(Relaxnews) – La maison de luxe française a choisi le Texas pour présenter sa collection 2013/14 des Métiers d’Art.
Au cours des dix dernières années, le défilé Métiers d’Art de Chanel a voyagé à travers le monde, présentant les luxueuses créations de la griffe. L’année dernière, le directeur artistique de la maison, Karl Lagerfeld, s’est laissé inspirer par les Highlands avec un défilé faisant la part belle au tartan présenté dans le Palais Linlithgow en Ecosse. Les défilés précédents avaient été accueillis par les villes de Tokyo, Londres et Shanghai.
Le mardi 10 décembre, c’est le Fair Park de Dallas qui attirera de nombreuses célébrités du monde entier pour ce défilé 2013/14. Ce lieu sied à ravir à la griffe parisienne, car il a vu le jour en 1936 pour fêter le centenaire de cet état du Sud et abrite la plus grande collection de sculptures, de bâtiments et de peintures art déco au monde.
Gabrielle “Coco” Chanel elle-même s’est rendue dans cette ville en 1957 pour y recevoir le prix Neiman Marcus Award venant couronner son apport au monde de la mode.
Cet événement sera aussi l’occasion de découvrir en avant-première mondiale le court-métrage d’une trentaine de minutes de Lagerfeld intitulé “The Return”. Géraldine Chaplin et Rupert Everett campent les rôles principaux de cette intrigue qui s’intéresse au retour de Coco Chanel dans l’univers de la mode, et plus particulièrement sur la réouverture de sa maison de couture à Paris en 1954. Karl Lagerfeld s’attache également à montrer le lien qui unit la couturière aux Etats-Unis.
Le film sera présenté en amont du défilé, à 18h30 heure locale, et sera diffusé simultanément sur le site Chanel.com.
Le défilé Métiers d'Art de Chanel débarque à Dallas
Try The World met la France en boite
Mettre Lutèce en amphore n’est pas possible, mais Paris en boite, si. La preuve: Try The World, une marque co-fondée par le Français David Foult et l’Américaine Kat Vorotova.
La « Paris Box », telle est le nom du produit star de cette petite entreprise lancée en février. Cette boite aux allures de coffret de Tiffany contient des produits français (crème de marrons, fromage, nougat, thés…) et des recommandations écrites de chansons, films, poèmes et lieux touristiques pour permettre aux acheteurs américains de découvrir la Gaule à travers l’art et la gastronomie. Objectif: “Inciter les Américains à prendre leur passeport, lance David Foult. 70% des Américains n’en ont pas. Ils aiment l’idée d’aller en France, mais n’y vont pas.” Une boite sur Tokyo vient d’être lancée, et une autre sur Rio de Janeiro suivra.
Le Français, passé par la banque Lazard et Bercy, n’en est pas à sa première entreprise. Il y a cinq ans, il a lancé une société de microcrédit au Vietnam. L’aventure Try The World commence à l’université Columbia à New York. Etudiants globe-trotters, Kat Vorotova et David Foult se rencontrent lors d’un évènement de découverte des cultures. Ils décident de s’associer pour lancer Try the World, “le premier tour du monde à domicile“, se félicite David Foult. Leur modèle: Birchbox. Créée par deux anciennes étudiantes d’Harvard en 2010, la firme propose à ses clients de recevoir tous les mois des boites remplies de produits cosmétiques et de santé haut de gamme. Elles ont levé pas moins de 11,9 millions de dollars, notamment auprès d’Accel Partners, investisseurs de la première heure dans Facebook et Groupon.
Admis à l’incubateur de Google Incubate NYC , David Foult et Kat Vorotova lancent leur première boite à l’occasion de la Saint Valentin 2013. Elle est remplie de macarons, de chocolats et de produits gourmets français. “Nous avons tout vendu en 72h, indique David Foult. Les petites amies des acheteurs devaient être contentes“. La « Paris Box » fut lancée dans la foulée.
