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Le tournoi du Heart of Texas Petanque Club revient à Austin

Fans de pétanque, la date est à marquer d’une boule en fer sur votre calendrier : les 6 et 7 avril, à Austin, le Heart of Texas Petanque Club organise son fameux tournoi annuel en doublette.

Ce club de pétanque, créé par un groupe d’amis en mai 2008, est présidé par Arsene Dupin, qui est aussi magicien.

Les règles sont les mêmes que l’an dernier, les équipes sont toujours constituées d’un binôme. Petite nouveauté cette saison:  les organisateurs du concours ont introduit une “consolante”, qui permet aux équipes éliminées dès le premier tour d’avoir une seconde chance. Saisissez la vôtre!

Texas French Symposium, c'est reparti!

Qui a dit qu’apprendre le français ne pouvait pas être amusant ? Le célèbre Texas French Symposium a lieu les 5 et 6 avril au Sam Rayburn High School de Pasadena. Deux jours de concours dans une ambiance festive et 100% VF.

Créé il y a cinquante ans au Mac Arthur High School, le Symposium est reconnu comme une compétition officielle de l’Etat du Texas. Ouvert à tous les lycéens de l’Etat qui apprennent le français, le Symposium consiste en une série d’épreuves académiques, écrites et orales, artistiques et sportives, dans plusieurs catégories, comme la poésie, la prose, l’improvisation de discours, le théâtre, la musique, l’art et même le football.

Des professeurs de français jouent les arbitres. Le Symposium est notamment l’occasion pour eux d’établir un programme d’apprentissage du français sur l’année scolaire afin de préparer au mieux leurs élèves pour le concours. Après le Québec en 2012, l’édition de 2013 aura pour thème le Maghreb.

La francophonie américaine en trois conférences

Depuis le début des années 2000, plus de 11 millions de personnes vivant aux États-Unis ont déclaré avoir un lien avec la francophonie.

Forts de cette analyse, Éducation Française de la Bay Area (EFBA), le Centre de la Francophonie des Amériques et Orange Sillicon Valley de San Francisco ont décidé d’organiser trois conférences pour parler de ces francophones d’Amérique du Nord.

Au programme : trois jours, trois conférences avec trois professionnels qui reviendront sur la réalité de la francophonie nord-américaine. Le premier colloque accueillera, le 23 avril, le spécialiste des relations franco-américaines, Serge Bouchard. Il viendra partager ses connaissances sur l’histoire des francophones aux États-Unis. Deux jours plus tard, le 25 avril, les locaux de Orange Sillicon Valley recevront la visite de Rodrigue Landry, directeur de l’Institut Canadien de recherche sur les minorités linguistiques. Il animera une discussion sur le phénomène de bilinguisme en Amérique du Nord. Enfin, le 10 mai, le professeur Amanda Lafleur de la Louisiana State University reviendra sur le statut du français en Louisiane.

Un cycle de conférences pour tous les francophones et francophiles qui s’intéressent à la préservation de la langue de Molière en milieu anglophone. Pour y assister, il suffit d’aller s’inscrire sur le site de l’EFBA.

La Guinée de Sékou Touré en musique

Mêler danse et histoire : voilà le nouveau projet que la Duniya Dance and Drum Company viendra présenter le premier week-end d’avril au Jewish Community Center de San Francisco. A l’occasion de deux soirées, la troupe de danses traditionnelles guinéennes reviendra sur la présidence du Guinéen Sékou Touré.

Opposant notoire à la colonisation française, Sékou Touré a été élu à la tête de la Guinée en 1958 lorsque les Français ont quitté le pays. Après avoir remporté le prix Lépine de la Paix en 1961, sa gouvernance a été très vivement critiquée. Démocratie inexistante, règne de la terreur, le premier président guinéen a vite endossé le rôle de dictateur. Mais Sékou Touré était un aussi un bienfaiteur des arts traditionnels de Guinée.

