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L'art des blessures à la Maison d'Art

Une exposition sur le combat de la vie. Le pari est osé, mais la Maison d’Art a tenté de le relever.

La galerie d’art d’Harlem rassemblera, du 18 septembre au 31 octobre, les travaux de cinq artistes (Doug Auld, Jeremiah Drake, Dominique Jaussein, Vallée Stoffler, Lisa Zilker) qui se sont interrogés sur les blessures de la vie et les processus de guérison qui en résultent. L’exposition s’intitule “Behind the Scar”.

Les œuvres présentées montreront, avec un regard artistique, des grands brûlés, des victimes de violence domestique ou encore des personnes atteintes de cancer du sein. L’exposition a pour objectif de montrer ces blessures, visibles ou invisibles, mentales ou physiques, que beaucoup de personnes portent, en les assumant ou non.

Un "Joli mai" à Houston

“Le joli mai”, le film-documentaire de Chris Marker, sorti en 1963, s’exporte au Museum of Fine Arts de Houston.

Du 13 au 15 septembre, le MFAH propose de redécouvrir cette oeuvres, qui compte parmi les plus emblématiques de la Nouvelle Vague. Considéré comme l’un des chefs-d’oeuvre de Chris Marker et de Pierre Lhomme, il raconte un mois de mai 1962 à Paris. L’équipe du film s’est intéressée au quotidien des Français quelques années après la guerre d’Algérie, pour immortaliser un Paris en pleine mutation.

Le film est narré par Yves Montand. Sa voix accompagne le témoignage de Parisiens ainsi et les panoramas d’un Paris parfois oublié.

Photo : Airair

Grapefest, le vin texan à l'honneur

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Pour sa 27e édition, Grapefest revient enivrer Grapevine.

Du 12 au 15 septembre, de nouveaux vins ainsi que de nouvelles marques tenteront de satisfaire les novices et les nez plus exigeants. Au total, plus de 125 vins texans seront proposés, provenant de 35 caves de la région.

Durant le festival, plusieurs activités et évènements seront proposés. Pour les gourmets, un pavillon culinaire sera présent, ainsi qu’une terrasse à champagne. Des compétitions de golf et de tennis sont également prévues. Le 14 septembre à 16h30, vous pourrez même participer à une vente aux enchères qui proposera des voyages gastronomiques, des initiations au vin et bien plus.

Patricia Kaas: "Je n'ai pas voulu copier Piaf"

Nous n’avons pas eu la même vie, mais…“. On sent de la gêne dans la voix de Patricia Kaas. Comme si comparer son parcours à celui d’une icône était indécent.

Et pourtant. Surnommée la “Piaf de Forbach”, la commune où elle a grandi, la discrète Lorraine partage avec la Môme une vie mouvementée. Pour Piaf, ce furent les problèmes de santé, la mort de l’amour de sa vie, le boxeur Marcel Cerdan, dans un crash d’avion entre Paris et New York, et la souffrance psychologique qui s’en suivit. Et pour Kaas, le cancer de sa mère alors qu’elle perça au Top 50 avec “Mademoiselle chante le Blues”, ses avortements et le harcèlement dont elle fit l’objet de la part d’un fan. Autant de douleurs révélées dans son autobiographie, L’ombre de ma voix, parue en 2011.

Je manquais de confiance en moi parce que j’avais un accent allemand, que j’étais montée à Paris et que j’avais perdu ma maman jeune. Je me suis inconsciemment protégée. L’autobiographie m’a aidé à reprendre confiance. Il me manquait cette confiance en moi pour m’attaquer à Edith Piaf. Il y a dans ses chansons des émotions que je connais bien“.

Depuis un an, Patricia Kaas est sur la route pour son spectacle “Kaas chante Piaf”, pendant lequel elle réinterprète  à sa manière les chansons de l’icône, dans des salles où la Môme s’est produite. La chanteuse ne ménage pas sa peine: Londres, Paris, Seoul, Moscou, New York… Interpréter Piaf ressemble à un sacerdoce. Même avec plus de 25 ans de carrière au compteur, et 16 millions d’albums vendus, le marathon est toujours difficile à courir. “Là où c’est difficile, c’est de devoir dormir dans un lit diffèrent presque tous les soirs“, confie-t-elle depuis son hôtel du jour, à San Francisco. “Et ça commence à me manquer de chanter mes chansons”.

