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Expatriation : les Etats-Unis, destination chérie des Français

Les Français rêvent toujours d’Amérique. Les Etats-Unis arrivent en tête des destinations préférées pour une éventuelle expatriation, d’après un sondage Ipsos réalisé pour la Banque Transatlantique, rendu public le 3 avril. Viennent ensuite le Canada, l’Australie, l’Espagne, et la Grande-Bretagne,
Autre enseignement intéressant : les Français sont de plus en plus nombreux à rêver de faire leurs valises.  Un sondé sur cinq (21%) aimerait s’expatrier, « pour un temps plus ou moins long ». Cette proportion atteint même des sommets chez les jeunes : 43% chez les 18-24 ans et 33% des 25-34 ans. L’étude Ipsos montre aussi que ce sont les diplômés du supérieur et les cadres qui sont les plus tentés par l’aventure.
Ce désir d’ailleurs se nourrit de motivations diverses : trouver un travail (la raison numéro un, citée par 60% des sondés), s’ouvrir à d’autres cultures, améliorer son niveau en langues étrangères…. En outre, 38% des sondés espèrent, en partant, obtenir un salaire plus important qu’en France.
Les raisons fiscales ne sont citées que par un quart des sondés. De même, cette envie d’expatriation n’est pas envisagée comme un exil sans retour. Moins d’une personne sur trois prévoit un départ définitif.

Houston Accueil chante dans un salon

Qu’il est agréable d’écouter de la musique classique dans un salon ! Ca tombe bien, Sabine Juery,  Française de Houston, ouvre une fois de plus son salon au public. Cette fois, c’est pour un concert de l’atelier de musique de chambre de Houston Accueil! Allez les applaudir le samedi 27 avril.
Animé par Tiziana de Carolis, le 1er jeudi de chaque mois, cet atelier rassemble des musiciens amateurs et professionnels. Italienne de naissance, française d’adoption et actuellement résidente au Texas, Tiziana de Carolis  a gagné de nombreux concours nationaux et internationaux et a notamment remportée le Premier Prix de Piano du Conservatoire National de Musique “N. Piccinni” de Bari -Italie.
Le concert se tiendra à 15h, chez Sabine Juery. La pianiste encadrera trois autres musiciens. Vous pourrez entendre chant, violon et piano à travers un  programme varié:  “My Funny Valentine”, “September Song”, “Come to the moon”, “Speak Low” seront quelques-uns des morceaux interprétés en duo piano-voix.
 

Une conférence sur l'un des meilleurs hôpitaux des US

La Chambre de commerce franco-américaine de Houston organise une conférence sur la médecine avec, en invité, le Dr Marc Boom, directeur général de l’hôpital méthodiste de Houston, régulièrement classé comme l’un des meilleurs hôpitaux du pays par la revue « U.S. News and World Report ».

Ayant pour thème « Methodist Hospital and Medical Services, Today and Tomorrow », cette conférence aura lieu le 9 avril au Houston Country Club. En 2012, le Dr Boom, ainsi que sa femme, la pédiatre Julie Boom, ont été récompensés par le « Good Samaritan Award » remis par l’Interface Samaritan Couseling Centers. Le Dr Marc Boom est diplômé de l’Université du Texas à Austin, du Baylor College of Medecine et de la prestigieuse Wharton School de l’Université de Pennsylvanie.

Le San Francisco Ballet rend hommage à Saint-Saëns

Le San Francisco Ballet (SFB) revient avec « Triple-Bill », un programme dans lequel figure la première mondiale de « Caprice », une oeuvre utilisant la « Symphonie n°3 » du compositeur français Camille de Saint Saëns.

A 80 ans, en 1906, Camille de Saint Saëns (1835-1921) effectuait sa première tournée aux Etats-Unis, elle fut auréolée de succès. Plus de cent ans après, sa musique est encore présente de ce côté-ci de l’Atlantique et sert de base à « Caprice », une création du Ballet de San Francisco chorégraphiée par Helgi Tomasson, qui en est le directeur artistique.