La startup, qui compte six employés, est actuellement en cours de levée de fonds. Avec un argument massue: “Nous n’avons pas de business plan, nous avons un business“, se targue le Français. Pour l’heure, leur bébé est financé uniquement par les ventes de boites, par abonnement (les clients reçoivent une boite différente tous les deux mois) ou à l’unité. Le Français vise aussi les entreprises. “Plusieurs entreprises du CAC 40 nous ont contacté en disant: ‘on est fier de la culture française et on veut la mettre en avant auprès de nos clients et employés’“, poursuit-il. Attention à ne pas être trop bon: plus personne ne voudra de passeport…
Miss France, une belle contre les bêtes
Revue de presse. Miss France qui défend une France “cosmopolite”, les start-ups françaises qui rament, et le réalisateur de “La cage aux folles” qui disparait: voici votre revue de presse de la semaine.
Il faut croire qu’elle a lu notre dernière revue de presse sur la France raciste. Lors de son couronnement samedi, Flora Coquerel, la nouvelle Miss France d’origine franco- béninoise, s’est placée en symbole. “Cela montre que la France d’aujourd’hui est une France mixte, où il y a toutes les cultures , et je pense que beaucoup de gens vont se reconnaitre en moi”. Une Miss qu’Alain Delon n’embrassera pas, lui qui a démissionné du comité suite à son soutien au FN. Il faut dire que l’élection d’une Miss noire est un événement plutôt rare. Le Christian Science Monitor s’amuse de cette élection : “Une défense fougueuse (contre le racisme-NDLR) provient d’un endroit improbable : Miss France“. Une élection pas si futile que ça pour le site. “Beaucoup pourraient rejeter la notion même d’un concours de beauté, et donc les messages qu’il envoie, mais sa portée est indéniable : 8,2 millions de téléspectateurs samedi soir, ce qui en fait le programme le plus regardé du week-end” . Dans l’article, le site revient sur le racisme dans le pays de Voltaire où “les citoyens ne sont pas classés ni par race ni ethnicité, comme aux États-Unis. Tout le monde est tout simplement français”. Ce qui n’empêche pas un repli identitaire. “Un rapport de la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH) ce printemps a montré que les actes et menaces racistes, antisémites et anti- musulmans en France ont augmenté de 23% en 2012.”
Où sont les start-ups ?
Une image qui ne risque pas d’attirer les talents des autres pays. Le Wall Sreet Journal revient sur les difficultés de l’Hexagone à faire éclore les entreprises de demain. “Il serait mieux pour les startups françaises de s’installer à Londres (…) Londres est n ° 1 pour le démarrage après la Silicon Valley” ont récemment déclaré des expatriés lors d’une “Red Carpet Day” en faveur de la ville à Paris. Ambiance !
En cause selon le journal: “Les impôts sur la richesse en France et des lois complexes du travail qui découragent les investissements. En outre, la réputation des start-ups du pays a été éclipsée par des épisodes peu flatteurs comme le blocage gouvernemental du rachat de Dailymotion par Yahoo”. Mais il semblerait que des pépites arrivent à éclore comme le signale le Wall Street Journal, qui parle de la gigantesque pépinière financée par Xavier Niel et de nouvelles incitations fiscales.” Le chômage reste au plus haut depuis 16 ans. Le ministère des Finances estime que la France pourrait gagner jusqu’à un demi pourcent de croissance du PIB en développant ses startups.”
Torture en Algérie
La mort de Paul Aussaresses, décédé la semaine dernière à 95 ans, a retenu l’attention de la presse américaine. Ce général à l’œil bandé avait surpris la France en 2002 en affirmant qu’il avait froidement torturé et exécuté des dizaines de prisonniers pendant la guerre d’Algérie. Le New York Times brosse le portrait du tortionnaire : “Il a écrit dans un livre qu’il battait les prisonniers ; attachait des électrodes à leurs oreilles ou leurs testicules et augmenté progressivement l’intensité de la charge électrique ; versait de l’eau sur leurs visages jusqu’à ce qu’ils parlent ou se noient. Que le captif parle ou pas, dit-il , il l’exécutait, généralement en faisant le travail lui-même“. Le journal rappelle que la France ” a accordé une amnistie générale en 1968 à ceux qui ont servi en Algérie, peu importe les crimes qu’ils ont commis. Et c’est seulement en 1999 que la France a reconnu officiellement le conflit avec l’Algérie comme une guerre. Jusque-là il l’avait été appelé une opération de maintien de l’ordre“.
