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SoNuvo, un trio de jazz franco-américain, au Blue Note

Fondé en 2010, le groupe SoNuvo est connu pour son style éclectique, intégrant des éléments de jazz, de musique brésilienne, de flamenco et de soul / R & B. Le 7 décembre, le trio basé à Brooklyn se produira au légendaire Blue Note Jazz Club.

Lors du concert, la chanteuse bretonne Marie Martin sera accompagnée par le guitariste Seth Johnson et le batteur Jerome Jennings. Finaliste du Montreux Jazz Voice 2012, Marie Martin a enregistré plusieurs chansons de films. On la retrouve au générique du “36, quai des Orfèvres” d’Olivier Marchal ou encore de “Prête-moi ta main” d’Eric Lartigau. En juin 2012, elle s’est produite au prestigieux Brooklyn Academy of Music (BAM).

Si une seule dose de jazz ne vous suffit pas, venez au Blue Note Jazz Club avant le concert. Le célèbre saxophoniste David Sanborn, décoré de six Grammy, donnera deux concerts (à 20h et à 22h30). Le prix des billets varie de 40 à 55 $.

Bakehouse fête son premier anniversaire

Gravement affectés par l’ouragan Sandy, les restaurateurs de Bakehouse ne se laissent pas abattre. Le 8 décembre, le bar-restaurant-boulangerie installé près de la Hudson River depuis 2011 fêtera sa première année d’existence avec un bal masqué.

À partir de 20h, les participants pourront profiter de snacks et de cocktails. La DJ Anna Cavazos mettra l’ambiance jusqu’à 2h du matin. Les participants sont invités à venir avec leur plus beau masque. Une compétition pour élire le meilleur d’entre eux aura lieu pendant la soirée. 

À la New York Dance Academy, on danse avec une star

Des looks de popstars sur un rythme entraînant: elles ont fière allure, les petites du cours de la New York Dance Academy. Lorsque l’une se disperse – c’est de leur âge – la professeure la remet au travail: “Allez, on fait attention! Et un peu d’élégance, tout de même!

Mina Saquet a ouvert, fin septembre, au 5e étage d’un club de gym de l’Upper East Side, trois cours de danse pour les 8-20 ans: bienvenue à la New York Dance Academy. Elle s’apprête a lancer, à peine trois mois plus tard, des ateliers pour adultes, “une fois ou deux par mois, ou une fois par semaine, selon la demande“.

La demande? Elle n’en manque pas. Et uniquement grâce au bouche-à-oreille. “Je visais plutôt des ados, mais on m’a incitée à démarrer dès 8 ans. Trente-huit élèves ce semestre et déjà trente inscrits pour le prochain. Puis des mères m’ont demandé une classe pour adultes. Nous aussi, on aimerait bien danser!, disaient-elle.” Une trentaine a signé pour l’atelier de mardi, un stage intensif de deux heures.

Au-delà de la joie communicative à s’exprimer avec son corps, les élèves trouvent dans la danse de Mina Saquet une tonique diversité. “Mélange de modern jazz, ma base, mixé avec la street dance et du hip-hop, éventuellement de la danse africaine et de la salsa, cela donne l’impression d’arriver chaque fois à un nouveau cours.

Faire passer une énergie, sentir un mouvement, donner une envie, Mina Saquet connaît. A 40 ans, c’est sa vie. Danseuse et chorégraphe à Paris, “pour les télés surtout“, dans les émissions de Drucker, de Sacrée Soirée ou de la Star Ac’, elle a aussi travaillé avec les chanteuses Janet Jackson, Mariah Carey, Era et Christina Aguilera.

A New York, “rêve d’enfance, qui remonte à l’époque de Fame“, elle chorégraphie des défilés de mode pour Nike, Adidas, enseigne au Barclay Dance Center et vient de boucler la chorée de la dernière pub de Pepsi… avec une certaine Nicki Minaj.

Elle garde le contact avec le chorégraphe français Kamel Ouali: ils ont commencé la danse ensemble à 8 ans, à Saint-Denis. Elle a rejoint ensuite le conservatoire d’Aubervilliers et l’Académie internationale de la danse (AID), à Paris. Au Panthéon de ses mentors: Rheda Bentifour, Bruno Collinet, Béjart.