Les représentations de “Caprice” ont lieu du 4 au 15 avril, et sont accompagnées de « Maelstrom », un ballet chorégraphié par Mark Morris sur une musique de Ludwig van Beethoven et « The Rite of the Spring », le chef d’oeuvre d’Igor Stravinsky dont la chorégraphie a été créée par Yuri Possokhov, ancienne étoile du Bolchoï.

Yoga au Consulat

Venez vous détendre pour célébrer la journée internationale du sport pour le développement et la paix dans un lieu improbable: le Consulat général de France à New York.
Deux cours de yoga de 60 minutes sont organisés, dimanche 6 avril, pour la somme de 5 dollars.  Le premier aura lieu 11h, le second à 13h. Vingt-cinq places seulement par séance sont disponibles, dépêchez-vous!
N’oubliez pas d’apporter votre propre tapis de yoga, et de noter que le Consulat ne dispose ni de vestiaires, ni de douches.

Aux US, Carla Bruni-Sarkozy en chanteuse "normale"

Pas la peine de prolonger notre conversation sur le sujet!” Le ton de Carla Bruni-Sarkozy change subitement. Elle se tend, nous invite à ne pas perdre notre temps. Nous venons de lui demander comment elle prépare sa tournée américaine alors que son mari est dans la tourmente. Elle préfère ne pas entendre la fin de la question. “Si vous voulez interroger mon mari, demandez-lui une interview“.
Il y a des sujets sur lesquels Carla Bruni-Sarkozy ne s’exprime pas, “pour se protéger” dit-elle. Et d’autres où elle est beaucoup plus à l’aise: son dernier album, par exemple, “Little French Songs“, qu’elle viendra promouvoir à Montréal, New York et Los Angeles fin avril.

C’est son quatrième depuis “Quelqu’un m’a dit”, qui s’est vendu à 2 millions d’exemplaires en 2003. Entre folk, pop, chanson française traditionnelle et hommage au Londres rock des Seventies, on y retrouve Carla la chanteuse, à la voix simple, légère, gracieuse. Celle qui s’était un temps effacée derrière la Première Dame, jurant de ne pas monter sur scène tant que son mari était à l’Elysée.
Ce temps-là est révolu – pour l’instant. Depuis l’élection de François Hollande, elle a renoué avec le mannequinat, repris les concerts live, s’est investie dans le caritatif via sa fondation, à l’origine notamment de bourses pour aider de jeunes Français et Américains issus de milieux défavorisés à étudier l’art de l’autre côté de l’Atlantique. “Quand je ne chante pas, je dors. Je me repose et je m’occupe de mes enfants. Je suis super heureuse de venir aux Etats-Unis, mais pour moi, c’est dans un moment.
Lire: Carla Bruni-Sarkozy lance sa fondation aux Etats-Unis
En attendant, elle assure vivre la vie ordinaire (ou extraordinaire) d’une chanteuse en tournée: les horaires décalés, les répétitions, la fatigue… France, Belgique, Suisse, et demain Barcelone, Tel Aviv: depuis novembre, elle est sur la route pour faire la promo de “Little French Songs”. Et elle ne néglige aucune salle, du Casino d’Enghien les Bains à l’Olympia. “C’est fatiguant. On répète quand les gens déjeunent ou dinent. Mais quel bonheur!
“Je n’ambitionne pas de rentrer dans les hit parade”
Ce n’est pas la première fois que Carla Bruni-Sarkozy chantera à New York, la “ville de la jeunesse” où elle a vécu quand elle était encore Carla Bruni-la-mannequine. En 2009, elle avait chanté au Radio City Music Hall de New York dans le cadre du 91e anniversaire de Nelson Mandela, sous les yeux de son mari en tenue de soirée et aux côtés de son ami de vingt ans Dave Stewart. Ce fut l’une des rares fois où elle fit une entorse à sa promesse d’un quinquennat sans musique live.
Son concert à Los Angeles sera, lui, une première. “Impatiente”, elle ressent aussi de l'”appréhension“. “Ça s’appelle le trac. Je ne connais pas beaucoup d’artistes qui ne l’ont pas“. Pourquoi se donner le mal de traverser l’Atlantique, quand elle avoue elle-même que ses chansons ne sont pas pour le grand public américain? “Ce qui m’intéresse, c’est d’offrir la possibilité à plein de gens d’écouter ma musique. Je ne me projette pas en termes de ventes, jamais, surtout dans un marché comme les Etats-Unis qui ne s’intéresse pas à des chansons aussi francophones, dit-elle. Je n’ambitionne pas de rentrer dans les hit parade, rassurez-vous!
Sa tournée nord-américaine devait être plus longue. San Francisco, Washington, Québec: on apprenait début janvier l’annulation de plusieurs dates. Le journal britannique The Daily Mail racontait que la chanteuse avait du mal à remplir les salles. Mauvaise langue? Elle se défend: “On m’a proposé beaucoup de dates et de faire des concerts dès mon arrivée. Il y a peut-être des gens qui y arrivent, mais moi, quand je voyage six heures, je ne parviens pas à chanter en arrivant, dit-elle. Il y a peut-être certains qui font les trajets en avion privé, mais pour moi en avion normal, c’est beaucoup.
Outre ses concerts, elle doit participer au talk show d’Ellen DeGeneres. Elle est prévenue: Ellen demande parfois à ses invités de se livrer à des exercices insolites. Michelle Obama, par exemple, avait dû faire des pompes sur son plateau. “J’espère que ça va bien se passer“.
Pour l’heure, la présence à ses côtés de Nicolas Sarkozy n’est pas confirmée. Une des chansons de “Little French Songs”, “Mon Raymond”, le surnom que lui donne la chanteuse, lui est consacrée. L’ancien président n’est jamais bien loin, même si “Carla” ne veut pas en parler.

