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Joséphine Ancelle retourne au Cutting Room

Pour ceux qui avaient raté son retour sur scène, pas de panique. Joséphine Ancelle revient sous les projecteurs du Cutting Room le 18 mai.

Le jeune talent connait bien cette magnifique salle de Midtown, tout juste rénovée – elle l’avait remplie en mars. « Joséphine », c’est une voix cristalline et un style innocent, fragile, qui ferait pleurer un  cœur de pierre. Formée entre New York, Paris et Montréal (où elle a chanté dans une chorale de gospel), elle cultive un ton qui évoque Yaël Naim et Ingrid Michaelson. Ses mélodies légères sur le voyage, l’amour et a beauté du quotidien ont été entendues dans des salles prestigieuses comme le Living Room, le Sidewalk Café et le Bitter End pour ne citer qu’elles.

Pour ceux qui voudraient se remplir l’estomac en plus des oreilles, le Cutting Room dispose d’un menu complet.

Une conférence sur le bilinguisme et les programmes bilingues à New York

Le bilinguisme, c’est bien. Le développer dans les écoles, c’est mieux.

Ce jeudi 16 mai, plusieurs experts et éducateurs impliqués dans le monde bilingue participeront à une conférence sur les avantages du bilinguisme, et le lancement de programmes d’immersion dans les établissements scolaires de New York.

La conférence est organisée par les groupes de parents des programmes bilingues de Downtown / Midtown, avec le soutien de l’ambassade de France. Parmi les invités, on retrouve nombre des « usual suspects » de la scène bilingue new-yorkaise: Ofelia Garcia (photo), professeur à la City University Of New York et spécialiste du bilinguisme, Marie Bouteillon, professeur à The Carroll School ou PS 58 (Brooklyn), Giselle McGee, directrice de PS 58,  Virgil de Voldère, fondateur et directeur de La Petite Ecole ou encore Hannah Helms, membre de l’association Education Française New York.

Crédit : CUNY

Cuba Nostalgia fête ses 15 ans

Cuba Nostalgia revient à Miami du 17 au 19 mai.
Une quarantaine d’expositions feront découvrir la diversité de la culture cubaine. Au programme : la cuisine, les fameux cigares, la flore et la faune, les héros de l’indépendance, photographies et peintures, des documents historiques, le sport, un Cuban Coffee Shop, un Mojito Lounge ou encore un concours de danse cubaine. Que demander de plus?
Sept galeristes exposeront des tableaux d’artistes cubains. Une vingtaine de stands du souvenir seront dédiés à l’histoire de Cuba : vieux journaux et ancienne monnaie, bijoux antiques, films et vidéos seront à vendre. Côté musique : quatre concerts, dont celui du groupe Karysma Band, feront danser les visiteurs. Enfin, les visiteurs pourront goûter aux spécialités cubaines comme le café, le Picadillo ou le Cuba Libre.
Le thème de l’édition 2013 célébrera aussi les « Quinces », cérémonies cubaines organisées en l’honneur de tous les jeunes qui fêtent leurs quinze ans, un élément central de la culture cubaine et sud-américaine.
Crédit : Cuba Nostalgia Festival

« I’m not an accent »: le cri du coeur comique d'une Française de LA

« I’m not an accent », c’est le motto de Rose Laurent, le personnage qu’interprète Soraya Garré, dans cette comédie colorée qu’elle a écrite et qui prend place à Los Angeles. « C’est l’histoire d’une Française, immigrante aux États-Unis, qui est déterminée à prouver à ceux qui vivent dans son pays d’accueil qu’elle est en fait bien plus qu’un accent », raconte-t-elle.

Dans ce court-métrage d’une dizaine de minutes (ci-dessous), drôle et rythmé, on suit donc Rose Laurent, écrivain de son état, dans sa recherche d’emploi sur le cruel marché angelin.« Je n’arrive pas à trouver de travail parce que j’ai un accent… », confie la protagoniste à son ami Clive, interprété par l’acteur américain Ryan Daniel Dobson. « C’est ridicule, nous sommes aux Etats-Unis, rétorque-t-il, tout le monde a un accent. »

C’est d’ailleurs avec cette philosophie à l’esprit que Soraya Garré était arrivée à Los Angeles en 2006. Venue accompagner une amie à une audition, le directeur de casting remarque alors la Française d’origine espagnole et kabyle, et lui suggère de se présenter. À sa surprise, le ton de l’assistante dans le bureau des auditions est tout à fait différent: « Sorry, we don’t take accents » lui lance-t-elle sèchement.

