Alerte pour les amateurs de vin californien ! Le festival Zinfandel revient à San Francisco dans un tout nouveau format et s’installe au Four Seasons et au parc The Presidio.
Quatre événements autour du fameux cépage californien seront organisés sur trois jours pour vous permettre de vivre l’expérience Zinfandel dans un environnement agréable et intime. Au programme: dégustations, réception chic avec menu spécial au Four Seaons et ateliers pour les amateurs.
Le Zinfandel représente un peu plus de 10 % du vignoble californien aujourd’hui. Ce rendez-vous offre une gamme de d’expériences uniques, qui met en relation vignerons, professionnels du vin et amateurs.
Revue de presse. Newsweek a perdu une bataille mais pas la guerre. Quelques jours après la publication de son article de « French Bashing », « The Fall of France », le magazine en ligne récidive et signe un second article, évoquant cette fois « Comment la nation du coq est devenue une autruche ».
Beaucoup plus documenté, l’article s’appuie notamment sur un papier de la Commission européenne évoquant, selon le site, “la détérioration de la balance commerciale de la France et de ses niveaux de compétitivité, sur fond de dette publique vertigineuse“. La journaliste, Leah McGrath Goodman, s’en tient aux faits et montre comment l’horizon économique de la France s’est assombri ces dernières années, alors que « cela ne devait pas se passer ainsi ».
En fin d’article, elle retire les gants. “Il y a autre chose qui pourrait aider les Français: ne pas nier que leur pays est dans l’impasse“, écrit-elle en faisant allusion au tollé provoqué par le premier article de Newsweek. Elle se contente de répondre à un point relevé par un des nombreux détracteurs français de l’article. “L’un d’entre eux a remarqué: “si l’élite quitte la France, comment se fait-il que trois des six écoles MBA pour des dirigeants d’entreprises du Fortune 500 sont françaises?, écrit la journaliste. Qui répond: “Un bon point. En effet, comme les entreprises de Fortune 500 sont toutes basées aux Etats-Unis, pourquoi tant de dirigeants d’entreprises français traversent l’Atlantique pour faire fortune, plutôt que de rester en France?“.
Et de terminer son argumentaire: “Cette question fait partie des nombreuses auxquelles doit répondre la nation du coq devenue nation de l’autruche. Comme les Français le disent: “Voir venir.”” Ce que justement ils ne disent pas… Comme il l’avait fait pour « The Fall of France », Le Monde s’est appliqué à reprendre une à une les contre-vérités publiées dans l’article. A vous de juger.
Un an au Mali
Si la situation économique de la France ne fait pas rêver, il y a bien une chose qui a permis à François Hollande de redorer son image de leader: la guerre au Mali. C’est ce que rappelle The Christian Science Monitor dans un article-bilan, un an après l’envoi des troupes françaises. «L’intervention au Mali reste l’une des seules actions populaires que le Président Hollande ait réalisé depuis son arrivée au pouvoir en mai 2012», note le site d’information.
Si l’opération militaire est un succès en dépit de la mort de sept soldats français et l’exécution de deux journalistes en novembre, « cette tragédie soulève des questions sur la façon dont la paix durable peut être instaurée au Mali. Certains groupes djihadistes se sont regroupés, révélant la fragilité de la sécurité », affirme M. Tisseron, chercheur associé à l’Institut Thomas More, auquel le site a donné la parole.
Le journal, qui se montre assez pessimiste sur l’avenir politique du pays, rappelle que « les divergences politiques qui ont conduit au coup d’Etat en mars restent encore profondément enracinées et le Mali est embourbé dans la pauvreté et la corruption ». Moralité: “Mission accomplie pour la France, mais encore beaucoup à faire“.
Immigration
Le passé colonial de la France impacte la vie quotidienne des Français, comme le raconte Justin E. H. Smith dans le New York Times. Cet Américain installé à Paris est le témoin privilégié des discriminations à l’œuvre dans la capitale.
«Il est difficile de passer plus d’un jour en France sans entendre quelqu’un exprimer la conviction que les minorités ethniques sont le plus grand problème du pays, que la présence d’immigrants compromet l’identité de la France elle-même. Cette conviction est généralement exprimée sans aucune reconnaissance de la responsabilité historique du pays en tant que puissance coloniale ».
