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Le court-métrage à l'honneur au festival "Nouveaux Cinémas" à Brooklyn

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Après une première édition new-yorkaise en 2011, le festival Nouveaux Cinémas (Festival International des Cinémas Numériques) s’installe pour de bon à Brooklyn pour montrer au public le meilleur du court-métrage français et international. Le rendez-vous, qui a déjà lieu en France, Italie et Ukraine, aura lieu tous les deux mois à partir de fin décembre.

Le 20 décembre, une première sélection de huit films de France, Belgique, Pologne et du Royaume-Unis sera montrée  à Berry Park (Williamsburg). Les films, qui durent entre trois et une vingtaine de minutes, abordent des sujets aussi divers qu’un voyage hypnotique le long du métro aérien de Dubai (“The Thrist” de François Vogel) et l’histoire d’un père qui n’a pas le droit de garde de sa fille (“Ma part de bonheur” de Carole Mathieu-Castelli).

Après les projections, le groupe VideoVideo – nom de circonstance – donnera un concert. L’événement est gratuit.

Malheureux comme un Depardieu en France

Revue de presse. Un profond malaise avec l’argent. Tel est, selon Elaine Sciolino, correspondante du New York Times à Paris et auteur du livre La Séduction : How the French Play the Game of Life, le problème majeur des Français.

Dans son dernier article, la journaliste revient sur l’affaire Bernard Arnault, soupçonné de vouloir s’installer en Belgique pour payer moins d’impôts : “LVMH est une “belle” entreprise consacrée à la production de produits de luxe made-in-France et à la diffusion de la créativité et la culture française à travers le monde. Dans d’autres pays, disait-il (Arnault, ndlr), les chefs d’entreprises sont très respectés, en France, ils ne le sont pas.” Et l’auteur laisse le patron de LVMH poursuivre : “La France a un problème avec l’économie de marché. (…) L’influence du marxisme est toujours existante.”

La très francophile Elaine Sciolino s’interroge: “Comment le “Napoléon du luxe” dont les marques (…) symbolisent le savoir-faire français, pourrait devenir citoyen d’un pays qui a donné au monde les gaufres épaisses, les pommes de terre sautées, les bandes dessinées Tintin et 500 marques de bière?” Et la journaliste ne se prive pas de donner sa réponse. Selon elle, l’affaire Arnault s’inscrit dans une longue histoire d’antipathie française contre le capitalisme et les riches. La remarque de François Hollande contre le monde de la finance lors de la campagne présidentielle – « mon ennemi, c’est la finance » – trouve un “écho à travers les siècles, même avant 1685, quand Louis XIV confisquait les biens et les possessions du million de protestants dans le pays. Les chefs d’entreprises protestants, qui furent les meilleurs entrepreneurs du pays, fuyaient ou mourraient.” 

Après avoir établi ce parallèle parlant, l’auteur souligne l’hostilité des Français envers les riches. ” Tout comme ce sentiment anti-business, les codes complexes de la façon dont la richesse est affichée – ou, plus probablement, cachée – ont eux aussi persisté.” Et elle poursuit : “Même maintenant, la meilleure façon de vivre en France en tant que personne riche est de prétendre que vous ne l’êtes pas. J’ai appris très tôt en vivant à Paris que moins est plus: ne vous habillez jamais entièrement avec le même designer, assurez-vous que vos vêtements neufs n’apparaissent pas comme tels, gardez vos véritables bijoux dans le coffre.”

Obelix s’enfuit

Dans une telle situation, mieux vaut s’exiler. C’est exactement ce que l’acteur Gérard Depardieu a fait. “Le départ de Depardieu intervient au moment où le gouvernement français cherche à augmenter les recettes par des impôts sur les grandes entreprises, les start-up du web et les fortunes privéesobserve Bloomberg Businessweek.  Time Magazine remarque pour sa part : “Contrairement à Arnault, Depardieu semble insensible à la couverture de presse négative – et semble la cultiver autant qu’il le peut. L’année dernière, (…) il a été viré d’un vol Air France pour avoir uriné dans le couloir avant le décollage. Le mois dernier, il a été détenu par la police à Paris après être tombé de son scooter, ivre. Plus récemment, Depardieu faisait froncer les sourcils pour avoir sorti une chanson en duo avec (…) GooGoosha, (…) la fille du dictateur ouzbek Islam Karimov.” Le magazine rassure le fisc français avec un clin d’œil bien placé“Compte tenu de ces activités, il ne faudra peut-être pas longtemps avant que les voisins de Depardieu à Néchim cherchent eux-mêmes refuge en s’échappant vers la France.”