« C’est quelque chose qui résonne dans la tête pendant longtemps », raconte l’actrice, également productrice du film. Du fait de ses origines mixtes, les problèmes d’identité culturelle ont toujours fasciné cette titulaire d’une maîtrise en Lettres, Langues et Civilisations anglo-américaines. « Quand on part d’un pays, on se sent déraciné, pourtant on a souvent le besoin d’être accepté et d’appartenir à un groupe. On ressent alors parfois une sorte de frustration, mais il faut savoir tourner cette frustration en sa faveur, et trouver sa force dans sa différence. »

À l’occasion d’une classe de montage, Soraya Garré réalise une première vidéo YouTube de trois minutes, mentionnée dans l’article Qu’est-ce qu’il a mon accent ? que nous avions publié en 2011. Les retours positifs l’encouragent à tourner cette version plus longue, qu’elle présente l’année dernière à l’American Independent Film Festival de Beverly Hills. Cette expérience, « très positive et très gratifiante » pour l’apprenti cinéaste, l’a encouragée dans sa lancée : Soraya Garré rédige actuellement la version longue d'”I’m not an accent”.

Les chansons populaires et folkloriques reprennent vie à Houston

La Chorale de l’Association Internationale des Nations-Unies s’associera aux World Voices Houston pour faire revivre des chansons folkloriques et populaires, les 11 et 19 mai.

Les deux chorales présenteront « Songs of yesterday, Traditions of Tomorrow », un concert qui explore l’évolution des chansons folkloriques dans le monde entier.

La mission que se sont donnés les chanteurs est d’associer une chanson folklorique à une chanson populaire provenant d’un pays différent et qui pourrait, hypothétiquement, devenir un jour une chanson folklorique.

La chorale de l’Association Internationale des Nations-Unies rassemble des chanteurs internationaux de Houston. Son ambition: mettre en avant la compréhension entre les cultures par la chanson.

Crédit : United Nations Association International Choir

Un Français joue Dvorak au San Francisco Symphony

Trois grands compositeurs d’Europe de l’Est seront mis à l’honneur à San Francisco par un Français, du 29 mai au 2 juin.

Gautier Capuçon interprétera le fameux concerto pour violoncelle de Dvorak. Ce jeune violoncelliste a débuté sa carrière à l’âge de 17 ans et a depuis obtenu de nombreuses récompenses dont la Victoire de la musique “nouveau talent de l’année” en 2001. Son interprétation du compositeur Dvorak a été saluée par la presse musicale: Gramophone la qualifiée de “magique“.

Pendant ce concert de deux heures, le violoncelliste jouera également des oeuvres de Kodaly et Bartok, deux grands compositeurs hongrois du XIXème siècle.

Législative: Bayrou tire sur les parachutés

François Bayrou n’y est pas allé de main morte. Sur Radio Canada, mercredi, le président de MoDem a apporté son soutien au candidat du parti à la législative en Amérique du Nord Nicolas Druet et sa suppléante Martine Volard. Et en a profité pour s’en prendre sans les nommer aux deux parachutés de l’élection: Louis Giscard d’Estaing (UDI) et Frédéric Lefebvre (UMP).

« S’il y a des représentants des Français de l’étranger, il faut que ces représentants soient réellement des Français de l’étranger et non pas des hommes politiques qui ont échoué dans les élections nationales, qui vont chercher un lot de consolation auprès des électeurs d’Amérique du Nord », a taclé le centriste. Allusion non feinte à Louis Giscard d’Estaing, candidat de l’UDI, battu en juin 2012 lors de la législative dans la 3e circonscription du Puy-de-Dôme. “Il y a là un détournement, un dévoiement de la loi“, ajoute-t-il, plaidant pour l’élection de personnalités « réellement établies » en Amérique du Nord.

François Bayrou était invité par la radio canadienne pour parler de son idée de gouvernement d’union nationale.  78% des Français plébiscitent cette idée, selon un récent sondage IFOP pour le Journal du Dimanche. Il a en rajouté une couche sur la législative à la fin de son intervention. “C’est choquant de voir que les représentants des Français de l’étranger seraient parachutés. Simplement parce qu’ils n’ont pas trouvé de place, parce qu’ils ont été battus, ce qui peut arriver dans une élection, ils vont se présenter pour représenter les Français d’Amérique du Nord alors qu’ils ne partagent pas leurs conditions de vie, leurs idées et leur situation.

Photo: Notarianni Laetitia/ABACAUSA.COM

Les chocolats Richart fêtent les mamans

A l’occasion de la fête des mères, les chocolats Richart organisent une dégustation samedi 11 mai dans Chelsea.

Fabriqués à Lyon, les chocolats Richart proposent de délicieux assortiments de chocolats et de macarons français, aussi beaux que bons. Leur dernier coffret a été créé spécialement pour la fête des mères et consiste en plusieurs assortiments composés, au choix, de chocolats (noirs ou au lait), de pâtes de fruit et de macarons.

