La 11e édition du Dance Salad Festival ouvrira ses portes du 28 au 30 mars à Houston. Les chorégraphes internationaux les plus reconnus présenteront leurs travaux. Cette année encore, les francophones seront présents, à travers Siri Larbi Cherkaoui, chorégraphe et danseur d’origine belge et sa troupe Eastman.
A vocation internationale, le festival choisit depuis plus de dix ans de présenter à chaque printemps des chorégraphies diverses et variées venant des quatre coins du monde. Le Ballet de l’Opéra de Lyon en 2005, le Ballet de Maurice Béjart en 2006, ou encore le célèbre chorégraphe français Roland Petit en 2007 ont été présentés.
Pour cette édition, la programmation du festival inclut PUZ/ZLE, une chorégraphie de Sidi Larbi Cherkaoui, danseur et chorégraphe acclamé par la critique internationale et dont la pièce a été présentée au dernier Festival d’Avignon. Le chorégraphe utilise la danse, la lumière et une mise en scène particulière pour questionner à travers cette chorégraphie les puzzles qui se cachent derrière les relations humaines et la pensée.
Le monde de la danse a rendez-vous au Dance Salad Festival de Houston
"38 témoins", un polar franco-belge à El Paso
C’est le mois de la francophonie au Texas, et ça se voit. Après le coup d’envoi donné à Houston le 8 mars, des événements francophones ont lieu un peu partout dans l’Etat. Samedi 20 mars, c’est au tour de l’Alliance Française d’El Paso de projeter un film franco-belge, “38 témoins”.
Le film de Lucas Belvaux, dont l’action se déroule au Havre, sera montré samedi 30 mars dans les locaux de l’organisme. Yvan Attal et Nicole Garcia sont à l’affiche de ce polar qui raconte l’histoire du meurtre, mystérieux, sans témoin, d’une jeune femme. Une affaire insoluble, croyait-on, jusqu’à ce qu’un des voisins, Pierre, se met à raconter, une nuit, ce qu’il a entendu.
Le film a été adapté du roman de Didier Decoin, Est-ce ainsi que les femmes meurent?
NT1 cherche son Bachelor à San Francisco
Il est beau. Il est jeune. Et il viendra peut-être de San Francisco. NT1 cherche son nouveau “Bachelor” du côté de la Baie.
Avec ce programme, NT1 a trouvé la télé-réalité qu’il lui fallait. Lors de la diffusion de la première saison, la chaîne a enregistré des records d’audience grâce à Adriano, le beau gosse espagnol reparti avec l’amour de sa vie Magalie au bout d’un mois de tournage. Pour cette deuxième saison, la formule reste inchangée : un trentenaire – ou paraissant l’être – sportif, intéressant, installé professionnellement et surtout célibataire devra choisir la femme de sa vie parmi plusieurs prétendantes. Le tout sous l’œil des caméras. Après ça, elle pourra rencontrer les parents sans trop se poser de questions…
Si vous pensez correspondre au profil recherché, il suffit d’envoyer un mail à l’adresse suivante : [email protected]. Quelques mots en français, votre CV et deux photos (une de pied et un portrait) vous seront demandées pour éventuellement faire partie du casting final.
Ce n’est pas la première fois que les chargés de casting du Bachelor cherchent la perle rare aux Etats-Unis. Ils étaient venus à New York l’année dernière.
Bataille de polochons géante à New York
Union Square se transforme en arène géante pour accueillir la plus grande bataille annuelle de la ville. Le 6 avril, munissez-vous de votre arme la plus douillette et préparez-vous à affronter des adversaires impitoyables. Bienvenue au Pillow Fight Day !
Si vous êtes toujours un grand enfant, cette journée est faite pour vous ! Le combat démarre au coup de sifflet. A partir de ce moment-là, tous les coups sont permis. Et ce pendant trois heures, jusqu’au sifflet final. Il est également fortement encouragé de porter une armure appropriée à ce type de combat : votre pyjama.
