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La France coule, vive l'Allemagne !

A la frontière franco-allemande, une petite ville fait les gorges chaudes du New York Times. Cette ville, c’est Sélestat, 23% de chômage chez sa population de moins de 25 ans, 8% de chômage au total, « beaucoup plus que les villes de l’autre côté de la frontière.»

Pour parler des problèmes de la France, le quotidien américain a trouvé une nouvelle technique : la comparaison avec son voisin, l’Allemagne. Le correspondant du journal en France, Steven Erlanger, s’est ainsi rendu à Emmendingen, non loin de Sélestat, qui avec ses 7% de chômage fait figure de vitrine du “fameux modèle allemand” cité par Nicolas Sarkozy dans ses discours.

Dans l’article, la comparaison penche clairement en faveur de l’Allemagne. « L’économie allemande devance la française », écrit le journaliste. Il ajoute qu’elle exporte davantage et qu’elle est plus flexible. Le travailleur français est aussi plus cher donc moins compétitif que son homologue allemand, souligne Erlanger, avant de revenir sans surprise sur le poids de l’Etat providence en France, notamment son système d’aides « généreux » aux chômeurs. Et il n’y a aucune raison pour que cela change : “Alors que les Français admirent la rigueur allemande, ils sont réticents à l’idée de faire les mêmes sacrifices, comme travailler plus d’heures et avoir moins de sécurité d’emploi”. Rhabillé pour l’hiver ? Le coup de grâce intervient quand le journaliste cite un responsable l’agence fédérale allemande pour l’emploi qui souligne que « le plus gros problème (pour trouver un travail, ndlr) est que les Français ne parlent pas l’allemand ».

Le journaliste donne tout de même la parole à quelques Français pour sauver l’honneur. L’un d’entre eux dit : « Les Français travaillent pour vivre tandis que les Allemands vivent pour travailler ». « Un cliché qui trouve un écho », ajoute le journaliste. Quitte à couler, autant le faire avec style.

Si le New York Times s’intéresse à la frontière franco-allemande, le Wall Street Journal est lui dans un café parisien. C’est dans ce café non identifié qu’a été lancée l’initiative « Young & Poor », une agence de notation très particulière. Imaginée par l’association Génération précaire, elle a pour mission de noter les candidats à la présidentielle en fonction de leur politique pour la jeunesse.”Après avoir souffert de la perte du ‘triple A’ français, le président Sarkozy et ses opposants vont devoir compter avec une nouvelle agence de notation un peu spéciale », raconte le Wall Street Journal.

Si le journaliste William Horobin s’attarde sur l’aspect « agence de notation » de l’initiative (quotidien financier oblige), il dresse aussi un portrait bien noir la jeunesse française. « L’économie française est en plein marasme et, comme dans d’autres pays européens, les jeunes sont les premières victimes du chômage, ce qui mène à la crainte d’une génération perdue, exclue du marche du travail ». Pour la petite histoire : François Hollande obtient un « C » et Nicolas Sarkozy un « D ».

Pour se rappeler que les Français ne sont pas des cancres partout, la carte Dujardin et « The Artist » est toujours à portée de main. Car n’en déplaise au reste du monde, le succès du film de Michel Hazanavicius aux Oscars a réveillé notre bon vieux chauvinisme gaulois. C’est en tout cas ce que croit savoir la presse américaine. L’oscarisation de « The Artist » “n’arrange rien à l(a) traditionnelle fierté (des Français)“, note le Chicago Tribune. “Les télévisions françaises repassent en boucle le discours de remerciements de Jean Dujardin et les politiques français ne tarissent pas d’éloges sur le film“. Pour le New York Times, les Français y voient la preuve que l’ “exception culturelle“, ce système de soutien public aux arts et à la culture, fonctionne. « La France adore le cinéma, et a son propre festival à Cannes. Des rues de Paris portent le nom de réalisateurs célèbres. Les cinéphiles de la ville peuvent se rendre dans des salles obscures montrant, en plus des films français, des rétrospectives de Hitchcock,  des projections de classiques d’Hollywood, des hits actuels et des films étrangers. » Il faut bien ça pour oublier le reste.

Abstention: les Américains battent les Français

L’élection présidentielle américaine, ses gros dollars, ses débats fleuris, ses déplacements exotiques. Tout ça pour un scrutin qui mobilise peu, voire très peu. L’élection de Barack Obama, en novembre 2008 n’a pas échappé à la règle. Chiffre peu connu : l’abstention pour cette élection qualifiée d’historique a atteint 43,2%, bien loin des 16,93% du second tour de la dernière élection présidentielle française, en 2007.

En France, depuis 1965, année de la première élection présidentielle au suffrage universel direct, le taux d’abstention a tendance à augmenter pour se stabiliser autour des 20% aux élections de 1995 et 2002. A noter que le taux d’abstention record fut établi aux élections de 1969 lorsque Georges Pompidou fut élu président de la République (31,1% au second tour). Aux Etats-Unis, le taux d’abstention est beaucoup plus fort qu’en France et augmente de façon constante entre 1960 et 1996, passant de 36,9% à 50,9%. Depuis, il est en légère baisse pour atteindre 48,7% en 2000 et 44,7% en 2004.

