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Une conférence à Austin sur l'énergie en France et aux Etats-Unis

Les questions d’énergie sont particulièrement sensibles en France et aux Etats-Unis. Les deux pays partagent un ensemble de préoccupations liées à l’abondance, la sécurité, la fiabilité et la propreté de leur énergie, mais y répondent par des stratégies divergentes.

La grande conférence  “Comparative Energy Policies and Technologies in France and the USA” du 17 décembre, organisée l’Université du Texas à Austin et la fondation CleanTX, qui milite pour une énergie propre au Texas, réunira des représentants français et américains des milieux universitaire, industriel, gouvernemental et médiatique pour discuter des politiques énergétiques et des progrès technologiques des deux pays.

Conçue comme une plateforme d’échange d’expériences, la conférence comporte quatre débats publics : “La production du gaz de schiste et ses impacts mondiaux”, “Le secteur de l’énergie : nucléaire, smart grid, les énergies renouvelables et l’efficacité”, “Politique énergétique” et “La couverture de l’énergie dans les médias”. Parmi les nombreux conférenciers et experts se trouvent Clifford Krauss (New York Times), Prof. Ernie Moniz (MIT), Dr. Patrice Geoffron (Université Paris-Dauphine) et  Jean-Baptiste Siproudhis (Electricité de France – EDF).

La Mission laïque française se renforce en Amérique du Nord

L’enseignement français à l’étranger ne serait pas ce qu’il est sans la Mission laïque française (MLF).

Sur les plus de 480 établissements scolaires français fonctionnant hors de l’Hexagone, l’association en regroupe près de 125. Certains, comme l’école internationale de Dallas, sont en gestion directe. D’autres adhèrent au réseau (gestion administrative et pédagogique), s’y affilient (soutien pédagogique uniquement), s’y associent (appui administratif et pédagogique) ou dépendent de la MLF pour leur conventionnement. Au total, avec les écoles d’entreprise et la récente entrée du lycée français de Toronto, pas loin de la moitié des établissements français de la MLF se trouvent en Amérique du Nord.

Pour une meilleure gestion

Pour mieux s’acquitter de ses missions d’homologation et de développement des établissements, de recrutement et de formation des enseignants dans la région, la Mission laïque française vient de déposer les statuts de l’association MLF America, qui sera basée à Dallas. « Nous attendons maintenant qu’elle soit reconnue comme organisation à but non-lucratif », précise Jean-François Genay, le délégué de la Mission laïque française en Amérique du Nord. La région est la première à se doter d’une structure autonome. « Paris ne peut s’en occuper directement. Nous avions besoin de décentraliser un peu », commente le délégué de l’association.

Fondée au début du XXe siècle à l’initiative d’un instituteur et inspecteur des écoles ayant travaillé en Tunisie, à La Réunion et à Madagascar (Pierre Deschamps, 1873-1958), la Mission laïque française visait à « faire contrepoids à l’enseignement diffusé par les congrégations religieuses ». Mais aussi, dès le départ, à combler « le manque d’éducation adaptée aux besoins réels de la population » hors de France métropolitaine, explique la MLF. Après avoir été dissoute pendant la Seconde Guerre Mondiale et avoir traversé non sans mal les crises provoquées par la décolonisation au Proche-Orient, l’organisation s’est fortement développée à partir des années 1980, notamment en Amérique du Nord. L’association a déjà un coordinateur dans la région en la personne de Pierre Vittoz, directeur de l’école internationale de Dallas.

Parmi les atouts de la nouvelle structure : la possibilité de collecter des fonds auprès de son réseau de partenaires et d’anciens. « Nous avons beaucoup d’anciens élèves au Liban venus s’installer aux Etats-Unis », glisse Jean-François Genay.

Différend au PS sur la déchéance de la nationalité pour les exilés fiscaux

Et on reparle de l’imposition des Français de l’étranger. Après l’annonce de l’installation de Gérard Depardieu en Belgique, le député PS du Cher, Yann Galut, a proposé de créer un impôt sur les Français établis hors de France et de déchoir de leur nationalité ceux qui s’y soustrairaient.