Le Palais de Tokyo prend le contrôle de PS1

Le Palais de Tokyo ouvre à PS1, l’antenne du MoMA dans le Queens… pour quelques heures.
Le musée new-yorkais a invité la célèbre institution parisienne à organiser une “Sunday Session” ce dimanche 6 avril. Au programme : projections, performances, expositions et interventions. Artistes et créateurs sont invités à investir les galeries, atriums, cages d’escalier de PS1 ainsi que le VW Dome, la structure installée devant le musée. Objectif: créer “une expérience déroutante et surprenante” pour le visiteur, annonce le Palais de Tokyo, en ré-enchantant l’ordinaire et les espaces de tous les jours.
Ed Atkins, David Balula, Oliver Beer, Neil Beloufa, David Douard, Ryan Gander, Bridget Polk et les membres du comité de recherches ESTAR(SER) participeront à la manifestation nommée Bright Intervals.

Dominique Besnehard, une grande-gueule dans le Connecticut

Qu’on se le dise, le 7ème art est le dada de Dominique Besnehard. Cet ancien agent artistique – il a repéré Béatrice Dalle, Juliette Binoche ou encore Richard Anconina,  excusez du peu – reconverti en réalisateur (“Casino d’Hiver”), est aussi le co-fondateur du Festival du Film Francophone d’Angoulême.
Ce dernier s’est associé cette année avec Focus on French Cinema, le festival de cinéma français de la ville de Greenwich, dans le Connecticut. Tout est parti de l’organisme de promotion du cinéma français uniFrance, où il est en charge de promouvoir les films francophones. « Je me suis intéressé à Focus on French Cinema parce que j’ai vu la passion des organisateurs qui font ça bénévolement » rappelle-t-il.
L’ancien agent des stars se met alors en tête de vouloir les aider, de s’investir. Aussi parce que la francophonie lui tient à cœur: « C’est formidable de se battre pour la langue française ».
Lire: Focus on French Cinema, le petit festival qui voit grand 
Ses coups de cœur pour cette sélection 2014? « J’aime beaucoup ‘Quai d’Orsay’ c’est un écho à tout ce qu’il se passe en France en ce moment. ‘Les garçons et Guillaume, à table!’ est aussi un de mes coups de cœur. Ces films représentent bien l’esprit français. » Même s’il avoue que la « pépite » pour lui est le dernier film de Nicole Garcia « Un beau dimanche », dans lequel le fils de la réalisatrice endosse le rôle d’un jeune professeur qui se débat avec ses démons intérieurs.
Il n’a aucun doute sur le futur succès de ces films car comme il se plaît à le rappeler, le cinéma français a toujours plu aux Etats-Unis – “les réalisateurs comme François Truffaut et Jacques Rivette étaient très appréciés” – car selon lui les Américains aiment « le supplément d’âme ».
Pour que la fête soit encore plus belle, M. Besnehard souhaiterait qu’à l’avenir le festival puisse compter sur la présence de plus de stars. « Guillaume Gallienne voulait venir mais il prépare sa pièce de théâtre ». Acteur à ses heures perdues (on l’a récemment vu dans de petits rôles dans « Casse-tête chinois » ou « La conquête »), il ne tarit pas d’éloges sur l’acteur-réalisateur qui a raflé cinq statuettes aux derniers Césars. « C’est quelqu’un de vraiment singulier, il a quelque chose en plus » affirme-t-il.
Même si le regard qu’il porte sur la nouvelle génération est lui, plus nuancé. « Je trouve que les acteurs jouent de mieux en mieux, ils sont naturels et sincères…mais ils manquent d’originalité, de personnalités fortes ».

