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La French Touch du meuble

Pour tout ceux qui n’ont pas les moyens de s’offrir des chaises Philippe Starck ou d’autres meubles de designers de renom, il y a “The French Design Company”.

A la baguette, la Française Laurence Dupin, fondatrice de la société en 2005. Cette entrepreneuse s’est spécialisée dans les répliques bon marché de grands noms. La fameuse chaise Philippe Starck? “Nous en proposons une réplique autour de 200 dollars. Nos luminaires en verre soufflé tournent autour de 200 à 600 dollars. Ce n’est évidemment pas accessible à tout le monde, mais étant donné qu’il s’agit de produits de créateurs, uniques, faits sur mesure, cela devient du design vraiment très abordable».

Laurence Dupin a travaillé pendant près d’une vingtaine d’année en France dans le secteur de l’ameublement de jardin, avant de tenter sa chance aux Etats-Unis. « Je suis partie avec un visa d’investisseur. Au début j’ai hésité entre la Californie et la Floride. Mais je n’ai pas du tout accroché avec Miami. L.A, au contraire, j’ai adoré. Le climat est formidable. Cela me rappelle la région de Marseille dont je suis originaire».

Son choix n’est pas seulement sentimental, mais aussi stratégique : l’usine de production avec laquelle elle a choisi de travailler pour sa collection permanente est située en Chine.

En tant qu’entrepreneuse française, elle peut compter sur « l’excellente image de marque de la France ». « Même si nous avons de sérieux concurrents européens en matière de design, la France est toujours associée ici au bon goût, à la culture. Et puis l’accent français séduit toujours. C’est un peu comme un gage d’authenticité ». 

Fin juin, elle lancera un nouveau site Internet proposant des meubles à prix préférentiels pour les Français. Deux types de produits seront en vente: la collection permanente de meubles d’intérieur, de jardin et d’accessoires importés d’Asie, et de nouveaux articles uniques conçus par des designers de l’Hexagone mais aussi des Italiens, des Espagnols, des Belges, des Danois ou encore des Norvégiens.

Trois idées originales pour célébrer la fête de la musique à New York

A court d’idées pour célébrer la fête de la musique? French Morning vous propose trois idées originales pour célébrer le 21 juin comme il se doit.

La musique sur l’eau

Direction le Central Park Lake pour un concert… sur l’eau. En fin d’après-midi, 144 chanteurs embarqueront sur de petits canots pour interpréter le « Credo » du compositeur canadien Raymond Murray Schafer. En cercle sur le lac, la chorale chantera pendant cinquante minutes sous la direction du chef de cœur George Steel.

Au coucher du soleil, douze joueurs de trombone se positionneront autour du lac pour jouer « Music for Wilderness Lake », également de Murray Schafer. La difficulté pour les musiciens : réussir à jouer ensemble sans entendre ce que les autres font. Pour les aider, un chef d’orchestre sera positionné sur une barque au milieu du lac.

Orchestre amateur

Si vous êtes musicien mais que vous n’avez pas trouvé de groupe pour jouer, pas de panique, le “Mass Appeal” est là pour combler votre désarroi. Le principe est simple : chacun apporte son instrument et joue grâce à une partition personnalisée pour un concert sans fausse note ! Tous les niveaux sont acceptés.

Evidemment, vous ne pouvez pas jouer n’importe où dans New York. Plusieurs lieux spécifiques sont prévus pour chaque instrument : les accordéonistes à Central Park, les violoncellistes à Flatiron District et les clarinettistes à Carroll Park. D’autres emplacements sont prévus partout dans New York pour les autres instruments.

Musiques du monde

La fête de la musique, c’est aussi l’occasion de découvrir des musiques provenant des  quatre coins du globe. Chaque pays représenté est établi dans un quartier de la ville. La France et l’Inde se partagent Central Park. IAM participera à 19h au Summerstage, situé au Rumsey Playfield, pour un concert aux accents marseillais. Au sud du parc, plusieurs artistes indiens chanteront jusqu’en début de soirée.

