Du lundi 15 au dimanche 21 janvier, Washington DC sera le paradis des gastronomes avec la Winter Restaurant Week. Organisée par la Restaurant Association of Metropolitan Washington, cette semaine offre aux fins palais l’opportunité de se délecter de créations culinaires exceptionnelles à des prix spéciaux, le tout dans plus de 150 restaurants participants.
Les chefs de la capitale ont préparé des menus spécialement conçus pour l’occasion. Comptez entre 25 et 35 dollars pour un brunch ou un déjeuner et entre 55 et 65 dollars pour le dîner.
Le Consulat général de France à Washington a ouvert sa première campagne des bourses scolaires pour la rentrée 2024-2025. Vous avez jusqu’au vendredi 16 février pour déposer votre dossier lors d’un rendez-vous au consulat.
Ne peuvent bénéficier d’une bourse que les enfants qui remplissent les critères suivants :
être de nationalité française
être âgés d’au moins trois ans au cours de l’année civile de la rentrée scolaire
ne pas avoir plus d’un an de retard en primaire et plus de deux ans de retard dans le secondaire
résider avec au moins l’un des parents dans la circonscription consulaire de Washington DC (Washington DC, le Maryland, la Pennsylvanie, la Virginie, la Virginie-occidentale et le Delaware)
être inscrits au registre mondial des Français établis hors de France, tout comme la personne qui effectue la demande de bourses (père ou mère)
être inscrits ou en cours d’inscription dans l’un des deux établissements du réseau AEFE (Agence pour l’Enseignement Français à l’Etranger) présents dans la circonscription consulaire de Washington : le lycée Rochambeau et l’Ecole Française Internationale de Philadelphie.)
La famille ne doit plus percevoir de prestations familiales de la part de la CAF (un certificat de radiation est requis pour les familles dont les enfants ont résidé en France)
Pour déposer son dossier au consulat, il faut demander un rendez-vous, avant le 16 février, au service des affaires sociales en écrivant à l’adresse suivante : [email protected]. Un seul créneau de rendez-vous par famille, seule la présence d’un des deux parents est nécessaire. Le conseil consulaire des bourses se réunira une première fois au printemps. Il émet un avis et fait des propositions soumises à l’avis de la Commission nationale des Bourses qui se réunit à Paris en juin.
Ils avaient posé leurs valises aux États-Unis pour trois ans. Tout feu tout flamme, ils y ont refait leur vie, s’y sont plu, et la question du retour en France s’est progressivement éloignée. Vingt ans plus tard, ils sont américains, possèdent une maison (et un chien !) et leurs enfants étudient aux quatre coins du pays. Peu ou prou, cette histoire est celle de nombreux Français installés de longue date aux États-Unis. Une décision qui n’a rien d’anodin. Elle interroge le couple, la carrière, les liens avec la famille restée en France, l’avenir des enfants… Pour French Morning, des expatriés racontent pourquoi ils ont choisi de bâtir durablement leur vie de l’autre côté de l’Atlantique.
L’expatriation, un booster de carrière
Beaucoup ont été attirés au pays de l’Oncle Sam par une première opportunité professionnelle. Ils ont prolongé leur expatriation en voyant leur carrière s’élargir à 360 degrés tout en goûtant à une qualité de vie inégalée. C’est, en résumé, l’histoire de Jean-Marc et Sandra. Arrivés en 2006 à Los Angeles avec leur fille aînée âgée de deux ans et demi, ils devaient y rester trois ans, la durée du contrat d’expat’ de Jean-Marc comme Directeur commercial dans son groupe aéronautique. Le Golden State, cet amoureux de vieilles voitures et de spectacles de magie en rêvait. 17 ans plus tard, la lune de miel américaine se poursuit à Orange County, en Californie du sud, où la famille fait partie des piliers de la communauté française.
S’ils sont restés aux États-Unis, c’est d’abord pour permettre à Jean-Marc de réaliser la carrière de ses rêves. En phase avec une culture commerciale américaine « plus agressive », ce compétiteur se régale dans ses nouvelles fonctions.Au bout de trois ans, quand son groupe lui propose un poste plus important à Atlanta, il convainc Sandra de prolonger leur séjour. Et ainsi de suite… « En deux ou trois postes, j’ai vraiment accéléré, de Directeur à Vice-président, puis à Vice-président exécutif avec des augmentations et un meilleur cadre de vie, relit-il. Le groupe était en pleine croissance, j’ai surfé la vague, avec le sentiment que je n’aurais jamais pu aller aussi vite en France. »
Rester pour les enfants
Quand on part en couple, rester est une décision qui se mûrit à deux. Pour Sandra, qui a renoncé à un travail qu’elle adorait en France, elle revêt une part de sacrifice, du moins au départ. Elle doit réinventer sa vie entre la maison, les enfants, le Lycée français, les cours d’anglais… « J’imaginais que c’était du temporaire », se souvient-elle. Mais, par amour pour son mari, elle accepte de prolonger l’expérience. « Nous avons fait ces choix ensemble, souligne Jean-Marc. C’est important d’en discuter à cœur ouvert. Il faut peser ce que ton cœur te dit par rapport à ton pays d’origine, l’appel de la réussite professionnelle, le cadre de vie, les enfants… J’ai eu la chance d’être soutenu par une femme extraordinaire. Si on est là, c’est grâce à elle », confie-t-il, ému.