Soirée d'information sur le visa d'artistes

Qui  peut se procurer un visa d’artiste et pour combien de temps? A qui faire la demande? Comment protéger ses oeuvres? Si les réponses à ces questions vous intéressent, venez participer à la réunion sur le Visa O du 17 avril au Producer’s Club.
C’est en obtenant ce type de visa qu’une personne travaillant dans le domaine des arts pourra s’installer aux Etats-Unis sans craindre de passer un mauvais quart d’heure à l’immigration.
La rencontre, gratuite, est organisée par la société Stern Deeds, qui sponsorise les talents artistiques.

By Suzette : le Chipotle de la crêpe

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Un air de Bretagne souffle sur Tribeca. La crêperie “By Suzette” vient d’élire domicile au 86 Chambers Street. Son concept : des crêpes à emporter. Des crêpes bretonnes pour être exact, comme on les aime. “Nos crêpes ont la particularité d’être faites avec de la farine qui vient de Bretagne” indique Andy Rodrigues, l’un des propriétaires.

Le Français et son associé Guillaume Blanchard se sont rencontrés en école de commerce à Paris. En Master 1, ils ont une première idée : ouvrir une crêperie, à Paris. “On a vite été noyé par le boulot donc on a abandonné l’idée“, indique Andy Rodrigues. Puis, Guillaume revient à la charge, avec un tout autre projet. Si les crêpes en font toujours partie, c’est cette fois dans Central Park, à l’aide de carrioles, que les deux comparses veulent les vendre. “Ne rigole pas avec ça, moi je pars demain” lui rétorque alors Andy.

En juin 2010, à Paris, dans un café, que les deux jeunes hommes rencontrent, totalement par hasard, celui qui va devenir leur business angel. Ce Français, qui préfère garder l’anonymat, est alors installé à New York depuis cinq ans. Tous les trois, puis ensuite avec l’aide de 3 autres business angels, ils précisent le concept: créer une chaîne de crêperies. “On va d’abord se concentrer sur notre premier By Suzette à New York, mais si ça marche bien on aimerait en ouvrir d’autres dans la ville” indique Andy Rodrigues.

L’installation à Tribeca présente l’avantage de toucher une clientèle à la fois résidentielle et professionnelle. “On cherchait un quartier qui correspondait à notre projet. On cherche à toucher des personnes qui ont le goût de la cuisine européenne et qui sont ouverts à l’Europe. Tribeca rassemble tous ces critères”.

L’intérieur du local rappelle la France, des murs peints d’un bleu breton aux carreaux blancs empruntés au métro parisien.

Côté menu, vous pourrez vous régaler sans vous ruiner : comptez entre 6$ et 7$ pour une galette et entre 3$ et 6$ pour les crêpes sucrées. Des soupes, pâtisseries et boissons seront également à vendre. “On a repris le concept de Chipotle qu’on a adapté aux galettes” explique Andy Rodrigues. “Le client choisit la base qu’il préfère et rajoute au choix une viande ou un œuf, un fromage et trois garnitures“.

