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Beyond Baroque se souvient de Kerouac

Jack Kerouac aurait eu 90 ans lundi 12 mars. Pour se souvenir de l’auteur de « Sur la Route », le centre culturel et littéraire Beyond Baroque organise, ce dimanche 11 mars, une série de lectures suivie d’une discussion sur la vie de l’écrivain.

Plusieurs auteurs et artistes locaux (Rafael Alvarado, Irris Berry…), amateurs de Kerouac, assureront les lectures d’extraits, qui débuteront à 16h. A 19h30, la discussion rassemblera l’écrivain Gerald Nicosia, le poète Aram Saroyan, l’acteur S.A Griffin et le spécialiste de Jack Kerouac, Marc Olmsted. Elle sera animée par le directeur de Beyond Baroque, Richard Modiano.

Infos pratiques :

« Kerouac at 90” – dimanche 11 mars Lecture: 16h. Discussion: 19h – Prix: $7 et $5 pour les seniors et enfants – Beyond Baroque, 681 Venice Blvd., Venice – (310) 822-3006 – www.beyondbaroque.org

La joyeuse blogosphère francophone de New York

Insolite: Curiosités et futilités

Jeanne, originaire des Vosges, a dans sa besace une foule d’idées pour découvrir le New York insolite. Elle nous emmène écouter gratuitement les talentueux pianistes de la Juilliard School, assister à une pièce de théâtre décalée à Chelsea, découvrir les No Man’s lands de Brooklyn. En vraie épicurienne, Jeanne clôture toujours ses virées urbaines par un bon plan gourmand et nous propose tour à tour de déguster un délicieux brunch dans une pizzeria reculée de Williamsburgh ou de savourer une bonne bière dans une brasserie du Bronx.

Poétique: D’une Pomme à l’autre
Clara a quitté sa Normandie natale il y a 4 ans pour débarquer à New York avec son mari, son enfant sous un bras, son appareil photo sous l’autre. Sur son blog, elle partage ses étonnements sur la vie quotidienne de sa famille dans Big Apple. Sa passion : le street-art. Le résultat : des photos poétiques des endroits méconnus de sa ville d’adoption, que l’on découvre tour à tour colorée, hétéroclite, mais surtout “terriblement attachante”, comme Clara aime la définir.

Pionnier: New York, la Dolce Vita

Dolce sévissait déjà sur la toile en 2003, une vraie pionnière! On se demande d’ailleurs quand cette jeune cadre dynamique trouve le temps de tenir son blog, entre son full time job, ses virées entre copines, ses balades avec son chien et ses longueurs à la piscine. On y trouve au quotidien ses bons plans resto, des anecdotes insolites sur son American way of life ainsi qu’une foule d’infos pratiques pour quelques jours ou quelques mois dans la Grosse Pomme.

Gourmand : DelicatesseNY
Un blog qui vous donnera l’eau à la bouche. Stéphanie y raconte sans langue de bois ses pérégrinations gourmandes à New York illustrées d’alléchantes photos. Toutes les cuisines y passent, des tacos mexicains au tofu japonais en passant par les parpadelle italiennes et les traditionnels hamburgers US, ainsi que tous les styles d’établissements, des food trucks aux restaurants étoilés.

Familial: Les Little Chickens à New York

Nathalie et son mari, deux cadres ingénieurs trentenaires, ont tout lâché à Paris pour concrétiser leur American Dream : ouvrir une pâtisserie dans la Grosse Pomme. Sur leur blog, on peut y lire les aventures rocambolesques de leur installation. Des (petites) galères: trouver un appart’, une école pour les “Little Chickens”, obtenir les autorisations de commerce,…aux grandes joies et petites victoires: l’ouverture de “Mille-Feuille”, la vente de leurs premiers macarons ou  leur premier article dans le New York Times.