Autre parc, autre ambiance. Bryant Park accueillera le groupe israélien R*Time. Toujours du côté de Midtown, au Greeley Square, vous pourrez découvrir la musique coréenne. Plus bas, à Chelsea, le groupe mbiraNYC jouera des musiques traditionnelles du Zimbabwe. Dépaysement garanti!

Direction Brooklyn pour d’autres atmosphères : Caraïbes au Ronald McNair Park, au nord-est de Prospect Park, et Indonésie au Brooklyn Bridge Park. Enfin dans le Queens : le Mexique investit le Socrates Sculpture Park à Long Island City et la Chine s’installe à Queens Crossing.

«The Attack», l'amour malgré le terrorisme

Un attentat suicide dans un restaurant de Tel Aviv tue une dizaine de personnes dont de nombreux enfants. Après avoir opéré les victimes tout au long de la journée, Amin est rappelé d’urgence à l’hôpital dans la nuit. Le corps du kamikaze est à la morgue et doit être identifié : il s’agit de sa femme Sihem. Refusant de la croire capable de telles atrocités, Amin se rend en Palestine pour comprendre comment sa femme en est venue à commettre le pire.

D’entrée, le film plonge le spectateur au cœur du conflit entre Israël et la Palestine. Pourtant, « The Attack » raconte avant tout une histoire d’amour, entre Amin Jaafari, un éminent chirurgien arabe israélien et sa femme Sihem. Parfaitement intégrés à la société israélienne, le couple est entouré d’amis israéliens juifs et incarne la réussite des Palestiniens naturalisés au sein de l’Etat hébreu.

Rarement, un film sur fond de conflit israélo-palestinien n’aura été si habilement mené. « The Attack » relègue la guerre au second rang. « Evidemment le conflit est présent, à cause de l’attentat, mais je ne voulais rien en montrer car tout le monde le connait. C’est avant tout une histoire d’amour et d’enquête », affirme Ziad Doueiri.

Brillamment, le réalisateur a su revenir aux fondamentaux du cinéma : raconter une histoire. Aux antipodes des films moralisateurs, « The Attack » ne transmet aucun message, ni sur la guerre, ni sur l’amour. Libre au spectateur de se forger une opinion. « Je n’ai jamais voulu changer les mentalités, le film n’est pas du tout engagé et ce n’est pas à moi de donner un message », insiste-t-il. La réalisation dynamique et le jeu irréprochable des acteurs suffisent à transporter le spectateur.

Inspiré du roman de Yasmina Khadra, L’attentat, le scénario prend quelques libertés qui rendent le film plus humain et personnel. « Je me suis appropriée l’histoire mais je voulais en donner ma propre vision. Le livre s’achève sur un message pour l’humanité. Moi je voulais seulement parler de cet homme et faire une fin plus introvertie », justifie Ziad Doueiri. Le couple est chrétien dans le film, musulman dans le roman. « C’est un petit détail pour indiquer que la lutte palestinienne n’est nullement religieuse mais nationale ».

En définitive, le film ne laisse pas indifférent et réussit à surpasser les clichés pour proposer une fiction intelligente, laissée à l’état brut pour ne satisfaire aucun des deux camps. Il sortira en salle le 21 juin.

Crédit : Cohen Media

Jean-Michel Le Floc'h, la "French touch" des grands hôtels

«Après 30 ans de grisaille parisienne, c’est d’abord le soleil qui m’a convaincu !» Diplômé de philosophie et des Beaux Arts à Paris, Jean-Michel Le Floc’h n’imaginait  pas qu’il serait un jour à la tête d’une entreprise d’agro-alimentaire à Miami. Mais, lassé après 24 ans dans l’édition, il décide de changer de vie et de pays, et pose ses valises à Miami en 1996.

Entrepreneur dans l’âme, Jean-Michel Le Floc’h tâtonne pourtant à son arrivée. Il se lance d’abord dans la vente de meubles d’antiquité avant de comprendre le potentiel d’une création d’entreprise d’agro-alimentaire. « J’ai senti qu’il s’agissait du bon créneau, qu’il y avait une véritable demande des gens surplace ».

