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La Reine de l’Underground refait surface

Quarante ans de questionnements humanistes sur fond de culture alternative, c’est ce que transporte sur scène Penny Arcade, dont l’intelligence, le charisme et la sincérité ne manqueront pas de toucher.  Celle qui fut superstar pour Andy Warhol à l’âge de 17 ans s’intéresse à ce qui nous lie, en tant qu’êtres humains, et nous marginalise. « Aimez quelqu’un et laissez quelqu’un vous aimer en retour, c’est ce que vous pouvez faire de plus politique », aime-t-elle dire. A Los Angeles, elle présentera trois esquisses de travaux en cours : il sera question d’amour et de désir dans Longing Lasts Longer, de contre-culture gay dans Old Queen, et d’art, d’ambition et d’annihilation dans Denial of Death Pt 1. Quelques minutes seront également consacrées à la projection de vidéos.

Née Susana Carmen Ventura, Penny Arcade vient d’une famille italienne – et longtemps après, dans le spectacle La Miseria, elle a dépeint la difficulté d’y être une femme. A l’âge de 13 ans, elle a fui ; et à 17 ans, a trouvé refuge dans le New York des années 1960, le New York des gays, des junkies, des prostituées, des génies. Elle s’est ancrée dans le Lower East Side où, depuis les années 1980, elle se consacre à la performance en solo. Son spectacle le plus célèbre, BITCH ! DYKE ! FAGHAG ! WHORE !, hymne à la liberté ponctué de danses érotiques, a tourné dans une vingtaine de villes du monde entier depuis sa création en 1990, et sera présenté de nouveau à Londres en juin 2012.

Que Penny Arcade sur scène ? Elle parle, provoque, interroge, s’émeut, s’énerve. Elle blague beaucoup, elle danse un peu. Point de genre théâtral particulier, mais un besoin vital de communiquer par des mots, son corps, sa voix et une franchise hors du commun. Attendez-vous à une soirée inattendue, drôle, et certainement stimulante.

Informations pratiques:

Penny Arcade, The Girl Who Knew Too Much, vendredi 23 mars à 20 heures, Human Resources, 410 Cottage Home St, 90012 Chinatown, Los Angeles – entrée 8$ Le site Internet de Penny Arcade : http://www.pennyarcade.tv/

Son livre, Bad Reputation Performances, Essays, Interview, ed. Semiotext(e), sera en vente pour 20$, et une séance de dédicaces aura lieu après la performance. Le livre est également disponible sur Amazon.  

Où fêter la Saint Patrick à New York?

L’incontournable: L’évènement de la journée, c’est bien évidemment la Saint Patrick’s Day Parade de New York. Elle existe depuis 1792 et est la plus importante au monde avec 250.000 participants et environ deux millions de spectateurs. Elle aura lieu le samedi 17 mars à partir de 11h. Elle s’élancera de la 44th St et 5th Avenue pour terminer vers 14-15h à la 79th St. Les tribunes sont situées entre la 62th et 64th Sts. Elles sont accessibles uniquement sur réservation. Pour plus d’informations ici.

Pour ceux qui n’habitent pas à Manhattan, pas de jalousie. Des défilés de la Saint Patrick existent dans les « outer-boroughs». Celui de Brooklyn aura lieu le dimanche 18 mars. Son itinéraire commence à 15th St et Prospect Park West à 13h. Pour plus d’informations ici.

La Bretagne dans le coup: Les Bretons du Bagad Plougastell et du Cercle Celtique Bleuniou Sivi, en déplacement à New York pour une semaine, participeront au défilé sur la 5ème Avenue. Pas moins de cinquante musiciens seront de la partie. Une fois le défilé terminé, les deux groupes participeront à un concert au Carnegie Hall (881 7th Avenue à 8h). Pour finir en beauté, ils  donneront un dernier concert le lundi 19 mars à Tompkins Square Park, sur 7th St entre Avenue A et B. Le concert débute à 13h. Plus d’informations ici.

Tournée des bars: La Saint Patrick, c’est aussi la bière qui coule à flots. Pendant la St. Patty’s Day Pub Crawl, la plus grand tournée des bars au monde, vous emmènera dans 100 pubs de la ville pendant trois jours. Elle attire des milliers de participants chaque année. Les pubs participants offriront des boissons spéciales et organiseront des soirées à thème. Prêt à relever le défi ? St. Paddy’s Day Pub Crawl. Les billets sont à $10 pour une journée et $40 pour un accès illimité pour les trois jours. Pour plus d’informations et acheter ses tickets c’est ici.

