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Le juge et l'acteur: même combat?

Théâtre et justice, même combat ? Les deux, en tout cas, « obéissent à des rituels assez similaires », estime l’universitaire Chantal Meyer, professeure en arts du spectacle à l’université de Caen et membre du centre de recherche d’histoire quantitative du CNRS, qui interviendra sur le sujet (en se restreignant aux XIXe et XXe siècles) mardi 15 mai à 19 heures à l’Alliance française de Houston.

Une réception suivra la présentation, qui promet de balayer les grands sujets de société contemporains. « Au-delà de la forme, théâtre et justice éclairent, chacun à leur manière, leur époque », ajoute en effet la chercheuse, qui interviendra en français mais distribuera un résumé en anglais de sa présentation.

Infos pratiques :

Conférence Théâtre et justice de l’universitaire Chantal Meyer, mardi 15 mai à 19 heures à l’Alliance française de Houston, 427 Lovett Blvd. Renseignements au 713 526 1121 ou sur le site internet de l’Alliance.

Des spectacles en plein air à Houston

Créé par l’ancêtre de l’Opéra de Paris en 1841, le ballet Giselle sera dansé du 11 au 13 mai à Houston, au Miller Outdoor Theatre d’Hermann Park. Les représentations étant gratuites, c’est l’occasion idéale de (re)découvrir l’histoire de cette paysanne qui meurt en apprenant que son amour pour Albrecht est impossible. Il est, en effet, le noble fiancé d’une princesse, et qui est vengée par les wilis, ces fantômes des jeunes filles défuntes, condamnant Albrecht à suivre Giselle dans sa tombe et à danser jusqu’à mourir d’épuisement. Giselle étant l’archétype du ballet romantique, l’esprit de la jeune morte vient au secours de son amoureux et démontre que l’amour est plus fort que la mort. C’est pourquoi ce livret est toujours d’actualité pour la chorégraphe Ai-Gul Gaisina, qui l’a mis en scène pour Houston Ballet. « Giselle comprend tout ce dont un ballet a besoin. Il donne aux danseurs (et pas seulement Giselle et Albrecht) l’occasion d’exprimer leur qualités artistiques et leur technique, mais comporte aussi un drame humain qui nous concerne tous, avec des sentiments d’amour, de déception, de joie, des trahisons… »

A noter que, la semaine suivante, le même Miller Outdoor Theater accueillera un opéra italien, mais adapté d’une pièce de Beaumarchais : Le barbier de Séville. Et que rire avec Figaro ne coûtera pas plus cher que de s’émouvoir avec Giselle.

Infos pratiques :

Giselle et Le barbier de Séville, représentations gratuites de Houston Ballet et de Houston Grand Opera au Miller Outdoor Theater, 6000 Hermann Park Drive à Houston, du 11 au 13 mai et les 18 et 19 mai à 20 heures. Gratuit. Retrait des billets (4 par personne de plus de 16 ans maximum) à la billetterie du théâtre entre 10 h 30 et 13 heures le jour de la représentation et une heure avant le spectacle s’il reste des billets. Renseignements au 281 373 3386 ou sur le site internet de la salle de spectacles en plein air.

Shopping spécial "Mother's Day"

Ha! Les fleurs! Le bon vieux bouquet reste le cadeau le plus classique mais aussi le plus efficace. Pour faire livrer des fleurs à maman, le site internet Pickup Flowers est une référence. Il propose des promos intéressantes et une large gamme de bouquets.  Le “mixed rose bouquet” est à -15% notamment (de $29 à $132). Il est possible d’ajouter un petit mot et des chocolats à votre livraison.

Le fleuriste Starbrightsitué en plein cœur du Flower District de New York, est réputé pour être l’un des meilleurs fleuristes de la ville. Vous trouverez des compositions florales pour tous les goûts et à tous les prix. Le fleuriste livre dans toute la ville. Starbright. New York 150 West 28th Street, Studio 201

L’Occitane offre des packages spéciaux à prix réduits. Crèmes pour les mains, visage, eau de toilette, savons, lait: la marque française offre une variété de produits qui feront plaisir aux mamans et à leur peau. L’Occitane celebrates Mother’s day. Jusqu’au dimanche 13 mai. Pour plus d’informations et la liste des magasins à New York ici.

