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Enrico Macias invite ses amis à Miami

Enrico Macias entame une tournée aux Etats-Unis. Il sera en concert à Miami, New York et  Los Angeles.
Le chanteur français montera sur la  scène du Julius Littman Performing Arts Theater le 8 juin pour interpréter son nouvel album « Venez tous mes amis ! ». Ce nouvel opus se compose essentiellement de duos et reprend de nombreux titres célèbres dont « Adieu mon Pays », chanson qui apparait sur le premier album d’Enrico Macias en 1962 et « Les filles de mon pays », chantée pour la première fois en 1964.
Le musicien pied-noir, titulaire de la Légion d’Honneur depuis 1985, est célèbre pour ses musiques influencées par la culture orientale et andalouse mais également pour son jeu d’acteur puisqu’il a tourné dans quelques films comme La vérité si je mens 2 et 3 ou encore Coco.
Enrico Macias a récemment fêté ses 50 ans de carrière à l’Olympia en présence de l’ancien couple présidentiel Nicolas Sarkozy et Carla Bruni. A cette occasion il a interprété plusieurs des duos présents sur son album avec  notamment Liane Foly, Dany Brillant, Gérard Darmon ou encore Sofia Essaïdi.

Français et Américains se méfient autant des politiques

Tous pourris ? Le sentiment est transatlantique: les sondages massacrent les élus des deux côtés de l’Atlantique. Les Américains n’ont pas de Cahuzac, mais ils n’en pensent pas moins…
Selon un sondage de l’agence YouGov France pour le Huffington Post et I-Télé réalisé en mars 2013, 76% des personnes interrogées affirment ne plus avoir confiance dans les responsables politiques. Aux Etats-Unis la tendance est identique puisque 74% des Américains interrogés n’ont pas confiance dans les décisions prises par le gouvernement, selon une étude de l’agence Pew publiée le 31 janvier 2013.
Au cœur des revendications des Français interrogés : le renouvellement de la classe politique. Selon un sondage Harris Interactive réalisé en mars 2013, 82% des Français sont favorables à une limitation de deux mandats pour les députés, sénateurs et présidents de collectivités territoriales. Outre Atlantique, la priorité va à l’économie générale pour 29% des Américains et à la situation de l’emploi et du chômage pour 28% des personnes interrogées pour le sondage conduit par Gallup en juillet 2012.
En France, l’affaire Cahuzac a contribué à cette défiance des citoyens envers les dirigeants puisque 55% des Français estiment que les politiques sont corrompus selon un sondage CSA réalisé pour BFM TV le 11 avril 2013. Ce sont les Français qui se sentent proches du Front National qui sont les plus méfiants (70%) alors que ceux proches de l’UMP sont 48%. Seulement 38% des Français sympathisant du PS estiment que les hommes politiques sont corrompus.
Aux Etats-Unis, les citoyens sont un peu plus optimistes. Selon un sondage de Suffolk University pour USA Today réalisé en août 2012, 27% des personnes interrogées ne s’intéressaient pas à la vie publique car considéraient les hommes politiques comme trop corrompus.

Des Français se mobilisent pour l’éducation au Rwanda

Financer la construction d’une école primaire au Rwanda. Tel est l’objectif de l’opération de levée de fonds “Seed for Growth”, organisée le 26 avril.

Derrière ce projet philanthropique, trois jeunes Français des Etats-Unis : Maxime Attal, Sarah Louzon, installés à New York, et Dorielle Hadar, une étudiante de Los Angeles. “Seed For Growth” aura lieu au Bowery Hotel. « Nous attendons 400 personnes environ et nous espérons récolter 30.000 dollars. Cela nous permettra de construire deux salles de classe, des tableaux, des livres, des armoires et de payer des professeurs pour cinquante élèves au Rwanda », explique Maxime Attal.

A l’origine du projet, Sarah Louzon, étudiante en relations internationales qui est tombée amoureuse du Rwanda à l’occasion d’un voyage pendant lequel elle a rencontré Arlene Brown, la fondatrice de Hope Made Real, une organisation américaine à but non lucratif qui vient en aide aux enfants défavorisés du Rwanda. « En novembre 2012, j’ai parlé du projet de levée de fonds à Maxime et Dorielle, je voulais poursuivre ce que j’avais commencé au Rwanda lorsque je m’étais occupée des enfants à l’école », confie la jeune française. Grâce au travail de Dorielle Hadar, étudiante en création en business et design, ils ont réussi à décrocher suffisamment de sponsors pour organiser la soirée.