Censuré : Une Dinde à New York

Ames sensibles s’abstenir! Elisabeth, Zaza pour les intimes, dégaine ses coups de gueule et ses coups de cœur, assenant ça et là quelques gros mots bien pesés. Sous son pseudo de “Dinde à New York”, elle narre les joies de l’expatriation, critique allégrement le service pitoyable des vols transatlantiques d’Air France, exècre les devoirs bilingues avec “Nain” (comprenez : sa progéniture), et raconte de façon hilarante ses lendemains de veille à la “Desperate Housewife”.

Girly : Une Parisienne à New York

Après avoir lu l’expérience désastreuse d’Audrey, vous ne voudrez certainement pas  prendre un “pédicab'”, ces taxis-vélos new-yorkais. Par contre, cette Parisienne à New York vous donnera peut-être l’envie de tester la mode des nail stickers, de goûter aux macaroons Ladurée de Madison Avenue ou encore de vous inscrire à une course en talons-aiguilles. Un blog girly et plein d’humour.

Et aussi :

Romain in NY : la vie de famille du petit Romain, rempli de bons plans.

I live abroad: blog cosmopolite de deux baroudeurs qui ont déposé leurs valises à New York.

Little Caro In Big Apple: les pérégrinations d’une journaliste belge dans la ville qui ne dort jamais.

Suivez l’actualité de la communauté des blogueurs francophones à New York sur l’Apéro-Blog NYC.

(Photo: Jeanne Chiaravalli).

Claude Lanzmann à la Maison Française

La Maison française de Columbia accueillera le journaliste, écrivain et cinéaste français Claude Lanzmann pour une conférence durant laquelle il reviendra sur son parcours et sur ses mémoires, récemment traduites en anglais.

M. Lanzmann est le réalisateur de “Shoah”, film documentaire de neuf heures et demie consacré à l’extermination des juifs d’Europe dans les camps nazi, qui fut diffusé pour la première fois en 1985. Il fut également le rédacteur en chef de la mythique revue Les Temps Modernes, fondée par Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir. Pendant la conférence, il sera interviewé par le célèbre journaliste américain Charlie Rose.

Infos pratiques : 

Claude Lanzmann, en discussion avec Charlie Rose, le mardi 20 mars à 19h30, au Presidential Ballroom, au troisième étage de la Faculty House, 64 Morningside Drive, au nord de la 116ème rue. L’entrée est libre mais il est conseillé de réserver à l’adresse suivante: [email protected]

Ce Texas francophone

Oui, le Texas est francophone et francophile ! Pas comme la Louisiane bien sûr. Mais le sieur de La Salle ayant fondé une éphémère colonie française au bord du golfe du Mexique à la fin du XVIIe siècle, le drapeau français est l’un des six désignés par l’expression “six flags over Texas”.
Et les Français n’étaient pas les derniers Européens à saisir l’opportunité qui leur était donnée par le jeune Etat de s’établir sur une terre à eux au XIXe. « Henri Castro a fondé la ville éponyme de Castroville, à l’ouest de San Antonio, avec 2 000 Alsaciens. Tandis que les missionnaires français présents au Texas ont aidé à reconstruire l’église catholique après la révolution, tout en établissant des écoles et des hôpitaux au travers de l’Etat », tient à rappeler Diana Stevie, la coordinatrice Tourisme au sein du bureau du gouverneur, alors qu’on l’interroge sur la fréquentation touristique du Texas par les Français.

Aujourd’hui, il seraient environ 14 000 ressortissants de l’Hexagone à vivre dans le “Lone Star State” pour exploiter l’or noir de l’Etat, aider les startups austinites à conquérir l’Hexagone, contribuer à la recherche universitaire sur la langue de Molière, prodiguer leurs conseils œnologiques ou régaler les Texans d’authentiques pâtisseries françaises. Pourtant, ce qui frappe quand on examine l’influence de la France au Texas, c’est le maillage serré des Alliances françaises. De Dallas à McAllen et d’El Paso à Houston, elles témoignent de l’amour des Texans pour la France, tout comme le festival French Cultures organisé chaque année à l’échelle de l’Etat à l’occasion du mois de la francophonie.