Votre mère est plutôt branchée? La marque chic et rétro Bebe offre des réductions. Vous pourrez bénéficier d’une lotion gratuite pour l’achat du tout nouveau parfum de la marque, « Wishes and Dream ». De plus, Bebe offre un bonus de $15 lorsque vous dépensez plus de $100 en magasin. Bébé. Jusqu’au dimanche 13 mai. Pour plus d’informations  ici

La marque branchée pour mamans Talbots propose, elle aussi, des rabais. Elle offre 25% de réduction sur tous ses articles. Jusqu’au dimanche 13 mai. Pour plus d’informations ici

Envie d’offrir un cadeau un peu plus…sexy ? Victoria Secret’s offre des promos intéressantes sur une sélection d’articles. Bénéficiez de deux soutiens-gorge pour $40, de quatre pour $50 selon les collections. Les culottes aussi sont soldées. Victoria Secret’s. Pour plus d’informations ici

Revenons au classique. Swarovski, la marque de bijoux, vend un carnet spécial couleur lavande, flanqué d’un cristal et de la phrase « Moments to Keep ». Swarowski, le journal est disponible à $15 et peut-être acheté jusqu’au dimanche 13 mai. Pour plus d’informations ici.

Le magasin de parfums Perfumania propose une offre spéciale : pour un parfum acheté, le deuxième est à moitié prix. Perfumania. Jusqu’au lundi 14 mai. Pour plus d’informations ici.

 
 

Un labo d'arômes au FIAF

Un laboratoire de saveurs: l’idée fait rêver, le FIAF en a fait une réalité. Le French Institute Alliance Française vous propose ce 15 mai une rencontre avec Marie Wright (ci-contre), aromaticienne et directrice monde de l’entreprise Wild Flavors. Elle vous emmènera dans les coulisses de la création d’arômes et vous fera goûter quelques unes de ses créations. Et elle a de l’expérience: elle a créé plus de 1 000 arômes pour des grandes entreprises d’alimentation et de boisson.

Infos pratiques:

The Flavor Lab with Marie Wright. Mardi 15 mai. 19h. Le Skyroom. 22 East 60th Street. $35 pour les membres et $45 pour les non membres et disponibles ici

 

Balade dans la poésie de l’East Village

« Salut, je suis Jim Jarmush – je suis un grand fan de poésie et un résident de longue date du Lower East Side ». C’est ainsi que débute la East Village Poetry Walk. L’illustre cinéaste nous sert de guide dans les rues du quartier tandis que John Zorn, un habitant du coin également, se charge de l’accompagnement musical.

Nous commençons au croisement entre la 2nd Avenue et la 10th street, devant l’église St Mark (ci-contre), qui sert également de centre culturel alternatif. On y récite toujours, régulièrement, de la poésie. Jim Jarmush nous invite à prendre place dans le jardin pendant qu’il raconte la naissance d’une nouvelle génération de poètes américains, ceux qui ont radicalement renouvelé cet art à la fin des années 1950 : langage plus fluide, moins formel, ouverture à la politique, la vie urbaine, le sexe et la culture populaire.

Beaucoup de ces changements ont vu le jour ici justement, dans l’East Village, un quartier dont la scène poétique n’a jamais baissé en intensité. Etiquetés “Beats”, comme Allan Ginsberg, Jack Kerouac et William S. Burrough, ou poètes de la New York School, comme John Ashbery, Kenneth Koch et Frank O’Hara, la communauté de poètes qui s’y retrouvaient était d’accord sur un point: « La poésie doit être vivante, immédiate, amusante».

