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Norah Jones à SummerStage

Norah Jones est une compositrice, interprète, pianiste et actrice américaine. Elle a lancé sa carrière avec l’album Come away with me en 2002, qui fut acclamé par la critique et le public, ce qui a valu à l’artiste cinq Grammy Awards. Elle en a depuis remporté quatre autres ! Elle a vendu environ 40 millions d’albums au fil de sa carrière. Son cinquième album, Little Broken Hearts, est sorti en avril 2012. Entre jazz, pop et country, elle plonge son auditoire dans un univers musical doux et poétique.

Informations pratiques :

Norah Jones en concert au Central Park SummerStage le 3 juillet. 830 5th Avenue, New York, NY 10021. Tickets à 49,50$. Ouverture des portes à 18h, concert à 19h. Pour plus d’informations, c’est ici.



 

Kandinsky de retour au Guggenheim

Le Guggenheim possède plus de 150 tableaux du peintre, et présente régulièrement des sélections thématiques. Dans l’exposition qui débute le 25 juin, c’est la période 1911-1913 qui sera mise en lumière, un moment clé dans la progression de l’artiste vers l’art abstrait. C’est au même moment qu’il a publié son traité d’esthétique intitulé « Sur le spirituel dans l’Art ». L’exposition inclut également des oeuvres d’autres artistes expressionnistes avec lesquels Kandinsky a collaboré pour le projet « Der Blaue Reiter » (« Le cavalier bleu »). Ce collectif, qui avait organisé deux expositions et produit un almanach, compte entre autres Paul Klee et Gabriele Münter.

Après avoir quitté la Russie pour se soustraire à la propagande officielle en matière d’art, Kandinsky immigre en Allemagne. Il enseigne quelques années à l’école du Bahaus, avant de fuir le pays à la suite de la montée du nazisme. Il s’établit en France, où il passe le reste de ses jours. Peintre et théoricien de l’art, il est considéré comme un pionner de l’art abstrait. Il était convaincu que la tâche du peintre était de communiquer son monde intérieur au lieu d’imiter la nature.

Informations pratiques :

Solomon R. Solomon R. Guggenheim Museum présente « Kandinsky 1911-1913 ». 1071 5th Avenue. Tickets à 22$ pour les adultes, 18$ pour les séniors, gratuit pour les enfants de moins de 12 ans. Ouvert les dimanche, lundi, mardi, mercredi et vendredi de 10h à 17h45 et le samedi de 10h à 19h45 ; fermé le jeudi. Pour plus d’informations, c’est ici.


Un "America’s Got Talent" en VF

Amateurs de chanson  française, comiques versés dans la langue de Molière et autres talents francophones sont conviés à la soirée Act Talent Show, organisée par l’école de langue et de théâtre Into This City, mercredi 27 juin. Artistes amateurs et professionnels sont invités à venir présenter un numéro sur scène, pendant deux à quatre minutes. Au total, ils seront une quinzaine à monter sur les planches.

Chansons, saynètes, musique… tous les genres seront représentés, en 100% français. « Ce sera l’occasion pour des artistes français et américains, et les amateurs d’art français en général, de se rencontrer, explique Manisha Snoyer, organisatrice de l’événement. Ce n’est pas une production professionnelle. Il n’y a pas de jury, pas de prix, l’important c’est d’échanger ».

C’est la première fois que Manisha Snoyer ouvre la soirée au delà de son atelier de théâtre. “Je connais beaucoup de chanteurs et d’acteurs à New York, dont beaucoup sont passés par notre école. Je me suis dit que ce serait bien qu’ils puissent présenter leur travail au public”, poursuit l’organisatrice.

Avant le spectacle, un buffet sera proposé. Chaque convive est invité à apporter une bouteille de vin, du fromage ou tout autre aliment bien de chez nous. Puis, Manisha Snoyer prendra les rênes de la soirée le temps d’un jeu de conversation pour favoriser les échanges en français et anglais, avant de donner le coup d’envoi du show. Les plus timides pourront prendre place parmi les spectateurs. Ceux qui ne pourront pas participer au show du 27, deux autres soirées Act Talent Show seront organisées pendant l’été, les 11 et 25 juillet.

« Il y a beaucoup d’artistes français et francophiles à New York, leur permettre de se rencontrer peut être le début de toutes sortes de collaboration, apprécie la jeune femme. Nous aimerions devenir la maison d’accueil pour ce genre d’événements ».

