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Johnny Hallyday à Miami

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Pour la première fois, Johnny Hallyday sera sur la scène du Filmore, à Miami le 11 mai prochain.
Après avoir rempli les salles -principalement de spectateurs français- à Los Angeles et à New York en 2012, Johnny revient aux US pour une tournée plus longue qui, pour la première fois, l’emmènera à Miami, ville chère à son coeur. Pour les amateurs de Gala, c’est là qu’il a rencontré Laeticia en 1995…
A partir de 20h, le célèbre rockeur fera résonner sa voix reconnaissable entre toutes pour une soirée exceptionnelle.
Le Consulat Général de France a pensé aux fans, puisque ceux qui le souhaitent peuvent acquérir leurs places en pré-vente en utilisant le code CONSULAT2014. Ainsi chacun pourra choisir la place qui lui convient pour profiter au mieux du spectacle de “l’idole des jeunes”. Pour cela il suffit de se connecter sur le site Ticket master (jusqu’à 22h aujourd’hui) et de chercher le nom du chanteur. Une fois la place de vos rêves trouvée, vous n’avez plus qu’à cliquer!
 
 
 

Conférence: installer son entreprise en Floride

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Vous avez le projet ou l’envie d’installer votre boîte en Floride ? La rencontre organisée le mardi 4 mars par la Chambre de Commerce franco-américaine est faite pour vous!
Venez présenter votre projet et poser des questions au Conrad Miami Hotel de 09h à 12h. Vous aurez ainsi l’occasion de rencontrer personnellement des avocats d’affaires, de l’immigration, des comptables financiers, agents immobiliers, agents d’assurance santé qui répondront à toutes vos interrogations.
 
 

Alexandre Tharaud, un virtuose à la conquête de l'Amérique

Découvert du grand public en 2012 dans Amour de Mickael Haneke, connu des mélomanes depuis une dizaine d’années, le pianiste français Alexandre Tharaud sera à New York le 1er mars pour une unique date au Washington Irving School et les 6,7 et 8 mars au Segerstrom Center for the Arts à Los Angeles.
C’est à 5 ans que le futur prodige débute le piano. Quelques années plus tard, il entre au Conservatoire de Paris et à 19 ans, il est lauréat du Concours international Maria Canals à Barcelone puis, un an après, du Concours Città di Senigallia en Italie. Sa carrière se développe rapidement en Europe puis en Amérique du Nord et au Japon.
Il faut dire que le pianiste a plusieurs cordes à son arc. En 2012, il ressuscite le cabaret Le Boeuf sur le toit avec son album éponyme, à consonance jazzy. « Ce disque c’était un hommage au jazz des années 20 à Paris, explique-t-il à French Morning.  À cette époque, toute l’intelligentsia parisienne de Maurice Ravel à Coco Chanel venait écouter et découvrir le jazz américain. Je voulais mettre en lumière,  faire connaître aux gens le Bœuf sur le Toit car le lieu a inspiré un grand nombre de compositeurs classiques ». Malgré le succès qui accueille le disque, le musicien à tôt fait de revenir à ses premières amours, et consacre son art aux partitions de la musique classique.
Son concert à New York est organisé par le Peoples Symphony Concerts, qui propose des concerts à prix abordables. « Dès que j’en ai la possibilité j’essaie au maximum de jouer pour le public le plus large possible » explique Alexandre Tharaud. Si le musicien insiste sur l’importance de rendre la musique classique plus abordable il précise néanmoins que le public est toujours présent. « On a trop tendance à dire que la musique classique a un public qui se rétrécit. En France les festivals d’été sont archi complets. Le public de la musique classique résiste et est très vivant ».  
Lors de cette soirée, Alexandre Tharaud interprétera des morceaux à tonalité germanique, lors d’un programme concocté par ses soins.
Les “Scènes d’enfants” de Schuman et les “Impromptus” de Schubert seront au programme de la 1ère partie. «Ensuite en 2ème partie, je joue ma propre transcription de la 5ème symphonie de Mahler, c’est une sorte de gageure de transcrire au piano cette oeuvre qui est typiquement écrite pour les cordes avec une seule mélodie, très lente qui se déploie sur toute la pièce. Arriver à rendre l’orchestration lisible au piano et retrouver l’esprit de Mahler avec uniquement cet instrument c’est un défi. Mais je crois avoir trouvé quelques astuces. Je termine avec Appassionata Sonata de Beethoven, un morceau qui est tout indiqué après Mahler. C’est une pièce qui termine bien un concert, avec un souffle romantique et une grande énergie»  indique le pianiste.
À Los Angeles, la programmation musicale sera différente et le pianiste s’attaquera à Ravel, Debussy et Berlioz.
Quand on l’interroge sur sa participation à la bande-annonce du film Fifty shades of Grey, il est plutôt amusé. En effet, si l’un des concertos de Bach figure sur l’album accolé de son nom, il précise que « ce morceau avait été enregistré il y a quelques années et a juste été inséré dans l’album ».
Pour Amour en revanche, on peut parler d’une véritable collaboration. Le pianiste, qui a contribué à la bande-originale, y joue également son propre rôle. «Michael Haneke est un réalisateur que je trouve génial, je connaissais la majorité de ses films. J’ai accepté de faire le film avant tout pour le rencontrer” explique-t’il avant de rajouter: « Il faut savoir où on est bon et il y a des milliers d’acteurs qui sont meilleurs que moi. Là c’est parce que je jouais mon propre rôle que j’ai accepté, mais mon métier c’est de jouer du Mozart et du Chopin ».
 Son prochain album, prévu pour septembre prochain, sera justement dédié à ces deux grands noms de la musique classique. Une tournée outre-Atlantique est déjà planifiée à l’hiver 2015. 