C’est de la grand-mère bretonne de la compagne d’Andy Rodrigues, que provient la recette des fameuses galettes. “Elle fait les meilleures galettes que j’ai jamais mangées“, explique Andy Rodrigues. “Ça a été compliqué d’apprendre, parce qu’elle ne connaissait aucune mesure. Elle me disait: mélange un peu de X avec de X, et voilà!

L’ouverture de By Suzette aura lieu samedi 5 avril. Pour l’occasion, galettes et crêpes seront gratuites !

Newport Beach Film Festival: le cinéma français à l’honneur

Pour sa 15e édition, le Newport Beach Film Festival a mis les petits plats dans les grands. Cet événement annuel organisé au sud de Los Angeles, autour du cinéma étranger, proposera notamment une soirée française pleine de festivités et de surprises, le 29 avril.

Les lecteurs de French Morning peuvent bénéficier d’une réduction pour y participer en entrant le code promotionnel ci-contre.

La première partie de l’événement sera consacré à la projection d’un film français en avant-première californienne « Attila Marcel » du réalisateur Sylvain Chomet, connu notamment pour son long métrage d’animation « les Triplettes de Belleville ».

« Attila Marcel » raconte l’histoire pleine de fantaisie d’un jeune pianiste mutique, Paul (joué par Guillaume Gouix), qui, après le décès tragique de ses parents, est élevé par deux tantes aristocrates (Hélène Vincent et la regrettée Bernardette Lafont). Le hasard d’une rencontre avec une femme excentrique, Mme Proust qui lui fait boire des thés aromatisés aux drogues, va lui permettre de remonter dans ses souvenirs et de revivre son passé tragique. La projection accessible à quelque 300 spectateurs, aura lieu à l’Edwards Big Newport Complex, au sein du centre commercial Fashion Island.

Puis en deuxième partie de soirée, le film sera suivi comme chaque année d’un « French Spotlight », une soirée thématique française, organisée sur la Via Lido Plaza, où sont attendus plus d’un millier de personnes. « Pour le 15e anniversaire du Newport Beach Film Festival, nous avons prévu d’innover par rapport à l’année dernière » explique Sebastian Moradi, l’un des organisateurs de l’événement. «En plus de la musique, de réductions spéciales et de nombreuses animations, nous prévoyons notamment d’avoir plusieurs stands de spécialités françaises, dont un de crêpes, un photomaton où les invités pourront se prendre en photo avec un fond typiquement français, une déco spéciale Paris, avec Tour Eiffel, etc. ». Une manière de faire plaisir aux francophones et francophiles, chaque année , nombreux à assister à cette soirée.

«Comme le nombre de places est limitée dans le cinéma », précise Sébastien Moradi, « le French Spotlight permet au final à un plus grand nombre d’invités de profiter des festivités“. Qui plus est à un coût moindre (20 dollars pour la soirée, 40 pour le film+ la soirée) ». Le 15e Newport Beach Film Festival, qui a déjà accueilli plus de 50.000 visiteurs les années passées, se déroulera du 24 avril au 1er mai et présentera plus de 300 films du monde entier.

La chanteuse de cabaret Floanne en concert

La chanteuse française Floanne, installée aux Etats-Unis depuis près de 15 ans, se produira le 4 au Subculure de New York et le 11 au Dade County Auditorium de Miami dans le cadre du festival de performances scéniques “FLA-FRA”.
Connue sur la scène musicale pour ses reprises d’Edith Piaf et d’autres classiques de la chanson française, elle se produit régulièrement avec son groupe dans lequel figurent des musiciens d’improvisation jazz de New York. La jeune femme aux multiples talents (elle est aussi une actrice et réalisatrice) viendra réchauffer les coeurs new-yorkais et floridiens de sa voix jazzy au twist imparable.
Floanne participera au concert de la soirée d’ouverture de FLA-FRA, un festival qui fait la promotion des artistes français en Floride.