La troupe Duniya Dance and Drum Company est composée d’artistes venant du monde entier. « The Madness of the Elephant », nom de la prochaine création que la troupe viendra présenter à San Francisco, retrace un pan de l’histoire de la Guinée. Cette performance se veut un voyage dans le passé et envisage le futur du pays.

Ce spectacle aura lieu seulement quelques jours après la commémoration du 29ème anniversaire de la mort de Sékou Touré, une belle occasion de se replonger, en danse et en chanson, dans l’histoire de ce pays francophone d’Afrique de l’Ouest.

L'art "low-cost" à l'Affordable Art Fair

Rendre l’art accessible au plus grand nombre: c’était l’objectif de Will Ramsay en créant en 1999 l’Affordable Art Fair à Londres.

Aujourd’hui, cette vente d’oeuvres d’art à prix abordable a lieu aux quatre coins du monde, de Milan à Singapour en passant, bien entendu, par New York. Du 3 au 7 avril, la Grosse Pomme accueillera des travaux issus de galeries européennes, américaines ou encore asiatiques, pour les mettre en vente au grand public.

Quatre-vingt galeries seront au rendez-vous pour l’événement de quatre jours. Parmi elles, trois galeries parisiennes: la galerie Bruno Massa, la galerie Olivia Ganancia et la galerie Envie d’Art.

Le concept est simple : des milliers de peintures, sculptures et photographies originales, allant de 100$ à 10.000$ et dont la moitié coûte moins de 5.000$, sont en vente. Les travaux de jeunes artistes émergents y côtoient les grands noms de l’art contemporain.

Un conseil: si vous voulez être une pince jusqu’au bout, l’entrée est gratuite le vendredi soir à 20h.

"Paris Reborn": un roman historique sur les grands travaux parisiens

Les Américains adorent Paris et se rendent volontiers dans la capitale française pour une escapade romantique. Ils prennent plaisir à visiter l’Opéra Garnier, le Louvre ou Notre-Dame. Mais savent-ils que ces édifices ne seraient pas sans les grand travaux menés dans la ville sous Napoléon III, entre 1848 et 1870?

Stephane Kirkland, architecte et passionné d’Histoire de l’Art, a voulu raconter cette grande transformation de la capitale dans un livre d’Histoire grand public, Paris Reborn, qu’il présentera le 2 avril à la librairie Book Court à Brooklyn.

Le livre se concentre principalement sur les deux protagonistes qui ont impulsé cette épopée des grands travaux parisiens, Hausmann et Napoléon III, mais s’attache également à faire revivre l’époque du Second Empire, une période animée “d’un esprit d’entreprise, d’une foi en l’avenir, d’un enthousiasme presque juvénile“, comme le dit l’auteur Stephane Kirkland dans un communiqué.

Législative: Franck Scemama, candidat du PS en Amérique du Nord

Franck Scemama est le candidat du parti socialiste à la législative partielle en Amérique du Nord. Ainsi en a décidé le Bureau national du parti, mardi.

Il lancera officiellement sa campagne au cours d’événements publics qui auront lieu le 2 avril à Montréal et le 3 avril à New York, souligne le PS en Amérique du Nord dans un communiqué.

En février, l’ancien conseiller AFE du Québec/ Provinces atlantiques et responsable de la section PS de Montréal était arrivé en tête d’une consultation interne de 162 militants socialistes aux Etats-Unis et au Canada. Il avait remporté 69% des voix (92 votes) face au ticket adverse, composé de Gabrielle Durana, présidente d’Education Française Bay Area (EFBA) et de l’animateur de Fort Boyard et trésorier de la section PS de Los Angeles Olivier Minne.

Franck Scemama, qui est franco-canadien et habite en France, était également soutenu par de nombreux cadres du parti socialiste dans la circonscription, dont l’ancienne députée Corinne Narassiguin. Il sera opposé lors de cette partielle à Frédéric Lefebvre (UMP), Gérard Michon (divers droite), Damien Regnard (divers droite), Karel Vereycken (Solidarité et Progrès), Louis Giscard d’Estaing (UDI) et Véronique Vermorel (Parti Pirate).