Infos pratiques :

« Act Talent Show », à New York. Les 27 juin, 11 et 25 juillet de 20h30 à 22h. 311 W 43rd Street, entre 8e et 9e avenues, 8e étage. Gratuit. Plus d’informations ici. Les places étant limitées, RSVP avant lundi à [email protected]

Une spécialiste de l'éducation pour les Français de l’étranger

Yamina Benguigui n’aura pas fait long feu en tant que ministre déléguée aux Français de l’étranger. Si la réalisatrice conserve le portefeuille de la Francophonie, c’est la Sénatrice socialiste des Français de l’étranger Hélène Conway qui s’occupera des Français établis hors de France au sein du gouvernement Ayrault II, dont la composition a été annoncée jeudi par le secrétaire général de l’Elysée, Pierre-René Lemas.

Sur son site, Mme Conway indique son engagement politique est né en 1997, lorsqu’elle a créé la section PS de Dublin. Elle a également été membre du Bureau fédéral des Français du Monde-ADFE au sein duquel elle était chargée de l’Education, puis de la culture et de l’audiovisuel. Elle a été élue à deux reprises (en 2000 et 2006) à l’Assemblée des Français de l’étranger. Au sein de l’assemblée, elle a présidé pendant trois ans la commission temporaire pour la formation professionnelle et une sous-commission pour l’emploi et la formation professionnelle. Elle devient sénatrice en septembre 2011.

Connaissance de l’éducation française à l’étranger 

En tant que ministre déléguée aux Français de l’étranger, Mme Conway sera chargée de mettre en application le programme de François Hollande pour les Français hors de France. Parmi les mesures phares : la suppression de la Prise en charge (PEC) dans les lycées français de l’étranger au profit d’un système de bourses attribuées sur critères sociaux. Des «priorités» soutenues par l’ancienne sénatrice lors de son mandat. Sur son site, elle souhaite notamment l’introduction d’un plafonnement des frais de scolarités, le soutien aux filières bilingues dans les écoles nationales, l’application des mêmes droits au soutien financier que pour le réseau AEFE, ou encore la pérennité et l’augmentation des crédits FLAM (Français Langue Maternelle) », des programmes extrascolaires d’enseignement du français. Mme Conway est, en outre, membre du Conseil d’administration de l’Agence pour l’enseignement français à l’étranger (AEFE) et membre du Conseil d’administration de l’Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN).

 

"50 Shades", le roman coquin qui dévergonde les Américaines

« 50 Shades a changé ma vie. Lyss, New-Yorkaise d’une quarantaine d’années est transformée. La fondatrice du site DivaMoms dédié aux mamans chics de l’Upper East side ne pensait pas que sa vie sexuelle serait bouleversée… par un livre. Ce roman m’a rappelé que je n’étais pas qu’une mère de famille, que j’avais des fantasmes et que je ne devais pas en avoir honte. J’ai eu de nouveau envie d’être désirable ».

Et elle n’est pas la seule.Car 50 Shades a conquis l’Amérique. 50 Shades of Grey, suivi de 50 Shades Darker et 50 Shades Freed, est une trilogie de 1.200 pages écrite par Erika Leonard James, auteur britannique fanatique de Twilight ayant voulu proposer une version plus adulte et coquine de cette amourette entre adolescents. Anastasia Steele, étudiante de 21 ans, vierge, y rencontre Christian Grey, bellâtre milliardaire de 28 ans. Grey ne jure que par le sadomasochisme. Il propose à Ana un contrat posant les bases d’une relation sadomaso se déroulant essentiellement dans une salle de jeu peinte en rouge, où il use de tous les accessoires possibles et imaginables.

D’abord publié sur Internet au printemps 2011, ce roman grivois d’une qualité pourtant douteuse conquiert rapidement quelques blogueuses. Le bouche-à-oreille se met en marche. Un an plus tard, 50 Shades est en tête de la liste des best-sellers établie par le New York Times et les studios Universal prévoient d’adapter le roman à l’écran. « C’est un ouvrage grand public et populaire. Il permet à des femmes qui n’ont pas l’habitude d’aborder ouvertement leur sexualité d’assumer et de parler de leurs fantasmes. Elles osent acheter l’ouvrage comme un homme achèterait Penthouse ou Playboy au kiosque du coin. C’est une petite révolution », explique avec enthousiasme Shira Tarrant, chercheuse sur la sexualité et le féminisme à l’Université d’Etat de Long Beach en Californie.

