Accueil Blog Page 1552

Dans l'univers déjanté de Thomas Barbèy

Un coq qui danse sur la pointe des pieds, des skieurs qui foncent sur une nappe de tissu, les fous costumés du carnaval de Venise qui disséminent des graines d’amour dans le ciel de Paris… Autant d’images poétiques réalisées par Thomas Barbèy.

Depuis vingt ans, le photographe collectionne les clichés de villes, d’arbres, de plages, d’animaux, de personnages dansant, courant, riant, et les combine au gré de ses inspirations, à la main, dans sa chambre noire. « Pour créer un montage, je commence par un concept. Puis s’ensuit la pose et la sélection des négatifs. L’image est ensuite conçue en choisissant soigneusement une technique d’impression, je mets les négatifs en sandwich et je les imprime simultanément, puis je re-photographie le collage, créant ainsi un nouveau négatif pour enfin reproduire un nombre limité de tirages », raconte-t-il.

Contrairement à nombre de photographes de sa génération, Thomas Barbèy n’utilise donc pas d’ordinateur pour monter ses images. Le résultat: des compositions surréalistes et poétiques, inspirées notamment par l’imaginaire de René Magritte, un de ses artistes préférés.  « Bien qu’on me demande toujours comme je procède, j’aimerais penser qu’on peut apprécier mes images sans réellement connaître la virtuosité technique qui les sous-tend ». Pour se faire une idée, c’est à Chelsea que ça se passe.

Infos pratiques :

Thomas Barbèy, « Dreams from the dark room », jusqu’au 21 avril à la Galerie Emmanuel Fremin , 547 West 27 Street, suite 508, New York City, tel. 212.279.8555, www.emmanuelfremingallery.com

Crédit photo:  Galerie Emmanuel Fremin

DanceBrazil, la danse comme combat

La compagnie de danse DanceBrazil présente son nouveau spectacle,  Dance like a Fight – Fight like a Dance, entre danse contemporaine, les arts martiaux et capoeira.

La compagnie fut fondée en 1977 par Jelon Vieira, chorégraphe brésilien et enseignant qui, en 2000, fut reconnu par le centre culturel brésilien de New York comme pionnier de l’art de la danse afro-brésilienne et de la capoeira aux Etats-Unis. Le célèbre chorégraphe Alvin Ailey a rejoint le conseil d’administration de la compagnie en 1980. DanceBrazil a depuis présenté des spectacles dans de nombreuses salles réputées comme le Avery Fisher Hall du Lincoln Center.

Infos pratiques :

Dance Brazil. Joyce Theater. 175 8th Ave. Du 27 mars au 8 avril. Pour les horaires, tickets et plus d’informations ici. Les tickets sont à $10. 

The Two, tout en douceur

Le duo The Two qui a sorti son premier album eponyme porté par le single evanescent “I wanna be with you again” sera en concert au Poisson Rouge. Ce duo est formé d’Ara Starck, fille de Philippe, et de David Jarre, fils de Jean-Michel. Si les deux protagonistes ont choisi une carrière artistique comme leur deux illustres paternels, la ressemblance s’arrête là. Les deux chanteurs jouent plusieurs instruments et posent leur voix sur de délicieuses ballades romantiques aux douces sonorités pop-folk.

Infos pratiques : 

The Two en concert le mercredi 28 mars à 19h au Poisson Rouge, 158 Bleecker Street, entrée à $12.  

South By Southwest, côté coulisses

0

Quinze mille professionnels de la musique et 300.000 festivaliers. South South by Southwest (SXSW), qui s’est achevé dimanche, a encore une fois été «the place to be» pour les musiciens avides de reconnaissance américaine. Alors comment faire pour se faire remarquer quand on est un “petit français”? Cette année, ils étaient une vingtaine, pour beaucoup venus dans les valises du “Bureau Export de la musique française”. Et tous repartent avec une conviction: il n’y a guère de règle, hormis celle de plaire aux oreilles des organisateurs.

Tout le monde a sa chance: entre les célèbres Yelle DJs, dont la tournée est organisée par la principale agence nord-américaine (The Agency Group), et College, qui revient, à la suite d’une tournée avec Anoraak en 2009 (car le titre A real hero figure sur la bande originale du film Drive sorti l’an dernier), il y a un monde.