Et on reparle de DSK… à l'université

Que nous révèle l’affaire DSK sur la société et de son rapport au viol, à la violence sexuelle, à la séduction et au féminisme, mais aussi à la présomption d’innocence et au droit des victimes? Irène Théry (ci-contre) discutera de l’affaire DSK à l’université Columbia le 7 mars. La sociologue à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS) est spécialiste de la famille et de la vie privée. Elle analysera cette affaire qui a fait couler beaucoup d’encre au travers d’une approche transatlantique et comparative.

Infos pratiques :

“French Perspectives on the Strauss-Kahn Affair” – East Gallery, Buell Hall à Columbia University – Broadway et West 116th St. Mercredi 7 mars à 18h-  http://www.maisonfrancaise.org – (212) 854-4482

La Beaubourg-Brooklyn Connection

Le centre ISSUE Project Room présente à Brooklyn cinq jeunes compositeurs de musique électronique et accoustique: Paul Clift, Andrea Agostini, Juan Camilo Hernandez Sanchez, Ann Cleare, Aaron Einbond. Leur point commun: ils ont tous croisé le chemin du compositeur Christopher Trapani (ci-contre)… à Paris. D’où le titre de l’événement : « Beaubourg to Brooklyn : Electro-Accoustic Music from Paris ». Participeront au concert trois solistes de renom, le clarinettiste Carol McGonnel, le saxophoniste Ryan Muncy et l’accordéoniste Bill Schimmel.

Infos pratiques :

 « Beaubourg to Brooklyn : Electro-Accoustic Music from Paris », 8 mars à partir de 20 h au ISSUE Project Room, 110 Livingston St. – www.issueprojectroom.org – Entrée à $15

Les animaux dans l'art à la Morgan Library

Les animaux ont inspiré les artistes, écrivains, musiciens à travers les siècles. C’est du moins ce que démontre l’exposition «In the Company of Animals : Art, Literature, and Music», à la Morgan Library and Museum jusqu’au 20 mai. Sceaux, dessins, livres, musique et manuscrits illustrent l’utilisation des animaux comme symboles, sujets et personnages.

Parmi les artistes représentés se trouvent notamment John James Audubon, William Blake, Albrecht Dürer, T. S. Eliot, David Hockney, Ted Hughes, George Orwell, Sergei Prokofiev, Peter Paul Rubens, E.B. White, et Virginia Woolf.

Infos pratiques : 

«In the Company of Animals : Art, Literature, and Music» du 2 mars au 20 mai au Morgan Library & Museum, 225 Madison Avenue – (212) 685-0008 – www.themorgan.org

Le Pen: "On n'a qu'une seule nationalité"

Retour aux fondamentaux pour Marine Le Pen. Interrogée lors de l’émission « France 2012 » (TV5 Monde/AFP) le 1er mars dernier, elle a confirmé son intention d’interdire la bi-nationalité, sauf pour les Français ayant une deuxième nationalité européenne. « J’ai dit clairement que je réservais la possibilité de la double nationalité aux ressortissants d’Europe, en cela, ça ressemble au modèle allemand », a t-elle indiqué, ajoutant être « contre la double nationalité, ce qui n’empêche pas d’ailleurs que quelqu’un peut venir en France en ayant la nationalité d’un autre pays, il peut même y vivre, il peut même y rester toute sa vie, il peut même avoir des enfants (…) qui sont français ».

Selon la présidente du Front nationale, il y a des pays non européens, “avec lesquels ça pose plus de problèmes que d’autres”. “On ne va pas se cacher derrière notre petit doigt, on sait très bien que la double nationalité avec un certain nombre de pays du Maghreb pose plus de difficultés d’assimilation que ne pose la double nationalité avec les Etats-Unis“. Mais, elle ne souhaite pas faire de distinction entre ces pays, donc l’interdirait pour tous si elle venait à être élue.

Elle ajoute: « Je pense qu’on n’a qu’une identité, comme on n’a qu’une nationalité ».

Pas vu dans le New Yorker

En attendant de réaliser son rêve et d’être publié dans le New Yorker, le talentueux dessinateur français Manu se contente de French Morning.

Pour sa deuxième fournée de dessins, il a choisi de croquer “The Artist”, l’amour, la famille et les aléas de la vie new-yorkaise. Un régal.

 

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Un an sans visage

Pendant un an, elle ne s’est regardée ni dans un miroir ni dans aucune autre surface réfléchissante. Objectif : dénoncer la prédominance de l’image dans la société actuelle. L’artiste conceptuelle Anita Sto viendra présenter sa nouvelle exposition solo « One year living without mirror » autour cette surprenante expérience. Le public sera ainsi invité à découvrir des oeuvres basées sur des supports peu conventionnels, comme des photographies prises au polaroid, des dessins ou appareils électroniques. L’artiste sera sur place pour rencontrer le public.

Infos pratiques : 

« One year living without mirror » d’Anita Sto, le 3 mars de 18h à 22h, à la Broadway Gallery, 473 Broadway au 7ème stage, entrée libre. 