Un français nécessairement vivant

L’idée que la francophonie se nourrit de ces apports extérieurs, c’est précisément celle que défend  Jean-Michel Djian. « Heureusement que le français peut se développer sur la base de la créativité phénoménale dont font preuve les autres pays francophones », affirme même cet universitaire, également journaliste, auteur et réalisateur, qui donnera une conférence sur l’apport des écrivains francophones dans la fabrication des mots à l’Alliance de Houston, le 19 mars, après la projection d’un volet de sa série documentaire « Rêver le français », à 19 heures. « Il y a une vraie perméabilité entre le français et l’anglo-américain, pense notamment cet homme de lettres. La pratique du français est influencée par des mots, des gestes de l’anglais ».

Alors que « l’esthétique française connaît une renaissance inattendue » aux Etats-Unis, avec les cinq Oscars remportés par le film français « The Artist » le 26 février, le Texas pourrait ainsi être l’un des inventeurs du français de demain. En choisissant de s’y décliner, cinq ans après sa naissance à New York, French Morning espère en tout cas contribuer à la vitalité de la langue française dans le Sud des Etats-Unis en resserant les liens entre les francophones de la région.

Soirée "Made in Africa" au Recoup Lounge

Hip Hop, R’n’B, soca, dancehall, zouk. DJ Keen vous fera danser au rythme de l’Afrique au Recoup Lounge, samedi 10 mars à partir de 23 h. L’entrée est à $10 mais des pass gratuits devraient être distribués. Un invité surprise est également attendu. Le bar servira un cocktail spécial jusqu’à minuit.
Infos pratiques :
 « Made in Africa », le samedi 10 mars à 23h au Recoup Lounge, 210 Rivington Street – $10

Ҫa sent les Guns N' Roses

Les Guns N’ Roses sont de retour à Los Angeles. Le groupe mythique, qui s’est récemment reformé, avait déjà joué à guichets fermés sur la Côte Est en 2011. Mené par le chanteur Axl Rose, il est devenu en très peu de temps l’un des groupes de hard rock les plus populaires, avec plus de 100 millions d’albums vendus dans le monde, dont 44 millions aux Etats-Unis. Leur dernier album, attendu depuis plus de dix ans et sans cesse repoussé par leur maison de disque, est enfin sorti courant 2008 et le single « Chinese Democracy » est rapidement devenu un tube. Que l’on soit nostalgique des années 90 ou que l’on ait un coeur de rockeur, la musique des Guns N’ Roses ne laissera pas les Angelinos indifférents.
Infos pratiques :
Guns N’ Roses en concert : 
–  le vendredi 9 mars au Hollywood Palladium, 6215 West Sunset Boulevard, tickets à $79,50. 
– le dimanche 11 mars au Wiltern Theater, 3790 Wilshire Boulevard, tickets de $85 à $150. 
– le lundi 12 mars au House of Blues Sunset Strip, 8430 Sunset Boulevard, tickets à  $130. 

Un festival de cinéma pour les kids

Jusqu’au 25 mars, les cinéphiles en culotte courte sont servis à New York. Pour sa 15ème édition, le New York International Children’s Film Festival (NYICFF) revient pour quatre semaines de projections. Au menu: des films récents ou pas encore sortis s’adressant aux enfants et adolescents âgés de 3 à 18 ans. Les séances auront lieu à travers la ville.

Parmi la centaine de films montrés, on retrouve “Le Tableau”, film français du réalisateur Jean-François Laguionie, salué par la critique française et présenté au « Rendez-Vous with French Cinema ». Le film raconte l’histoire d’un peintre qui laisse son tableau inachevé. Ce dernier est peuplé de personnages qui vivent des aventures et se posent des questions telles que : qu’est devenu le peintre ? Pourquoi nous a t-il abandonnés ? Autre film : “Les Pirates ! Bons à rien, mauvais en tout”, un film d’animation anglo-américain dont les personnages sont en pâte à modeler. Le film s’inspire des aventures du roman The Pirates ! In an adventure with Scientists de l’écrivain britannique Gideon Defoe, qui suit un groupe de pirates dans leurs périples. Enfin, “Monkey King”, film de sorcellerie riche en images spectaculaires, sera diffusé en avant-première.

