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Alanis Morissette, une voix d'ange au Fox Theater

L’auteur-compositeur-interprète canado-américaine, Alanis Morissette est de retour sur scène pour une tournée internationale, le Guardian Angel Tour. La chanteuse emblématique des années 1990 se produira sur la scène du Fox Theater, à Ponoma, mercredi 26 septembre.

Alanis Morissette est devenue un phénomène international en 1995 grâce à son album Jagged Little Pill, vendu à plus de 30 millions de copies. Les singles “You Learn” et “Hand in My Pocket” pulvérisent les charts, et Alanis Morissette part en tournée pendant trois ans. La chanteuse connue pour sa voix douce et sa discrétion s’est depuis imposée comme une artiste phare de sa génération.

Son huitième disque, Havoc and Bright Lights, est sorti fin août 2008. Il contient le single “Guardian”, que vous avez pu découvrir sur les ondes depuis mai dernier.

Infos pratiques : 

Alanis Morissette en concert, mercredi 26 septembre, à 20h. Au Fox Theater, 303 S. Garey Ave, à Ponoma. Tickets à 35$ et 45$. Plus d’informations ici

Gotye en concert au Radio City Music Hall

“Somebody that I used to know”, la chanson phare de 2011-2012 n’a pas pu vous échapper. Son auteur et interprète belgo-australien, Gotye, sera en concert au Radio City Music Hall, mardi 25 septembre.

Le chanteur australo-belge Gotye est devenue une star internationale en quelques mois, grâce à ce tube. La chanson est le premier extraitde l’album Making Mirrors, vendu à 2 millions d’exemplaires. Depuis avril 2012, le single a envahi les ondes à travers le monde. Il s’est classé numéro un dans une vingtaine de pays, dont la France, où il est resté en tête du Top 50 pendant neuf semaines.

Les fans retrouveront le chanteur mardi 25 septembre dès 20h. Il sera sur scène aux côtés de l’auteur-interprète australienne Missy Higgins et du musicien originaire d’Afrique du Sud, Jonti.

"Paris-Dakar", la nouvelle crêperie de Bed-Stuy

Cet été, un nouvel établissement du nom de “Paris-Dakar” a ouvert ses portes dans le quartier de Bedford-Stuyvesant à Brooklyn. Sa particularité? Des crèpes, croissants, pains au chocolat et autres à déguster accompagné d’un café… ou d’un jus de bissap!

Au coin des avenues Macon et Nostrand, un petit café aux volets verts attire l’attention. Une petite Tour Eiffel s’élève entre le “Paris” et le “Dakar“. A l’intérieur, les formes des femmes africaines peintes sur un petit tableau bleu rappellent celles des bouteilles d’Orangina et de Perrier disposées derrière les  vitrines.

Ce café, c’est le produit de Paris et Dakar”, explique Mouna Thiam (ci-contre), la gérante et fondatrice du café. Sur les murs du petit café, un large tableau noir présente toutes sortes de crêpes. Nutella, Pomme Cannelle, Epinard fromage, Poulet sauce barbecue … il y en a pour tous les goûts. Les patisseries mille-feuilles, éclairs, tarte au pomme et les croissants nous plongent en plein Paris, tandis que le Bissap, un jus sénégalais, rappelle Dakar.

Mouna Thiam est Parisienne originaire du Sénégal. Elle a découvert New York lors d’un échange étudiant et s’y est installée pour travailler.

Du haut de ses 33 ans, la jeune autodidacte, qui habite maintenant à Bed-Stuy, a toujours rêvé d’ouvrir “son petit café“. Un soir lorsqu’en rentrant chez elle, elle voit que le local est disponible, elle n’hésite pas une seconde.

C’est une occasion inespérée pour cette jeune femme ambitieuse qui “a toujours fait des crêpes“.”Sur Bed-Stuy, il manque de la cuisine française, donc j’ai décidé d’ouvrir une crêperie, patisserie, café“, raconte-t-elle.

