Accueil Blog Page 1531

Antoine Treuille: "Je rejoindrai l'UMP"

Ils sont une quinzaine à avoir annoncé leur intention de se présenter à l’élection législative des 2 et 16 juin dans la circonscription Amérique du Nord. Pour vous aider à faire votre choix, et mettre un visage sur le nom des principaux candidats, French Morning lance une nouvelle émission consacrée à cette toute première campagne législative des Français de l’étranger. Nous avons installé nos caméras au coeur de Bryant Park, le plus français des parcs new-yorkais, pour cette “Promenade de campagne” au cours de laquelle ceux qui briguent votre suffrage parleront de leur programme et de leur parcours.

Le premier invité est Antoine Treuille, président (sortant) de la French American Foundation, divers droite. Il nous parle de “l’expat bashing” à la mode en France, de son soutien à la prise en charge des frais de scolarité dans les lycées français, et de son intention de rejoindre les rangs de l’UMP s’il est élu (la vidéo est ci-dessous).

[youtube https://www.youtube.com/watch?v=ug8tgwotxNM]

Frédéric Lefebvre lance son site de campagne

Frédéric Lefebvre a choisi l’entre deux tours pour lancer son site de campagne. Le secrétaire d’Etat aux PME, candidat de l’UMP à la législative dans la première circonscription (Etats-Unis et Canada), y présente son programme, son bilan et les raisons qui l’ont poussé à se présenter. «Je veux mettre mon expérience de la politique au service de vos intérêts, de vos préoccupations et défendre la vision du monde que vous portez », écrit-il aux électeurs de la circonscription.

Vu par la gauche et certains militants UMP comme un « parachuté », M. Lefebvre aura fort à faire pour prouver qu’il comprend les problématiques des Français d’Amérique du Nord. Son site de campagne laisse penser qu’il compensera ce que certains voient comme un « désavantage » en mettant en avant son CV. Son slogan de campagne n’est autre que « l’expérience parlementaire pour vous défendre » en référence aux portefeuilles parlementaires et ministériels qu’il a occupés – ce proche de Nicolas Sarkozy a été tour à tour député de 2007 à 2009, porte-parole de l’UMP et Secrétaire d’Etat chargé du Commerce, de l’Artisanat, des Petites et Moyennes Entreprises, du Tourisme, des Services, des Professions Libérales et de la Consommation. Point d’allusion, en revanche, sur le site, à son enfance américaine, qu’il n’avait pas hésité à avancer par le passé pour justifier son américanophilie. En effet, en décembre dernier, dans un message adressé aux Français d’Amérique du Nord, il disait « avoir vécu plusieurs années » à New York, alors qu’il expliquait en septembre, sur son blog, n’y avoir passé qu’un an et demi… quand il était bébé.

Le site comporte les témoignages de soutien d’Edouard Courtial, secrétaire d’Etat chargé des Français de l’étranger, et de Jean-François Copé, ainsi que des tribunes, des vidéos et même une pétition «pour l’annulation de la loi SB1520 de l’Etat de Californie interdisant le gavage et le commerce des oiseaux gavés ainsi que les produits issus du gavage d´un oiseau». Pour découvrir les propositions détaillées de M. Lefebvre dans les domaines de la fiscalité, de la protection sociale ou encore de l’éducation, l’internaute doit se créer un  compte.

Visiter le site ici

"Gossip" fait parler New York

Le groupe de rock américain Gossip sera au Terminal 5 pour un concert qui s’annonce aussi déjanté que l’exubérante chanteuse du groupe Beth Ditto. Principalement influencé par le féminisme et les groupes de rock féminin comme Siouxsie and The Banshees ou Le Tigre, Gossip distille une musique qui mélange punk, soul et pop. Le groupe s’est fait connaitre du grand public grâce à son tube “Standing in the way of Control”, générique de la série trash pour ado, Skins, et a confirmé l’essai avec son quatrième album Music for men, qui contient notamment le hit “Heavy Cross”.
Infos pratiques : 
Gossip le 22 mai à 19h au Terminal 5, 610 West 56th Street. Tickets à $29,50 en pré-vente et à $35 sur place. 