Organisé depuis huit ans à New York, l’évènement s’est étendu au monde entier. De Brasilia à Berlin en passant par Chicago, Hong Kong, Istanbul, Los Angeles ou encore Paris, Seoul et Sydney, ce sont des milliers de participants qui retombent en enfance le temps d’une bataille de polochon.
Tout en vous amusant, vous participerez également à une bonne cause. Les oreillers qui auront survécu seront distribués à des associations pour sans-abris.
Des pubs interdites pour Louis Giscard d'Estaing postées sur Facebook
Ils ont été aperçus dans la nuit de mardi à mercredi sur Facebook. “Ils”, ce sont des liens sponsorisés vers la page de campagne du candidat de l’UDI (Union des Démocrates et Indépendants) Louis Giscard d’Estaing, à la législative partielle en Amérique du Nord. On y voit une photo du fils de l’ancien président, frappée des mots “Tous avec Louis”, le nom de sa page de campagne sur le réseau social.

Le problème: la pratique est illégale. Le code électoral (article L 52-1) interdit à tout candidat, pendant les six mois précédant le scrutin, “l’utilisation à des fins de propagande électorale de tout procédé de publicité commerciale par la voie de la presse ou par tout moyen de communication audiovisuelle“. La jurisprudence a étendu cette disposition aux plateformes de communication en ligne, dont Google (AdWords, AdSense) et Facebook.
Les sanctions sont lourdes. Le code électoral évoque une “amende de 3.750 euros et un emprisonnement d’un an, ou de l’une de ces deux peines seulement” (article 113-1), voire 75.000 euros d’amende (article L-90) applicable en cas de non-respect des dispositions de l’article L 52-1. Le Conseil Constitutionnel, saisi d’une contestation de l’élection, est chargé de prononcer ces sanctions en fonction de la gravité de l’infraction et de son impact sur les résultats du scrutin.
Le problème est bien connu. Lors de la législative de juin 2012, Emile Servan-Schreiber (candidat indépendant) et Gérard Michon (divers droite) en ont acheté pour promouvoir leur page de campagne. Cela a valu au second d’être accusé par l’un de ses concurrents de l’époque Julien Balkany “d’avoir financé sa campagne en utilisant des moyens illégaux de référencement publicitaire et commercial (…) au plus grand mépris des dispositions de l’article L.52-1 du code électoral“. M. Michon s’est défendu en arguant que les liens avaient été achetés en dehors de la période interdite et que la transaction figurait à son compte de campagne.
Enquête en cours
Elle précise que “notre équipe digitale a été immédiatement saisie de cette action et une enquête est en cours“.
Lutter contre la déforestation au Brésil, une photo après l'autre
“On a taillé dans cette forêt de façon intense“. Christine Dutreil ne mâche pas ses mots La directrice de la fondation Anne Fontaine parle de la Forêt atlantique, qui longe le littoral brésilien, rongée par l’industrialisation à marche forcée du pays – il ne reste aujourd’hui que 7% de sa superficie initiale.
Du 30 mars au 8 avril, la fondation organise une exposition de photographie, à Sotheby’s, pour alerter l’opinion publique sur les dangers de cette disparition. Dans le cadre de “Trees in Focus”, 35 photographes du monde entier ont accepté de donner à la fondation 40 photos réalisées autour d’un thème commun : l’arbre. “Si on veut mobiliser, on pense qu’il faut associer des artistes à notre projet. C’est dans l’ADN de notre fondation”.
La fondation Anne Fontaine a été lancée en 2011 par la célèbre créatrice de mode pour lutter contre la disparition des forêts au Brésil. Elle travaille avec le soutien de l’UNEP, le programme environnemental des Nations Unies, et des ONG locales (comme Instituto Foresta Viva ou l’Instituto Terra).
