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Rebond new-yorkais pour Housse de Racket

Après avoir enflammé le Webster Hall en décembre au côté de Yelle, le duo de musique pop Housse de Racket revient en solo cette fois-ci au Bowery Ballroom. Fondé en 2005 par deux anciens musiciens occasionnels des groupes de rock français Air et Phoenix, le groupe s’est fait connaitre en 2008 quand est sorti son premier album « Forty Love » qui contient notamment leur morceau « Oh Yeah! », popularisé par plusieurs campagnes publicitaires. En 2011, Housse de Racket collabore avec le groupe de French touch Cassius. Pour Paul Lester, critique réputé au journal anglais The Guardian, c’est le meilleur groupe français des dix dernières années.

Infos pratiques : 

Housse de racket en concert au Bowery Ballroom, le jeudi 22 mars à 20h au Bowery Ballroom, 6 Delancey Street. Entrée à $13. 

Et vous, vous avez peur dans l'avion ?

Je reste dubitatif devant l’email de ce monsieur que je ne connais pas. Il a entendu parler de moi par l’un de mes ex-clients et je semble être son dernier recours. Ce n’est pas le ton d’urgence de son message qui me surprend – c’est souvent ainsi que l’on me contacte initialement – mais plutôt la nature même de son dilemme : Régis à une trouille folle de l’avion et « comme je dois aller en France deux fois par mois pour le boulot, cette histoire devient vraiment ridicule ». Il aimerait me rencontrer pour en parler, je ne suis pas sûr que cela soit une bonne idée. J’ai plutôt envie de le diriger vers une amie psychologue plus qualifiée, même s’il insiste qu’il sort d’une thérapie dont il a fait le tour. Après réflexion, je lui propose une discussion informelle au téléphone afin de déterminer si le coaching que je pratique est ce dont il a besoin. J’en doute, mais ma curiosité naturelle fait la différence.

Sa voix au téléphone est claire et enjouée. En effet, il est prêt à passer à l’action, le travail avec sa psychologue a porté ses fruits. Il m’explique le pourquoi, « c’est le seul moment de ma vie où je n’ai aucun contrôle », doublé d’une tragédie il y a quatre ans de cela, « un ami était dans cet avion qui a disparu au-dessus de l’Atlantique ». Il veut maintenant comprendre le comment, « il doit bien avoir une solution pour me débarrasser de cette peur, vous ne croyez pas ? ». Je n’en sais absolument rien. Une chose est sûre, il a vraiment envie de changer. Sans cela, il n’y a pas de coaching possible. On planifie une séance une semaine avant son prochain voyage. Á son retour, on décidera si cela vaut la peine de se revoir. Avant de me coucher, je suis tenté de googler « phobie et peur de l’avion ». Je me retiens et éteins mon ordinateur. Plus un coach est candide, plus il pose les bonnes questions.

Régis est un jeune homme de 35 ans, costaud, aux yeux bleu clair et à la bonne bouille de Ch’ti. Il décrit point par point, une angoisse après l’autre, à quoi ressemble sa phobie. Ce n’est pas très intéressant car peu surprenant. Il ressasse avec moi ce qu’il a ressassé avec les autres. Il est bien trop à l’aise dans ce rôle de victime reproduit tant de fois. J’ai envie de le secouer en l’aidant à découvrir des territoires inconnus, c’est là où il se révèlera. Que dirait-il à un proche lui confessant sa frousse terrible de prendre l’avion ? Le voilà sûr de lui. « Va faire du yoga, ça n’a pas de sens, tu prends plus de risques à traverser Broadway, c’est débile, c’est facile, tu manques de courage… ». Et montrer de la compassion pour cet individu qui sait déjà tout ce que vous lui déblatérez, mais qui n’arrive pas à s’en sortir ? Régis ricane, pris au jeu. « S’il le sait, il n’a qu’à le faire ! ». Alors pourquoi ne le faites vous pas ? « Car je suis un gros nul ». Ah, nous y voilà. Je ne sais pas si notre coaching l’aidera à résoudre son dilemme à 100%. Par contre, je suis convaincu qu’il n’a aucune chance d’avancer s’il n’apprend pas à mieux se connaître et à mieux s’aimer. Perplexe, il répond à chacune de mes questions sans en saisir l’importance. Je fouille mon client, ses passions, ses amis, ses amours, ses valeurs et ses principes de vie. Je lui renvoie son image. En une heure, il se retrouve un peu. « Si l’on faisait de nouveau le jeu de rôle de tout à l’heure, je serrerais mon ami dans mes bras en lui disant que c’est OK et qu’il peut compter sur moi ». Dont acte.