Les militants socialistes en Amérique du Nord commençaient à s’impatienter – l’investiture de M. Scemama devait avoir lieu la semaine dernière, mais le premier secrétaire Harlem Désir en avait décidé autrement à la dernière minute. Il y a deux semaines, une tempête de neige à Paris avait empêché la réunion du Bureau. Et la semaine d’avant, ce dernier n’avait pas eu lieu pour cause de vacances. Le Parti Socialiste nord-américain n’a pas attendu de connaitre le nom du candidat pour se lancer en campagne. “Alors que les autres candidats ont amorcé leurs campagnes au lendemain de parachutages imposés par leurs directions nationales, les sympathisants de gauche et les sections socialistes d’Amérique du Nord se structurent et s’organisent en amont de la décision, a-t-il fait savoir dans un communiqué publié le 20 mars. Dès l’annonce de l’investiture officielle socialiste, ils seront prêts à répondre aux attentes des électeurs”.

Le mariage pour tous débattu à Columbia

Quelques jours après la tenue, en France et à l’étranger, de la Manif pour tous, l’université Columbia organise une conférence le 1er avril sur le mariage gay en France et aux Etats-Unis. Eric Fassin et Mary Anne Case y prendront part.

Eric Fassin est professeur de sciences politiques à l’université de Paris VIII et sociologue. Il a notamment travaillé sur la politisation des questions sexuelles et raciales en France et aux Etats-Unis ainsi que sur la sexualisation et la racialisation de la vie politique. Il a travaillé sur la controverse du mariage homosexuel autant que sur la question de la parité. Il est l’auteur de L’inversion de la question homosexuelle en 2005, Le sexe politique en 2009 et Démocratie précaire en 2012.

Mary Anne Case est professeure de droit à l’université de Chicago. Elle a notamment travaillé sur la régulation des genres, de la sexualité et de la famille selon une perspective historique, constitutionnelle, comparative et féministe. Elle a publié de nombreux articles juridiques sur la question du mariage homosexuel dont What feminists have to lose in same-sex marriage litigation, en 2010.

Le New York African Film Festival a 20 ans

Pour ses 20 ans, le New York African Film Festival fait durer le plaisir. Il investit le Lincoln Center du 3 au 9 avril, avant de se rendre à l’université Columbia, le 18 avril, puis au Maysles Cinema Institute de Harlem du 2 au 5 mai et enfin à la Brooklyn Academy of Music du 24 au 27 mai.

Pour cette vingtième édition, le NYAFF a choisi de rendre hommage au réalisateur sénégalais Ousmane Sembène, “le père du cinéma africain“. Le documentaire “All at once”, consacré au célèbre réalisateur, sera diffusé dès le premier jour du festival. Classiques, films contemporains, expérimentaux, documentaires: toute la richesse du cinema africain sera mis en avant.

Les réalisateurs seront au coeur de ce festival, assistant aux projections et répondant aux questions des spectateurs après les séances. Les femmes seront également mises à l’honneur, elles dont la place dans le cinéma africain n’a cessé de grandir depuis 20 ans. La diffusion de Virgin Margarida de Licinio Azevedo, brulôt féministe tourné au Mozambique, en est la preuve.

"Priscilla Folle du Désert" fait escale à Miami

Embarquez à bord d’un bus direction le bush australien ! La célèbre comédie musicale “Priscilla Folle du Désert” fait escale à Miami du 2 au 7 avril. Préparez vos talons aiguille.

Joué pour la première fois à Broadway en mars 2011, ce nouveau spectacle reprend les mêmes ingrédients qui ont fait son succès depuis  2006 : trois amis – deux drag-queens et un transsexuel – de Sydney embarquent à bord d’un bus, baptisé “Priscilla”. Direction Alice Springs, en plein désert australien, pour jouer dans un casino. Ce road trip est l’occasion pour le trio en quête d’amour et d’amitié de découvrir beaucoup plus.

La comédie musicale reprend également de nombreux tubes des années 1970 comme It’s Raining Men, Finally ou encore I Will Survive.

