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11-Septembre: trois pompiers français contre l'oubli

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Rendez-vous est pris dans un Starbucks de Downtown Brooklyn, ce 11 septembre.

Marc Bidard, sapeur pompier, chef du centre de Plaisir (78), vient d’assister à la commémoration qui avait lieu à la caserne du Squad 1, une des unités spéciales polyvalentes de la ville de New York. “Le 11 septembre 2001, le Squad 1 a perdu douze de ses hommes. En tant que pompier, c’est un devoir de mémoire que je me dois d’honorer“, déclare-t-il.

Cela fait maintenant une dizaine d’années que Marc Bidard et deux de ses acolytes, le commandant Sébastien Frémont basé à Versailles ainsi que l’adjudant-chef Jean-Thierry Assaya de la caserne de Maurepas, se rendent chaque 11 septembre à New York. 2013 n’a pas dérogé à la règle. A 8h46, après avoir passé plusieurs checkpoints, les trois amis se sont rendus auprès de l’une des majestueuses cascades du Memorial du 11-Septembre. La douleur est personnelle pour ces soldats du feu. En 2002, les sapeurs-pompiers des Yvelines ont accueilli des familles de victimes de la Squad 1. Depuis, ils sont restés en contact et se rendent régulièrement visite.

Douze ans après les attentats, New York et les New-Yorkais ont changé. La couverture des médias est moins importante, l’anxiété moins palpable, et certains Américains se sont levés sans se rendre compte que ce 11 septembre n’était pas un jour de semaine comme les autres. L’an dernier encore, Marc Bidard croisait à Ground Zero beaucoup de pompiers internationaux, ainsi que des confrères français. Cette année, il n’en a vu aucun. “On croise bien des touristes français, et les Américains sont contents de notre présence, mais l’aspect médiatique est moins présent, l’heure est davantage au recueillement familial“.

Après la cérémonie, les trois Français se sont rendus à la caserne du Squad 1,  près de Park Slope à Brooklyn, où ils se sont recueillis avec les familles. “A notre arrivée, la brigade a dû partir pour un feu d’appartement. Même le jour d’une commémoration aussi importante, il faut y aller ! La vie continue“.

Et quand on lui demande s’il pense être présent l’an prochain, il n’hésite pas : “Je ne le pense pas, j’en suis sûr. Il faut prendre conscience de l’évènement“.

Photo : Pool/Sipa USA 

A Houston, un accompagnement pour les conjoints expatriés

Après le rush de la rentrée scolaire, septembre est souvent le mois où les conjoints d’expatriés se posent des questions. Comment rencontrer des gens ? Comment améliorer mon anglais ? Comment rebondir professionnellement quand les enfants rentrent de l’école en milieu d’après-midi ?

Pour leur répondre, la formatrice en communication pour AMC Ressources Blandine Mugnier et la life coach Adelaïde Russell, également psychologue sur Tele-psy.com, toutes deux basées à Houston, ont décidé de leur proposer un atelier d’installation dédié du 19 septembre au 31 octobre. Au programme : quatre séances alliant présentations théoriques et exercices pratiques pour un groupe restreint. « En partant, on a des projets plein la tête; tandis qu’en arrivant, on se sent seul. Beaucoup de conjoints se mettent au service de leur famille et ne sont plus à l’écoute de leurs besoins, ce qui peut se traduire par des oublis, des actes manqués, mais aussi des symptômes physiques », souligne Adélaïde Russell, qui a animé une conférence sur le sujet pour Houston Accueil à l’automne dernier.

C’est là qu’elle a fait la rencontre de Blandine Mugnier, qui voulait pousser la réflexion plus loin, afin de proposer des outils aux conjoints expatriés. « Nous sommes complémentaires avec Blandine. Et nous partons toutes deux du principe que démarrer une nouvelle vie relève de démarches diverses, mais génère toujours pas mal de stress et d’ajustements. » Même quand on n’en est pas à sa première expatriation. « C’est intrinsèque à l’expatriation, c’est souvent très bien, mais c’est toujours difficile », insiste Adélaïde Russell, qui a elle-même suivi son conjoint sur quatre continents.