Il créé l’entreprise Canelle Foods, spécialisée dans la distribution de produits alimentaires haut de gamme, auprès d’hôtels de luxe, de restaurants français ou encore de clubs de golf. Il compte parmi ses clients le prestigieux restaurant la Palme d’Or de l’hôtel Biltmore, le Bistro Moderne de Daniel Boulud ou encore les chaînes d’hôtels Ritz-Carlton et Marriott. Miser sur des produits de grande qualité est le seul moyen de survivre pour une entreprise dans son secteur, selon lui. « Il est tout simplement impossible de concurrencer les grosses chaînes de distribution », dit-il.

La French Touch domine au sein de Canelle Foods : 70% de ses produits sont importés de France mais l’entreprise doit faire face aux réglementations contraignantes des Etats-Unis sur la viande. « Il existe un véritable embargo des Etats-Unis sur la viande française, c’est pour cela que nous sommes obligés de produire la charcuterie en Californie et le foie gras au Canada, mais par des Français! ».

En quelques années, Canelle Foods est devenue une entreprise de distribution incontournable, aussi bien auprès des grandes chaînes que pour certains particuliers nostalgiques de produits du terroir. Pour Jean-Michel Le Floc’h, le secret de sa réussite est simple « le catalogue des produits est entièrement constitué par les clients. Nous ne sommes pas venus à Miami pour imposer la cuisine française mais pour aider à trouver des produits. Nos patrons, ce sont les Chefs».

Jean-Michel Le Floc’h observe rétrospectivement l’évolution du marché à Miami. « Depuis 12 ans, Miami s’est considérablement ouvert à la gastronomie. Dans cette ville cosmopolite, il y a un véritable intérêt pour la cuisine, asiatique, latino et bien évidemment française ».

Un nouveau consul de France nommé à Houston

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On connaît le nom du nouveau consul général de France à Houston. Sujiro Seam est nommé en remplacement de Frédéric Bontems, « appelé à d’autres fonctions », indique un décret du Président de la République française publié au Journal officiel daté de ce mercredi.

Enarque  formé à l’école supérieure de commerce de Paris et à Sciences Po après avoir usé les bancs du lycée Louis le Grand, Sujiro Seam est actuellement directeur adjoint de la direction du Développement et des Biens publics mondiaux au Ministère des Affaires étrangères.

Le fonctionnaire, natif du Cambodge, a commencé sa carrière aux affaires juridiques du Quai d’Orsay en 1998. Avant de partir pour Bruxelles, œuvrer au règlement des différends à l’Organisation mondiale du commerce pour le compte de la Commission européenne, pendant trois ans. Il a ensuite travaillé pendant cinq ans au sein de la représentation permanente de la France auprès de l’Union européenne sur les questions maritimes, d’outre-mer, de pêche, mais aussi de politique régionale.

De retour à Paris en 2009, le quadragénaire a poursuivi son travail sur les questions de développement. Le consulat de Houston est son premier poste aux Etats-Unis, si l’on en croit sa biographie. Frédéric Bontems doit quitter ses fonctions « après le 14 juillet ».

Patricia Kaas à San Francisco: achetez vos tickets en pré-vente

Patricia Kaas dans la peau d’Edith Piaf, c’est ainsi que la chanteuse française apparaitra sur la scène du Masonic Auditorium de San Francisco le 12 septembre. Les places seront disponibles en pré-vente le 21 juin de 10h à 22h, en entrant le mot de passe “picnic” sur Ticketmaster.
A l’occasion de sa tournée “Kaas chante Piaf”, célébrant le 50e anniversaire de la disparition d’Edith Piaf, Patricia Kaas interprètera 21 chansons tirées du répertoire de l’icône de la musique française. Dirigé par le compositeur  Abel Korzeniowski, le concert offrira également une projection de photographies rares de la vedette du music-hall.
Au cours de cette tournée, Patricia Kaas traverse 45 pays et se produit dans les plus prestigieuses salles de concert telles que le Royal Albert Hall à Londres, le Carnegie Hall à New York ou encore l’Operetta Theatre de Moscou. L’artiste française, figure internationale de la chanson mais aussi comédienne, doit notamment son succès à la chanson “Mademoiselle chante le blues”, interprétée pour la première fois en 1987. Elle a depuis vendu plus de 16 millions d’albums à travers 47 pays.
Crédit : SADAKA EDMOND/SIPA