Le Louvre à Lens : un peu de culture dans la déprime

Quittons à présent Paris et la Belgique. La presse américaine commente l’ouverture de la nouvelle antenne du Louvre (Louvre II) dans la ville de Lens. “Un musée placé dans l’ancienne cour d’une mine de charbon dans la ville déprimée et post-industrielle de Lens”, résume le New York Times. Le Huffington Post va jusqu’à s’interroger : “Le Louvre à Lens : est-ce qu’une ville française pauvre a besoin d’un musée?” Le Washington Post, lui, ne se montre guère plus enthousiaste : “Le projet de 194 millions de dollars, payés par les autorités régionales et locales, pour amener ces œuvres à un coin perdu plus connu pour son équipe de football, a soulevé l’inquiétude, celle de créer un éléphant blanc dans un tas de déchets de charbon. (…) Les entreprises locales touchées par la récession ont été réticentes à l’idée d’investir. La ville ne compte que trois petits hôtels.”

Un article de l’Associated Press, publié dans le Miami Herald mène les lecteurs au cœur de la ville “criblée de magasins fermés, de maisons abandonnées, d’habitants en colère et un cinéma couvert de planches.” Le journal précise que “Lens, l’une des villes les plus pauvres du pays, a un taux de chômage de 24 %, bien au-dessus de la moyenne nationale de 9 %.” Les arguments des pro-Louvre II – revitaliser l’économie de la ville, “offrir la culture aux provinces les moins cultivées et donner aux résidents une occasion unique de voir l’art haut de gamme” – se heurtent au scepticisme des habitants. “Pour les habitants, le geste du Louvre d’apporter la culture à leur ville oubliée est un peu condescendant.”  Et Thomas Adamson, l’auteur de l’article, ne se prive pas de citer quelques habitants pour mettre en valeur le fossé qui les sépare des administrateurs du musée: “Pourquoi avons-nous besoin d’un musée et de culture ici ? Nous avons besoin d’argent et d’emplois. D’ailleurs, qui est ce Da Vinci ?”, “Si cela aide quelqu’un, ce ne sera pas nous” ou encore “ils ont dit que Lens était vivant maintenant. Regardez autour de vous, c’est mort, tout est mort.”

Les initiateurs du projet espèrent contribuer à une transformation de la ville comparable à celle de Bilbao, initiée par l’antenne du musée Guggenheim. Mais pour l’Associated Press, “il n’est pas clair que cela suffira à attirer 700.000 visiteurs pendant la première année. (…) La région dispose ni des plages de Bilbao ni de sa fameuse cuisine basque.”

À Boston, l'union des entreprises franciliennes fait la force

Recréer des réseaux locaux d’entreprises françaises partout aux Etats-Unis. Telle est l’ambition de PRIME (Paris Region International Mission Enterprise) et Systematic Paris-Région.

Derrière ces noms obscurs se cachent respectivement le bureau de l’Agence Régionale de Développement Paris Ile-de-France aux Etats-Unis et un pôle de compétitivité francilien créé en 2005. Ce dernier rassemble plus de 600 entreprises de la région, petites, moyennes ou grandes, dans le secteur de la hi-tech appliquée à des industries aussi diverses que la défense, la santé et l’environnement.

Début décembre, ces deux organismes ont annoncé leur rapprochement pour accroitre la force de frappe des entreprises franciliennes innovantes implantées aux Etats-Unis. Le jeudi 13 décembre, ils organiseront leur premier évènement de networking, à Cambridge (Massachussetts). Il est ouvert aux membres locaux de Systematic et toute autre entreprise française ou américaine installée dans la région de Boston. “Nous voulons créer une communauté d’affaires pour permettre aux sociétés présentes sur place de s’aider, trouver des clients, se renseigner sur les questions juridiques, de marketing ou de recrutement”, explique Marie Buhot-Launay, directrice de « business development » au sein de PRIME.