« C’est un projet qui nous tient vraiment à cœur, affirme Maxime Attal, c’est important pour les enfants des pays en développement d’avoir accès à l’éducation. Savoir lire, écrire et compter peut les rendre libres ». « Le génocide a été très brutal et l’ONU n’a pas fait ce qu’on attendait d’elle, c’est donc une bonne idée pour des Français de créer un tel projet. Surtout que le Rwanda est désormais un pays sûr où l’on peut travailler et investir », renchérit Sarah Louzon.

« Avec peu, nous pouvons changer beaucoup de choses et avoir un grand impact sur la vie des enfants rwandais, insiste Maxime Attal. Nous voulons laisser quelque chose qui dure. L’éducation est une base fondamentale pour la nouvelle génération du Rwanda. L’école coûte malheureusement très cher dans ce pays mais elle  permet de combattre la pauvreté, c’est la base de la croissance d’un pays. Grâce à l’école, il pourra y avoir de nouveaux leaders, des docteurs, des journalistes et même des artistes. Avec ce projet, c’est possible de faire la différence », assure le jeune Français.

Si “Seed For Growth” n’est pour l’instant que le nom d’un évènement, il pourrait devenir une société. « Transformer ce projet en une véritable entreprise est une réelle option pour nous, conclue Maxile Attal. Monter une entreprise demande beaucoup de temps aux Etats-Unis mais c’est une alternative que nous n’excluons pas ».

La BD francophone s'expose au Center for Book Arts

Hergé ou Goscinny s’offrent des vacances à New York du 19 avril au 29 juin.

“From Bande Dessinée to Artist’s Book: Testing the Limits of Franco-Belgian Comics est une exposition organisée par le Center for Book Arts. Elle retrace l’évolution  de la BD franco-belge, de ses débuts jusqu’à sa forme contemporaine, pour mieux raconter l’importance de la France et de la Belgique dans l’émergence de la bande-dessinée francophone et sa transition vers des formes d’expressions plus artistiques.

Le travail de nombreux dessinateurs célèbres, d’hier et d’aujourd’hui, sera montré aux visiteurs. L’entrée est gratuite.

Djo Kacou: une chanteuse au grand coeur au Shrine

Réconforter son prochain par la musique“, c’est l’objectif que s’est fixée la chanteuse Djo Kacou qui sera en concert le 24 avril au Shrine.

Connue également sous le nom de “Soul Sis”, Djo Kacou est une chanteuse franco-ivoirienne dont la musique parle de joie, de souffrance et de rédemption.

La chanteuse de R&B et de hip hop a débuté le chant dans un tout autre registre : à 5 ans, elle fut en effet membre de la chorale d’une église. C’est là qu’elle découvrira son talent pour la musique.

Installée aux Etats-Unis depuis la fin des années 1990 et à New York depuis 2006, Djo Kacou considère la musique comme un moyen de communiquer et de partager ses émotions. Ses influences sont riches et proviennent d’univers musicaux différents : Billie Holliday, Bob Marley, Joséphine Baker, Whitney Houston ou encore Michael Jackson.

