Accueil Blog Page 1434

Conseils beauté: reproduire le make-up d'Audrey Hepburn

Des envies de “Breakfast à Tiffany’s” devant la glace? Le 20 janvier prochain, le vingtième anniversaire de la mort d’Audrey Hepburn sera célébré dans le monde entier. L’occasion de revenir sur les secrets du make-up de l’une des plus grandes actrices de tous les temps.

Beauté particulière mais intemporelle, l’actrice britannique a marqué toute une génération par son talent scénique mais également par sa prestance naturelle. Son physique, pourtant très éloigné des critères de beauté hollywoodiens de l’époque, est finalement devenu un modèle pour de nombreuses femmes.
L’oeil de biche d’Audrey Hepburn
C’est sans aucun doute la partie la plus importante du make-up de l’actrice oscarisée, connue pour son regard de biche. La maquilleuse des stars Lisa Eldridge dévoile dans un tutoriel en anglais les secrets de ce regard devenu célèbre, notamment dans les films “Vacances romaines” (1953) et “Diamants sur canapé” (1961). La make-artist, qui a notamment collaboré avec Chanel, présente dans une vidéo de douze minutes tous les secrets de beauté d’Audrey Hepburn. L’étape la plus importante (à partir de 1min30 de la vidéo ci-dessous) consiste à appliquer un trait d’eyeliner le long des cils en terminant par une pointe à l’extrémité de chaque oeil. Il suffit ensuite de mettre des faux cils ainsi que du crayon blanc sous les yeux pour agrandir le regard.

Un teint unifié très naturel
Pour avoir un teint façon Audrey Hepburn, il n’est pas nécessaire de passer des heures devant le miroir. Bien évidemment, tout dépend du grain et de la carnation de la peau. Le mieux est d’utiliser une base qui offre un teint mat légèrement poudré. L’actrice avait la chance d’avoir un teint lumineux et unifié en toutes circonstances. Les Pixiwoo, deux soeurs anglaises make-up artistes professionnelles, présentent dans un tutoriel la touche finale à donner à ce teint de porcelaine : la pose d’un blush rose. Pour un résultat optimal, il doit être appliqué sur les pommettes et doit être parfaitement étalé pour un finish naturel.
En pratique : Le tutoriel des Pixiwoo.
Des lèvres gourmandes
Dans les années 1950 et 1960, les lèvres étaient parfaitement dessinées. Pour reproduire le make-up de cette partie du visage d’Audrey Hepburn, Lisa Eldridge et les Pixiwoo redessinent parfaitement le contour de leurs lèvres dans une teinte quasi-identique à celle utilisée pour le remplissage. Pour coller aux teintes de l’époque, il est préférable d’opter pour du rose ou de l’abricot. L’actrice britannique préférait le rouge à lèvres mat classique ou satiné au brillant à lèvres. Evitez donc les gloss.
(Avec RelaxNews)

Luxe, calme et volupté: 5 spas pour une détox haut de gamme

0

Les spas de luxe ne manquent pas aux Etats-Unis. Notre sélection ici se concentre sur les spas “bien être”. Outre les évidents massages et soins du visage, ces établissements offrent des programmes spécialisés pour perdre du poids, arrêter de fumer, entamer un cure de “détox”… Et comme ces régimes vous sont proposés dans de magnifiques paysages, on plonge la tête la première.

Le Canyon Ranch à Tucson

Canyon Ranch Tucson
Tucson, Arizona
Les hôtes peuvent ici profiter des randonnées dans le désert et de plats légers spécialement élaborés à leur retour. Les programmes “detox” ou “arrêter de fumer” sont personnalisés. On repartira après une batterie de tests médicaux prêt à affronter la vie.
Pritikin Longevity Center + Spa
Miami, Floride
Dix médecins ici qui ne penseront qu’à vous et à votre alimentation. Piscines, golf, tennis aussi bien sûr pour vous occuper entre les classes de “healthy grocery shopping” et les conseils pour bien manger et ne plus avoir à revenir…
 
Golden Door Spa
Golden Door Spa

Escondido, California
Zen, zen, zen… Le Golden Door Spa promet de “réernergiser” votre corps et votre esprit. Les chemins de pierre et chutes d’eau des jardins japonais vous aideront à retrouver votre chemin
 
Miraval Spa
Tucson, Arizona
Un autre spa du désert, toujours dans l’Arizona. Yoga au petit matin avec cactus à perte de vue, avant de faire votre choix dans un menu de massages et traitement qui vous mène des techniques Ayurveda (hindoue) aux massages suédois relaxants.
Ventana Inn and Spa
Big Sur, California
Dans les montagnes de Californie centrale, avec vue sublime sur la mer, Ventana se spécialise dans le “pampering”. Ici le luxe est discret, la nature omniprésente, mais les choix de menus detox et autres traitements purificateurs feraient rougir de bien plus ostentatoires établissements.