Selon PRIME, Systematic Paris-Région compte 22 membres dans le Massachussetts. Ces entreprises, parmi lesquelles des filiales de grands groupes et un grand nombre de PME, font souvent face à des défis à leur arrivée aux Etats-Unis.  “Une fois que la filiale est créée aux Etats-Unis, il y a des organismes comme UbiFrance qui peuvent aider à son développement, et des échanges se font avec la communauté d’affaires locale, mais beaucoup d’entreprises restent complètement coupées, observe Marie Buhot-Launay. Quand on discute avec elles, on se rend compte qu’elles ont des difficultés, qu’elles sont isolées“.

PRIME veut répliquer ce qu’elle fait à Boston dans d’autres villes américaines où sont présents les  membres du pôle de compétitivité francilien, pour créer des “clusters” d’entreprises au niveau local et promouvoir l’Ile-de-France aux Etats-Unis. Systematic compte 28 membres en Californie, 17 à New York et 160 au total sur l’ensemble du territoire américain. “On n’imaginait pas qu’il y en aurait autant, souligne Mme Buhot-Launay. Les Etats-Unis attirent toujours.

Des pâtissiers français font bloc pour sauver Almondine Bakery

 “Il y avait de l’eau jusqu’au plafond“. Quand Sandy a frappé New York, Hervé Poussot a presque tout perdu.

Le laboratoire au sous-sol de sa boulangerie-pâtisserie Almondine Bakery, sur Water Street à DUMBO, à côté de l’East River, a été entièrement inondé. “Il y en a pour 300.000 dollars pour le petit équipement, les frigos, les congélateurs, les mixeurs et les deux fours et 150.000 dollars pour refaire les murs et l’électricité. Mon assurance m’a tout dénié“. Le boulanger a dû fermer son établissement de Water Street, ainsi que son autre Almondine, à Park Slope.

Mais ce week-end, Almondine Bakery, “meilleures baguettes de New York” selon New York Magazine, rouvrira ses portes grâce à la mobilisation de plusieurs chefs-pâtissiers français et américains. Et non des moindres: François Payard, Dominique Ansel, Financier, le Bernardin pour ne citer qu’eux proposeront aux clients leurs viennoiseries, chocolats, pâtisseries et macarons pour aider Almondine à se remettre sur pied. L’intégralité des ventes réalisées pendant cette opération de sauvetage pâtissière sera reversée au boulanger en détresse. “C’est d’autant plus fort qu’ils sont tous très occupés avec les fêtes“, insiste Anthony Valla, COO des chocolats Valrhona aux Etats-Unis, qui fait partie des organisateurs de cette mobilisation, sans doute une première pour des pâtissiers français à New York.

Pour Hervé Poussot, les sommes récoltées permettront de régler les factures urgentes ainsi que les prêts bancaires.  “Les banques ne vous font pas de cadeaux“, s’exclame-t-il. “Si tout va bien“, l’établissement de Water Street rouvrira ses portes pour de bon “fin janvier début février“.

 

Les Américains, champions des histoires d'amour au bureau

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En France, il y a des bourreaux des cœurs. Aux Etats-Unis, il y a des bureaux des cœurs.

Selon le « Office Romance Survey » 2011 de Vault.com, un site de conseil spécialisé dans les questions d’emploi, 59% des Américains disent avoir eu une relation sentimentale, amoureuse ou sexuelle avec un(e) collègue. Contre toute attente, les Français font office de petits joueurs à côté. Seul un Français sur trois – 31% – flirte (ou plus) au bureau, révèle l’étude  d’Opinion Way sur « la sexualité, les Français et le travail» pour les Editions Tissot, publiée en juin 2011.

Surprenant ? Pas vraiment. Vault.com explique le comportement des Américains par l’allongement de la durée moyenne passée au bureau. Les Français, eux, sont formels : 67 % d’entre eux estiment qu’il n’y a pas de place pour l’amour dans l’entreprise. Et lorsqu’ils se laissent tenter, 63% des relations sont éphémères.