Un choix que l’on fait aussi pour les enfants. C’est en voyant ses filles s’épanouir dans leur pays d’adoption que Sandra réalise que leur vie s’écrira ici. « À un certain âge, les enfants se sentent plus américains que français, souligne-t-elle. Vers 16-17 ans, notre aînée ne voulait pas rentrer en France. Pour elle, c’était l’inconnu, même si elle adorait y aller en vacances. C’est à ce moment que l’on s’est rendu compte que l’on allait rester et qu’on s’est orientés vers une naturalisation. »
Famille en France et culpabilité
Choisir de rester, c’est aussi se libérer de la culpabilité d’avoir laissé sa famille loin de soi. Cynthia, 36 ans, a quitté sa Provence chérie pour rejoindre son futur mari à Chicago, en 2014. Très proche de ses parents, elle s’est résolue, il y a deux ans, à leur dire qu’il n’y aurait pas de retour au pays, contrairement à ce qu’elle avait imaginé. « J’ai mis du temps à leur dire que j’étais heureuse et que j’adorais ma vie, même si j’étais loin d’eux. Ils me demandaient souvent : “Vous allez revenir quand ?” Quand nous avons déménagé dans le Colorado, en 2021, au lieu de leur dire : “On reviendra”, j’ai pu leur dire : ”Nous avons choisi une autre direction, c’est notre vie, et nous allons être heureux. »Une annonce qui l’a « libérée d’un poids ».
Selon Marianne, installée aux États-Unis depuis près de 25 ans, l’éloignement avec la famille est la principale raison qui provoque le retour d’expatriation.« J’ai vu des copines repartir en France au bout de 7 ans, 10 ans… Les liens de la famille étaient trop forts, elles en étaient malades d’être loin. À l’opposé, ceux qui sont moins proches de leur famille restent ici longtemps. »Pour elle, la distance a été source de tensions avec ses parents. Elle leur reproche de ne pas avoir été là quand son deuxième enfant a dû être hospitalisé en urgence, à la naissance. C’est une amie française qui avait gardé son aînée pendant cette période difficile.
Les Français expatriés, une «famille de cœur»
Car le soutien de personnes sur qui l’on peut compter est crucial pour se projeter à long terme dans son pays d’adoption. « On s’est créé notre petit village », confirme Cynthia, en évoquant les amis français et américains qui les entourent, près de Denver, où ils viennent d’acheter une maison. Le yoga, et plus récemment, le Pickleball, un sport de raquette entre le tennis et le ping-pong, lui ont permis de nouer des liens. « On s’y est fait des copains de tous âges, c’est une super communauté ! ». se réjouit la jeune femme.
Synonyme d’amitié et de sécurité, la communauté française joue aussi un rôle fondamental pour la plupart des Français expatriés de longue date aux États-Unis. « Nous ne sommes pas seuls, nous avons une famille de cœur ici » insiste Sandra, à la tête d’Orange County Accueil, qui regroupe plus de 150 familles francophones dans le Comté d’Orange. Elle évoque la solidarité de ses compatriotes, qui s’est notamment manifestée lors des incendies qui ont touché cette partie de la Californie, il y a trois ans. « Aujourd’hui, nous vivons le rêve américain comme il se présente, assure-t-elle. Je ne suis pas frustrée, je n’ai pas de regrets. Vivre aux États-Unis m’a ouvert l’esprit. »
Première neige à New York… envie d’une ambiance de montagne ? Même si les stations ne sont pas à haute altitude dans la région, il est toutefois possible de s’évader, le temps d’un week-end, pour dévaler quelques pistes en ski, snowboard ou bouée et pour s’amuser en famille ou entre amis. Les stations sont ouvertes !
Moins de 2h de NYC
New Jersey : Campgaw Mountain, jusqu’à 229 m. d’altitude. Ouvert jusqu’à fin mars 2024.
À 40 minutes de NYC (30 miles/48 km), 29 km du pont George Washington, il ne faut évidemment pas s’attendre à des pistes noires. Mais les pentes très douces permettent aux débutants et aux très jeunes enfants de goûter aux premières joies du ski et du snowboard. Tellement douces qu’un tapis roulant, surnommé aux États-Unis magic carpet, permet de remonter les pistes. Les plus grands peuvent s’adonner au plaisir du tubing, la descente des pistes sur une bouée. La station est ouverte de 2pm à 8pm – éclairage nocturne – du lundi au jeudi, dès 1pm le vendredi et dès 8:30am le week-end avec fermeture à 10pm les vendredi et samedi. Attention, la station ferme parfois – l’annonce est faite la veille pour le lendemain – en raison de la météo donc mieux vaut suivre le compte Facebook de la station. Possibilité de louer des casques pour 16$ la journée. 200 Campgaw Road Mahwah, NJ – 201-327-7800.
New Jersey : Mountain Creek. 44 pistes, jusqu’à 422 m d’altitude. Ouvert jusqu’à fin mars 2024.
À environ 1h de NYC (56 miles/90 km), c’est la destination privilégiée pour profiter très rapidement d’une ambiance de ski dès les premières chutes de neige, même pour une demi-journée. Là aussi, pas de pistes de compétition mais l’éclairage nocturne de l’ensemble du domaine de 68 hectares reste sympathique.Ouvert du lundi au dimanche de 9am à 9pm, ouverture de certaines pistes dès 8am avec un forfait spécial First Trax. À savoir : pas d’argent liquide à Mountain Creek, station cashless depuis la crise sanitaire. 200 Route 94, Vernon, New Jersey 07462.