La prestigieuse école de design new-yorkaise Parsons s'installe à Paris

0

Parsons The New School For Design ouvrira en septembre prochain une antenne à Paris. Parsons Paris s’installera au 45, rue Saint-Roch, dans le 1er arrondissement de la capitale. L’école, déjà présente depuis plusieurs années en France via des formations affiliées, proposera aux étudiants internationaux un véritable cursus artistique en anglais.

Les élèves pourront préparer des diplômes en quatre ans après le bac et des Masters en deux ans. Plusieurs spécialités seront proposées à la rentrée 2013 : Art, Media, and Technology, Fashion Design, Strategic Design and Management, Design and Technology, Design Studies, Fashion Studies, History of Decorative Arts and Design.
Les frais de scolarité de cet établissement privé seront semblables à ceux pratiqués aux Etats-Unis, à  savoir environ 30.000 euros l’année. L’école espère attirer des étudiants du monde entier, notamment d’Asie.
En 1921, Parsons avait déjà effectué une incursion dans la capitale de la mode en ouvrant les Ateliers de Paris, renommés par la suite Parsons Paris. Suite à des différends, l’école française a dû couper son lien direct avec New York et changer de nom, devenant “Paris College of Art”. Cet établissement, présent dans les 15e et 11e arrondissements, ouvrira également son centre du design, Paris College of Art Design Center, dans le 10e arrondissement, à l’automne 2013.
Fondée en 1896, Parsons The New School for Design est installée au coeur de New York, dans le quartier de Greenwich Village. Cette prestigieuse école d’art accueille environ 3.500 élèves. De nombreux artistes, stylistes de mode et designers mondialement célèbres tels qu’Edward Hooper, Marc Jacobs ou encore Tom Ford ont été formés dans cette école.
Site de Parsons Paris : www.newschool.edu/parsons/paris
(Avec ReflexNews)

ABBA en live…ou presque

Vous avez aimé ABBA? Vous adorerez “Arrival from Sweden”.

Cela fait près de vingt ans que le groupe recrée les spectacles d’ABBA à travers le monde. Le dimanche 13 janvier, ils se produiront à l’espace Yoshis.

ABBA reste le groupe de musique le plus exporté au monde avec plus de 370 millions de disques vendus. Les membres d'”Arrival from Sweden” ont bien repris le flambeau – disco – avec plus de 35 pays visités à leur compteur. Ils ont obtenu l’exclusivité de l’utilisation des costumes, des chansons et du nom du groupe de légende. Surtout, le groupe s’offre les services des musiciens originaux d’ABBA! Alors si vous n’avez jamais eu la chance de voir le groupe en live, “Arrival from Sweden” vous consolera très certainement.

Scénariste-star, Jean-Louis Milesi prend la caméra à San Francisco

Petit, il rêvait d’être cow-boy dans un western. Quelques décennies plus tard il est devenu l’un des scénaristes de cinéma français les plus reconnus.

Parmi ses grandes collaborations, on compte « Marius et Jeannette » de Robert Guédigian, sélectionné au Festival de Cannes et nommé pour le César du meilleur scénario, ou encore « Marie-Jo et ses deux amours », et dernièrement « Les neiges du Kilimandjaro », élu meilleur scénario aux Prix Lumières de la critique internationale en 2011. Les deux hommes ont en effet une longue histoire cinématographique ensemble, et ont, à leur actif, une dizaine de films en commun.