Venu écouter Piaf, Kaas ou peut-être un peu des deux, le public en redemande. En novembre dernier, le Carnegie Hall, qu’Edith Piaf avait “trempé dans les larmes” en 1956, était comble pour son premier passage new-yorkais. Elle revient le 20 septembre, pour un spectacle à Town Hall. Une étape ajoutée au calendrier après le succès du Carnegie, pour coïncider avec l’organisation des premières Francofolies new-yorkaises consacrées à Piaf cinquante ans après sa disparition. Le spectacle n’a pas changé. La chanteuse, oui. “La première fois, j’avais le trac parce que New York, parce que Carnegie Hall, j’avais moins de confiance. Aujourd’hui, c’est plus simple.”

Au programme: les chansons connues et moins connues de Piaf, ponctuées d’images inédites de la Môme. Elle promet un ajout pour ce second tour new-yorkais: sa chanson « Lili Marlene », rendant hommage à Marlene Dietrich. Une manière de réintroduire un peu d’elle dans un spectacle sur une autre. “Je n’ai jamais voulu copier Piaf. Il aurait été facile de la copier, mais ce n’était pas intéressant. La difficulté était de trouver ma place entre le respect de la chanteuse et les nouveaux arrangements d’Abel Korzienowski. J’ai réussi. Le public me dit: ‘c’est génial car on ne te perd pas’.

 Credit: Sipa USA

"Mademoiselle C" : dans l'univers de Carine Roitfeld

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Ancienne rédactrice en chef du Vogue français, Carine Roitfeld a depuis lancé son propre magazine, CR. « Mademoiselle C»  en raconte la genèse.

Mannequin, styliste, rédactrice de mode, Carine Roitfeld est une femme multi facettes qui, très vite, a gravi les échelons d’un milieu réputé sans pitié. De 2001 à 2011, en tant que rédactrice en chef du Vogue français, elle devient une des figures les plus importantes de la mode, se forgeant la réputation d’une femme déterminée et sûre de ce qu’elle veut. « Mademoiselle C », le premier film de Fabien Constant, la suit de son départ de Vogue au lancement de CR, en 2012.

Caméra à l’épaule, le réalisateur montre très vite une femme à l’aise avec son image, qui fait du micro-management un art. Shootings, défilés, moments partagés avec d’autres icônes de la mode, le quotidien agité de Mademoiselle Roitfeld -elle n’est pas mariée- est décrit avec humour et légèreté. Plus on découvre l’importance de son empire, plus on s’aperçoit que le personnage contraste avec l’icône qu’il est devenu. On apprend que l’obsession pour la grossesse de sa fille, Julia, a largement inspiré le contenu du magazine. La « Une » du premier magazine montre d’ailleurs un bébé.  Le documentaire devient alors moins l’histoire d’une star de la mode que celle de la famille Roitfeld.

On regrettera cependant que les moments de remise en question qui accompagnent nécessairement le lancement d’un magazine soient expédiés, à la différence d’un documentaire similaire, « The September Issue », qui plonge dans la fabrication du numéro de septembre de Vogue US. Le rare moment de doute qui est montré intervient lorsque l’équipe du magazine apprend que le coût du projet se révèle être le double du budget prévu. Les responsables cherchent alors une solution, et se regardent longuement. Le manque de ces scènes de doute, et l’omniprésence de Carine Roitfeld, donnent au documentaire un aspect promotionnel que l’on peut regretter.

Après le tournage, Carine Roitfeld a pris ses distances avec CR. Elle a été nommée directrice du département de la mode chez Harper’s Bazaar, et n’édite son magazine que deux fois par an.

Photo : Mars Distribution

11-Septembre: trois pompiers français contre l'oubli

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Rendez-vous est pris dans un Starbucks de Downtown Brooklyn, ce 11 septembre.

Marc Bidard, sapeur pompier, chef du centre de Plaisir (78), vient d’assister à la commémoration qui avait lieu à la caserne du Squad 1, une des unités spéciales polyvalentes de la ville de New York. “Le 11 septembre 2001, le Squad 1 a perdu douze de ses hommes. En tant que pompier, c’est un devoir de mémoire que je me dois d’honorer“, déclare-t-il.