Infos pratiques :

« New York International Children’s Film Festival » du 2 au 25 mars. Pour la programmation et plus d’informations ici

Jazz expérimental sur Suffolk Street

Emilie Lesbros, chanteuse, compositrice et improvisatrice française, sera en concert au centre culturel Clemente Soto Velez à l’occasion d’une soirée musicale intitulée « Evolving Voice » (« Voix évolutive ») Elle se produit avec son groupe « Speaking Tube » composé de Frantz Loriot (alto), Pascal Niggenkemper (contrebasse) et Sabir Matten (saxophone). Le show allie sonorités de jazz contemporain et rock.

Après des études de violon, Emilie Lesbros entre au conservatoire, où elle se spécialise en chant lyrique et jazz. Elle trouve son identité dans la musique improvisée et expérimentale.

Infos pratiques :

Evolving Voice. Le lundi 12 mars de 21h30 à 22h15. Clemente Soto Velez. 107 Suffolk Street. Les tickets sont à $11.  Pour plus d’informations ici

L'orchidée fait son show

Le jardin botanique du Bronx présente la 10ème édition de la plus grande exposition nationale d’orchidées: l’Orchid Show. Pour l’occasion, plus de 300 espèces d’orchidées du monde entier sont exposées.

C’est un Français, Patrick Blanc, botaniste vedette et chercheur au CNRS, qui a été chargé de transformer la fameuse serre Enid A. Haupt, du Bronx Botanical Garden, en un spectacle exotique. Né en 1953 à Paris, il est l’inventeur du concept des façades végétales. On lui notamment celle du musée du Quai Branly. Une série de conférences, des visites guidées et d’ateliers aura lieu en marge de l’exposition.

Infos pratiques :

The Orchid Show: Patrick Blanc’s Vertical Gardens. Du 3 mars au 22 avril Ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18h et le lundi 25 avril de 10h à 18h. Enid A. Haupt Conservatory. 2900 Southern Boulevard. Bronx. Gratuit pour les membres, $20 pour les adultes, $18 pour les étudiant et retraités, $8 pour les enfants de plus de 2 ans. Pour plus d’informations ici

Au "Little Danemark" de Californie

Petersen, Mortensen, Nielsen, Aalborg… Difficile d’ignorer, à en lire le nom des magasins (écrits en calligraphies germano-scandinaves), que l’on se trouve en territoire danois. La petite ville de Solvang se situe pourtant au cœur de la Californie, dans la vallée de Santa Ynez.

Avec ses hautes maisons à colombages multicolores, ses moulins, sa réplique de la Petite sirène de Copenhague, ses références à Hamlet ou au roi du Danemark, cette cité d’à peine 6.000 habitants constitue une véritable enclave scandinave, devenue, au fil du temps, une gigantesque attraction touristique.

A l’origine, la volonté des fondateurs n’avait rien de mercantile. Les 36 km2 de terre achetés en 1911 par des émigrants danois ayant quitté les terres peu fertiles du mid-west américain, devaient accueillir une colonie dédiée à l’enseignement scolaire, à l’agriculture et à l’église luthérienne ! Mais après la Seconde Guerre mondiale et l’arrivée d’une nouvelle vague d’habitants venus d’Europe, ainsi que le retour des soldats partis servir sur la terre de leurs ancêtres, la décision fut prise de donner à la ville une «couleur» plus danoise.

Les nouveaux bâtiments furent ainsi construits suivant le style scandinave et les anciens rénovés dans cet esprit. Les boutiques de souvenirs et ateliers traditionnels (chocolaterie, pâtisserie, menuiserie, etc.) se multiplièrent, transformant Solvang en haut-lieu du tourisme, avec plus d’un million de visiteurs par an.

Aujourd’hui, la ville joue pleinement la carte de son héritage danois. L’architecture, les décors, les commerces entretiennent cet esprit scandinave. Une calèche «Hønen» du XIXe siècle, sillonne même la ville proposant des commentaires en danois.