Jean-Louis Milesi semble lui-même étonné de son parcours d’auteur. « Je n’étais pas un littéraire, sauf que j’aimais lire et aller au cinéma. J’étais même assez mauvais en rédaction, je n’avais pas compris le truc. Tout a commencé par des résumés de films, j’allais beaucoup au cinéma à Montpellier, pendant mon service militaire. Des textes courts, poésies et nouvelles ont suivi… Mais je ne savais pas comment ça s’écrivait un scénario. Je n’ai pas suivi de formation, rien de tout ça. »

Il allait de soi qu’il devienne lui-même réalisateur de ses propres univers. « J’ai toujours voulu être auteur- réalisateur avant même de devenir scénariste », annonce-t-il en première page de son site internet. Derrière la caméra, cinq films, dont Lino, dans lequel il fait tourner son plus jeune fils. Il en parle comme « l’une de mes plus fortes émotions, la veille de sa sortie, dans une petite salle parisienne».

Car chez les Milesi, le cinéma est une affaire de famille. En effet, dans son dernier opus » tourné dans la Bay de San Francisco – où Jean-Louis Milesi et sa femme  ont posé leurs valises il y a deux ans et demi, pour n’y rester à l’origine qu’un an ! – il écrit sur mesure pour ses trois fils. Il en ressort une formidable aventure. « Don’t give up the ghost » est tourné entre juin et octobre 2012, grâce à un premier apport d’argent récolté sur Kickstarter. « Je ne suis pas venu ici dans l’idée de faire du cinéma. Mais la région est cinématographique, on a envie de poser une caméra et de tourner. Des idées me sont venues, surtout après avoir rencontré Graham Leggat, ancien directeur de la San Francisco Film Society, décédé quelques mois après et à qui mon film est dédié. Il m’a fait comprendre que tout était possible ici. »

Actuellement en post-production, il lance prochainement une seconde campagne de financement sur Kickstarter. A cette occasion, il organise une projection gratuite de son film “Fragile” au Lycée Français de San Francisco le 25 janvier.

« Tourné il y a 10 ans avec Martin Lamotte, ce film a obtenu quatre prix au festival de Luchon. Il s’agit d’une comédie policière, drôle, émouvante, inquiétante, autour des rapports d’un père gendarme et de son fils, que tout sépare, et d’un sérial killer qui se glisse entre eux. » Les spectateurs pourront poser leurs questions à Jean-Louis Milesi à l’issue de la projection du film.

 
 

"Dine about town" commence le 15 janvier

Fidèle à sa réputation de “City for Foodies”, la ville de San Francisco, et plus précisément la San Francisco Travel Association, organise deux fois par an l’événement “Dine About Town”.

Pendant deux semaines, du 15 au 31 janvier et du 1er au 15 juin, une centaine de restaurants de San Francisco propose un menu à prix fixe au déjeuner (2 ou 3 plats pour $18.95) et au diner (3 plats pour $36.95).

Lire l’intégralité de l’article sur LostinSF

 

Mise en vente d'un crémant de Bourgogne pour célébrer l'égalité

Un vin français pour célébrer l’égalité ? Il fallait y penser. La société new-yorkaise “Biago Cru & Estates wines” vient de commercialiser un crémant de Bourgogne censé promouvoir les droits de la communauté LGBT (lesbienne, gay, bi- et transexuelle).

Le vin commercialisé aux Etats-Unis sous le nom français “Egalité” vient s’insérer dans un marché particulièrement porteur. Avec la légalisation du mariage gay,  l’économie de l’Etat de New York aurait fait un bond de 259 millions de dollars en un an, rapporte le Huffington Post. Darren Restivo, responsable chez Biago Cru, se défend de vouloir faire un coup marketing. “On y a vu l’opportunité d’être bons en faisant le bien“, explique-t-il au site d’information.

“Egalité” est défini comme un vin pétillant réhaussé de notes fruitées mais suffisament raffiné pour être servi lors d’occasions formelles. “Biago Cru & Estates wines” se défend de produire un “vin pro-LGBT” et préfère mettre en lumière le message fédérateur d’égalité qui s’adresse à tous: “Le vin reflète un esprit communicatif, il n’exclut personne“, explique M. Restivo. Reste à savoir si le message restera en bouche.

56 ans plus tard, un nouveau défilé Chanel à Dallas

0

Après la Russie, l’Italie ou encore l’Ecosse l’an dernier, le très attendu défilé Métiers d’art de Chanel va avoir lieu… à Dallas à la fin de l’année 2013. L’annonce a été faite mercredi à New York par le directeur artistique de la maison, Karl Lagerfeld, lors du sommet de PDG de la haute-couture organisé par Women’s Wear Daily.