Autre surprise : les Américains seraient moins carriéristes qu’on ne le pense. 60% d’entre eux disent qu’ils ne renonceraient pas à une histoire d’amour avec un collègue même si celle-ci compromet leur carrière. Il y a donc un cœur qui bat dans les “open-space”.

Fin de l'affaire Diallo/DSK à New York

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(AFP) – Le juge Douglas McKeon a annoncé lundi que les parties étaient parvenues à un accord négocié dans l’affaire DSK/Diallo à New York, qui met fin aux poursuites civiles contre DSK.

Il y a environ dix minutes, nous sommes parvenus à un accord“, a annoncé au début de l’audience le juge Douglas McKeon, au tribunal du Bronx, précisant que les termes de l’accord étaient “confidentiels“.

Il a précisé que les négociations avaient commencé “plus tôt dans l’année”, mais s’étaient intensifiées depuis le 28 novembre dernier.
La femme de chambre de 33 ans, pantalon et veste noirs, foulard léopard gris sur les cheveux, n’a rien dit durant l’audience qui a duré moins de 10 minutes.
En sortant, elle a brièvement remercié “tous ceux qui (l’)ont soutenue à travers le monde. Je remercie Dieu et que Dieu vous bénisse tous”, a-t-elle ajouté. “Mme Diallo est une femme courageuse qui n’a jamais perdu confiance dans notre système judiciaire. Avec ce règlement elle peut maintenant continuer sa vie”, a ensuite déclaré son avocat Kenneth Thompson.
Dans un communiqué, les avocats de DSK, muets au sortir de l’audience, se sont dits “satisfaits d’être parvenus à un règlement dans cette affaire”.
Durant l’audience, le juge a ajouté que Mme Diallo était également parvenue à un accord financier avec le quotidien New York Post, qu’elle avait poursuivi l’an dernier au civil après qu’il l’eut traitée de prostituée.
Les accords financiers, qui mettent fin aux poursuites civiles, sont extrêmement fréquents aux Etats-Unis. Ils évitent aux deux parties un procès long et coûteux à l’issue incertaine. Ils ne sont pas un aveu de culpabilité, mais évitent à un accusé d’avoir à donner sa version des faits et lui permettent d’en finir avec un dossier.
Le magistrat n’avait pas requis lundi la présence de DSK.
Combien l’ancien patron du FMI a-t-il accepté de verser ?
La confidentialité de l’accord empêche de le savoir. Son avocat William Taylor avait qualifié la semaine dernière de “complètement fausses” des informations selon lesquelles il aurait accepté de payer six millions de dollars. Mais selon l’avocat et ancien procureur Matthew Galluzzo, ce montant serait plausible.
Avec cet accord, DSK est définitivement débarrassé de l’affaire Diallo, 19 mois après le scandale planétaire qui l’avait contraint à démissionner du FMI et mit fin à ses ambitions présidentielles en France. Il s’est aussi depuis séparé de son épouse, la journaliste Anne Sinclair.
Il n’aura jamais à expliquer ce qui s’était passé le 14 mai 2011 dans sa suite de l’hôtel Sofitel de New York. Selon Mme Diallo, une veuve élevant seule une adolescente, DSK, sorti nu de sa salle de bains, l’avait contrainte à une fellation, alors qu’elle venait faire le ménage. Dominique Strauss-Kahn avait quelques heures plus tard été arrêté à l’aéroport JFK en partance pour la France, incarcéré plusieurs jours, inculpé et assigné à résidence à New York.
Mais trois mois plus tard, dans une étonnante volte-face, le procureur chargé de la procédure pénale en avait demandé le classement, effectif le 23 août. Il avait expliqué que Nafissatou Diallo avait menti de manière répétée aux enquêteurs sur certains épisodes de son passé, et “sérieusement entamé sa crédibilité de témoin” en cas de procès au pénal.
Sans attendre, la jeune femme avait porté plainte au civil le 8 août, pour obtenir des dommages et intérêts. C’est cette plainte qui s’est terminée lundi par un accord financier.
Libre de rentrer en France, DSK avait ensuite reconnu dans une interview télévisée une relation sexuelle de quelques minutes avec la jeune femme qu’il ne connaissait pas, “une faute morale”, mais “sans violence ni contrainte”.
DSK a depuis été mis en examen en France, pour proxénétisme aggravé en bande organisée dans l’affaire dite du Carlton, qui porte sur l’organisation de soirées libertines avec des prostituées. Ses défenseurs ont demandé la nullité de la procédure et la justice doit se prononcer le 19 décembre.
Ces derniers mois, DSK a fait quelques réapparitions dans la vie publique. On l’a vu flâner au marché de Sarcelles, la ville dont il a été le maire, il a accordé une interview à un hebdomadaire et participé à plusieurs conférences à l’étranger. Il a aussi créé une société de conseil à Paris.
Mme Diallo n’a elle jamais repris le travail, toujours en congé maladie. Elle a déménagé nul ne sait où dans l’Etat de New York.