Pourtant, les Américains n’ont pas la réputation d’être particulièrement coquins. Se serait-on trompé ? « J’ai dévoré le premier tome en deux nuits, confie Vanessa, coiffeuse new-yorkaise de 27 ans. Puis j’ai acheté une cravate grise à mon mari (l’accessoire phare de Christian Grey, ndlr) et je me suis surprise à l’appeler Monsieur, comme l’héroïne… », poursuit-elle en éclatant de rire. Pour Crissy, trentenaire et fonctionnaire à  la ville de New York, 50 stades fut une révélation. « Ce livre aura marqué ma manière d’explorer ma sexualité. Il m’aide à fabriquer des fantasmes. Et je dois dire que je me sens attirée par les jeux de rôles SM », explique-t-elle.

Lyss admet utiliser 50 Shades comme une sorte de manuel et ce, pour le plus grand bonheur de son couple. « Disons que je me suis emparée de ce fantasme de domination… Au quotidien, je suis constamment dans le contrôle, dans le micro-management, alors le rôle sexuel de la soumise m’a séduit », explique-t-elle. La fondatrice de DivaMoms est tout aussi enchantée des conversations que le livre a fait naître avec ses amies proches. « Nous rions en écoutant celle qui s’est prise une fessée, celle qui s’est faite attachée avec des rubans en soie grise… Ces discussions intimes ont remplacé nos échanges un peu superficiels sur le travail, les enfants, ou le dernier sac à main à la mode. Et cela me rend heureuse ! », lâche-t-elle

Envie de rejoindre la « révolution 50 Shades » ? L’ouvrage est disponible partout, au format papier ou e-Book. Si les romans grivois vous séduisent, Sarah Wendell, la fondatrice du célèbre site dédié aux romans à l’eau de rose Smartbitches, a établi une liste d’ouvrages du même genre « et de meilleure qualité », selon elle. Enfin, si vous souhaitez « jouer » à 50 Shades, sachez que la trilogie n’a pas manqué d’inspirer les boutiques et sites Internet spécialisés. Chez Babe Land (43 Mercer Street) vous trouverez une gamme de produits “bondage” inspirée par 50 Shades .  Chez Pink Pussy Cat (167 West 4th Street) le produit- phare du moment n’est autre que le kit « séduction bondage ». Comme si l’été n’était pas assez chaud comme ça…

 


Du rock et de la pétanque sur 74th Street

A vos cochonnets ! Dimanche 24 juin, le Consulat de France organise une journée « Rock’n’Pétanque ». Les boulistes ont rendez-vous sur la 74eme rue, entre Fifth et Madison Avenue pour un grand tournoi de pétanque. La rue, fermée à la circulation, se transformera en une enclave marseillaise avec stands provençaux et animations sur fond musical rock.

Les amateurs pourront tenter leur chance à la loterie et essayer de remporter deux billets d’avion pour une destination encore inconnue. Pour les sportifs du dimanche, le vainqueur du tournoi repartira avec The Foxyladyproject, un livre de photos grandeur nature sur 60 guitares de légende – il s’agit du plus grand livre édité au monde. Les fans de rock finiront la journée au Consulat où l’ancien guitariste du groupe “Téléphone”, Louis Bertignac, se produira lors d’un concert exceptionnel (sur invitation).

Infos pratiques :

« Rock’n’Pétanque ». Dimanche 24 juin, de 12h à 17h. Sur la 74e rue, entre Fifth Avenue et Madison Avenue. Gratuit. Plus d’informations ici


Un Français nommé chef de la photo au MoMA

(Erratum: une première version de cet article contenait une photographie de Quentin Bajac publiée sans l’autorisation de son auteur, Yan Morvan, ni du propriétaire de la photgraphie, La Lettre de la Photographie. Nos excuses a M. Morvan et à La Lettre de la Photographie).

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C’est autant une joie qu’une responsabilité d’avoir été choisi”. Quentin Bajac, 47 ans, a été nommé début juin conservateur en chef du département de la photographie au Museum of Modern Art (MoMA). En janvier 2013, il succédera à Peter Galassi, qui a pris sa retraite en 2011, après trente ans passés au musée.

Quentin Bajac sera le premier non-Américain à occuper ce poste, auquel de grands noms de la photographie, comme John Swarovski (1962-1991) ou Edward Steichen (1947-1962), se sont succédés. “En tant que Français, et en tant qu’Européen, je pourrais apporter un autre regard, un oeil différent, des lectures de travail différentes”, estime M. Bajac.