Authentique: Pour passer une soirée sans prétention dans un bar irlandais, rien de mieux que le Paddy Reilly. Situé au cœur de Murray Hill, le bar est spécialisé dans la fameuse « Guinness Draught », la bière irlandaise. Un conseil : venez tôt pour dénicher un tabouret. Pour la Saint Patrick, des groupes irlandais joueront toute la journée, avec des invités surprise. Paddy Reilly. 519 2nd Ave. Ouvert de 11 h du matin à 4h du matin. Pour plus d’informations ici.

Journée sobre : Pour une Saint Patrick sans alcool, une douzaine d’associations de lutte contre l’alcoolisme se joignent au Consulat général irlandais de New York et le Conseil national sur l’alcoolisme et les toxicomanies pour organiser la première Saint Patrick « sobre », dans l’Upper East Side. Plusieurs groupes de musique irlandais et des danseurs sortiront cornemuse et costumes traditionnels pour cet événement qui se veut familial. Sober St. Patrick’s Day. Samedi 17 mars de 15h à 19h. 60 East 85th Street. L’entrée est à $12. Pour plus d’informations ici. 

Découverte: Les guides de Big Onion, experts de la ville, organisent une visite spéciale pour la Saint Patrick consacrée au « Little Ireland », le quartier irlandais aujourd’hui disparu. Au XIXe siècle, ce quartier, qui se trouvait dans le sud de Manhattan, comptait plus d’Irlandais que Dublin. Parmi les questions posées pendant la visite, celle qui nous démange tous : pourquoi la Saint Patrick est-elle plus populaire aux Etats-Unis qu’en Irlande ? Big Onion’s Irish New York Walking tour. Samedi 17 mars à 11h. $18. Départ devant St Paul’s Chapel. Pour plus d’informations ici.

Jeunesse: Pour la Saint Patrick, le Irish Arts Center organise une journée portes ouvertes, avec concerts, spectacles de danse et de chant irlandais. Atelier maquillage et nourriture seront proposés. A apprécier en famille. Journée portes ouvertes. Irish Arts Center. 553 West 51th Street. Dimanche 18 mars. De 12h à 17h. L’entrée est gratuite. Pour plus d’informations ici.

 

A la rencontre des "Hommes libres"

« J’ignorais complètement que la mosquée de Paris avait protégé des juifs pendant la Deuxième Guerre Mondiale », confie Tahar Rahim, sans quitter des yeux le dessin qu’il crayonne au dos d’une assiette en carton. Beaucoup de Français étaient dans le même cas avant d’avoir vu son dernier film, « Les Hommes libres » d’Ismaël Ferroukhi, qui sort aux Etats-Unis le 16 mars. Critiqué en France pour une mise en scène parfois jugée sans relief, ce film a en effet le mérite d’évoquer un aspect méconnu de l’histoire : le rôle de la communauté musulmane dans la Résistance.  Alors dirigée par le controversé  Si Kaddour Benghabrit, la mosquée de Paris a notamment délivré des faux-papiers à des juifs pour leur permettre d’échapper aux rafles en passant pour des « mahométans ».
Parmi eux, le chanteur Salim Halali. Sa voix et sa personnalité vont séduire Younes, jeune émigré algérien incarné par Tahar Rahim,  qui va  peu à peu se métamorphoser en militant de la liberté. « Sa politisation donne un sens à sa vie », souligne l’acteur révélé par « Un prophète » de Jacques Audiard. « Mais j’ai eu très peu de travail à faire sur le plan physique, tout se joue au niveau du scénario qui est tellement riche », ajoute-t-il, pourtant bouleversant dans ce rôle. Si le Recteur incarné par Michael Lonsdale et le chanteur incarné par Mahmoud Shalaby ont bien existé, Younes, lui, est un personnage de fiction. A travers lui, le réalisateur Ismaël Ferrhouki «veu[t] rendre hommage à tous ces hommes invisibles qui se sont battu pour leurs idées ».
Paris oriental
Le spectateur suit Younes dans les méandres d’un Paris oriental surprenant: la mosquée bien sûr, mais aussi un cabaret, un hôpital et un cimetière, ou encore les restaurants et les hôtels dans lesquels vivaient les ouvriers émigrés. Cet univers magrébin au cœur de la capitale occupée, Ismael Ferrhouki l’a reconstitué au fil de ses recherches. Epaulé par les historiens Benjamin Stora et Pascal Le Pautremat, le réalisateur a voulu que son film soit le plus fidèle possible à cette époque encore trouble. Aux dépends de l’esthétique et de l’action, comme le suggèrent certaines critiques françaises ? « J’aurais pu faire deux millions d’entrées mais  en servant les propagandistes », se défend Ismaël Ferroukhi. « Je n’ai pas fait un film de super héros, mais un film d’hommes ordinaires. »
Aux pétarades habituelles du film de guerre, le réalisateur a donc préféré le quotidien d’une communauté. Et opter pour la prudence. Il s’abstient par exemple de chiffrer le nombre de juifs protégés par la mosquée de Paris, malgré un témoignage qui évoque plus de 1 700 cartes d’alimentation. « Avec un film pareil, j’étais attendu au tournant», explique Ismaël Ferroukhi en faisant référence aux polémiques historiques et politiques que son film pourrait susciter. « Ce n’est pas pour rien que cette partie de notre Histoire a été occultée, mais les Français ont le droit de savoir. »
Hollywood
Présenté à New York lors du festival Rendez-Vous with French Cinema, « Les Hommes libres » a été accueilli chaleureusement. « La salle était comble », se réjouit Ismaël Ferroukhi. « Le public américain a l’air à la fois surpris et intéressé », renchérit Tahar Rahim. « J’ai l’impression que le succès de Jean Dujardin avec “The Artist” aide à la visibilité du cinéma français. » Quant  à lui, il ne rêve pas d’Hollywood tout court « mais seulement du bel Hollywood ». « J’ai déjà eu des propositions mais elles ne m’intéressaient pas», raconte-t-il. « Que des rôles de terroriste ! »
Infos pratiques: 
« Les Hommes libres » d’Ismael Ferroukhi avec Tahar Rahim, Michael Lonsdale et Mahmoud Shalaby, à partir du vendredi 16 mars au Lincoln Plaza Cinemas et au Quad Cinema