« La Cage aux Folles », film pour « écervelés »
Dans un autre genre, le réalisateur de “La cage aux folles”, Edouard Molinaro, s’est également éteint. Celui qui avait reçu une nomination aux Oscars pour sa comédie fait aussi l’objet d’un article dans le New York Times. “ M. Molinaro déclaré au New York Times qu’il voulait faire une comédie avec des personnages homosexuels parce qu’ils avaient déjà été représentés dans des drames, et que le public rirait avec eux et pas contre“. Une posture confirmée par les New- Yorkais venus en masse pendant 19 semaines lors de la sortie du film dans la Big Apple en 1981. “Le propriétaire du cinéma, Meyer Ackerman, déclarait qu’il attiré un public varié: hommes et femmes, homosexuels et hétérosexuels, jeunes et vieux“.
Et pourtant, à l’époque, le New York Times voyait en ce film le “type de comédie qui fait semblant d’être sophistiquée mais en fait sert à renforcer les conventions les plus populaires et les stéréotypes les plus écervelés“. Plus drôle encore, le journal mentionne que “lorsque M. Molinaro a vu son film pour la première fois, il pensait qu’il était si mauvais que cela pourrait être son dernier emploi.” Heureusement, il ne l’a pas été.
Pourquoi tant de nids-de-poule dans les routes americaines?
New York a deux passions: les brunches et les nids-de-poule. Quand vient l’hiver, ces crevasses parfois importantes font leur apparition dans la chaussée new-yorkaise. Au grand dam des automobilistes. A l’échelle de l’Etat, ces derniers dépensent pas moins de 16,4 milliards de dollars pour réparer leur voiture accidentée en raison de l’état des routes. Autant dire que les trous dans les routes peuvent devenir des trous… dans le portefeuille.
C’est le soleil, la pluie, le grésil, la neige ou encore la glace qui sont responsables de la dégradation des routes. Les nids-de-poule se forment à la suite de la contraction ou de l’expansion de l’eau provenant de la pluie ou de la neige sous l’asphalte. La densité du trafic vient aggraver ce phénomène. New York n’est pas la seule ville concernée par ce problème. “Il y a une zone qui s’étend de la frontière canadienne au Nord du Kentucky qui connait 50 fluctuations de températures par an“, précise John O’Doherty, un expert au National Center for Pavement Preservation.
La météo n’est pas seule en cause, le manque de fonds fédérés et municipaux pour entretenir les routes aussi, selon plusieurs experts. Notamment en Californie où San Francisco, San Diego et Los Angeles ont les pires routes de Etats-Unis selon un rapport du groupe TRIP de recherche dans les transports. Celui-ci chiffre à 156 milliards de dollars le budget manquant pour maintenir les routes dans leur état actuel. “Pendant des décennies, les Etats ont investi de manière disproportionnée dans l’expansion des routes et ont laissé les travaux de réparation et de conservation en état de sous-financement. Par conséquent, la condition des routes dans de nombreux Etats se détériore“, raconte Geoffrey Anderson, président de l’organisation Smart Growth America dans une tribune dans le Huffington Post.
Ce problème a fait l’objet d’une mobilisation citoyenne dans de nombreuses villes. Des sites internet spécialisés dans l’identification des “potholes” ont fleuri et des groupes d’intervention citoyens se sont mis en place. Les services municipaux sont aussi sur le pied de guerre, quand leur budget leur permet: rien qu’à New York, pas moins de 40 équipes s’affairent au printemps pour reboucher les trous. Le coût pour les municipalités et les Etats peut être conséquent: le budget du Massachussetts pour combler les nids-de-poule s’élève à près de 300 millions de dollars. Sans compter les dépenses découlant des nombreux procès contre les autorités.