Entré au Musée d’Orsay en 1995, il reste conservateur au sein du département de la photographie pendant huit ans, avant d’être nommé, en 2003, conservateur de la photographie au Centre Pompidou. En 2007, il devient conservateur en chef, mettant en place de nombreuses expositions, parmi lesquelles “Dreamlands” (2010) et “La Subversion des images : surréalisme, photographie, film” (2009).

Il s’agira donc de la première expérience à l’étranger pour Quentin Bajac. “ Je ressens plus d’excitation que d’appréhension”. Son travail consistera, comme au centre Pompidou, en l’enrichissement et la diffusion des collections photographiques et l’organisation d’expositions. “Le même travail, mais avec des méthodes différentes”, résume-t-il. Avec plus de 25 000 oeuvres, dont les premières collectées dans les années 1930, la collection de photographies du MoMA est l’une des plus importantes au monde. “C’est une étape très importante de ma carrière (…) Être nommé directeur d’un département au MoMA implique une projection à long terme”.

Quentin Bajac terminera les travaux commencés au centre Pompidou. Il s’installera ensuite à New York, “pour un grand nombre d’années”.

A Randall's Island, l'autre équipe de France

Comme les pros, ils ont le maillot de l’équipe de France. Comme les pros, ils rêvent de retournées acrobatiques qui font mouche et de reprises de volée en lucarne. Tout comme les pros donc, sauf qu’eux, par contre, tâtent le ballon entre la voie de chemin de fer aérienne et l’hôpital psychiatrique de Randall’s Island.

« Ils », ce sont les Bleus de NYC France qui participent actuellement aux matches de qualification pour la Cosmos Copa NYC sur l’île paradisiaque située entre Manhattan, le Bronx et le Queens. Depuis 2009, le club des New York Cosmos organise cette coupe du monde à l’échelle de New York. Chaque été, 400 joueurs, représentant seize nations différentes s’affrontent pendant deux semaines. Leur particularité : ils sont tous amateurs ou anciens professionnels.

Le niveau est très compétitif“, explique Alexis Pradié, défenseur de l’équipe de France. Lui-même a été joueur professionnel. À l’Olympique de Marseille d’abord, de 2004 à 2007, puis à Dallas, où il a été “drafté” en 2011. Depuis, il est installé à New York, où il fait un stage dans le marketing. Comme ses co-équipiers, il est de nationalité française. Avoir la nationalité d’une équipe est en effet obligatoire pour en faire partie. Pas vraiment un problème pour New York ou se côtoient plus de 150 nationalités différentes.

Et ce n’est pas parce qu’ils sont plus nombreux que les Américains sont forcément avantagés. En deux participations sur trois coupes, ils n’ont jamais dépassé les quarts de finale. La Pologne, elle, a gagné les deux précédentes éditions. Et l’Albanie a remporté la toute première. “Ce sont des équipes qui s’entraînent toute l’année, précise Alexis Pradié. Les joueurs se préparent longtemps à l’avance, et se connaissent par coeur.” La France par contre, sans prendre la compet’ à la légère, est là avant tout “pour se retrouver, jouer au foot entre Français et s’amuser“. Éliminés en quart de finale en 2009, dès la phase de poule en 2010 et pas qualifiés en 2011, les Français veulent “essayer d’aller le plus loin  possible“, promet toutefois le défenseur français. “Nous sommes tous amateurs, mais beaucoup ont au moins un niveau de CFA (4ème division française, et 1ère division amateure, NDLR).”

La France joue sa qualification

Alexis Pradié n’est pas le seul ancien pro. L’équipe compte aussi dans ses rangs Laurent Manuel, ancien joueur du Maccabi Tel Aviv et Zohair Ghenania, l’entraîneur-joueur et capitaine de l’équipe, qui a été entraîneur des jeunes au FC Lorient. Il a notamment formé Yoann Gourcuff et André-Pierre Gignac. Un avantage indéniable dans une équipe amateure. Dimanche, nos Bleus pourront également compter sur les encouragements de Rod Fanni, un des défenseurs de l’Olympique de Marseille.