Chasse au trésor hi-tech à Golden Gate Park

La bonne vieille chasse au trésor de notre enfance est révolue. Le célèbre jeu est désormais entré dans le XXIème siècle. La preuve avec la chasse au trésor hi-tech organisée au Golden Gate Park le 22 juin.
Le principe est le même que pour le jeu traditionnel. Pour participer, il vous faut télécharger l’application gratuite SF Bay Watcher qui vous indiquera les repères où se trouvent les indices. Le jeu commence à Bunny Meadow, où les participants recevront une première carte. Neuf cartes sont nécessaires pour gagner le prix. Le dernier repère ne vous sera communiqué qu’après avoir trouvé tous les indices.
Plusieurs prix sont à gagner dont une tablette Samsung Galaxy Tab 2. Le gagnant aura aussi le privilège de voir sa photo apparaître sur l’application de la chasse au trésor.
Crédit : Sfbaywatcher

"Belle de Jour" au LACMA

Le film français de Luis Buñuel, “Belle de jour”réalisé en 1967, sera projeté le 29 juin au Los Angeles County Museum of Art (LACMA). Parmi les acteurs de ce film on retrouve notamment Catherine Deneuve, Michel Piccoli, Jean Sorel, Geneviève Page ou encore Pierre Clémenti.
Le scénario du film, écrit par Jean-Claude Carrière et tiré du roman de Kessel, se penche sur les fantasmes sexuels de Séverine Serizy, une très jolie femme qui n’arrive pas à satisfaire ses désirs auprès de son mari. Cette frustration la pousse alors à fréquenter un bordel de luxe dans lequel elle se prostitue l’après-midi, avant de rentrer chez elle retrouver son mari, insouciant.
Le réalisateur et scénariste espagnol, naturalisé mexicain, est connu pour ses films qui s’inscrivent dans la période du surréalisme. Récit, temporalité, espace sont ainsi fortement déstructurés.
Crédit : Laura Loveday/Flickr

Du cinéma indépendant en plein air à Austin

Oubliez les paillettes et le tapis rouge. Le festival du film indépendant Cinema East revient cet été, avec cinq films projetés jusqu’au 21 juillet au French Legation Museum.
Les films proposés ont été projetés dans plusieurs festivals américains comme le Sundance Film Festival ou encore le festival du film de Tribeca à New York.
Parmi les films montrés, « A Teacher », le 23 juin. Réalisé par Hannah Fidell, le film dépeint la relation entre Diana, professeur dans un lycée et son étudiant Eric, sous fond de tension émotionnelle. « Zero Charisma » sera projeté le 7 juillet. Le film suit le parcours de Scott Weidemeyer, un geek amoureux des jeux-vidéos et de métal. Une rencontre inattendue lui rappellera son passé, le plongeant dans une spirale de rage et de désillusion. « Bluebird » sera le dernier film du festival à être projeté le 21 juillet. Le film de Lance Edmands avait déjà été diffusé à New York lors du festival du film Tribeca.
C’est la troisième année qu’Austin organise ces projections en plein air.
Crédit : Cinema East 2012

Les "Warm Up" de PS 1 font leur retour

Vous les attendiez depuis un an, les fameux “Warm Up” de PS 1 reviennent du 29 juin au 7 septembre, avec une série de concerts organisés dans la cour du musée de Long Island City, antenne du MoMA. Les concerts ont lieu tous les samedis.
Comme chaque année, le MoMA fait découvrir au public des artistes confirmés ou émergents. Outre la programmation, la nouveauté de cette année réside dans le décor. La cour de PS 1 accueillera en effet le “Party Wall”, une imposante structure polyvalente conçue pour protéger du soleil, arroser les passants et même accueillir des concerts.
Les plus de soixante artistes participants ont été sélectionnés par un comité du MoMA pour qu’un large éventail de genres musicaux soit représenté. A ne pas rater : les Majical Cloudz, le groupe de musique électro venu directement de Montréal qui se produira le 27 juillet, et Stellar Om Source le 24 août. L’artiste belge est adepte de la musique d’ambiance psychédélique. Les “Warm Up” fêtent leurs 16 ans.
Crédit : MoMA Warm Up PS1

