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Maison Harlem, le goût de la France sur la 127e rue

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« Un petit français ». C’est ainsi que l’on surnomme le restaurant Maison Harlem, qui a fait le pari de s’imposer, comme son nom ne l’indique pas, dans le nouveau Harlem.

Ce petit restaurant 100% français se situe au coin de la 127e rue et Saint Nicholas Avenue. Depuis son ouverture il y a deux mois à peine, il ne désemplit pas. “Les gens se plaignaient qu’il n’y avait aucun resto vraiment bon dans le coin. On a voulu leur prouver le contraire“, confie Samuel Thiam, copropriétaire des lieux.

Le succès est d’autant plus bienvenu que Samuel Thiam n’a jamais ouvert de restaurant. Son truc, c’est plutôt la danse. Il y a dix ans, il s’installe à New York et rejoint les troupes de Broadway. Mais à 41 ans, il a eu envie de se réinventer. Avec son ami, le chef Romain Bonnans, propriétaire de quatre restaurants dans le sud de Manhattan, il décide de conquérir Harlem. “Le quartier a beaucoup changé. Harlem n’est pas encore sorti du tunnel, mais on voit la lumière au bout. C’est aussi grâce à ces petits business qui contribuent à remettre Harlem sur la carte, y compris pour les New-Yorkais eux-mêmes“, assure Samuel Thiam.

Au début, Romain se demandait si ce n’était pas trop chaud comme coin. Mais j’ai réussi à le convaincre. Quelques semaines plus tard, c’était signé!“, ajoute-t-il.

J’ai grandi dans le sud de la France, dans une famille de restaurateurs. La gastronomie, les vins, la bonne bouffe, le contact avec les gens… Tout ça est inscrit dans mon identité!“, raconte Romain Bonnans.

Avec ses briques et son coq aux couleurs du drapeau national, ses posters d’Alain Delon et Brigitte Bardot, Maison Harlem propose une cuisine traditionnelle française, avec un menu varié et une liste de vins de qualité. Parce que “la cuisine française, ce n’est pas que français“, on trouve aussi bien des “Classic coq au vin” que des “Merguez de Barbes”. Notre coup de cœur: le croustillant de chèvre.

Une expo d'art dans un tour abandonnée du Queens

Il faut se rendre à l’exposition d’art contemporain « How Much Do I Owe You ? » (Combien je vous dois ?), à Long Island City, dans le Queens, pour deux raisons : l’art et le lieu.

Ce dernier n’est autre qu’une imposante tour prenomée “Clock Tower”. Elle fut autrefois la plus haute du Queens, et abritait une banque jusqu’en 1984, avant d’être fermée. Ce petit bijou sera ré-ouvert au public pour l’occasion.

Le projet est celui de l’association No Longer Empty, qui fait revivre des lieux désaffectés grâce à l’art. « How much I owe you ? » a pour objectif de proposer une réflexion sur la finance et la dette on-ne-peut plus utile ces temps-ci. Au menu : des installations interactives, des œuvres olfactives, des tirelires en forme de petit cochon en verre avec une symbolique bien particulière, des courts-métrages… A noter le film de l’artiste Orit Ben-Shitrit sur l’endettement d’un groupe d’artistes américains. Au total, le travai de vingt-six artistes provenant de 15 pays sont exposés.

L’exposition dure jusqu’au 13 mars. Et comme à son habitude, No Longer Empty en profite pour organiser des ateliers, ouverts à tous, ainsi qu’une série d’événements pour les enfants.  N’oubliez pas de faire un tour par les coffres-forts de l’ancienne banque. Histoire de tuer le suspense : elles sont vides.

Caudalie ouvre deux boutiques à New York

Ambiance chaleureuse et atmosphère apaisante,  murs blancs teintés de prune, assise en bois de chêne pour être transporté au cœur des vignes du Bordelais. Au milieu de la salle, un comptoir aux allures de tonneau. Bienvenue dans la nouvelle boutique de Caudalie, sur Bleecker Street.

