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L'oeuvre de Germaine Richier revient à New York, 50 ans après

La sculptrice française Germaine Richier (1902-1959) serra mise à l’honneur lors d’une exposition à la Dominique Lévy and Galerie Perrotin à la fin du mois.

Cela fait presque cinquante ans qu’une telle exposition présentant le travail de l’artiste n’avait pas eu lieu au Etats-Unis, puisque la dernière était en 1957 à la Martha Jackson Gallery, dans ce même quartier. Cette exposition coïncide avec une importante rétrospective sur Germaine Richier ayant lieu en ce moment même à Bern et Lausanne, en Suisse.

François Hollande, ce goujat qui aime les entreprises

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Revue de presse. La visite d’État du président français aux États-Unis, la première depuis celle de Jacques Chirac en 1996, met en émoi la presse américaine. François Hollande arrive ce lundi sur le sol américain et depuis quelques jours déjà les journaux locaux se passionnent: business, menu gastronomique, vie privée du chef d’État, tout est passé au peigne fin.
Sans surprise, la vie privée du président français a la part belle dans la couverture américaine. Les récents déboires sentimentaux de François Hollande sont l’occasion pour The New Yorker de faire le parallèle entre sa vie privée et sa carrière politique à l’aune de l’opinion des Français : « Beaucoup voient désormais dans le comportement de Hollande, un modèle qui reflète une faiblesse générale dans sa présidence ». François Hollande brille par sa lâcheté assure l’hebdomadaire et, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il ne l’a jamais caché : « “Il a attendu que Ségolène Royal découvre sa liaison avec Trierweiler et lui demande de partir. Il a attendu que les journaux publient les photos de sa liaison avec Julie Gayet au lieu d’avoir le courage de mettre fin à sa relation avec Trierweiler lui-même, d’une manière plus digne. Il n’a pas de colonne vertébrale ». Après avoir rappelé « l’incroyable moment absurde » télévisé où, dans la course pour la présidentielle en 2006, Ségolène Royal demande à Hollande de l’épouser sans que ce dernier réponde, le journal conclut qu’ “Hollande—et les politiciens français—sont clairement en train de se battre pour comprendre les nouvelles règles du jeu politique. Ils oscillent entre deux extrêmes : faire des demandes en mariage à la télévision et se murer dans le silence ».
Le dîner d’État, censé être un moment fort de la visite du Président français à été mis à rude épreuve. C’est ce que nous explique le New York Times, qui se penche sur les questions du protocole, chamboulées par l’annonce de la venue de François Hollande, seul. Des invitations revues au plan de table corrigé en passant par le menu gastronomique sous haute tension, le journal vous apprend tout sur le raz-de-marée auquel à dû faire face la Maison Blanche ces dernières semaines.
Mercredi, François Hollande se rendra dans la Silicon Valley, un déplacement hautement symbolique. C’est en effet la première fois ces 30 dernières années qu’un chef d’État français s’y rend. La radio NPR fait le point sur la situation de l’entreprenariat en France et s’interroge sur son avenir.  « La France n’est pas vraiment le pays qui vient en tête quand on parle d’entreprenariat, ni le meilleur endroit pour lancer sa boîte ». Cependant les choses sont sur le point de changer. Dans le Sentier, quartier historique du commerce à Paris, si « rien n’a bougé depuis un siècle », le projet « Silicon Sentier » soutenu par la Marie et les entreprises privées est en bonne voie. Dur à croire mais la miriade de petits commerces des ruelles pavées accueillera bientôt la pointe de la technologie. « Dans son discours en janvier, le Président socialiste a définitivement pris un tournant à droite en annonçant son aide aux entreprises françaises quoi qu’il en coûte ».
Si cette visite doit envoyer un signe optimiste, les chefs d’entreprises expatriés à San Francisco restent dubitatifs.  The Wall Street Journal revient sur la politique pour le moins indécise de François Hollande. «Nous ne savons pas si nous sommes sur le point de gravir une montagne ou une colline»confie le Président du Medef, Pierre Gattaz à propos du pacte de responsabilité. «Les préoccupations de M. Gattaz mettent en évidence une question posée par beaucoup à travers l’Europe: M. Hollande peut-il remodeler l’économie de la France en une force assez puissante pour entraîner la zone euro avec l’Allemagne?» s’interroge le journal, avant de conclure : « Il n’a pas clairement défini la substance de son nouveau pacte et de nombreux observateurs craignent qu’il ne sera pas assez audacieux pour relancer l’économie de la France ».  Il faut dire que les mesures timides, prises par Hollande pour redynamiser l’économie du pays le semblent d’autant plus si l’on compare la situation de l’Hexagone à celle de son voisin allemand. Mais, comme le déclare le ministre délégué au budget M. Cazeneuve  «Les Français ne sont pas les Allemands qui parlent le français». Ceci explique peut-être cela.
D’un point de vue diplomatique, la vigilance sera de mise. «Comment énerver un Français ?», c’est la question soulevée par Morgane Croissant dans The Business Insider. Barack Obama devra faire attention, car l’auteur nous prévient : ça n’est pas bien difficile, « nous sommes un peuple au sang chaud » et, quand nous nous énervons, « notre degré d’arrogance et de suffisance atteint des sommets ». Un certain nombre de sujets sont donc à proscrire:  l’adultère, la mise en doute de la suprématie mondiale de la cuisine française ou encore la qualité de notre service de santé et d’éducation –qui ont été durement acquis et ne sont pas tombés du ciel !