Les « Oh my God ! » de Ron Lauder à la Neue Galerie

M. Lauder se plait à dire qu’il divise l’art en trois catégories : les « Oh ! », les « Oh my ! » et les « Oh my God ! ». Dans sa collection, il a fait en sorte, assure-t-il, de n’acheter que des « Oh my God ! ». Tout un programme

L’exposition à la Neue Galerie, présentant des chefs-d’œuvre de la collection du co-fondateur du musée, se divise en six parties : art médiéval, armes et armures, peintures des Maîtres Anciens, dessins des XIXe et XXe siècles, arts décoratifs de Vienne 1900, et art moderne et contemporain.

Plus de 400 objets soigneusement sélectionnés, environ un dixième de la collection, sont exposés dans sept petites galeries. Paul Cézanne, maître de la peinture moderne, ouvre le bal, introduisant une impressionnante collection d’armures des XVe et XVIe siècles. Les salles suivantes sont régal de dessins et de peintures d’artistes parmi lesquels Albrecht Altdorfer, Constantin Brancusi, Vasily Kandinsky, Paul Klee, Gustav Klimt, Henri Matisse, Pablo Picasso, Gerhard Richter, Egon Schiele, Georges Seurat, et Vincent van Gogh.

Une visite d’autant plus agréable que la demeure dans laquelle se trouve le musée, achevée en 1914 par Carrière & Hastings, les architectes de la New York Public Library, est un cadre exquis. L’ambiance rappelle celle de la Frick Collection, à deux pas.

Infos pratiques :

“The Ronald S. Lauder Collection: Selections From the 3rd Century B.C. to the 20th Century/Germany, Austria and France” jusqu’au 2 avril à la Neue Galerie, 1048 Fifth Avenue, 86th Street, 212-628-6200, www.neuegalerie.org .

Jade Lindgaard dissèque BHL

Jade Lindgaard, co-auteure de l’ouvrage The Impostor : BHL in Wonderland sera présente à l’université CUNY pour une conférence. Journaliste au site d’information Mediapart, Jade Lindgaard s’est interrogée, avec le producteur radio Xavier de la Porte, sur les raisons de l’ascension et de la célébrité du philosophe-journaliste-écrivain-activiste français.  Pendant un an, elle s’est consacrée à la lecture de ses ouvrages et interviews, a regardé ses films et écouté  ses conférences. Le résultat se trouve dans un livre d’investigation que le magazine Télérama a qualifié “d’assez cruel pour être drôle”.

Infos pratiques : 

Jade Lindgaard, le lundi 19 mars à 18h à CUNY Lehman, Salle B75, 250 Bedford Park Boulevard West, Bronx. Site ici

Keith Haring, la naissance d'un génie

Le Brooklyn Musée organise la première grande exposition de l’artiste de rue engagé Keith Haring. Elle se concentre sur ses premiers travaux, entre 1978 et 1982. Elle regoupe plus de 155 œuvres sur papier, diverses vidéos expérimentales ainsi que de 150 objets d’archives, tels que des carnets, revues, dépliants, affiches, ou encore dessins.