Déjà forte d’un spa au légendaire Plaza Hotel, la marque vient d’ouvrir deux boutiques à New York – ses premières au monde: en plus de celle de Bleecker Street, ouverte depuis début décembre, une autre a vu le jour sur Lexington Avenue, dans l’Upper East Side, en novembre. «Contrairement à la France, Caudalie n’était pas aussi connue aux Etats-Unis. J’ai décidé d’ouvrir une boutique pour expliquer et raconter l’ADN de notre marque», raconte Mathilde Thomas, co-fondatrice de la marque avec son mari Bertrand.

L’ADN de la marque, c’est la « cosm-éthique » : comprenez l’usage de produits naturels, issus de la vigne, au service de la beauté. Tout commence en 1993 par une rencontre avec le professeur Joseph Vercanteren qui fera découvrir aux Thomas les propriétés anti-oxydantes de certaines molécules cachées dans les pépins de raisins. Le couple a l’idée de créer des cosmétiques anti-âge à base d’actifs issus de la vigne. Dix sept ans après sa création, en 1995, la marque est devenue un incontournable de la beauté à la française, exportant notamment ses gommages au Merlot et ses « Vinothérapies » aux Etats-Unis comme en Chine, en passant par l’Espagne et la Turquie. «Nous avons été précurseurs dans ce domaine», glisse Mathilde Thomas.

La marque espère attirer les New-Yorkaises dans ses nouvelles boutiques grâce à des produits et services exclusifs, comme un gommage personnalisé nommé « Fresh Crushed Cabernet » et un message des mains à base de produits naturels. A votre beauté !

Un festival de chants de Noël à la Légation française d'Austin

Que serait Noël sans les fameux “Christmas Carols” ? Pour présenter les classiques du genre, le musée de la Légation française à Austin organise un festival de chants de Noël, le samedi 15 décembre.

A partir de 14h, les chorales d’écoles primaires locales chanteront une sélection de « Christmas carols ». Proposant des snacks et des activités pour les enfants, l’évènement se veut familial.

Le festival est aussi l’occasion de visiter la bâtiment de la Légation, cette ancienne représentation diplomatique de la Monarchie de Juillet auprès de la République du Texas. L’immeuble a été construit en 1841. Depuis 1969, il est inscrit au Registre national des sites historiques, soit la liste officielle du gouvernement fédéral américain des lieux méritant d’être préservés.

Une conférence à Austin sur l'énergie en France et aux Etats-Unis

Les questions d’énergie sont particulièrement sensibles en France et aux Etats-Unis. Les deux pays partagent un ensemble de préoccupations liées à l’abondance, la sécurité, la fiabilité et la propreté de leur énergie, mais y répondent par des stratégies divergentes.

La grande conférence  “Comparative Energy Policies and Technologies in France and the USA” du 17 décembre, organisée l’Université du Texas à Austin et la fondation CleanTX, qui milite pour une énergie propre au Texas, réunira des représentants français et américains des milieux universitaire, industriel, gouvernemental et médiatique pour discuter des politiques énergétiques et des progrès technologiques des deux pays.

Conçue comme une plateforme d’échange d’expériences, la conférence comporte quatre débats publics : “La production du gaz de schiste et ses impacts mondiaux”, “Le secteur de l’énergie : nucléaire, smart grid, les énergies renouvelables et l’efficacité”, “Politique énergétique” et “La couverture de l’énergie dans les médias”. Parmi les nombreux conférenciers et experts se trouvent Clifford Krauss (New York Times), Prof. Ernie Moniz (MIT), Dr. Patrice Geoffron (Université Paris-Dauphine) et  Jean-Baptiste Siproudhis (Electricité de France – EDF).

La Mission laïque française se renforce en Amérique du Nord

L’enseignement français à l’étranger ne serait pas ce qu’il est sans la Mission laïque française (MLF).