Les habitants, quant à eux, revendiquent fièrement leurs origines et célèbrent chaque année, au mois de septembre, les «Danish days», un festival couronnant la plus jolie sirène, faisant également la part belle à la musique, aux danses traditionnelles ainsi qu’à la nourriture.

Les liens avec le Nord de l’Europe n’ont toutefois rien de factice, puisque la famille royale du Danemark se plaît à visiter la ville. Ainsi, l’an passé, pour le centenaire de Solvang, le prince consort Henrik honora-t-il de sa présence les festivités. Deux ans plus tôt, l’ambassadeur du Danemark avait lui-même effectué un séjour sur place. Quant à la princesse Margrethe, elle s’arrêta par deux fois dans les années 70 et 80, suivant les pas de la princesse Ingrid et du prince Frederik, venus passer quelques jours en 1939.

Pour s’y rendre depuis Los Angeles : Compter environ 3h de route. Emprunter la 101 North et prendre la sortie 140A, à Buellton. Suivre ensuite la 246 East, en direction de Solvang / Santa Ynez. La cité danoise se trouve à environ 5 miles de la sortie d’autoroute.

Où dormir : Les noms des établissements ont de quoi faire sourire : Hamlet Inn, Royal Copenhagen, Viking Motel, Svendsgaard’s Danish Lodge… En matière d’hébergement, l’offre est pléthorique. Hôtels, motels, bed&breakfast, les touristes n’ont que l’embarras du choix en fonction de leur budget. Retenir les suivants : «Alisal Guest Ranch & Resort» (www.alisal.com) ; «Hadsten House» (www.hadstenhouse.com) ; «Mirabelle Inn» (www.solvangstorybook.com) ;  «Meadowlark Inn» (www.meadowlarkinnsolvang.com) ; «Wine Valley Inn & Cottages» (www.winevalleyinn.com).

Où dîner : Tous les styles de cuisine sont proposés, mais quitte à visiter une enclave danoise, autant tenter les restaurants « américano-danois» : «Bit O’Danemark», sur Alisal Road, offre de gargantuesques «smorgaasbord», des buffets comprenant toutes les sortes de mets danois ; «Greenhouse Cafe» sur Atterdag Road, est spécialisé dans les «Aebleskiver», sortes de crêpes/pancakes ; «Red Viking» sur Copenhagen Drive, privilégie de son côté la variétés des plats danois.

Les bons coins : «Mortensen Bakery» sur Mission Drive ; «Ingeborg’s Chocolates» sur Copenhagen Drive ; «Danish Mill Bakery» sur Copenhagen Drive.

Plus de renseignements: 

www.solvangusa.com; www.cityofsolvang.com ; www.solvangca.com


Van Halen au Staples Center

Van Halen retourne en Californie. Le célèbre groupe de hard rock sera en concert au Staples Center à Los Angeles les 1er et 9 juin. Formé en 1972 à Pasadena, Van Halen poursuit sa tournée mondiale, débutée à New York en janvier, à l’occasion de la sortie de leur nouvel album A Different Kind of Truth. C’est le premier album du groupe avec le chanteur David Lee Roth depuis leur album de diamant 1984.

Infos pratiques :

 Van Halen, les 1er et 9 juin à 19h30 au Staples Center, 1111 S. Figueroa Street, Los Angeles – de $29 à $149 – Les places sont en vente ici

« Playdate » créatif pour les dames

Si vous n’avez pas peur de vous salir les mains, les “Mice at Play” vous donnent rendez-vous pour un atelier créatif réservé aux femmes. Il aura lieu dans celui de l’artiste Lauren Luloff à Williamsburg (Brooklyn) le dimanche 11 mars de 13h à 16 h. Au programme, peinture et collages. Les participantes sont encouragées à ramener images, papiers, photographies, ou simplement un objet qui les inspire.

Lauren Luloff est une artiste basée à Brooklyn, dont le travail est notamment apparu au Queens Museum of Art (QMA).

Infos pratiques :

Mice at Play, « Express Yourself : Mixed Media with Artist Lauren Luloff » le 11 mars de 13h à 16h, au 840 Broadway à Brooklyn – $75 – Réservations ici