« L’égalité est, bien sûr, l’une des vertus à l’origine de la fondation de la République française, mais les critiques de la philosophie des Lumières derrière la Révolution ont révélées, depuis longtemps, un double standard : lorsque l’égalité est invoquée, il est entendu que c’est l’égalité entre égaux » note-t-il.
Dieudonné vs Valls
Le site Bloomberg revient pour sa part sur le match Valls/Dieudonné, s’étonnant que le gouvernement ait« érigé en héros des marginalisés et des mécontents un mauvais comédien » en tentant maladroitement de lutter contre l’antisémitisme. « La République a gagné » avait déclaré le ministre de l’Intérieur juste après l’interdiction du spectacle par le Conseil d’État.
La déclaration a choqué le média américain. « Aussi exagérée soit-elle, elle reflète précisément la gravité des actions du gouvernement qui mène une bataille pour la cohésion nationale, note Bloomberg. En ces termes de « nous contre eux », Valls se tient bravement du côté de “la République” et gagne des batailles en son nom. Dans la pratique, il est en train de jouer une comédie pas drôle en protestant contre une bannière parfaitement légitime: la liberté d’expression ».
Sexy, cynique, brillant. Le film noir est à l’honneur du 24 janvier au 2 février dans le cadre du San Francisco Noir City Film Festival. Avec plusieurs films français et internationaux au programme pour la première fois.
Ce rendez-vous, qui fête cette année sa 12e édition, plongera dans le cinéma de l’après-Seconde guerre mondiale. Robert Mitchum, Ava Gardner, Orson Welles, Dan Duryea et Lizabeth Scott entre autres monstres sacrés squatteront le Castro Theatre pendant une semaine. Ils seront rejoints par les Français Yves Montand et Jean Gabin.
Parmi les pellicules françaises, on retrouve notamment “Le Salaire de la peur” d’Henri-George Clouzot (31 janvier, 21h), “Quai des Orfèvres” (1er février, 14h), “Une si jolie petite plage” avec Gérard Philippe (1er février, 16h) ou encore “Deux hommes dans Manhattan” de Jean-Pierre Melville (1er février, 19h15).
La température risque de chuter à Central Park. Samedi 18 janvier, le parc accueillera son traditionnel Ice Festival, un festival de sculpture sur glace.
Les artistes du collectif Okamoto Studio, connus pour leurs performances “live”, sculpteront quelques-uns des joyaux architecturaux de Bethesda Terrace, la terrasse qui surplombe la fontaine du même nom: les célèbres piliers ou encore l’ange de la fontaine figureront parmi les modèles. L’occasion d’en apprendre un peu plus sur le design du parc et sur sa conservation.
Formé en 2003 et basé à New York, ce collectif est connu pour sublimer la glace en créant de magnifiques œuvres d’art. Ils ont entre autre collaboré avec le Cirque du Soleil et réalisé au Madison Square Garden des sculptures en lien avec le thème du spectacle de la troupe.
L’entrée est libre. Des stands de chocolat chaud seront à diposition pour vous réchauffer.
(Relaxnews) – À la mi-janvier, les visiteurs en séjour à New York (et les New-Yorkais) ne manqueront pas de faire le plein de spectacles en profitant de la quatrième édition du programme “Broadway Week”, qui permet de bénéficier d’une place gratuite pour une place achetée pour l’un des shows de la célèbre avenue.
Rendez-vous est donné à Balthazar, 11h. Ponctuel, Jean Reno débarque, lunettes de soleil sur le nez, dans le restaurant de Manhattan.
Il se met à l’aise, commande un pastis, regarde autour de lui. Alors qu’on commencait à penser qu’il passerait miraculeusement inaperçu dans ce lieu bondé de Français et de francophiles, il remarque qu’un client assis à une table voisine cherche à le photographier. A son insu. Erreur. “Léon” se réveille. “T’arrête ça tout de suite!“, lui lance-t-il, levant ses mains comme pour se cacher.
“Ca ne me gêne pas quand on me demande, mais comme ça, ça m’énerve“, confie un Reno contrarié.
(suite de l’article sous la vidéo)
JeanRenoOliveOil by frenchmorning
Les Américains le connaissent de super-productions comme Léon, The Da Vinci Code et Mission Impossible. Mais la star française, qui habite à New York, n’est pas venue parler de son dernier film, mais d’un rôle qu’il joue dans l’ombre en France: celui de producteur d’huile d’olive.