Conseillère d’enfants mais aussi de mamans dans un lycée français situé en Malaisie, la psychologue a donc co-écrit les ouvrages L’enfant expatrié et Le conjoint expatrié lors de son séjour à Princeton. Et en début d’année, après avoir pris l’ampleur des besoins des conjoints à Houston, elle a lancé  ExpatFamille.com où elle explique qu’elle a « du mal à croire qu’en 2013 il y ait encore des familles qui partent en expatriation non préparées » alors qu’« aujourd’hui les outils, les supports existent ».

Un week-end Léger à Philadelphie

Fernand Léger a vécu aux Etats-Unis pendant la Seconde guerre mondiale. Il fait son grand retour sur le sol américain en 2013 à l’occasion d’une grande exposition présentée en exclusivité américaine à Philadelphie.

L’artiste français sera la star du Philadelphia Museum of Art, du 14 octobre au 5 janvier, à l’occasion de l’exposition, “Léger : Modern Art and the Metropolis”, qui lui est consacrée. Cette manifestation exceptionnelle plongera le visiteur dans l’univers cacophonique de l’artiste français, inspire par la transformation folle des villes au début du XXe siècle.

Le travail de Fernand Léger a connu plusieurs évolutions. Après des études d’architecture et d’art, il fut influencé dans un premier temps par les mouvements impressionniste et postimpressionniste. L’artiste a ensuite rencontré les leaders du mouvement avant-gardiste et a connu une période cubiste. A son retour de la Première guerre, il se lance dans la peinture urbaine et s’ouvre à de nouveaux supports comme la vidéo ou la décoration murale.

L’exposition s’attachera à montrer toute la richesse de l’œuvre de cet artiste touche-à-tout. Le public découvrira par exemple ses costumes et décors, conçus pour le ballet et le cinéma. Et plongera dans sa vision colorée de l’espace à travers les grandes peintures murales qui ont fait sa renommée.

Mais c’est bien sa réflexion picturale sur l’univers urbain qui sera au centre de cette exposition, qui rassemblera 160 œuvres au total. Elle dépeindra la manière dont Leger, à travers ses peintures et ses affiches publicitaires, voyait la ville, ses billboards, ses feux de circulation et ses vitrines. La peinture « The City », réalisée en 1919, constitue le cœur de cette exposition pluridisciplinaire. Le tableau représente l’énergie nouvelle et tumultueuse qui animait le Paris que Fernand Léger a retrouvé après la Première guerre mondiale.

Léger sera bien entouré car ses œuvres seront accompagnées de travaux d’autres grands noms de l’architecture, de la peinture et de la mode, comme son ami Le Corbusier et Pet Mondrian.

A noter que, dès le 14 septembre, le Musée de Philadelphie accueillera le travail de Barbara Chase-Riboud autour de Malcolm X. Cette artiste afro-américaine native de Philadelphie a créé, dès 1969, une impressionnante série de stèles dédiées au leader de la cause noire américaine et à son combat. Quarante œuvres (dont des dessins) seront présentées. Elle a puisé l’inspiration pour ce travail dans ses expériences en Afrique, Chine, ex-URSS et… en France, où son travail a été montré (au Centre George Pompidou). Elle vit à Paris depuis 1961.

Crédit : Tom Ipri/Flickr

Clubbing sur l'Hudson

Cette semaine, French NYte vous propose une vague de croisières dansantes pour profiter de l’été jusqu’au bout et clôturer sur une piste flottante la New York Fashion Week. On note également plusieurs soirées au son des meilleures années dance avec des artistes ou DJs phares de l’époque.

