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Nancy Danino, la chanteuse aux mille vies

En quittant la France il y a sept ans, Nancy Danino n’imaginait pas que New York l’accueillerait les bras ouverts.

Née en Israël, Nancy Danino, la chanteuse a travaillé avec Bob Sinclar, Dominique Dalcan (Snooz), Marc Collin (Nouvelle Vague), a été une star en Scandinavie (le temps d’un tube avec Kent – FF, vendu à un demi-million d’exemplaires) avant de s’envoler à New York, où elle a (presque) tout recommencé à zéro. “J’étais bien à Paris, j’avais un bel appartement, du succès mais je sentais qu’il me fallait autre chose, un nouveau défi. New York m’est alors apparue comme une évidence“.

Sous la protection de BMG Music Publishing, elle rencontre d’abord plusieurs compositeurs de talent avec qui elle finit l’écriture de son dernier album, Testify. Et puis tout s’écroule… Universal rachète BMG, tout le monde est licencié et Nancy Danino se retrouve à New York avec un album “magnifique” entre les mains, mais plus personne pour le distribuer.

Je ne suis pas venue à New York pour attendre qu’on me donne l’autorisation de faire ce que j’ai envie de faire, clame-t-elle  aujourd’hui. J’ai trouvé les fonds, ça a été une longue bataille, je voulais une vraie production artistique. J’ai  monté une boîte de production ici (Violet Blues Production, ndlr), j’ai commencé à devenir productrice“.

Les studios Bennett, et leur “Independant Artist Program”, ont achevé de remettre Testify dans le sens de la marche. Et maintenant, alors ? “Je rencontre des agents et je veux amener l’album aux labels, le faire écouter aux maisons de disque pour le sortir bientôt. J’essaye d’avoir un concert régulièrement pour que les gens puissent venir m’écouter“. Le 16 février, le combat continue : à 21h, Nancy Danino chantera sur la scène de DROM.

Philippe Beer-Gabel et sa harpe finlandaise en terre "country"

Devinette : comment, en tant qu’auteur-compositeur-interprète français, se retrouve-t-on en tournée du Texas et en Louisiane en passant par l’Oklahoma, le Kansas, le Missouri et le Tennessee, avec un bassiste et un batteur américains, mais aussi une chanteuse anglaise ?

Réponse : en jouant du kantele, une harpe finlandaise à 38 cordes ! Cet ingrédient nordique rend l’assemblage Château Nowhere encore plus cosmopolite et décalé. Mais c’est bien autour de cet instrument que le Francilien Philippe Beer-Gabel a construit la formation.

La musique est universelle

« Je suis tombé amoureux du kantele en écoutant des morceaux composés par [l’Estonien] Arvo Pärt, au point de partir en formation en Finlande en 2007 et d’imaginer de l’intégrer dans des compositions pop-rock », raconte le musicien, qui vit à Austin une partie de l’année.

Pour lui, l’instrument finlandais permet de se consacrer sur l’essentiel : l’émotion véhiculée par la musique. « J’aime créer des sons, mais je considère qu’on n’a pas besoin de nouveauté en la matière : nous sommes saturés de chansons à longueur de journée. Et la musique constitue un important repère social, ce qui fait qu’on préfère souvent écouter un morceau qui a quarante ans plutôt qu’une composition récente. Ce qui est atemporel, c’est la réaction que suscite un morceau, quels que soient la culture, le paysage, la langue… Du fait de la tension dans les cordes, le son du kantele dure très longtemps. C’est pourquoi il est toujours lié à des rituels religieux et que j’ai une grande foi dans la capacité de cet instrument à créer l’émotion ».

Philippe Beer-Gabel le confirme : il est pourtant « le seul à vouloir populariser le kantele ». C’est d’ailleurs ce qui lui a permis d’obtenir la confiance du fabricant Koistinen, qui lui prête un instrument depuis deux ans. Après avoir appris à jouer de la guitare seul, parce qu’il s’ennuyait chez ses parents en région parisienne, puis découvert les pays nordiques qui le faisaient rêver depuis l’enfance, le trentenaire veut que « le kantele soit central dans sa musique » et qu’il constitue « le fil rouge entre ses différents projets » : le groupe indie rock parisien General Bye Bye, la formation pop-rock austinite Cache Cache et le dernier né, de la rencontre d’Américaines à Paris, Feather Feather. Château Nowhere est une combinaison de Cache Cache et Feather Feather. « Le but, c’est de pouvoir jouer seul ou à douze, selon le contexte, mais aussi les disponibilités des uns et des autres », précise le compositeur.