En organisation l’exposition à New York, Anne Fontaine espère trouver des relais pour l’aider dans sa lutte. « Il y a une grosse communauté brésilienne à New York, qu’il n’y a pas forcément à Paris », selon Christine Dutreil. Les photos seront également vendues aux enchères sur le site de Paddle8.
Cela n’empêchera pas l’exposition de voyager. Si les dates ne sont pas encore arrêtées, “Trees in Focus” verra également Paris, Sao Paolo et l’Asie où l’exposition s’arrêtera dans trois villes (non définies).
Lors de l’exposition à New York, un livre, regroupant toutes les photos, sera également mis en vente. Tous les bénéfices seront reversés à l’association.
La Nouvelle Vague submerge le Museum of the Moving Image
La Nouvelle Vague inonde le Queens. “2 ou 3 choses que je sais d’elle” de Jean-Luc Godard et “Le bonheur” d’Agnès Varda seront projetés au Museum of the Moving Image, dans le cadre de l’hommage rendu par le musée au cinéaste Amos Vogel.
“2 ou 3 choses que je sais d’elle” dresse le portrait d’une jeune mère de famille habitant la région parisienne et qui s’adonne à la prostitution occasionnelle. A travers ce portrait, celui de la société tout entière est également dépeint.”Le bonheur”, d’Agnès Varda, raconte l’histoire d’un menuisier heureux dans son mariage qui tombe amoureux d’une employée des P.T.T et s’épanouit dans cette situation.
"Ophelia" de Shakespeare revisitée au Fort Mason Center
Shakespeare traverse l’Atlantique ! À San Francisco, deux Françaises redonnent vie à l’une des plus célèbres héroïnes du poète anglais.
En avril, le Fort Mason Center accueille dans ses murs “Ophelia”. Le spectacle est directement inspiré de l’histoire tragique de la fiancée du “Hamlet” de Shakespeare, et du poème d’Arthur Rimbaud qui lui est dédié. Le résultat mêle danse, théâtre et vidéo, au fil d’une déambulation artistique autour du Fort.
L’histoire est une méditation sur la quête intemporelle menée par Ophelia, à la recherche de son identité personnelle dans un monde fantasmé. Perdue dans ses rêveries d’Hamlet, l’héroïne chemine en songes à travers des pays et des cultures inconnues.
“Ophelia” est la première création de la Compagnie Carte Blanche, fondée à San Francisco par les Françaises Charline Formenty et Marie Walburg Plouviez. À travers le mythe de Shakespeare, ce spectacle fait également écho à leur propre histoire, celle d’immigrantes à la découverte d’un pays nouveau. Déjà présenté en février et mars derniers à San Francisco et Portland, “Ophelia” a été acclamé aussi bien par la critique et les professionnels que par le public.
Pour les spectacteurs qui seraient tentés par ce voyage, il faudra prévoir de s’habiller chaudement, car une partie de la représentation se déroule en extérieur.
"Renoir", le tableau réussi
Gilles Bourdos aime les grands écarts.
En 2008, il tourne à New York “Et après”, le roman de Guillaume Musso, et s’entoure pour l’occasion des plus grandes stars françaises et internationales (Romain Duris, John Malkovich et Evangeline Lilly, aperçue dans la série télévisée Lost). Quatre ans plus tard, pour réaliser son nouveau film, “Renoir”, Gilles Bourdos investit la campagne varoise, où Michel Bouquet et Vincent Rottiers interprètent respectivement Pierre Auguste et Jean, le peintre et le cinéaste. Christa Theret, dans le rôle de la muse, complète ce trio.
“Ce n’est pas un biopic, au sens propre du terme. Le peintre, le jeune fils indécis et la muse : je voulais filmer ce trio-là“. Depuis longtemps, Gilles Bourdos souhaitait réaliser un film sur la peinture. “Et puis je suis né à Nice, je connais ce coin-là de la France, j’avais le désir de faire un film sur la couleur méditerranéenne“.