Á peine rentré de Paris, il m’envoie un sms, « faut que j’te raconte, je crois avoir compris quelque chose ». Le soudain tutoiement n’est pas gratuit. Il en a besoin pour former notre équipe. C’est le pilote, me voilà promu navigateur. Tous les jours avant son départ, il a offert ses conseils à son ami imaginaire, celui qui a peur de l’avion. Encore mieux, ils ont voyagé ensemble. Cela s’est à peu près bien passé, malgré deux-trois crises au décollage et lors de turbulences en plein vol. Régis à l’âme d’un coach. J’applaudis. La vérité est qu’il a arrêté de se flageller et qu’il voit maintenant son dilemme sous un angle différent. « En étant bon avec moi-même, j’ai réalisé qu’au lieu d’éliminer ma peur, quel tour de force, je peux commencer par apprendre à vivre avec ». Régis vient de faire une découverte importante. Je ne le laisse pas souffler et lui demande quel est son plan de bataille pour la mettre en application. Il m’avoue que sa panique vient des milliards de questions qu’il se pose dès qu’il est dans l’appareil. « D’où vient ce bruit sous mes pieds ? Le Steward à l’air inquiet, le pilote n’a rien dit depuis une demi-heure, pourquoi ? Qu’est-ce qui leur prend à tourner en rond dix fois avant d’atterrir ?…Si jamais, je ne pouvais ne m’en poser qu’une, celle que j’appelle la bonne, la justifiable, j’ai l’impression que ma peur de l’avion diminuerait drastiquement ». Je ne suis pas un spécialiste des phobies, et ne le serai jamais. Il est pourtant évident que Régis sait utiliser mon coaching à son avantage. Je l’accompagne dans son cheminement personnel, sans juger. Quelle peut bien être cette question ?

C’est sur un vol Paris-New York mouvementé qu’il l’a trouvée. Il s’attendait à un équipage français. La compagnie aérienne l’avait remplacé par un staff américain beaucoup moins glamour, mais tout aussi compétent. L’imprévu l’avait paniqué. Le voyage avait été long et douloureux. Il avait pensé à sa mort et à tout ce qu’un crash l’empêcherait d’accomplir plus tard, « j’ai encore tant de choses à faire ». Sur le tarmac de JFK, il s’était soudainement calmé. Maintenant qu’il a réappris à s’aimer, ce n’est pas du futur dont il veut s’inquiéter, mais du présent.

« Est-ce que j’ai bien vécu avant de mourir ? » est la question qu’il se pose maintenant avant chaque vol. Il fait tout pour que la réponse soit « oui » à chaque fois. Depuis, il maîtrise sa peur et arrive même à s’endormir sur son siège. C’est son truc, son stratagème, je le soutiens sachant que ce n’est qu’une étape vers son but suprême. Le coaching n’est pas une technique qui l’aidera à effacer cette phobie de sa vie, mais notre court travail l’a conduit à mieux se connaître et donc à prendre des décisions qui lui appartiennent. Nous continuons à nous voir une fois par mois afin de faire le point, et à chaque fois, je le sens plus serein. Pour lui, notre coaching est un ingrédient parmi d’autres qu’il a appris à utiliser à bon escient. Régis vient de commencer un traitement proche de l’hypnose qui, je l’espère, rangera définitivement au placard la terreur incontrôlable de ses débuts.

Pour en savoir plus sur ce qu’est le coaching avec Nicolas Serres-Cousiné, visitez www.monlifecoach.com

Catherine Deneuve recevra le prix Charlie Chaplin

The Film Society of Lincoln Center récompensera du prix Charlie Chaplin l’ensemble de la carrière de l’actrice mythique du cinéma français, Catherine Deneuve. Seront présents pour honorer la diva, sa fille Chiara Mastroianni, le réalisateur Arnaud Depleschin, qui a sublimé la star dans “Rois et Reine” ou “Un conte de Noël”, Susan Sarandon et Martin Scorsese.

Seulement deux acteurs français ont été honoré de ce prix qui existe depuis cinq décennies : Claudette Colbert et Yves Montand. La soirée rendra ainsi hommage au long parcours cinématographique de la belle de jour du cinéma français. Plusieurs extraits de ses films seront projetés.