Plus facile de jouer aux Etats-Unis qu’en France

Conscient que « tourner n’est que sacrifice », Philippe Beer-Gabel s’est fixé des objectifs modestes pour la première tournée de Château Nowhere. Il espère « rencontrer des bookeurs, pour ne plus devoir tout faire seul, à la force du poignet » et revenir dans la même région dès le mois de juin. Mais surtout se faire plaisir en jouant. La tournée faite il y a quelques années aux Etats-Unis avec General Bye Bye lui a montré qu’il n’allait pas forcément se passer quelque chose professionnellement, même pendant South by Southwest. Surtout pendant South by Southwest en fait. « Comment voulez-vous être entendus quand il y a autant de gens qui veulent jouer et personne pour les écouter ? » Mais du fait du prix de l’essence, tourner aux Etats-Unis est considérablement moins cher qu’en Europe. « Et la culture musicale d’Austin permet de répéter chez soi sans que personne ne dise rien ». Il en va autrement à Paris…

Le Corbusier l'écrivain raconté à NYU

On connaissait Le Corbusier l’architecte, moins l’écrivain.

Auteur d’une cinquantaine de livres, une centaine d’articles et plus d’un millier de lettres, cet aspect du travail de l’architecte est mis à l’honneur par Christine Boyer dans un livre qu’elle présentera à la Maison française de NYU le 21 février.

Première étude en profondeur des écrits du fameux architecte, le livre Le Corbusier, Homme de Lettres comprend plus de 200 archives illustrant la vie et le travail de l’artiste. L’auteur, Christine Boyer, professeur à l’école d’Architecture de Princeton, examine ses nombreux projets entre 1907 et 1947 ainsi que des lettres adressées à ses mentors Charles L’Eplattenier et William Ritter.

Dans son livre, Christine Boyer se concentre sur l’évolution du style d’écriture de l’architecte, toujours très méticuleux face à la mise en page, la typographie et l’impact des idées. Homme de lettres, Le Corbusier espérait contribuer à l’atmosphère culturelle du XXème siècle. L’ouvrage montre pour la première fois comment, à travers ses nombreux écrits, l’homme souhaitait transmettre sa passion pour l’architecture, l’urbanisme et l’avancée de la société dans un nouvel âge.

La Villette, ses platines et ses rillettes

Les meilleurs affaires se font souvent en famille… c’est le cas de La Villette, brasserie ouverte en octobre dernier par les frères Marco et Angelo Peruzzi, Italiens d’origine mais Français de culture et New-Yorkais d’adoption depuis 1999.

Ayant pratiquement construit l’endroit eux-mêmes, et Marco étant DJ depuis son plus jeune âge (résident, entre autre, à Kiss & Fly, Hakkasan, Beaumarchais, Pink Elephant ou The Griffin), le mariage du décor et de la musique fait l’identité de l’endroit. On retrouve d’ailleurs Marco aux platines plusieurs fois par semaine pour savourer des rillettes au lapin ou des calamars grillés à la tapenade sur un bon son Deep-House-Groove, habillant parfaitement l’espace mais n’empêchant pas non plus les bavardages… car il y en a beaucoup. L’ambiance est branchée mais conviviale, si l’on compte toutes les bises échangées avec les propriétaires. On remarque une clientèle de plusieurs générations, ce qui est plutôt sympa et les sauve du cliché brasserie “meatpack”. Le chef d’origine provençale Christophe Bonnegrace recommande son lapin à la moutarde… une recette de famille bien sûr ! La Villette, 10 Downing Street – Ouvert tous les jours le midi et le soir. Site web/Page Facebook