Les Français de la Silicon Valley se penchent sur "the problem with the French"…

« S’il y a une chose qui pose problème avec les Français, ça serait quoi ? »  demande Lara Pagnier, fondatrice de Parisoma avec un œil amusé à son interlocuteur, Loïc Le Meur. «Eh bien, si on se concentrait plus sur les solutions et non les problèmes, si on arrêtait de copier, de critiquer, et qu’on se mettait au travail, ça serait bien ! » réplique le fondateur de la conférence LeWeb.  «Le vrai problème, c’est qu’on pense qu’il y a un problème !» ajoute Renaud Laplanche, fondateur de LendingClub, sous les rires de l’assistance.
Organisée par Parisoma et FaberNovel, sur une idée d’«Osons la France», le 5 avril à San Francisco, la rencontre avait été intitulée:  “The problem with the French”, un clin d’oeil à la phrase célèbre de George W. Bush (“the problem with the French is they don’t have a word for entrepreneur”…).
« L’idée était à la fois d’avoir des entrepreneurs bien établis qui parlent de leur expérience et des jeunes qui viennent présenter le concept de leur entreprise », explique Lara Pagnier, «on voulait mettre en avant le concept d’innovation et faire la preuve par l’exemple que les Français sont  d’excellents entrepreneurs! ».
Une douzaine de chefs d’entreprises sont montés sur le podium, un vivier de talents dont Arnaud Breton, venu présenter Unishared, cofondé avec Clément Delangue, un site collaboratif de partage faits par et pour les étudiants. Pour lui, «si on peut parler de problème, c’est que les Français ont peur d’échouer alors que c’est nécessaire dans le processus de réussite ». Pour Axelle Tessandier, ex directrice marketing de sccop it et créatrice d’Axl Agency «le concept d’échec est ancré dans notre éducation». « On peut même parler de paradoxe français » ajoute Georges Nahon de Orange Labs, «en France, on entend toujours parler du retard, alors qu’en réalité, il y a énormément d’initiatives intéressantes, on est beaucoup trop modestes ».
Pour de nombre de ces entrepreneurs, la proximité de la Silicon Valley et l’esprit qui règne dans cette région a cependant joué un rôle essentiel dans la réalisation de leur projet. «Il est certain qu’il y a un tel bouillonnement d’énergie créatrice ici, que tout semble possible », explique Valérie Orsoni, créatrice du coaching en ligne avec LeBootCamp.com. Après avoir perdu sa société du jour au lendemain, la dynamique Corse a su rebondir.  «Plutôt me réinventer comme disent les américains ! Ici d’ailleurs, on n’appelle pas ça un échec mais une épreuve et c’est presque un passage obligé, c’est ce qui va permettre de s’accomplir en tant qu’entrepreneur ».
S’il semble qu’il manque en France l’ouverture d’esprit et les circonstances pour que les entreprises fleurissent comme dans la Silicon Valley, le « mal » semble être plus profond. Pour le consul général de San Francisco,Romain Serman «l’éducation est la clé. J’aimerais qu’on ne voit plus l’entrepreneur comme le méchant. Il faut faire venir les étudiants ici et leur montrer comment ça fonctionne, créer une mafia d’entrepreneurs qui pourraient s’entraider et aider ces jeunes à réaliser leurs envies».
Le rôle des pouvoirs publics est de nouveau mis en question avec le coup de gueule de Carlos Diaz, de Kwarter, qui revient sur son mouvement « les pigeons » qui a reçu une large médiatisation en Octobre dernier . «J’aimerai que le gouvernement comprenne qu’on a besoin de soutien, nous représentons le futur de notre économie. »
Un futur que ces jeunes patrons français veulent peindre en rose, dans un contexte économique difficile en Europe mais avec l’élan de la deuxième bulle internet que semble vivre la Silicon Valley aujourd’hui.
(Photos: Simone Audissou)
 

Dans le musée déjanté de "2Fik"

Dans le monde de “2Fik”, l’autoportrait à l’oreille coupée de Van Gogh devient un autoportrait à la rage de dents. La grande Odalisque d’Ingres devient la grande intendante : la femme pulpeuse et sensuelle du tableau s’est transformée en une femme à barbe accompagnée d’un plumeau et d’un aspirateur.

Vous trouvez les musées trop sérieux et austères ? Rendez-vous à l’Invisible Dog du 20 avril au 18 mai. L’artiste “2Fik” y expose « 2Fik’s Museum », une série de photographies décalées revisitant les grands classiques de la peinture. Ingres, Manet, Van Gogh, Velasquez, Munch: tout le monde y passe. « Je considère que le musée n’est pas évident d’accès pour une certaine partie de la population. Il a une image très solennelle. Mon objectif était de réinterpréter à ma façon ces peintures qui jouissent de cette certaine classe pour les rendre humoristiques et contemporaines », explique l’artiste.

Né à Paris et issu d’une famille de la bourgeoisie marocaine, “2Fik” a élu résidence à Montréal, ville dont le « féminisme offensif » l’a beaucoup inspiré. Il se lance dans la photographie en 2005. « Je sortais d’une période très difficile. Face à la solitude, j’ai commencé à me mettre en scène en me multipliant, ça m’a rassuré ». L’artiste commence alors à s’intéresser à la perception des identités : « J’ai remarqué que certains accessoires revenaient souvent dans mes photos, c’est comme ça que j’ai eu l’idée de créer des personnages ».

Cette nouvelle série reste fidèle à la signature de l’artiste. 2Fik pousse le vice jusqu’à interpréter lui-même certains personnages dans ses photographies. « Tous les personnages reviennent et j’en ai ajouté trois dont moi-même. J’apparais dans plusieurs tableaux mais en représentant le vide : on ne voit pas mon visage ».