Ce n’est pas uniquement la programmation du festival qui explique son succès, mais aussi les opportunités de rencontres qu’il offre. Ainsi, dans les coulisses de la soirée France Rocks co-présentée par le Burex et The Agency Group mercredi 14 mars dans l’une des principales salles de concert d’Austin, a-t-on vu Yelle et l’unique membre de College, David Grellier, en grande discussion. Tout ce petit monde se connaît à force de se croiser. Des tournées américaines peuvent ainsi prendre forme et « on peut aussi débloquer des choses pour la France », témoigne Caroline Voisin, gérante de l’agence Voyez mon producteur, ravie d’avoir pu parler, à un confrère français, de la bande originale du Voyage dans la Lune en couleurs de Méliès, composée par Air.

« En temps normal on croise les DJ électro que l’on connaît par internet de temps à autre, un par-ci, un par-là. En trois jours à Austin, nous en avons vu plus d’une dizaine », raconte ainsi Alexis Bruaert, du duo BeatauCue.

Actuellement en tournée mondiale, ce dernier figurait parmi les premiers groupes annoncés par les organisateurs de l’évènement, sans même être à l’affiche de la soirée France Rocks. Quant au groupe folk rock Toguna, de la Réunion, il a rejoint la programmation du festival il y a seulement un mois et demi, après qu’un des membres de l’équipe SXSW l’a entendu au festival sud-africain Moshito. « Nous sommes allés à Johannesburg et cela nous a amené ici. Nous n’avons pas eu le temps de caler d’autres dates américaines et nous ne savons pas encore où SXSW va nous emmener, mais nous sommes déjà en discussion avec un tourneur états-unien », commente Sîla, le leader de Toguna.

Pour des groupes moins installés que Toguna sur la scène internationale, tels que Gush, qui sera en tournée en Amérique latine dans les prochaines semaines, ou bien les métalleux de Mars Red Sky et Zenzile, co-présentés à SXSW par le Bureau export et Angers Loire Valley dans le cadre du jumelage entre Austin et Angers, SXSW revêt une importance d’autant plus stratégique. « Le festival ne leur ouvre pas la porte du marché américain, mais il constitue une fenêtre d’exposition, explique Michèle Amar, la directrice du Burex de New York, qui sélectionne les artistes en fonction de leur potentiel aux Etats-Unis. Ensuite, c’est la musique qui parle ».

En emmenant des groupes à Austin, « nous faisons toujours des paris, témoigne Matthieu Pinsard, d’Alias Production (Gush, Anoraak, mais aussi The Two). Mais si l’on vise  le marché américain, il est impossible de faire l’impasse sur SXSW ». Des dizaines de groupes devraient encore taper à la porte du Bureau export l’année prochaine.

Le choc de Toulouse

Entre radicalisation du discours politique et tragédie de Toulouse, l’ambiance est malsaine en France. C’est, en tout cas, le sentiment que l’on peut avoir en lisant la presse américaine ces derniers jours. Ainsi, depuis lundi, les médias couvrent abondamment la tuerie au collège juif Ozar Hatora, dans laquelle quatre personnes, dont trois enfants, ont été abattus froidement par un individu casqué qui a pris la fuite en scooter.

Alors que certains médias, comme le Christian Science Monitor, comparent le drame à celui de Columbine en 1999, d’autres s’attardent sur le caractère antisémite de l’acte. « La France a une histoire complexe avec l’extrême droite », raconte notamment CNN, rappelant que Jean-Marie Le Pen s’est hissé au second tour de l’élection présidentielle de 2002 et que sa fille Marine est candidate cette année. Que « Nicolas Sarkozy lui-même a dit dans une interview plus tôt ce mois-ci qu’il y avait trop d’immigrés en France ». Le Washington Post note quant à lui que “la plupart des juifs en France vivent en sécurité et participent activement à la vie citoyenne, la plupart des actes antisémites visent des monuments (cimetières, synagogue) plutôt que des personnes“. Cependant, le journal place la tragédie toulousaine dans un contexte d’« antisémitisme rarement violent, mais latent », qui se manifeste à travers « des lettres de menaces régulières qui parviennent aux autorités religieuses juives“, “des tombes d’israélites que l’on retrouve souvent profanées“. « La religion – et l’antisémitisme – pénètre dans le débat public, jusqu’à l’élection présidentielle actuelle dominée récemment par une polémique autour l’abattage rituel ».