La poésie éphémère de Ryan McGinley

Le photographe new-yorkais Ryan McGinley présentera sa dernière exposition, “Grids”, à la Team Gallery du 2 mai au 2 juin. Connu pour ses photos de jeunes filles souvent dévêtues, il a été le plus jeune photographe à être exposé au Whitney Museum. Il a également gagné le prix du meilleur photographe de l’année en 2003, décerné par le American photo magazine.

La série de clichés présentés dans “Grids” a été en partie réalisée dans des festivals de rock, comme Coachella ou Lollapalooza. La majorité des modèles sont des jeunes issus du public de ces événements, dont l’artiste s’attache à capter des instants de vie. Une exposition pleine d’insouciance et de poésie.

Infos pratiques : 

“Grids” de Ryan McGinley, du 2 mai au 2 juin, à la Team Gallery, 47 Wooster Street. Entrée libre. 

Charlie Winston, un "hobo" à New York

Musicien anglais, français d’adoption, Charlie Winston sera en concert le 14 mai au Mercury Lounge. Le prodige, qui a grandi dans une famille de musiciens, apprend le piano jeune. Il entre à 17 ans dans une faculté de musique à Londres, avant de s’installer à Paris où il mène une vie de bohème. Remarqué par le chanteur Peter Gabriel, il participe à sa tournée en 2007 et enregistre, dans les studios Real World, son premier album auto-produit Make Way. Le label Atmospheric le contacte en 2009 et produit le tube Like a hobo, qui assurera au chanteur plusieurs semaines en tête des charts français.

Infos pratiques : 

Charlie Winston, le 14 mai à 18h30 au Mercury Lounge, 217 East Houston Street. Entrée à $12. 

Le Wyoming fait sa promo à LA

Difficile de trouver sa place dans l’offre touristique américaine face à des destinations telles que la Californie, la Floride ou New York. L’Etat du Wyoming l’a bien compris et cherche donc à se démarquer de ses concurrents en proposant de nouvelles solutions pour s’évader lors des prochaines vacances.

Certes, son atout principal reste le parc naturel de Yellowstone, où plus de 3 millions de visiteurs (6 millions pour les trois principaux parcs) se pressent chaque année, mais le bureau du tourisme souhaite montrer que sa richesse ne se limite pas à cela : «Le Wyoming est différent des autres Etats grâce à ses trois merveilles que sont Yellowstone, Grand Teton National Park et le Devils Tower National monument, raconte Lori Hogan, responsable de communication pour l’office du tourisme. Mais nous aimons aussi souligner que notre Etat offre un “Western way of life” très différent de celui dont les autres Etats se réclament. Chez nous, les grands espaces et le contact avec la nature sont un vrai art de vivre. Le rodéo (ndlr : le Wyoming est le seul Etat à sponsoriser des cowboys et cowgirls professionnels), la vie dans les ranchs et la vie sauvage dans une nature à perte à vue, voilà notre quotidien. C’est pourquoi notre message de promotion indique : Wyoming – Forever West».

Il est vrai que les grands espaces n’y manquent pas. Dixième Etat des USA par sa superficie, le Wyoming est aussi le deuxième moins peuplée (570 000 habitants) et sa capitale, Cheyenne, ne compte même pas 60 000 âmes. «Au moins, on ne se marche pas dessus !, sourit Lori Hogan. Cela nous permet d’avoir une style de vie plus lent, plus tranquille et relax. Nos visiteurs peuvent ainsi se détendre et se reconnecter avec la nature et nos montagnes qui dépassent les 4 000 mètres.»

Présent à Los Angeles du 21 au 25 avril lors de l’incontournable salon du tourisme International Travel Pow Wow réunissant plus de 5 000 professionnels du tourisme, dont 1 000 pour les seuls USA) déterminant le succès de l’année touristique à venir, l’office de l’”Equality State” n’était pas venu sans quelques atouts supplémentaires dans sa manche.