L’élu veut “adopter une loi, à l’image de ce qui se fait pour les ressortissants américains, soumettant à l’impôt les exilés fiscaux. Faute de règlement du différentiel entre les impôts du pays qui les accueille et les impôts qu’ils auraient acquittés en France, ces exilés fiscaux se verraient déchus de leur nationalité française“, dit-il.

L’idée d’une taxation différentielle n’est pas nouvelle. Elle a été mise en avant par Nicolas Sarkozy et Jean-Luc Mélenchon   lors de la campagne présidentielle de 2012. Mais les candidats n’étaient pas allés jusqu’à proposer de retirer leur nationalité aux fraudeurs. La remise en cause de la séparation entre nationalité et imposition fait ponctuellement son apparition dans la bouche de certains élus de droite comme de gauche, comme Edouard Courtial, l’ancien secrétaire d’Etat aux Français de l’étranger sous Nicolas Sarkozy. Celui-ci avait co-signé un projet de loi visant à déchoir de leur nationalité les Français non-imposés en France avant de changer de changer d’opinion.

La proposition de M. Galut a entrainé des réactions de scepticisme jusque dans son propre camp. La députée des Français d’Amérique du Nord, Corinne Narassiguin, a estimé qu’elle était “extrêmement problématique à plusieurs égards“. “D’une part parce qu’elle stigmatise les Français de l’étranger, en faisant peser sur leurs épaules l’éternelle suspicion d’exil fiscal (…) D’autre part, la déchéance de la nationalité pour les exilés fiscaux irait à l’encontre de l’esprit de l’impôt français, qui sépare très clairement soumission de l’impôt et nationalité“, écrit-elle dans une tribune intitulée “Déchéance de la nationalité pour les exilés fiscaux: Yann, tu fais fausse route! parue dans le Huffington Post.

Rien ne me paraît plus scandaleux que de voir des personnes ayant le plus souvent largement bénéficié de la solidarité nationale s’y soustraire dès lors qu’ils n’ont plus envie d’y contribuer, poursuit-elle. Mais je refuse que l’on stigmatise les Français de l’étranger et je refuse que l’on dénature l’esprit de l’impôt français en le liant à la nationalité“.

Et le vainqueur de notre tirage au sort pour "La zizanie au consulat!" est…

Le vainqueur de notre tirage au sort pour assister à la première de “La zizanie au consulat” est :

Daphné HONG

Bravo!

La pièce sera jouée, du 13 au 16 décembre à l’Assistance League Playhouse, en français, par la compagnie Euro-Théâtre. Elle est mise en scène par Jean-Louis Darville, le directeur de la compagnie fondée en 1998, et raconte la rencontre entre l’inspecteur consulaire le plus rigide de France et le personnel du Consulat de France à Los Angeles, empêtré dans un scandale médiatique après la perte de passeports. Fou rire garanti !

Pour prendre vos places, c’est ici

 

Santa Barbara à l'heure de l'Apéro

Quand un Breton rencontre une Américaine d’origine sicilienne, de quoi parlent-ils ? Réponse : de nourriture bien sûr ! Épicuriens dans l’âme, Dana Blaudeau et son mari Frédéric partagent une passion commune pour la gastronomie européenne, notamment le fromage et le bon vin.

Après s’être trouvés il y a trois ans à Santa Barbara, Dana a décidé de lancer sa propre entreprise, aidée par son mari. En septembre dernier est né “L’apéro Gourmet”, un business-concept centré autour de l’Apéritif, si cher aux Français. Dana Blaudeau  compose et livre de belles assiettes de fromages (largement français), de charcuterie et de fruits, à déguster à l’heure de l’apéro. Ses clients : des entreprises en majorité mais aussi des particuliers, souhaitant organiser un évènement privé festif, un anniversaire ou un colloque. Les prix varient entre 15 et 25 dollars l’assiette, laquelle peut être personnalisée selon les goûts de chacun. Les assortiments s’accompagnent en général d’un petit pot de miel, d’olives, de noix, de fruits secs ou encore de moutarde française.

