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Miss France 2012 à New York pour soutenir l'Alsace

Beaucoup de personnes aimeraient avoir une Miss France rien que pour eux. L’Union Alsacienne a réussi cet exploit. Le 24 mars, l’association accueillera à New York l’Alsacienne Delphine Wespiser, qui a porté la couronne des Miss en 2012.

Elle participera à une collecte de fonds pour soutenir la création d’une école maternelle en Alsace, la première où les enfants seront totalement immergés dans la culture et le dialecte alsaciens. C’est un évènement sans précédent : jamais en 142 ans d’existence, l’Union Alsacienne n’avait reçu de Miss France. Delphine Wespiser profitera de l’occasion pour lancer le site Internet de l’IFAL (International Fund for the Alsatian language). Ce fonds doit être doté de 20.000 dollars pour sponsoriser l’école maternelle. La moitié de cette somme a déjà été récoltée.

Je suis une Alsacienne convaincue“, assure Delphine Wespiser. C’est son grand-père, “pur Alsacien“, qui lui a transmis ce goût de la culture régionale. “Mon élection comme Miss France m’a ensuite donné l’outil médiatique, que j’ai essayé d’utiliser au profit de l’Alsace, pour faire la promotion de ma région“.

Depuis plusieurs mois, Delphine Wespier et Yves Bisch, ancien enseignant et directeur d’école aujourd’hui à la retraite, ont entamé une tournée des écoles maternelles d’Alsace pour redonner aux enfants, partout où l’équipe pédagogique était prête à les accueillir, le goût d’apprendre la langue régionale (le tout avec l’accord de l’Education Nationale).

Thierry Kranzer, président de l’Union Alsacienne a trouvé en Miss France 2012 l’ambassadrice parfaite. “Elle a toujours donné de son temps à la promotion de la lange alsacienne, il était logique qu’elle accepte cette invitation à New York“.

Celle qui a été élue Miss France le samedi 3 décembre 2011 au Parc des Expositions de Penfeld n’est jamais venue à New York. “J’ai vraiment hâte de partir et de découvrir cette ville fantastique“.

Un ancien de Totsy lance son incubateur d’entreprises

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En août dernier, Totsy a décroché le gros lot : elle a levé 18,5 millions de dollars auprès d’investisseurs. Un chiffre qui atteste du succès fulgurant de ce site de ventes flash de produits pour enfants, créé en 2009 à New York par deux Français, Guillaume Gauthereau et Christophe Garnier.

Depuis, Christophe Garnier a quitté le navire. Envie de monter de nouveau projets, de « retrouver l’adrénaline des débuts »…  A 36 ans, s’il reste actionnaire de Totsy, il ne participe plus au management. Son quotidien, depuis le mois de novembre, s’appelle Spark-Labs. « C’est un incubateur et un accélérateur de start-ups dans les domaines du e-commerce, du marketing digital et du social média », explique-t-il.

Le vaste loft de 500 m2 proche d’Union Square héberge pour le moment quinze start-ups, dont trois dans lesquelles Spark Labs est l’un des principaux actionnaires : The Cast (sites de castings et de coaching), ITrain (fitness en ligne à la demande) et Sonic Angels (crowfunding dans le domaine de la musique).

Deux autres projets Spark-Labs sont en phase de démarrage : MommyCoach, site de e-learning et de coaching pour jeunes mamans, et une société de musique on-line, AngelDeck. D’autres start-ups pourraient bientôt rejoindre le loft. « L’idée, c’est soit de participer à leur création, soit d’investir dedans, en les aidant à monter en puissance ».

Au total, près de 50 personnes travaillent sur le sol en béton ciré de Spark Labs. « Il y a des Français, des Américains, et aussi des Anglais, Belges, Allemands, Hollandais », énumère Christophe Garnier. Ils partagent leurs murs avec les studios de Philippe Reynaud, un photographe français. La moyenne d’âge est bien en dessous de 35 ans.

