkozy is still front and center“, paru le week-end dernier.
Le quotidien revient sur les affaires qui entourent l’ancien chef de l’Etat. Les enregistrements secrets de son conseiller de l’ombre Patrick Buisson, le financement supposé de sa campagne électorale par Kadhafi…: les déboires de Nicolas Sarkozy ont réussi un petit miracle, celui de faire oublier l’affaire Hollande-Gayet. « Les Français ne semblent plus s’intéresser à la vie privée de leur président, si tant est qu’ils s’y soient intéressés un jour. Les scandales entourant Nicolas Sarkozy font maintenant les beaux jours de la presse ».
L’article revient en détail sur ces différentes affaires ainsi que celle dans laquelle est impliqué Jean-François Copé, qui aurait, selon le magazine Le Point, confié des contrats à des sociétés gérées par des amis pour organiser des meetings politiques de M. Sarkozy en 2012. D’un coût de 11 millions de dollars, la facture aurait été en partie payée par le contribuable.
Contrairement à ce que pourrait laisser croire l’accumulation de ces scandales politiques, le New York Times précise que la droite n’est pas la seule mouillée aux yeux de l’opinion: le gouvernement aussi en prend pour son grade. “A travers une série bizarre de faux-pas gouvernementaux, (ces affaires) se sont transformées en crise autant pour M. Hollande que pour M. Sarkozy“. Le journal fait notamment allusion à la défense contre-productive de Christiane Taubira. La ministre de la justice a tenu une conférence de presse dans laquelle elle a affirmé ne pas avoir été mise au courant du contenu des écoutes dont M. Sarkozy a fait l’objet dans le cadre de l’affaire Kadhafi. Pendant la conférence, elle a brandi des documents… qui suggéraient le contraire.
Le Times termine son article en citant un éditorial du Monde, accablant pour la classe politique française. “Beaucoup de Français doutent déjà du sens de l’intérêt public de leur classe politique (…) Ces nouveaux développements peuvent seulement renforcer leur méfiance et dégoût, majorité et opposition vont en payer le prix“.
Paris, ville de l’amour et des start up
USA Today revient sur la relation entre la capitale française et la technologie, dans un article au titre tout en finesse : « Paris is for lovers of… Startups! ». Le journaliste est enthousiaste quant au rôle que pourrait jouer la ville à l’avenir. « Des entreprises digitales comme Skype, Spotify et SoundCloud ont déjà prouvé que l’Europe était le terrain de jeux de technologies prometteuses, mais est-ce que la ville des amoureux pourrait devenir son coeur? ».
Paris héberge pour le moment des entreprises qui marchent plutôt bien comme Dailymotion, Deezer ou encore Critéo. Et dans leur sillon, il y a de plus en plus de petites d’entreprises à l’avenir prometteur. « Personne ne se doute que celles-ci sont ‘Made in France’ malgré le fait qu’elles partagent toutes un style artistique français distinctif ». C’est justement cette relation à l’art que l’auteur met en avant. « L’esprit artistique est devenu un ingrédient essentiel pour avoir du succès dans le business high tech, partout dans le monde et à Paris ».
Mais si la ville attire autant les entrepreneurs, c’est parce qu’elle a des arguments de choc. « Il n’y a pas si longtemps, les futurs créateurs de start up devaient travailler dans des cafés. Aujourd’hui, ils peuvent investir (un espace) de co-working. Certains de ces espaces sont mis à disposition gratuitement, alors que d’autres sont gérés de façon collective ou appartiennent à des acteurs privés ».
Des espaces très utiles qui créent des liens entre les entrepreneurs qui recherchent la même chose. Et même si l’auteur reconnaît que certaines choses ne changeront jamais à Paris ( « like the strong espresso »), il affirme qu’une nouvelle « génération d’entrepreneurs est prête à changer les choses et à venir titiller le statu quo dans ce business afin de transformer la Ville Lumière en un géant dans le domaine des start up ».
Guerre des escargots
On finit cette revue de presse par un tour en Bretagne, à Cancale, où certains visionnaires s’emploient à faire des berlingots de mer, vus par les locaux comme une plaie contaminant les côtes, un ingrédient culinaire plébiscité.
Le New York Times s’intéresse à cet étrange challenge que s’est lancé un entrepreneur breton et qui ne semble pas si fou que cela. « La communauté de Cancale se retrouve déchirée entre le dégoût et le soulagement concernant le projet de Pierrick Clément de pêcher et vendre les escargots de mer pour la consommation ».
Même si à première vue les bestioles sont peu ragoûtantes, ce dernier « compte bien vendre ces escargots prioritairement aux marchés américain, japonais et chinois où elles ont une bien moins mauvaise réputation qu’en France ».
Elections consulaires: toutes les listes aux Etats-Unis
Les élections consulaires se tiendront dès le 14 mai (vote par Internet) – le vote à l’urne aura lieu le 24 mai.
Le scrutin permettra l’élection de conseillers consulaires auprès de chaque consulat, selon un scrutin de liste à la proportionnelle. Les conseillers seront notamment chargés de formuler des avis sur les questions consulaires ou d’intérêt général (culturel, éducatif, économique et social) concernant les Français établis dans la circonscription.