Contrairement aux préjugés, ce n’est pas la première fois que Chanel vient à Dallas. La première visite de la célèbre maison parisienne remonte à 1957. Pour son cinquantième anniversaire, le grand magasin Neiman Marcus organisait sa première quinzaine internationale. “France comes to Texas”, clamait l’affiche de la manifestation. Et avec la visite de Coco Chanel en personne, c’est une incarnation de l’Hexagone qui faisait le déplacement dans le Lone Star State.

Karl Lagerfeld est encore reconnaissant du soutien que lui ont alors apporté les Texans.  « Quand Chanel a rouvert [après-guerre, après avoir traversé une période sombre], la presse française était plus que méchante, a déclaré le créateur à Women’s Wear Daily lors d’un entretienLa seule presse qui a immédiatement compris, c’est la presse américaine. Et Neiman Marcus lui a décerné un Oscar pour sa collection ». Un Oscar de la mode remis par le grand magasin dans le cadre d’une manifestation annuelle de haute-couture qu’un journal de l’époque décrivait comme « l’un des évènements consacrés à la mode des plus importants et sophistiqués d’Amérique ».

Aller à Dallas, c’est aussi une façon de se distinguer, car « aujourd’hui, tout apparaît sur Internet ou à la télévision, poursuit Karl Lagerfeld. Quand vous avez un défilé avec juste une fille entrant par une porte pour traverser un podium, cela convient aux fans de mode, mais le public s’ennuie très vite. Il faut un peu de magie ». Lagerfeld a déjà planté le décor en disant qu’il « adore le Texas et les Texans ».

Derniers jours pour voir Toulouse-Lautrec à Dallas

L’exposition « Posters de Paris : Toulouse-Lautrec et ses contemporains », accueillie par le DMA (Dallas Museum of Art) s’achèvera le 20 janvier. Initialement hébergée par le Milwaukee Art Museum, l’exposition, forte de son succès, a déménagé à Dallas au mois d’octobre.

Paris, fin du XIXème siècle, capitale des arts. Ses cafés montmartrois, ses grands boulevards, ses kiosques, son Moulin rouge, et ses affiches placardées un peu partout dans les rues. C’est l’ambiance que l’exposition, consacrée à l’essor du poster artistique, réussit à reproduire. A l’époque, les rues de Paris étaient célébrées comme « le musée du peuple » et les collectionneurs arrachaient les dessins des panneaux d’affichage.

L’affichomanie des années 1890, cette fascination pour les posters, trouve écho dans l’exposition du DMA. De Jules Chétret, père fondateur de l’affiche colorée, à Henri de Toulouse-Lautrec ou Alphonse Mucha, maîtres coloristes, la galerie examine l’histoire du poster français dans toute sa complexité.

Les œuvres du talentueux Henri Toulouse-Lautrec et des autres grands de l’époque, comme Théophile-Alexandre Steinlin, sont  bien évidemment mises en avant mais de nombreux artistes moins renommés sont également présentés.

L’exposition invite ses visiteurs à retracer l’histoire de ces illustres affiches, à travers plus de 100 posters dont certains étaient soumis à la censure de l’époque. Celle-ci comprend également des enquêtes et maquettes révélant la manière dont les artistes travaillaient leurs designs.

Le Freestyle Language Center fête son premier anniversaire

Le Freestyle Language Center fête son premier anniversaire.

Le 10 janvier à partir de 18h, l’école de langue située dans une coquette maison de Downtown Austin ouvre ses portes pour une visite des lieux et rencontrer professeurs et étudiants. Un cocktail et un concert sont prévus. Erin Ivey, artiste reconnue de folk, viendra animer la soirée.

Le Freestyle Language Center offre des cours de français, espagnol, italien et portugais. Elizabeth Mack, fondatrice et professeur de français, souhaitait rendre l’apprentissage des langues “plus fun“. L’accent est mis sur la conversation et l’interactivité. Les étudiants sont invités à tester leurs connaissances autour d’événements comme une dégustation de vin en français ou encore un cours de danse en espagnol.

"Day & Night": le clubbing diurne

0

French Morning inaugure FrenchNYte, sa nouvelle chronique consacrée à la nuit. Chaque semaine, je ferai un gros plan sur une soirée, un lieu, un évènement ou sur le DJ du moment, et je partagerai quelques idées de sorties.