Dégustation de vin sur fond de jazz à TriBeCa
C’est toujours l’heure de déboucher une bonne bouteille. Mais avec Noël approchant, l’heure est encore meilleure.
Grands crus, le rendez-vous des amateurs de vins, organise une “spéciale Noël” dans un loft de TriBeCa le 12 décembre. Pendant cette soirée de dégustation sur fond de jazz, quatre vins du Domaine Laroche seront proposés. Antoine Bonnet, de Laroche, expliquera aux participants les origines des vins sélectionnés. Ces derniers viennent de France, d’Afrique du Sud et du Chili.
Les retardataires sont prévenus: la soirée commencera à 20h pétantes. L’adresse sera envoyée aux convives quand ils auront répondu à l’invitation.
Nutcracker selon l'American Swiss Ballet
Le "YouTube des fichiers 3D" lève deux millions de dollars
Deux millions de dollars. C’est la coquette somme levée par l’équipe de Sketchfab, plateforme de partage de fichiers 3D, si l’on en croit le site French Web. Les fonds ont été récoltés “auprès de Balderton Capital, Partech Ventures, Borealis Ventures, et David Cohen, le fondateur de TechStars“, l’incubateur new-yorkais que Sketchfab a rejoint en mars 2013.
C’est un beau coup de pouce pour Alban Denoyel, le jeune fondateur de la start up, que French Morning avait rencontré en juillet. La plateforme lancée en 2012 – et qui avait déjà levé 370.000 euros lors de son passage à l’incubateur parisien Le Camping – permet aux designers, artistes ou autres architectes d’exposer et de partager leurs prototypes en 3D. Elle regroupe aujourd’hui quelque 100.000 utilisateurs, selon French Web. L’été dernier, M, Denoyel confiait à French Morning avoir “diverses pistes” pour l’évolution du site: « Licencier notre technologie, monétiser nos contenus pour des utilisations dans des films, des sites de e-commerce ou des jeux. » Deux millions de dollars en plus, ça facilite les choses.
Municipales à Paris: NKM drague à l'étranger
S’il y a bien une personne qui sait que les Français de l’étranger peuvent voter aux municipales françaises, c’est bien Nathalie Kosciusko-Morizet. Et elle entend bien le faire savoir au plus grand nombre.
Candidate à la mairie de Paris en mars 2014, NKM s’est fendue d’un message aux militants et sympathisants UMP aux Etats-Unis pour les inciter à s’inscrire sur les listes électorales parisiennes avant le 31 décembre… et à faire le bon choix dans l’isoloir. “Hausse de l’insécurité, difficultés à se loger, cauchemar des transports, atonie économique, détérioration du cadre de vie, etc. : il est plus que jamais nécessaire de restaurer l’image de Paris pour que tous les Français puissent être fiers de leur capitale, écrit-elle dans ce message électronique. Vous pourrez choisir l’alternance au service de tous les Parisiens et, au-delà, de tous les Français. Cette alternance politique n’est pas seulement nécessaire. Elle est aussi possible. A une condition : que votre participation au printemps soit massive.”
La candidate prend soin de rappeler que même les non-Parisiens (inscrits au Registre des Français établis hors de France) peuvent, dans certains cas, être autorisés à voter. Le choix de la commune de vote est “très souple“, note-t-elle, “puisqu’il peut s’agir de la commune de votre naissance, de votre dernier domicile, de votre dernière résidence, de la naissance d’un de vos ascendants ou encore de l’inscription d’un de vos parents jusqu’au 4ème degré.” Chaque voix compte…
Fin de probation à NYFACS: "Ça fait du bien au moral"
Il aura fallu deux ans, mais NYFACS l’a fait. La New York French American Charter School d’Harlem n’est plus sous probation. L’équipe de l’école vient d’apprendre la bonne nouvelle dans “une très gentille lettre” du Département de l’Education (DoE), a indiqué vendredi la directrice Edith Boncompain. “La probation était comme une épée de Damoclès. Ça fait du bien au moral des troupes“.