À 1h15 de NYC (61 miles/98 km), cette station s’adresse aux familles et aux débutants. Le domaine skiable comprend autant de télésièges que de pistes (30) et 4 magic carpets. Des cours de ski sont proposés pour les enfants dès leurs 3 ans. Le « Thunder Ridge Race Team Program » propose aux jeunes de 9 à 20 ans un entraînement intensif pour améliorer style et technique et préparer à la compétition. Un programme spécial est également proposé aux jeunes prodiges de la descente. Ouvert de 10am à 9pm du lundi au vendredi, de 9am à 9pm le samedi, de 9pm à 5pm le dimanche. 137 Birch Hill Rd, Patterson, NY 12563 – (845) 878-4100.
Pennsylvanie : Shawnee Mountain, jusqu’à 411 m d’altitude. Ouvert jusqu’à début avril 2024.
À l’est des Poconos, à 1h30 de NYC (85 miles/137 km). Joli cadre et station moins fréquentée par les New-Yorkais, cette petite station familiale est également adaptée à l’accueil des corporate outings, des sorties d’entreprise pour mobiliser les équipes avec tubing au programme – la station en fait d’ailleurs la promotion sur son site. Ouvert de 9am à 4pm du lundi au mercredi, de 9am à 9pm du jeudi au dimanche. 401 Hollow Road East Stroudsburg, PA – 570-421-7231. (Snow Report : 800-233-4218).
Pennsylvanie : Camelback, jusqu’à 650 m d’altitude. Ouvert jusqu’à début avril 2024.
À un peu plus d’1h30 de NYC (94 miles/151 km), situé dans les Poconos, ce domaine offre des pistes un peu plus raides que celles des autres stations de la région. Toutes ne sont pas ouvertes (16 sur 39 le sont en ce 9 janvier) mais la station est moins fréquentée des citadins car moins connue, ce qui offre un cadre plus paisible que dans les stations de l’Etat voisin de New York. Leçons de ski et snowboard proposées et espace consacré au tubing évidemment. Ouvert de 9am à 9pm du lundi au vendredi, des 8:30am le week-end, voire 7:30 avec un forfait First Trax. 301 Resort Drive Tannersville, PA 18372.
Connecticut : Mohawk Mountain, jusqu’à 490 m d’altitude. Ouvert jusqu’à fin mars 2024.
À 2h de route de NYC (97 miles), situé dans le sud des Berkshires, Mohawk est le domaine le plus ancien et le plus vaste du Connecticut. L’ambiance y est familiale avec chocolat chaud en bas de pistes. C’est l’une des rares petites stations autour de New York à offrir du ski en soirée jusqu’à 10pm. Ouvert le lundi après-midi de 12pm à 8pm, de 10am à 8pm du mardi au jeudi, de 10am à 10pm le vendredi, de 8:30am à 10pm le samedi et de 8:30am à 4pm le dimanche. 46 Great Follow Rd. Cornwall, CT 06753 – (860) 672-6100.
Entre 2h et 4h de route
New York : Windham Mountain. entre 457 m et 945 m d’altitude. Ouvert jusqu’à début avril 2024.
À 2h15 de NYC (106 miles), ce domaine des Catskills est la destination familiale par excellence, avec près de 70% du domaine destiné aux skieurs intermédiaires et aux débutants. La station s’est d’ailleurs dotée d’un centre pour les enfants, le Base Camp. Activités et leçons pour les petits dès 3 ans (demi-journée 8:30am-12pm ou journée 8:30am-3pm), pour les 4-6 ans 8:30am-3pm) et les 7-12 ans (9am-3pm, ski ou snowboard). Casque obligatoire pour tous. La journée peut se terminer par du tubing ou du patin sur glace. Comme dans beaucoup de stations de la région, l’absence d’un véritable village limite certaines commodités, mais il y a de quoi se loger près des pistes et se restaurer à moins de 5 km de la station. Ouvert de 9am à 4pm du lundi au vendredi, de 8am à 4pm le week-end. 19 Resort Drive, Windham, NY 12496.
New York : Belleayre Mountain, jusqu’à 1045 m d’altitude. Ouvert jusqu’à début avril 2024.
À seulement 2h30 de route de NYC (136 miles) dans les Catskill, ce domaine skiable est un peu perdu au milieu de nulle part donc idéal pour une virée d’une journée. La montagne, l’une des plus grandes des Catskill, est adaptée aux débutants ou bons skieurs. Il existe également plus de huit kilomètres de pistes de ski de fond et de balades en raquettes. Appartenant à l’État de New York, il y a peu de quoi se restaurer sur place mais à moins d’un quart d’heure de la station, il y a de quoi se restaurer et dormir. Ouvert tous les jours à 9am, mais parfois les remontées mécaniques démarrent un peu plus tôt, dès 8:30am pour s’arrêtent à 4pm. Possibilité de se rendre à Belleayre en bus avec l’Adirondack Trailways Ski Bus, départs tous les jours de Port Authority Terminal à Manhattan. 181 Galli Curci Road, Highmount, NY 12441.
New York : Hunter Mountain, jusqu’à 975 m d’altitude. Ouvert jusqu’à début avril 2024.
À 2h30 de NYC (miles), c’est la station la plus proche de Big Apple pour les bons skieurs. Niché au cœur des Catskill, le domaine comprend la deuxième montagne la plus haute de la chaîne avec la moitié des pistes, réparties sur quatre faces, destinées aux expérimentés. Autre atout pour les skieurs : Hunter Mountain se vante d’être la capitale mondiale de la neige artificielle – canons effectivement sur toutes les pistes. La station propose également une multitude d’activités d’après ski, notamment du tubing. Ici aussi, pas de village traditionnel au pied des pistes mais restauration sur place – attention, covid oblige, il faut réserver sa place assise pour déjeuner – et plusieurs motels aux alentours pour se loger. La station est également connue pour ses fêtards ! Ouvert de 9am à 4pm en semaine, de 8:30 à 4pm le week-end et jours fériés. 64 Klein Ave, Hunter, NY 12442.