Hollande, l’homme qui “propose une réforme toutes les heures”

Ambiance malsaine disions-nous ? Pour nos amis américains, les responsables sont tout trouvés : les candidats à la présidentielle. Ainsi, selon le New York Times,  la campagne de M. Sarkozy devient-elle “de plus en plus moche“. Pour le journal, il ne fait aucun doute que si Sarkozy est battu, “cela sera parce qu’il a tenté de refermer l’écart entre lui et M. Hollande” de la plus vile façon possible, en “pêchant dans le banc des électeurs du Front National“.  Le président candidat “pense peut être que c’est intelligent de promouvoir le racisme et la xénophobie” en oubliant que cela “entache la société française“. Le Wall Street Journal lui s’en prend à François Hollande, dans un édito au titre évocateur « France’s Race to the Bottom ». “Candidat dont la campagne est décidément ennuyante“, le socialiste aurait tellement peu d’idées qu’il “récupère celles de M. Sarkozy, réalisant que celles sur la lutte contre les marchés financiers pourraient lui prendre son électorat“. D’ailleurs, Sarkozy et l’homme (Hollande) qui propose “une réforme toutes les heures et “une nouvelle taxe toutes les demi-heures” ne sont pas si différents l’un de l’autre : ils appartiennent tous deux « à la catégorie de politiciens qui pensent que la chose la plus importante est de prendre le pouvoir ». A noter toutefois que le candidat socialiste n’est pas un vendu pour tout le monde : pour le Chicago Tribune, il “pourrait secrètement être un candidat réformateur”  qui “souhaiterait réellement sortir le Parti Socialiste français de son enlisement idéologique et le rapprocher d’une politique de centre gauche“. Une affirmation qui peut surprendre quand on sait que François Hollande a proposé de taxer à hauteur de 75% les revenus supérieurs à un million d’euros. Pourtant, pour le journal, M. Hollande sait que cette mesure ne sera pas appliquée car il « garde en tête que si François Mitterrand est arrivé au pouvoir en 1981 avec des idées d’inspiration marxiste, il a dû changer de programme deux ans après son élection quand il a constaté que ses politiques avaient entraîné la chute de la valeur du Franc ».

Mélenchon prend la Bastille

Dans ce paysage politique encore et toujours dominé par les deux mêmes, on comprend mieux l’intérêt de la presse pour… Jean-Luc Mélenchon.  Le candidat du Front de Gauche, près de 10% d’intentions de votes dans les sondages, tenait un rassemblement dimanche dernier place de la Bastille : “Il a marché sur la Bastille“, titre l’agence de presse Associated Press, avec un certain amusement. En effet, l’extrême gauche est quasi-inexistante dans le paysage politique américain. Si l’on en croit AP, Mélenchon “va jouer un rôle incroyablement important dans la campagne présidentielle française“.  Digne réincarnation de Robespierre, il “a électrifié la foule de son aura” avec ses discours “typiquement anti-capitalistes“, puis, tel un Lénine, a “mené la foule en chantant l’Internationale“. “Beaucoup de gens votant traditionnellement à gauche trouvent que M. Hollande ne va pas assez loin et veulent utiliser le scrutin du premier tour pour exprimer leur mécontentement“, croit savoir le journal.

Les Françaises supérieures aux Américaines

Tuerie antisémite, climat politique délétère qui favorise l’extrême gauche… qui peut sauver la France cette semaine ? Sans doute le New Yorker . Dans un article intitulé « Vive la France » (enfin !), Paul Rudnick, se faisant passer pour une Française, revient sur toutes les raisons pour lesquelles la femme française est supérieure à l’Américaine. Forme physique, mode, éducation… tout y passe. Notre préférée : à propos de l’affaire Strauss-Kahn: « Sa femme est restée à ses côtés, pour une raison très simple: elle a épousé un Français. Au moins, elle n’aura jamais à dire : mon nom est Mme Newt Gingrich ».

Focus on French Cinema, le programme

Focus on French Cinema n’est pas un festival comme les autres. Il a été créé en 2005 par l’Alliance Française de Greenwich (Connecticut) et en est déjà à sa huitième édition. L’idée est née en 2003, “à une époque où les relations franco-américaines n’étaient pas vraiment au beau fixe“, reconnaît Catherine Lamairesse, fondatrice et co-présidente du festival. « Il m’a alors semblé comme évidence que le cinéma était le meilleur véhicule pour se faire comprendre des communautés américaines et françaises ».