A l’heure où la consommation avec modération et l’alimentation saine dominent les consciences, le Wyoming, surfant toujours sur la vague western, a ainsi mis en avant sa toute nouvelle production de whisky. «Le Wyoming Whiskey est installé à Kirby, une petite ville de 57 habitants au Nord de Thermopolis. Il s’agit de la première distillerie légale de l’Etat du Wyoming !” Elle fut fondée par Kate et Brad Mead en 2007, et livrera son premier tonneau en décembre 2012. “Cela va mettre en lumière notre Etat, d’autant que cette entreprise souhaite réaliser un Bourbon de classe mondiale en utilisant 100% de produits (grains et eau) venant de notre terre.»

Outre l’alcool et les cowboys, l’Etat s’enorgueillit également de son respect des cultures ancestrales. Le Wyoming possède en effet l’une des plus importantes réserves indiennes, la «Wind River Indian Reservation», terre de 2 500 Eastern Shoshone et 5 000 Northern Arapaho. Mais ce territoire, régi par les lois indiennes indépendantes, n’est pas forcément accessible à tous.

Infos pratiques:

Plus de renseignements : www.wyomingtourism.org

Informations sur la distillerie : www.wyomingwhiskey.com

"Les Lalanne", la sculpture en couple

La galerie Paul Kasmin présente une exposition consacrée au travail du couple de sculpteurs François-Xavier et Claude Lalanne.

François-Xavier Lalanne étudie le dessin, la sculpture et la peinture à Paris, côtoyant notamment Constantin Brancusi, René Magritte et Salvador Dali. En 1952, il tient à Paris sa première exposition personnelle de peinture. Il décide de travailler avec sa future femme, Claude, avec qui il conçoit le Jardin des Halles, à Paris. Il l’épousera en 1967.

François-Xavier Lalanne est surtout connu pour ses sculptures d’animaux, domestiques ou sauvages (rhinocéros). Il les a également représentés par l’intermédiaire de l’estampe. Une des sculptures de Claude Lalanne a, quant à elle, donné son nom (et servi d’illustration) à l’un des albums de Serge Gainsbourg, “L’homme à la tête de chou” (1976).

Infos pratiques : 

“Les Lalanne”, du 4 mai au 16 juin à la galerie Paul Kasmin, 293 10th Avenue. Entrée libre. 

Jacksonville au rythme de la "French Week"

Le nom de Jean Ribault ne vous dit peut-être rien. Pourtant, du 28 avril au 4 mai, il sera une star à Jacksonville, en Floride. Il y a 450 ans, ce navigateur français, huguenot, pénétrait dans l’estuaire de la Saint John’s River et s’empressait d’y ériger une colonne frappée aux armes de la France. La première colonie française de Floride était née ! En 2012, pour la première fois, une semaine de festivités lui rend hommage.

L’événement, appelé « French Week », est né d’une résolution défendue par le représentant républicain de Jacksonville, Lake Ray, devant la Chambre des Représentants de Floride, à Tallahassee : « Cette résolution a été décidée afin de reconnaître officiellement la contribution du peuple français à l’histoire de la Floride, qui a commencé en 1562, dit-il. Grâce à la Révolution américaine et aux deux guerres mondiales, les liens entre nos deux nations demeurent très puissants. Donc, nous sommes honorés de saisir l’occasion du 450e anniversaire du débarquement de Jean Ribault sur la St John’s River pour célébrer notre amitié permanente et la contribution du peuple français au patrimoine de la Floride ».

