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NBA : Rencontrez Tony Parker et Boris Diaw

Voici une opportunité à ne pas manquer pour les amateurs de basket. Jeudi 26 avril à 19h30, l’équipe des San Antonio Spurs (championne NBA en 1999, 2003, 2005 et 2007), emmenée par les Français Tony Parker et Boris Diaw, viendra jouer à Oakland sur le parquet des Golden State Warriors.

Il s’agira du dernier match de saison régulière de la formation texane avant d’entamer les play-offs pour décrocher le titre NBA, les Warriors étant, quant à eux, d’ores-et-déjà éliminés. En prévision de cette rencontre, l’équipe californienne a décidé, suivant une idée du consulat de France à San Francisco, de mettre en place trois offres exclusives à l’intention de la communauté française de la Bay Area. Cent places étaient initialement à vendre à tarifs préférentiels : 60 dollars au plus près du terrain, et entre 19 et 34 dollars pour les autres). Mais devant l’enthousiasme soulevé par cette opération, la direction de la franchise NBA californienne a même décidé d’ajouter 50 tickets supplémentaires, ce qui porte à 150 le nombre de places disponibles.

Cerise sur le gâteau, les heureux acquéreurs de ces billets auront l’opportunité de rencontrer brièvement Parker et Diaw après le match. L’occasion de leur faire signer quelques autographes ou de poser en photo avec les deux joueurs qui partageront le brassard de capitaine de l’équipe de France cet été lors des Jeux Olympiques de Londres.

Par ailleurs, le consulat de France tente de mettre en place un concours pour faire gagner le maillot de David Lee, l’un des meilleurs joueurs des Warriors.

Le consulat précise également que si cette opération est un succès, elle pourrait être reconduite la saison prochaine lors du passage à Oakland des différentes équipes NBA où évoluent des joueurs français.

Pour profiter de cette offre (sans frais et sans taxes ajoutées), cliquer ici 

 

Affordable Art Fair: le programme

« Nous sommes heureux de continuer la grande histoire de l’Affordable Art Fair à New York pour cette édition de printemps », confie Judith Pineiro, directrice de l’Affordable Art Fair aux Etats-Unis.

L’événement a fait son grand retour, jeudi et jusqu’au 22 avril, à New York, avec son lot d’exposants et d’amateurs d’art à la recherche d’une pépite à bas prix. Objectif de la manifestation: démystifier l’art contemporain en le rendant accessible à tous. Ainsi, la moitié des peintures, sculptures et photographies exposées sont vendues à moins de $5 000.

Depuis sa création en 1999, la foire est devenue un phénomène international. Elle attire 11 millions de visiteurs chaque année et est présente dans onze villes (notamment Amsterdam, Bristol, Singapour, Londres, Los Angeles ou encore Milan). Trois cent millions de dollars de ventes d’art contemporain sont réalisées au cours de ces événements.

L’édition 2012 rassemble plus de 75 exposants locaux et internationaux. Une galerie francaise, Envie d’Art Galleries, sera de la partie. A ne pas manquer non plus, le démonteur d’images Jamel Béribèche représenté par la galerie new-yorkaise Artemisia au stand F-5. Il n’y pas que les adultes qui trouveront leur compte : les organisateurs ont également prévu, les samedi 21 et dimanche 22, des activités pour enfants.

Infos pratiques :

Affordable Art Fair. Du 18 au 22 avril. 7W 34th Street. Ouvert le 19 et 20 de 14h à 21h, le 21 de 11h à 20h et le 22 de 11h à 18h. L’entrée est à $12 ($10 pour les étudiants et les seniors). Gratuit pour les moins de 12 ans. Pour plus d’informations ici

L'Alliance Française de Pasadena fait parler les pierres

Qui a dit que les vieilles pierres ne pouvaient pas parler ? L’Alliance Française de Pasadena organise ce vendredi 20 avril une conférence sur ce que les pierres des édifices de l’architecture médiévale révèlent de l’histoire de cette période. La conférence sera en français et présentée par Barbara Vigano, professeur émérite de français à Mount SAC et Bob Perkins, professeur d’architecture à Mount SAC.

