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«The Attack», l'amour malgré le terrorisme

Un attentat suicide dans un restaurant de Tel Aviv tue une dizaine de personnes dont de nombreux enfants. Après avoir opéré les victimes tout au long de la journée, Amin est rappelé d’urgence à l’hôpital dans la nuit. Le corps du kamikaze est à la morgue et doit être identifié : il s’agit de sa femme Sihem. Refusant de la croire capable de telles atrocités, Amin se rend en Palestine pour comprendre comment sa femme en est venue à commettre le pire.

D’entrée, le film plonge le spectateur au cœur du conflit entre Israël et la Palestine. Pourtant, « The Attack » raconte avant tout une histoire d’amour, entre Amin Jaafari, un éminent chirurgien arabe israélien et sa femme Sihem. Parfaitement intégrés à la société israélienne, le couple est entouré d’amis israéliens juifs et incarne la réussite des Palestiniens naturalisés au sein de l’Etat hébreu.

Rarement, un film sur fond de conflit israélo-palestinien n’aura été si habilement mené. « The Attack » relègue la guerre au second rang. « Evidemment le conflit est présent, à cause de l’attentat, mais je ne voulais rien en montrer car tout le monde le connait. C’est avant tout une histoire d’amour et d’enquête », affirme Ziad Doueiri.

Brillamment, le réalisateur a su revenir aux fondamentaux du cinéma : raconter une histoire. Aux antipodes des films moralisateurs, « The Attack » ne transmet aucun message, ni sur la guerre, ni sur l’amour. Libre au spectateur de se forger une opinion. « Je n’ai jamais voulu changer les mentalités, le film n’est pas du tout engagé et ce n’est pas à moi de donner un message », insiste-t-il. La réalisation dynamique et le jeu irréprochable des acteurs suffisent à transporter le spectateur.

Inspiré du roman de Yasmina Khadra, L’attentat, le scénario prend quelques libertés qui rendent le film plus humain et personnel. « Je me suis appropriée l’histoire mais je voulais en donner ma propre vision. Le livre s’achève sur un message pour l’humanité. Moi je voulais seulement parler de cet homme et faire une fin plus introvertie », justifie Ziad Doueiri. Le couple est chrétien dans le film, musulman dans le roman. « C’est un petit détail pour indiquer que la lutte palestinienne n’est nullement religieuse mais nationale ».

En définitive, le film ne laisse pas indifférent et réussit à surpasser les clichés pour proposer une fiction intelligente, laissée à l’état brut pour ne satisfaire aucun des deux camps. Il sortira en salle le 21 juin.

Crédit : Cohen Media

Inventez la fin des "Trois petits cochons" à Dallas

Dans l’histoire des Trois petits cochons, le grand méchant loup a-t-il eu droit à un procès? La troupe du Dallas Children’s Theater en organise un pour vous et vos enfants !

En se basant sur l’oeuvre originale de Jon Scieszka et de Lane Smith, les acteurs vous racontent à partir du 21 juin The True Story of the Three Little Pigs.

Ce spectacle musical débute là où le conte s’achève et propose au public de ré-écrire la fin. Après avoir tué deux des trois petits cochons, le loup Alexander T doit être jugé. Il a ainsi l’occasion de donner sa propre version des faits. Après avoir entendu tous les témoins, il faut décider si le loup est coupable ou non ! A vous de juger …

La pièce s’adresse aux enfants de 7 à 11 ans.

Crédit : Dallas Children’s Theatre

Selah Sue: de MySpace au Bowery Ballroom

La chanteuse belge Selah Sue, 24 ans, sera de passage au Bowery Ballroom de New York  le 21 juin dans le cadre de sa tournée mondiale.

Repérée sur internet en 2008, Selah Sue a vu ses rêves se réaliser plus vite que prévu. Habituée des festivals belges, la chanteuse acquiert une notoriété internationale en faisant le première partie de Prince lors d’un concert à Anvers en 2010. Elle a également fait la première partie du chanteur Charlie Winston lors du Printemps de Bourges en 2012.

Malgré son jeune âge, la chanteuse a déjà composé un large éventail de chansons allant du reggae au hip-hop en passant par le rock électrique et la néo-soul.

Pour son concert à New York, la chanteuse interprétera les différents tubes réunis dans l’album Selah Sue, sorti en 2011, dont le célèbre « On the run ».

