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Le cinéma fait voyager en juillet à San Francisco

Cet été, l’Alliance Française de San Francisco vous emmène dans ses valises jusqu’au 30 juillet. Ses soirées cinéma auront pour thème “les voyages”.

Les cinéphiles pourront visionner dès le 16 juillet « L’Auberge espagnole », le célèbre film de Cédric Klapisch réalisé en 2001. Porté par Romain Duris, Judith Godrèche, Audrey Tautou et Cécile de France le film raconte l’histoire de Xavier, un étudiant français qui décide de partir en année Erasmus à Barcelone où il rencontrera ses futurs colocataires : six Européens de nationalités différentes. Un film qui donne une belle leçon sur l’amitié interculturelle.

L’été rime forcément avec “plage” et l’Alliance française se devait donc de projeter « Crustacés et Coquillages », avec Valeria Bruni-Tedeschi, le 23 juillet. Le scénario suit les aventures d’une famille qui part au bord de la Méditerranée pour ses vacances. Entre tromperie, premiers amours et situations loufoques, le film combine  “vacances dramatiques” et “farce sentimentale”.

La dernière projection aura lieu le 30 juillet avec « Nos jours heureux », qui raconte les coulisses d’une colonie de vacances avec des adolescents difficiles à gérer et des moniteurs pas toujours très professionnels. Réalisé par Eric Toledano et Olivier Nakache, il réunit à l’écran Jean-Paul Rouve, Marilou Berry et Omar Sy.

Crédit : AlloCiné / © Bac Films

Sur Governors Island, la France fait son manège

En rencontrant Régis Masclet et ses fils, on perçoit très vite la passion qui les unit : chez eux, les manèges d’autrefois sont une histoire de famille.

Le Rennais de 57 ans, ex-publicitaire, a découvert le monde forain en suivant son grand-père dans les foires du nord de la France. “C’est à la naissance de mon fils aîné, Thibault, que ce vieil amour m’est revenu”, raconte-t-il, l’œil pétillant. Cette année-là, il fait l’acquisition d’un ancien manège pour le restaurer. Un grand jouet que, chaque année pendant les vacances d’été, ses deux fils ont retrouvé avec plaisir. Cette passion fait d’eux, à l’âge de 26 et 24 ans, de véritables experts. En utilisant un vocabulaire technique, ils parlent de leurs pièces comme un conservateur de musée décrirait une œuvre de Michel-Ange. Régis Masclet, lui, a décidé d’en faire son gagne-pain. Il a lancé deux entreprises de manèges: l’une qui fabrique des pièces uniques pour les centres commerciaux, et l’autre qui fournit des manèges aux festivals d’art de rue.

Un tour sur Governors Island

Aujourd’hui, les trois hommes de la famille poursuivent l’aventure à New York. Et ils ne sont pas venus les mains vides : les plus belles pièces de leur collection de manèges ont fait le voyage par bateau jusqu’à Governors Island. Associées aux pièces de Francis Staub, ces attractions des années 1850-1950 seront les stars de « Fete Paradiso », le festival de vieux manèges qui transportera les New-Yorkais dans le monde forain d’antan à partir du 13 juillet sur l’île au sud de Manhattan. “Le maire de New York lui-même est tombé amoureux du projet, souligne Régis Masclet. On cherchait un site pour installer nos pièces et quand on a visité Governors Island on est tombé sous le charme. L’ambiance y est magique, elle sublime les manèges”, explique Adrien, le deuxième fils de Régis Masclet.

Le contrat est signé pour trois ans mais si le concept ne séduit pas, les installations repartiront plus vite que prévu. Dans tous les cas, au risque d’être endommagées, elles ne pourront pas passer l’hiver sur l’île. Régis Masclet prévoit donc une tournée dans les régions chaudes des Etats-Unis pendant cette période. En attendant, c’est Adrien qui restera à New York pour assurer le bon fonctionnement et la maintenance des trésors de bois.

Selon le collectionneur, “il y a une forte demande pour ce genre de loisirs qui apporte de la poésie aux gens”. Le Français ne cherche pas à monter un musée poussiéreux, il apporte au contraire une touche moderne à ces pièces qui, ensemble, forment un véritable décor de théâtre. “Je donne à mes manèges une unité de couleur qui met en valeur les enfants qui sont dessus, ils participent ainsi au spectacle“.