Alexandre Tharaud en concert à Los Angeles

Le pianiste français Alexandre Tharaud est en tournée américaine. Il sera à Los Angeles du 6 au 8 mars.
Découvert du grand public en 2012 dans Amour de Mickael Haneke, connu des mélomanes depuis une dizaine d’années, Alexandre Tharaud jouera à Los Angeles un programme composé de Ravel, Debussy et Berlioz.
Lire l’interview d’Alexandre Tharaud avec French Morning
Où: Segerstrom Center for the Arts, 600 Town Center Drive, Costa Mesa, CA 92626
Quand: 6, 7 et 8 mars à 20h
De 25 à 185$
Tickets ici

Il pédale de San Francisco à LA contre le Sida

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880 kilomètres pour relier San Francisco à Los Angeles en vélo, c’est le défi que s’est lancé Frédéric Patto, professeur au Lycée Français de San Francisco. Pour la bonne cause !
Du 1er au 7 juin, ils seront plusieurs milliers à rouler pour «Aids Life Cycle». Chaque participant doit collecter 3.000 dollars pour pouvoir se lancer, une cagnotte reversée à différentes associations impliquées dans la lutte contre le Sida.
« Ca fait huit ans, depuis que je suis arrivé sur San Francisco, que je voulais participer à cette course. C’est une grande course, je suis sportif, mais c’est un sacré challenge, et je voulais faire quelque chose pour la communauté, car il y a un vrai relâchement sur la question du Sida. C’est important pour moi», explique Frédéric Patto, qui a demandé une disponibilité.
Presque toutes les dix minutes, une nouvelle personne est infectée aux Etats-Unis. Ils seront 7.000 à tomber malade en Californie cette année.
“Aids Life Cycle” est un événement très suivi à San Francisco et Los Angeles, par de nombreuses entreprises notamment qui font courir des équipes d’employés. Florence Vaillant, une française d’Ubisoft, y a participé avec quatre collègues en juin 2012 : “On a fait le fundraising ensemble, une vente de gâteau, un repas de charité, et c’était parti !
Une incroyable aventure humaine dans des paysages à couper le souffle. A raison de 80 miles par jour, les cyclistes sont attendus sur six étapes avant Los Angeles : Santa Cruz, King City, Paso Robles, Santa Maria, Lompoc et Ventura.
Afin de lever les fonds nécessaires, chaque participant a sa page et peut s’en servir pour du crowdfunding.
Frédéric Patto ne manque pas d’idées. Il a déjà réuni près de la moitié du financement et le Blush Wine bar, créé lui aussi par un Français de la Baie, Michael Azoulay, participera à l’effort en reversant une partie de sa recette le 19 mars. L’occasion de boire un bon verre de vin français , de 16h à 20h, en participant à une bonne cause. Il ne reste plus à Frédéric Patto qu’à s’entraîner sans relâche !