C’est à New York et plus particulièrement dans l’East Village que Keith Haring découvre la culture alternative des années 80. Hors des galeries et musées, il projette son expression sur des espaces tels que la rue ou le métro. L’artiste organise alors des expositions et performances avec ses amis artistes tel que Jean Michel Basquiat, au Club 57, qui devient le repaire de l’avant-garde. C’est d’ailleurs à cet endroit que le Bébé Rayonnant, un des pictogrammes les plus connus de l’artiste, fut créé.

Infos pratiques :

Keith Haring : 1978-1982 au Brooklyn Museum. 200 Eastern Parkway. Du 16 mars au 8 juillet 2012. Pour plus d’informations sur les horaires d’ouverture et les tarifs ici

LA Accueil fête ses 20 ans

Vingt ans, ça se fête. Pour faire honneur au savoir-vivre à la française, l’association francophone Los Angeles Accueil n’a pas hésité à mettre les petits plats dans les grands. C’est au Beverly Hills Country Club de LA qu’elle soufflera ses deux dizaines de bougies le vendredi 23 mars prochain.

Derrière les fourneaux, le chef de la Résidence de France Bruno Lopez, réquisitionné pour l’occasion, a concocté pour les quelques 150 invités attendus, un véritable festin gastronomique, 100 % cuisine française : foie gras de canard en entrée, filet mignon de bœuf ou daurade à l’antiboise, fromages de nos régions et dessert surprise… Quant au champagne, il est offert par le Consul de France David Martinon, qui devrait lui aussi être de la fête.

« Cela va être une véritable cure de jouvence, toutes générations confondues », raconte Marie-Carole de la Cruz, présidente de l’association depuis deux ans. Avec son équipe de 50 bénévoles, elle a choisi pour thème de la soirée « Qu’avez-vous fait de vos 20 ans ? » Membres et non-membres sont conviés. « L’idée, c’est que tous, jeunes et moins jeunes, viennent habillés comme ils l’étaient lorsqu’ils avaient 20 ans et surtout avec le même état d’esprit». La soirée sera d’ailleurs rythmée par une “play list” de chansons datant des années 50 aux années 2000. « C’est une manière de mettre l’accent sur le côté intergénérationnel de LA Accueil. Notre association vise à rassembler autant les étudiants, que les jeunes mamans, les expats qui débarquent ou les retraités implantés depuis longtemps », souligne Florence Farenc, responsable des évènements au sein de l’association.

Près de 200 autres associations Accueil dans le monde

L’association a vu le jour en 1992 sous l’égide d’une expatriée française, Bernadette Morio, déçue par l’absence d’organisations francophones à Los Angeles. Elle décide donc de s’inspirer de l’exemple d’une association d’expats appelée Accueil, au Canada, où elle a vivait jusqu’alors. Aujourd’hui, LA Accueil compte quelques 500 membres (français, belges, canadiens, égyptiens, suisses, libanais, etc.) et fait partie de la Fédération Internationale des Accueils Français et francophones à l’étranger (FIAFE), un réseau de plus de 194 associations Accueils réparties sur les cinq continents.

Los Angeles Accueil propose de nombreuses activités tout au long de l’année (chorale, body karaté, danse, cercle de lecture, sorties culturelles, barbecue…) ainsi qu’un café de l’amitié une fois par mois. Confrontée à un important roulement lié à l’expatriation, elle recherche en permanence de nouveaux bénévoles.

«LA Accueil est une grande famille pour les expatriés qui vivent souvent loin de leurs racines et de leurs proches. Personnellement, l’association m’a permis de retrouver ma culture et mon héritage, dont je m’étais petit à petit éloignée, après 20 passés aux USA », raconte Marie-Carole de la Cruz. « On est là pour se soutenir dans les moments difficiles comme pour se réjouir ensemble dans les moments plus joyeux… Plusieurs de nos anciennes présidentes qui ont quitté les Etats-Unis, vont d’ailleurs faire le voyage pour être présentes à la soirée des 20 ans ! On y créé des liens pour la vie.».