New York : Gore Mountain, jusqu’à 1100 m d’altitude. Ouvert jusqu’à mi-avril 2024.
À 4h de route de NYC (229 miles), située dans les Adirondacks (vue à 360º et sur les sommets du Canada par temps clair), c’est la plus grande station de ski de l’Etat de New York. Elle s’étend sur quatre montagnes (Gore, Bear Mountain, Burnt Ridge Mountain et Little Gore Mountain) et consacre 48% de ses pistes aux skieurs intermédiaires et 36% aux avancés. Avec un dénivelé de près de 800 mètres, Gore Mountain peut se comparer à des stations de l’Ouest des Etats-Unis comme Northstar ou Arapahoe Basin. C’est loin de New York mais, du coup, des foules également donc l’ambiance y est plus détendue que dans les stations plus proches. Ouvert tous les jours de 8:30am à 4pm, voire jusqu’à 8pm du jeudi au dimanche grâce à l’éclairage nocturne. 793 Peaceful Valley Road, North Creek, NY 12853.
Vermont: Stratton Mountain, jusqu’à 1150 m d’altitude. Ouvert jusqu’à début avril 2024.
Stratton est la plus proche des stations du Vermont, l’Etat star de l’Est américain en matière de ski. Compter environ 4h de route (220 miles/354 km) depuis NYC. Les fans de snowboard l’adorent. Normal, c’est là qu’il est né dans les années 1980. On y trouve donc des pistes de ski et un parc dédié au snow, de quoi contenter tout le monde. Le village mérite aussi son nom, avec restaurants et autres commerces offrant une ambiance « montagne » plus authentique que celle des stations new-yorkaises. Ouvert de 9am à 5pm du lundi au jeudi, de 9am à 10pm le vendredi, de 7pm à 10pm les samedi et dimanche. 5 Village Lodge Rd, Stratton Mountain, Vermont 05155.
Plus de 4h de NYC
New York : Whiteface Mountain, jusqu’à 1417 m d’altitude. Ouvert jusqu’à début avril 2024.
À 4h30 de route de NYC (281 miles), le domaine magnifique est connu pour son dénivelé, le plus grand de l’Est du pays, et pour avoir accueilli les Jeux Olympiques d’hiver à deux reprises.Avec ses 89 pistes et 115 hectares de domaine skiables, Whiteface offre de quoi s’amuser à tous skieurs, des descentes douces avec 24% de pistes vertes pour les débutants aux pentes raides et bosses des pistes noires (1/3 du domaine) pour les expérimentés. Ouvert du lundi au dimanche dès 8:30am, les remontées mécaniques s’arrêtent à 4pm. Pas d’hébergement au pied de Whiteface Mountain mais il y en a autour et surtout à 20 minutes de voiture, dans la ville de Lake Placid où l’on retrouve une ambiance de montagne avec ses petites boutiques consacrée au sport et ses restaurants. 5021 Route 86, Wilmington, NY 12997.
Vermont : Killington, jusqu’à 1300 m d’altitude. Ouvert jusqu’à mai 2024.
À environ 4h30 de route de NYC (250 miles/402 km), Killington est une des stations préférées des skieurs confirmés dans le Nord-Est américain, normal avec près de 1000 mètre de dénivelé et plus de 150 pistes. Les cinq différentes sections qui constituent le domaine offrent une variété qui permet de satisfaire autant le débutant que l’amateur de bosses ou le fan des parcs de snowboard. Pour l’après-ski, l’ambiance est plutôt à la party town qu’au village de montagne sympa. Killington a la réputation d’avoir la vie nocturne la plus animée de toutes les stations de la région. Les très nombreux bars, restaurants et clubs en attestent. Ouvert de 9am à 4pm du lundi au vendredi, de 9am à 5pm les samedi et dimanche. Killington, VT 05751.
À près de 6h de route (350 miles/563 km) de NYC, Stowe nécessite au moins un long week-end, mais elle le mérite. L’une des plus anciennes stations aux Etats-Unis, Stowe a tous les attributs d’une grande station. Le « village » du resort au pied des pistes bénéficie notamment d’une immense patinoire, gratuite. Le « vrai » village de Stowe, à quelques kilomètres, regorge de bars et restaurants et offre une ambiance authentique, au coeur d’une communauté qui vit ici à l’année. Ouvert tous les jours de 7:30am à 5pm. 5781 Mountain Rd, Stowe, VT 05672.
Faut-il avoir peur de l’Intelligence Artificielle ? Le sujet est dans toutes les conversations. French Morning a rencontré Jérôme Pesenti, Français de New York et l’un des pontes de l’IA, qui a quitté récemment son rôle de Vice-président Artificial Intelligence chez Meta pour monter sa propre start-up, SizzleAI.
Jérôme Pesenti est encore étudiant lorsqu’il tombe dans la marmite de l’intelligence artificielle. Normalien, fort d’un DEA en sciences cognitives et d’un PHD en maths, il fait sa coopération chez Carnegie Mellon et ne quittera plus les États-Unis. Sa première startup, Vivisimo, spécialisée dans l’analyse de textes, est rachetée par IBM au bout de 12 ans. L’unité Watson d’IBM est à l’époque à la pointe de l’IA, mais son cloud laisse à désirer. Frustré par les difficultés techniques, Jérôme Pesenti quitte en 2016 IBM pour devenir CEO de Benevolent AI, une startup londonienne qui veut révolutionner la chimie à coup d’IA. Déjà, à l’époque, l’argent coule à flot et les valorisations s’envolent. Mais le commute Londres-New York n’est pas tenable sur le long terme, et quand Mark Zuckerberg propose à Jérôme Pesenti de diriger l’équipe IA de Meta, il accepte.