Les patisseries sont fournies par la pâtisserie Ceci-Cela. “Que du local“, précise Mouna Thiam. Les crêpes, elles, sont faîtes sur place. Si Mouna Thiam a composé le menu elle-même, son attention ne se porte pas exclusivement sur la préparation des recettes. “Je sais gérer une boutique“, affirme en toute sincérité celle qui a trois employés à ses commandes.

Et il semblerait qu’elle ait raison. Le café a ouvert ses portes il y a moins de deux mois et a déjà ses habitués. Geneva Farrow, une jeune graphiste qui habite dans le quartier, raconte qu’elle vient ici “au moins deux fois par semaine, raconte-t-elle. L’atmosphère est sympa et il y a un très bon accueil“, ajoute Misty Gradinger, venue aujourd’hui avec sa petite fille et son mari.

Mouna Thiam a son idée concernant les raisons de ce succès: “L’atmosphère est conviviale et on vend des produits différents de ce qu’on peut trouver autour (…) Il n’y a pas de concurrence directe dans le quartier”, ajoute-t-elle.

A long terme, la jeune entrepreneuse aimerait ouvrir deux ou trois autres boutiques à Bed-Stuy. “Il y a une vraie demande à Bedford-Stuyvesant, on sent que les gens attendaient ça, estime-t-elle. Ce genre de boutique change énormément le quartier (…) je suis contente d’avoir eu cette initiative“, conclut la Parisienne.

Un rabbin pour guide…touristique

Difficile de ne pas les remarquer. « C’est aussi américain que l’apple pie» s’amuse d’ailleurs le « rabbi »  sur la vidéo de présentation du « Jewish Hassidic Walking Tour ». On estime que les juifs orthodoxes hassidiques seraient près de 100.000 à New York. Longues barbes et manteaux noirs, femmes péruquées et ribambelles d’enfants… ils intriguent, mais qui sont-ils ? Comment vivent-ils ? Si vous avez soif de connaissance, le Jewish Hassidic Walking Tour est  l’occasion d’en apprendre un peu plus. Immersion dans une autre réalité.

10h. Le rendez vous est fixé dans le quartier de Crown Heights, Brooklyn. A la sortie du métro, Manhattan n’est déjà plus qu’un vague souvenir. Commerces juifs exclusivement, restaurants casher, uniformité vestimentaire: même si tout le monde vous ignore, ici, votre blouson violet et vos baskets rutilantes font un peu tâche. Ce décor, cette ambiance ne trompent pas: Crown Heights est un haut-lieu de la communauté ultra-orthodoxe Loubavitch. C’est dans une petite bibliothèque vieillotte que l’on rencontre Beryl Epstein, notre guide pour cette visite d’un autre genre.

Voilà plus de 30 ans que ce rabbin de 55 ans s’est converti en guide… touristique. Elevé dans une famille juive laïque, il quitte en 1977 sa ville natale dans le Tennessee pour rejoindre Crown Heights. « Quelque chose me manquait », confie t-il. Constatant le déficit d’information qui entoure la population Loubavitch, il fonde en 1982, le Chassidic Discovery Welcome Center et dans la foulée, le Jewish Walking Tour. Depuis, de la synagogue au deli casher, il promène un public curieux le long de Kingston Avenue.

Un rabbin répond à vos questions

Pourquoi les femmes portent des perruques? Et les bouclettes des hommes, c’est quoi ? Premier intérêt de la visite : profiter de la rencontre pour poser les questions qui vous taraudent. Beryl Epstein y répondra sans complexe (et non sans humour) tandis qu’il expose les grands principes qui régissent sa communauté. Stricte interdiction des médias, séparation dès le plus jeune âge et jusqu’au mariage des garçons et des filles, étude de la Torah et prière dix heures par jour, sept jour sur sept… dans l’univers hassidim, l’austérité et l’isolement constituent un rempart au monde contemporain, considéré comme le pire ennemi de “l’élévation vers Dieu”.