Pour cette première édition, oublions l’heure et allons faire la fête en pleine journée ! “Day & Night” ça commence à 14h le samedi avec un brunch en boite (le Highline Ballroom transformé pour cette occasion), le DJ sur scène entouré de spotlights montés sur des trampolines géants tapis de déco flashy  qui montent et qui descendent, de fumée, de danseuses et de mascottes qui se baladent dans la salle ou montent sur les tables pour vous faire danser. On oublie notre âge aussi, de 21 à 50 ans et plus, le champagne coule à flot et les tenues sont plus relax. Passé 17h les assiettes disparaissent et nous laissent plus de place pour continuer à faire la fête jusqu’à 19h. Au final, on a bien mangé, bien bu, bien bougé, on peut donc se coucher tôt devant un film et profiter pleinement de son dimanche.  Day & Night, le samedi de 14h à 19h – 431 West 16th Street. Infos et résas sur:  Facebook.com/dayandnightlife

Ce soir, jeudi 10 janvier : les festivités du 10e anniversaire du légendaire (et un des seuls à toujours passer une musique non commerciale) club Cielo (18 Little West 12th Street) continuent avec deux artistes allemands du label international Cadenza, Maayan Nidam & Cesar Merveille. Infos & billets ici

Samedi 12 janvier : “The Art of Sound”, une soirée Tech & Deep House mensuelle sur deux étages @ Tammany Hall (152 Orchard Street). Cette semaine on retrouve ou découvre les New-Yorkais Yentalbeats et Hohme (qui mixe avec son ipad dans le public). Infos ici

Dimanche 13 janvier : c’est la salsa night hebdomadaire qui dure… groupe live & DJ pour une soirée dansante assurée @ Thom Bar (60 Thompson Street). Entrée gratuite.

Mardi 15 janvier :  Justin Miller, incontournable de la nuit à New York, DJ, producteur et ancienne figure majeure du label DFA Records (LCD Soundsystem, Hercules & Love Affair) invite chaque semaine un DJ dans le cadre de ses soirées Deep House au sous-sol @ Le Baron Chinatown (32 Mulberry Street). Infos sur Facebook

Mercredi 16 janvier : le jeune prodige de la Dance électronique Zedd @ Highline Ballroom (431 West 16th Street) dans le cadre de l’évènement organisé par MTV 2013 Artists to Watch. Infos et billets ici

Une prof new-yorkaise virée pour avoir servi du vin à ses élèves à Paris

Un juge de Manhattan a approuvé mercredi la décision de l’école Calhoun School de renvoyer Danièle Benatouil, une professeur ayant autorisé ses élèves de moins de 21 ans à boire un verre de vin lors d’un déplacement en France.

Cela faisait treize ans qu’elle enseignait le français dans cet établissement où ses élèves la décrivaient comme la “meilleure professeur de français qui soit“. Et pourtant, en 2010, un voyage scolaire à Paris a changé le destin de cette enseignante. Ravie de faire découvrir la culture française sous tous ses angles à ses élèves de Terminale, Danièle Benatouil les autorise à accompagner leur dîner d’un verre de vin. Elle avait, auparavant, sollicité l’accord de leurs parents.

Les six étudiantes revenues à Manhattan exposent leur voyage à Paris devant d’autres élèves et des professeurs, plutôt surpris de les découvrir un verre d’alcool à la main sur plusieurs photos. L’affaire s’ébruite au sein de l’établissement scolaire et quelques jours plus tard, fin 2010, la professeur bilingue se voit licenciée sans indemnités.

Le récit n’avait alors pas été rapporté par les médias jusqu’à ce qu’un juge de New York considère comme légitime la décision de l’école Calhoun. L’enseignante, affirmant que le bon vin est un pan de la culture française, est accusée de n’avoir pas respecté la politique de “tolérance zéro” du lycée vis-à-vis de l’alcool. Rappelons que l’âge légal pour consommer de l’alcool est de 18 ans en France contre 21 ans aux Etats-Unis, une discordance culturelle importante dans cette affaire.

Depuis novembre 2011, Danièle Benatouil enseigne à nouveau le français, dans un autre établissement public (The Hewitt School) de New York. Mercredi, son avocat a déclaré qu’il ferait appel du jugement rendu et a réclamé $120.000 d’indemnités pour sa cliente.