Dans le cadre de cette « French Week », la marine française fera son entrée dans le port à bord de deux goélettes, le lundi 30 avril, et le 1er mai à midi, tous les navires présents dans l’estuaire seront invités à faire retentir leurs sirènes pendant 45 secondes, tandis que les cloches de toutes les églises sonneront pendant quatre minutes et demie. Le même jour, à 18 h 30, les passionnés d’histoire pourront assister à une lecture du journal de Jean Ribault. Un programme chargé, donc, pour commémorer une expérience coloniale plutôt brève. En effet, à son départ de Floride pour Dieppe, Jean Ribault a laissé l’administration de la colonie à l’un de ses subordonnés, sans doute un peu trop autoritaire, au point que ses propres soldats choisirent de s’en débarrasser. C’en était fini de la présence française en Floride. En 1564, une autre expédition fut envoyée pour tenter de la rétablir. En vain. Le 22 mai de l’année suivante, Jean Ribault quitta à nouveau Dieppe, bien décidé à faire à nouveau flotter les couleurs de la France sur la «Terra Florida». Mais les Espagnols étaient arrivés avant lui, galvanisés par la haine du roi d’Espagne, Philippe II, envers les huguenots français. En septembre, Jean Ribault sera fait prisonnier et rapidement exécuté.

Rappelons que la « French Week » de Jacksonville est exceptionnelle: il faudra attendre 50 ans pour la prochaine édition. A moins que des Français ou francophiles ayant des amis au Sénat ou à la Chambre des Représentants se mobilisent pour faire du 1er mai une «Journée de la France» en Floride.

Repas alsacien au PicNic

L’Union Alsacienne organise son Annuel Spring Luncheon au restaurant alsacien PicNic. Le chef André Soltner, qui a récemment eu les honneurs du New York Times, en est l’invité vedette. Le déjeuner sera aussi l’occasion de rencontrer et présenter les nouveaux membres du bureau administratif de l’association. Le propriétaire de PicNic, Jean-Luc Kieffer, vous accueillera avec des tartes flambées en apéritif, suivies d’un repas à trois plats aux saveurs de l’Alsace. Le déjeuner comprend deux verres de vin.

Infos pratiques :

Annual Spring Luncheon. Le dimanche 29 avril à partir de 13h. Restaurant PicNic. 2665 Broadway. Le repas est à $60 pour les membres et $70 pour les non membres. Réservation par téléphone: 347-2283-665. Pour plus d’informations ici

La BD fait son festival

Certes, ce n’est pas Angoulême, mais en dix ans l’évènement est devenu le rendez-vous des amateurs de BD new-yorkais.  Le MoCCA Fest 2012, du  Museum of Comic and Cartoon Arts, rassemble des milliers d’auteurs de BD et passionnés pour deux jours de conférences, discussions et dédicaces.
Dans ce cadre, les auteurs français José-Luis Bocquet et Catel Muller présenteront leur BD, Kiki de Montparnasse, avec au programme des séances de signatures. Kiki de Montparnasse surnommée la Reine de Montparnasse fut la modèle, muse et amante d’artistes célèbres tels que Man Ray et de toute cette génération de créateurs qui fuyaient la déprime de la Grande Guerre. L’ouvrage a remporté le prix « le Fauve d’Or » au Festival d’Angoulême de 2012.
Infos pratiques :
MoCCA festival. Le samedi et dimanche 28 et 29 Avril de 11 h à 18h. Museum of Comic & Cartoon Art. 68 Lexington Avenue. Pour voir les horaires de la séance de dédicace des deux auteurs français ici. Pour la programmation et plus d’informations sur le festival ici. 

Dans le Bronx, l'autobus de la culture

Le tintement de la cloche annonce un départ imminent. « En dix ans, nous n’avons jamais perdu un seul voyageur, ne soyez pas le premier ! », plaisante Phil Cardone, coordinateur du Bronx Culture Trolley, à l’intention des passagers.

Depuis décembre 2002, chaque premier mercredi du mois, la réplique d’un trolley du début du XXe siècle part du Hostos Community Center dans le Bronx pour relier les galeries, les restaurants et les centres de loisirs du South Bronx. A son bord se mêlent habitués et néophytes, touristes et résidents qui communient autour de la même curiosité pour le paysage culturel du South Bronx. Le voyage est gratuit et chacun est libre de descendre à n’importe quel arrêt prévu au cours du circuit. Rassurez vous : l’autobus ne vous laissera pas au milieu de nulle part. Il fait plusieurs rondes pour permettre à chacun de visiter le plus grand nombre de lieux. « Ils viennent parfois de l’autre bout du monde », se réjouit le souriant Phil Cardone, en parlant des participants.