L’équipe Spark Labs a une autre corde à son arc : elle propose des services de conseils pour des start-ups basées en France qui voudraient s’implanter à New York. « Ici, il est compliqué d’avoir de bons contacts pour accéder aux bons investisseurs. Tout prend du temps. Une start-up française n’en a pas les moyens », constate Christophe Garnier, qui a travaillé six ans dans la Silicon Valley avant de s’installer à New York en 2005.

« L’idée, c’est d’apporter à ces entreprises françaises un réseau et un savoir-faire. Nous pouvons aussi les conseiller sur le marketing digital, l’adaptation au marché américain, éventuellement les héberger : nous sommes flexibles. » Des ponts commencent à se construire, au fur et à mesure que le mot circule dans le milieu high-tech parisien. « J’ai déjà beaucoup de demandes », glisse Christophe Garnier. Le loft de Manhattan risque de voir débarquer du monde.

Quatre mois après Sandy, l'Almondine Bakery renaît

Fermée depuis quatre mois à cause des dégâts causés par l’ouragan Sandy, l’Almondine Bakery a rouvert ses portes le 3 mars dernier. Une nouvelle qui est presque passée inaperçue.

« Nous n’en avons parlé à personne, confie Hervé Poussot, le patron de l’Almondine Bakery, nous ne voulions pas faire d’évènement particulier. Nous avons fait profil bas et recommencé tout doucement pour ne pas avoir la pression ».

L’humilité est certainement ce qui caractérise M. Poussot. Bien que New York Magazine ait dit de ses baguettes qu’elles étaient les « meilleures de New York », le pâtissier a longuement appréhendé cette réouverture. « On a ressenti plus de stress que d’habitude. C’était un mélange de joie, d’appréhension et de peur. Mais nous étions contents de rouvrir après quatre mois de bataille ».

La réouverture de l’Almondine n’était pas certaine il y a encore quelques mois, l’assurance d’Hervé Poussot ayant refusé de prendre en charge les réparations. Il a dû recourir à la générosité des New-Yorkais. « Mon propriétaire m’a beaucoup aidé et de nombreux clients ont fait des dons, ils se sont mobilisés par l’intermédiaire des réseaux sociaux. D’autres chefs pâtissiers français se sont également mobilisés. Mais je ne cache pas que j’ai dû casser ma tirelire. J’ai repris un crédit pour trente ans », explique-t-il.

« En tant qu’homme, ça vous fait réfléchir, ajoute-t-il. Certaines choses deviennent moins importantes. On se rend compte que rien n’est jamais acquis. Depuis la catastrophe, je relativise beaucoup plus facilement, je prends du recul. Aujourd’hui j’ai une vision plus complète de mon entreprise ».

A la croisée des chemins, Hervé Poussot veut profiter de ce nouveau départ pour commencer une nouvelle aventure. Il hésite entre investir dans un nouveau local ou faire entrer un partenaire financier.

Si l’Almondine Bakery a rouvert ses portes, il reste cependant des efforts à accomplir pour que l’entreprise renoue avec le succès pré-Sandy. « Il reste du gros matériel à réparer. Aujourd’hui, je ne suis qu’à 65% de ma capacité de production ».

De leur côté, les clients se réjouissent de la réouverture de la boulangerie. Rebeca Pontes, une créatrice de mode de 32 ans qui habite dans le quartier de DUMBO est une fidèle cliente de l’Almondine. « C’est une boulangerie vitale dans le quartier. C’était très dur quand elle était fermée. La réouverture est un vrai symbole, c’est important de voir que tant d’efforts ont été fournis pour qu’elle revienne. »

"Living with two languages": le bilinguisme décortiqué

La super-tempête Sandy n’aura pas eu raison de la grande conférence « Living with two languages », le colloque sur le bilinguisme organisé par l’Ambassade de France et le Lycée français de New York (LFNY).

Initialement prévue pour début novembre, elle avait dû être annulée en raison des intempéries. Elle aura finalement lieu le 13 avril au LFNY. French Morning est partenaire de l’évènement, qui sera retransmis dans le monde entier en live streaming.