L’art de “2Fik” a une dimension sociale, culturelle et humaine. « Je veux transmettre plusieurs message comme celui de l’égalité homme-femme, celui d’arrêter de mettre des étiquettes aux gens. Mon travail se concentre donc sur les questions d’identité, de genre, d’intégration. Je m’intéresse à ce qui compose notre identité et la réponse n’est jamais aussi évidente qu’elle ne parait ».

C’est la deuxième fois que 2Fik expose à l’Invisible Dog. L’artiste avait présenté en 2011 « 2Fik or not 2Fik », une première série qui présentait les différents personnages qu’a créés l’artiste.

Les Ballets Trockadero de Monte Carlo sont de retour

Les danseurs déjantés des Ballets Trockadero de Monte Carlo entament une nouvelle tournée aux Etats-Unis. Tutus, pointes et barbichette seront de mise.

La compagnie se produira  le 11 mai à Stony Brook. Créée en 1974 par un groupe de danseurs américains, la compagnie a vocation à présenter le ballet traditionnel dans une version décalée et parodiée.

Les ballerines, à la technique parfaite,  sont exclusivement des hommes qui se travestissent parfois pour certains rôles. La compagnie explore un répertoire très riche allant du classique au moderne et interprète de nombreuses pièces comme « Don Quichotte », « Le Lac des Cygnes » ou encore « La Belle au Bois Dormant ».

La compagnie est également connue pour son engagement en faveur d’organisations luttant contre le Sida comme la DRA (Dancers Responding to AIDS), Classical Action à New York, Dancers for Life  à Toronto, le Stonewall Gala de Londres ou encore Life Ball basée à Vienne. Les Ballets Trockadero de Monte Carlo ont également fait plusieurs représentations au profit des sans-abris homosexuels à New York et ont récolté 4.000 dollars pour financer des projets d’éducation pour les enfants défavorisés de Thaïlande.

Dégustation de Côtes du Rhône au Bennet Media Studio

Avis aux amoureux de bonnes bouteilles ! Le site des amateurs de vins GrandsCrus.org organise un wine tasting le 18 avril pour faire découvrir aux New- Yorkais les vins des Côtes du Rhône.

Pendant deux heures, vous pourrez découvrir une grande variété de vins tout en dégustant quelques hors d’œuvres  sur fond de musique jazz. Le bassiste Andréa Veneziani sera présent pour ce wine tasting. La dégustation aura lieu au Bennet Media Studio.

Les vins des Côtes du Rhône sont célèbres pour s’accorder parfaitement avec une cuisine riche en fruits et légumes mais aussi avec la viande et le poisson.

Journée sans voiture dans une partie de LA

Une journée sans voiture à LA? C’est possible. Si respirer les pots d’échappements vous importune au plus haut point, réjoussez-vous : le 21 avril, les autos et tout autre moyen de locomotion à moteur seront proscrits dans une partie de la ville.

Cet espace sans voiture dénommé “To the Sea”  débute à Union Station et parcourt Venice jusqu’aux rives de l’océan.

Cette initiative est proposée par CicLAvia et s’inspire du même projet Ciclovia qui avait eu lieu auparavant à Bogota, en Colombie. L’objectif est d’encourager les moyens de transports non polluants et d’améliorer la qualité de l’air de la ville, l’une des plus polluées des Etats-Unis. C’est la cinquième fois que CicLAvia organise cet évènement. D’autres auront lieu dans l’année, le 23 juin et le 6 octobre.

Profitez de cette journée pour faire du vélo, ressortir votre vieux skateboard, faire une course à pied ou tout simplement vous promener.

Un "flash-mob" pour la mimolette à Washington Square

La mimolette dans nos assiettes !” Des slogans de ce type fleuriront peut-être samedi 13 avril à Washington Square, au cours d’un “flash-mob” organisé à New York pour dénoncer les restrictions à l’importation de ce fromage.

Le rendez-vous, fixé à 17 heures, suscitera sans doute l’intérêt des 900 personnes qui ont rejoint la page Facebook “Save the mimolette“, créée la semaine dernière.