* Jeudi 12 *

Au choix pour la dernière nuit de Fashion Week : SOUNDCRUISE menée pour cette édition spéciale par Chuckie, le roi de la dirty dutch house, au départ de Pier 40 à 18h infos & billets, ou ALTITUDE, une soirée mode aux couleurs latines & caribéennes @ Pillars 38 NYC (518 West 38th Street) avec défilé à 18h infos

* Vendredi 13 *

RINSED avec Inner City : le groupe aux nombreux tubes dance de la fin des années 80 est invité des soirées RINSED dans un endroit encore secret @ Brooklyn infos & billets

* Samedi 14 *

SUNDAE SERMON Rocks the Boat : on prend le large au bénéfice de la Food Bank NYC avec l’équipe de Harlem Sundae Sermon, et on se laisse flotter de 20h à 23h avec des spécialistes de la house/disco (Stormin’ Norman, Kervyn Mark & Ray Vasquez) ou du hip-hop/reggae (Rich Medina & Qool DJ Marv). Départ à 19h sur Pier 83 (@ 42nd Street) infos & billets

SOUP présente TIME WARP : musique de 1989 à 1999 avec un des maitres de la house, Todd Terry, épaulé par Frankie Bones, DB, Lenny Dee & beaucoup d’autres pour nous faire revivre les meilleures années dance @ TBA Brooklyn (395 Wythe avenue) infos

BlkMarket Membership Boat Party avec Thugfucker : les mauvais garçons Greg & Holmar réveilleront l’Hudson river avec leur mélange house/techno en compagnie du résident Fahad. Embarquement à 16h sur 42nd & West Side Highway infos & billets

Nicole Moudaber & Tom Peters @ Output : également dans l’arène house/techno, une rare et belle figure féminine et un Berlinois aux talents multiples (74 Wythe Street, Brooklyn) infos & billets

* Dimanche 15 *

THE REAL @ The Coney Island Boardwalk : on retrouve le vétéran de la house Kervyn Mark aux côtés de son maitre Tony Humphries et de beaucoup d’autres pour la dernière édition de cette série d’évènements estivaux de midi à 20h au niveau de 10th Street. Gratuit. infos

* Mardi 17 *

Wax Tailor & The Dusty Rainbow Experience : la tournée est annoncée partout et arrive enfin à New York ! Irving Plaza (17 Irving Place) infos & billets

* Mercredi 18 *

SCARAMOUCHE : un chouette nom pour une soirée Disco importée de Miami pour un soir, ou peut-être plus… Patrick Walsh & Sal Principato se chargent du groove dès 22h @ Bossa Nova Civic Club (1271 Myrtle Avenue, Brooklyn). Gratuit infos

Clubbing à prévoir…

Paul Kalkbrenner @ Output le jeudi 19 septembre infos & billets

VERBOTEN présente Stage One en plein air à Brooklyn (lieu à annoncer) le mercredi 2 octobre avec Solomun en tête d’affiche infos & billets

718 Sessions avec Kenny Dope en invité @ Santos Party House le dimanche 6 octobre infos

Le Suédois Eric Prydz @ Hammerstein Ballroom le vendredi 18 & samedi 19 octobre billets

Toro Y Moi @ Terminal 5 le mercredi 23 octobre billets

Paris en chansons au Sofitel de Los Angeles

Pour la deuxième fois, le Sofitel de Los Angeles accueille les “French Singers de LA” pour un cabaret consacré à la ville lumière.
Le 17 septembre, rien de moins que Piaf, Kaas, Brel, Dassin, Goldman, Zaz et Aznavour s’inviteront au lounge Riviera 31 du Sofitel. Ils seront interprétés par Julia et Jacob Kantor, Max Cohen, Veronika Latour, et Zera Vaughan. Le violoniste Endre Balogh, le pianiste Jeff Lams et l’accordéoniste Arthur Shane accompagneront les chants.
Pour cette deuxième édition, les “French Singers de LA” promettent de nouveaux morceaux. De 18h à 20h, tapas et boissons seront proposés à prix réduit. La prestation, quant à elle, débutera à 20h.

Bobby McFerrin au San Francisco Symphony

Bobby McFerrin, l’auteur de “Don’t worry, be happy”, viendra distiller son blues positif à San Francisco.