L’idée est partie du constat que les Américains lorsqu’ils dégustent un vin, mangent rarement quelque chose avec”, explique Frédéric Blaudeau, également vice-président de l’agence de design Lifestyle Design. “C’est d’autant plus vrai dans des endroits comme les wineries qui ne peuvent pas vendre de la nourriture et n’en proposent donc pas lors d’une dégustation”. Un constat que Frédéric et Dana Blaudeau ont pu faire personnellement à chaque fois qu’ils se sont rendus dans une entreprise vinicole pour y goûter du vin. “Nous venions avec du thon, des sardines ramenées de Bretagne dont je suis originaire et que j’ai fait découvrir à ma femme. Les gens à la winery étaient curieux, intrigués, nous demandaient ce que nous mangions”.

Dana et Frédéric réalisent alors qu’il existe un vrai marché pour l’Apéritif en Californie. “Comme les entreprises vinicoles ne sont pas habilitées à vendre de la nourriture et que nous n’avons pas de notre côté la licence nécessaire pour vendre de l’alcool, nous sommes parfaitement complémentaires”.

Apéro avec vue sur les vignes et la mer

Depuis l’Apéro Gourmet travaille main dans la main avec plusieurs wineries de la région. De la Summerland Winery à Deep Sea en passant par Au Bon Climat ou encore The Painted Cabernet“Nous ne nous contentons pas de vendre nos produits. Nous conseillons aussi les wineries en leur suggérant une sélection de certains mets qui iraient bien avec certains vins”L’Apéro Gourmet joue également la carte de la pédagogie et de l’éducation aux saveurs, grâce à de petits drapeaux plantés dans la nourriture et qui expliquent son nom, sa provenance et parfois son histoire.

“Nous voulions faire découvrir le concept de l’apéritif aux américains, ramener d’Europe ce moment convivial, simple et décontracté, entre 5 et 7, qui permet à tout le monde de se retrouver autour de produits de qualité, en admirant la mer ou les vignobles”, ajoute Frédéric Blauteau.

Depuis son lancement, le concept rencontre un franc succès. Dana Blaudeau fourmille de projets. Elle cherche des investisseurs en Californie pour l’aider à acheter un vieux camion Citroën des années 50 qui lui permettrait d’effectuer un circuit de livraison des différentes wineries. Elle envisage également de promouvoir le concept de l’apéro sur les marchés, dans le cadre des Farmers Markets locaux. Le couple s’est aussi lancé à la recherche d’artisans fromagers californiens avec lesquels il pourrait travailler. Enfin, Dana et Frédéric envisagent même de développer le concept dans d’autres zones viticoles de Californie, comme la Nappa Valley ou Sonoma.

Ibrahim Maalouf et son fabuleux quintet au théâtre Raymond Kabbaz

Ce concert a été annulé

Ibrahim Maalouf, trompettiste star, et son fameux quintet, seront au théâtre Raymond Kabbaz le 10 janvier, pour commencer 2013 en beauté et en musique.

Né à Beyrouth, le musicien-compositeur, qui joue aussi du piano, est le fils du trompettiste Nassim Maalouf et le neveu de l’écrivain Amin Maalouf. Il commence la trompette à l’âge de 7 ans. A 9 ans, il est en tournée européenne et au Moyen-Orient avec son père, l’inventeur de la trompette à quatre pistons que Maalouf fils est le seul au monde à maitriser. Ce jeune talent de la musique commence sa carrière dans le classique et joue le 2e Concerto Brandebourgeois de Bach, réputé dans les cercles musicaux comme l’œuvre la plus difficile à interpréter pour un trompettiste. Maalouf participe (et remporte) plusieurs concours de musique et prix, dont la Victoire  de la révélation instrumentale de l’année aux Victoires du Jazz de 2010, et a sorti quatre albums.

Sur la scène du théâtre Raymond Kabbaz, il sera accompagné par son compère Frank Woeste, Larry Grenadier (à la basse), Mark Turner (saxophone) et Clarence Penn (percussion).