Infos pratiques : 

Remise du 39ème prix Charlie Chaplin à Catherine Deneuve, le 2 avril au Lincoln Center, 70 North Broadway. Entrée à $175. 

Lanzmann à la NYPL: offre spéciale pour nos lecteurs

La New York Public Library offre une réduction de 40% aux lecteurs de French Morning sur la conférence de Claude Lanzmann, le mercredi 21 mars. Le code promotionnel « LANZMANN » devra être entré en réservant votre place sur le site www.nypl.org/live.

Le réalisateur du documentaire “Shoah” est de passage à New York pour parler de ses mémoires, dans lesquelles il revient sur sa vie dans l’Europe en guerre, la reconstruction, son amitié avec Jean-Paul Sartre et son histoire d’amour avec Simone de Beauvoir. Sorties en 2009 en France, elles viennent d’être traduites en anglais sous le titre de Patagonian Hare.

La conversation sera animée par Paul Holdengräber, directeur des programmes de la New York Public Library.

Infos pratiques :

Claude Lanzmann en conversation avec Paul Holdengräber – le mercredi 21 mars  à 19h. New York Public Library – 5ème avenue et 42ème rue. $25, $15 pour les membres, étudiants et seniors 212 930 0855 – Tickets ici 

Manon, au Met Opera

Le metteur en scène français, Laurent Pelly, présente son adaptation de l’opéra de Jules Massenet, Manon, au Metropolitan Opera. Adapté du roman L’histoire du chevalier Des Grieux et de Manon Lescaut de l’Abbé Prevost, Manon est un opéra en cinq actes écrit en 1884. L’histoire tragique, comme souvent à l’opéra, raconte la passion amoureuse du Chevalier Des Grieux pour une courtisane, Manon Lescaux.  C’est l’un des opéras les plus populaires du répertoire français, sans doute le mieux adapté au talent qui sait à merveille y dépeindre les sentiments moraux et amoureux, et y fait preuve d’une grande maîtrise de style. Interprété par Anna Netrebko dans le rôle titre, ce chef d’oeuvre est à voir ou à revoir.
Infos pratiques : 
Manon, du lundi 26 mars au lundi 23 avril, au Metropolitan Opera, 70 Lincoln Center Plaza. Tarifs de $55 à $650. 

Paul Taylor au Lincoln Center

Le célèbre chorégraphe américain Paul Taylor, contemporain et ami de Maurice Béjart, sera au David H. Koch Theater du Lincoln Center pour présenter sa dernière création artistique. Intitulé House of Joy, le spectacle a été conçu sur une musique de Donald York et l’action se situera dans une maison close. Connu dans le monde entier, il a créé sa propre compagnie de danse en 1954. Elle a réalisé des performances sur les scènes les les plus prestigieuses au monde, notamment au New York City Ballet. Honoré de plusieurs Emmy Awards, Paul Taylor, 82 ans, a été fait commandeur des Arts et des Lettres par le président François Mitterand en 1990.

Infos pratiques :

Paul Taylor et sa compagnie de danse jusqu’au 1 avril, au David H. Koch Theater, Lincoln Center, 10 Lincoln Center Plaza. Tarifs de $10 à $150. 

Jean-Pierre Bel rassure l'Amérique

A l’occasion de rencontres avec les cercles politiques et culturels de la capitale américaine, le président du Sénat a mis à profit sa visite pour «expliquer qui était François Hollande» et faire passer un «message et en tout cas un geste » que ses interlocuteurs « puissent bien comprendre et interpréter ».

«J’étais un peu surpris des craintes fortes dont on a entendu parler, cette angoisse de voir une alternance en France» a t-il déclaré, suite à une rencontre avec John Kerry, élu démocrate. Les rendez-vous internationaux qui suivront l’élection présidentielle française y sont peut être pour quelque chose, avec un G8 à Camp David (Maryland, Est des Etats-Unis) et le sommet de l’Otan à Chicago.

Jean-Pierre Bel, au cours de sa visite, a rencontré aussi bien des représentants républicains que démocrates et a expliqué qu’une victoire du Parti Socialiste n’était pas à craindre de la part des Américains. François Hollande «n’est pas là pour renverser la table, a t-il déclaré à la presse, la position française, quel que soit le nouveau président, est prévisible, c’est ça qui les intéresse ».

