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Législative: Franck Scemama choisi par les militants PS en Amérique du Nord

Les militants socialistes en Amérique du Nord ont tranché: ils veulent que Franck Scemama porte les couleurs du parti lors de la législative partielle dans la circonscription.

L’ancien conseiller AFE du Québec/ Provinces maritimes et responsable de la section PS de Montréal est arrivé en tête d’une consultation interne de 162 militants socialistes aux Etats-Unis et au Canada. Lui et sa suppléante, Annie Michel, enseignante dans la banlieue de New York, ont remporté 69% des voix (92 votes) face au ticket adverse, composé de Gabrielle Durana, présidente d’Education Française Bay Area (EFBA) et de l’animateur de Fort Boyard et trésorier de la section PS de Los Angeles Olivier Minne, qui a recueilli 38 voix. 133 personnes ont voté.

Le Bureau national du parti dévoilera le nom du (de la) candidat(e) du parti la semaine prochaine.

Franck Scemama, qui habite actuellement en France, était soutenu par de nombreux cadres du parti socialiste dans la circonscription, dont l’ancienne députée Corinne Narassiguin.

Législative: Franck Scemama choisi par les militants PS en Amérique du Nord

Les militants socialistes en Amérique du Nord ont tranché: ils veulent que Franck Scemama porte les couleurs du parti lors de la législative partielle dans la circonscription.

L’ancien conseiller AFE du Québec/ Provinces maritimes et responsable de la section PS de Montréal est arrivé en tête d’une consultation interne de 162 militants socialistes aux Etats-Unis et au Canada. Lui et sa suppléante, Annie Michel, enseignante dans la banlieue de New York, ont remporté 69% des voix (92 votes) face au ticket adverse, composé de Gabrielle Durana, présidente d’Education Française Bay Area (EFBA) et de l’animateur de Fort Boyard et trésorier de la section PS de Los Angeles Olivier Minne, qui a recueilli 38 voix. 133 personnes ont voté.

Le Bureau national du parti dévoilera le nom du (de la) candidat(e) du parti la semaine prochaine.

Franck Scemama, qui habite actuellement en France, était soutenu par de nombreux cadres du parti socialiste dans la circonscription, dont l’ancienne députée Corinne Narassiguin. M. Scemama a animé et coordonné la campagne de cette dernière au Québec. Il tentera à présent de prendre sa place au Palais Bourbon.

Après le Musée d'Orsay, le Met enfile la robe

L’exposition “Impressionism, Fashion, and Modernity”, qui a attiré un demi-million de visiteurs au Musée d’Orsay sous le nom de “L’impressionnisme et la mode”, prend ses quartiers au Met. Elle plonge le visiteur dans les représentations par les impressionnistes de la mode du XIXe siècle .

Alors que Manet, Monet, Renoir et d’autres s’attachent à représenter les Parisiens dans leur vie quotidienne, la mode se démocratise avec, en 1838, l’ouverture du Bon Marché notamment.

Fruit de quatre ans de travail, l’exposition présente chronologiquement et par thèmes le travail de ces impressionnistes qui ont su “capturer l’essence de l’art de la mode“, raconte Susan Stein, la commissaire. Elle est constituée de peintures, d’accessoires, de photographies et surtout de robes représentées dans les œuvres exposées.

Le résultat est un surprenant bond dans le passé. Le visiteur se retrouve au milieu de peintures de bourgeoises et d’aristocrates, dans le Paris du XIXe siècle. Il croise par exemple la robe blanche, star des robes d’intérieur, et la robe noire, considérée comme un choix versatile et un casse-tête pour les artistes souhaitant en reproduire les nuances de clair et de foncé. Il trouve aussi les robes d’été, plus légères et plus colorées, à l’inverse des robes de pluie pour l’extérieur, plus austères et aux formes plus géométriques. Parmi les œuvres à ne pas manquer: “La dame aux éventails” (1873) d’Edouard Manet montre la poète Nina De Callias et ses bracelets d’or, dans un bolero sombre et une chemise blanche au col tunisien, coiffée d’une grande plume ocre. “Toutes ces robes sont des indices sur la période de l’année, sur l’heure du jour, sur la météo ou encore sur le statut social”, indique Susan Stein.