Qu’il déconcerte ou qu’il fascine, l’exposé ne laisse pas indifférent. Il permet à un public non averti de se familiariser aux traditions d’une communauté séculaire, et pas complètement réfractaire à la technologie…  tant qu’elle serve la diffusion du “message”. Depuis plusieurs années par exemple, la synagogue du coin de la rue est branchée en permanence sur une webcam connectée au site www.770live.com. Ou comment assister à sabbat depuis son canapé.

De la synagogue à la mikveh : des lieux secrets ouverts aux public

Mais ce Jewish Tour n’est pas seulement l’occasion de bavarder. C’est aussi le moyen d’entrer par la petite porte dans les lieux stratégiques de la vie des Hassidim. On y découvrira, dans un banal petit immeuble, une véritable entreprise: atelier d’écriture de la Torah et fabrique de Tefilins (ces petites boites noires que les religieux s’attachent au somment du crâne et au bras), des hommes travaillent en silence, remarquant à peine l’intrusion des touristes.

Autre visite privilégiée: la synagogue mais aussi la “mikvah”. Ce bâtiment, réservée aux femmes, permet les ablutions nécessaires aux rites de pureté. Chaque mois, au moment des menstruations, les femmes ont l’obligation de venir s’y baigner. Un lieu intime, où la discussion dérive naturellement sur le sujet des rapports hommes- femmes.

13h. La visite s’achève par un déjeuner typique au deli du coin. Entre deux plats casher, le guide racontera son histoire… et avouera non sans malice ses projets d’avenir: un site de rencontre. Réservé aux Hassidim, naturellement.

 

Le New York Film Festival fête ses cinquante ans

Le New York Film Festival (NYFF) réunira du 28 septembre au 14 octobre une incroyable sélection des grandes sorties de 2012. D’autres sections sont aussi programmées pour honorer la longévité du festival et les oeuvres qu’il a accueillies au fil des années.

Pour honorer le demi-centenaire d’excellence cinématographique du NYFF, trois semaines de projections et d’évènements ont été programmées : nouveaux chefs d’oeuvres, films de l’année, rétrospectives… et galas de luxe – dont Nicole Kidman et Richard Peña sont les invités d’honneur cette année.

Pas moins de trente-trois nouveaux films sont projetés dans la section “Main Slate”, dont les très attendus Life of Pi de Ang Lee (qui ouvre le festival), The Paperboy de Lee Daniels, Barbara de Christian Petzold, Holy Motors de Leos Carax, ou encore Like someone in love d’Abbas Kiarostami. D’autres sections sont aussi planifiées : “Special Events”, “Cinema reflected”, “Masterworks”, et “On the arts”. Des films plus anciens – dont une splendide version restaurée de Laurence d’Arabie, du même âge que le festival – des courts-métrages et documentaires seront aussi projetés dans le cadre de ces quatre catégories spéciales.

La vente de billets à l’unité s’ouvrira le 9 septembre. Pour un prix allant de 15$ à 24$, les participants peuvent assister à une projection dans l’une des trois salles du festival : le Alice Tully Hall, le Walter Reade Theater, ou le Elinor Bunin Monroe Film Center. D’autres options sont aussi disponibles pour les grands cinéphiles, dont le “Cinephile ticket package” à 200$, qui comprend le droit d’entrer à dix projections du Alice Tully Hall. Pour les plus fortunés, il existe la possibilité d’acquérir un pass gold, silver ou bronze, à partir de 15 000$. À vous places de cinéma illimitées, tables VIP aux galas, dîners privés avec Nicole Kidman…

Photo : Life of Pi (Ang Lee, 2012)

Centenaire culinaire au Consulat

On la connait peu en France, mais c’est grâce à elle que les Américains ont appris à aimer la cuisine française. Avec un mois de retard, les Dames d’Escoffier New York (LDNY) se joignent à l’American Institute for Food and Wine (AIWF) pour fêter les cent ans de Julia Child au Consulat de France de New York.