Aujourd’hui, le premier souci des Français est de se qualifier. Dans ces qualifications, vingt équipes sont en lice pour huit places dans le tournoi, les huit autres étant attribuées d’office aux quarts de finalistes de l’an dernier. NYC France est dans un groupe difficile. À l’issue des deux premiers matches, l’équipe comptait une défaite, contre NYC Paraguay (1-2) et une victoire, contre NYC Ivory Coast (2-0). Dernière chance de se qualifier : dimanche 24 juin à Randall’s Island, avec deux matches contre NYC Croatia à 13 h (terrain 75) et NYC Liberia à 15 h (terrain 72). S’ils finissent dans les deux premières places du groupe, les Français s’ouvriront les portes de la Cosmos Copa NYC, du 14 au 28 juillet. En cas d’élimination des Bleus de l’Euro samedi, les supporters new-yorkais pourront donc se rabattre sur les « petits ».

Infos pratiques:

Le calendrier complet est visible sur le site officiel de la compétition.

Bonnes affaires chez J. Crew

L’incontournable J. Crew propose des réductions jusqu’à 60% sur ses collections hommes et femmes ainsi que sa ligne “Crewcuts” pour enfants, la marque d’adoption de Malia et Sasha Obama. La marque féminine Madewell vendra également une sélection d’articles. J. Crew et Madewell. Jusqu’au 24 juin. Jeudi, vendredi et samedi de 10 heures à 20h, samedi de midi à 17h. 260 Fifth Avenue.

Ce week-end, trois marques phares soldent leurs produits lors d’une vente groupée. Les célèbres bijoux d’Aesa feront l’objet de réductions: moins 10% sur les créations en or, 20% sur tous les autres articles en magasin et jusqu’à 70% sur ceux des collections précédentes. La ligne de prêt-à-porter Complex Geometries bradera ses modèles jusqu’à moins 70%. L’évènement accueillera également la marque No.6 qui proposera bottines et vêtements à prix réduits. Aesa, Complex Geometries, No.6. Du vendredi 22 au dimanche 24 juin. Vendredi de 18h à 21h, samedi et dimanche de midi à 19h. Crosby Street, entre Broome et Grand Streets.

Tane Organics solde sa collection de prêt-à-porter pour enfants à jusqu’à moins 75%. La marque propose des vêtements de créateurs pour nouveaux nés et enfants, utilisant uniquement du coton biologique et des fibres naturelles dans la confection de ses pièces. Gilets, t-shirts, grenouillères, accessoires et autres jouets seront soldés ce vendredi. Attention, la vente est “cash only”. Tane Organics. Vendredi 22 juin de 11 heures à 18h. Tane Organics, 1123 Broadway entre la 25th et la 26 Streets, suite 812. 

La créatrice Gabriela Moya casse les prix sur sa collection de prêt-à-porter. Formée à l’Ecole Supérieure des Arts et Techniques de la Mode à Paris, la styliste propose des modèles aux formes pures et élégantes, qui laissent transparaître son goût pour l’art contemporain. Par ses créations, elle souhaite démontrer “la fonctionnalité de la beauté”. Gabriela Moya. Du jeudi 21 juillet au vendredi 22. De 14h à 20h. 817 Broadway entre la 11th et la 12th Streets, deuxième étage.


Douze lycéens américains se mettent au vert dans le Vercors

C’est un appel à la mobilisation pour la protection des forêts qu’ont lancé les participants au concours Green Connection 2012. Organisée par les Services culturels de l’Ambassade de France aux Etats-Unis pour les lycéens américains étudiant le français, la deuxième édition de la compétition a couronné douze lauréats. Ils ont gagné un séjour pédagogique de dix jours dans le Vercors.

Parmi eux, Alicia Earnest, de l’Atlanta Girl’s School, insiste dans son clip sur l’importance de l’éducation autour de l’environnement. « Moi qui vais souvent randonner dans les Appalaches, je pense qu’il est important de sensibiliser les jeunes enfants à la protection de l’environnement », commente cette amatrice de culture française. Elle espère « ne pas trop avoir le mal du pays » quand elle se sortira pour la première fois d’Amérique du Nord dans dix jours.

« La chance d’une vie »

Même excitation teintée d’appréhension chez Abigail Tovar, de la Cypress Ridge High School de Houston. « Je suis assez nerveuse, car il y avait tellement de gens en concurrence, que je ne pensais pas être sélectionnée. C’est la chance de ma vie », s’exclame-t-elle. La jeune femme a filmé les arbres de son quartier afin de souligner le rôle de poumon vert de la forêt dans une agglomération comme Houston. Elle fait référence à la présidentielle française au travers d’une fausse interview d’Eva Joly. « Cela me paraissait important d’évoquer les différentes propositions environnementales émises dans le cadre de la campagne, car le changement était déjà en marche en France », explique Abigail.