A mesure que l’on évolue dans l’exposition, et donc dans le temps, le choix des matières, des motifs, et des formes se fait plus audacieux, tout comme la technique des portraitistes. “Impressionism, Fashion, and Modernity” nous renvoie dans un monde féerique, où le vêtement en série n’avait pas encore sa place.

Le français pour petits met un pied à Riverdale dans le Bronx

Scolariser bout d’chou en français… dans une école espagnole. C’est dans le quartier de Riverdale, dans le Bronx, que cela se passe.

La Escuelita de Sofia, école bilingue espagnol-anglais, lance ce mois-ci un programme d’immersion en français pour les enfants de 3 à 6 ans. Fondée en 2011 pour permettre aux familles hispanophones de préserver leur langue, le petit établissement a connu un succès rapide. Sa directrice Julissa Martinez a récemment engagé une jeune professeure de français et organisé des démonstrations de cours pour les familles intéressées. Deux autres séances auront lieu dans les semaines qui viennent. “Depuis plusieurs années, je m’intéresse beaucoup à la préservation du langage et de la culture et, récemment, des familles françaises m’ont contacté pour me demander des cours de français pour leurs enfants dans ce quartier“, explique-t-elle.

Riverdale est situé juste au nord de Manhattan, dans l’ouest du Bronx. Le quartier étant facilement accessible d’Inwood et de Washington Heights, l’établissement espère attirer les familles françaises, francophones et francophiles du nord de Manhattan, qui se retrouvent sans cours de français pour petits depuis la fermeture des cours d’immersion du centre de langues Renaissance Village.

Julissa Martinez a bien cerné le problème: “L‘objectif de notre école est d’offrir un programme d’immersion en français pour les enfants de cette communauté. Les parents n’auront plus à aller au bout de New York, ou à payer beaucoup plus pour des services qu’ils peuvent avoir ici“. Et avec un peu de chance, en côtoyant des bambins hispanophones, les élèves apprendront une troisième langue.

 

"Ils s'aiment"… à Houston aussi

Ecrite par Muriel Robin et Pierre Palmade, interprétée par Michèle Laroque et Pierre Palmade,  la pièce de théâtre “Ils s’aiment” (voir vidéo ci-dessous) fut un gros succès populaire lors de sa sortie en 1996. Plus de 15 ans plus tard, “Ils s’aiment” encore, mais de l’autre côté de l’Atlantique.

Hermine Bernard, Jean Valiquette, Arthur Chauliac et Sylvia Paredes remplacent Michel Laroque et Pierre Palmade mais le texte n’a pas pris une ride : les couples de cette pièce découpée en neuf sketches continuent de se débattre au quotidien, essayent encore de communiquer – souvent en vain – et font le difficile apprentissage de la vie à deux. Les représentations, du 2 au 16 mars, auront toutes lieu au Talento Bilingue de Houston, à 20 heures.

Elles seront en français avec des surtitres en anglais.

youtube http://www.youtube.com/watch?v=zlQ7SMM4tIA

Discussion avec Yasmina Reza à NYU

Dans le cadre de ses discussions “French Literature in the making”, Olivier Barrot, écrivain, producteur, présentateur d'”Un livre, un jour” sur France 3, accueillera Yasmina Reza, le 11 mars.

Cette dernière est connue pour ses multiples casquettes. Ecrivaine, elle a produit des oeuvres littéraires, des scénarios et des pièces de théàtre. En 1994, sa pièce Art  remporte un succès international, en France et aux Etats-Unis. Depuis, ses pièces sont régulièrement traduites et jouées dans plus de 35 langues. En 2007, elle avait fait parler d’elle en publiant L’aube le soir ou la nuit qui relate la campagne électorale de Nicolas Sarkozy, qu’elle avait suivi pendant neuf mois. Enfin, en janvier dernier, Yasmina Reza publie Heureux les heureux, un roman en forme de monologues où les personnages viennent livrer leurs états d’âme sans détours. Il fut très bien accueilli par la critique.

Les places étant limitées, il est recommandé d’arriver en avance.