Décédée en 2004, la grande dame fit entrer l’art de la sole meunière et du boeuf bourguignon dans les foyers américains grâce à ses émissions télévisées, dont The French Chef, créée en 1963. Le centenaire de sa naissance était un évènement à ne pas manquer pour Les Dames d’Escoffier, une association qui regroupe les femmes qui ont fait leurs preuves dans le domaine de la cuisine, du vin et de l’hôtellerie.

Pour l’occasion, le traiteur Diane Gordon Catering organise la réception. Le menu choisi a été inspiré par “Mastering of the Art of French Cooking“, un des livres cultes de Julia Child, dont le professionalisme et le joie de vivre en ont impressionné plus d’un.

Les vins ont été choisis et apportés par Deutsch Family Wine & Spirits et Southern Wine & Spirits. Sylvia Weinstock, une maître dans l’art de faire des gateaux en a réalisé un en l’honneur de Julia Child.

Crédit Photo: LDNY.

Des éléphants, des guépards et un barbecue au Dallas Zoo

La Dallas Zoo organise un Labour Day original qui plaira aux petits comme aux grands. Au programme: un barbecue géant et des animaux venus tout droit d’Afrique…

Le 1 septembre, toute la famille est conviée à picniquer sous les tentes desquelles on peut voir la réserve des Giants of the Savanna. Cet habitat naturel a ouvert en mai 2010 et regroupe des éléphants, des giraffes, des zèbres, des lions, des autruches et même des guépards.

Le picnic sera à la hauteur de l’évènement puisqu’il y aura des hamburgers, des hot-dogs, des frites, des cookies, de la lemonade et du ice-tea… en illimité! Après le diner, tout le monde est invitée à aller nourrir les giraffes et admirer les éléphants.

Infos pratiques:

Labor Day Cookout: 1 septembre, de 11h à 14h. 9,99$ pour les 3 ans et plus. 650 South R. L. Thornton Freeway, Dallas. Plus d’informations ici.  

Crédit Photo: Dallas Zoo

Un week-end chez les cowboys

Pour la septième année consécutive, Bandera se plonge dans une ambiance wild west plus vraie que nature ! La petite ville située à l’ouest d’Austin lance du 29 août au 2 septembre le festival Celebrate Bandera!

Compétitions de tir, défilés de costumes, et rodéos… Tout est prévu pour transporter le public dans un film de John Wayne.

Ne manquez pas la finale de rodéo samedi soir, la “messe des cowboys” du dimanche matin, ou encore la foire artisanale le samedi matin. Les danses inter-tribales de powwow et les défilés de buffles dans les rues de Bandera ne manqueront pas de divertir les plus jeunes.

Infos pratiques : 

Celebrate Bandera!, du 29 août au 2 septembre. Prix : de gratuit à 15$. Plus d’informations ici

Le meilleur de la "street food" new-yorkaise aux Vendy Awards

La Coupe Vendy sera descernée le 15 septembre au meilleur vendeur de street food de New York. L’occasion pour le public de déguster les spécialités des six finalistes et celles de dizaines d’autres pendant un après-midi entier sur Governor’s Island.

Ils servent des doughnuts à la crème brûlée, des vrais tacos mexicains, ou encore des kebabs à l’agneau dans les rues de New York. Qui sont-ils ? Des cuisiniers et vendeurs de street food, dont la réputation n’est plus à faire. Cette année, six équipes ont été sélectionnées pour recevoir la fameuse Coupe Vendy lors de la huitième édition des Vendy Awards.

Le 15 septembre, les juges decerneront le titre de meilleur vendeur de street food de tout New York à l’un d’entre eux, au terme d’un après-midi festif et gourmand sur Governor’s Island. Le public enthousiaste et gastronome est cordialement invité à prendre ses places pour accéder aux stands de dizaines de vendeurs de rue. Pour un forfait général à 90$, vous pourrez déguster les spécialités culinaires des meilleurs food trucks new-yorkais et profiter d’un open bar.