Crédit : Cédric Viollet / Selah Sue

Elisez le meilleur burger de Miami

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A qui reviendra le prix du meilleur burger de Miami? Le suspense est insoutenable.

A l’occasion du “Burger, Beer and BBQ Bash”, de nombreux chefs de la ville seront rassemblés au Miami Circle pour vous faire goûter, chacun à leur sauce, leur recette de burger ou de barbecue favorite. Un concours sera organisé parmi 25 de ces restaurants afin d’élire la meilleure recette. Le public aura la lourde tache de choisir le vainqueur. Pour arroser ces plats, de nombreuses variétés de bières uniques, faites “maison”, seront proposées.

Une course de cochons, un blackjack et des différents concerts sont également prévus. Cette seconde édition du “Burger, Beer and BBQ Bash”, organisée par le Miami Taste of Brickell Food & Wine Festival, célèbrera le début des vacances d’Independance Day.

Crédit : Wikimedia Commons

"The Stroller Strategy": la drague avec bébé

Si vous êtes fans de la série “Friends”, vous serez alors sûrement séduits par le film de Clément Michel, “The Stroller Strategy” ou “La stratégie de la poussette” en français.

Le thème de cette comédie romantique n’a certes rien de commun avec le célèbre groupe d’amis new-yorkais, mais c’est le comique de situation, délice de la série, qui a notamment inspiré le réalisateur français pour son premier long-métrage.

« The Stroller Strategy », c’est l’histoire de Thomas, joué par Raphaël Personnaz, dessinateur parisien qui devient, pour quelques jours, un tout jeune papa. Une paternité qui tombe littéralement à pic quand, en rentrant chez lui, Thomas rattrape le nourrisson de sa voisine prise d’un malaise dans la cage d’escaliers. Le jeune homme voit alors dans cet enfant un moyen de l’aider à reconquérir son ancien amour incarné par Charlotte Le Bon. Hilarante, cette comédie a pris une tournure romantique que Clément Michel n’avait pas prévu à l’écriture du scénario : “C’est quand j’ai choisi Raphaël et ensuite Charlotte que le film a pris une teinte plus glamour. Ils sont vraiment romantiques, elle est très belle et lui a des airs de Hugh Grant. Il a fallu qu’on travaille à le rendre un peu plus maladroit, mal fagoté pour qu’il colle au personnage“.

Lui-même acteur, Clément Michel incarne dans le film un chanteur pour enfant qui se prend pour un véritable showman. Chaque personnage a ainsi un côté pathétique qui les rend à la fois drôles et attachants. Jérôme Commandeur, lui,  joue à merveille un prof de tennis raté, persuadé qu’il séduira les femmes plus facilement en se faisant passer pour un père célibataire. La leçon qu’il donne à Thomas sur la manière de tenir une poussette est un des grands moments du film. “C’est un film léger mais ça ne veut pas dire que les personnages ne véhiculent rien. De simples acteurs qui débitent les bonnes blagues écrites par le scénariste ne m’intéressent pas”, ajoute le réalisateur.

Clément Michel a réussi à éviter les clichés associés à la paternité. Lui-même papa de deux enfants, il a essayé de transmettre son expérience personnelle à Raphaël pour le guider au mieux. “Je suis aussi allé chercher l’inspiration dans des crèches super bobo à Paris et je me suis éclaté. Je me moque un peu de ces parents barjos mais avec leur accord !” souligne-t-il. Les scènes à la crèche lors d’ateliers parents-enfants sont ainsi particulièrement cocasses.

Tourner avec des bébés n’a pas toujours été évident: pour des questions de législation, ceux-ci ne pouvaient rester qu’une heure par jour sur le site du tournage. Et puis, “ils font ce qu’ils veulent, ce sont eux qui décident, sourit le réalisateur. Il y a aussi eu des moments magiques, drôles et de grande complicité”.

Crédit : Rialto Premieres/Studiocanal 

 

La French Touch du meuble

Pour tout ceux qui n’ont pas les moyens de s’offrir des chaises Philippe Starck ou d’autres meubles de designers de renom, il y a “The French Design Company”.