La semaine sera "electro"

Je n’en vois aucune raison particulière, mais cette semaine de clubbing est marquée par l’invasion de méga stars du monde Electronic Dance Music : Swedish House Mafia, Fedde Le Grand, Pete Tong, Roger Sanchez, Otto Knows, AN21 et Armand Van Helden se partageront les plus gros clubs de la ville.

L’occasion de redécouvrir Provocateur, un club d’envergure internationale mais d’à peine 300 m2, qui a la réputation d’être l’un des clubs les plus exclusifs de Manhattan : faites jouer des DJ classés parmi les 50 plus grands au monde dans une salle dont la capacité n’est que de 250 personnes, et l’entrée devient forcément ultra-sélective, sans compter l’obligation de réserver une table dont les prix varient selon l’artiste.

Le décor et la qualité de leur programmation musicale valent bien sûr le coup, surtout si on tombe le jour de l’apparition surprise d’un Laidback Luke ou d’un Avicii, profitant de cette intimité pour explorer de nouvelles dimensions sonores. Les 17 tables-banquettes en cuir couleur lavande composant l’espace font d’ailleurs toutes face au DJ booth (construit comme une scène sur toute la longueur), et sont encastrées dans des plateformes servant de pistes de danse pour vous offrir une proximité sans pareille avec l’électro maestro. Le tout enveloppé dans un cadre riche et sensuel, à la fois futuriste et classique, protégé par les ailes d’un papillon mythique géant, et dont la chaleur est régulièrement et délibérément perturbée par des jets de fumée cryogénique ou des flocons de neige artificielle, même en été. Qui dit succès, dit suite… les propriétaires seraient sur le point de racheter le fameux club de Hip Hop « Shadow » à Chelsea pour une version trois fois plus grande mais probablement tout aussi sélective, et sans le Provocateur Café adjacent. Provocateur, 18 Ninth Avenue (entrer sur Hudson Street entre 13th Street & Gansevoort). Ouvert du Mardi au Samedi. Programme, infos & réservations ici

Voici donc au programme de cette semaine EDM :

Vendredi 1er mars : Swedish House MafiaArmand van Helden & Pete Tong @ Madison Square Garden (infos & billets ici)

Samedi 2 : Swedish House Mafia & Pete Tong @ Barclays Center (infos & billets ici) & Fedde Le Grand @ Pacha (infos & billets ici)

Dimanche 3 : Swedish House Mafia & Otto Knows @ Barclays Center (infos & billets ici)

Lundi 4 : Swedish House Mafia & AN21 @ Barclays Center (infos & billets ici)

Pour faire la balance, voici un certain nombre d’excellentes soirées disons plus underground : ce jeudi 28 est l’occasion rare de retrouver Kerri Chandler, une légende de la House music @ Cielo (18 Little West 12th Street) accompagné des non moins talentueux Kim Ann Foxman, Alix Alvarez & Gavin Royce. Billets & infos ici

Le samedi 2 mars, les soirées Verboten accueillent @ SRB Brooklyn (177 Second avenue, Brooklyn) les REBEL RAVE parties à New York dans le cadre de leur « Ten Years of Crosstown Rebels tour ». Le leader à l’esprit rebelle et inventif Damian Lazarius est accompagné de Kenny Glasgow du groupe Art Department, et d’autres talents tels que l’excellent DJ/Musicien/Producteur Amirali qui jouera live. Infos & billets ici

Enfin le dimanche 3, c’est les soirées « Nouveau York » @ Le Bain (44 West 13th) qui ont la bonne idée d’accueillir l’un de mes artistes favoris, et maître de la House, M. Quentin Harris ainsi que Honey Dijon. Infos ici.

Derniers jours pour voir le musical "Jekyll and Hyde"

La fameuse histoire de Dr. Jekyll et Mr. Hyde, titre du roman à succès de la fin du XIXème, est adaptée au Pantages Theater d’Hollywood Boulevard. Le show se termine le 3 mars.

Quatre représentations auront lieu ce week-end. Il y a fort à parier que les billets partiront comme des petits pains : la critique a acclamé le musical de Leslie Bricusse et Frank Wildhorn, respectivement dramaturge et compositeur. A l’aide d’effets spéciaux, ils parviennent à mettre en scène le célèbre récit tout en lui donnant un aspect magique, qui plaira aux petits et aux grands.