Soirée de networking pour les anciens des universités françaises

Quand on travaille à l’étranger, avoir un bon réseau est souvent considéré comme indispensable. Pour mettre en contact les Français travaillant à San Francisco, la Chambre de commerce franco-américaine organise une soirée de networking pour les anciens des Grandes Ecoles et Universités françaises, seuls ou accompagnés, ce jeudi 13 décembre.

Lors de l’événement, les participants auront la possibilité de se rencontrer ou de se revoir, pour faire le bilan de l’année 2012 ou discuter d’opportunités communes.

Les organisateurs de cette soirée de networking, qui se déroulera de 19h  à 23h, proposent également un buffet et un bar.

Un camp d'hiver pour les enfants à l'Alliance française

Les fêtes peuvent être stressantes pour les familles. Tandis que les parents font leurs achats de Noël, les enfants peuvent trouver le temps long.
Pour remédier à cette situation, l’Alliance française de San Francisco (AFSF) organise un camp d’hiver pour enfants. Du 17 au 21 décembre et du 24 au 28 décembre (sauf le 25), les enfants âgés de 4 à 10 ans pourront retrouver leurs petits camarades et participer à plusieurs activités.
Au programme : différents ateliers artistiques et de cuisine, jeux de société, des activités linguistiques, des classes de chant et de musique entre autres.

Le Cirque du Soleil joue "Saltimbanco" à Cedar Park

La compagnie de cirque mythique, le Cirque du Soleil, se rend à Cedar Park, dans la banlieue d’Austin, pour présenter son spectacle “Saltimbanco”. Le show aura lieu au Cedar Park Center du 12 au 16 décembre.

Dans ce spectacle, la compagnie réinterprète à sa manière l’univers de la Ville, avec ses habitants aux personnalités et habits colorés, ses familles et ses communautés, son dynamisme et ses gratte-ciel. Cela fait dix ans que la troupe joue ce grand classique à travers le monde, avec la magie qu’on lui connait. Il s’agit du show que la compagnie joue depuis le plus longtemps.

Une raclette américano-suisse à Houston

La Swiss-American Society de Houston, rassemblement d’expatriés suisses vivant dans la ville et sa banlieue, organise sa raclette annuelle le 8 décembre, dans le jardin de la Christ the King Lutheran Church (en face du parking de la Rice University).

La raclette sera servie avec des pommes de terre bouillies, des oignons et des cornichons. L’année dernière, l’événement fut très apprécié par les participants suisses, américains et aussi français : plus de 30 adhérents et enfants de Houston Accueil sont venus se servir.

French Affaires fête Noël avec du thé à Dallas

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Certains sortent le vin ou le champagne pour fêter la fin de l’année. Pas chez French Affaires, à Dallas. L’organisme, qui fait la promotion de toute chose française, vous invite à prendre le thé lors de sa « French Holiday Tea & Open House », le 7 décembre.

Le thé sera fourni par la maison Mariage Frères et sera accompagné de pâtisseries. Des articles inspirés de la France seront vendus sur place : des livres de recettes, des cartes postales, des pièces d’art… L’occasion pour les invités de faire quelques emplettes avant le rush de Noël et, pour French Affaires, de remercier ceux qui l’ont soutenue pendant l’année.