Infos pratiques :

Soirée exceptionnelle des 20 ans de Los Angeles Accueil, vendredi 23 mars à partir de 19h, au Beverly Hills Country Club, 3084 Motor Ave., Los Angeles. Prix du dîner : 60 $ pour les membres, 70 $ pour les non-membres.  Contact : [email protected]

Un Fest-Noz à Times Square

Une délégation bretonne débarque à New York pour une semaine et participera à la Parade de la Saint Patrick du 17 mars sur la 5ème avenue. Cinquante quatre musiciens du Bagad Plougastel et du Cercle Celtique Bleuniou participeront à la plus grande et veille parade du monde. Mais nos amis les bretons débuterons leur semaine américaine dès le 14 mars à Times Square. Au pub Connolly, Un Fest-Noz, traditionnelle fête celtique aura lieu. Danses, chants et bonne humeur au programme. Les recettes du Fest-noz serviront à couvrir les dépenses des musiciens et danseurs pour leur déplacement à New York.

Infos pratiques :

Fest-noz présenté par Bagad Plougastel et Cercle Celtique Bleuniou. Pub Connolly sur Times Square au 3ème étage. 121 West 45st. A partir de 19h. L’entrée est à $15. 

L'Ambassadeur de France aux USA en visite à Houston

Un mois après avoir exhorté les entrepreneurs français des Etats-Unis à trouver de nouveaux appuis « dans le monde de la finance, de l’entreprise, de la recherche et de la politique » lors du premier symposium mondial des Conseillers du commerce extérieur, à Miami, l’Ambassadeur de France aux Etats-Unis, François Delattre s’exprimera de nouveau sur le thème de la diplomatie économique lors de son déplacement à Houston, les 15 et 16 mars.

Le jeudi 15 mars, de 12 heures à 14 h, il interviendra sur le partenariat économique entre les Etats-Unis et la France ainsi que sur le rôle de la France dans la gestion de la crise de l’Euro lors du déjeuner organisé par la Chambre de commerce franco-américaine de Houston au restaurant The Wynden (1025 South Post Oak Lane, Houston, TX 77056) et le vendredi 16 mars à 18 heures il donnera une conférence au Baker Institute for Public Policy de l’université Rice (Baker Hall’s Kelly International Conference Facility, 6100 Main Street, Houston, TX 77005) sur les nouvelles opportunités dans les partenariats France/Etats-Unis et transatlantique, informe le consulat général de France à Houston.

Infos pratiques :

Inscription au déjeuner organisé par la Chambre de commerce franco-américaine de Houston en ligne, depuis la page de l’évènement sur le site internet de l’organisme. Tarifs : 55 $ pour les adhérents, 65 $ pour les non-adhérents.

Conférence au Baker Institute for Public Policy de l’université Rice sur invitation.

Mars Red Sky, des métalleux français, à Anaheim

Le groupe de heavy metal bordelais Mars Red Sky sera en concert à Anaheim, près de Los Angeles, dans le cadre d’une tournée aux Etats-Unis comprenant plus de dix dates. Si le groupe est français, son style lui est complètement américain. Distillant un son brut et violent, les musiciens s’inspirent des plus grands groupes de metal et de hard rock anglophones. Dans certains accords, on croit reconnaître du Led Zeppelin et du  Black Sabbath dans les mélodies. L’ambiance risque d’être survoltée.

Infos pratiques : 

Mars Red Sky en concert le 21 mars à 18h, à The Doll Hut, 107 South Adams Street, Anaheim. Page facebook ici – Site du groupe ici 

Les marionnettes de Bob Baker font la fiesta

Le marionnettiste préféré des Angelinos, Bob Baker, est de retour avec un spectacle époustouflant. Il a appris le métier de marionnettiste à 8 ans, et est devenu maitre dans son art. Il a même donné quelques conseils à Walt Disney.

Dans son spectacle “Fiesta”, on retrouvera pêle-mêle des mariachis, des cactus parlants, de la musique latine et de la poésie encore et toujours. Un spectacle qui fait revivre la magie d’antan et qui  plaira aussi bien aux enfants qu’aux parents.

Infos pratiques : 

Tous les samedis et les dimanches à 14h30, au Bob Baker Marionette Theater, 1345 West 1st Street. Entrée à $15. 

Gush fait rocker LA

Le groupe de rock français Gush sera présent dans la Cité des Anges pour deux concerts très rock’n’roll. Les deux frères Xavier et Vincent se sont associés à Mathieu et Yan en 2004 pour former ce groupe. Influencés par les groupes vocaux des années 60 et 70 comme les Beatles ou Crosby, les quatre musiciens ont sorti un premier album « Everybody’s God » en 2010. Leur single « Let’s Burn Again » a permis au groupe d’être programmé dans les meilleurs festivals de France comme Solidays ou les Francofolies de la Rochelle.

Infos pratiques : 

Gush en concert : 

– le 20 mars à Harvard and Stone, 5221 Hollywood Boulevard. 

– le 27 mars à Smoke and Mirrors, The Standard, 550 South Flower Street.