Un maman se mobilise pour ouvrir un programme bilingue dans le Queens

Elle est Américaine d’origine latino-américaine, a étudié et travaillé en France et en Belgique. Et veut ouvrir un programme bilingue français-anglais à Astoria dans le Queens.
Depuis plusieurs semaines, Diana Limongi (ci-dessus) multiplie les apparitions dans la presse locale et les rencontres pour mobiliser les parents de son quartier autour de l’ouverture de classes d’immersion dans un établissement public local. Objectif: lancer une classe de K à la rentrée 2014. Elle s’est donné l’été pour mesurer l’intérêt que suscite son projet. “S’il y a un intérêt, nous tablerons dessus, dit-elle. Brooklyn et Manhattan ont des programmes bilingues, pourquoi pas le Queens? »
Tout a commencé quand Mme Limongi, qui est trilingue (espagnol, anglais et français “avec un accent marseillais“), et son mari français ont décidé d’offrir à leur enfant, Enzo, 2 ans, une éducation en français. Les jeunes parents ont fait leurs devoirs. Le privé était trop cher, les autres programmes bilingues trop loins – “30-45 minutes de déplacement, c’est difficile“. Ils ont également envisagé NYFACS (New York French American Charter School) à Harlem.
Mais face au manque d’options, Diana Limongi a pris son bâton de pèlerin. Employée à l’école de droit de NYU et étudiante en master, elle profite de son temps libre pour partir à la rencontre des parents intéressés. Elle envisage de poster prochainement des annonces dans les « pre-schools » et les « day care » d’Astoria et des quartiers alentours avec l’objectif de recruter 24 enfants (douze anglophones, douze francophones), le seuil idéal pour pérenniser un tel programme. « Pour l’instant, j’ai beaucoup de familles anglophones et des parents qui élèvent leur enfant dans une deuxième langue qui n’est pas le français, précise-t-elle. J’ai quatre-cinq familles françaises ».
Pour l’heure, aucun programme bilingue français-anglais n’a pris racine dans le Queens. La seule initiative à avoir vu le jour dans le borough – à l’école publique PS 151 à Woodside – n’a pas perduré, faute d’élèves en nombre suffisant et d’encadrement par la direction. Selon les chiffres des Services culturels de l’Ambassade de France, il y avait 52 enfants âgés de 0-4 ans, issus de familles françaises, dans l’ensemble du Queens en 2012. “Le problème que je risque de rencontrer est que les Français habitent à Brooklyn!“, estime la maman.
Diana Limongi ne démarchera les écoles que si suffisamment de familles mordent à l’hameçon. “J’ai eu beaucoup d’encouragements, dit-elle, mais j’aimerais qu’on me présente des familles françaises!'”
 

L'Alliance française de San Francisco fête la musique

La Fête de la Musique, c’est aussi à San Francisco. Pour la deuxième année consécutive, l’Alliance française organise le 22 juin “Fête de la Musique : Voice of the Muse”.
Des groupes et artistes tels que Rue 66, Kiwi Time, Sweet Water, JazGroup Du Jour, Gil Cohen, Zola Johnson seront de la partie. Plus de dix groupes, guitaristes, trompettistes, DJs participeront à l’événement. Des concerts se tiendront à la fois à l’intérieur et à l’extérieur des locaux de l’Alliance française. Six cent personnes sont attendues.
Les Québécois seront les invités d’honneur du festival, à l’occasion de la Saint-Jean Baptiste, leur fête nationale. Les visiteurs pourront ainsi de goûter à la musique et la gastronomie québécoises.