7 soirées anti-Saint Valentin à New York

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“Love is in the air” …et peut-être un peu trop. Oubliez les petits cœurs roses ou votre soirée couette-chocolat-déprime. Costume en latex et vampire pour les plus téméraires, théâtre ou open bar pour les autres: French Morning vous a concocté une liste de soirées anti-Saint Valentin dont vous vous souviendrez.
The rejection show Valentine’s Day Heartbreak Haven. Laissez-vous séduire par “The rejection show”, une comédie qui, comme son nom l’indique, jette un regard humoristique et cathartique sur le rejet. Des histoires personnelles racontées à travers des lettres de rupture, d’amour ou de haine. Tout y passe.“The rejection show”, Littlefield, 622 degraw street, Brooklyn NY 11217. Vendredi 14 février 20h. 10-12$. Tickets ici
Annual “Valentine’s Blood Massacre”: Si les dîners aux chandelles et autres rendez-vous romantiques vous débectent, vous adorerez le « Valentine’s Blood Massacre ». Cette soirée célébrera la Saint-Valentin dans un joyeux  bain de sang. Contorsionnistes, body painting, morts-vivantes, friandises au chocolat…le tout sur fond d’électro-punk. Le dress code : anges déchus, démons cupides, et plus généralement tout ce qui est rouge. DROM 85 Avenue A (entre 5th/6th Streets) New York. vendredi 14 février, 23h-4h. 8$ entrée simple, 13$ le jour de l’événement. Tickets et infos ici
Dark Dining: Bandez-vous les yeux, et partez à la découverte d’un repas pas comme les autres. Réservez même une table pour deux, personne n’en saura rien. Ici tout se déroule dans le noir ! Une expérience unique qui vous permettra peut-être de faire des rencontres et qui, à défaut, vous remplira l’estomac. Dark Dining, Camaje Bistro, 85 MacDougal Street, près de Bleecker Street ; 212-673-8184; 18h et 21h. Tickets et infos ici 
Endless Night: New York Vampire Ball “Anti-Valentines 2014”: Dans la même veine, la  19ème édition du bal des vampires anti Saint-Valentin revient pour une soirée sang-sationelle ! Délectez-vous d’absinthe, participez au concours de la meilleure tenue pour tenter de gagner un pass pour le bal des vampires de la Nouvelle-Orléans et contemplez le spectacle du cirque des vampires. Endless Night: New York Vampire Ball “Anti-Valentines 2014”, The DL, 95 Delancey Street, New York. Dimanche 16 février de 21h à 04h. 16,66$ pour une entrée simple, 30$ pour les couples. Tickets ici, 20$ sur place. Plus d’informations ici
Bloody Valentine’s Day week-end: Laissez les roses et les chocolats de côté cette année et rendez-vous dans la célèbre maison hantée de New York : le Blood Manor. Ouvert toute l’année, le manoir a prévu un événement spécial anti Saint Valentin et espère bien vous effrayer. Le samedi 15 février, venez à la rencontre des magnifiques zombies du calendrier Blood Manor. Bloody Valentine’s day weekend, BLOOD MANOR , 163 Varick Street, New York NY 10019. vendredi 14 et samedi 15 février. 30 $ en avance (45 $ pour le paquet d’entrée express) et 35 $ à la porte. Tickets ici
Anti-Valentine’s Day Party: Les animaux aussi ont besoin d’amour ! Soutenez l’association Bideawee qui soutient les chats et les chiens à la recherche d’une “maison pour la vie”, en allant à cette soirée anti Saint Valentin. 50% des bénéfices de la soirée seront reversés à l’association. Anti-Valentine’s Day Party, Hudson Terrace, 621 West 46th Street, New York NY. Vendredi 14 février 18h. 30$. Tickets ici
Open Bar Anti-Valentines Singles and couples social: Que diriez-vous d’un open bar avec un DJ live et de quoi vous rassasier ? Goûtez les cocktails préparés spécialement pour l’occasion : The Anti-Valentines Kisser, Burning Desire and Sexy Seduction. Les 30 premières filles gagneront une part de gâteau au chocolat et vous pourrez tenter de remporter des places pour “Almost Made”, la comédie romantique. Célibataires, habillez-vous en blanc. Les couples en vert. Open Bar Anti-Valentines Singles ans couples Social, studio Arte, 265 W 37th St 17th Floor, New York. Samedi 15 février 19h-22h. Hommes à partir de 25 ans et femmes plus de 23 ans. 65 $ entrée simple, 120$ pour les couple (en avance), 80$ et 150$ sur place. Tickets et infos  ici
 