Sur les plus de 480 établissements scolaires français fonctionnant hors de l’Hexagone, l’association en regroupe près de 125. Certains, comme l’école internationale de Dallas, sont en gestion directe. D’autres adhèrent au réseau (gestion administrative et pédagogique), s’y affilient (soutien pédagogique uniquement), s’y associent (appui administratif et pédagogique) ou dépendent de la MLF pour leur conventionnement. Au total, avec les écoles d’entreprise et la récente entrée du lycée français de Toronto, pas loin de la moitié des établissements français de la MLF se trouvent en Amérique du Nord.

Pour une meilleure gestion

Pour mieux s’acquitter de ses missions d’homologation et de développement des établissements, de recrutement et de formation des enseignants dans la région, la Mission laïque française vient de déposer les statuts de l’association MLF America, qui sera basée à Dallas. « Nous attendons maintenant qu’elle soit reconnue comme organisation à but non-lucratif », précise Jean-François Genay, le délégué de la Mission laïque française en Amérique du Nord. La région est la première à se doter d’une structure autonome. « Paris ne peut s’en occuper directement. Nous avions besoin de décentraliser un peu », commente le délégué de l’association.

Fondée au début du XXe siècle à l’initiative d’un instituteur et inspecteur des écoles ayant travaillé en Tunisie, à La Réunion et à Madagascar (Pierre Deschamps, 1873-1958), la Mission laïque française visait à « faire contrepoids à l’enseignement diffusé par les congrégations religieuses ». Mais aussi, dès le départ, à combler « le manque d’éducation adaptée aux besoins réels de la population » hors de France métropolitaine, explique la MLF. Après avoir été dissoute pendant la Seconde Guerre Mondiale et avoir traversé non sans mal les crises provoquées par la décolonisation au Proche-Orient, l’organisation s’est fortement développée à partir des années 1980, notamment en Amérique du Nord. L’association a déjà un coordinateur dans la région en la personne de Pierre Vittoz, directeur de l’école internationale de Dallas.

Parmi les atouts de la nouvelle structure : la possibilité de collecter des fonds auprès de son réseau de partenaires et d’anciens. « Nous avons beaucoup d’anciens élèves au Liban venus s’installer aux Etats-Unis », glisse Jean-François Genay.

Différend au PS sur la déchéance de la nationalité pour les exilés fiscaux

Et on reparle de l’imposition des Français de l’étranger. Après l’annonce de l’installation de Gérard Depardieu en Belgique, le député PS du Cher, Yann Galut, a proposé de créer un impôt sur les Français établis hors de France et de déchoir de leur nationalité ceux qui s’y soustrairaient.

L’élu veut “adopter une loi, à l’image de ce qui se fait pour les ressortissants américains, soumettant à l’impôt les exilés fiscaux. Faute de règlement du différentiel entre les impôts du pays qui les accueille et les impôts qu’ils auraient acquittés en France, ces exilés fiscaux se verraient déchus de leur nationalité française“, dit-il.

L’idée d’une taxation différentielle n’est pas nouvelle. Elle a été mise en avant par Nicolas Sarkozy et Jean-Luc Mélenchon   lors de la campagne présidentielle de 2012. Mais les candidats n’étaient pas allés jusqu’à proposer de retirer leur nationalité aux fraudeurs. La remise en cause de la séparation entre nationalité et imposition fait ponctuellement son apparition dans la bouche de certains élus de droite comme de gauche, comme Edouard Courtial, l’ancien secrétaire d’Etat aux Français de l’étranger sous Nicolas Sarkozy. Celui-ci avait co-signé un projet de loi visant à déchoir de leur nationalité les Français non-imposés en France avant de changer de changer d’opinion.

La proposition de M. Galut a entrainé des réactions de scepticisme jusque dans son propre camp. La députée des Français d’Amérique du Nord, Corinne Narassiguin, a estimé qu’elle était “extrêmement problématique à plusieurs égards“. “D’une part parce qu’elle stigmatise les Français de l’étranger, en faisant peser sur leurs épaules l’éternelle suspicion d’exil fiscal (…) D’autre part, la déchéance de la nationalité pour les exilés fiscaux irait à l’encontre de l’esprit de l’impôt français, qui sépare très clairement soumission de l’impôt et nationalité“, écrit-elle dans une tribune intitulée “Déchéance de la nationalité pour les exilés fiscaux: Yann, tu fais fausse route! parue dans le Huffington Post.