Le 11 mai, la marque Richart sera présente à l’événement “Mother’s Day gift event” organisé par le magasin Story dans Chelsea, à partir de 11h. Le patron américain du chocolatier, Benjamin Auzimour, proposera une dégustation à tous les clients du magasin. Les coffrets fête des mères seront également en vente.

 

Le but "amazing" de Thierry Henry

Thierry Henry a une fois de plus prouvé son talent avec ce nouveau but incroyable permettant à son équipe de gagner face à l’Impact Montréal (2-1).
L’attaquant des Red Bulls de New York a effectué un superbe retourné en fin de match, son cinquième but de la saison. L’autre but a été marqué après un corner du Brésilien Juninho. Les Red Bulls de New York sont en tête de la Conférence Est.

Crédit : Chuck Myers/ABACAUSA.COM

Bryant Park joue aux chaises musicales

Les chaises musicales sont de retour à Bryant Park.
Le 3 juin, et pour la deuxième année consécutive, Bryant Park invite les New-Yorkais à participer à ce grand jeu, qui aura lieu sur la pelouse du parc – celle-ci doit rouvrir le 10 mai. Seuls les adultes sont autorisés à y participer. Il faut en effet être âgé de plus de 18 ans pour pouvoir se mesurer aux autres adversaires. Autant dire que ca va saigner.
Mais le jeu vaut bien quelques coups bas: le grand gagnant remportera deux billets de la compagnie aérienne Southwest Airline ainsi qu’une chaise de bistrot emblématique de Bryant Park.
Le jeu sera animé par la comédienne Sara Barron et le DJ Stewey Decimal.
Crédit : Charles Guerin/ABACAUSA

Solstiss, le dentellier français de “Gatsby”

Cheveux courts au carré, perles pendantes aux oreilles, l’actrice Carey Mulligan, aka Daisy Buchanan, porte une robe de dentelle rose embellie de pétales d’organza.

Cette affiche de “Gatsby le Magnifique”, le dernier film de Baz Luhrmann adapté du roman de Francis Scott Fitzgerald, Sandrine Bernard l’a accrochée à l’entrée de son bureau new-yorkais. La dirigeante de Solstiss a le sourire : la sortie du long-métrage, vendredi 10 mai aux États-Unis, couronne deux années de collaboration du dentellier français avec la super-production australo-américaine. « Une expérience extraordinaire » confie-t-elle.

Peu connues du grand public, les dentelles haut de gamme de Solstiss sont pourtant de tous les grands mariages royaux. La marque a notamment fourni les 25 mètres de dentelle à la Maison McQueen pour la robe de mariée de Kate Middleton en 2011. Cette même année, Solstiss a obtenu le label Entreprise du patrimoine vivant pour son “savoir-faire traditionnel et industriel”. Un art du tissage préservé depuis 1974, date de la création de la société dans le nord de la France. « La technique est celle de 1804 » précise Sandrine Bernard. « L’électricité a certes remplacé le charbon, mais les machines à tisser sont les mêmes. » Des machines uniques dites “Leavers” – du nom de l’inventeur anglais au XIXe siècle – qui ne sont plus fabriquées aujourd’hui. Solstiss en possède le plus grand nombre au monde, 114, dans ses usines de Caudry, près de Cambrai.

Cristaux, perles et plumes : l’exubérance des années folles

Sandrine Bernard, directrice de Solstiss USA
Sandrine Bernard, directrice de Solstiss USA

Le long des quatre murs du bureau de Sandrine Bernard, 8.000 modèles sont suspendus en rangs serrés. C’est là que Catherine Martin, la costumière en chef du film “Gatsby le Magnifique” et épouse du réalisateur, est venue faire son choix début 2011, entourée de son équipe. « Elle a regardé tous les modèles, elle savait exactement ce qu’elle voulait. C’était fabuleux de la regarder faire. » Après des heures d’examen minutieux, Catherine Martin a retenu 210 dessins, aux motifs floraux et géométriques.

En tout, 1.400 mètres de dentelles ont été livrés, des simples et des rebrodées, embellies de sequins, cristaux, perles, paillettes, métaux et plumes. Un rafinement dans le détail pour marquer l’exubérance des années 20. « Il y a eu des commandes spéciales, comme la dentelle de l’affiche. Nous l’avions en blanc, ils la voulaient en deux autres couleurs », rose pour la photo de Carey Mulligan et ivoire pour le film. Reteinter une dentelle prend quatre semaines, le double pour créer un nouveau modèle. « Entre les commandes et la dernière livraison, sept mois se sont écoulés ». Les dentelles ont ensuite été envoyées en Australie, pays natal du couple Luhrmann-Martin, pour la fabrication des robes, dessinées, pour la plupart, par les créateurs de Prada et de Miu-Miu.