Infos pratiques :

“Des Pierres nous parlent…” Alliance Française de Pasadena 34 E. Union St. Pasadena – le vendredi 20 avril a 19h. Gratuit pour les membres. $10 pour les non membres. Site ici

Neuhaus arrive sur Madison Avenue

Peu de personnes le savent et pourtant, le maître-chocolatier belge Neuhaus fut, il y a tout juste 100 ans, l’inventeur de la praline. Ces bouchées fourrées au chocolat, les New Yorkais pourront les découvrir sous toutes leurs facettes, grâce à l’ouverture, au 500 Madison Avenue, d’un luxueux flagshipstore de plus de 120 mètres carrés.

L’espace, qui a ouvert ses portes jeudi, se veut ambitieux. Toute la gamme prestigieuse du créateur chocolatier, importée de Belgique, y est proposée:  des pralines classiques fourrées aux noisettes ou à la crème vanille, aux plus exotiques, disponibles en édition limitée, comme les pralines aux fruits rouges. La “Madison”, une praline au chocolat noir fourrée de noisettes, d’amandes et de sucre caramélisé, a été créée spécialement pour la boutique et y est vendue en exclusivité. Pour Jos Linkens, CEO de l’entreprise, «ce flagshipstore est une étape importante pour le développement de la société, après l’ouverture des boutiques situées à Grand Central et sur Lexington Avenue ».

L’un des buts de cette nouvelle implantation selon Dimitri van Meerbeeck, manager de la nouvelle boutique, est de faire rayonner la marque à New York pour ensuite la développer dans le reste des Etats-Unis. « New York est un très bon test pour savoir si un produit aura du succès auprès des Américains, explique-t-il. Un corner sera aussi inauguré prochainement dans un complexe commercial du Queens ».

Petit musée et bar à chocolat

Le magasin comporte également un bar à chocolat où seront organisées des démonstrations – pour particuliers ou entreprises – ainsi que des dégustations par un maître-chocolatier belge invité. L’espace propose aussi un petit musée qui retrace l’histoire de l’entreprise et expose d’anciens moules et autres accessoires utilisés pour la fabrication du chocolat.

Infos pratiques:

Neuhaus, 500 Madison Avenue (entre la 52ème et la 53ème rue). 

Camille Claudel doublement à l'honneur à Houston

Restée dans l’ombre d’Auguste Rodin, avec qui elle a travaillé et entretenu une relation tumultueuse au cours des années 1880 et 1890, jusqu’au film avec Isabelle Adjani et Gérard Depardieu de 1988, la sculptrice Camille Claudel fera bientôt l’objet d’un double hommage à Houston. Mardi 24 avril, l’Alliance française de la ville accueille une table ronde sur les sources d’inspiration et l’exceptionnel talent de cette artiste. Du 3 au 5 mai, le chorégraphe Dominic Walsh présentera en effet au Hobby Center for the Performing Arts sa dernière création, inspirée de la vie dramatique de Camille Claudel.

Cette dernière a vécu dans la misère car son sexe empêchait de voir son art reconnu à sa juste valeur. Elle a sombré dans la folie avant de mourir de malnutrition pendant la seconde Guerre mondiale, au terme de trois décennies d’internement. Sa biographie sera présentée par la photographe Karine Favre-Massartic en ouverture de la conférence-débat de mardi. Outre la photographe et Dominic Walsh, celle-ci rassemblera le professeur d’histoire de l’université Rice Daniel Cohen, l’attachée culturelle adjointe du consulat général de France à Houston Charlotte Esnou, et la directrice de la  Texan-French Alliance for the Arts et organisatrice la soirée, Karine Parker-Lemoyne.

Infos pratiques :

Conférence Camille Claudel, mardi 24 avril de 18 h 30 à 20 h 30 à l’Alliance française de Houston, 427 Lovett Blvd, à Houston. Gratuit. Renseignements sur le site internet de la Texan-French Alliance for the Arts.

Spring Mixed Rep, du 3 au 5 mai à 19 h 30 au Zilkha Hall du Hobby Center for the Performing Arts, 800 Bagby Street, Ste. 300, à Houston. Tarifs : de 15 à 52 $. Renseignements et réservations sur le site internet du Dominic Walsh Dance Theater.

Suivre les résultats avec les étudiants de Saint Edwards, à Austin

Les Français du Texas qui voudraient suivre les résultats du premier tour de l’élection présidentielle avec leurs compatriotes et les francophiles intéressés par la campagne française n’ont pas l’embarras du choix. Nous n’avons eu connaissance que d’un seul évènement public  dans l’Etat, à l’université Saint Edwards, à Austin. Les sept Alliances françaises texanes comme les accueils francophones de Houston, Dallas et Austin sont en effet tenus à la neutralité politique et préfèrent ne pas s’engager sur ce terrain glissant en programmant un déjeuner électoral (même si cela n’a évidemment pas empêché les membres de ces associations d’aborder le sujet de la présidentielle ces dernières semaines…). Quant aux restaurants français du Lone Star State, ils ne sont pas tous ouverts le dimanche, n’ont pas toujours le matériel pour retransmettre les émissions télévisées françaises ou ne souhaitent pas troubler leurs convives en invitant la politique à table.