Le programme ne change presque pas. La journée comptera trois tables rondes pour une exploration pluridisciplinaire du bilinguisme et du multilinguisme. La première, « Langue, émotions et cerveau bilingue », explorera les impacts de l’apprentissage de plusieurs langues sur le bulbe des enfants. La deuxième, « Regards croisés sur le bilinguisme », s’intéressera aux initiatives bilingues voire multilingues qui se sont développées ces dernières années à New York et ailleurs. La troisième et dernière discussion en fera saliver plus d’un. Intitulée « Manger bilingue », elle abordera les différences culturelles derrière les habitudes alimentaires des deux côtés de l’Atlantique. Pour clôturer le tout, une exposition sur l’immigration, réalisée par des élèves du programme Heritage dans le Bronx et de l’école Jean Macé à Mulhouse, aura lieu dans la « galerie » du Lycée.

Plusieurs pointures du multilinguisme et du multiculturalisme prêteront leur regard à ce colloque pluridisciplinaire. Parmi elles, Ofelia García, papesse du bilinguisme aux Etats-Unis et professeur au CUNY Graduate Center ; Karen Le Billon, auteur de French Kids Eat Everythingsur les (bonnes) habitudes alimentaires des Français en culotte courte ; et Ellen Bialystok, chercheuse au Département de psychologie de York University, spécialiste des effets du bilinguisme sur le développement cognitif des enfants et des jeunes adultes.

En 2013, il fait mieux-naître aux Etats-Unis qu'en France

En s’inspirant directement du classement établi par l’Economist Intelligent Unit, filiale du groupe The Economist, Lawrence Whiteley, graphiste et illustrateur britannique, nous permet de mesurer à quel point la géographie du “bien-naître” a évolué en 25 ans. Courrier International a récupéré, et traduit, cette infographie.

“L’indice de bien-naître” est calculé selon dix critères précis : espérance de vie à la naissance, respect des libertés politiques, gouvernance, bien-être matériel, sécurité professionnelle, qualité de la vie de famille, climat, égalité hommes/femmes, qualité du tissu social, sécurité des personnes.

En 1988, au regard de tous ces critères, les Etats-Unis étaient le pays au monde où il faisait le mieux-naître. La France arrivait alors en deuxième position, devant l’Allemagne de l’Ouest, l’Italie et le Canada. Vingt-cinq ans plus tard, les deux pays dégringolent au classement. En 2013, les Etats-Unis ne pointent qu’en 16e position. La chute est encore plus dure pour la France qui échoue à la 26e place, coincée entre le Japon et le Royaume-Uni. La Suisse, l’Australie et la Norvège occupent les trois premières places du podium. Conséquence directe de la crise économique : ce sont les pays hors Union européenne et Amérique s’en tirent le mieux.

 

"Queer Napoléon" à NYU

Bien connue pour ses batailles mémorables comme pour ses victoires et ses défaites inoubliables, la Grande Armée l’est beaucoup moins pour sa communauté gay. Le 27 mars, venez découvrir cette face cachée de l’armée napoléonienne à la Maison Française de New York University.

Cette découverte provient des études menées par Brian Joseph Martin, de Williams College (Massachusetts), sur le développement du penchant amoureux dans l’armée française de 1789 à 1916. En janvier 2011, il en est sorti un ouvrage, Napoleonic Friendship, qui traite de la fraternité, de l’intimité et de la sexualité militaire en France au XIXème siècle.

L’étude de Brian Joseph Martin se penche sur les réformes au sein de l’armée qui ont eu lieu à la suite de la Révolution Française et qui auraient créé des conditions favorables aux relations intimes entre soldats, qu’elles soient émotionnelles ou physiques. Cette particularité aurait permis d’établir un modèle de fraternité au sein de l’armée qui aurait perduré jusqu’en 1870, lors de la première guerre franco-allemande et même lors de la Première guerre mondiale.

Cette théorie est le prolongement de celle de Michel Foucault sur l’origine de l’homosexualité moderne : une relation émotionnelle plutôt qu’érotique basée sur l’affection mutuelle, le soutien et l’intimité.

Sarkozy, "bling bling" même après l’Elysée

(Revue de presse) Nicolas Sarkozy coûte-t-il trop cher à la France ? Le site d’informations financières Bloomberg pose la question.  Et il n’y va pas avec le dos de la cuillère : « Le train de vie de Sarkozy sape les efforts de Hollande pour réduire le déficit budgétaire », titre le site. Rien que ça.