Le peintre haïtien Edouard Duval-Carrié au Perez Art Museum

A partir du 13 mars, l’artiste haïtien basé à Miami, Edouard Duval-Carrié sera mis à l’honneur avec l’exposition “Imagined Landscapes” au Perez Art Museum.
Les tableaux exposés représentent des paysages tropicaux luxuriants, au détail près que l’artiste a utilisé des couleurs plutôt sombres (du noir, du bleu et de l’argenté) pour les réaliser, contrastant ainsi avec son travail habituellement haut en couleurs. On retrouve dans ses oeuvres l’iconographie haïtienne traditionnelle puisqu’il s’inspire de tableaux datant du 19ème siècle réalisés dans les Caraïbes et en Floride. Tableaux alors réalisés dans le but de vanter le développement économique et le “nouvel Eden” que représentaient des pays comme Haïti. Le travail de Duval-Carrié ré-interprète ces tableaux de façon façon très personnelle, tout en utilisant un langage esthétique plus contemporain.
 
 

Une conférence sur la grotte de Lascaux à Houston

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Dans le cadre du French Cultures Festival (FCF) le Dr Muriel Mauriac, conservateur de la grotte de Lascaux en Dordogne et conservateur général du Patrimoine, tiendra une conférence intitulée « The Lascaux Cave » au  Houston Museum of Natural Science, mardi 4 mars à 18h30.
La découverte accidentelle de la grotte de Lascaux par quatre adolescents le 12 Septembre 1940, en période de troubles, a changé pour toujours la perception qu’avait l’homme moderne sur ses ancêtres préhistoriques. Cette découverte, immédiatement considérée comme un événement majeur, a offert au monde une grotte inexplorée, riche en  images. L’histoire de la préservation de la grotte, mis en péril par l’affluence du grand public et de la communauté scientifique internationale permettra d’améliorer grandement les connaissances sur ces environnements complexes.

Conférence sur la Belgique francophone à Los Angeles

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Pendant tout le mois de mars, l’Alliance française de Los Angeles fête la francophonie ! Le 5 mars, vous pourrez découvrir comment la Belgique crée sa propre identité dans le monde de la langue française à travers une conférence qui se déroulera à 19h.
Guy Vandenbroucke, le directeur de pédagogique de l’Alliance française présentera la manière dont les “relayeurs” belges dans la littérature, les arts plastiques, la musique ou le cinéma ont appris à exprimer leur créativité leur identité culturelle unique afin de revendiquer leur place sur la scène mondiale. Le public pourrait vite se rendre compte qu’il connaît plus de Belges qu’il ne l’aurait pensé.
L’ambassadeur de Belgique Rudi Veestraeten sera l’invité d’honneur de cet événement. Une dégustation de bière belge suivra la conférence.