Jouée en Australie,  Nouvelle-Zélande, au Royaume-Uni, Canada et aux Etats-Unis, la comédie musicale est mise en scène par Simon Phillips, célèbre pour avoir réalisé The 25th Annual Putnam County Spelling Bee, August : Osage County et Richard III.

“Priscilla Folle du Désert” est une adaptation d’un film de Stephan Elliot en 1994. Le réalisateur a d’ailleurs co-écrit le scénario de la comédie musicale avec Allan Scott.

À la guerre, Hollande porte la culotte et Obama suit

(Revue de presse) Soixante-dix mille morts. C’est le bilan, terrible, du conflit en Syrie, selon les derniers chiffres de l’ONU.

Si la démission surprise du président de la Coalition Nationale pourrait compliquer leurs affaires, la France et la Grande-Bretagne semblent déterminées à reprendre la main sur ce dossier en levant l’embargo sur les armes, qui les empêchait jusqu’à alors d’armer la résistance. CNN et Time se sont posés la même question cette semaine : qui de la France ou des Etats-Unis prendra le premier les devants en Syrie ?

Les deux médias reconnaissent que la France semble, pour l’instant, avoir un avis beaucoup plus tranché sur la question. CNN cite une source officielle française à ce sujet : “Nous préfèrerions que l’Union Européenne abandonne cet embargo. Mais si cela n’arrive pas, nous serions prêt à prendre nos responsabilités“.

La position américaine semble plus délicate, comme le confirme le site de la chaîne de télévision : “Les Etats-Unis ont offert un appui tacite à certains alliés, comme l’Arabie Saoudite, le Qatar et les Emirats Arabes Unies pour armer l’opposition. Mais jusqu’à présent, Washington s’est montré prudent sur la question, de peur que ces armes ne tombent dans les mains de djihadistes, qui pourraient les utiliser contre Israël”. L’occasion pour la journaliste d’apprécier l’évolution des rapports de force entre les deux pays: “Les relations entre Paris et Washington étaient autrefois beaucoup plus tendues, en raison notamment du conflit en Irak. Depuis l’arrivée de Nicolas Sarkozy, et maintenant de François Hollande, la France entraîne souvent les Etats-Unis dans des conflits armés“.

Le Time semble d’ailleurs se faire l’écho de ses confrères de CNN : “Ce ne serait pas la première fois que la France entraînerait les Etats-Unis dans un conflit. La France a déjà pris les devants en Lybie et au Mali. Au conseil de sécurité des Nations Unies, la France a toujours été le membre le plus remuant sur le dossier iranien”.  S’il ne s’agit évidemment pas de désigner un vainqueur, la conclusion du Time semble sans équivoque : “Si l’administration Obama mène désormais “par derrière”, il semble que le pays à suivre est désormais la France“.

Three days in Paris 

Plus léger : Ta-Nehisi Coates, journaliste pour The Atlantic, s’est envolé quelques jours en Europe (à Paris, puis à Montreux en Suisse) pour améliorer sa pratique de la langue. Quelques jours avant son départ, il confie son angoisse à ses lecteurs.

Je n’arrive pas à effacer cette image de ma tête : j’embarque à bord d’un avion. L’avion décolle. Un trou apparaît dans le ciel. L’avion s’y engouffre et disparaît dans quelque chose d’inconnu que les gens appellent plus communément l’Europe. Et que se passe-t-il là-bas ? Est-ce que je peux courir dans les rues ? Est-ce que les gens vont me demander si je connais Kobe Bryant ? Penseront-ils que je suis sarcastique si je dis “vous” à la place de “tu” ?“.

Avant le grand saut, cet Indiana Jones des temps modernes ne semble en tout cas pas très serein. “Je ne sais pas. Je ne sais rien. C’est vraiment effrayant. C’est la partie effrayante, et à la fois exaltante, de l’apprentissage d’une langue. C’est une soumission totale. Tout autour de vous, les gens en sauront plus que vous, sur tout. Et la seule façon d’apprendre est de se plier à cette donnée. Il ne faut même pas penser à parler couramment. Il faut juste accepter sa propre nullité, sa propre ignorance et espérer -de tout cœur-, qu’un jour vous serez moins nul et moins ignorant”. 