Ce happening est monté par Isigny, principal exportateur de mimolette aux Etats-Unis. « Venez habillés en orange !», lance Benoit de Vitton, responsable de la filiale d’Isigny aux Etats-Unis.  « On fera une grande dégustation de mimolette, avec les cinq boules dont nous disposons encore dans un entrepôt. Ce sont les dernières ! »

Depuis le 8 mars, comme French Morning l’a révélé, les autorités douanières américaines bloquent l’entrée de mimolette aux Etats-Unis. Motif : l’existence d’un taux élevé de “mites” sur la croute. Une présence pourtant nécessaire à l’élaboration de ce fromage.  « Il n’y a pas plus de mites aujourd’hui qu’hier, et cela faisait 20 ans que nous exportions de la mimolette », rappelle Benoit de Vitton. La FDA nie toute interdiction du “vieux hollande” sur le sol américain.

Isigny America est en discussion avec l’Ambassade de France, afin de rapatrier les 500 kilos de fromage qui attendent à la douane. « Pour l’instant, personne ne sait vraiment ce qui va se passer, c’est le stand-by. Ce qui est sûr, c’est que les mimolettes qui arrivent par bateau continuent d’être bloquées. »

Plutôt Mulberry ou Greenwich Project?

Mulberry Project ou Greenwich Project? Et pourquoi pas les deux ?

Car chaque endroit, bien que faisant partie du même groupe (The Project Group, qui possède aussi Vinatta Project) a ses particularités : à Mulberry on trouvera un DJ, des cocktails et un jardin l’été. À Greenwich, aussi des cocktails, car la mixologie est le cœur du métier du groupe, et un resto art déco sur deux étages. L’homologue du bar en sous-sol de Little Italy a ouvert la semaine dernière et n’a pas déçu ! Sa cuisine américaine aux influences européennes est succulente (j’ai testé entre autre le boudin blanc…), et les cocktails à la hauteur de toute attente. À goûter absolument, et pour la French touch, le BKLYN’76, une version originale du French 75 à base de sirop de romarin et de liqueur de lavande faite maison. Greenwich ne proposera pas de DJ, mais ne scintillera pas moins pour autant et n’en sera pas moins populaire auprès des gens de la nuit. Son bar laqué blanc, ses chandeliers astiqués et ses œuvres d’art en paillettes multicolores ont été intelligemment pensés et constituent un environnement propice à de longues nuits agréablement arrosées.

Mulberry Project : 149 Mulberry Street. Ouvert tous les jours à partir de 18h; Greenwich Project : 47 West 8th Street. Ouvert tous les jours pour le dîner + brunch le samedi et le dimanche. Le site du Project Group

Manhattan ou Brooklyn, Tech, Deep ou Soulful House, Electro Funk ou Chill Out, au choix pour cette semaine de clubbing :

Ce vendredi 12, JORIS VOORN, excellent producteur de Tech House est invité des soirées Verboten au Highline Ballroom (431 West 16th Street) – Infos & billets ; ANDY CALDWELL, son homologue dans la section Electro/Soulful House, et un de mes producteurs favoris, est lui @ Finale (199 Bowery) – Infos & billets ; du coté de Brooklyn, deux duos de DJ/producteurs du label Get Physical seront @ Output (74 Wythe Street, Brooklyn) : M.A.N.D.Y (qui s’amusent à changer la signification de leur acronyme, qui signifie officiellement Me AND You), et les Blond:ish – Infos & billets

Le franco-irlandais Dominique Keegan, qui mène avec succès depuis plusieurs années le label Plant Music aura l’honneur de jouer au côté du légendaire AFRICA BAMBAATAA @ Cameo Gallery (93 North 6th Street, Brooklyn) le samedi 13 – Infos & billets

On inverse les rôles avec un résident de Brooklyn au style unique mélangeant Techno, House et Tribal VICTOR CALDERONE, qui sera lui @ Pacha (618 West 46th Street). Infos & billets

Le dimanche 14, les TURNTABLES ON THE HUDSON envahissent Le Bain (444 West 13th Street) avec en tête, leur fondateur Nickodemus, les résidents Sid Vaga + Nappy G, et en invité spécial, Master Kev, maître de la Deep House. Infos & billets

Enfin, si vous écoutez Radio Nova, vous connaissez le talentueux duo canadien-anois RHYE qui se produit pour notre grand plaisir @ Le Poisson Rouge (158 Bleecker Street) le mercredi 17. Infos & billets

Et pour les semaines à venir…

Dennis Ferrer + Kenny Dope @ Cielo le jeudi 18 avril

Maya Jane Cole @ Provocateur le jeudi 18 et Highline Ballroom le vendredi 19 avril

A-Trak @ Webster Hall le samedi 20 avril

Dimitri from Paris & François K @ Cielo le lundi 6 mai

The Presets + Dragonette @ Terminal 5 le mercredi 8 mai