A la baguette, la Française Laurence Dupin, fondatrice de la société en 2005. Cette entrepreneuse s’est spécialisée dans les répliques bon marché de grands noms. La fameuse chaise Philippe Starck? “Nous en proposons une réplique autour de 200 dollars. Nos luminaires en verre soufflé tournent autour de 200 à 600 dollars. Ce n’est évidemment pas accessible à tout le monde, mais étant donné qu’il s’agit de produits de créateurs, uniques, faits sur mesure, cela devient du design vraiment très abordable».

Laurence Dupin a travaillé pendant près d’une vingtaine d’année en France dans le secteur de l’ameublement de jardin, avant de tenter sa chance aux Etats-Unis. « Je suis partie avec un visa d’investisseur. Au début j’ai hésité entre la Californie et la Floride. Mais je n’ai pas du tout accroché avec Miami. L.A, au contraire, j’ai adoré. Le climat est formidable. Cela me rappelle la région de Marseille dont je suis originaire».

Son choix n’est pas seulement sentimental, mais aussi stratégique : l’usine de production avec laquelle elle a choisi de travailler pour sa collection permanente est située en Chine.

En tant qu’entrepreneuse française, elle peut compter sur « l’excellente image de marque de la France ». « Même si nous avons de sérieux concurrents européens en matière de design, la France est toujours associée ici au bon goût, à la culture. Et puis l’accent français séduit toujours. C’est un peu comme un gage d’authenticité ». 

Fin juin, elle lancera un nouveau site Internet proposant des meubles à prix préférentiels pour les Français. Deux types de produits seront en vente: la collection permanente de meubles d’intérieur, de jardin et d’accessoires importés d’Asie, et de nouveaux articles uniques conçus par des designers de l’Hexagone mais aussi des Italiens, des Espagnols, des Belges, des Danois ou encore des Norvégiens.

Trois idées originales pour célébrer la fête de la musique à New York

A court d’idées pour célébrer la fête de la musique? French Morning vous propose trois idées originales pour célébrer le 21 juin comme il se doit.

La musique sur l’eau

Direction le Central Park Lake pour un concert… sur l’eau. En fin d’après-midi, 144 chanteurs embarqueront sur de petits canots pour interpréter le « Credo » du compositeur canadien Raymond Murray Schafer. En cercle sur le lac, la chorale chantera pendant cinquante minutes sous la direction du chef de cœur George Steel.

Au coucher du soleil, douze joueurs de trombone se positionneront autour du lac pour jouer « Music for Wilderness Lake », également de Murray Schafer. La difficulté pour les musiciens : réussir à jouer ensemble sans entendre ce que les autres font. Pour les aider, un chef d’orchestre sera positionné sur une barque au milieu du lac.

Orchestre amateur

Si vous êtes musicien mais que vous n’avez pas trouvé de groupe pour jouer, pas de panique, le “Mass Appeal” est là pour combler votre désarroi. Le principe est simple : chacun apporte son instrument et joue grâce à une partition personnalisée pour un concert sans fausse note ! Tous les niveaux sont acceptés.

Evidemment, vous ne pouvez pas jouer n’importe où dans New York. Plusieurs lieux spécifiques sont prévus pour chaque instrument : les accordéonistes à Central Park, les violoncellistes à Flatiron District et les clarinettistes à Carroll Park. D’autres emplacements sont prévus partout dans New York pour les autres instruments.

Musiques du monde

La fête de la musique, c’est aussi l’occasion de découvrir des musiques provenant des  quatre coins du globe. Chaque pays représenté est établi dans un quartier de la ville. La France et l’Inde se partagent Central Park. IAM participera à 19h au Summerstage, situé au Rumsey Playfield, pour un concert aux accents marseillais. Au sud du parc, plusieurs artistes indiens chanteront jusqu’en début de soirée.

Autre parc, autre ambiance. Bryant Park accueillera le groupe israélien R*Time. Toujours du côté de Midtown, au Greeley Square, vous pourrez découvrir la musique coréenne. Plus bas, à Chelsea, le groupe mbiraNYC jouera des musiques traditionnelles du Zimbabwe. Dépaysement garanti!

Direction Brooklyn pour d’autres atmosphères : Caraïbes au Ronald McNair Park, au nord-est de Prospect Park, et Indonésie au Brooklyn Bridge Park. Enfin dans le Queens : le Mexique investit le Socrates Sculpture Park à Long Island City et la Chine s’installe à Queens Crossing.