Cela fait maintenant une dizaine d’années que Marc Bidard et deux de ses acolytes, le commandant Sébastien Frémont basé à Versailles ainsi que l’adjudant-chef Jean-Thierry Assaya de la caserne de Maurepas, se rendent chaque 11 septembre à New York. 2013 n’a pas dérogé à la règle. A 8h46, après avoir passé plusieurs checkpoints, les trois amis se sont rendus auprès de l’une des majestueuses cascades du Memorial du 11-Septembre. La douleur est personnelle pour ces soldats du feu. En 2002, les sapeurs-pompiers des Yvelines ont accueilli des familles de victimes de la Squad 1. Depuis, ils sont restés en contact et se rendent régulièrement visite.

Douze ans après les attentats, New York et les New-Yorkais ont changé. La couverture des médias est moins importante, l’anxiété moins palpable, et certains Américains se sont levés sans se rendre compte que ce 11 septembre n’était pas un jour de semaine comme les autres. L’an dernier encore, Marc Bidard croisait à Ground Zero beaucoup de pompiers internationaux, ainsi que des confrères français. Cette année, il n’en a vu aucun. “On croise bien des touristes français, et les Américains sont contents de notre présence, mais l’aspect médiatique est moins présent, l’heure est davantage au recueillement familial“.

Après la cérémonie, les trois Français se sont rendus à la caserne du Squad 1,  près de Park Slope à Brooklyn, où ils se sont recueillis avec les familles. “A notre arrivée, la brigade a dû partir pour un feu d’appartement. Même le jour d’une commémoration aussi importante, il faut y aller ! La vie continue“.

Et quand on lui demande s’il pense être présent l’an prochain, il n’hésite pas : “Je ne le pense pas, j’en suis sûr. Il faut prendre conscience de l’évènement“.

Photo : Pool/Sipa USA 

A Houston, un accompagnement pour les conjoints expatriés

Après le rush de la rentrée scolaire, septembre est souvent le mois où les conjoints d’expatriés se posent des questions. Comment rencontrer des gens ? Comment améliorer mon anglais ? Comment rebondir professionnellement quand les enfants rentrent de l’école en milieu d’après-midi ?

Pour leur répondre, la formatrice en communication pour AMC Ressources Blandine Mugnier et la life coach Adelaïde Russell, également psychologue sur Tele-psy.com, toutes deux basées à Houston, ont décidé de leur proposer un atelier d’installation dédié du 19 septembre au 31 octobre. Au programme : quatre séances alliant présentations théoriques et exercices pratiques pour un groupe restreint. « En partant, on a des projets plein la tête; tandis qu’en arrivant, on se sent seul. Beaucoup de conjoints se mettent au service de leur famille et ne sont plus à l’écoute de leurs besoins, ce qui peut se traduire par des oublis, des actes manqués, mais aussi des symptômes physiques », souligne Adélaïde Russell, qui a animé une conférence sur le sujet pour Houston Accueil à l’automne dernier.

C’est là qu’elle a fait la rencontre de Blandine Mugnier, qui voulait pousser la réflexion plus loin, afin de proposer des outils aux conjoints expatriés. « Nous sommes complémentaires avec Blandine. Et nous partons toutes deux du principe que démarrer une nouvelle vie relève de démarches diverses, mais génère toujours pas mal de stress et d’ajustements. » Même quand on n’en est pas à sa première expatriation. « C’est intrinsèque à l’expatriation, c’est souvent très bien, mais c’est toujours difficile », insiste Adélaïde Russell, qui a elle-même suivi son conjoint sur quatre continents.

Conseillère d’enfants mais aussi de mamans dans un lycée français situé en Malaisie, la psychologue a donc co-écrit les ouvrages L’enfant expatrié et Le conjoint expatrié lors de son séjour à Princeton. Et en début d’année, après avoir pris l’ampleur des besoins des conjoints à Houston, elle a lancé  ExpatFamille.com où elle explique qu’elle a « du mal à croire qu’en 2013 il y ait encore des familles qui partent en expatriation non préparées » alors qu’« aujourd’hui les outils, les supports existent ».

Un week-end Léger à Philadelphie

Fernand Léger a vécu aux Etats-Unis pendant la Seconde guerre mondiale. Il fait son grand retour sur le sol américain en 2013 à l’occasion d’une grande exposition présentée en exclusivité américaine à Philadelphie.