Le 23 septembre, cette figure de pointe du folk’n’blues américain sera sur la scène du San Francisco Symphony. Il sera accompagné de sa formation comprenant aussi bien des musiciens que des choeurs. Ils rendront hommage au répertoire du chanteur, qui fait désormais partie du patrimoine américain.

Bobby McFerrin est l’interprète des succès “Everytime I Feel The Spirit” et “Don’t Worry Be Happy”, sorte de remède anti-crise devenu hymne universel contre la morosité. Il est également connu pour sa prestance lors de ses concerts et son penchdant à vouloir inviter le public à chanter avec lui.

Photo : Ralle/ABACAUSA.COM

Miami et Nice fêtent le jazz

Nice et Miami se retrouvent pour célébrer le jazz.

Le “Miami Nice Jazz Festival” reprend ses quartiers du 23 octobre au 10 novembre dans plusieurs lieux de la ville de Floride. Le festival de jazz marquera l’ouverture des French Weeks Miami. Nice et Miami sont jumelles depuis 1963. C’est la deuxième année consécutive que les deux villes organisent ce festival, calqué sur qui se tient à Nice depuis 1948 (et auquel ont participé Louis Armstrong, Ella Fitzgerald et Al Grey).

La programmation du « Miami Nice Jazz Festival » n’est pas encore connue. L’évènement se tiendra notamment à l’Hôtel Conrad, le restaurant Van Dyke à South Beach et le Gusman Center.

Photo: Miami Nice Jazz Festival / Facebook

Du kickball bien trempé à Miami

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Pendant les “Art Days” de Miami, préparez-vous à un kickball plutôt aquatique.

Pour le 21 septembre, deux fondations ont concocté une version particulière de ce jeu, à mi-chemin entre le football et le baseball. Le public, après avoir choisi son camp, pourra lancer à sa guise des bombes à eau sur les membres de l’équipe adverse.

Cette confrontation est organisée dans le cadre du DWNTWN Miami Art Days. Plusieurs points de restauration sont prévus aux alentours. L’évènement est gratuit.

Photo : Official U.S. Navy Imagery / Flickr.com

En Californie, les amoureux de foie gras continuent la lutte

Nouveau coup dur pour les défenseurs du foie gras en Californie. Un tribunal fédéral de Pasadena, près de Los Angeles, vient de confirmer l’interdiction de la vente de ce mets délicat, en vigueur dans le Golden State depuis le 1er juillet 2012.

Mais le groupe de producteurs américains et canadiens qui a porté l’affaire devant les tribunaux ne s’avoue pas vaincu. « Nous comptons bien faire appel de cette décision», affirme Marcus Henley, directeur des opérations chez Hudson Valley Foie Gras, un producteur new-yorkais, qui se bat aux côtés du groupe Hot’s Restaurant à Los Angeles et de l’Association des Éleveurs de Canards et d’Oies du Québec.

Une entrave au commerce

En portant l’affaire devant le tribunal fédéral de Pasadena, le groupe de producteurs demandait la suspension temporaire de l’interdiction, en attendant la fin de l’action en justice qu’il a entamée auprès de la cour fédérale de Los Angeles, l’année dernière. « L’interdiction du foie gras est une entrave au commerce, explique Marcus Henley. Un Etat n’a pas le droit de créer des lois qui viennent dire à un autre Etat que ses pratiques sont illégales, surtout quand le gouvernement fédéral estime lui-même que la production de foie gras ne pose aucun problème, comme c’est le cas à New York. C’est anticonstitutionnel ».

Le tribunal a pourtant rejeté vendredi cet argument ainsi qu’un autre affirmant que la loi californienne n’était pas assez précise : les producteurs souhaitaient que la définition du gavage soit quantifiée, afin de déterminer la quantité légale maximale d’aliments qu’un volatile peut ingérer. Mais pour la cour, c’est le procédé de gavage lui-même qui est en cause et qu’elle juge cruel et inacceptable.