Explications : Bloomberg précise que la vie des anciens chefs d’Etat est, en partie, financée par l’Etat. Les dépenses de Nicolas Sarkozy « coûtent au contribuable français plus de deux millions d’euros par an », affirme le site. Parmi ses dépenses se trouvent la rémunération de l’équipe de travail autour de Nicolas Sarkozy, ses gardes du corps, ses chauffeurs ou encore son bureau à deux pas du Palais de l’Elysée.

Nicolas Sarkozy « dispose aujourd’hui d’un bureau de trois cents mètres carrés aux frais de l’Etat. Son coût annuel s’élève à 180.000 euros, souligne le site. Dix gardes du corps et deux chauffeurs assurent la sécurité de Nicolas Sarkozy, de sa femme et de sa fille, c’est plus que pour Valéry Giscard d’Estaing et Jacques Chirac », affirme Bloomberg avant de préciser que « l’indemnité mensuelle d’un ancien président s’élève à 6.000 euros. Il est aussi membre à vie du Conseil Constitutionnel, fonction pour laquelle il gagne 11.500 euros par mois en tant que membre actif. Le bureau de Nicolas Sarkozy affirme qu’il ne touche que la moitié de cette somme parce qu’il n’est pas membre actif en ce moment ». A titre de comparaison, le site rappelle que les quatre derniers ex-présidents américains « coûtent » 3,8 millions de dollars par an au contribuable, sans compter la prise en charge de leur sécurité et de leur frais de santé.

Alors que les Français avaient surnommé Nicolas Sarkozy « le président bling-bling », ABC News s’intéresse à Monsieur Normal puisque François Hollande doit affronter un sérieux paradoxe dans l’opinion publique française : il est « sympathique et pourtant détesté ». « Le paradoxe de François Hollande est que, partout où il va, il bénéficie généralement d’un accueil chaleureux. Les électeurs le trouvent sympathique et accessible, comme les gens normaux. Mais ils sont déçus par la façon dont il conduit les affaires du pays et sont frustrés qu’il n’ait pas encore renversé la tendance économique, explique le site. Le président français joue sur son bon caractère et son tempérament calme pour tenter d’apaiser l’anxiété de la population confrontée à un taux de chômage élevé et à des industries qui ferment et licencient en série », poursuit le site. Pour le site, le président peut se rassurer : ce n’est pas que les Français ne l’aiment pas, c’est juste qu’ils le trouvent incapable. « Le caractère non-agressif, favorable au compromis de Hollande explique partiellement pourquoi l’amertume exprimée dans les sondages ne se porte par sur sa personnalité mais sur son incapacité à sortir la France de la crise économique ».

Le business en France, mission impossible ?

Les clichés sur la difficulté de faire des affaires en France ont la vie dure. « Avec ses longues vacances, ses horaires minimalistes et la myriade de droits des travailleurs, la France a la réputation d’être un pays où faire du business est difficile », affirme le journal  USA Today. En ce moment, ce dernier a une raison de plus de s’indigner : la loi d’amnistie syndicale actuellement débattue au Parlement. « Sacrebleu ! Une loi française autoriserait les manifestants à saccager des bureaux ! », titre le journal. Le texte « accorderait bientôt une amnistie aux travailleurs qui auraient saccagé les bureaux de leur entreprise ou menacé leur patron lors d’un différend ». De quoi faire dresser le poil des businessmen américains. D’autant que « les tensions et même les confrontations entre les syndicats et la direction sont devenues depuis longtemps la norme en France ».

Forbes salue pourtant les nouveaux entrepreneurs français puisque le site consacre un article aux femmes qui – miracle – parviennent à créer des entreprises originales dans l’Hexagone. « Il existe à Paris une Start Up Weekend, adaptée de la version de Seattle, qui est un mouvement d’entrepreneurs actifs apprenant les bases de la création d’une start up et qui lancent avec succès de jeunes entreprises, mentionne le site. « Clémence Wurtz, co-fondatrice et présidente de SmartRent a gagné la Start Up Weekend de Paris et a prouvé au monde qu’il y a encore en France des jeunes actifs qui ne sont pas satisfaits de ce status quo » ajoute Forbes.  Le site s’intéresse également au succès de Camille Fourmont, qui a créé son entreprise La Buvette, un bar à vin au cœur de Paris, qui rencontre un gros succès chaque soir. « Dans la liste des pays où il fait bon pour les femmes de travailler, la France se classe onzième, après le Danemark mais avant les Etats-Unis », estime de son côté The Economist.