Et ce soir, non seulement c’est la Valentine’s Night mais c’est aussi la clôture de Fashion week, donc beaucoup d’évènements à l’horizon et pas beaucoup de temps pour annoncer tout ça. La plupart sont de toute façon assez « people » et prévisibles alors pourquoi pas faire simple, dans le cadre sensuel de Mister H (150 Lafayette Street) au Mondrian Soho par exemple, pour une soirée rassemblant exposition, design et art culinaire suivie des DJs Jean Michel Carlone (le New Yorkais monégasque) et GhostOfADJ. Infos et billets ici ; ou si vous êtes célibataire, @ Café Noir (32 Grand Street) pour une soirée plutôt intime « Single and ready to mingle » … on ne sait jamais, votre nuit sera peut-être aussi légendaire que la scène de « Unfaithful ». Infos ici

Le vendredi 15, les soirées SOUP (menées par les DJs Chris Love & AB Logic) reçoivent un de leurs invités favoris, l’excellent DJ/Producteur/Vocaliste Mr V, et célèbrent l’anniversaire de Joe Pompeo pour nous offrir une House de qualité @ Sullivan room (218 Sullivan Street). Infos et billets ici

Festival « Bizarre Love Triangle » @ Le Poisson Rouge (158 Bleecker Street) le samedi 16 pour retrouver ses tubes New Wave préférés signés The Cure, Depeche Mode, New Order & The Smith. Le groupe de reprises The Engagements jouera live suivi de DJ Shred & DJ Ash. Infos et billets ici. Également le samedi 16, le méga trio de Trance Above & Beyond se produit @ Roseland Ballroom (239 West 52nd Street) à l’occasion de la sortie de la 10e compilation du méga label « Anjunabeats ». Infos et billets ici

Je conseille Sasha @ Output (74 Wythe Street, Williamsburg Brooklyn) le dimanche 17 présenté par Blkmarket Membership. Sa Deep House expérimentale épousera parfaitement l’esthétique du club pseudo berlinois. Infos ici

De l’autre coté de l’East river le même soir, Danny Krivit sera aux platines toute la soirée pour ses « 718 Sessions » mensuelles @ Santos Party House (96 lafayette Street). Infos et billets ici

Opération séduction des vins de Bordeaux sur Park Avenue

C’est le projet un peu fou de deux amis : Louis Kressmann et Eric Dubourg, deux importateurs de vin pour des entreprises concurrentes, tous deux expatriés depuis une quinzaine d’années.

Français de New York, ils sont avant tout Bordelais. Il y a deux ans, ils ont eu l’idée de créer un grand évènement gastronomique autour des vins de Bordeaux, pour promouvoir un morceau de leur terre natale. Aujourd’hui, BurdiGala arrive à maturation. Au menu: une dégustation suivie d’un grand diner arrosé aux vins de Bordeaux bien entendu. “Depuis quinze ans, on s’est construit un très large réseau, on était bien placé, c’était le moment de se lancer, raconte Louis Kressmann. On est un peu fou car on n’a aucune expérience dans l’évènementiel“.

L’idée part d’un constat : si New York aime le vin, ce n’est jamais du Bordeaux. De plus, les deux Bordelais sont des habitués de la traditionnelle “Fête de la fleur” à Bordeaux, qui célèbre les saisons réussies. Ils ont eu beau chercher, New York n’avait pas d’équivalent. Alors les deux compères ont retroussé leurs manches.

Leurs efforts payent : les deux amis réussissent à obtenir, grâce à une amie architecte, la privatisation de l’Eglise Saint Batholomew. Située sur la très chic Park Avenue, ce n’est que la seconde fois dans son histoire que cette église, construite en 1918, ouvre ses portes pour un évènement privé. Et ce n’est pas tout, Louis Kressmann et Eric Dubourg sont amis avec le bras droit d’Alain Ducasse à New York. Contacté, celui-ci a très vite “adoré le projet“, confie Louis Kressmann. Et c’est ainsi qu’Alain Ducasse a rejoint la fine équipe. Lors de la soirée, le chef multi-étoilé concoctera des plats typiques du Sud-Ouest.

Enfin, les vins – car c’est bien eux les stars de la soirée – ont été sélectionnés avec soin parmi les grands châteaux bordelais (comme Chateaux Yquem, Pontet-Canet, Cos d’Estournel et Palmer pour ne citer qu’eux). Douze vins seront proposés pendant la grand-messe. Ils ont tous été donnés par les producteurs. “C’est une prise de risque pour eux aussi car l’évènement est unique. On ne connaît donc pas encore les retombées positives ou négatives qu’il peut engendrer, rapporte l’organisateur. C’est un investissement car cet évènement est avant tout un projet à long terme. On a vu très grand car c’est la première, on veut montrer le top.”