Le Bronx Culture Trolley a été mis en place par le Bronx Council for the Arts, un organisme chargé de promouvoir la vie culturelle bronxite. Le trolley permet en effet d’accéder facilement à la vie culturelle d’un borough plus connu pour son taux de criminalité et ses difficultés économiques que sa scène artistique. Pourtant, depuis quelques années, le South Bronx renaît. Autrefois l’un des quartiers les plus violents des Etats-Unis, il attire aujourd’hui grâce à ses loyers abordables et sa proximité de Manhattan. Avec l’afflux de créatifs, une scène artistique, restreinte mais réelle, s’y développe. Si bien que des agences immobilières inspirées vendent désormais le quartier sous le nom de « SoBro », au risque de faire sourire les locaux. « Une fois, des gens du Midwest m’ont demandé si j’avais déjà tué quelqu’un, juste parce que je viens du Bronx ! », s’indigne une habituée du trolley. « Je ne dis pas qu’il n’y a pas de problèmes dans le Bronx mais il faut que les médias arrêtent de dire n’importe quoi. Il y a pire quartier à New York ».

Lors de la virée de mars, le trolley s’est arrêté au Bronx Museum, qui présente notamment le travail de l’artiste cubain Emilio Sanchez jusqu’au 17 juin. La Gordons Park Gallery expose, jusqu’au 6 mai, « le visage de Katrina » sur les victimes de  Katrina en 2005 et les paysages ravagés par l’ouragan. Quant à la galerie du Lincoln Hospital, elle célébrait jusqu’au 31 mars la coutume afro-américaine de peinture sur visage. La tournée des galeries se termine généralement au Bruckner Bar and Grill, un des restaurants du coin. Prochaine expédition : mercredi 2 mai.

Infos pratiques :

Bronx Culture Trolley, le premier mercredi de chaque mois à 17h30, 18h30, 19h30 au départ de Hostos Community College, 450 Grand Concourse (Bronx) – Le programme est disponible ici

Crédit Photo : Bronx Council on the Arts

Stéphane Hessel à Pen World Voices 2012

(Mise à jour: la discussion entre Stéphane Hessel et Edgar Morin est annulée) Le festival international de littérature, Pen World Voices, revient du 30 avril au 6 mai à New York. Il a été fondé en 2005 par Esther Allen et Michael Roberts, sous la direction de Salman Rushdie, président du PEN American Center, une organisation à but non lucratif qui travaille notamment à la promotion de la littérature. Le festival propose des lectures, des conversations et des débats pour mettre en valeur le travail des stars, montantes ou installées, de la littérature mondiale.

Pour cette édition 2012, 100 écrivains et éditeurs venus de 25 pays sont attendus. Des Français seront bien entendu de la partie. Parmi eux, Anka Muhlstein, lauréate du Goncourt de la biographie et du prix d’histoire générale de l’Académie française. Elle sera présente le 5 mai au nouveau Standard Hotel pour parler du thème de la métamorphose. Le 2 mai, les écrivains Eugène Nicole (Le Caillou de l’Enfant-Perdu) et Lila Azam Zanganeh (The Enchanter : Nabokov and Happiness) se retrouveront à l’heure du déjeuner pour lire des extraits de leurs derniers ouvrages. Deux héros de la résistance, Stéphane Hessel, auteur d’Indignez vous !, sorti en 2010 et traduit en 30 langues, ainsi qu’Edgar Morin, se retrouveront dimanche 6 mai pour une conversation sur leur vision de la révolte. L’auteur de Persepolis, Marjane Satrapi, et Françoise Moulhy du New Yorker, participeront également au festival.

Infos pratiques :

Pen World Voices. Du 30 avril au 6 mai. Pour voir toute la programmation et les lieux c’est ici.