Voilà dix ans, à présent, qu’elle habite à New York. Elle y est arrivée dans le sillage de son mari, Yan Saquet, producteur de musique. Deux de ses fils, Carl, 12 ans, et Victor, 11 ans, sont élèves au Lycée français. Bien entendu, elle en chorégraphie les spectacles. Jack, son petit dernier, a 2 ans. Elle est ravie d’avoir pu installer sa Dance Academy, la NYDA (on ne peut faire plus new-yorkais!) à proximité de l’école et de son domicile, dans un quartier où “il y a peu de choses pour les ados dans mon style de danse“.

Elle adore Soho, Brooklyn. Et la compagnie Alvin Ailey où elle continue à prendre des cours. La prof reste aussi une élève.

Et c'est reparti pour "The Nutcracker"…

Les Français ont “Le Père Noël est une ordure” , les Américains ont “Casse-Noisette”.

Tous les ans depuis 58 ans, c’est la même chose. Les tickets se vendent comme des petits pains et les files d’attente sont interminables. Plus d’un siècle après la naissance du ballet mené par la musique de Tchaïkovski, le spectacle de danse classique est devenu une tradition lors des très lucratives fêtes aux États-Unis.

Traditionnellement, “The Nutcracker” est lancé au lendemain de Thanksgiving et jusqu’au 31 décembre. Cette année, ce ne sont pas moins de dix versions qui sont jouées partout à New York. La plus célèbre est interprétée par le New York City Ballet, au Lincoln Center, qui en fait 45 représentations par an.

Mais “Casse-Noisette” n’a pas toujours été un succès. Joué pour la première fois à Saint-Pétersbourg en 1892, le spectacle, inspiré de l’oeuvre d’Alexandre Dumas “L’histoire d’un casse-noisette“, ne pas fait l’unanimité: il était jugé trop sombre et complexe. Ce n’est qu’en 1954, lorsqu’il est repris par George Balanchine au New York City Ballet, qu’il devient célèbre aux États-Unis. Sans doute parce que Balanchine a bien compris comment séduire le public américain. Il ne touche pas à la musique de Tchaïkovski, mais simplifie l’histoire et ajoute une touche de cette fameuse “magie de Noël” made in USA. “L’histoire était parfaite pour la saison, témoigne Celia Baker, journaliste et critique d’art et de danse. Tous les ingrédients y étaient: des personnages légendaires, des décors féériques, un énorme arbre de Noël, des flocons de neige. Bref, tout le petit monde de Noël, le tout chorégraphié sur la musique de Tchaïkovski”. 

“À partir de 1954, la version de Balanchine est interprétée chaque année à New York au moment de Noël. Au début des années 60, elle finit par se propager au reste des États-Unis et devient un classique des fêtes“, poursuit la journaliste. Dès lors, les spectacles de “Casse-Noisette” fleurissent dans tout le pays, des plus grandes salles de théâtre aux gymnases des écoles. Le phénomène devient aussi bien national que local. Résultat, les petites filles s’inscrivent dans des cours de danse classique pour devenir “La Fée dragée” et les garçons s’arrachent le rôle du prince “Casse-Noisette”, en attendant d’aller voir le spectacle à Noël. “Les compagnies de ballet l’ont bien compris. Casse-Noisette est un peu ‘la vache à lait annuelle’ qui attire les foules pendant les fêtes.”

Et s’ils y retournent tous les ans sans se lasser, c’est aussi parce que les chorégraphes savent faire preuve de créativité. Le noeud de l’action reste le même: une petite fille (Clara) délivre un prince (Casse-Noisette) d’une malédiction et l’aide à vaincre le Roi des Souris. Au fil des ans, les décors évoluent, les chorégraphies aussi. Outre la traditionnelle version de Balanchine, “Casse-Noisette” a laissé place à d’innombrables déclinaisons, chaque version ayant ses propres mise en scène, chorégraphie et interprétation. “J’emmène mes enfants voir le spectacle tous les ans, confie Nora James, une maman new-yorkaise. Ça fait partie des traditions de NoëlC’est comme le sapin, les cadeaux, la bûche… Bref, c’est Noël!“.