La balade continue. De la 2nd Avenue à Alphabet City, traversé par les avenues A, B et C, c’est un quartier, peuplé dans les années 1960 majoritairement d’Hispaniques, de marginaux, d’artistes et aujourd’hui largement embourgeoisé que nous fait découvrir Jarmush. L’auditeur plonge dans la vie poétique locale récente, racontée à grands renforts d’anecdotes et de lectures. Un voyage dans le temps, qui permet aussi de vagabonder dans l’East Village, ce foyer de culture alternative, sa population bigarrée, ses jardins communautaires cultivés dans chaque mètre carré disponible, ses chaises dans les rues, ses « fire escape » multicolores…

Quelques conseils pratiques avant de se lancer : la balade fait un peu plus de 3 kilomètres (2 miles) et dure 95 minutes. Prévoir une ou deux heures de plus peut cependant s’avérer judicieux tant la tentation de la pause à la terrasse du Biergarten allemand à mi-parcours, de prendre des photos, de traîner dans les librairies du quartier, est grande…  Une bonne compréhension de l’anglais est nécessaire, mais point d’affolement face à la densité des informations ou la richesse de certains textes : retenir tous les noms ou comprendre toutes les nuances des poèmes récités n’est pas indispensable pour profiter du but premier de cette balade : happer l’atmosphère particulière de ce quartier légendaire.

La promenade s’achève devant le Bowery Poetry Club, « l’endroit idéal pour terminer notre tour, conclut Jim Jarmush. C’est ici que perdure la scène poétique de l’East Village »


Informations pratiques :

Informations et balade à télécharger : http://eastvillagepoetrywalk.org/
Consulter le programme du Bowery Poetry Club :
http://www.bowerypoetry.com/

La pétanque se pointe au Texas

Fondé il y a tout juste un an, le club de pétanque de Dallas (logiquement nommé Dallas Pétanque Club) a organisé son premier tournoi à Farmers Branch dimanche 6 mai. Scène du crime: un terrain mis à disposition par la municipalité à proximité de la mairie. Une trentaine de personnes, dont la quinzaine de membres de l’association, une équipe de San Antonio (où un nouveau club est en projet) et un joueur du Heart of Texas Petanque Club basé à Austin, y ont participé. « Comme Central Market nous a demandé d’initier ses clients francophiles dans le cadre de son évènement Passport France [lire ici], l’enseigne a fourni le déjeuner à  l’ensemble des concurrents », précise le président du Dallas Pétanque Club, Nicolas Taquet.

Plusieurs décennies de pratique

La première édition de cet évènement, qui devrait être reconduit tous les ans, avait donc belle allure. Malgré son officialisation récente, le club de pétanque de Dallas existe depuis plusieurs décennies. C’est un chef français, Jean Lafont, qui l’a fondé peu après son arrivée au Texas, il y a quarante ans, en initiant ses collègues et amis au jeu de boules provençal. A la suite de sa disparition, au début de l’année, à 72 ans, Jean Lafont a aussi donné son nom à la compétition. « Son décès a laissé un grand vide, commente Nicolas Taquet. Le tournoi sera donc un bon moyen de se rappeler de Jean tous les ans ».

Mais le Dallas Pétanque Club n’est pas tourné vers le passé, loin de là ! Ses projets fourmillent, et vont au-delà de l’organisation de ce premier tournoi, de la participation à Passport France et des évènements organisés par l’Alliance française de Dallas/Fort Worth, la chambre de commerce franco-américaine de l’agglomération ou Dallas Accueil. « Nous avons été contactés par la mairie de Dallas, qui a couvert la section de la Woodall Rodgers freeway traversant le centre-ville et y aménage un parc dans lequel on trouvera un terrain de boules, signale Nicolas Taquet. Elle souhaite que le club participe à la cérémonie d’ouverture, au mois de novembre, et nous comptons bien entendu nous saisir de cette nouvelle occasion de faire connaître notre discipline, très appréciée des Américains, même s’ils sont plus familiers avec les bocce italiennes ».

Bientôt au cœur de Dallas

Le Klyde Warren park (c’est le nom de ce futur espace vert, qui se veut le Bryant park de Dallas) pourrait aussi devenir le second lieu de rendez-vous régulier des adhérents du club. « Certains dimanches, il y a un peu d’attente à Farmers Branch. Et même si la municipalité prévoit d’ores et déjà la construction d’un second terrain, il serait pertinent de multiplier les points de rendez-vous dans notre vaste agglomération », commente Nicolas Taquet.