Propriétaire d’une résidence secondaire dans les environs de Maussane depuis 1991, cet amoureux de la Provence possède des oliviers qu’il utilise pour confectionner son huile au sein de la coopérative oléicole Moulin Jean-Marie Cornille. Il est d’ailleurs président des Amis du Moulin Jean-Marie Cornille, une association qui oeuvre à la promotion de la coopérative.
Avec l’aide d’Ariane Daguin, propriétaire de D’Artagnan, “reine du Foie Gras” aux Etats-Unis, l’acteur lance aujourd’hui son bébé – Réserve Jean Reno – dans plusieurs restaurants new-yorkais, dont Balthazar.
Son pitch? “Goutez-là“, glisse-t-il. Ce qu’il fera devant nous en avalant une gorgée de son huile.
“Conquérir” le marché américain, un grand mot, reconnaissent les deux compères, qui se sont rencontrés grâce à une amie commune (une certaine Laeticia Hallyday). L’huile étant distribuée en très faible quantité, comme en France, hors de question d’avoir des ambitions démesurées.
Pour l’acteur, il s’agit de faire découvrir un peu de Provence aux Américains. Il le fera d’ailleurs sur grand écran dès Pâques, avec la sortie américaine de son film Avis de Mistral, qui prend place dans les Alpilles. On arrosera ça à l’huile.
“Je peux varier les ambiances. En un quart de seconde, je peux vous faire voyager partout“. Dans le monde de Christophe Laudamiel, pas besoin de prendre d’avion. Il suffit d’inspirer un bon coup.
Lauréat des Olympiades de Chimie en 1986 et ancien professeur de la même matière au MIT et à Harvard, il dévie de son objectif initial lorsqu’il rencontre, par le biais de son travail, des aromaticiens. C’est une révélation: il devient créateur de parfums et finit par travailler pour Ralph Lauren ou encore Abercrombie & Fitch. Il a depuis lancé sa propre entreprise, Dreamair, spécialisée dans la création d’expériences olfactives.
Aujourd’hui, Christophe Laudamiel veut aider le grand public à développer son odorat. Pour ce faire, le parfumeur vient de lancer, avec l’aide de François Damide (président de Crafting Beauty), un projet de collaboration avec la High School of Fashion Industries, un lycée de 1.800 élèves dédié aux métiers de la mode et du marketing. M. Damide est aussi trésorier de l'”advisory board” de l’établissement.
Chaque mois, trois élèves se rendent à l’atelier du parfumeur afin de choisir le parfum du mois. “Ils verront le piano de parfumerie. Ensuite on choisira ensemble un parfum. Puis ils construiront un visuel, une explication, un poème pour illustrer le parfum qui est joué dans le lobby de l’école“.
Le Français leur donnera ensuite les composantes du parfum pour permettre aux élèves de les partager avec leurs camarades. “Ce sont des parfums que j’ai déjà créés. Je ne veux pas que l’on puisse croire que c’est facile de créer un bon parfum, une belle composition“.
Scarlett Johansson vit à Paris depuis quelques mois. Elle adore la ville… moins les Parisiens.
De passage chez David Letterman, la star a raconté son installation sur la Rive Gauche (“près du Quartier Latin”), où elle vit désormais avec son fiancé, le publicitaire français Romain Dauriac. Et les Parisiens en prennent pour leur grande.
“Au début, dit-elle, ils étaient sympas. Puis quand ils ont compris que j’allais rester, ils sont devenus impolis”. Principal motif de plainte: la façon de marcher des Parisiens, “qui refusent de céder le passage quoiqu’il arrive”…
Le passage du David Letterman sur CBS:
Revue de presse On ne vous cachera pas notre déception: dans un pays pourtant habitué des scandales politico-sexuels, la révélation de la relation entre François Hollande et Julie Gayet ne passionne guère la presse américaine.
Alors que les Britanniques se délectent, la bombe lancée par Closer est certes évoquée par les journaux et sites d’information, mais avec une discrétion surprenante, notamment de la part des tabloïds. Le New York Post se contente d’un compte-rendu des plus neutres de l’affaire.
La raison de cette relative indifférence? Visiblement l’idée que “les Français sont comme ça”. “D’ordinaire, ce genre de révélation ne choque pas les Français, et celui-ci n’est pas différent”, note le New York Times,qui prédit que le scoop de Closer ne nuira pas dans l’opinion à un président “déjà bas dans les sondages”.