L’évènement aura lieu de 10h à 13h.

Patiner à New York, mais où ?

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En famille, avec un « date » ou entre potes: il y  a une « skating rink » pour tous les goûts à New York. Voici notre sélection 2012, avec une nouveauté : la patinoire de Van Cortlandt Park dans le Bronx.

Les mythiques

Trump-Wollman Rink à Central Park: On connaissait « Dansez avec les stars », mais pas « Patiner avec Donald Trump ». C’est pourtant le sentiment que l’on a à la Trump-Wollman Rink. Difficile d’échapper au magna de l’immobilier quand on se rend à cette patinoire dans le sud de Central Park : son nom et visage sont bien mis en évidence autour de la structure (on y vend même une bouteille d’eau « Trump »). Cette patinoire est à l’image du « Donald » : bling-bling. Elle est particulièrement chère (l’entrée coûte 11$ en semaine et 17$ le week-end, 6$ pour les enfants tous les jours). Prenez votre cadenas sinon il vous en coûtera 4$. Il est également possible de louer la patinoire pour des soirées privées. Le reste du temps, emmenez-y votre « date ». Il lui sera difficile de résister aux charmes de la skyline de Midtown, la beauté du parc à la nuit tombante… et bien sûr votre assurance sur la glace. Wollman Rink  at Central Park, au niveau de 63rd St.

Citi Pond à Bryant Park : La patinoire de Bryant Park vaut le détour pour deux raisons : elle est gratuite (si vous avez vos patins) et relativement grande. Cela fait sept ans que la patinoire existe et l’expérience est toujours forte : patiner au pied des gratte-ciel de Midtown, avec les sirènes de la ville en fond sonore. Comment faire abstraction de son incontournable marché de Noël, qui une fois de plus à élu domicile aux abords de la patinoire, et de ses stands gourmands proposant vin chaud et churros par exemple ? Le temps des fêtes, allez faire un tour à Celsius, le restaurant éphémère de deux étages dressé pour l’occasion. Le Celsius Burger coûte 14$ et les frites sont exquises (parole de la rédaction). Beaucoup d’autres plats composent le menu. Il est possible de s’asseoir à l’extérieur car la terrasse est chauffée. Des cours de patinage privés et semi-privés sont proposés à la patinoire. La location de patins coûte 14$. Le prix du « bag check » varie de 7$ à 10$ selon la taille des contenants. Citi Pond at Bryant Park, entre 40th et 42nd Sts, 5th et 6th Avenue.

Rockefeller Center : Probablement la plus emblématique de New York, la petite patinoire de Rockefeller Center grouille de touristes venus admirer son sapin de Noël géant et goûter à l’esprit des fêtes. Attention aux temps d’attente (parfois interminables), la patinoire du Rockefeller est victime de son succès! Et jusqu’au 7 janvier, parce que la saison du “ice skating” bat son plein, la patinoire est ouverte tous les jours de 7h à minuit. L’entrée n’est pas donnée: 25$ pour les adultes et 15$ pour les enfants de moins de 11 ans. The Ice Rink in Rockefeller Center, 5th Avenue entre 49th et 50th St.

Au calme

Van Cortlandt Park Skating Rink : C’est LA nouvelle patinoire de New York. Son ouverture marque le retour du patin à glace dans le Bronx. Elle n’ouvre pas n’importe où : au cœur du majestueux Van Cortlandt Park, un espace vert dans le nord du borough qui vaut le détour si vous ne l’avez jamais visité. Le Bronx vous semble être la fin du monde ? Détrompez-vous, le parc se trouve au bout de la ligne 1 du subway. L’entrée coute 5$ en semaine, 8$ le week-end. La location de patins est de 5$. Van Cortland Park Skating Rink, Broadway et 242th St.

Lasker Ice Skating Rink à Central Park: En journée, la Lasker Ice Skating Rink, dans le nord de Central Park, est idéale. Elle est en effet moins fréquentée que la Trump-Wollman Rink (voir plus haut), coûte moins cher mais offre tout de même une belle vue sur le parc et Harlem. Pour les adultes, l’entrée coûte 7$ en semaine et le week-end, 4$ pour les enfants tous les jours. La location de patins coûte 6$. Lasker Ice Skating Rink at Central Park, au niveau des 106th et 108th St.