C’est ainsi que le Dallas Pétanque Club compte fidéliser ses membres et en conquérir de nouveaux. « Avec la participation de quelques équipes de plus, nous pourrions transformer notre tournoi en compétition régionale, ouverte à des clubs de la fédération de pétanque USA situés en dehors de l’Etat », imagine déjà le jeune président.

Et un candidat de moins à droite…

En mars, Franck Bondrille (ci-contre) disait à French Morning qu’il irait « jusqu’au bout ». Cela n’aura finalement pas été le cas.  Le candidat divers droite a annoncé mercredi son ralliement à Julien Balkany, candidat indépendant de droite au siège de député des Français d’Amérique du Nord. « Je suis ravi de réserver à Franck Bondrille une place de choix dans mon dispositif de campagne. J’espère que ce ralliement en augure d’autres », indique Julien Balkany.

M. Bondrille, chef d’une agence d’organisation de séjours aux Etats-Unis et représentant de la compagnie Corsair en Floride, faisait partie des nombreux candidats issus de la droite briguant les suffrages des Français d’Amérique du Nord à l’élection législative des 2 et 16 juin. Avec ce ralliement, il devient le représentant du comité de soutien de M. Balkany pour le Sud-est des Etats-Unis. Citant une convergence des programmes comme raison de leur rapprochement, M. Balkany indique qu’il ne reprendra toutefois pas la proposition de M. Bondrille de créer une “prime voyage” pour les Français expatriés retournant en France. « Je ne pense pas que cela soit totalement faisable », estime-t-il.

Karel Vereycken

Age et lieu de naissance : 54 ans, né à Anvers (Belgique)
Lieu d’habitation : Argenteuil, banlieue parisienne (95)
Etudes : Baccalauréat d’art plastique à Bruxelles à l’institut Saint Luc. 2 ans d’étude de pédagogie à l’université libre de Bruxelles.
Profession :
Directeur de publication du journal bimensuel, Nouvelle Solidarité publié par le parti politique français Solidarité et progrès.
Parcours politique :

  • Aucun poste électif
  • Partisan actif de Jacques Cheminade

Internet et réseaux sociaux:
Site officiel: www.solidariteetprogres.org
Twitter : Karel Vereycken

Zadig & Voltaire prend ses quartiers sur Madison Avenue

Après l’ouverture en 2009 d’une première boutique dans le Meat Packing District, le label français a pris ses quartiers début mai en bas du Mark Hotel, au coin de la prestigieuse Madison Avenue. Dans ce flagshipstore de plus de 200 mètres carrés comptant six vitrines, New Yorkais et autres habitués de l’hôtel art déco cinq étoiles – qui abrite également le restaurant français réputé Jean-Georges – pourront découvrir l’univers  “bohème chic” de la marque créée en 1996 par Thierry Gillier. “Toutes les collections hommes, femmes et enfants, ainsi que toute la gamme d’accessoires y sont présentes, dans un décor propre au label émaillé çà et là d’œuvres d’art“, explique Anne Amorim, attachée de presse de la maison de mode depuis Paris.

Le Mark Hotel est un endroit coup de coeur pour le label de “luxe abordable” qui se définit comme “frenchy et arty” et attire une clientèle branchée et bobo. Le coin a d’ailleurs aussi séduit une autre marque de prêt-à-porter haut de gamme de l’Hexagone, Sandro, qui doit ouvrir une troisième boutique new-yorkaise à quelques mètres, au 986 Madison Avenue, l’automne prochain.

Prochaine étape, la Floride

A New York, Zadig & Voltaire compte également une enseigne sur Bleecker et Mercer street ainsi qu’un corner dans le Bloomingdale’s de la 59ème rue. Une prochaine boutique pourrait bientôt voir le jour dans SoHo tout comme un corner dans le Bloomingdale’s du même quartier. L’enseigne est ainsi implantée sur la côte Ouest depuis 2005, avec une boutique à Hollywood et San Francisco au sein de Bloomingdale’s tandis qu’une boutique en Floride est dans les cartons.