Le film s’ouvre en 1915, en pleine première guerre mondiale. Jean Renoir n’est pas encore le grand cinéaste que le monde connaît aujourd’hui et revient du front, après avoir été touché à la jambe. Dans la maison familiale, il voit son père, Pierre Auguste Renoir, consacrer ses dernières forces à la peinture et à son modèle, Andrée. Dernier modèle de Pierre Auguste Renoir, cette jeune femme, dont la beauté n’a d’égale que son insolence, va également conquérir le coeur du fils, dans un curieux, mais lumineux, ménage à trois.
Magnifique dans le rôle de Pierre Auguste Renoir, plus intéressé par la peinture de portraits et le nu féminin que par celle des paysages, Michel Bouquet s’est rapidement imposé dans l’esprit de Gilles Bourdos. “Et par chance, il a rapidement accepté“, ajoute le réalisateur. Le choix a, en revanche, été plus compliqué pour les deux autres rôles principaux. “J’ai fait passer beaucoup d’essais, avant de rencontrer Vincent (Rottiers). Je connaissais ses films, c’est quelqu’un que j’avais repéré mais qui, jusque-là, était dans un registre différent. Allait-il pouvoir interpréter le grand cinéaste Jean Renoir ? C’était tout l’enjeu“. Aujourd’hui, Gilles Bourdos n’hésite pas à le comparer à un certain… Jean Gabin. “Il avait quelque chose d’éminemment renoirien“.
Le rôle d’Andrée est revenu à Christa Theret, qui a bien changé depuis “Lol”, qu’elle avait tourné aux côtés de Sophie Marceau et qui l’avait révélé au grand public. “Pour Christa, évidemment, des critères physiques sont rentrées en jeu. Je voulais une fille très pâle, très belle. Mais encore plus que sa beauté, c’est son énergie, son insolence et sa vitalité qui l’ont emporté“.
Eclairé par Mark Ping Bing Lee, qui avait créé les atmosphères d'”In The Mood for Love”, Renoir baigne dans la douce lumière du sud de la France. Gilles Bourdos dépeint avec charme et intelligence cet émouvant passage de relais entre le père et le fils, la peinture et le cinéma. Illuminé par la présence de la délicieuse Christa Theret, et servi par l’immense Michel Bouquet, il ne faut pas manquer ce “Renoir” là.
"Renoir", le tableau réussi
Gilles Bourdos aime les grands écarts.
En 2008, il tourne à New York “Et après”, le roman de Guillaume Musso, et s’entoure pour l’occasion des plus grandes stars françaises et internationales (Romain Duris, John Malkovich et Evangeline Lilly, aperçue dans la série télévisée Lost). Quatre ans plus tard, pour réaliser son nouveau film, “Renoir”, Gilles Bourdos investit la campagne varoise, où Michel Bouquet et Vincent Rottiers interprètent respectivement Pierre Auguste et Jean, le peintre et le cinéaste. Christa Theret, dans le rôle de la muse, complète ce trio.
“Ce n’est pas un biopic, au sens propre du terme. Le peintre, le jeune fils indécis et la muse : je voulais filmer ce trio-là“. Depuis longtemps, Gilles Bourdos souhaitait réaliser un film sur la peinture. “Et puis je suis né à Nice, je connais ce coin-là de la France, j’avais le désir de faire un film sur la couleur méditerranéenne“.
Le film s’ouvre en 1915, en pleine première guerre mondiale. Jean Renoir n’est pas encore le grand cinéaste que le monde connaît aujourd’hui et revient du front, après avoir été touché à la jambe. Dans la maison familiale, il voit son père, Pierre Auguste Renoir, consacrer ses dernières forces à la peinture et à son modèle, Andrée. Dernier modèle de Pierre Auguste Renoir, cette jeune femme, dont la beauté n’a d’égale que son insolence, va également conquérir le coeur du fils, dans un curieux, mais lumineux, ménage à trois.