Environ 250 personnes sont attendues. Mercredi, seulement une trentaine de couverts étaient disponibles. Avec des tables à 850$, la soirée réunira “beaucoup de gens de la finance, des avocats, des docteurs mais aussi des professionnels du vin“. Le duo a prévu des grandes tables d’une vingtaine de personnes et aussi la possibilité, aussi surprenante soit-elle, d’apporter sa propre bouteille pour la partager avec les voisins.

Les bénéfices de la soirée seront reversés  à la Guild of Sommeliers, afin de financer des bourses. “Ça fait plaisir de célébrer notre région, notre chez nous et de la faire connaitre aux personnes intéressées”.

 

Pamela Druckerman présente son dernier ouvrage

La journaliste et écrivaine américaine Pamela Druckerman sera de passage à San Francisco, lundi 18 février, pour parler de son nouveau livre Bébé Day by Day. Celui-ci  résume en cent points les grandes règles de l’éducation “à la française“.

Désignée comme l’une des “100 personnalités les plus influentes de 2012” par Time Magazine, l’Américaine installée à Paris depuis 2004 a enchanté les critiques avec son ouvrage Bringing Up Bébé sur l’éducation des enfants en France. Elle a, auparavant, travaillé comme chroniqueuse et correspondante pour le New York Times, le Washington Post ou encore Marie-Claire.

 

Le Paris du XVIIIe siècle en concert à Pasadena

Con Gioia, c’est une sorte de machine à remonter le temps musical. Cet orchestre revisite depuis 1982 les premières musiques d’Europe et des Etats-Unis.

L’orchestre se produit régulièrement dans des églises et, ce dimanche 17 février, il investit the Church of the Angels de Pasadena avec un programme de musique baroque parisienne, datant du XVIIIe siècle.

Deux violons, un clavecin mené par le directeur de l’orchestre ainsi qu’un alto animeront cet évènement nommé “French Connections”, pendant lequel seront joués six morceaux.

Dans le Village, les Français célèbrent le mariage pour tous

Ils étaient là pour faire la fête, et l’ont bien fait comprendre.

Une centaine de personnes était réunie, mardi, dans un bar à vins du West Village, pour célébrer le vote à l’Assemblée du mariage pour tous. Les brouhahas enthousiastes et les rires aux éclats couvraient la musique d’ambiance, les verres de vins tintaient gaiement.

« Je ne m’attendais pas à ce qu’on soit aussi nombreux à ce rassemblement, l’année dernière on était une dizaine, c’est génial de constater un enthousiasme grandissant », souligne Pierre.

La fête était organisée par le nouveau collectif de LGBT (lesbiennes, gays, trans et bi) français de New York. Créé l’an dernier,  à la suite de la Gay Pride, le groupe est issu de l’ADFE (Association Démocratique des Français à l’Etranger), une association apolitique qui a pour but de rassembler les Français hors de France qui partagent des idéaux de justice sociale et de tolérance.

Pour Julien Ducourneau, le président du collectif, le vote des députés est un « moment magique ». Son groupe a suivi plusieurs heures du débat, et attend impatiemment de voir ce qu’il va se passer au Sénat. Même si l’issue ne fait que peu de doute.

Au-delà, le groupe a pour ambition de faire connaitre les problématiques auxquelles sont confrontés les homosexuels français aux Etats-Unis (en matière d’obtention de visas de conjoints notamment) et peser sur le débat français en partageant avec les décideurs politiques français l’expérience des LGBT américains. « Ici, le discours est plus avancé, on voit beaucoup plus de familles homoparentales qu’en France », rappelle Julien Ducourneau. 

Le groupe prévoit de se retrouver au moins encore une fois: quand François Hollande apposera sa signature au texte de loi adopté par le Parlement. Et puisque la Grande-Bretagne suit un processus parallèle (mardi 5 février, les députés britanniques ont adopté le projet de loi autorisant le mariage homosexuel par 400 voix contre 175), le collectif caresse l’idée de s’agrandir en créant, pourquoi pas, un groupe LGBT européen à New York.