Le Fast-food devient la règle en France

Au pays du foie gras et des escargots, la crise touche désormais la gastronomie. Le site Forbes parle même d’un « coup d’état culinaire ». La faute au succès… du fast-food. « Dans un pays qui est fier de sa cuisine raffinée, l’industrie du fast-food et son chiffre d’affaires de 34 milliards de dollars en 2012 a détrôné  pour la première fois les restaurants français traditionnels, relate ForbesSelon une récente étude sur les habitudes alimentaires des Français, le fast-food –et nous parlons entre autres de hamburgers, pizzas et hot-dogs – représentait  54% du marché (de la restauration) l’année dernière, un bond énorme par rapport à 2011 quand l’industrie du fast-food en représentait 40% », avance le site. Il enfonce le clou : « A la grande surprise de ses habitants, la France est devenue le marché le plus grand pour McDonald’s, en dehors des Etats-Unis ». Et d’expliquer la tendance : « Ce changement dans les habitudes alimentaires des Français est, en partie, dû au déclin du pouvoir d’achat alors que la crise économique s’aggrave (…) De plus en plus, les consommateurs préfèrent acheter de la nourriture bon marché et économiser plutôt que de se rendre dans des restaurants pour le déjeuner ». L’Amérique est l’avenir de la cuisine française.

XL Airways France lance un Paris-Miami

Il sera bientôt plus simple et moins cher de voyager entre Paris et Miami.
Après l’annonce d’une ligne directe entre Marseille et New York, du 31 mai jusqu’au 25 octobre 2013, la compagnie low cost XL Airways France remet le couvert en annonçant un nouveau vol sans escale entre Paris Charles de Gaulle et Miami, et ce à compter du 28 juin.
Les vols seront effectués les lundis, jeudis et vendredi et il sera possible de faire un aller/retour entre les deux villes pour moins de 500 euros.
Les réservations en ligne sont ouvertes sur le site de XL Airways.

Législative en Amérique du Nord: Louis Giscard d'Estaing candidat

(Exclusif) Il avait pris le soin de laisser planer le suspense. Louis Giscard d’Estaing sera bel et bien candidat de l’UDI (Union des Démocrates et Indépendants) à la législative en Amérique du Nord.

Le fils de l’ancien président sera, dès mercredi, au restaurant Opia à New York pour une “rencontre informelle” en présence de membres de l’UMP locale et de sympathisants du centre-droit, si l’on en croit une invitation que French Morning s’est procurée. “Cette rencontre se déroulera dans le cadre de sa candidature de centre droit, qui sera officiellement déclarée le même jour“, raconte l’invitation. Cette annonce doit coïncider avec la possible officialisation des dates du scrutin de la législative partielle, en conseil des ministres.

M. Giscard d’Estaing était député UMP de la 3e circonscription du Puy de Dôme de 2002 à 2012. Lors de la dernière législative, il a perdu son siège au profit de son adversaire écologiste Danielle Auroi. Depuis, il a rejoint l’UDI, le parti centriste créé par l’ancien ministre Jean-Louis Borloo. Il est maire de la commune de Chamalières depuis 2005. Son mandat actuel se termine en 2014.

Il a travaillé pour le groupe Moët Hennessy à New York et Washington et présidé le Groupe d’amitié France-Etats-Unis de l’Assemblée nationale lorsqu’il était député. Il fut l’organisateur, en janvier 2009, d’un colloque sur « les relations transatlantiques avec la présidence Obama ». Sur le plan personnel, il était marié à la Californienne Nawal-Alexandra Ebeid, décédée en 2011.