Dans le rôle principal de Dr Jekyll, le gentil docteur, et de son alter ego Mr Hyde, on trouve Constantine Maroulis, finaliste de l’émission « American Idol », dont la voix spectaculaire donne le ton du spectacle. Quelques places sont encore disponibles pour les derniers jours de représentation.

Les restaurants de Long Beach en fête

Les gourmets et les gourmands de Long Beach sont aux anges. Les 6 et 7 mars, leurs restaurants préférés du East Village Arts District accueillent Taste of Downtown, un événement riche en saveurs.

Chacun des restaurants participants propose de goûter de petites portions de leurs spécialités à prix réduit, le tout en musique avec des performances d’artistes live, dont le groupe Monsville Collective dont les morceaux folk et country old-school mettent de bonne humeur.

Parmi les 17 restaurants à proposer des échantillons de plats et de boissons, on retrouve Kabob Curry (gastronomie indienne), Buono’s Pizzeria (spécialités italiennes) et aussi un restaurant aux saveurs françaises (et visiblement adepte du jeu de mots), Creme de la Crepe, qui proposera crêpes salées et sucrées.

Des tickets à prix réduit sont en vente en ligne.

Marthe Keller : « Tout ce que j’ai fait m’est arrivé par accident »

Elle a travaillé avec les plus grands. De Marcello Mastroianni à Al Pacino en passant par Clint Eastwood ou Claude Lelouch, pour n’en citer qu’une poignée. Mais paradoxalement, elle a la célébrité en horreur.

Mélange de simplicité, de chaleur, de grâce et d’élégance, Marthe Keller a consenti à faire une légère entorse à ses principes en acceptant l’invitation de l’American Cinémathèque et du Consulat de Suisse, qui consacrent une semaine spéciale à l’actrice helvète« Je suis très touchée par cet hommage », glisse-t-elle avec humilité.

Vendredi 1er mars, la Cinémathèque diffusera deux de ses films, « Marathon Man », de John Schlesinger, qui marque ses premiers pas dans le cinéma américain, en 1976, et « Au Galop », du jeune réalisateur Louis-Do de Lencquesaing, dernier long-métrage dans lequel elle a tourné. Ce sera aussi l’occasion pour Marthe Keller de revenir sur son parcours. « Je préfère ce terme à celui de carrière, dit-elle. Je ne crois pas aux calculs. Tout ce que j’ai fait m’est arrivé par accident. Et très souvent par amour». Adolescente, Marthe Keller se destine à devenir danseuse, par admiration pour une amie issue d’un milieu plus aisé qu’elle. Un accident de ski l’oblige à 16 ans à changer de voie et à s’orienter, un peu par hasard, vers le théâtre puis le cinéma. Autre “accident” en mai 68 : « Je me suis retrouvée bloquée à Paris. C’est là que j’ai rencontré Philippe de Broca avec lequel j’ai ensuite tourné» et qui deviendra plus tard son mari et le père de son fils, Alexandre.  « Petit à petit j’ai pris goût au cinéma mais ça ne m’empêche pas d’avoir le trac, même de plus en plus ! Au théâtre, il ne faut surtout pas me parler avant que j’entre en scène».

Timide, à ses débuts, Marthe Keller dit s’être libérée en jouant dans différentes langues étrangères. Elle en parle quatre (l’allemand, sa langue maternelle, mais aussi le français, l’anglais et l’italien). « Lorsque l’on joue dans une autre langue que la sienne, on ne se concentre plus sur soi mais sur cette nouvelle langue. On y met toute son énergie. Du coup, plus le temps d’avoir peur. C’est extrêmement libérateur, explique-t-elle. J’enseigne actuellement dans une école de cinéma en Suisse, la Teinturerie, où j’ai récemment fait cette expérience incroyable avec de jeunes comédiens qui ont dû jouer les Trois Sœurs de Tchekhov dans 14 langues, de l’arabe à l’italien en passant par la langue des signes et l’hébreu, qu’ils ne connaissaient pas !». La chaîne Arte souhaite en faire un documentaire.