En l’espace de 4 ans et demi, l’équipe de recherche fondamentale et appliquée de Meta passera de 200 à 1600 personnes. Meta utilise l’IA pour modérer le contenu, optimiser les publicités et les recommandations, et développe plusieurs LLM (Large Language Models). L’un d’entre eux, au nom ambitieux de Galactica, promet de synthétiser des articles scientifiques, de résoudre des problèmes de mathématique, d’écrire du code… Lancé juste après le départ de Jérôme Pesenti, le 15 novembre 2022, il sera retiré trois jours plus tard sous un déluge de critiques – notamment celle de ne pas savoir distinguer entre le vrai et le faux…. « Le projet a été mal lancé, analyse Jérôme Pesenti. On a donné l’impression que c’était bien meilleur que ce n’était en réalité ».
Ni un «accelerationist», ni un «doomer»
OpenAI, pendant ce temps, met toutes ses ressources sur son projet ChatGPT et aura le succès qu’on connaît, à la surprise de tous, à commencer par ses créateurs : « OpenAI n’avait même pas annoncé en interne le lancement de ChatGPT ! À vrai dire ils sont tombés dessus sans le savoir. D’ailleurs ChatGPT est un ‘misnomer’, c’est beaucoup moins un chatbot qu’un moteur de recherche intelligent ».
Moteur de recherche sous stéroïdes, certes, mais moteur de recherche qui, à la différence des autres, ne cite pas ses sources. « Cela crée un problème existentiel pour l’internet. Je suis inquiet pour l’état de l’internet. Il faudra bien trouver une solution pour rétribuer les auteurs. En fait nous sommes à l’ère de Napster ! ». La plateforme peer-to-peer permettait de partager des fichiers audio sans rémunérer les auteurs et a été obligée de fermer ses portes en 2001, laissant la place aux Spotify de ce monde. « OpenAI refuse pour l’instant d’identifier les sources de son contenu, ils ont peur d’ouvrir la boîte de Pandore, mais c’est inéluctable, il faudra bien rémunérer le contenu à la source ».
S’il s’avoue « troublé » par les évènements récents chez OpenAI (le directeur général Sam Altman débarqué soudainement par le conseil d’administration et revenu victorieux, quelques jours plus tard, avec un nouveau board où siège désormais Microsoft), Jérôme Pesenti ne se reconnaît dans aucun des camps des partisans ou détracteurs de l’IA. « Je ne suis ni un ‘accelerationist’, ni un ‘doomer’, dit-il. Je suis pragmatique. L’intelligence humaine est beaucoup plus complexe et riche qu’on ne le pense. On n’arrivera pas à la performance humaine de mon vivant ! ». Il raconte sa visite récente dans un laboratoire de chimie : « Les expériences sont faites par des robots, mais l’IA est incapable de transporter ou de nettoyer les fioles ! ».
L’IA pour apprendre à apprendre
Pas question donc de se faire remplacer par l’IA. En revanche « nous serons remplacés par des gens qui utilisent l’IA ». Fondateur depuis janvier 2023 d’une startup EdTech, SizzleAI, il constate une amélioration de la performance de ses équipes d’environ 50% grâce à l’IA. L’idée de SizzleAI est simple : proposer un partenaire d’apprentissage personnalisé pour apprendre à apprendre. « Nous sommes le Duolingo pour tout ! ». Vous bloquez sur un problème de maths ? Sizzle AI vous apporte des indices, des conseils, pour vous aider à le résoudre. L’équipe de 11 personnes est installée dans le Financial district de New York. Lancé en août, SizzleAI comptait au bout de deux mois et demi 100.000 utilisateurs. Jérôme Pesenti applique le playbook des réseaux sociaux, « audience first », avec en objectif annoncé d’être la première app avec 1 milliard d’utilisateurs. La plateforme est totalement gratuite pour le moment, et n’envisage pas de monétiser avant d’avoir atteint 10 millions d’utilisateurs. Elle lancera l’année prochaine un feed éducatif à la TikTok où chacun pourra développer ses connaissances, sur le sujet de son choix, 15 à 20 minutes par jour.
Jérôme Pesenti prédit que l’IA va révolutionner nos façons d’apprendre. « Bien sûr qu’il faut faire attention à comment nos enfants utilisent l’IA, mais c’est le rôle des éducateurs de leur enseigner comment l’utiliser pour décupler leur efficacité ». Demander à ChatGPT d’écrire ses textes, non. Mais utiliser ChatGPT en aide à l’écriture, oui ! « Souvent l’école n’apprend pas bien à écrire. Elle nous entraîne à faire du remplissage. Or ce remplissage n’a plus aucune valeur aujourd’hui ». Selon lui, le monde éducatif doit s’emparer de l’IA, et évaluer les élèves avec et sans accès à l’outil. Pour autant, il ne manque pas d’empathie pour les éducateurs, dont le monde a changé du jour au lendemain : « On n’a jamais vu une technologie se développer à une vitesse pareille ! Les machines à calculer ont mis beaucoup plus longtemps… ».