Loin des mastodontes du box-office gaulois ou des films clichés sur la société française, les films sélectionnés par un comité de cinéphiles français et américains visent à préserver une certaine idée de cinéma “à la française“. “Les films à grand budget sont souvent choisis et achetés par les distributeurs américains et seront donc disponibles dans les salles américaines et ils restent beaucoup de très bons films français qui méritent d’être présentés au public américain“, raconte Mme Lamairesse. Le festival favorise ainsi grâce à sa sélection des thèmes inédits (la grossesse dans “Un Heureux événement”, la Résistance musulmane dans “Les Hommes libres”), des genres différents (thriller, comédie romantique, etc.), et la promotion d’une autre vision de la France que celle de “Paris et ses clichés“.

Au programme de la soirée d’ouverture, le superbe film d’Alix Delaporte, “Angèle et Tony”, histoire d’amour passionnelle et destructrice qui réunit Clothilde Hesme et Grégory Gadebois, sacrés “meilleurs espoirs” aux Césars 2012. Le jeune héros du film “La permission de Minuit”, Quentin Chazal, 13 ans, sera également présent durant le festival. Le public pourra aussi redécouvrir des films déjà projetés lors de Rendez Vous with French Cinema, un festival de films français qui a lieu tous les ans à Manhattan, comme “Pater” ou “Impardonnables”. Et nouveauté cette année, une après-midi sera entièrement consacrée aux courts-métrages issus de pays francophones.

Pour la clôture du festival, les organisateurs présenteront en exclusivité américaine, “Un Heureux événement”, satire joviale de la grossesse avec Louise Bourgoin et Pio Marmaï.

Infos pratiques :

« Focus on French Cinema » Du 23 au 25 mars au Performing Arts Center de SUNY Purchase, Pepsico Theater – 735 Anderson Hill Road,  Port Chester, NY 10573. Programme, directions et informations ici.  Tarifs et vente des billets ici.

"A bout de souffle", un mythe au Lincoln Center

Véritable monument sur pellicule d’un réalisateur tout aussi mythique, “A Bout de Souffle” signe les débuts d’un géant: Jean-Paul Belmondo, sous les traits d’un jeune délinquant admirateur de Humphrey Bogart. L’anti-héros est amoureux d’une belle américaine, incarnée par Jean Seberg, qui l’accompagne dans sa recherche d’un mystérieux magot alors qu’il est recherché par la police. Tous les ingrédients du film noir sont rassemblés dans ce 35mm restauré en 2010 et projeté à l’occasion du 15ème anniversaire de Rialto Pictures, une compagnie spécialisée dans la distribution de films dits « classiques ».

Infos pratiques :
A Bout de Souffle“, Jean-Luc Godard, 1960, jeudi 22 mars à 13h15 au Walter Reade Theater, 165 West 65th street. L’entrée est à $10 et les places s’achètent ici. 

Le Français fait moins dodo que l'Américain

Aux Etats-Unis, quand le marchand de sable passe, il a la main plutôt lourde. Selon une enquête de 2010 du Bureau of Labor Statistics, les Américains de plus de 15 ans dorment en moyenne 8h04 en semaine (9h03 le week-end). Les Français, eux, passent moins de temps dans les bras de Morphée : 7h05 en moyenne par jour et 8h11 le week-end. Les chiffres proviennent d’une enquête réalisée par l’Institut national de Sommeil et de la Vigilance en janvier 2012 (sur un échantillon de 1010 personnes représentatives de la population française âgée de 18 à 65 ans).

A noter que le sommeil des Français et des Américains à l’air d’évoluer. Un rapport de l’OCDE réalisé auprès de 18 pays en 2006 montraient que les Français dormaient légèrement plus que les Américains: 8h08 par jour en moyenne contre 8h06 pour les Américains. Le rapport avait alors décerné aux Français la palme du peuple de l’OCDE qui dormait le plus.

Le vote par Internet n'est pas au point

“Vote par internet: peut mieux faire”. C’est en substance la conclusion d’un test réalisé fin janvier auprès de 15.000 volontaires. Seuls 30% d’entre eux ont été en mesure d’exprimer leur choix au premier tour, contre 33% au second. « Probant » selon le Secrétaire d’Etat chargé des Français de l’étranger, Edouard Courtial. Inquiétant, pour la gauche. « Ce test a démontré que le dispositif était trop contraignant quant au type d’équipement et de configuration nécessaire, ce qui laisse présager une efficacité très moyenne du dispositif», estiment quatre sénateurs socialistes des Français de l’étranger dans un communiqué .