Sortie de "De rouille et d'os", le dernier Audiard, avec Marion Cotillard

Le dernier film de Jacques Audiard, “De rouille et d’os” (“Rust and Bone”), est sorti dans les salles obscures de Los Angeles.

Le Belge Matthias Schoenaerts (Bullhead) et Marion Cotillard jouent les premiers rôles de ce film, adaptation du recueil de nouvelles Rust and Bone. Le premier joue Ali, un marginal qui s’installe avec son fils Sam (qu’il connait à peine) à Antibes. Après une bagarre en boite de nuit, il rencontre Stéphanie (Marion Cotillard), dresseuse d’orques au parc aquatique d’Antibes. Ces deux personnages que tout oppose vont se rapprocher après un terrible accident dont est victime Stéphanie: attaquée par l’un de ses orques, elle perd ses deux jambes.

Sur une musique du maitre absolu de la bande-son, Alexandre Desplat, ce film est le sixième long-métrage de Jacques Audiard. Il est sorti en France en mai.

Voir la bande-annonce ci-dessous
Video: Rust and Bone: Exclusive trailer

Soirée networking à Flute Midtown

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La soirée n’a pas d’autre objet que d’échanger entre Français de New York. Le groupe Linkedin “Français de New York”, créé à l’initiative de Jérôme Khaski, de ASG Capital, se retrouve pour la première fois “off line” dans le bar à champagne Flute Midtown, 205 West 54th Street New York, NY 10019. Apportez votre stock de cartes de visite!
Le lundi 17 décembre, à partir de 19h.

Placemeter: deux Français dans le business de la file d'attente

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Il est treize heures, l’heure de prendre un burger chez votre fast-food préféré. Mais, horreur, 100 personnes ont eu la même idée que vous au même moment.

Savoir à l’avance combien de personnes font la queue ou le nombre de tables occupées dans un restaurant, tel est le business de Florent Peyre et Alexandre Winter. Ces deux Français viennent tout juste de lancer Placemeter à New York, capitale americaine de la file d’attente. Cette start-up propose à des boutiques de louer un boitier équipé d’une caméra wi-fi. Leur logiciel analyse les images et les convertit en graphiques et tableaux sur la fréquentation et l’occupation des lieux en temps réel. Des chiffres utiles avant tout pour les managers, soucieux d’optimiser leur gestion, mais qui peuvent aussi être utilisés pour informer les clients.

C’est Alexandre Winter qui a créé la technologie de Placemeter. Ingénieur diplômé de Telecom Paris, docteur spécialisé en analyse d’images, il a travaillé en France comme chercheur à l’INRIA, un centre de recherche dédié à la technologie et aux sciences du digital, avant de monter sa première start-up en 2000, à 28 ans. Sous le nom de LTU Tech, il vendait déjà une solution de traitement d’images, cette fois dans une optique sécuritaire. La PJ de Nanterre faisait partie de ses clients. En 2004, il s’est installé à Washington, et travaillait avec le FBI, la CIA, le Department of Homeland Security… LTU Tech a ensuite été rachetée par un groupe japonais et Alexandre Winter a quitté l’entreprise l’année dernière.

Florent Peyre, 36 ans, n’en est pas non plus à son premier coup. Installé à New York depuis 2006, ce diplômé de Sciences Po a d’abord officié chez Hachette-Filipacchi à New York, où il s’occupait des développements de la marque sur le mobile. En 2010, il rejoint Guilt City, « sorte de Groupon haut de gamme », résume-t-il. Cette année, il participe au démarrage de CasaHop, site d’échange d’appartements initié par la bande du Huffington Post (Paul Berry, Ken Lerer). Mais il quitte l’aventure au bout de quelques mois, en raison de « divergences stratégiques ».