Et le journaliste de conclure, en français dans le texte, que “ces choses doit être fait”. Les cours de langue ne seront pas de trop.

Masterchef 

En s’appuyant sur le succès télévisuel de la franchise américaine “MasterChef” en France, NPR s’est penché sur l’association des Maîtres Cuisiniers de France, un club très sélectif qui réunit la fine fleur de la profession. “A la télévision, des chefs amateurs s’affrontent et le vainqueur a le droit d’ouvrir son propre restaurant. C’est la version hollywoodienne de Masterchef. Mais pour recevoir ce titre en France, les chefs doivent être reçus dans le prestigieux -et très sélectif- club des Maître Cuisiniers de France“.

Amy Guttman, journaliste, sougline l’aspect conservateur de cette confrérie. “Imaginez-les comme les chefs de guerre dans la bataille contre la cuisine fusion (qui vise à mélanger les cuisines de différents pays pour obtenir des saveurs différentes). Leur objectif est d’assurer la relève de la cuisine  française traditionnelle. C’est ce qui les rend si spéciaux“.

Les chefs doivent être de nationalité française, avoir au moins 25 ans, pour faire partie de ce groupe. Ils doivent également avoir dix ans d’expérience, deux mentors et patienter jusqu’à ce que leurs aînés jugent qu’ils soient dignes de recevoir ce titre. Il semble plus important pour les Maîtres Cuisiniers de France d’être reconnus par leurs pairs que par le public. C’est Romuald Feger, maître cuisinier qui a grandi en Alsace et exerce aujourd’hui son métier à l’hôtel St Regis à San Francisco, qui en parle le mieux : “Ce n’est même pas une question d’étoiles Michelin… Si nous, chefs, arrêtons de faire ce que nous faisons, nous perdons 2.000 ans d’histoire”. 

L’amitié franco-américaine célébrée à Paris 

La belle histoire de la semaine est à mettre au crédit du Washington Post. Tom Selldorff vit aujourd’hui à Boston. Il avait six ans lorsqu’il a vu la collection d’art de son grand-père pour la dernière fois à Vienne, en 1903, avant qu’elle ne tombe dans les mains des nazis. Tom Selldorff en a aujourd’hui 84 et, le 19 mars, la France lui a remis une partie de ses tableaux. Cette restitution fait partie de l’effort français de rendre des centaines de pièces dérobées aux juifs pendant la guerre.

Reçu au ministère de la culture à Paris, ce citoyen américain a reconnu être extrêmement “reconnaissant et ému“. “Je voulais être capable de léguer à mes trois enfants et mes cinq petits-enfants une partie de l’histoire volée de mon grand-père. Je voulais transmettre son amour pour l’art. C’est ce qui nous rend humain.

Aude Pariset fait son Solo Show à Los Angeles

Le “Solo Show” d’Aude Pariset sera présenté au Favorite Goods à partir du 23 mars.

L’exposition, qui traite de l’hospitalité, s’effectue dans le prolongement d’une autre exposition « Hosting Works, Exposure Rules » qui avait eu lieu à la galerie Sandy Brown à Berlin en automne 2012. S’inspirant des films d’horreur, Solo Show propose de découvrir de nouvelles facettes du duo hôte-invité. Pour cela, l’artiste a choisi de mélanger des accessoires mobiliers et des objets personnels à des images provenant d’internet.

Cette exposition s’inscrit dans le projet « Ceci n’est pas », une initiative des Services culturels de l’Ambassade de France en association avec l’Institut Français et avec le soutien de l’Alliance Française de Los Angeles et du Ministère français de la Culture et de la Communication. Ce projet commun vise à promouvoir la collaboration franco-américaine dans le domaine de l’art et se déroule sur cinq mois, jusqu’en avril 2013.

Aude Pariset est diplômée de l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris et est membre de Based in Berlin, l’un des centres d’art contemporain les plus importants d’Europe.