Magnifique dans le rôle de Pierre Auguste Renoir, plus intéressé par la peinture de portraits et le nu féminin que par celle des paysages, Michel Bouquet s’est rapidement imposé dans l’esprit de Gilles Bourdos. “Et par chance, il a rapidement accepté“, ajoute le réalisateur. Le choix a, en revanche, été plus compliqué pour les deux autres rôles principaux. “J’ai fait passer beaucoup d’essais, avant de rencontrer Vincent (Rottiers). Je connaissais ses films, c’est quelqu’un que j’avais repéré mais qui, jusque-là, était dans un registre différent. Allait-il pouvoir interpréter le grand cinéaste Jean Renoir ? C’était tout l’enjeu“. Aujourd’hui, Gilles Bourdos n’hésite pas à le comparer à un certain… Jean Gabin. “Il avait quelque chose d’éminemment renoirien“.
Le rôle d’Andrée est revenu à Christa Theret, qui a bien changé depuis “Lol”, qu’elle avait tourné aux côtés de Sophie Marceau et qui l’avait révélé au grand public. “Pour Christa, évidemment, des critères physiques sont rentrées en jeu. Je voulais une fille très pâle, très belle. Mais encore plus que sa beauté, c’est son énergie, son insolence et sa vitalité qui l’ont emporté“.
Eclairé par Mark Ping Bing Lee, qui avait créé les atmosphères d'”In The Mood for Love”, Renoir baigne dans la douce lumière du sud de la France. Gilles Bourdos dépeint avec charme et intelligence cet émouvant passage de relais entre le père et le fils, la peinture et le cinéma. Illuminé par la présence de la délicieuse Christa Theret, et servi par l’immense Michel Bouquet, il ne faut pas manquer ce “Renoir” là.
Les Hot Sardines: du bon jazz en boîte
« Nés dans les années 20, élevés dans les années 2000 ». Telle est la devise des Hot Sardines. Car la passion de ce jeune groupe new-yorkais n’est pas tant la sardine que le jazz des années 20 et 30, joyeux, pêchu et dansant de l’entre-deux guerre. Un jazz qu’ils remettent au goût du jour avec une énergie et un style épatants. La phrase la plus entendue à l’issue d’un concert : « That just made my day ! ». Pas besoin d’en dire plus.
Enfin si, il faut dire un mot des artistes. La chanteuse à la voix de velours, Elizabeth Bougerol pour commencer. La jeune Française à l’origine de cette success story new-yorkaise raconte qu’elle a appris à chanter « sous la douche » et qu’elle a toujours été fascinée par le jazz traditionnel « finalement peu joué à New York, où l’on trouve surtout du jazz contemporain ». En 2010, elle se met donc à chercher sur Craigslist des fans de ce genre musical. Elle y rencontre Evan Palazzo, pianiste, et leurs premiers jams endiablés donnent le “la”. Un groupe est en train de naître. Ils sont rapidement rejoints par un danseur de claquettes, un saxophoniste, un trompettiste, un violoncelliste… Les voilà lancés sur de vieux airs de Louis Amstrong et Cole Porter, façon Nouvelle Orléans au début du XIXe siècle. Puis ils se mettent à composer leurs propres morceaux, en anglais et en français.
Le talent fait le reste. Les Hot Sardines créent un univers bien à eux, une sorte de cocon musical particulièrement efficace pour mettre le public de bonne humeur. Depuis 2012, ils sont programmés au Lincoln Center, lors des Summer Stage de Prospect Park, au Blue Note Jazz Festival, et de l’autre côté de l’Atlantique au Festival d’Ile de France… Les Hot Sardines jouent tous les mardis au Boom Boom Boom, en haut du Standard Hotel, de 18h30 à 21h30. Ils se produisent régulièrement au Joe’s Pub où ils seront le 5 avril, à 21h30.
Et sinon, c’est quoi cette histoire de sardine ? « Un clin d’œil à Louis Amstrong et son premier groupe, Hot Five, qui m’est venu au supermarché, devant une boite de sardines au piment rouge », confie Elizabeth Bougerol, naturellement fun.