Rétrospective Hans Erni à Houston

Le Museum of Printing History de Houston expose jusqu’au 9 juin une quarantaine d’affiches du peintre, graveur et illustrateur suisse Hans Erni. Inaugurée au mois de février dernier, à l’occasion du 103e anniversaire de l’artiste, toujours actif, cette exposition est la première rétrospective majeure aux Etats-Unis de ce Suisse formé notamment à Paris. Elle constitue donc une bonne occasion de découvrir ce dessinateur influencé par le cubisme au début de sa carrière et connu pour ses fresques, ses dessins reproduits sur des timbres et ses travaux pour la Croix rouge suisse.

Jeudi 10 mai à 18 h 30, la professeure de graphisme à l’université de Houston Sybille Hagmann et le photographe d’origine suisse John Bernhard feront une visite guidée de l’exposition.

Infos pratiques :

The graphic arts of Hans Erni, du mardi au samedi de 10 à 17 heures jusqu’au 9 juin (visite commentée jeudi 10 mai à 18 h 30) au Museum of Printing History, 1324 West Clay à Houston. Tarifs : la visite libre est gratuite ; la visite guidée coûte $7 . Renseignements au 713 522 4652 ou sur le site internet du musée.

La Renaissance aux portes de Dallas

A défaut de pouvoir visiter le château de Chambord ou l’abbaye de Fontevraud, les amateurs texans de la Renaissance peuvent se rendre au Scarborough Renaissance Festival organisé chaque année depuis 1981 au Sud de Dallas. Tous les week-ends jusqu’au 28 mai (Memorial Day), les visiteurs peuvent se plonger dans l’Angleterre d’Henri VIII en assistant à des spectacles de musique, de clowns, de fauconnerie, de théâtre, de conte, d’acrobatie… Mais aussi des tournois à cheval, des compétitions de lancer de couteau et des combats à l’épée. Les francophones pourront même échanger avec le magicien, jongleur et mime français Arsène (photo) dans la langue de Molière. Des restaurants, des boutiques de vêtements d’époque, d’armures et d’artisanats divers ainsi que des débits de boissons parsèment ce village de 35 acres situé dans un écrin de verdure. Un défilé a lieu tous les jours à 13 heures. Et un juge est prévu pour assurer l’ordre (mais il a plutôt tendance à faire rire la galerie…).

Infos pratiques :

Scarborough Renaissance Festival, les samedis et dimanches de 10 heures à 19 heures jusqu’au 28 mai (Memorial Day), 2511 FM66 à Waxahachie. Tarifs : $24 pour les adolescents et les adultes, $9 pour les enfants de moins de 12 ans, gratuit pour les enfants de moins de quatre ans. Renseignements au 972 938 3247 ou sur le site internet de l’évènement.

Pour M83 à Houston et Dallas, réservez dès maintenant

Porté par le succès de la chanson Midnight City, saluée par la critique et utilisée dans plusieurs séries télé, le groupe électro-pop M83, alias Anthony Gonzalez, est en tournée en Amérique du Nord et en concert au Texas à partir du 17  mai, puis de nouveau les 10 et 11 octobre, dans le cadre d’une extension de la tournée internationale initialement programmée pour présenter leur album Hurry Up, We’re Dreaming.

Ce dernier est le premier composé à Los Angeles, où le musicien originaire d’Antibes a emménagé il y a deux ans. Tout en s’inscrivant dans la lignée des albums précédents, notamment Saturdays = Youth et Before the Dawn Heals Us, le double album sorti à l’automne dernier marque sa différence en introduisant par exemple le son du saxophone, jusqu’ici inconnu chez M83. Et il a largement retenu l’attention du public, car les trois concerts programmés à Dallas et Austin ce mois-ci sont d’ores et déjà complets.

Infos pratiques :

Le 17 mai à 20 heures à la House of Blues de Houston, 1204 Caroline. Tarifs : $25, 23 à l’avance. Renseignements et réservations sur le site internet de la salle.

Les concerts du 18 mai à Austin et des 19 et 20 mai à Dallas sont complets.

Le 10 octobre à 20 heures au Bayou Music Center de Houston, 520 Texas. Tarifs : 29,50 à 35 $. Réservations sur Live Nation.

Le 11 octobre à 20 heures à la Palladium Ballroom de Dallas, 1135 South Lamar. Tarif : $30 . Renseignements et réservations sur le site internet de la salle.