Riverbank State Park Ice Skating Rink : Une des moins fréquentées, la patinoire Riverside Ice Skating Rink est idéale pour tous ceux qui veulent patiner pendant le week-end et éviter des heures de queue. Située dans le nord de Manhattan, au bord de la Hudson River, cette grande patinoire est couverte, pour continuer à patiner même en cas de chute de neige importante. En prime, les familles souhaitant y organiser des anniversaires peuvent réserver des tables. Ouverte uniquement du vendredi au dimanche. La location de patins est de 6$. L’entrée est à 5$ pour les adultes, 3 pour les enfants. Riverbank Ice Skating Rink, sur Riverside Drive au niveau de 145th St.

Aviator Sports: Fief de la  de la National Hockey League, l’Aviator Sports est située dans le sud-est de Brooklyn. Pendant les fêtes, elle sera ouverte exceptionnellement de 22h30 à 00h30 le samedi soir. Comptez 7$ pour les adultes et 5$ pour louer les patins. Aviator Sports and Events3159 Flatbush Avenue à Brooklyn.

Sur un rooftop

City Ice Pavillon : Couverte, cette patinoire des plus “in” est localisée sur un rooftop de Long Island City dans le Queens. Elle est accessible au public en milieu d’après-midi en semaine ou entre midi et 14h le week-end. Le reste du temps, elle est réservée aux cours, entraînements et autres événements privés. Moins chère que la plupart des patinoires à Manhattan, l’entrée coûte 5$ en semaine et 8$ pendant les week-ends et les vacances. La location de patins est à 5$. City Ice Pavillon47-32nd Place entre la 47th et la 48th Avenue, Long Island City, Queens.

Patinage et gourmandises

Standard Ice Rink : Dans le quartier branché du Meatpacking district, au pied du non moins branché Standard Hotel, cette patinoire met à disposition, après l’effort, un stand de nourriture. Crêpes, gaufres et boissons chaudes (chocolats chauds, vin chaud et cidre chaud) disponibles au Kaffeeklatsch, le café éphémère du Standard, vont redonneront du punch avant de retourner dans la fosse. Des cours de patinage et des tournois de hockey sur glace sont également programmés. Pour les adultes, l’entrée coûte 12$ plus 3$ pour louer les patins, 6$ plus 3$ pour les enfants. Standard Hotel, Kaffeehaus et Patinoire, 848 Washington St au coin de 13th St.

Pour les anniversaires

World Ice Arena, dans le Queens, met à disposition des amateurs sa patinoire de taille NHL. Elle est ouverte tous les jours de la semaine à des horaires divers. Elle est relativement peu chère (5$ en semaine, 8$ le week-end, location de patins à 5$). Plusieurs patinoires proposent des services d’organisation d’anniversaires. En la matière, World Ice se distingue par ses bas tarifs, de 20 à 28$ par enfant en fonction de la formule retenue. World Ice Arena, 13135 Avery Avenue,  Flushing.

Sportives

Sky Rink à Chelsea Piers : Idéale pour mesurer ses aptitudes physiques, la Sky Rink est investie par les patineurs les plus sportifs. Pour s’essayer au hockey sur glace ou au patinage artistique, il est possible d’y prendre des cours. Ouverte au public depuis le 1er décembre, la patinoire abrite une “skating school” toute l’année. Elle est fermée le mercredi. L’entrée coûte 10$, la location des patins 5$. SKy Rink at Chelsea Piers, Piers 61, 23rd St et la Hudson River.

Abe Stark Rink : Dans le petit monde féérique de Coney Island se cache cette patinoire couverte, qui accueille les divisions ados et adultes des New York Stars, l’équipe de hockey sur glace locale. Il n’est pas rare d’y voir des joueurs s’entrainer. Ouverte pendant les vacances et les week-ends seulement, de 13h à 16h. L’entrée coûte 8$, comptez 5$ pour louer les patins. Abe Stark Rink, Coney Island Boardwalk et West 19th St.