Haley Wall a eu une approche plus concrète dans sa vidéo faisant la promotion du compostage, une façon « facile, pratique et raisonnable » de réduire le volume de déchets tout en restituant de la matière organique à la nature. Elle sait de quoi elle parle, puisqu’elle est impliquée dans le compostage des déchets alimentaires du réfectoire de la Fort Worth Country Day School où elle étudie.

Un impact à la fois international et local

Les douze lauréats vont maintenant approfondir ces questions en découvrant le massif du Vercors par le biais de randonnées à pied ou à vélo, la visite d’une scierie, du studio de Vercors TV et de villages abandonnés. Ils participeront aussi à divers ateliers tels que la construction d’un abri pour insectes et rencontreront des élèves de la section “Sports et nature” du lycée de Die. « Ce qui est vraiment intéressant, c’est de mettre en place une organisation permettant de réels échanges avec les autres jeunes présents au sein de la structure », estime Annick Martin, la directrice de l’association CLV Rhône-Alpes gérant le centre de vacances La Matrassière où va séjourner le groupe de lycéens américains.

Et « à leur retour aux Etats-Unis, les participants s’engageront à partager le fruit de la réflexion qu’ils auront menée pendant leur séjour en France et à mettre en œuvre des actions au sein de leur communauté », insiste pour sa part Marie-Catherine Glaser, chargée des programmes à l’Ambassade de France à Washington.

A Houston, un fundraising en musique contre la malaria

Le 21 juin, le chapitre houstonien de l’Association des Nations Unies organise le « Summer Solstice Networking for Nets », une rencontre de networking et de levée de fonds à destination des jeunes professionnels. Cette année, les participants sont invités à soutenir le programme « Nothing But Nets » et la campagne « Sow The Seeds For Change », tous deux mis en place par les Nations Unies pour combattre la malaria et la famine à travers le monde.

« Nothing But Nets » est une campagne humanitaire lancée en 2006 pour combattre la malaria, une des causes principales de mortalité infantile en Afrique. Chaque don de 10$ permet d’envoyer une moustiquaire spécialement conçue pour lutter contre la maladie à un enfant du continent noir. « Sow The Seeds For Change » est une « campagne de formation à l’environnement et au tourisme durable pour l’industrie hôtelière ». Musique live, rafraichissements et encas sont au programme de la manifestation.

Informations pratiques :

« Summer Solstice Networking for Nets » au Salento Wine Café. Le 21 juin de 17h30 à 20h30. 2407 Rice Boulevard, Houston. Pour plus d’informations, c’est ici. 

Les Beach Boys fêtent leurs 50 ans

Les Beach Boys sont de retour. Après des années de litiges juridiques entre les membres historiques, le groupe phare des années 1960 revient avec un nouvel album. That’s why God made the radio, dans les bacs depuis le 5 juin, signe la première sortie originale du groupe depuis 20 ans. Cet album marque le 50e anniversaire du groupe de rock formé en Californie.

Emblème de la Surf Music, les Beach Boys sont propulsés sur la scène internationale en 1963, grâce au succès de leur deuxième album Surfin’ USA.  Suivent les années de soleil, de surf et de filles, incarnées dans des tubes tels que Surfer girl, Hawaii ou Catch a wave. Brian Wilson, le leader du groupe, entretient l’image d’une Californie rêvée. Le groupe délaisse ensuite le surf pour les voitures avec l’album Little Deuce Coupe. Les Beachs Boys deviennent le seul groupe américain à pouvoir rivaliser avec les Beatles, avec qui ils seront toujours en compétition. En 1965, Brian Wilson réalise son œuvre majeure, Pet Sounds, le deuxième meilleur album de tout les temps, selon le Rolling Stones Magazine.

Le “ Beach Boys 50th Anniversary Tour ” est de passage dans la région cette semaine. Le groupe sera samedi soir à Saratoga, dimanche à Wantagh et mercredi à Holmdel, dans le New Jersey.

Infos pratiques :

“The Beach Boys 50th Anniversary Tour”. Samedi 23 juin, au Saratoga Performing Arts Center, à Saratoga Springs, à 20h. Dimanche 24 juin, au Nikon at Jones Beach Theater, à Wantagh, à 19h30. Mercredi 27 juin, au PNC Bank Arts Center, à Holmdel, à 19h30. Réservation et informations ici.