Crédit photo : Laura Togut

Perle Lama: "Je peux me faire une place en Amérique"

La chanteuse française Perle Lama est à New York pour préparer ses nouveaux albums et se faire connaître auprès des New Yorkais.

Symbole français de la culture zouk, elle est venue à New York pour donner un nouveau souffle à sa carrière. L’auteur du tube de l’été 2006 “Emmene-moi avec toi” souhaite aller au-delà de la “Perle Lama” que l’on connaît. “J’ai eu un parcours très enrichissant mais qui ne représente pas encore l’idéal artistique auquel j’aspire“, confie l’auteur-compositeur-interprète.

La chanteuse attend au coin de la 6ème avenue et de 41 Street, à quelques mètres de Bryant Park. Un jeune homme l’arrête. Il a dû succomber à ses yeux maquillés de rose et de violet. “Do I know you from somewhere?” lui demande t-il. Perle Lama, débutante en anglais, s’en sort avec un “My name is Perle Lama“, et un sourire chaleureux.

L’artiste est née à Fort-de-France, en Martinique. La fille des îles baigne dans la musique et la culture zouk depuis toute petite. “J’ai des vidéos de mon premier concert live quand j’avais trois ans!“, raconte celle dont la vidéo “Cours de zouk” a plus de trois millions de vues sur Youtube. A 14 ans, elle remporte le premier prix d’un concours de chant. Sa récompense? L’enregistrement d’un premier album, Challenger’s, qui s’écoulera à plus de 200 000 exemplaires aux Antilles.

Ses chansons rythmées, sensuelles et dansantes parlent d’amour. Sa voix riche et puissante plait. En 2006, son troisième album, Misikasoleil, connaît un certain succès en métropole. “Le public français m’a beaucoup soutenue pour cet album et pour le single “Emmène-moi avec toi””, explique Perle Lama plus tard dans un petit café de la 6ème avenue. Cependant, même si l’artiste souhaite “maintenir son positionnement” en France, elle désire aussi “conquérir un nouveau public pour une musique internationale”.

La Martiniquaise prépare un cinquième album zouk. Cet opus, qui sortira à la rentrée, a été travaillé à la fois en France, en Martinique, en Guyane… et à New York. Avec cet album, elle espère “pouvoir attirer un autre public et sensibiliser la communauté afro-caribéenne et l’ensemble des New-Yorkais à la culture zouk“. “L’idée est de montrer comment le zouk a évolué“, ajoute-t-elle fièrement.

Perle Lama ne mise pas seulement sur son zouk love pour hypnotiser les foules. A 26 ans seulement, cette jeune femme a plus d’un tour dans son sac. A long terme, elle veut aussi développer la “Perle acoustique“. “Je veux faire vibrer les gens avec des émotions réelles, raconte-t-elle. J’aime être proche de mon public (…) le zouk est une musique commerciale qui peut mettre des distances”, ajoute-t-elle.

Mon rêve ultime est de faire des tournées avec ma guitare“, avoue celle qui prend des cours de guitare à New York pour parfaire son jeu. D’où son deuxième projet, plus “cross-over“, mais qui garde “la folk du zouk et des musiques du soleil“. Elle évoque notamment le duo de chanteurs maliens Amadou et Mariam: “ils ont réussi à faire ce que je veux faire moi-même: mélanger la musique traditionnelle avec de la musique moderne et devenir des artistes internationaux“.

Perle Lama garde cependant la tête froide et ne veut pas brûler les étapes. Si New York lui “donne le sentiment de tous les possibles“, elle est consciente que la route vers le succés est parfois interminable. “En Amérique, la liste d’attente est longue, admet-elle, mais je pense qu’en étant humble, je peux me faire une place”, conclut-elle avec optimisme.