La plupart des francophones texans va donc suivre les résultats du premier tour de la présidentielle à domicile, en famille voire avec des amis. Mais sur le campus de Saint Edwards, « on s’est dit avec les potes que ce serait bien de faire quelque chose d’un peu plus grand », raconte Alexandre Barray, l’un des quinze Français préparant le diplôme de cette université fondée en 1885 par un ordre français, la congrégation de la Sainte Croix, et qui a ouvert il y a deux ans un campus à Angers, en partenariat avec l’université catholique de l’Ouest. Ce dernier propose notamment aux jeunes bacheliers français de venir étudier à Austin après une première année de cours en anglais à Angers.

L’idée de retansmission du premier tour ayant pris corps tardivement, les organisateurs ne sont pas en mesure d’offrir un buffet. Mais chacun peut amener de quoi grignoter. Des demandes de financement ont aussi été lancées et si le public est au rendez-vous, ils espèrent réserver une  salle plus grande pour le second tour. Sinon, « on fera peut-être plutôt quelque chose en dehors du campus », indique Alexandre Barray.

Infos pratiques :

French Presidential Elections 2012 – First Round, dimanche 22 avril de 11 h 30 à 14 h 30, Saint Edwards University Main Building, 3001 South Congress Avenue, à Austin. Gratuit. Inscriptions sur la page Facebook de l’évènement.

A Los Angeles, Johnny renaît

Son grave accident qui avait défrayé la chronique à l’hiver 2009 n’est plus qu’un mauvais et lointain souvenir. A 68 ans, Johnny Hallyday est de retour, prêt à entamer une tournée mondiale 2012 de plus de 50 dates, dans de nombreuses villes inédites… dont la Cité des Anges. “Il est en grande forme et a hâte de remonter sur scène pour cette grande première”, confirme Françoise Doux, son attachée de presse.

Depuis près d’un mois, l’idole des “jeunes” répète tous les après-midis avec ses musiciens, dans un studio de Burbank, une banlieue au nord de Los Angeles, où se préparent de nombreux artistes avant leurs concerts. Récemment, Johnny y a même croisé le chanteur des Beatles Paul McCartney, qui travaille dans le même studio.

LA, la ville qui a sauvé Johnny

Si Johnny a choisi Los Angeles, comme première date de sa tournée, le 24 avril prochain, c’est principalement parce qu’il vit ici avec sa famille (à Pacific Palisades, ndlr). C’est très pratique pour les répétitions. Après bien sûr, il y a aussi une part symbolique importante liée à son accident…”. Johnny affirmait même récemment, dans un entretien à l’AFP, que Los Angeles, lui avait “sauvé la vie”. “C’est grâce (…) à un docteur américain que je suis là aujourd’hui. Pour moi, c’est un peu comme recommencer ce que je n’avais pas pu finir la dernière fois, à Los Angeles”, se confiaitil. Victime d’une opération chirurgicale qui a mal tourné, le chanteur hospitalisé, avait du annuler son Tour 66.

Un album à paraître fin 2012

“Il a commencé par travailler les musiques, puis les rythmiques, puis les cuivres et les chœurs. Aujourd’hui, nous sommes à quelques jours de son premier concert: il répète le final”, précisait mardi soir son attachée de presse. Ses musiciens sont pour moitié français mais aussi américains. Il a choisi comme directeur Yarol Poupaud, un musicien-producteur français qui a notamment travaillé avec le groupe de rock FFF.

Le programme du concert de LA est encore en train d’être peaufiné. Mais on sait déjà qu’en plus des classiques,il y aura plusieurs interprétations en anglais. Tout au long de sa tournée, Johnny devrait par ailleurs, présenter en exclusivité et tester sur le public, certaines de ses nouvelles chansons qui figureront sur un album à paraître fin 2012″, précise Françoise Doux.