 

Santa Barbara : Deux soirées avec la pianiste Hélène Grimaud

L’orchestre philharmonique “The Santa Barbara Symphony” accueillera pour deux représentations, les samedi 15 (20h) et dimanche 16 février (15h), la pianiste Hélène Grimaud. Habituée de la ville de Santa Barbara, la concertiste française se produira au Granada Theatre, sous la direction du maestro Nir Kabaretti. Pour ces deux prestations, Hélène Grimaud a sélectionné des pièces musicales de Brahms, Elgar, Ravel et Tchaïkovsky.
Prix des places : de 38 à 133 dollars
Réservations : http://ticketing.granadasb.org/ et http://thesymphony.org

Deux films français primés au festival de Santa Barbara

Au dernier jour du festival international du film de Santa Barbara, Roger Durling, le directeur exécutif, a présenté dimanche matin la liste des lauréats parmi les 200 films sélectionnés cette année.
Le « Best International Film Award » a ainsi été décerné  au réalisateur français Robin Campillo, pour « Eastern boys », avec Olivier Rabourdin, Kirill Emelyanov et Daniil Vorobyov. Ce film très controversé, mais dénué de jugement, met en scène un homme entre deux âges, découvrant le milieu de la prostitution masculine venue des pays de l’Est.
Said Guettel, l’un des members du jury du festival, a décrit ce film comme « la présentation d’une réalité moderne, d’où le jugement est absent. Personne ne dit ce qui est bon ou mauvais. Le spectateur se contente d’assister à trois parcours humains magnifiques, dans une histoire rafraîchissante marquée par le hasard et la récompense à courte terme. »
Dans cette même catégorie, Diane Kurys a reçu une mention spéciale, au regard de la qualité de sa réalisation pour son film « Pour une femme ».

« Art » de Yasmina Reza à Santa Barbara

Les adaptations de pièces d’auteurs français contemporains ne sont pas légion à Santa Barbara. Les deux représentations d’ « Art » de Yasmina Reza, les samedi 15 (20h) et dimanche 16 février (14h), constituent donc un petit événement.

Dirigée par Katie Laris et mettant en scène trois comédiens américains (Ed Giron, Justin Stark et Jerry Oshinsky), cette pièce acide et ironique sur le milieu artistique se jouera à la ANYI Gallery (216 State Street).