Après l’annulation de l’élection de Corinne Narassiguin, en février, M. Giscard d’Estaing avait indiqué à French Morning avoir été s0llicité par plusieurs “personnalités” dans la circonscription, issues notamment de l’UMP.

L’expéditeur de l’invitation n’est autre que Yann Coatanlem, fondateur du think-tank Club Praxis et délégué adjoint de l’UMP Côte Est, dont le patron, Guy Wildenstein, a indiqué qu’il ne soutiendrait pas le candidat investi par le parti Frédéric Lefebvre.

Avant New York, M. Giscard d’Estaing sera à Montréal ce lundi pour rencontrer Séverine Boitier (UDI Canada).

L'UMP Côte Ouest soutient Frédéric Lefebvre

Voilà qui devrait faire plaisir à Frédéric Lefebvre.

Non soutenu par le patron de la délégation UMP Côte Est Guy Wildenstein, le candidat de l’UMP à la législative partielle en Amérique du Nord vient de recevoir le soutien “plein et entier” des cadres de la délégation UMP Côte Ouest, apprend-on, samedi, dans un communiqué.

Citant sa compétence en tant qu’ancien collaborateur de Nicolas Sarkozy, “sa loyauté et sa fidélité à l’UMP”, les auteurs du communiqué (Patrick Pagni, Délégué, Christian Paris et Jean-Claude Zambelli, délégués adjoints) affirment que “l’engouement autour de la candidature de Frédéric Lefebvre est certain. Nous sentons que les énergies se libèrent.”

Et de poursuivre: “De nombreux militants se sont d’ailleurs proposés pour s’impliquer activement dans la campagne depuis qu’ils ont eu connaissance de la candidature de Frédéric Lefebvre.

Rentrer en France? "Non" pour 40% des Français travaillant à l'étranger

Selon une étude réalisée par site portail de l’expatriation Mondissimo intitulée « Expatriés, votre vie nous intéresse », 40% des Français travaillant à l’étranger ne souhaitent pas rentrer en France. C’est le site 20 minutes qui révèle l’enquête, vendredi.

Vingt pour cent des personnes interrogées affirment attendre l’âge de la retraite avant de retourner vivre dans l’Hexagone et 10% des sondés estiment qu’ils rentreront dans “quelques années“, sans être plus précis.

Pour Mondissimo, ce résultat s’explique par le fait que les expatriés français sont de plus en plus heureux dans leur pays d’accueil. Parmi les personnes interrogées, 54% d’entre eux sont satisfaits de leur vie à l’étranger (contre 41% en 2006) alors que 40% se disent « plutôt » satisfaits.

Autre raison de cette tendance, 82% des expatriés attendent un changement de mentalité en France pour les inciter à rentrer. Pour 81% des personnes interrogées, c’est le climat fiscal, social et politique qui est un frein au retour.

L’étude précise également que les expatriés passent en France moins fréquemment  depuis 2006. La moitié des expatriés ne revient qu’une fois par an environ, une conséquence de la crise selon Mondissimo.

Le sondage, qui a été réalisé sur un échantillon 1.232 travailleurs français à l’étranger du 8 février 2013 au 8 mars 2013, sera présenté le 19 mars à Paris lors de la 25e convention relative à la mobilité internationale.

Alicia Keys, une "Girl of Fire" à l'AmericanAirlines Arena

Récemment nommée directrice créative de la marque de téléphonie Blackberry, Alicia Keys n’a pas, pour autant, fait une croix sur sa carrière de chanteuse.

La preuve: dans le cadre de sa tournée Girl on Fire, elle sera de passage le 23 mars à Miami, à l’AmericanAirlines Arena. Et, miracle, il reste encore des places!

Alicia Keys, que l’on a récemment vu interpréter l’hymne américain en préambule du dernier SuperBowl, est l’une des plus grandes chanteuses américaines de ces dernières années. En 2001, elle a vendu douze millions de copies de son premier album, Songs in A Minor. Son cinquième et dernier album, Girl on Fire, est sorti en novembre 2012. Comment ne pas citer également son duo avec Jay-Z, Empire State of Mind, qu’elle interprète encore aujourd’hui en ouverture et en conclusion de tous ses concerts ?