Jamel Debbouze sur scène à Los Angeles

Après Gad Elmaleh, c’est Jamel Debbouze, l’humoriste préféré des Français, qui débarque aux Etats-Unis pour une tournée exceptionnelle.

Le 13 avril, le Wiltern accueillera “Tout sur Jamel”, le dernier spectacle de l’humoriste. En français, cette tournée américaine s’adresse notamment aux expatriés qui n’ont pas la chance de le voir jouer dans l’Hexagone.

Sa venue à Los Angeles ne sera pas une première pour le comédien. Il était déjà venu visiter la ville à l’occasion du tournage du film “Hollywoo” avec Florence Foresti.

C’est le 12 février, sur Twitter, que Jamel a annoncé la nouvelle: “En tournée américaine au mois d’avril ! Dates et infos ici ! Jamel to kick off first US tour in April !” Jamel Debbouze, qui vient de triompher avec son film “Marsupilami”, sera aussi le président de la 38ème cérémonie des Césars: un début d’année 2013 bien chargé donc.

Les places devraient se vendre rapidement. Ne perdez donc pas une seconde: ici.

Jamel Debbouze en tournée aux Etats-Unis en avril

C’est un tweet qui fera plaisir aux Français en manque d’humour.

En tournée américaine au mois d’avril! Dates et infos ici!Jamel to kick off first US Tour in April! Presale… fb.me/CFjSJ4Dp — Jamel Debbouze (@debbouzejamel) 12 février 2013

Ce n’était donc pas une blague ! En annonçant hier sur son compte Twitter qu’une tournée aux Etats-Unis était prévue, Jamel Debbouze ne rigolait pas. C’est la première fois que l’humoriste, l’un des plus populaires en France, monte sur les planches outre-Atlantique.
A 37 ans, Jamel a donc décidé de partir à la rencontre de ses fans aux Etats-Unis en faisant la tournée de plusieurs grandes villes américaines. Boston (10 avril),  San Francisco (12 avril), Los Angeles (13 avril), New York (18 avril) et Miami (21 avril) et  sont ainsi au programme de la tournée printanière de l’artiste. Côte est, côte ouest, il n’y aura donc pas de jaloux.
En 2011 déjà, Jamel avait tourné un film à Los Angeles, “Hollywoo”, avec Florence Foresti. Mais ce n’est pas pour autant qu’il maitrise l’anglais! Le comédien devrait donc se produire en VF.

Jamel Debbouze fera marrer Miami en avril

Après Gad Elmaleh, c’est Jamel Debbouze, l’humoriste préféré des Français, qui débarque aux Etats-Unis pour une tournée exceptionnelle.

Le 21 avril, le Fillmore Miami Beach accueillera “Tout sur Jamel”, le dernier spectacle de l’humoriste. En français, le spectacle s’adresse notamment aux expatriés qui n’ont pas la chance de le voir jouer dans l’Hexagone.

C’est le 12 février, sur Twitter, que Jamel a annoncé la nouvelle: “En tournée américaine au mois d’avril ! Dates et infos ici ! Jamel to kick off first US tour in April !“. Jamel Debbouze, qui vient de triompher avec son film “Marsupilami”, sera aussi le président de la 38ème cérémonie des Césars: un début d’année 2013 bien chargé donc.

A noter, les places devraient se vendre rapidement. Ne perdez donc pas une seconde.

Jamel Debbouze fera marrer San Francisco en avril

Après Gad Elmaleh, c’est Jamel Debbouze, l’humoriste préféré des Français, qui débarque aux Etats-Unis pour une tournée exceptionnelle.

Les 12 avril, le Nob Hill Masonic Auditorium accueillera “Tout sur Jamel”, le dernier spectacle de l’humoriste. En français, cette tournée américaine s’adresse notamment aux expatriés qui n’ont pas la chance de le voir jouer dans l’Hexagone.

C’est le 12 février, sur Twitter, que Jamel a annoncé la nouvelle: “En tournée américaine au mois d’avril ! Dates et infos ici ! Jamel to kick off first US tour in April !“. Jamel Debbouze, qui vient de triompher avec son film “Marsupilami”, sera aussi le président de la 38ème cérémonie des Césars: un début d’année 2013 bien chargé donc.

A noter, les places devraient se vendre rapidement. Ne perdez donc pas une seconde.