On se souvient de ce salon de thé feutré et chaleureux sous les arcades de la rue de Rivoli où on boit le meilleur chocolat chaud au monde. Angelina Paris est une institution du savoir-faire pâtissier français qui s’est installée à New York fin 2020 et y compte maintenant deux adresses. La communauté de femmes francophones She for S.H.E organise une rencontre avec la nouvelle cheffe pâtissière d’Angelina Paris USA, Laure Larrose, le jeudi 11 janvier prochain, dans la boutique-salon de thé de l’Upper East Side.
Arrivée récemment au sein de la maison française, Laure Larrose racontera son parcours et sa passion pour la pâtisserie française. Après une expérience à Londres dans le restaurant étoilé Yauatcha, puis avoir construit la réputation de la maison Nadège Pâtisserie à Toronto pendant neuf ans, elle est arrivée à New York où elle a collaboré avec Epicerie Boulud avant d’entrer chez Angelina Paris USA.
La soirée sera suivie d’une dégustation de la galette des rois d’Angelina. Un moment de partage, d’échange… et de gourmandise.
Le retour des grandes et petites histoires qui font de New York une ville sans égale.
❄️ Nous commençons cette année par l’information la plus importante de la semaine : a-t-il neigé sur la ville ce week-end, oui ou non ? Car une gigantesque tempête de neige avait été annoncée et 15 centimètres de poudreuse attendus. Nous avions sorti nos bottes disgracieuses, mais chaudes. Les chasse-neige attendaient dans les rues, moteurs allumés. Las, il a bien neigé quelques flocons, mais ils ressemblaient plutôt à une pluie désagréable et glacée.
? La liste des jours fériés 2024 est consultable ici.
Et, sur le même sujet, une élue du conseil municipal de la ville a déposé une proposition de loi visant à faire du 4 décembre, date de l’anniversaire de Jay-Z, un jour férié pour tous les New-Yorkais.
? Le salaire minimum est passé de 15$ à 16$ à NYC, Long Island et dans le Westchester.
? Malgré la baisse significative des dernières semaines, les fusillades ont atteint en 2023 leur plus haut niveau depuis 15 ans.
? Le premier bébé new-yorkais est né à minuit dans le même hôpital de Coney Island que son père.
? 4,000 plongeurs ont participé au 121e Coney Island Polar Bear cette année.
Ⓜ️ Une collision entre deux rames de métro au niveau de la 96e rue West Side s’est produite jeudi dernier, blessant 26 passagers. Une erreur humaine serait à l’origine de l’accident.
⛔️ Les vendeurs sans autorisation sont désormais interdits sur les tous les ponts de la ville et particulièrement sur celui de Brooklyn.
? Si vous n’avez pas pu ou voulu assister à la cérémonie du 31 décembre sur Times Square en voici les images. Environ un million de personnes présentes, 45 tonnes de confettis lancées (pas par Alexis Buisson qui a renoncé au Ball drop cette année). Il a fallu environ six heures aux 200 agents d’entretien de la ville pour tout nettoyer.
? Une mère de 58 ans et sa fille de 36 ans ont obtenu leur diplôme universitaire le même jour dans une université de l’État de New York.
? Les applications de livraison telles que DoorDash et Uber ont réduit la possibilité pour les clients de donner des pourboires aux livreurs à New York afin de contester la hausse du salaire minimum.
? Le retour du port du masque. Il est à nouveau obligatoire pour le personnel et les visiteurs de 11 hôpitaux de NYC en raison de l’augmentation des cas de grippe et de covid.
?En 2023, le marché de l’immobilier a généré 40.232.297.797 de dollars. Le quartier le plus cher de Manhattan à la vente est Soho, suivi de Tribeca puis Nolita.
? 1,4 million de cyclistes ont effectué près de 36 millions de trajets en Citi Bike. Du coup, l’abonnement annuel augmente de 17% et passe à 220$. Par ailleurs, le péage entre le New Jersey et Manhattan a, lui aussi, augmenté de 1$.
?⚖️ Le New York Times poursuit Microsoft et OpenAI en justice, affirmant que ses droits d’auteur ont été violés pour former le système ChatGPT.
?Polémique : qui de Donald Trump ou du réalisateur Chris Columbusaurait supplié l’autre pour que l’ancien président apparaisse dans la scène du Plazza de « Maman, j’ai encore raté l’avion »?
?⚖️ L’ancien maire de New York, Rudy Giuliani, a annoncé être en faillite personnelle après avoir été condamné à payer 148 millions de dollars pour diffamation après l’élection présidentielle de 2020. De son côté, Donald Trump a été condamné à 370 millions de dollars pour fraude.
? Les fonds pour la construction d’une piscine flottante sur l’East River ont été débloqués. Ouverture au public l’année prochaine.
⛪️ L’église presbytérienne située Upper West a suspendu ses plans de démolition après que Mark Ruffalo et Matt Damon se sont mobilisés pour la sauver.
Ⓜ️ C’estbientôt la fin de la carte de métro souple remplacée par des moyens de paiements sans contact, comme le téléphone ou la carte de crédit. Si vous n’avez ni l’un ni l’autre, vous pourrez toujours acheter des crédits sur une carte… sans contact.
? La gouverneure Kathy Hochul a proposé que les femmes enceintes de New York puissent bénéficier de 40 heures de congés payés pendant leur grossesse.
C’est tout pour cette semaine. On se retrouve lundi prochain.
Journalistes en herbe, à vos plumes. Comme chaque année, French Bridge, le média participatif pour les adolescents francophones en Amérique du Nord, organise son grand concours autour de la langue française. Les jeunes âgés de 13 à 19 ans vont pouvoir exprimer leur créativité et laisser libre cours à leur imagination en réalisant une production sur le thème « Un jour dans la peau de… ». Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au lundi 5 février.