Le concert aura lieu à l’Orpheum Theater, une salle de concert mythique des années 20 où se sont produits les Marx Brothers, Ella Fitzgerald, Duke Ellington ou encore Aretha Franklin. Habitué aux stades gigantesques, le rocker français devrait remplir sans trop de difficultés les quelques 2 000 places de cette (petite) salle californienne. En revanche, pour des questions logistiques évidentes, son entrée sur scène sera moins spectaculaire que celle de ses précédents spectacles. “Il a tout de même prévu quelque chose”, glisse son attachée de presse, un brin énigmatique. Parmi le public, il y aura “des Français installés aux Etats-Unis, mais aussi des fans venus spécialement de France qui suivent Johnny partout dans ses tournées, des professionnels, des amis, ainsi qu’un petit public d’Américains, intéressés par le chanteur”.

Johnny répète actuellement, avec ses musiciens, une quarantaine de titres, teintés de blues-rock. Seule une bonne moitié sera jouée la semaine prochaine sur la scène de l’Orpheum Theater. Car le chanteur prépare en réalité, déjà la totalité de sa tournée: après son concert à LA, le 24, il repartira pour la France en mai avec un concert à Montpellier le 14, puis le Stade de France, les 15, 16 et 17 juin. Enfin, pour la première fois de sa carrière, il se produira le 7 octobre à New York, ainsi que sur la scène du Royal Albert Hall à Londres, les 15 et 16. Bref, un vrai retour en fanfare.


L'Amicale des anciens combattants du Texas perd son président

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Le président de l’Amicale des anciens combattants et anciens militaires français du Texas, de l’Oklahoma, de l’Arkansas et de la Louisiane, Jean Toureilles, est décédé dans la nuit du 14 au 15 avril à Houston, à la suite d’une attaque cardiaque. L’association compte une cinquantaine de membres et participe aux cérémonies du 14 juillet, aux défilés du 11 novembre et à d’autres célébrations en lien avec les associations américaines d’anciens combattants, tout en organisant des temps de convivialité pour ses adhérents tout au long de l’année. Sa mort est d’ailleurs survenue « après un samedi agréable passé à jouer à la pétanque avec certains membres de l’Amicale », précise le secrétaire de l’association, René Chapelle, dont M. Toureilles était un ami d’enfance.« Inutile de préciser que la mort de Jean nous touche beaucoup et a un grand impact sur le futur de l’Amicale », poursuit-il.

Le consul de France à Houston, Frédéric Bontemps, s’est déclaré lui aussi « très touché par le décès de Jean. Son activité remarquable à la tête de l’association des anciens combattants lui valait l’estime de tous. Nous avions d’excellentes relations et j’appréciais personnellement au plus haut point le rôle qu’il jouait pour la promotion de l’image de la France au Texas ».

« Jean Toureilles fait partie de ces Français difficiles à remplacer, car ils vont bien au-delà de l’entretien des relations franco-américaines », confirme Damien Regnard, le représentant de la région à l’Assemblée des Français de l’étranger (AFE).

Au-delà des itinéraires militaire et associatif de Jean Toureilles, René Chapelle rappelle que son ami « a eu un parcours d’ingénieur distingué. Il était le patron de l’entretien, aux Etats-Unis, d’énormes et coûteuses machines maintenant la continuité du courant pour les grandes banques et les sites internet ».

Les obsèques seront célébrées à la  Cypress Fairbanks Funeral Home, 9926 Jones Road, à Houston, ce vendredi 20 avril à 14 heures. La famille Toureilles informe qu’il est possible d’envoyer des fleurs à cette adresse jusqu’à vendredi midi.

"Le songe d'une nuit d'été" selon le New York City Ballet

Le New York City Ballet jouera, durant cinq soirs du mois de juin, un ballet culte : “Le Songe d’une nuit d’été”. Adapté de la pièce éponyme de Shakespeare,  c’est l’une des rares oeuvres comiques de son répertoire. L’histoire rassemble plusieurs éléments et personnages : deux amoureux transis, le roi et la reine des fées, et une troupe de comédiens amateurs. Tous vont s’entrecroiser dans une forêt étrange, le temps d’une nuit ensorcelante qui ressemble à un rêve. Sur une musique composée par Felix Mendelssohn (la fameuse “Marche Nuptiale” est extraite de cette oeuvre), le chorégraphe de renom George Balanchine a créé le ballet en 1962, qui depuis connait un succès phénoménal.

Infos pratiques : 

“Le songe d’une nuit d’été” par le New York City Ballet, du 5 au 10 juin, au David H Koch Theater, 20 Lincoln Center Plaza. Tickets entre $29 et $150.  