Prix des places : 20 dollars (sur place, en vente 90 minutes avant la représentation).
Réservations :  1-800-888-3006 ou www.brownpapertickets.com/event/553512

Georges Braque à la conquête de Houston

Une rétrospective consacrée à l’un des initiateurs du cubisme, Georges Braque (1882-1936), sera organisée à partir du jeudi 13 février.
Au total, plus de 75 oeuvres seront exposées au Museum of Fine Arts de Houston, de ses premières peintures fauvistes, aux abstractions lyriques de ses dernières années, en passant par ses compositions cubistes qui marquèrent l’histoire de l’art contemporain.
La grande première de cette rétrospective a eu lieu au Grand Palais à Paris, du 18 septembre 2013 au 6 janvier 2014, afin de commémorer le cinquantième anniversaire de la mort de l’artiste. Plus de 460 000 personnes y ont assisté.

Une plume du roman policier français à New York

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Gisèle Meunier-Picquet sera à New York le vendredi 28 février pour promouvoir son roman policier Qui a tiré sur la haute couture? . Une rencontre sera organisée avec l’auteure afin d’échanger sur son livre dont l’histoire se passe en partie dans le New York de la fin du XXe siècle.
C’est le dixième livre écrit par Gisèle Meunier, une ancienne enseignante qui n’a pas hésité à venir séjourner à New York afin de rendre compte le plus fidèlement possible de l’atmosphère de la ville dans son écriture. Donc pour connaître l’identité du tueur, ne manquez pas ce rendez-vous.

 

Jacques Torres, chocolatier insatiable

Nouvelle fabrique de chocolats de 3.700 mètres carrés à Brooklyn et deux nouvelles boutiques à Manhattan dont l’ouverture est prévue pour la Saint-Valentin… Jacques Torres commence 2014 en beauté.
Est-ce parce qu’il a horreur du sur-place ? «Je n’ai pas le temps d’attendre», dit-il avec un accent chantant du Sud. Cramponné à sa moto, celui qu’on surnomme ici “Mister Chocolate”, sillonne la ville, d’un magasin à l’autre, attentif au moindre détail.  «Mes chocolats me ressemblent, dit-il. Oui, je veux qu’ils soient délicieux bien sûr mais aussi rigolos, irrévérents. »
Pourtant l’ascension fulgurante de Torres n’a rien d’irrévérent. Né en Algérie, il fait sa première grande traversée à trois ans, direction Bandol où il entrera en pâtisserie à quinze ans. Ce sera très vite le Négresco à Nice et en 1986, il devient le plus jeune Meilleur Ouvrier de France (MOF). « J’ai tout de suite été fasciné par le chocolat, ce produit ancien, presque primitif dont l’origine reste un mystère. »
Deuxième traversée vers New York cette fois à 28 ans, et le voilà chef pâtissier chez les plus grands (d’abord au Ritz Carlton, puis pendant 12 ans au restaurant Le Cirque). Il trime, s’amuse mais surtout observe et quand le moment vient de se lancer, Torres sait exactement ce qu‘il veut.
Il sera le premier artisan chocolatier à s’installer à  Dumbo (Down under the Brooklyn Bridge), bien avant la vague bobo. « ‘T’es foutu,’ me disaient mes copains chefs. » Mais avec ses associés, Torres se met au boulot et construit sa première échoppe de ses propres mains. Il faut dire qu’avec un père menuisier, il a de qui tenir.
Le quartier est désert. « Les premiers jours on faisait 10$ », mais peu à peu, le tam-tam des gourmands de la ville fait du sien. Pour réchauffer les clients qui font la queue sur le trottoir, Torres invente ses célèbres chocolats chauds, noirs et intenses, l’un sucré, l’autre pimenté.«Il ne s’agissait pas de faire du chocolat français mais de s’adapter aux goûts du pays et d’offrir le meilleur ».
Nouvelles boutiques
Aujourd’hui, Torres dispose de quatre boutiques avec le projet d’en ouvrir huit dans les deux prochaines années. Ses deux nouvelles boutiques se trouvent à Midtown (110 East 57th Street) et NoHo (327 Lafayette Street). Il dispose d’un bail de dix ans pour la première. La nouvelle manufacture se trouve elle dans le complexe historique du Brooklyn Army Terminal.
Le concept des boutiques est simple: Parquets fins et murs peints en rouges créent une ambiance de fête qui se reflète dans les emballages brillants. Des lustres en cristal éclairent l’arc en ciel orangé des logos. Truffes au champagne, bonbons, cheerios et corn flakes recouverts de chocolat, popcorn au caramel mais aussi des biscuits moelleux aux pépites chocolatées ou au beurre de cacahuètes, aussi grands que des soucoupes volantes. « Pour la St. Valentin, nous avons créé des signes ‘Do Not Disturb‘ pour les poignées de porte, en chocolat bien sûr. »
Son humour se traduit dans ses créations mais Torres est aussi depuis 20 ans le très sérieux Doyen de Pâtisserie au Centre Culinaire International ou il enseigne comment travailler le chocolat, mais aussi, simplement le sucre. « Jacques Torres devrait être couronné Professeur de la décennie»,  déclare Dorothy Cann Hamilton, Fondatrice et CEO du Centre Culinaire International. S’il existait un prix Nobel de la Pâtisserie, il l’aurait gagné. Les étudiants l’adorent car il sait décortiquer la complexité en s’amusant.”