Rien ne me paraît plus scandaleux que de voir des personnes ayant le plus souvent largement bénéficié de la solidarité nationale s’y soustraire dès lors qu’ils n’ont plus envie d’y contribuer, poursuit-elle. Mais je refuse que l’on stigmatise les Français de l’étranger et je refuse que l’on dénature l’esprit de l’impôt français en le liant à la nationalité“.

Et le vainqueur de notre tirage au sort pour "La zizanie au consulat!" est…

Le vainqueur de notre tirage au sort pour assister à la première de “La zizanie au consulat” est :

Daphné HONG

Bravo!

La pièce sera jouée, du 13 au 16 décembre à l’Assistance League Playhouse, en français, par la compagnie Euro-Théâtre. Elle est mise en scène par Jean-Louis Darville, le directeur de la compagnie fondée en 1998, et raconte la rencontre entre l’inspecteur consulaire le plus rigide de France et le personnel du Consulat de France à Los Angeles, empêtré dans un scandale médiatique après la perte de passeports. Fou rire garanti !

Pour prendre vos places, c’est ici

 

Santa Barbara à l'heure de l'Apéro

Quand un Breton rencontre une Américaine d’origine sicilienne, de quoi parlent-ils ? Réponse : de nourriture bien sûr ! Épicuriens dans l’âme, Dana Blaudeau et son mari Frédéric partagent une passion commune pour la gastronomie européenne, notamment le fromage et le bon vin.

Après s’être trouvés il y a trois ans à Santa Barbara, Dana a décidé de lancer sa propre entreprise, aidée par son mari. En septembre dernier est né “L’apéro Gourmet”, un business-concept centré autour de l’Apéritif, si cher aux Français. Dana Blaudeau  compose et livre de belles assiettes de fromages (largement français), de charcuterie et de fruits, à déguster à l’heure de l’apéro. Ses clients : des entreprises en majorité mais aussi des particuliers, souhaitant organiser un évènement privé festif, un anniversaire ou un colloque. Les prix varient entre 15 et 25 dollars l’assiette, laquelle peut être personnalisée selon les goûts de chacun. Les assortiments s’accompagnent en général d’un petit pot de miel, d’olives, de noix, de fruits secs ou encore de moutarde française.

L’idée est partie du constat que les Américains lorsqu’ils dégustent un vin, mangent rarement quelque chose avec”, explique Frédéric Blaudeau, également vice-président de l’agence de design Lifestyle Design. “C’est d’autant plus vrai dans des endroits comme les wineries qui ne peuvent pas vendre de la nourriture et n’en proposent donc pas lors d’une dégustation”. Un constat que Frédéric et Dana Blaudeau ont pu faire personnellement à chaque fois qu’ils se sont rendus dans une entreprise vinicole pour y goûter du vin. “Nous venions avec du thon, des sardines ramenées de Bretagne dont je suis originaire et que j’ai fait découvrir à ma femme. Les gens à la winery étaient curieux, intrigués, nous demandaient ce que nous mangions”.

Dana et Frédéric réalisent alors qu’il existe un vrai marché pour l’Apéritif en Californie. “Comme les entreprises vinicoles ne sont pas habilitées à vendre de la nourriture et que nous n’avons pas de notre côté la licence nécessaire pour vendre de l’alcool, nous sommes parfaitement complémentaires”.

Apéro avec vue sur les vignes et la mer

Depuis l’Apéro Gourmet travaille main dans la main avec plusieurs wineries de la région. De la Summerland Winery à Deep Sea en passant par Au Bon Climat ou encore The Painted Cabernet“Nous ne nous contentons pas de vendre nos produits. Nous conseillons aussi les wineries en leur suggérant une sélection de certains mets qui iraient bien avec certains vins”L’Apéro Gourmet joue également la carte de la pédagogie et de l’éducation aux saveurs, grâce à de petits drapeaux plantés dans la nourriture et qui expliquent son nom, sa provenance et parfois son histoire.