 Crédit :Astrid Ribois-Verlinde 

Le hot dog fait son festival à Miami

Juillet étant le mois du hot dog, Miami n’avait pas le choix : il fallait offrir au sandwich à la saucisse un  festival digne de ce nom.

Rendez-vous est donc donné le 13 juillet, au « Hot Dog Festival » pour savourer ce sandwich à toutes les sauces. Et comme le petit pain fourré n’est pas réservé aux cuisiniers américains, vous pourrez le déguster façon mexicaine, colombienne ou encore vénézuélienne. Saucisses venues d’Argentine et du Brésil seront aussi de la partie !

Un concours du plus gros mangeur de hot dog animera le festival. Pour faciliter la digestion, des bières artisanales seront également proposées. Concerts et DJ donneront le rythme. Les enfants auront aussi leur propre aire de jeux.

Le festival se tiendra également à Jupiter le 21 juillet et à Plantation le 28 juillet.

Crédit : The Hot Dog Fest/Facebook

S'implanter en Floride: mode d'emploi

Comment se lancer en Floride ? C’est la question à laquelle répondront les invités de la Chambre de Commerce franco-américainede Floride, le 20 août, lors du « Forum Implantation ».

L’évènement, qui se déroulera au Conrad Miami Hotel, rassemblera comptables, avocats d’immigration, experts en import/export et entrepreneurs. Il vise à donner des clés aux futurs ou actuels entrepreneurs sur la manière de réussir leur implantation à Miami et ailleurs.

Les inscriptions sont d’ores et déjà ouvertes. Prix : 50 dollars.

DSK "en colère" face au "perp walk"

J’étais en colère“. Dominique Strauss-Kahn est revenu, mardi, dans un entretien pour CNN International, sur la manière dont il a vécu le “perp walk” au début de l'”affaire du Sofitel” à New York.
C’est injuste de montrer les gens dans cette position au reste du monde quand vous ne savez pas ce qu’ils ont fait“, a estimé l’ancien directeur général du FMI face au journaliste Richard Quest. “J’étais en colère car à ce moment-là je ne comprenais pas ce qu’il se passait, je ne comprenais ce que je faisais là. Je comprenais seulement que je ne pouvais pas contrôler ce qui se passait“.
C’est la première interview en langue anglaise accordée par de DSK depuis son départ du Fonds. Il a également évoqué l’état “malade, très malade” du secteur bancaire en Europe et la crise de leadership au sein du Vieux continent.
Voir un extrait de l’entretien:

Fêter le 14 Juillet avec le meilleur de Dailymotion

Bastille Day se fête aussi sur  grand écran. Le mercredi 10 juillet, le New York Anthology Film Archive, dans le Lower East Side, accueille un « Bastille Day Screening ». Dailymotion en assurera la programmation.
Au programme : une dizaine de courts métrages, clips, web-documentaires ou films d’animation dénichés sur la plateforme vidéo. Ils font partie des plus grands succès viraux de 2013.
Parmi les œuvres sélectionnées : “A Quoi ça sert l’amour” de Louis Clichy, “Lookin4Galt” du duo de réalisateur Gasface, “Le Dernier rôle de Jaques Serres” de Francois Goetghebeur et Nicolas Lebrun, ou encore “Blizzard” du collectif montant Fauve.
 

En Californie, un centre pour apprendre le foot à la française

Les Français ont exporté leur pain, leur vin et leur fromage aux Etats-Unis. Bientôt, ils vendront leur expertise footballistique.

C’est le pari d’Alexis Gallice, l’homme derrière le French Soccer Institute (FSI), un centre de formation qui accueillera joueurs en herbe ou expérimentés. Un projet esquissé il y a sept ans, et qui verra le jour à San Clemente. Car la Californie est un « formidable terreau de joueurs de foot aux Etats-Unis… et l’on y peut jouer toute l’année », selon Alexis Gallice.