Pour les impatriés, un guide sur le Paris américain

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De retour à Paris et envie d’un cupcake, d’œufs bénédictes, de frozen-yogurt ou d’un hot dog tout droit sorti d’un food-truck ? Le Guide des USA à Paris, c’est un peu l’antidote au mal du pays.
Ecrit par la journaliste Noélie Viallet aux éditions du Chêne, il recense les lieux d’inspiration américaine (et en particulier new-yorkaise) dans la capitale, joliment illustrés : diners, juice bars, coffee-shop où l’on s’installe avec son ordinateur, cafés servant des lobster rolls ou des sandwichs au pastrami, patisseries gluten-free et les meilleures adresses pour des déguster des bagels, cheesecakes, donuts…  Paris compte même quelques bars installés sur des roof-tops (au 6e étage!). 
“J’ai vécu six mois à New York en 2011, et à mon retour, j’ai démarré un site sur les adresses américaines à Paris, qui a suscité beaucoup d’engouement”, raconte Noélie Viallet. “En ce moment, les Etats-Unis sont au coeur du Paris branché. Les adresses d’inspiration américaine se multiplient comme des petits pains, et la street-food se répand. Ce qui plait aux Parisiens, je pense, c’est le rapport décomplexé et ludique que l’on peut avoir avec ces aliments, qu’on mange n’importe quand, assis ou debout, dans des emballages en papier ou plastique. “. 
Outre la nourriture, le guide recense de multiples adresses déco, beauté (nails bars) et mode – Abercrombie, Forever 21, Banana Républic, Coach ou Michael Kors ont tous débarqués récemment à Paris. On trouve enfin quelques idées de ballades, des adresses de galeries américaines, de librairies, et de centres proposant des cours de yoga ou de pilates avec des profs américains. Bref, tout pour vivre là-bas comme ici (enfin, presque.).
Trois coups de coeur de l’auteur : 
Blend Hamburger. « Les meilleurs burgers de Paris », servis dans un petit pain brioché. Le Shake Shack parisien ? 44 rue d’Argout, 75002.
Allen’s Market. La nouvelle adresse de Joe Allen (un des plus vieux restaurants américain à Paris). “Les basiques new-yorkais, cuisinés avec des produits frais. Parfait pour le brunch” 33 rue du Chateau d’eau, 75010.
Sugar Daze. “Pour d’excellentes pâtisseries américaines : cupcakes, whoopie pies, layer cakes”. 20, rue Henry Monnier, 75009.

Johnny Hallyday en concert à Los Angeles

Le mythique interprète de “La musique que j’aime” ou “Gabrielle“, revient sur les planches à Los Angeles pour un concert exceptionnel le jeudi 24 avril au Fonda Theater.
Révisez vos classiques, parce qu’à plus de 70 ans, l’artiste n’a rien perdu de sa pêche et sera prêt à allumer le feu!
Les places seront en vente à partir du samedi 1er Mars 10h ici.

La Fiac s'invite à L.A en 2015

La ville de Los Angeles serait-elle en voie de détrôner New York dans le domaine de l’art contemporain ? Ce n’est en tous cas pas un hasard si la prestigieuse Fiac (Foire internationale d’art contemporain) organisée tous les ans à Paris, a choisi d’installer sa première édition internationale dans la cité des Anges, en 2015. Depuis quelques années, L.A explose, attirant de plus d’artistes, de galeries et de grandes institutions artistiques.

«Il y a déjà d’excellentes foires sur la côte Est, mais nous avons constaté que la scène artistique de la côte Ouest était aujourd’hui redevenue extrêmement dynamique», a expliqué dans un communiqué Jean-Daniel Compain, le directeur général du pôle culture de Reed Expositions France, qui est propriétaire de la foire. En octobre 2013, lors de l’annonce de son intention de développer la Fiac à l’international, il avait dans un premier temps évoqué l’Asie du sud-est et l’Amérique latine.

La Fiac de L.A se déroulera à Downtown Los Angeles où se concentrent de nombreuses institutions et autres événements artistiques : du Musée d’Art Contemporain (MoCA) dirigé depuis janvier par le français Philippe Vergne au Downtown Art Walk, véritable succès populaire, en passant par le nouveau musée d’art Broad Museum, actuellement en pleine construction et qui devrait ouvrir ses portes fin 2014.