“Nous voulions faire découvrir le concept de l’apéritif aux américains, ramener d’Europe ce moment convivial, simple et décontracté, entre 5 et 7, qui permet à tout le monde de se retrouver autour de produits de qualité, en admirant la mer ou les vignobles”, ajoute Frédéric Blauteau.

Depuis son lancement, le concept rencontre un franc succès. Dana Blaudeau fourmille de projets. Elle cherche des investisseurs en Californie pour l’aider à acheter un vieux camion Citroën des années 50 qui lui permettrait d’effectuer un circuit de livraison des différentes wineries. Elle envisage également de promouvoir le concept de l’apéro sur les marchés, dans le cadre des Farmers Markets locaux. Le couple s’est aussi lancé à la recherche d’artisans fromagers californiens avec lesquels il pourrait travailler. Enfin, Dana et Frédéric envisagent même de développer le concept dans d’autres zones viticoles de Californie, comme la Nappa Valley ou Sonoma.

Ibrahim Maalouf et son fabuleux quintet au théâtre Raymond Kabbaz

Ce concert a été annulé

Ibrahim Maalouf, trompettiste star, et son fameux quintet, seront au théâtre Raymond Kabbaz le 10 janvier, pour commencer 2013 en beauté et en musique.

Né à Beyrouth, le musicien-compositeur, qui joue aussi du piano, est le fils du trompettiste Nassim Maalouf et le neveu de l’écrivain Amin Maalouf. Il commence la trompette à l’âge de 7 ans. A 9 ans, il est en tournée européenne et au Moyen-Orient avec son père, l’inventeur de la trompette à quatre pistons que Maalouf fils est le seul au monde à maitriser. Ce jeune talent de la musique commence sa carrière dans le classique et joue le 2e Concerto Brandebourgeois de Bach, réputé dans les cercles musicaux comme l’œuvre la plus difficile à interpréter pour un trompettiste. Maalouf participe (et remporte) plusieurs concours de musique et prix, dont la Victoire  de la révélation instrumentale de l’année aux Victoires du Jazz de 2010, et a sorti quatre albums.

Sur la scène du théâtre Raymond Kabbaz, il sera accompagné par son compère Frank Woeste, Larry Grenadier (à la basse), Mark Turner (saxophone) et Clarence Penn (percussion).

Sortie de "De rouille et d'os", le dernier Audiard, avec Marion Cotillard

Le dernier film de Jacques Audiard, “De rouille et d’os” (“Rust and Bone”), est sorti dans les salles obscures de Los Angeles.

Le Belge Matthias Schoenaerts (Bullhead) et Marion Cotillard jouent les premiers rôles de ce film, adaptation du recueil de nouvelles Rust and Bone. Le premier joue Ali, un marginal qui s’installe avec son fils Sam (qu’il connait à peine) à Antibes. Après une bagarre en boite de nuit, il rencontre Stéphanie (Marion Cotillard), dresseuse d’orques au parc aquatique d’Antibes. Ces deux personnages que tout oppose vont se rapprocher après un terrible accident dont est victime Stéphanie: attaquée par l’un de ses orques, elle perd ses deux jambes.

Sur une musique du maitre absolu de la bande-son, Alexandre Desplat, ce film est le sixième long-métrage de Jacques Audiard. Il est sorti en France en mai.

Voir la bande-annonce ci-dessous
Video: Rust and Bone: Exclusive trailer

Soirée networking à Flute Midtown

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La soirée n’a pas d’autre objet que d’échanger entre Français de New York. Le groupe Linkedin “Français de New York”, créé à l’initiative de Jérôme Khaski, de ASG Capital, se retrouve pour la première fois “off line” dans le bar à champagne Flute Midtown, 205 West 54th Street New York, NY 10019. Apportez votre stock de cartes de visite!
Le lundi 17 décembre, à partir de 19h.