À l’heure actuelle, les clubs de football aux Etats-Unis comptent avant tout sur leurs propres académies pour le recrutement de leurs joueurs ; une erreur selon Alexis Gallice, qui souhaite faire du FSI une passerelle entre le football amateur et professionnel. Objectif à trois ans: la construction d’un premier centre d’entraînement à la pointe de la technologie, tant au niveau éducatif qu’environnemental. «Après un balayage des avantages et inconvénients de tous les plus grands centres en Europe, nous avons soumis les résultats à des experts du terrain, entraîneurs et joueurs professionnels, afin d’en sortir la quintessence de ce que pourrait être le centre de formation de demain, explique le Béarnais de 36 ans. « Nous avons choisi le site de San Clemente, non seulement pour son emplacement idéal entre San Diego et L.A., mais aussi pour l’aspect très démocratique de la ville. Notre projet représente un gros travail d’échanges, toujours en cours à l’heure actuelle. »

Le FSI prendra en charge la formation de filles et de garçons de 12 à 18 ans qui souhaitent poursuivre une carrière dans le football, aux Etats-Unis ou en France, tout en impliquant les parents d’élèves dans la gouvernance.

Le FSI travaille aussi sur la formation d’alliances avec d’autres organisations locales et nationales, clubs de foot et universités en particulier. « La Major Soccer League (MLS) vient de signer un partenariat avec la Fédération Française de Football (FFF) pour que cette dernière forme les responsables d’académies de la MLS. Nous espérons sincèrement une accréditation de la FFF pour devenir à la fois un point de ralliement et un laboratoire pour le football de demain. » Le directeur est notamment épaulé par son père, l’ancien joueur international bordelais Jean Gallice qui, dans ses 10 ans de carrière à la FFF, a formé plus de 2.000 entraîneurs.

Une fois terminé, le complexe sportif du FSI devrait être capable d’accueillir plusieurs centaines de joueurs ainsi que plusieurs milliers de spectateurs. Le 14 juillet, le FSI offrira des animations dans les trois parcs de la ville de San Clemente, ainsi qu’aux évènements de Bastille Day à San Diego et à Los Angeles. En août, à San Clemente, auront lieu les premiers camps d’été, avec un « Summer camp » pour les 10-16 ans (tous niveaux), et un « Prep camp » pour les plus de 16 ans qui souhaitent se préparer avant la rentrée au lycée ou à l’université.

Photo (gauche à droite): Laurent Courtois (Coach/ ancien pro Chivas), Alexis Gallice (CEO), Ludovic Taillandier (directeur technique)

Alcatel-Lucent ferme son incubateur à Plano

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Alcatel-Lucent ferme son incubateur à Plano dans le nord du Texas, selon le Dallas Morning News. Cela faisait deux ans que l’entreprise française disposait de ce tremplin pour startups, nommé Gravity Center.

Aux côtés d’AT&T et de Texas Instruments, Alcatel-Lucent figure en effet parmi les fleurons des télécoms de la « Silicon Prairie » texane. L’incubateur de Plano « offrait des espaces de bureaux gratuits, accueillait des évènements professionnels et démontrait que l’activité des startups s’étendait au-delà de Dallas », rappelle le Dallas Morning News. Début juillet, AT&T a repris possession du site, dont il était propriétaire. Mais l’opérateur américain « ne reprend pas le Gravity Center », explique Denise Panyik-Dale, porte-parole d’Alcatel-Lucent, qui a récemment annoncé un vaste plan mondial de cession d’actifs. 

Cette dernière précise que le programme reste en place, même si le lieu disparaît, puisqu’Alcatel-Lucent a proposé aux startups hébergées par le Gravity Center de rejoindre le tout nouveau Dallas Entrepreneur Center (DEC), une pépinière du Design District dont l’entreprise est partenaire. Alcatel-Lucent reste en effet présente aux côtés des startups par le biais du programme NG Connect, signale Denise Panyik-Dale.

Néanmoins, cette fermeture intervient dans un contexte morose pour la région. « Les montants investis en capital-risque dans les startups et les jeunes entreprises du Nord du Texas ont atteint leur plus bas niveau depuis 17 ans l’année dernière », rappelle le Dallas Morning News en citant des chiffres du rapport MoneyTree de PricewaterhouseCoopers et la National Venture Capital Association.

Chinese Man : «Jouer à New York, c’est revenir à la source de notre musique»

«Pour ce premier live à New York, nous devons faire nos preuves», confie High Ku, l’un des musiciens de Chinese Man, avant le show du groupe à Brooklyn, le 12 juillet.

Les Chinese Man avaient déjà joué à San Francisco en 2006. Mais New York, c’est autre chose. « Jouer à New York, c’est quelque chose de spécial, comme revenir à la source de notre musique, du hip-hop des années 1990 », affirme High Ku.