L’artiste français sera la star du Philadelphia Museum of Art, du 14 octobre au 5 janvier, à l’occasion de l’exposition, “Léger : Modern Art and the Metropolis”, qui lui est consacrée. Cette manifestation exceptionnelle plongera le visiteur dans l’univers cacophonique de l’artiste français, inspire par la transformation folle des villes au début du XXe siècle.

Le travail de Fernand Léger a connu plusieurs évolutions. Après des études d’architecture et d’art, il fut influencé dans un premier temps par les mouvements impressionniste et postimpressionniste. L’artiste a ensuite rencontré les leaders du mouvement avant-gardiste et a connu une période cubiste. A son retour de la Première guerre, il se lance dans la peinture urbaine et s’ouvre à de nouveaux supports comme la vidéo ou la décoration murale.

L’exposition s’attachera à montrer toute la richesse de l’œuvre de cet artiste touche-à-tout. Le public découvrira par exemple ses costumes et décors, conçus pour le ballet et le cinéma. Et plongera dans sa vision colorée de l’espace à travers les grandes peintures murales qui ont fait sa renommée.

Mais c’est bien sa réflexion picturale sur l’univers urbain qui sera au centre de cette exposition, qui rassemblera 160 œuvres au total. Elle dépeindra la manière dont Leger, à travers ses peintures et ses affiches publicitaires, voyait la ville, ses billboards, ses feux de circulation et ses vitrines. La peinture « The City », réalisée en 1919, constitue le cœur de cette exposition pluridisciplinaire. Le tableau représente l’énergie nouvelle et tumultueuse qui animait le Paris que Fernand Léger a retrouvé après la Première guerre mondiale.

Léger sera bien entouré car ses œuvres seront accompagnées de travaux d’autres grands noms de l’architecture, de la peinture et de la mode, comme son ami Le Corbusier et Pet Mondrian.

A noter que, dès le 14 septembre, le Musée de Philadelphie accueillera le travail de Barbara Chase-Riboud autour de Malcolm X. Cette artiste afro-américaine native de Philadelphie a créé, dès 1969, une impressionnante série de stèles dédiées au leader de la cause noire américaine et à son combat. Quarante œuvres (dont des dessins) seront présentées. Elle a puisé l’inspiration pour ce travail dans ses expériences en Afrique, Chine, ex-URSS et… en France, où son travail a été montré (au Centre George Pompidou). Elle vit à Paris depuis 1961.

Crédit : Tom Ipri/Flickr

Clubbing sur l'Hudson

Cette semaine, French NYte vous propose une vague de croisières dansantes pour profiter de l’été jusqu’au bout et clôturer sur une piste flottante la New York Fashion Week. On note également plusieurs soirées au son des meilleures années dance avec des artistes ou DJs phares de l’époque.

* Jeudi 12 *

Au choix pour la dernière nuit de Fashion Week : SOUNDCRUISE menée pour cette édition spéciale par Chuckie, le roi de la dirty dutch house, au départ de Pier 40 à 18h infos & billets, ou ALTITUDE, une soirée mode aux couleurs latines & caribéennes @ Pillars 38 NYC (518 West 38th Street) avec défilé à 18h infos

* Vendredi 13 *

RINSED avec Inner City : le groupe aux nombreux tubes dance de la fin des années 80 est invité des soirées RINSED dans un endroit encore secret @ Brooklyn infos & billets

* Samedi 14 *

SUNDAE SERMON Rocks the Boat : on prend le large au bénéfice de la Food Bank NYC avec l’équipe de Harlem Sundae Sermon, et on se laisse flotter de 20h à 23h avec des spécialistes de la house/disco (Stormin’ Norman, Kervyn Mark & Ray Vasquez) ou du hip-hop/reggae (Rich Medina & Qool DJ Marv). Départ à 19h sur Pier 83 (@ 42nd Street) infos & billets

SOUP présente TIME WARP : musique de 1989 à 1999 avec un des maitres de la house, Todd Terry, épaulé par Frankie Bones, DB, Lenny Dee & beaucoup d’autres pour nous faire revivre les meilleures années dance @ TBA Brooklyn (395 Wythe avenue) infos