Les dates exactes de la Fiac seront communiquées en mars mais l’on sait déjà que l’événement devrait avoir lieu en avril 2015 pour coïncider avec Paris Photo Los Angeles, la version américaine de Paris Photo, lancée en 2013 et également organisée par Reed Expositions.

Emmanuel Itier ou la galère du cinéaste indépendant

Emmanuel Itier a tout pour être heureux. Un documentaire « Femme », récompensé plus d’une vingtaine de fois dans les différents festivals où il a été projeté (encore la semaine dernière au Life Expo de Los Angeles),  et une productrice au nom prestigieux, Sharon Stone, au soutien indéfectible.
Et pourtant, le cinéaste et producteur installé à Santa Barbara connaît actuellement des heures sombres et quelques difficultés financières. En cause, la quasi-absence de commandes pour son documentaire, dans lequel il avait investi la grande majorité de ses deniers.
« ‘Femme’ a été un succès total si l’on se place sur le strict plan des festivals-awards-couverture médiatique », explique-t-il. « Malheureusement, cela ne s’est pas traduit par la moindre vente sur les grands marchés. Un seul pays, minuscule, Taïwan l’a acquis. Et par ailleurs, ‘Femme’ n’a pas assez généré de volume en termes de clics internet et de téléchargements. Résultat : aucun revenu ! »
L’intéressé refuse toutefois la fatalité et enchaîne les projets pour engranger des fonds, quitte à brouiller les pistes. Au printemps dernier, il se trouvait ainsi derrière la caméra d’un film d’horreur intitulé « Attila », avec le boxeur français Cheick Kongo, avant de prendre la direction de Hong Kong pour y produire « Red Passage », une chronique dramatique sur l’itinéraire d’un étudiant durant la révolution communiste chinoise.
Mais en dépit de cette débauche d’énergie, ses poches restent désespérément vides. « Actuellement, professionnellement, je suis totalement fauché. Et même sur le plan personnel, c’est tendu, car mon salaire sur le film ‘Attila’ était au ras des pâquerettes ! L’heure est grave, alors je me bouge pour lever de l’argent sur mes prochains films. » 
Emmanuel Itier bénéficie dans cette entreprise du soutien inconditionnel de Sharon Stone, marraine prestigieuse, caution artistique et centre d’attention pour les éventuels acheteurs du documentaire. A celle-ci se joignent, entre autres, les chanteuses Rickie Lee Jones et Yoko Ono, ou l’activiste et humaniste Shirin Ebadi.
Parallèlement, l’intéressé assure toujours la promotion de son documentaire, espérant pouvoir séduire de nouveaux acheteurs. Une nouvelle tournée sur le marché américain est prévue en mars prochain. Elle le mènera le 6 à San Francisco, le 8 à Aruba, puis le 10 à New York. « Comme sur mon précédent documentaire ‘The Invocation’, la critique nous encense, mais les professionnels nous délaissent… Bref, nous sommes condamnés à mourir ou à nous placer sur le marché des films d’action ou des comédies romantiques. »
Seule consolation à l’heure actuelle, son nouveau film « Red Passage », sorti le mois dernier, a déjà été retenu dans la sélection du festival international de Palm Beach (Floride), du 3 au 10 avril. « Cela lui garantit un peu d’exposition et de bonnes critiques, estime Emmanuel Itier. Mais parfois, j’aimerais que mes films soient un peu moins appréciés, mais mieux vendus. Cela m’éviterait quelques angoisses et nuits blanches. »
Philosophe, le cinéaste conclut dans un clin d’oeil : « J’ai survécu 25 ans dans la jungle de fous d’Hollywood. J’ai donc toutes les raisons de croire que les 25 prochaines seront celles de mon âge d’or ! »