Pour lancer Placemeter, les deux associés ont réuni des fonds propres, et assis autour de la table un premier investisseur, Alexandre Mars, le patron du mobile chez Publicis. Ils récoltent un total de 250.000 dollars. Actuellement en pleine levée de fonds, les deux associés occupent un bureau vitré étroit dans l’espace de co-working WeWork, situé à Midtown Manhattan. Avec, au milieu, l’imprimante 3D qui leur sert à mouler leurs boitiers. « On fait tout nous-même », assure Alexandre Winter.

Les deux associés discutent en ce moment avec une vingtaine de clients à New York, et en ont signé sept – la liste reste confidentielle. « Nous avons d’excellents retours, notamment parce que notre formule démarre à cinquante dollars par mois. Il existe quelques concurrents, mais avec des technologies plus vieilles, moins pratiques et plus chères », raconte Florent Peyre.

A partir de janvier, Placemeter proposera une autre utilisation pour ses boitiers : le suivi personnalisé des clients, via leurs téléphones portables. Chaque smartphone allumé entrant dans une boutique sera reconnu – même si la personne ne se connecte pas à un réseau wi-fi. Le logiciel pourra alors savoir combien de fois cette personne est venue dans le mois, ou combien de temps elle est restée sur place. Un brin effrayant?

 

Regards photographiques sur New York à la Sohotel Artspace Gallery

Pour célébrer sa nouvelle exposition “NYC out of focus”, la Sohotel Artspace Gallery organise un cocktail le 13 décembre de 18h à 21h. Lors de la soirée, les participants auront la possibilité de découvrir le travail de quatre artistes-photographes proposant leur interprétation de la ville.

Le suisse Régis Colombo montrera ses collages décalés. D’un clic de souris, le photographe ajoute à ses photos de lieux touristiques new-yorkais, comme l’Empire State Building et le Chrysler, d’autres photos et des détails qui racontent en images des petites anecdotes et des curiosités. Elaine Jeffrey, quant à elle, s’inspire des rues des grandes villes. En se concentrant sur un seul élément, comme une couleur particulière, et en donnant peu d’indices sur le lieu où la photo a été prise, la photographe s’extrait de la surcharge visuelle de la métropole.

L’exposition présentera également les œuvres de deux Français. Patrick Bancel représente des lieux new-yorkais connus, tels que Times Square, en peinture et en photo. L’artiste Jean Lebreton explore dans ses photos l’interaction de la lumière avec d’autres éléments comme l’asphalte de la rue. L’exposition sera visible à la galerie jusqu’au 30 décembre.

LiLi Roquelin en concert au Caffe Vivaldi

Avec ses chansons en français et en anglais aux paroles poétiques et souvent mélancoliques, LiLi Roquelin s’est imposée sur la scène musicale new-yorkaise.

Elle est montée sur scène dans d’innombrables salles de concert dont Vince & Eddie’s, The Bitter End ou encore The Invisible Dog Art Center. Entre 2008 et 2010, elle gagne des prix pour les clips de ses chansons “I saw you” et “Should you get mad” au Queens Film Festival et au Indie Gathering Film Festival.

Le 13 décembre, la chanteuse, compositrice et productrice française originaire de Toulon donnera un concert au Caffe Vivaldi à Greenwich Village pour présenter son nouvel album “Beautiful Sun” en toute intimité. Son style intègre des éléments de pop et de “trip hop”.

Un cocktail de l'UFE pour aider les familles en difficulté

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Pour célébrer l’année 2012, l’Union des Français de l’étranger (UFE) organise un cocktail le 17 décembre, dans les locaux du Consulat général de France. Les invités pourront notamment participer à une grande tombola. Parmi les prix à gagner, deux billets aller-retour New York – Paris avec Air France.

Les recettes de la soirée seront reversées au Fonds d’aide pour les enfants et les familles françaises “UFE Aid To French Families” (UFEAFF). Grâce aux revenus de la tombola de l’année dernière, l’UFE a pu distribuer plus de 4.000 dollars de bourses scolaires et d’aides diverses à des familles françaises en difficulté. Les dons de cette année seront surtout destinés aux enfants français défavorisés pour les aider à rester dans le système éducatif français.