Parmi les problèmes rencontrés, des problèmes d’acheminements des mots de passe et des identifiants, de compatibilité des systèmes d’exploitation Apple ou encore de lisibilité des codes.  L’enjeu est pourtant crucial : le vote par Internet semble être, pour de nombreux Français, le meilleur moyen de faire leur choix, au vu des distances parfois très importantes entre le lieu d’habitation des votants et le bureau de vote le plus proche. C’est notamment le cas pour les Français du Canada, qui ne pourront voter que dans leurs consulats et Ambassade. De plus, certains d’entre eux ne pourront pas compter sur  le vote par correspondance, la date-butoir du 1er mars pour les inscriptions étant passée. Ce mode de vote est, de surcroît, tributaire des services postaux, qui connaissent une grande disparité dans leur rapidité de fonctionnement et les territoires couverts.

De son côté, le Quai d’Orsay a mis en ligne un questionnaire destiné aux participants du test pour l’aider à identifier les problèmes à l’origine du faible taux de réussite. « Le vote électronique dans le réseau diplomatique et consulaire est une première. Tous les efforts sont mis en œuvre pour permettre à nos compatriotes d’utiliser cette facilité en toute sécurité », promet le Ministère des Affaires étrangères sur son site.

Karl Lagerfeld vend son appart' pour $5,2 millions

Avis aux intéressés : Karl Lagerfeld cherche à vendre son petit bijou au sixième étage du luxueux 50 Gramercy Park North. Le styliste, directeur artistique chez Chanel, l’a remis sur le marché cette semaine pour la coquette somme de $5,2 millions, si l’on en croit le site d’immobilier Curbed.

L’appartement a une superficie d’environ 200 mètres carrés, compte trois chambres et trois salles de bain et demie, selon le site de Douglas Elliman, l’agence chargée de réaliser la transaction. Le bâtiment bénéficie notamment d’un doorman 24h sur 24, une salle de sport, un valet et un personnel de nettoyage.

Selon Curbed, Lagerfeld a acquis cet appartement, surplombant Gramercy Park dans le Flatiron District, pour $6,575 millions en 2006. L’été dernier, il a décidé de le mettre sur le marché au même prix, avant de le baisser à $5,2 millions peu de temps après. Retiré pendant plusieurs mois faute d’acheteur, le listing refait donc surface au même prix. Notre star n’est pas encore désespérée…

Les French Culture Nights prennent la Trump Tower

Les French Culture Nights sont de retour. Direction cette fois-ci le World Bar, situé au rez de chaussée de la fameuse Trump World Tower.  La photographe et réalisatrice française Marie Calfopoulos sera présente. Elle a déjà exposé ses portraits et paysages à deux reprises dans la Grosse Pomme, dont lors du « Bastille Festival » au Novotel de Times Square les 16 et 17 juillet 2011. L’artiste peintre et joaillère Hélène Pé et le DJ Vinny King sera aussi de la partie.
Infos pratiques :
French Culture Nights. World Bar. 845 United Nations Plz # A. De 18h30 à 1h du matin. L’événement est gratuit si vous vous inscrivez avant le jeudi 22 avril 16h à ici adresse. Sinon l’entrée est à $10 à la porte.

Oscar Wilde en prison, et sur scène

Reconnu coupable « d’actes indécents », Oscar Wilde est condamné à deux ans de travaux forcés. Il purge sa peine à la prison de Reading en Grande Bretagne. Il en sort en 1897.

Dans le cadre de la semaine internationale de la Francophonie, l’association francophone de l’ONU présente « Oscar Wilde ou rien ne vieillit comme le bonheur », une pièce de théâtre sur le procès d’Oscar Wilde, son temps derrière les barreaux et sa sortie. Cette pièce est mise en scène et interprétée par Sylvain Beltran, dont la pièce « Le dernier voyage de Monsieur Claudel » a été jouée plus de 300 fois en France, Belgique, Japon ou encore aux Etats-Unis.

Infos pratiques :

« Oscar Wilde ou rien ne vieillit comme le bonheur ». Jeudi 22 mars à 19h. L’évènement est gratuit. United Nations International School. 24-50 F.D.R Drive @ 23th St).