BlkMarket Membership Boat Party avec Thugfucker : les mauvais garçons Greg & Holmar réveilleront l’Hudson river avec leur mélange house/techno en compagnie du résident Fahad. Embarquement à 16h sur 42nd & West Side Highway infos & billets

Nicole Moudaber & Tom Peters @ Output : également dans l’arène house/techno, une rare et belle figure féminine et un Berlinois aux talents multiples (74 Wythe Street, Brooklyn) infos & billets

* Dimanche 15 *

THE REAL @ The Coney Island Boardwalk : on retrouve le vétéran de la house Kervyn Mark aux côtés de son maitre Tony Humphries et de beaucoup d’autres pour la dernière édition de cette série d’évènements estivaux de midi à 20h au niveau de 10th Street. Gratuit. infos

* Mardi 17 *

Wax Tailor & The Dusty Rainbow Experience : la tournée est annoncée partout et arrive enfin à New York ! Irving Plaza (17 Irving Place) infos & billets

* Mercredi 18 *

SCARAMOUCHE : un chouette nom pour une soirée Disco importée de Miami pour un soir, ou peut-être plus… Patrick Walsh & Sal Principato se chargent du groove dès 22h @ Bossa Nova Civic Club (1271 Myrtle Avenue, Brooklyn). Gratuit infos

Clubbing à prévoir…

Paul Kalkbrenner @ Output le jeudi 19 septembre infos & billets

VERBOTEN présente Stage One en plein air à Brooklyn (lieu à annoncer) le mercredi 2 octobre avec Solomun en tête d’affiche infos & billets

718 Sessions avec Kenny Dope en invité @ Santos Party House le dimanche 6 octobre infos

Le Suédois Eric Prydz @ Hammerstein Ballroom le vendredi 18 & samedi 19 octobre billets

Toro Y Moi @ Terminal 5 le mercredi 23 octobre billets

Paris en chansons au Sofitel de Los Angeles

Pour la deuxième fois, le Sofitel de Los Angeles accueille les “French Singers de LA” pour un cabaret consacré à la ville lumière.
Le 17 septembre, rien de moins que Piaf, Kaas, Brel, Dassin, Goldman, Zaz et Aznavour s’inviteront au lounge Riviera 31 du Sofitel. Ils seront interprétés par Julia et Jacob Kantor, Max Cohen, Veronika Latour, et Zera Vaughan. Le violoniste Endre Balogh, le pianiste Jeff Lams et l’accordéoniste Arthur Shane accompagneront les chants.
Pour cette deuxième édition, les “French Singers de LA” promettent de nouveaux morceaux. De 18h à 20h, tapas et boissons seront proposés à prix réduit. La prestation, quant à elle, débutera à 20h.

Bobby McFerrin au San Francisco Symphony

Bobby McFerrin, l’auteur de “Don’t worry, be happy”, viendra distiller son blues positif à San Francisco.

Le 23 septembre, cette figure de pointe du folk’n’blues américain sera sur la scène du San Francisco Symphony. Il sera accompagné de sa formation comprenant aussi bien des musiciens que des choeurs. Ils rendront hommage au répertoire du chanteur, qui fait désormais partie du patrimoine américain.

Bobby McFerrin est l’interprète des succès “Everytime I Feel The Spirit” et “Don’t Worry Be Happy”, sorte de remède anti-crise devenu hymne universel contre la morosité. Il est également connu pour sa prestance lors de ses concerts et son penchdant à vouloir inviter le public à chanter avec lui.

Photo : Ralle/ABACAUSA.COM

Miami et Nice fêtent le jazz

Nice et Miami se retrouvent pour célébrer le jazz.

Le “Miami Nice Jazz Festival” reprend ses quartiers du 23 octobre au 10 novembre dans plusieurs lieux de la ville de Floride. Le festival de jazz marquera l’ouverture des French Weeks Miami. Nice et Miami sont jumelles depuis 1963. C’est la deuxième année consécutive que les deux villes organisent ce festival, calqué sur qui se tient à Nice depuis 1948 (et auquel ont participé Louis Armstrong, Ella Fitzgerald et Al Grey).

La programmation du « Miami Nice Jazz Festival » n’est pas encore connue. L’évènement se tiendra notamment à l’Hôtel Conrad, le restaurant Van Dyke à South Beach et le Gusman Center.

Photo: Miami Nice Jazz Festival / Facebook