Article, vidéo, podcast, dessin… en français
Pour participer, vos enfants sont invités à relater le quotidien d’un personnage de fiction ou réel de leur choix en rédigeant notamment un article dans la langue de Molière. Toutefois, nul besoin d’être un as de l’écriture puisque les podcasts, photomontages, dessins humoristiques, vidéos et planches de bandes dessinées sont aussi les bienvenus.
Concours 2024 de French Bridge sur le thème « Un jour dans la peau de… ».
« L’idée, c’est qu’ils prennent du plaisir, indique Nadia Bodin, chef de projet pour l’association French Bridge. Ils peuvent se mettre dans la peau de leur héros préféré, de leur animal de compagnie, de leur grand-père ou même de leur professeur de mathématiques qui les terrifie, plaisante-t-elle. L’humour est certainement une bonne façon d’aborder ce concours. »
Réunion virtuelle le 19 janvier
Les ados en manque d’inspiration pourront être accompagnés dans leur réflexion lors d’une réunion virtuelle organisée par les bénévoles de l’association le vendredi 19 janvier (4:30pm PT – 7:30pm ET). Leurs travaux seront ensuite examinés au mois de février par un jury qui décernera les prix – des bons d’achat allant de 50 à 100 dollars – aux trois premiers lauréats.
Créé en 2020 dans la Baie de San Francisco par Émilie Nolf, coordinatrice pédagogique pour la Fédération FLAM USA, le média participatif French Bridge a la particularité d’être fait pour et par les adolescents francophones, le comité éditorial étant uniquement composé de collégiens et de lycéens vivant en Amérique du Nord.
Il officie chaque jour sur RMC aux côtés d’Apolline de Malherbe dans « Apolline Matin », distillant son humour grinçant quand il commente l’actualité, que ce soit la loi sur l’immigration, Halloween ou le conflit israélo-palestinien. Arnaud Demanche viendra présenter son spectacle « Faut qu’on parle ! » à Menlo Park, San Francisco (présenté par French Talent USA) puis à Los Angeles en février 2024.
Auteur pour Nicolas Canteloup pendant une dizaine d’années, Arnaud Demanche occupe la scène humoristique française depuis près de vingt ans. Son humour potache avait déjà fait mouche en 2004 en se faisant passer pour Jacques Chirac et en animant le faux blog du Président de la République. On lui doit aussi la création des Gérard, qui récompensent les plus mauvais animateurs du PAF. Auteur, réalisateur, comédien, chroniqueur, Arnaud Demanche a plus d’une corde à son arc pour faire rire son public.
Il se produira aux dates suivantes en Californie:
le lundi 12 février 2024 au Guild Theater de Menlo Park. Billets.
le mardi 13 février 2024 au Brava Theater de San Francisco. Billets.
le jeudi 15 février 2024 au Laugh Factory Hollywood à Los Angeles. Billets.
Nous vous donnions rendez-vous en ligne jeudi 4 janvier pour notre premier webinaire de l’année, dédié aux bonnes résolutions financières que tous les expatriés aux États-Unis devraient prendre en 2024.
Au programme : – Quelles sont les prises de décision patrimoniales indispensables, ici aux États-Unis ? – Comment protéger sa famille et son patrimoine de manière optimale ? – Quelles sont les orientations pour votre portefeuille d’investissement en 2024 ?
Avec Alexandre Quantin, Wealth Management Advisor & Partner chez USAFrance Financials. Avec plus de 10 ans d’expérience en gestion patrimoniale pour les Français aux États-Unis, Alexandre Quantin fait partie de la liste Forbes des meilleurs professionnels de la finance en 2023.
Qu’on se souvienne de lui avec son visage d’adolescent dans les 400 coups de Truffaut ou celui, plus dessiné mais tout aussi perdu, de ses rencontres suivantes, avec Godard notamment, Jean-Pierre Léaud reste cet acteur emblématique de la Nouvelle Vague et le symbole d’un certain cinéma français.
C’est tout cela que va essayer de mettre en avant le Metrograph ces prochains jours, en programmant six films de l’acteur français, aujourd’hui âgé de 79 ans : « Love on the run » (L’Amour en fuite) de François Truffaut, vendredi 5 janvier, billets ici ; « Stolen Kisses » (Baisers volés) de François Truffaut, samedi 6 janvier, billets ici; « Bed and Board » (Domicile conjugal) de François Truffaut, vendredi 12 janvier, billets ici; « I hire a contract killer » (J’ai engagé un tueur) d’Aki Kaurismaki, samedi 13 janvier, billets ici; « Made in USA » de Jean-Luc Godard, samedi 20 janvier, billets ici; et « Santa Claus has blue eyes » (Le Père Noël a les yeux bleus) de Jean Eustache, vendredi 26 janvier, billets ici.
La rétrospective s’intitule « Jester in the court : Jean-Pierre Léaud’s finest follies » (Un bouffon à la court : les plus belles folies de Jean-Pierre Léaud). Des folies comme ça, on en redemande.
Qu’elle soit célébrée pour des raisons religieuses ou païennes, la fête des rois a cet incroyable pouvoir de nous remettre un peu de baume au cœur en cette époque morose qui succède aux fêtes de Noël. Et, par chance, les pâtissiers français et américains sont nombreux à avoir perpétué cette tradition sur le sol texan pour le plus grand bonheur de nos palais.