Ma sélection des soirées du Nouvel An

Pour la dernière édition de l’année des Nuits de DJ Super Jaimie, voici quelques idées de soirées pour le Nouvel An, vers Times Square par exemple, mais à l’écart de la foule, et avec une chance d’apercevoir les feux d’artifice de haut…

Ava Lounge au Dream Hotel Midtown (210 West 55th Street)

Empire Hotel Rooftop (44 West 63rd Street)

Upstairs @ The Kimberly Hotel (145 East 50th Street)

Le rooftop du Novotel pour une French Culture Nights spéciale (226 West 52nd Street)

Ou au bord de l’Hudson river avec Armin, le roi de la Trance, ou ses compatriotes Afrojack & R3hab

Armin Van Buuren (sacré quand même meilleur DJ au monde par DJ mag) nous fait l’honneur de passer le nouvel an 2013 à New York ! Il sera @ Pier 36 (299 South Street) pour une soirée Trance spectaculaire. Infos et billets ici

Afrojack & R3hab, deux autres monstres hollandais de la Dance électro ne seront pas loin, sur le Pier 94 (711 12th avenue) pour une soirée tout aussi extravagante et explosive. Infos et billets ici

Ou plutôt Downtown…

Au Dream Hotel Downtown (355 West 16th Street) qui se transforme en complexe saint sylvestrien avec 4 espaces pour faire la fête, dont le magnifique PhD rooftop. Billets et infos auprès des promoteurs sur Facebook, dont Privé event (un groupe plutôt francophone).

Au magnifique restaurant Isola du Mondrian Soho (9 Crosby Street). Infos et billets ici 

Avec François K & Tedd Patterson @ Cielo (18 Little West 12th Street) pour une soirée plus House underground. Billets et infos ici

Ou à Brooklyn…

Pour voir Coldplay et Jay Z au Barclay Center. Infos et billets ici 

Avec les allumés de Dada Life dans une salle conçue spécialement pour l’occasion… infos et billets ici

Quelques évènements à ne pas manquer en décembre…

L’excellent DJ électro français Joachim Garraud mixera @ Lavo (39 East 58th Street) le samedi 8 décembre. Infos et billets ici

Dennis Ferrer, un de mes DJs préférés, jouera dans une ambiance intime le mercredi 12 décembre au 105 Rivington. Infos ici

Dimitri from Paris, un autre de mes favoris, nous rend visite… il sera à Cielo le lundi 17 décembre. Infos et billets ici

L’autre Joakim sera également de passage à New York le vendredi 21 décembre @ Cameo Gallery (93 North 6th Street, Brooklyn). Infos et billets ici

En vous souhaitant à tous d’excellentes fêtes de fin d’année !

Un week-end d'art et de chocolat à la Maison d'Art à Harlem

Ce samedi 8 décembre, la Maison d’Art à Harlem vous donne rendez-vous pour célébrer l’ouverture de sa nouvelle exposition “VISIONS Art & Matter”. A travers les œuvres exposées, les artistes Abishag, Ibou Ndoye, Béatrice Lebreton et J. W. Ford donnent  leur point de vue sur des techniques artistiques ancestrales. La soirée sera couronnée par la performance de SIYA (Yacouba Sissoko), un joueur de kora d’origine malienne.

Dimanche après-midi, la galerie d’art reçoit une nouvelle fois, mais cette fois-ci, pour une dégustation de chocolat. Pendant l’événement “Xocai Healthy Chocolate Tasting”, les amateurs pourront découvrir ce chocolat réputé sain. Selon l’entreprise Xocai, ses produits sont sans additifs, vegan, casher et connus pour contribuer à la perte de poids. Bref, de quoi pousser à la consommation sans sentiment de culpabilité.

 

Passage de relais franco-français au sein de l'équipe US d'escrime

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Comme pressenti lorsque nous l’avons interrogé avant les derniers Jeux olympiques, le maître d’armes français de Houston Benoît Bouysset est devenu le nouvel entraîneur national de l’équipe américaine d’escrime en épée.

Il succède à un autre Français : le maître d’armes de Portland Sébastien dos Santos, désormais rentré en France pour passer plus de temps en famille, même s’il continue d’assumer des missions d’entraînement à l’international. « Le travail d’entraîneur national demande un engagement total, commente cet ancien athlète de haut niveau ayant passé huit années aux Etats-Unis. Contrairement à moi, Benoît n’aura pas à se partager avec un club. Et depuis son arrivée au centre olympique de Colorado Springs il y a un an, ça a vraiment bien accroché avec les athlètes. C’est une transition tout en douceur ».