Après Washington, le président du Sénat est passé par New York, pour y rencontrer notamment le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-Moon. Là aussi, le message était celui de la continuité. “A la marge il peut y avoir des différences, a-t-il confié à la sortie du siège des Nations Unies mercredi. Par exemple sur la FINUL (Mission du Liban Sud), nous aurions sans doute retiré nos troupes moins brutalement, mais pour le reste l’engagement de la France sur la scène internationale restera le même”. Là encore, dit-il, “l’essentiel pour nos partenaires internationaux est que nous disions ce que nous allons faire et qu’ils sachent à quoi s’en tenir”. Bref, à l’international le message est clair: rassurez-vous, rien ne changera.

Francophonie : les arts s’emmêlent

Le FIAF présente « La soirée de la francophonie in New York » le lundi 19 mars. Un cocktail et une exposition auront lieu à cette occasion, ainsi qu’un spectacle réunissant des groupes venus des quatre coins du monde. Parmi eux, Fresque Musicale –by Ballet des Amériques.

Le groupe dirigé par la chorégraphe, chanteuse et directrice artistique Carole Alexis présente un spectacle original qui allie poèmes, danse, musique, langues et cultures. Le tout avec la francophonie en tête: ainsi les musiciens interprèteront notamment des chansons inspirées de la poésie des grandioses Aimé Césaire, Léopold Sédar Senghor et Léon-Gontran Damas.

« La francophonie, je baigne dedans depuis que je suis née », raconte Carole Alexis. L’artiste d’origine martiniquaise a grandi entre son île natale, la Bretagne, Paris, et le Sénégal où elle intégre la prestigieuse école de danse Béjart. Elle n’a que 13 ans à l’époque. « Je ne comprends pas pourquoi vouloir séparer les arts, estime l’artiste, qui apprécie le caractère pluridisciplinaire de la culture new-yorkaise. Les show de Broadway par exemple le montrent très bien», dit-elle. C’est cette particularité qui l’a poussée à fonder sa compagnie de danse Ballet des Amériques dans la Grosse Pomme en juillet 2011.

La répétition de Fresque Musicale –by Ballet des Amériques laisse entrevoir un surprenant mélange des genres. Les textes poétiques chantés avec énergie par Carole Alexis donne des frissons. L’ambiance est chaleureuse entre ces musiciens venus du Cameroun, de Madagascar, et de différentes régions de France. Un groupe à l’image de la diversité des cultures francophones à travers le monde.

Infos pratiques:

“Soirée de la Francophonie in New York”, le lundi 19 mars 2012 à  partir de 18h et sur invitation au FIAF, 55 East 59th Street. 

Metronomy, l'électro made in England

Le groupe de musique électronique anglais Metronomy sera en concert le 29 mars au Irving Plaza. Dans leurs productions, proches de la musique expérimentale, l’instrument prime sur la voix. Cela s’est confirmé adans leur album “Nights Out”,  à la fois pop et électro. Les musiciens ont sorti, début 2011, l’album “English Riviera” qui a connu un succès fulgurant et a été qualifié de “meilleur disque de l’année” par des revues musicales de renom comme NME ou Pitchfork. Les concerts de Metronomy sont autant des performances visuelles que musicales. En effet, sur scène, chaque musicien du groupe porte une lumière de couleur différente. Celle-ci s’allume en fonction des interventions musicales.

Infos pratiques : 

Metronomy en concert le jeudi 29 mars à 20h au Irving Plaza, 17 Irving Place, ticket à $26,50. 

Où fêter la Saint Patrick à Los Angeles?

Parade: L’annuelle South Bay St. Patrick Parade and Festival est de retour. La parade est devenue une tradition populaire à Hermosa Beach. Lancée en 1995, le défilé attire aujourd’hui plus de 40.000 personnes chaque année. Le départ se fait au croisement de Pier et Valley Drive le samedi 17 mars à 11h. Pour plus d’informations ici.

Familial: Voyez la vie en vert au marché d’Orange County. C’est la sixième édition annuelle de l’événement. Au programme, danse, chant et maquillage. Vous pourrez flâner et appréciez des produits (limonade, glace…) aux couleurs de l’Irlande, c’est-à-dire en vert. Orange County Market Place. 88 Fair Drive Costa Mesa. De 10h à 15h30 le samedi 17 mars. L’entrée est à $2, gratuite pour les enfants en dessous de 12 ans. Pour plus d’informations ici.