Le montant du contrat reste secret mais c’est évidemment une très grosse commande pour l’entreprise qui réalisait l’an dernier un chiffre d’affaires de près de 20 millions d’euros. Difficile de faire une estimation tant les prix varient d’une dentelle à l’autre : de 30 dollars le yard (91,44 cm) pour un tissage simple à plus de 500 dollars pour un travail d’embellisement. Solstiss travaille depuis longtemps avec les designers de Ralph Lauren, Michael Kors, Oscar de la Renta et de Marc Jacobs entre autres. Et “The Great Gatsby” n’est pas son premier film : l’entreprise calaisienne a participé à “Adèle Blanc-Sec” de Luc Besson il y a 3 ans, au dernier James Bond “Skyfall” et aux deux “Hunger Games”. La robe de mariée de l’héroïne de “Twilight”, c’est encore Solstiss. « Mais Gatsby a constitué le plus gros travail, précise Sandrine Bernard. Neuf scènes de bal, c’est imposant ! »

La directrice de Solstiss USA était à l’avant-première, le 1er mai à New York, et a beaucoup aimé le résultat : « C’est un très beau film, et pour cause : il y a de la dentelle Solstiss partout. Je n’ai jamais vu autant de robes en dentelle en 2 heures et 23 minutes ! »

Manon: dernier né du Meatpacking

Vendredi dernier, Manon a vu le jour en plein cœur du Meatpacking.

On n’y retrouvera pas pour autant le public typique du quartier, pas plus qu’on n’y entendra les tubes Dance qui résonnent partout ailleurs. Le nouveau triplex nocturne du groupe Maison DELLOS (propriétaire du resto du même nom à Moscou et du récent Pushkin sur 57e rue) accueille les amateurs d’une atmosphère plus élégante, d’une cuisine moderne, d’un cadre sensuel et d’une musique de qualité. La sélection à l’entrée n’est destinée qu’aux trop jeunes ou aux trop prétentieux qui sont plutôt envoyés à côté (SL). L’endroit est magnifique et conçu intelligemment étant donné l’espace tout en longueur. Passées les voûtes de l’entrée au rez-de-chaussée, on serpente le long d’une pièce haute et sombre, avec un grand bar et un double mur en verre épais illuminé par derrière. Des booths confortables au plafond bas avec une mezzanine lounge juste au-dessus complètent le décor. Le 3e étage abrite un restaurant chic, avec grands lustres en cristal et balcons en verre qui permettent de préserver l’ouverture entre les différents niveaux et laisser la musique remplir les différents espaces, de l’extérieur ou de l’intérieur grâce aux enceintes. Un lieu créé pour un plaisir auditif mais aussi visuel avec des matériaux à la fois bruts et luxueux, des murs en brique, en verre ou garnis de miroirs dépolis, des poutres en fer forgé noir, des morceaux de moulures récupérés en guise de faux plafond et des menus en carton au graphisme baroque assorti au dessous du bar. Attendez vous à quelques surprises, par exemple on ne décrit pas les cocktails par leurs ingrédients mais par leur saveur. Et certains éléments changent de couleur… Manon 407 West 14th Street -
212-596-7255 – Ouvert tous les jours à partir de 17h

Une semaine de clubbing variée…

Après un déménagement, on en profite pour faire la fête dans l’appart vide ; dans le cas de MESS, organisé dans la future partie resto du club Output (74 Wythe Avenue, entrer sur North 12th Street, Brooklyn) on fait la fête avant même l’ouverture avec les excellents DJ Eli Escobar et Momus et on se prend une bonne dose d’Indie Dance ce jeudi 9, et c’est gratuit ! Infos

J’avais annoncé la semaine dernière la venue de Fred Falke de l’ancien duo Stardust ; c’est au tour d’Alan Braxe de venir. Il jouera dans le cadre des soirées PLEASURE TREASURE le vendredi 10 @ Lil’ Charlie (19 Kenmare Street), et c’est aussi gratuit (sur RSVP) Infos

Un invité spécial le samedi 11 mai pour les soirées FIXED : une des stars de la scène Dance Underground internationale, Duke Dumont est attendu vers 23h @ Le Poisson Rouge (158 Bleeker Street) Infos & billets. Du côté de Marquee (289 Tenth avenue ) on lance les soirées BABEL qui rassemblent musique, art, costumes et magie. Le thème de  cette première: « Light, Shine, Sparkle, Burn » avec en tête d’affiche le duo Thugfucker Infos & billets

Enfin les soirées underground en plein air reprennent, dont les très populaires MISTER SUNDAY @ Gowanus Grove (400 Carroll Street, Brooklyn) dimanche 12 Infos & billets

Et pour les semaines à venir…

Electric Daisy Carnival @ Citi Field le 17 & 18 mai

Giorgio Moroder & François K @ Cielo le lundi 20 mai

Brodinski @ Webster Hall le vendredi 24 mai

Moon Safari Club & Scratch Massive @ Glasslands Gallery Brooklyn le samedi 25 mai