«The Attack», l'amour malgré le terrorisme

Un attentat suicide dans un restaurant de Tel Aviv tue une dizaine de personnes dont de nombreux enfants. Après avoir opéré les victimes tout au long de la journée, Amin est rappelé d’urgence à l’hôpital dans la nuit. Le corps du kamikaze est à la morgue et doit être identifié : il s’agit de sa femme Sihem. Refusant de la croire capable de telles atrocités, Amin se rend en Palestine pour comprendre comment sa femme en est venue à commettre le pire.

D’entrée, le film plonge le spectateur au cœur du conflit entre Israël et la Palestine. Pourtant, « The Attack » raconte avant tout une histoire d’amour, entre Amin Jaafari, un éminent chirurgien arabe israélien et sa femme Sihem. Parfaitement intégrés à la société israélienne, le couple est entouré d’amis israéliens juifs et incarne la réussite des Palestiniens naturalisés au sein de l’Etat hébreu.

Rarement, un film sur fond de conflit israélo-palestinien n’aura été si habilement mené. « The Attack » relègue la guerre au second rang. « Evidemment le conflit est présent, à cause de l’attentat, mais je ne voulais rien en montrer car tout le monde le connait. C’est avant tout une histoire d’amour et d’enquête », affirme Ziad Doueiri.

Brillamment, le réalisateur a su revenir aux fondamentaux du cinéma : raconter une histoire. Aux antipodes des films moralisateurs, « The Attack » ne transmet aucun message, ni sur la guerre, ni sur l’amour. Libre au spectateur de se forger une opinion. « Je n’ai jamais voulu changer les mentalités, le film n’est pas du tout engagé et ce n’est pas à moi de donner un message », insiste-t-il. La réalisation dynamique et le jeu irréprochable des acteurs suffisent à transporter le spectateur.

Inspiré du roman de Yasmina Khadra, L’attentat, le scénario prend quelques libertés qui rendent le film plus humain et personnel. « Je me suis appropriée l’histoire mais je voulais en donner ma propre vision. Le livre s’achève sur un message pour l’humanité. Moi je voulais seulement parler de cet homme et faire une fin plus introvertie », justifie Ziad Doueiri. Le couple est chrétien dans le film, musulman dans le roman. « C’est un petit détail pour indiquer que la lutte palestinienne n’est nullement religieuse mais nationale ».

En définitive, le film ne laisse pas indifférent et réussit à surpasser les clichés pour proposer une fiction intelligente, laissée à l’état brut pour ne satisfaire aucun des deux camps. Il sortira en salle le 21 juin.

Crédit : Cohen Media

Jean-Michel Le Floc'h, la "French touch" des grands hôtels

«Après 30 ans de grisaille parisienne, c’est d’abord le soleil qui m’a convaincu !» Diplômé de philosophie et des Beaux Arts à Paris, Jean-Michel Le Floc’h n’imaginait  pas qu’il serait un jour à la tête d’une entreprise d’agro-alimentaire à Miami. Mais, lassé après 24 ans dans l’édition, il décide de changer de vie et de pays, et pose ses valises à Miami en 1996.

Entrepreneur dans l’âme, Jean-Michel Le Floc’h tâtonne pourtant à son arrivée. Il se lance d’abord dans la vente de meubles d’antiquité avant de comprendre le potentiel d’une création d’entreprise d’agro-alimentaire. « J’ai senti qu’il s’agissait du bon créneau, qu’il y avait une véritable demande des gens surplace ».

Il créé l’entreprise Canelle Foods, spécialisée dans la distribution de produits alimentaires haut de gamme, auprès d’hôtels de luxe, de restaurants français ou encore de clubs de golf. Il compte parmi ses clients le prestigieux restaurant la Palme d’Or de l’hôtel Biltmore, le Bistro Moderne de Daniel Boulud ou encore les chaînes d’hôtels Ritz-Carlton et Marriott. Miser sur des produits de grande qualité est le seul moyen de survivre pour une entreprise dans son secteur, selon lui. « Il est tout simplement impossible de concurrencer les grosses chaînes de distribution », dit-il.

La French Touch domine au sein de Canelle Foods : 70% de ses produits sont importés de France mais l’entreprise doit faire face aux réglementations contraignantes des Etats-Unis sur la viande. « Il existe un véritable embargo des Etats-Unis sur la viande française, c’est pour cela que nous sommes obligés de produire la charcuterie en Californie et le foie gras au Canada, mais par des Français! ».