Concert en plein air: Envie de rock? La famille entière peut venir écouter un concert en plein air à Pershing Square.  Des groupes de rocks irlandais tel que « The Young Dubliners », mais aussi des spectacles de danse et de cornemuse sont au programme. Pershing Square. 532 S Olive St. Samedi 17 mars à partir de midi. L’entrée est gratuite. Pour plus d’informations ici

Tournée des bars : Pour découvrir Hollywood sous un angle plus trash, une énorme tournée des bars locaux est organisée, le vendredi 16 et le samedi 17 mars. Chaque bar offre des cocktails spéciaux. Le vendredi, la tournée débute à 15h et le samedi, à midi. Prêt à relever le défi ? Saint Paddy’s Pub Crawl Hollywood. Pour les informations sur les tickets et la réservation ici.

Viva la fiesta : Le plus grand festival de bière d’Hollywood organise une soirée des plus chaudes le samedi 17 mars au Pig N’Whistle and Egyptian Theater. L’Irlande et le vert sont à l’honneur. DJ Mike Palmieri sera de la partie. Plus de 1.000 personnes et des « beer station » seront sur place. St. Patrick’s Day Beer Festival. Pig N’Whistle and Egyptian Theater Courtyard. 6712 thru Hollywood. La soirée débute à 22h et se termine à 2h du matin. L’entrée est à $10. Pour plus d’informations ou achetez les tickets ici.


Diane Von Fürstenberg pour les enfants

Il n’y a décidément pas d’âge pour être une fashionista. Et la célébrissime Diane Von Fürstenberg, grande prêtresse des Fashion Weeks new-yorkaises, ne dira pas le contraire. Après Marni x H&M ou Kate Moss for Mango, c’est la “cool-laboration” de DVF et Gap qui fait le buzz cette semaine. La couturière vient en effet de s’associer avec le géant du vêtement cheap et casual pour créer une collection capsule de prêt-à-porter pour… les enfants. On pourra ainsi retrouver dans toutes les boutiques Gap des Etats-Unis les basiques de la créatrice : robes portefeuilles pour les petites filles et chemise à imprimés façon Bauhaus pour les petits messieurs. Le tout à des prix alignés sur ceux des grandes enseignes de distribution. DVF for Gap Kids, (en photo ci-contre), à partir du jeudi 15 mars dans tous les magasins Gap des Etats-Unis. 

Le magasin de lingerie chic Kaori’s Closet invite les New-yorkaises à faire leur shopping dans une ambiance boudoir. Sa collection de sous-vêtements, pyjamas et autres caracos est soldée à moins de 50%. Ces dames pourront ainsi trouver le bonheur parmi plusieurs articles de lingerie griffés Stella McCartney, Elle Macpherson Intimate, Myla ou encore Aubade. Kaori’s Closet Tokyo, 71 West Houston Street. 

Attention bonne affaire ! Le magasin branché de Soho, Bit+piece, solde à moins 90% une partie de sa collection. Parmi les marques proposées, on retrouve pêle-mêle du Hugo Boss, Diane Von Fürstenberg ou des vêtements de créateurs plus jeunes comme Theory ou Elizabeth & James, la maison de couture des jumelles Olsen. Bit+piece, 246 Mott Street.

Envie d’une coiffure chic? La boutique Bride’s Head Revisited propose des accessoires et des bijoux rien que pour vos cheveux soldés jusqu’à moins 75%. La maison, spécialisée dans les accessoires de mariage, propose des diadèmes, des barrettes, des broches ou des voilettes. Bride’s Head Revisited, 1123 Broadway, au croisement de 25th Street.

Mardi, c'est macaron !

Rose, mauve, jaune, beige. La légendaire pâtisserie française qui se décline dans tous les goûts et toutes les couleurs pourra être dégustée gratuitement lors de « Macaron Day », ce mardi 20 mars. Ce jour-là, les pâtissiries new-yorkaises participantes offrent en effet un macaron à ceux qui en font la demande.

Institué en 2010 par le chef français François Payard, propriétaire du François Chocolate Bar et de François Payard Bakery à New York, « Macaron Day » correspond au  « Jour du Macaron » créé à Paris par la Maison Pierre Hermé Paris et le Relais Dessert.

Infos pratiques :

 « Macaron Day », le mardi 20 mars dans les pâtisseries participantes.