Un hommage à André Schiffrin et un appel au combat

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Editeurs, écrivains et autres professionnels du livre avaient rendez-vous, jeudi, aux Services culturels de l’Ambassade de France pour un hommage à l’éditeur franco-américain André Schiffrin, disparu en décembre dernier.
Cet hommage s’est tenu lors de la première French Voices Award Ceremony, qui récompensait la meilleure traduction en anglais d’une œuvre française – le prix est revenu à la traductrice Mélanie Mauthner, pour Notre-Dame du Nil de Scholastique Mukasonga.
André Schiffrin “laisse un héritage qu’il est de notre devoir de perpétuer“, a déclaré Antonin Baudry, conseiller culturel, lors de son discours d’introduction.
Il a rappelé qu’au moment de leur traduction par André Schiffrin, de grands auteurs tels que Sartre, Beauvoir, Foucault, Duras ou Bourdieu  étaient inconnus outre-Atlantique. Celui qui a été, pendant 30 ans, à la tête de Panthéon Books, l’une des plus prestigieuses maisons d’édition américaines,  a importé ces écrivains, contribuant ainsi à leur renommée mondiale.
Après une série de lectures d’extraits d’œuvres traduites par l’éditeur, une table ronde composée d’un panel de traducteurs et de professionnels de l’édition a permis de dresser le constat inquiétant selon lequel l’argent devenait de plus en plus le moteur de l’édition aux États-Unis.
La discussion a également été l’occasion de quelques boutades de la part des participants américains, qui ont rappelé avec humour que “la France est un pays plus petit que le Texas, les problématiques qui s’y posent en terme de distribution ne sont donc pas les mêmes qu’aux États-Unis” ou encore que “le gouvernement est socialiste ce qui explique que les prix des livres soient protégés en France“.
André Schiffrin a montré le chemin et a tracé une longue route qu’il nous reste désormais à parcourir“, a déclaré plus sérieusement Esther Allen, traductrice, membre fondateur de French Voices.
 

La compétitivité franco-américaine en question

Dans le cadre de ses Conference@934, le Consulat Général de France organise une discussion sur la compétitivité de la France et des Etats-Unis le mercredi 19 février à 18h45. Sujet prometteur!
Comment les deux pays peuvent-ils s’aider? Les deux économies sont-elles complémentaires? La conférence rassemblera Nicholas Dungan du think tank Atlantic Council, et Thomas Philippon, professeur associé de finance à New York University.
Les participants sont priés d’arriver à l’heure. Le retardataires ne seront pas acceptés.
Les places sont à réserver à [email protected]
 

La Restaurant Week de retour à New York

Rien de tel qu’un bon petit plat pour se réchauffer le cœur par ce froid de canard. Ca tombe bien, la New York Restaurant Week remet le couvert du 17 février au 7 mars. Avec plus de 300 restaurants participant à ce temps fort de la gastronomie locale, il y en aura pour tous les goûts !
Comptez 25 $ pour un déjeuner, 38$ pour un dîner -les prix sont fixes. Vous pourrez profiter de cette offre spéciale du lundi au vendredi dans tous les restaurants participants et dans certains d’entre eux le dimanche.