« La mentalité suisse tue parfois le talent »

Née à Bâle, Marthe Keller est très attachée à la Suisse, où se trouve sa résidence principale, bien qu’elle vive une grande partie de l’année à Paris. « J’ai besoin de la Suisse. Quand j’étais jeune, j’étais claustrophobique. Je ne pensais qu’à partir et voyager. Il y a en Suisse des talents énormes. Malheureusement, la mentalité suisse parfois tue ce talent. Nous sommes trop pudiques, trop timides. Une espèce de calvinisme nous retient en arrière, une obéissance qui va contre l’art, là où nous devrions être anarchistes ! dit-elle. En même temps, les Suisses sont extrêmement curieux. C’est rare d’en rencontrer un qui n’a jamais voyagé. Ils remplacent beaucoup la parole par l’observation. Comme dans l’horlogerie ! Ou les documentaires par exemple pour lesquels nous avons eu des réalisateurs très doués ».

La star de ” La Demoiselle d’Avignon” ne se voit pas en revanche vivre à Los Angeles. « J’y ai habité et tourné plusieurs films. C’est une ville fantastique lorsque vous y travaillez. Mais en dehors de ça et du cinéma, culturellement, c’est une ville assez pauvre, comparée à Paris ! Après bien sûr il y a le soleil, la végétation… C’est très agréable d’y venir de temps en temps. Mais je crois qu’au bout d’un moment, je m’ennuierais ». 

Celle qui a partagé sept ans de sa vie avec Al Pacino dit aspirer aujourd’hui à autre chose qu’aux paillettes hollywoodiennes. « Comme je le dis souvent, aux Etats-Unis, on a besoin d’être dans un film qui marche bien alors qu’en France, on a besoin d’être bon dans un film. Je trouve que le cinéma américain est aujourd’hui un peu en chute libre, dominé par les blockbusters. La France a la chance d’être un pays extrêmement privilégié en terme de subventions ». Ces dernières années, l’actrice a délaissé les réalisateurs américains pour de jeunes réalisateurs français comme Nicolas Boukhrief ou Louis-Do de Lencquesaing. « Je suis très curieuse, j’aime découvrir de nouvelles choses. J’adore leur côté labradors fous. Avec les jeunes réalisateurs, ça court partout. C’est génial ! ».

Le groupe franco-américain Cosmic Suckerpunch à Harvard and Stone

Ils quittent le bercail, les beaux gosses aux cheveux longs de Cosmic Suckerpunch.

Après avoir fait la première partie du groupe Muse et investi des scènes mythiques dans le Tennessee, San Francisco et Los Angeles, les quatre musiciens français et américains de la Cité des Anges se lancent dans une tournée à travers le sud des Etats-Unis. A partir du 6 mars et jusqu’au 20, ils joueront en Californie, dans l’Arizona et au Texas, qu’ils gagneront à l’occasion du festival South by Southwest (SXSW) à Austin.

Durant cette tournée, Ari Welkom, Adam Timmerman et les deux frères jumeaux parisiens Fabien et Sébastien Hameline, installés à Los Angeles depuis 2005, feront la promotion de leur nouvel EP, qui comprend cinq titres, et de leur album “Good Morning”. Leur style musical inspiré entre autres de Led Zeppelin, Radiohead et Pink Floyd oscille entre rock et hard, funk et blues.

"Le Salon de musiques" revient au Dorothy Chandler Pavilion

Marie-Antoinette se sentirait presque chez elle à Los Angeles.

Le Dorothy Chandler Pavilion accueille, le 10 mars, “Le salon de musiques”, une manifestation mensuelle qui met à l’honneur la musique de chambre du XVIIIe, que la reine affectionnait particulièrement. Comme à l’époque, le concert se déroule dans une atmosphère intimiste. Le musicien est à la même hauteur que son public, sans scène.

Le concert débutera à 16h et sera suivi d’un buffet où spectateurs et artistes sont invités à dialoguer. Les musiciens partageront leurs connaissances sur les morceaux joues et leurs compositeurs. Au programme du 10 mars: deux mouvements de Claude Debussy et un de Maurice Ravel, interprétés par un trio de violon, piano et violoncelle.

Créé par le pianiste et mélodiste français François Chouchan, “le Salon de musiques” permet de découvrir des morceaux classiques parfois peu connus, ainsi que le contexte social et historique de l’œuvre. Réservation obligatoire.