L’affaire est surtout l’occasion pour la presse américaine de s’intéresser à la fin d’une autre exception française, celle du respect de la vie privée des politiques. Bloomberg, dans un article intitulé “Pourquoi la vie privée des hommes politiques français devient beaucoup moins privée”, y voit “le fruit d’une compétition croissante dans la presse scandale pour un lectorat qui rétrécit”.
Mais tous notent avant tout la quasi unanimité des commentateurs, du personnel politique, et du public français à souligner l’importance du respect de la vie privée. “Le plaidoyer de M. Hollande pour le respect de la confidentialité semble avoir résonné dans le pays”, relève le New York Times, qui établit un lien avec les révélations de l’espionnage de masse de la NSA par Edward Snowden.
Normal ou pas…
Alors que le New York Times cite des Français assurant que l’attitude du président français “montre qu’il est normal”, le Christian Science Monitor estime au contraire que l’image véhiculée par les allégations de Closer est bien loin de celle qu’Hollande avait cultivée pendant sa campagne de 2012. « Bien qu’il n’ait pas nécessairement été une lueur d’espoir, son comportement de tous les jours était alors ce que recherchaient désespérément les Français. Son surnom de Monsieur Normal n’était pas charismatique mais les Français voulaient tout ce qui pouvait contraster avec le « bling » de leur ancien Président, Nicolas Sarkozy, qui avait épousé la chanteuse et ancien mannequin Carla Bruni et et n’avait aucun scrupule à mener une vie fastueuse » poursuit le journal avec une pointe de regret, comme si Mr Normal n’existait déjà plus.
Envie de revoir les 400 coups ou Pierrot le fou ou de les découvrir sur grand écran ? Ca tombe bien, l’Austin Film Society projette des films de Jean-Luc Godard et François Truffaut jusque fin février !
Du 3 janvier au 23 février, The Austin Film Society diffuse les plus grandes œuvres cinématographiques des deux titans de la Nouvelle Vague française. Cette série est programmée par Lars Nilsen et Chale Nafus.
L’histoire de The Austin Film Society commence en 1985 lorsqu’un un groupe d’amis se réunit pour regarder des films qui n’ont pas été distribués au grand public. Cette réunion prend très vite de l’ampleur –les jeunes gens se faisant passer le mot- et bientôt les cinéphiles sont une centaine : l’Austin Film Sociéty était née. Honorant les grands classiques et les films indépendants, les projections se sont déroulées partout dans Austin.
Aujourd’hui, cette organisation à but non lucratif compte 1900 membres et rassemble une audience considérable lors de leurs programmes– 40 000 en 2012.
Dans la pénombre de la boîte de nuit glaciale où se tient leur “show case”, ils ont tous des étoiles dans les yeux. Ces jeunes entrepreneurs ne cachent pas leur fascination pour New York et leur envie d’y faire leur trou.
Le voyage d’étude à New York semble être devenu le passage obligé de tout entrepreneur français qui se respecte. Dernier en date, celui de ces 10 startups françaises, qui ont traversé cette semaine l’Atlantique pour un voyage organisé par Effective Capital, une société de conseil et VentureOutNY, une association qui fait la promotion de New York auprès d’entrepreneurs étrangers.
Au programme, une immersion intensive dans l’univers de la Silicon Alley et des rencontres avec des “venture capitalists”. Certaines de ces startups sont déjà bien établies en France et même rentables (comme Sellsy, site de gestion des ventes), d’autres plus vertes. La condition pour être du voyage est d’avoir déjà levé des fonds et disposer d’un produit déjà disponible. Et, surtout, de rêver d’Amérique. “Ce sont toutes des entreprises qui ont besoin de New York dans leur business model” explique Ilan Elbase, co-fondateur de Effective Capital.
Avec un niveau d’anglais qui va, selon les cas, de balbutiant à excellent, les 10 jeunes entrepreneurs se lancent sur la scène pour le traditionnel “pitch” de une minute présentant leur produit, forcément révolutionnaire. En coulisses, une majorité disent leur envie de venir s’installer à New York, pour des raisons qui vont des charges françaises (peu citées) à l’énergie américaine (vantée par tous) ou encore la taille du marché états-unien, seule voie, pensent certains, pour atteindre la rentabilité.
Tour d’horizon de ces 10 jeunes entrepreneurs et de leur rêve américain:
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