Achats par Internet et dégustations gratuites

Du côté des consommateurs, les amateurs du luxueux pâté d’oie doivent ruser pour continuer de satisfaire leur pêché mignon. « Beaucoup achètent par Internet car c’est parfaitement légal» note Marcus Henley. Laurel Pine, PDG de Mirepoix USA, une société californienne vendant du foie gras en ligne et en magasin, a d’ailleurs choisi de s’expatrier pour cette raison … à Reno, au Nevada, à deux pas de la frontière avec la Californie. « Mon chiffre d’affaires a carrément doublé !  30% de ma clientèle est californienne et fait le trajet pour venir acheter du foie gras en magasin, ou commande tout simplement par Internet ».

Il existe d’autres manières légales de contourner la loi : «L’une des pistes évoquées par certains restaurants, pourrait être de préparer le foie gras que les clients auraient eux-mêmes  acheté au préalable en ligne. Car l’interdiction ne concerne que la vente, pas la consommation», rappelle Laurel Pine.

Selon cette même logique, de nombreux chefs californiens proposent des dégustations gratuites de foie gras. Certains, comme Ludo Lefebvre ou Ken Frank, font partie du C.H.E.F.S (Coalition for Humane and Ethical Farming Standards), un groupe de restaurateurs défendant le foie gras dans le Golden State, pourvu que les canards et les oies soient traités avec respect. Pas assez pour convaincre les associations de défense des animaux, outrées par ce qu’elles considèrent être un détournement de la loi. En mars dernier, Ken Frank s’est ainsi vu traîner devant les tribunaux.

Depuis, d’autres ont choisi de faire profil bas. Le chef Kevin Meehan de Kali Dining (réputé, au début de l’interdiction, comme l’un des rares endroits à L.A où l’on pouvait manger du foie gras, en échange d’une « donation ») est aujourd’hui beaucoup moins disert sur le sujet : « le foie gras ? Qu’est-ce que c’est ? Jamais entendu parler ».

Un "modographe" à New York

La galerie Bertrand Delacroix accueille “Modographe”, la toute première exposition photographique de Maurice Renoma à New York.

Du 14 novembre au 14 décembre, le styliste, décorateur et photographe reconnu exposera une partie de sa collection de photographies de mode, alternant tirages sensuels et provocateurs altérés pour les rendre surréalistes.

Débutant sa carrière en 1960, Maurice Renoma a très vite bouleversé les codes de la déco et du look masculin. Dans sa boutique parisienne White House, dont on fête cette année les 50 ans, il a vu défiler des icônes du monde artistique telles qu’Andy Warhol, Dali ou encore John Lennon. L’exposition est gratuite.

Photo : Sipa / Sipa USA

Houston au son de Depeche Mode

Depeche Mode, célèbre groupe anglais, posera ses valises dans la banlieue de Houston le temps d’un concert.

Le 18 septembre, Dave Gahan (ci-dessus) et ses musiciens s’empareront du Cynthia Woods Mitchell Pavilion de Woodlands pour un concert qui sent le bon son des “Eighties”.

Formé en 1979, Depeche Mode est le groupe anglais le plus influent et le plus actif des groupes des années 80. Plusieurs de ses compositions, comme “Personal Jesus” ou “Enjoy the silence”, sont considérées comme des classiques du genre. Les places promettent de partir comme des petits pains.

Photo : Sicilia Marilla/ABACAUSA.COM

L'art envahit Downtown Miami

Entre expositions, visites, et oeuvres in situ, le festival DWNTWN Miami promet trois journées d’activités inspirées.

Du 20 au 22 septembre, dans le cadre des “Art Days” organisées par le Miami DDA, plus de 50 artistes collaboreront pour faire de Downtown Miami un lieu d’échange culturel aussi bien destiné aux amateurs qu’aux néophytes. On pourra notamment y voir les premiers essais de peinture de Bob Marley et assister au fameux Redbull flugtag.

Cinq types d’activités sont proposées : les évènements spéciaux, les visites de studios d’artistes, les visites guidées -à pied ou en vélo-, les expositions et les performances in situ – ou “fringe”. Au nombre de 125, elles sont toutes gratuites.