Le DoE avait placé NYFACS sous probation en décembre 2011, au motif de violations “substantielles” et “sérieuses” de sa charte et de la loi régulant les écoles à charte dans l’Etat de New York. L’administration reprochait notamment à l’école son manque d’enseignants certifiés, des déficiences organisationnelles et émettait des doutes sur sa stabilité financière. Synonyme de “risque de fermeture“, la mise sous probation avait l’effet d’un boulet sur les ambitions de l’école, créée seulement un an plus tôt. “Les parents ne veulent pas rejoindre un établissement instable. Et ce n’est pas encourageant pour les enseignants“, raconte Mme Boncompain.
Selon la directrice, engagée il y a un an et demi pour relancer l’école avec un conseil d’administration remanié, NYFACS avait rempli les conditions pour lever la probation dès l’an dernier, mais le DoE ne l’avait pas officialisé par “manque de suivi“. L’école, dont la charte est en cours de renouvellement, peut désormais envisager de relancer ses activités de fundraising pour financer sa croissance notamment. L’école de 215 élèves, qui propose des cours de K à 4th Grade, ambitionne de s’étendre jusqu’au 12th Grade.
“La levée de la probation facilitera le renouvellement de la charte de l’école, dont la demande doit être déposée ce mois, et servira à démontrer à la communauté francophone de New York que la NYFACS d’aujourd’hui est une école qui se compare favorablement sur tous les plans aux autres écoles du réseau francophone”, estime dans un e-mail le president du Board of Trustees de l’école Richard Ortoli.
“C’est une bonne année pour l’école. Nous avons levé la probation. Nous sommes passés de C à B dans le Progress report du DoE..., souligne Mme Boncompain. NYFACS a fait un tour à 360 degrés.“
La maison de plage de Charlotte Perriand voit le jour à Miami
(Relaxnews) – “La Maison au bord de l’eau”, imaginée par la célèbre architecte française Charlotte Perriand il y a 80 ans, est actuellement exposée à l’hôtel The Raleigh de Miami Beach, jusqu’au 8 décembre, grâce à Louis Vuitton qui a financé le projet.
Dessinée en 1934 dans le cadre d’un concours pour le magazine “l’Architecture d’Aujourd’hui”, cette maison moderniste proposait une alternative à bas-coût en préfabriqué pour les familles modestes, mais ce projet est arrivé deuxième et n’a jamais été concrétisé.
La maison Vuitton a suivi à la lettre les plans de l’architecte décédée en 1999 et a travaillé main dans la main avec la fille de la créatrice, Pernette Perriand-Barsac.
Quelques adaptations ont cependant été nécessaires pour transposer les croquis originaux en structure en dur mais démontable.
Ce prototype est aussi meublé, comme le précisaient les plans et croquis de l’architecte, avec des pièces conçues par Charlotte Perriand dans les années 30.
“La Maison au bord de l’eau” sera visible dans le cadre de l’événement Miami Art Week.
Sensualité et abstraction à l'Agora Gallery
L’Agora Gallery proposera du 17 décembre au 9 janvier deux expositions mettant, entre autres, six artistes français à l’honneur.
La première exposition intitulée ” Pathway to Abstraction” mettra en avant les travaux d’Yves Chamly et d’Aurélie Lili, peintres travaillant sur l’abstraction.
Laurent Bardou, Alan Mantle, Alain Patrini et Tony Tichene prendront quant à eux part à la seconde exposition qui s’intitule “Sensorial Realms“. La thématique mise en avant pour cette exposition est le traitement de tous les aspects du monde, à la fois physiques et mentaux.
Une réception est par ailleurs prévue le 19 décembre de 18h à 20h afin de fêter le lancement de ces expositions.