Créé en 2004 à Aix-en-Provence, Chinese Man est d’abord un label, Chinese Man Records, qui produit des vinyles destinés aux DJ. « C’est difficile de définir qui sont les Chinese Man, le groupe est né après le label. Nous sommes indépendants mais nous travaillons avec beaucoup de collaborateurs », explique High Ku. A la base du groupe : SLY, High Ku et Zé Mateo, trois DJ d’une trentaine d’années. Musicalement, le groupe se situe entre hip-hop instrumental, rap et groove. C’est en 2008 que leur carrière prend un tournant, quand la marque Mercedes-Benz choisit leur musique « I’ve got that Tune » pour une campagne publicitaire. Leur nom, qui provient du titre du premier morceau du groupe et qui vise aussi à mettre en avant le caractère zen de sa musique, commence à circuler.

La particularité de sa musique : les titres instrumentaux contiennent souvent de nombreux extraits de films. « C’est une manière d’habiller le hip-hop instrumental, explique High Ku, c’est aussi un moyen de faire passer des idées, de faire référence  à des films qu’on a bien aimés et cela donne une dramaturgie au morceau. Mais nous ne voulons pas transmettre de message. Nous souhaitons plutôt que le public s’interroge sur le passage qu’on a choisi ».

Pour fêter les dix ans du label, Chinese Man prépare pour l’année prochaine de nouveaux morceaux et une nouvelle tournée. « Nous avons de nouvelles inspirations et nous voulons proposer des choses qu’on a pas encore faites ». Et pourquoi pas revenir aux Etats-Unis. Car, une date, ce n’est pas beaucoup. « Si ce premier concert se passe bien, nous pourrons revenir pour d’autres dates et cela pourra relancer le groupe sur des projets plus importants ». On les attend de pied ferme.

Crédit : Clémentine Crochet

Bastille Day chez vous : envoyez-nous vos photos

Nous sommes le 14 juillet. Vous êtes en train de faire une partie de pétanque à Brooklyn ou vous assistez à un spectacle de French cancan à Los Angeles, pensez à French Morning.
Dès lundi, nous publierons vos plus belles photos de Bastille Day, que vous soyez sur la côte Est ou la côte Ouest ou quelque part entre les deux. Il n’y a rien à gagner, si ce n’est le droit de faire le beau lors de vos prochains diners en ville.
Pour participer, il suffit d’envoyer vos photos avant 3pm EST lundi 15 juillet à [email protected] ou de les poster sur twitter @FrenchMorningNY #BastilleDay. Merci de préciser le lieu où elles ont été prises!
Crédit : BEHAR ANTHONY/SIPA

Cosmos Copa: les Bleus de New York jouent leurs matchs de poule

Alors que certains participeront aux festivités de Bastille Day, les Bleus de New York chausseront les crampons pour tenter de se qualifier pour la phase finale de la Cosmos Copa, la coupe du monde des footeux amateurs de New York.
Le groupe de l’équipe de France est composé de la Croatie, de la Jamaïque et du Sénégal. Les Bleus affronteront les Croates le 13 juillet à 21h30 à Pier 40 (sur Hudson Street et l’Hudson River).
Les deux autres matchs de poule auront lieu le jour de la Fête nationale, le 14, sur le terrain 75 de Randall’s Island. Ils joueront contre la Jamaïque à 11h20 et contre le Sénégal à 13h40.
Les deux premiers de la poule se qualifieront pour les quarts de finale, qui auront lieu le samedi 20 juillet.
Photo: Marc Cuénot

Les Belges de New York font leur "Restaurant Week"

Frites, spéculos, gaufres et bières belges seront au menu de la “Belgian Restaurant Week”, du 21 au 28 juillet.

Pour la troisième année consécutive, la manifestation permet aux New-Yorkais de découvrir les spécialités belges le temps d’un déjeuner ou d’un dîner. Contrairement à la “French Restaurant Week“, il n’y a pas de prix unique pour les repas, chaque restaurant décide donc des tarifs en vigueur et des offres pour cette semaine belge.

Onze restaurants et chaînes y participent dont Le Brabant, Le Pain Quotidien, Wafel & Dinges ou encore La Maison du Croque-Monsieur.

Crédit : Belgian Restaurant Week / Facebook