En quelques années, Canelle Foods est devenue une entreprise de distribution incontournable, aussi bien auprès des grandes chaînes que pour certains particuliers nostalgiques de produits du terroir. Pour Jean-Michel Le Floc’h, le secret de sa réussite est simple « le catalogue des produits est entièrement constitué par les clients. Nous ne sommes pas venus à Miami pour imposer la cuisine française mais pour aider à trouver des produits. Nos patrons, ce sont les Chefs».

Jean-Michel Le Floc’h observe rétrospectivement l’évolution du marché à Miami. « Depuis 12 ans, Miami s’est considérablement ouvert à la gastronomie. Dans cette ville cosmopolite, il y a un véritable intérêt pour la cuisine, asiatique, latino et bien évidemment française ».

Un nouveau consul de France nommé à Houston

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On connaît le nom du nouveau consul général de France à Houston. Sujiro Seam est nommé en remplacement de Frédéric Bontems, « appelé à d’autres fonctions », indique un décret du Président de la République française publié au Journal officiel daté de ce mercredi.

Enarque  formé à l’école supérieure de commerce de Paris et à Sciences Po après avoir usé les bancs du lycée Louis le Grand, Sujiro Seam est actuellement directeur adjoint de la direction du Développement et des Biens publics mondiaux au Ministère des Affaires étrangères.

Le fonctionnaire, natif du Cambodge, a commencé sa carrière aux affaires juridiques du Quai d’Orsay en 1998. Avant de partir pour Bruxelles, œuvrer au règlement des différends à l’Organisation mondiale du commerce pour le compte de la Commission européenne, pendant trois ans. Il a ensuite travaillé pendant cinq ans au sein de la représentation permanente de la France auprès de l’Union européenne sur les questions maritimes, d’outre-mer, de pêche, mais aussi de politique régionale.

De retour à Paris en 2009, le quadragénaire a poursuivi son travail sur les questions de développement. Le consulat de Houston est son premier poste aux Etats-Unis, si l’on en croit sa biographie. Frédéric Bontems doit quitter ses fonctions « après le 14 juillet ».

Patricia Kaas à San Francisco: achetez vos tickets en pré-vente

Patricia Kaas dans la peau d’Edith Piaf, c’est ainsi que la chanteuse française apparaitra sur la scène du Masonic Auditorium de San Francisco le 12 septembre. Les places seront disponibles en pré-vente le 21 juin de 10h à 22h, en entrant le mot de passe “picnic” sur Ticketmaster.
A l’occasion de sa tournée “Kaas chante Piaf”, célébrant le 50e anniversaire de la disparition d’Edith Piaf, Patricia Kaas interprètera 21 chansons tirées du répertoire de l’icône de la musique française. Dirigé par le compositeur  Abel Korzeniowski, le concert offrira également une projection de photographies rares de la vedette du music-hall.
Au cours de cette tournée, Patricia Kaas traverse 45 pays et se produit dans les plus prestigieuses salles de concert telles que le Royal Albert Hall à Londres, le Carnegie Hall à New York ou encore l’Operetta Theatre de Moscou. L’artiste française, figure internationale de la chanson mais aussi comédienne, doit notamment son succès à la chanson “Mademoiselle chante le blues”, interprétée pour la première fois en 1987. Elle a depuis vendu plus de 16 millions d’albums à travers 47 pays.
Crédit : SADAKA EDMOND/SIPA

Chasse au trésor hi-tech à Golden Gate Park

La bonne vieille chasse au trésor de notre enfance est révolue. Le célèbre jeu est désormais entré dans le XXIème siècle. La preuve avec la chasse au trésor hi-tech organisée au Golden Gate Park le 22 juin.
Le principe est le même que pour le jeu traditionnel. Pour participer, il vous faut télécharger l’application gratuite SF Bay Watcher qui vous indiquera les repères où se trouvent les indices. Le jeu commence à Bunny Meadow, où les participants recevront une première carte. Neuf cartes sont nécessaires pour gagner le prix. Le dernier repère ne vous sera communiqué qu’après avoir trouvé tous les indices.
Plusieurs prix sont à gagner dont une tablette Samsung Galaxy Tab 2. Le gagnant aura aussi le privilège de voir sa photo apparaître sur l’application de la chasse au trésor.
Crédit : Sfbaywatcher