Michel Auder, l'oeil qui filmait tout

« Dans les années 1900, tout le monde est allé à l’école, alors tout le monde est devenu écrivain. Dans les années 2000, avec l’apparition des caméras bon marché, tout le monde est devenu film maker ».

« Film maker », Michel Auder l’est depuis beaucoup plus longtemps. Cela fait plus de quarante ans qu’il filme presque tous les jours, tout ce qui le happe. Originaire de France, il s’est installé à New York en 1969 et s’y est acheté une Sony Portapak, une des premières caméras commercialisées.

Depuis, ses travaux ont été exposés au Museum of Modern Art et au Whitney Museum of American Art de New York, au Centre Pompidou de Paris. Et Michel Auder continue à capturer des images, les mêlant avec des films plus anciens piochés dans ses impressionnantes archives, qu’il sélectionne, monte et remonte à l’infini. C’est par exemple le cas d’une pièce exposée, La Plage L’Opium (ci-dessus), réalisée en 2009 en juxtaposant des images tournées sur une plage au Maroc en 1967, et d’autres tournées au Chelsea Hotel en 1971, lors de consommation d’opium.

Observateur délicat, Michel Auder montre ce qu’il voit – des  femmes occupées à choisir et essayer des vêtements et des bijoux à Rome dans Shopping Head, tourné en 1989, ou sa fille, enfant en 1977, en plein monologue intérieur dans Talking Head. Une série de gros plans sur des visages, entrecoupés d’images de statues au regard plongé, dans Heads of the Town. Les gens qui s’observent d’un immeuble à un autre dans UNTITLED (I was looking back to see if you were looking back at me to see me looking back at you).  « Les gens pourraient croire que c’est du voyeurisme, mais je révèle plus que cela », précise-t-il. Pour se faire une idée, direction Santa Monica.

Informations pratiques :

Michel Auder and Giulia Piscitelli, jusqu’au 19 mai à la galerie Kayne Griffin Corcoran, 2902 Nebraska Avenue, Santa Monica, California 90404, T +1 310 586 6886 – Site ici

Site internet de Michel Auder 

David Martinon quitte le Consulat de Los Angeles

Les jours de David Martinon en Californie sont désormais comptés. Arrivé au terme de son mandat, le consul général de France à Los Angeles sera prochainement remplacé, comme l’indique le Journal Officiel du 8 avril dernier,  : “Par décret du Président de la République en date du 6 avril 2012, M. Axel Cruau, conseiller des affaires étrangères, en fonctions à l’administration centrale, est nommé consul général de France à Los Angeles, en remplacement de M. David Martinon, appelé à d’autres fonctions.”
Du côté du consulat de Los Angeles, on se borne à ne vouloir faire aucun commentaire sur cette passation de pouvoirs. Pour l’heure, seule la nomination d’Axel Cruau est donc publiée au J.O., mais pas encore celle de David Martinon. En clair, ce dernier reste consul général en poste -probablement jusqu’à cet été- du moins tant que les discussions sur sa future «destination» n’ont pas abouti. L’ancien porte-parole de l’Elysée (avant de tomber en disgrâce lors des élections municipales de Neuilly en 2008), David Martinon n’est pas encore fixé sur un éventuel “recasage”.
Son successeur au consulat, Axel Cruau, arrive, à 38 ans, avec un parcours déjà riche dans la diplomatie française. Il était depuis mars 2011 au cabinet du ministre des Affaires Etrangères et conseillait notamment Alain Juppé sur les Nations Unies et les organisations internationales, après avoir été en poste à Pékin et à la mission française aux Nations Unies, pendant cinq ans.

Quatre siècles de dessins français à NYU

Une exposition retraçant quatre siècles de dessins et croquis français ouvre ces portes le 17 avril à la Grey Art Gallery de NYU. Personnages historiques, mythologiques ou encore bibliques apparaissent dans ces œuvres signés Jacques Callot, François Boucher, Théodore Rousseau, Jean-Louis Forain ou encore Théophile Alexandre Steinlen.

L’exposition regroupe plus de cinquante œuvres. Elle révèle une grande gamme d’expressions et de techniques utilisées entre les XVIe et XIXe siècles.

Infos pratiques :

Storied Past four centuries of french Drawings. Du 17 avril au 14 juillet Grey Art Gallery, New York University, 100 Washington Square East. Pour plus d’informations ici.