« Nous avons les mêmes méthodes de travail, confirme Benoît Bouysset. Nous sommes quelques-uns à avoir le niveau pour entraîner l’équipe nationale. Mais tout le monde n’a pas la disponibilité pour ce faire. Et les athlètes voulaient garder la même approche ».

Pour le Texan d’adoption, c’est avant tout un concours de circonstance qui explique ce passage de relais franco-français au sein de la fédération états-unienne d’escrime. Certes, « depuis trois ou quatre ans, il y a de plus en plus de maîtres d’armes français aux Etats-Unis », remarque Sébastien dos Santos. Et ces derniers bénéficient d’une reconnaissance particulière dans cette discipline pétrie de culture française. Mais ils ne sont pas nombreux à faire le choix du sport de haut niveau alors qu’ils pourraient gagner plus d’argent en créant leur club.

Surtout que Sébastien dos Santos quittant l’équipe masculine d’épée à son plus fort, la tâche à laquelle s’est attelée son successeur est loin d’être une mince affaire. « L’un des athlètes ayant gagné les derniers championnats du monde et amené l’équipe en position de numéro un mondial a mis fin à sa carrière, tandis qu’un autre s’est mis en disponibilité pour un an. La moitié de l’effectif doit donc être renouvelée d’ici à la coupe du monde de Doha, en janvier », indique Benoît Bouysset, qui continue de se partager entre Houston, Colorado Springs et les compétitions internationales.

Euro-Théâtre, l'humour en VF

Le théâtre dans la langue de Molière vous manque ? La semaine prochaine, la troupe francophone Euro-Théâtre fait son grand retour sur les planches pour y jouer sa nouvelle pièce « la Zizanie au Consulat ». Écrite par son producteur et metteur en scène Jean-Louis Darville, cette comédie met en scène de «façon fictive » le consulat de France à Los Angeles, et joue avec humour sur les stéréotypes franco-américains.

« C’est un véritable luxe pour les expatriés français de pouvoir rire au théâtre dans leur langue”, estime Jean-Louis Darville, lui-même comédien, passé par le Cirque du Soleil et l’Actors Gang, et installé depuis vingt ans aux Etats-Unis. “L’humour est une part importante de notre patrimoine auquel nous sommes tous attachés». C’est d’ailleurs la raison pour laquelle il a fondé en 1998 sa propre troupe de théâtre francophone. « Tout a commencé avec une pièce de Ionesco que j’avais décidé de monter en français avec une amie actrice, Lisa Forté » (ndlr : toujours comédienne au sein de la troupe) au Stages Theatre. Nous avons fait salle comble et avons vite compris qu’il y avait une réelle urgence à créer un théâtre professionnel français à Los Angeles ». A part le théâtre Raymond Kabbaz du Lycée Français, l’offre est en effet limitée dans la Cité des Anges.

La troupe qui se produira à l’Assistance League Playhouse du 13 au 16 décembre prochain, compte dix comédiens professionnels tous francophones, dont la plupart ont quitté l’Hexagone pour tenter leur chance à Hollywood. Leur spécialité : la comédie, des Précieuses Ridicules de Molière à Dormez Je le Veux de Feydeau, en passant par Le Père Noel est une ordure ou encore Les Fables de la Fontaine. « Il y a une spécificité de l’humour français. Il est peut-être plus grinçant, plus vache. Les happy endings sont rares. D’ailleurs, il y a certainement des choses qui échapperont  aux américains qui vont venir voir la pièce (ndlr : la pièce est sous-titrée en anglais)», souligne Jean-Louis Darville.

Une invention de toutes pièces 

Nouveauté par rapport aux années précédentes : les comédiens joueront une pièce écrite par leur propre metteur en scène. L’histoire : après avoir égaré des passeports, ce qui donne lieu à un scandale médiatique, le Consulat de Los Angeles reçoit la visite de l’un des inspecteurs consulaires les plus coriaces de France. L’équipe du consulat va tout faire pour l’empêcher de mener à bien son enquête. “J’ai situé l’action au consulat un peu par hasard car je voulais que la pièce se déroule sur un lieu de travail, dans un contexte français à Los Angeles. Or il n’y a pas beaucoup d’autres entreprises qui réunissent autant de Français que le Consulat, explique Jean-Louis Darville. Et puis c’est une institution à laquelle tous les expatriés sont attachés, qui les relie et sur laquelle ils ont tous un avis”.