Crédit Photo: Oriana Jomby-Diaz

Tous les rendez-vous de rentrée des associations francophones texanes

Dans la foulée des scolaires, retournés sur les bancs de l’école le 27 août (voire plus tôt pour ceux fréquentant les écoles internationales), les accueils francophones du Texas s’apprêtent à faire leur rentrée. C’est Dallas Accueil qui a donné le coup d’envoi en organisant un potluck samedi 18 août. Mais la rentrée sera officiellement célébrée lors d’un brunch au restaurant Sneaky Pete’s (2 Eagle Point Road, à Lewisville) dimanche 16 septembre de 11 à 14 heures. A Austin, l’accueil des nouveaux arrivants et les réadhésions auront également lieu le 16 septembre dans le cadre d’un pique-nique à Shipe park (201 W 45th street) de 16 heures à 19 heures. Tandis qu’à Houston le « grand accueil de rentrée » n’aura lieu que le 21 octobre de 11 heures à 16 heures au George ranch historical park (10215 FM 762 à Richmond).

Mais les trois associations reprennent l’ensemble de leurs activités dès le début du mois de septembre. Pour présenter les nombreux rendez-vous culturels, sportifs, artistiques et ludiques qu’elle propose, Houston Accueil a donc prévu un café accueil de « lancement des activités » jeudi 6 septembre de 10 heures à midi au Nottingham forest club (325 Kickerillo Drive, à Houston). « Au-delà de la prise d’informations, il s’agit de faire connaissance avec sa communauté, les bénévoles de l’association, ou bien de la redécouvrir », commente Ling Guérin, sa présidente, qui glisse encore que des tournois de pétanque devraient être organisés cette année.

Les nouveautés de l’année 2012-2013

A Dallas, « nous envisageons de lancer une activité golf et des rendez-vous additionnels en soirée, car les happy hours plaisent bien aux jeunes couples, qui sont de plus en plus nombreux, tout comme les couples ayant fini d’élever leurs enfants », indique Catherine Azière, la présidente de Dallas Accueil.

Après avoir relancé les sorties découverte, cinéma et l’atelier cuisine l’année dernière, Austin Accueil devrait également commencer à donner rendez-vous à ses membres à l’heure de l’apéro une fois par mois.

Les accueils francophones du Texas ne sont pas les seules associations à faire vivre la langue et la culture françaises dans l’Etat (nous les avons toutes listées lors du lancement de French Morning Texas). Mais les alliances françaises ou la troupe Et voilà le théâtre, par exemple, n’ont pas vraiment fait relâche. Cette dernière a même répété la pièce Dis à ma fille que je pars en voyage tous les lundis et mercredis de l’été ! Elle sera jouée en français avec des sous-titres anglais au Frenetic Theatre de Houston (5102 Navigation Boulevard) les 28 et 29 septembre ainsi que les 5 et 6 octobre à 20 heures (tarif : 10 à 15 dollars).

Un atelier pour apprendre à faire des crêpes

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Des crêpes! La recette n’est pas si compliquée, et pourtant, quelques conseils et de la pratique ne sont pas à négliger. Surtout lorsque l’on habite à plus de 4000 kilomètres de la terre mère!

Le 5 septembre, le Chef Marjorie Baker de Chefs Inc. propose à tous les gourmands de Los Angeles de devenir des maîtres dans l’art de faire des crêpes! Roulées, flambées, sucrées, salées, avec une simple pâte à crêpe et un peu d’imagination, il est possible de régaler des tablées affamées. Au menu: des crêpes au poulet, épinards, champignons; des crêpes à la pomme et la sauce au beurre et au calvados; des crêpes Suzette … et la possibilité d’impressionner vos amis.

Infos pratiques:

Everything Crèpes: le 5 septembre à partir de 18h30. Chefs Inc. 10955 West Pico Blvd., Los Angeles. 75$. Plus d’informations ici. Réservation disponible ici

Crédit Photo: Chefs Inc.