Voici les listes dans les neuf circonscriptions consulaires aux Etats-Unis:
Atlanta
Boston
Chicago
Houston-Nouvelle Orléans
Los Angeles
Miami
New York
San Francisco
Washington
Elections consulaires: les listes à Miami
Les élections consulaires se tiendront dès le 14 mai (vote par Internet) – le vote à l’urne aura lieu le 24 mai . Le scrutin permettra l’élection de conseillers consulaires auprès de chaque consulat, selon un scrutin de liste à la proportionnelle. Les conseillers seront notamment chargés de formuler des avis sur les questions consulaires ou d’intérêt général (culturel, éducatif, économique et social) concernant les Français établis dans la circonscription.
Voici les listes dans la circonscription consulaire de Miami:
A – Liste « France Floride 2014. Liste d’Union Droite Centre et Indépendants soutenue par l’UMP et l’UFE »
1. Tête de liste : M. Jacques BRION
2. Mme Nicole CROIZIER épouse HIRSH
3. M. Xavier, Olivier, Marcel CAPDEVIELLE
4. Mme Chantal, Marie, Aline FIRINO MARTELL épouse HERVADA
5. M. Matthieu, Claude, Robert BERGERAULT
6. Mme Brigitte, Inès LISCIA épouse BEN ICHAY
7. M. Olivier, Pierre, Marie SUREAU
B – Liste « Français d’Amérique Ensemble. Liste conduite par Franck BONDRILLE »
1. Tête de liste : M. Franck, Jean, Marcel BONDRILLE
2. Mme Sophie, Madeleine, Esther BENMOUSSA épouse RINDLER
3. M. Benoît DUVERNEUIL
4. Mme Alexandra KADOUCHE épouse FOURNEL
5. M. Patrick, Jean, Martin GIMENEZ
6. Mme Clelia, Marie, Elizabeth CATALANO épouse MAUFROY
7. M. Laurent, Romuald CARAVEL
C – Liste « Français du Monde, Solidaires en Floride »
1. Tête de liste : Mme Claire DABIS épouse FRANCOULON
2. M. Frédéric, Michel, Serge BERNERD
3. Mme Myriam KARA
4. M. Olivier, Eric ERIN
5. Mme Emmanuelle, Sandrine ORSI
6. M. Patrick CROZE
7. Mme Jillian, Janis, Angéla AGOT épouse ERIN
Le 20 mars, c'est Macaron Day !
Depuis 2010, c’est un des jours préférés des gourmands : le Macaron Day ! Créée par François Payard, chef et propriétaire du FP Pâtisserie et François Payard Bakery à New York, le Macaron Day NYC est inspirée par le “Jour du Macaron à Paris”, initiée par la Maison Pierre Hermé. Les deux manifestations ont lieu le même jour.
Le jeudi 20 mars, n’hésitez pas. Consultez la Macaron Map et organisez votre itinéraire. N’oubliez pas : en arrivant au comptoir, dîtes que vous êtes là pour la Macaron Day afin de profiter de macarons gratuits !
Dans de nombreux endroits participants, une partie des ventes de la journée sera reversée à l’association de secours alimentaire new-yorkaises City Harvest.
Le camp Tékakwitha : un été de plaisir en français
Article partenaire. Trésor caché situé à Leeds dans l’Etat du Maine, le camp Tékakwitha a été fondé en 1938 par des pères dominicains aux abords du magnifique lac Androscoggin.
Alors destiné aux enfants de travailleurs francophones gagnant leur vie dans les usines de textile environnantes, l’endroit accueille aujourd’hui des jeunes des quatre coins du globe, la plupart du Québec. On y trouve toutefois chaque année un contingent important d’américains francophones.
Bien que la majorité des campeurs y passent quatre semaines, le camp offre la possibilité aux 8 à 10 ans de choisir un séjour plus court de deux semaines. Mais rares sont ceux qui optent pour cette durée écourtée après avoir goûté à tout ce que le camp Tékakwitha a à offrir !
Riche de plus de 75 ans d’histoire et de traditions, le camp Tékakwitha propose aux jeunes qui y séjournent des activités axées sur la croissance personnelle et la vie de groupe via un contact constant avec la nature. La grandeur du site, la qualité des installations et la proximité du lac permettent d’ailleurs une étonnante variété d’activités : soccer, basketball, tir à l’arc, escalade, hébertisme, baignade, kayak, bateau à voile, quai flottant… Impossible de ne pas y trouver son compte !
Mais si ces activités garnissent déjà admirablement les journées des campeurs, ce sont les activités spéciales qui donnent toute sa saveur au camp Tékakwitha. Parmi celles-ci, notons des grands jeux thématiques, des expéditions en forêt ou en montagne, des olympiades et même une journée à la mer. Le tout orchestré par une équipe de membres du personnel dynamique et compétente, composée en grande partie d’anciens campeurs.
Le camp Tékakwitha se démarque également par la qualité de son programme pour les adolescents de 14 à 16 ans, programme centré essentiellement sur un séjour de randonnée sur la piste des Appalaches. D’une durée de 8 à 17 jours, cette expérience de marche en nature est précédée d’une préparation mentale et matérielle rigoureuse. Au bout de trois étés, les adolescents “tékakwithiens” auront parcouru les plus de 450 km qui composent la section du Maine de ce sentier mythique.
Avec un tel éventail d’activités, il n’est pas étonnant que, bon an, mal an, plus de 75 % des jeunes ayant séjourné au camp reviennent la saison suivante. Parce qu’ils savent qu’à chaque fois, ils seront accueillis à bras ouverts par une équipe dévouée, alimentée par le désir de leur offrir « un été de plaisir, une vie pour s’en souvenir. »