Quant aux faits relatés dans la pièce, son metteur en scène répète à l’envi qu’ils sont complètement fictifs et qu’il ne s’agit en rien d’une critique du fonctionnement du consulat. “Tout est né de mon imagination. Ce n’est pas du tout une pièce polémique ni un règlement de compte politique. J’ai envoyé la pièce à lire au Consul. Il m’a dit qu’il n’avait rien contre  mais qu’il ne pouvait pas nous soutenir car cela mettait en cause l’institution et ses salariés, ce que je comprends, ajoute le metteur en scène. L’idée de cette pièce, c’est surtout de pouvoir se retrouver entre Français expatriés et de passer un bon moment en riant de nous-mêmes et de nos travers. C’est léger, délicieusement franchouillard et sans prise de tête”.

"Cosmic Suckerpunch", le rock franco-américain au Boardner's Club

Ils ont déjà fait la première partie de Muse à Outside Lands à San Francisco, joué au festival de Bonnaroo dans le Tennessee ainsi que dans plusieurs clubs célèbres de Los Angeles (dont le Roxy). Le 11 décembre, le groupe de rock américain Cosmic Suckerpunch donnera un concert au Boardner’s Club.

Pendant la soirée, Ari Welkom, Adam Timmerman et les deux frères jumeaux français Fabien et Sebastien Hameline joueront des morceaux issus de leur premier album “Good Morning”. Leur style, influencé entre autres par la musique de Led Zeppelin, Radiohead et Pink Floyd, intègre des éléments de néo-psychédélique avec une touche de hard rock. Outre le concert de Cosmic Suckerpunch et une projection de leur nouveau clip, “Cosmic”, les spectateurs pourront apprécier la performance du groupe de musique “Kiss the Salt”, en ouverture de la soirée.

"Casse-noisette" en spectacle de marionnettes

Chaque année, des milliers d’Américains envahissent les salles de spectacle pour assister au fameux ballet “Casse-noisette”, sur la musique de Tchaïkovski.

Du 5 décembre au 27 janvier, Bob Baker (et ses marionnettes) propose sa propre version du célèbre ballet russe. Il raconte l’histoire de Clara et de son casse-noisette en utilisant plus de 100 marionnettes magnifiquement habillées. Les spectateurs en culotte-courte pourront s’asseoir par terre afin d’être juste devant les marionnettes.

Ayant appris le métier de marionnettiste pendant l’enfance, Bob Baker est aujourd’hui au sommet de son art. Il a même été le conseiller de Walt Disney.  Comme ses autres performances, qui charment le public depuis des années, “Bob Baker’s Nutcracker” promet d’être l’un des spectacles les plus courus de Los Angeles en période hivernale.

A New York, on tue trois fois plus qu'à Paris

Une journée sans meurtre à New York et la presse s’enflamme. Pour la première fois “depuis des décennies” la police de New York n’a enregistré aucun crime violent pendant toute une journée, celle du lundi 26 novembre. Un évènement qui est l’occasion pour tous de souligner la baisse continue du crime à New York depuis quinze ans. Cette année, Big Apple va enregistrer son année la plus sûre depuis 1960, aux alentours de 400 homicides volontaires (contre 2.245 en 1990).

Et pourtant, comparée à Paris, New York reste une ville beaucoup plus dangereuse, trois fois plus disent les statistiques. En 2011, Paris a enregistré 42 homicides, soit un taux de 1,9 pour 100.000 habitants, contre 6,2 pour 100.000 pour la même année 2011 à New York où 515 victimes d’homicides avaient été dénombrées. A l’échelle du Grand Paris (départements 75, 92, 93 et 94), dont la taille est plus comparable à New York, le total est de 107, soit un taux encore plus faible de 1,64 pour 100.000 habitants.

Une soirée riche en bijoux chez Kisan

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Le 7 décembre à SoHo, la boutique Kisan organise une soirée spéciale en présence de la créatrice  de bijoux française « Poupette ».

Géraldine Roucaute alias « Poupette » présentera sa collection de bijoux ainsi qu’une nouvelle ligne créée exclusivement pour Kisan. Elle présentera aussi une série de pièces uniques à l’ occasion de cette soirée, qui sera l’occasion de faire quelques achats de Noël en bénéficiant d’une remise de 10%.

Les clients recevront un cadeau pour chaque pièce achetée. Des cocktails seront servis.