Houston
Petites nouvelles sur la liste cette année, les galettes de Chef’s Providence que nombre d’entre-vous ont découvert au Farmers Market de Woodlands. Une taille unique pour 6 personnes qui se décline en deux recettes, la traditionnelle à la frangipane ou celle à la compote de pommes, toutes deux au prix de 41$. Commande par téléphone uniquement (346) 831-5275, tout le mois de janvier, pour un retrait en boutique 14300 Cornerstone Village Drive, Suite 218,Houston ou le samedi à TheWoodlandsFarmers Market.
French Gourmet Bakery propose, à partir du vendredi 5 janvier, sa traditionnelle galette maison à la frangipane crémeuse, en une seule taille pour 12 personnes, avec couronne et fève, pour 55$. Sur commande uniquement sur le site ici ou par téléphone. Galette à retirer les vendredi ou samedi après-midi en boutique French Gourmet Bakery, 2250 Westheimer Rd. – (713) 524-3744
La galette des rois de Magnol est fourrée à la crème d’amande et se présente cette année en deux tailles, pour 8 convives à 55$ ou pour 10 convives à 62$. Les commandes seront prises jusqu’à la fin du mois. Prévoir de la commander au moins 24 heures à l’avance. Magnol, 1500 North Post Oak #160 – (281) 846-6661.
La Tartine de Houston propose sa galette traditionnelle à la crème d’amande pour 6 personnes au prix de 30$. À commander au moins 48 heures à l’avance, en ligne ou par téléphone. 1570 South Dairy Ashford Suite B1 – (713) 360-6771.
Chez Flo Paris, la galette des rois se présente à la frangipane traditionnelle et en une taille unique, pour 6-8 personnes. Elle est vendue 40$ et sera disponible tout le mois de janvier. À commander soit par téléphone au (713) 706 4442, soit en boutique. Flo Paris Westheimer, 5757 Westheimer Rd Ste 105; Flo Paris Downtown, 919 Milam St Ste T800.
Chez Bonjour Café, pas de galette des rois mais un gâteau brioché avec fruits confits, couronne et santons de France. Ce dessert des rois, dans la tradition du sud de la France, est proposé à 32$ pour 6 à 8 personnes. Bonjour Café, 20829 Kingsland Blvd, Suite A, Katy.
Le restaurant Brasserie du Parcpropose également une galette des rois traditionnelle pour 8 personnes au prix de 40 dollars. Passer commande par téléphone au (832) 879-2802 ou par message (832) 367-8940 pour un retrait directement au restaurant. Brasserie du Parc, 1440 Lamar Street, Houston
Austin
La galette de Julie Myrtille, « légère et croustillante » promet la cheffe pâtissière du même nom, est une galette classique à la frangipane à 45$ pour 6 personnes. Elle est accompagnée d’une fève en porcelaine (à cacher) et d’une couronne et sera disponible à la commande durant tout le mois de janvier sur le site, retrait sur place. Julie Myrtille, 1023 Springdale RD. Building 1D.
Saveurs La Boulangerie propose deux tailles de galette à la frangipane, pour 6 et pour 8 personnes aux prix respectifs de 49$ et 65$. Elles peuvent être commandées jusqu’au 20 janvier. Sylvie prend les commandes par téléphone au (210) 639 31 65. Saveurs, 3801 N Capital of Tx Hwy, Suite D 180.
Violette Bakehouse vient s’ajouter à la liste avec une galette à la frangipane disponible en 3 tailles : pour 4 personnes (30$), pour 6 personnes (37$) et pour 8 personnes (45$). Commande à passer 3 jours à l’avance sur le site ici et à retirer au 101 colorado street, Austin (maison particulière). Les galettes seront disponibles tout le mois de janvier.
Dallas
Salut Paris Bakery rejoint la liste des galettes avec une recette à la frangipane disponible en deux tailles, une pour 4 convives à 30$ et l’autre pour 8 à 40$. La galette pourra être commandée tout le mois de janvier par téléphone (214) 377-9959, sur le site ou en boutique. Salut Paris Bakery 13350 Dallas Parkway, Dallas.
Petite nouvelle cette année, la galette de Madeleinery, la reine des madeleines, qui propose une galette à la frangipane disponible en 3 tailles : une part individuelle au prix de 7$, une option à 35$ pour 6 convives et une galette pour 8 convives à 42$. Passer commande 48 heures à l’avance par téléphone (972) 795-1041 ou via Instagram Madeleinery. Commande à récupérer sur le parking de Trader Joes 5550 W Lovers Ln Ste 168, Dallas ou livrée à domicile (frais 6$).
Comme tous les ans, l’enseigne du groupe HEB Central Market propose sa galette à la frangipane au prix de 19.99$, avec sa fève et sa couronne. À retrouver en magasin sous le nom de galette des rois.
Jusqu’au samedi 6 janvier, la boulangerie-pâtisserie Village Baking Co, propose de retrouver des souvenirs d’enfance – Clint Cooper, le chef boulanger texan, a été formé dans des boulangeries de village en France – avec sa galette à la crème d’amande et ses fèves en céramique traditionnelles, du petit Jésus à la Tour Eiffel. À commander sur place dans l’une des trois adresses ou en ligne. Village Baking Co, Lower Greenville, 1921 Greenville Ave. – (214) 821-3477; Knox St., 3219 Knox St. Suite #130 – (214) 258-5183; OakLawn, 3218 OakLawn Ave. (214) 833-3020.
San Antonio
Saveurs La Boulangerie propose deux tailles de galette à la frangipane, pour 6 et pour 8 personnes aux prix respectifs de 45$ et 60$. Elles peuvent être commandées jusqu’au 31 janvier. Sylvie prend les commandes par téléphone au (210) 639 31 65. Saveurs, 207 Broadway, San Antonio