Rousseau l'Américain

«Si Jean-Jacques Rousseau est toujours aussi célèbre aujourd’hui, c’est certainement parce que sa pensée est complexe et très controversée». Benjamin Barber est Américain mais expert ès Rousseau. Ce politologue et auteur co-organise « ThinkSwiss : Genève Meets New York » à Manhattan, un festival consacré aux idées qui ont germé dans la ville suisse. L’édition de cette année abordera les idées du penseur, à l’occasion du tricentenaire de la naissance du philosophe phare des Lumières. Car on a tendance à l’oublier : Jean-Jacques Rousseau n’était pas Français, mais Suisse. « Rousseau est francophone certes, mais Suisse avant tout », rappelle Benjamin Barber.

Aborder la pensée de Rousseau sur le sol américain peut surprendre. Aux Etats-Unis, il passe pour un « socialiste forcené », voire une « spécificité typiquement française », selon M. Barber. Et si la pensée de Rousseau est un pan inaliénable du programme de philosophie en France, on imagine plutôt les Américains étudier Alexis de Tocqueville.

Pourtant, aux Etats-Unis, en France, en Suisse ou ailleurs, «Rousseau fait partie du club très fermé des philosophes les plus étudiés avec Machiavel, Hobbes ou Aristote», d’après Benjamin Barber. La pensée de Rousseau a tout de même pris du temps à se développer aux Etats-Unis. Les idées du philosophe genevois n’ont pas inspiré la Constitution américaine, les rédacteurs ayant préféré à sa doctrine les théories libérales de John Locke. Rousseau s’est révélé à la moitié du XIXème siècle seulement, quand son roman Julie, ou la nouvelle Héloïse a connu un regain de popularité auprès des Romantiques en Europe et a été par la suite un best-seller aux Etats-Unis. Rousseau a d’abord été « un auteur à succès » avant de « remuer les mentalités ».

Ironie du sort, c’est avec un autre roman, Emile ou De l’éducation, que les Américains ont commencé à s’intéresser à sa pensée philosophique. Dans ce livre, Rousseau décrit l’éducation idéale d’un jeune garçon fictif, Emile, de sa naissance jusqu’à l’âge adulte. Une éducation basée sur l’action plutôt que l’écoute, où « l’élève apprend de manière empirique plutôt qu’en récitant une leçon par cœur». Le philosophe américain, John Dewey, spécialisé en pédagogie, s’est inspiré de Rousseau pour rédiger certains traités de psychologie. Et dans certaines écoles maternelles, la lecture de l’ouvrage a longtemps été obligatoire pour les instituteurs. « Cet ouvrage a considérablement changé les mœurs de la société américaine » et a placé le penseur « au même pied d’égalité que Locke ou Hobbes », estime M. Barber.

Rousseau, papa d’Occupy Wall Street

On oublie souvent que Rousseau a été l’un des premiers à « pointer du doigt les défauts du capitalisme », et à « critiquer la notion de propriété privée ». Arguant que la « première source du mal est l’inégalité entre les Hommes » ou que « les Hommes se perdront si ils oublient que les fruits de la terre sont à tout le monde mais la Terre à personne », Rousseau dénonçait, bien avant Karl Marx ou Pierre-Joseph Proudhon, les faiblesses du modèle économique à une époque où les théories libérales étaient en vogue.

Qualifiée de « communiste » voire même de « totalitaire », la philosophie de Rousseau a été oubliée durant la Guerre Froide. Avec la crise économique de 2008, elle refait surface au sein de la société américaine, en particulier auprès de la jeunesse. Une situation peu étonnante pour Benjamin Barber qui assure «qu’à partir du moment où il y a critique du capitalisme, on retrouve nécessairement la pensée de Rousseau ». Si ce dernier avait vécu à notre époque, il aurait certainement occupé Zuccotti Park.

Infos pratiques :

« ThinkSwiss : When Geneva meets New York », autour du tricentennaire de la naissance de Rousseau, du 6 au 12 mars. Programme complet ici 

Un mois francophone à l’Alliance française

Le mois de mars est celui de la francophonie dans le monde. Plusieurs événements sont organisés à l’Alliance française de Los Angeles pour l’occasion, en partenariat avec le Consulat de Suisse et le Bureau du Gouvernement du Québec.

Après la rencontre-discussion avec le coureur suisse Serge Roethli, elle accueillera, le mardi 6, le vernissage de l’exposition de Florence Baumgartner, « Imagining Faces and Places», mélange de paysages et de personnes en pastel. L’artiste française est installée aux Etats-Unis il y a plus de 30 ans après avoir étudié avec différents artistes en France et en Suisse. A partir de 18h. Rafraîchissements prévus.

L’auteure Marie-Christine Bernard dédicacera son roman Mademoiselle Personne le 8 mars à l’occasion de l’inauguration de la section Québec de la bibliothèque de l’Alliance française de Los Angeles. Le roman est sorti en 2008 et est le lauréat des prix littéraires France-Québec 2009 et AbitibiBowater, Catégorie « Roman » 2008. A partir de 18h30. Rafraîchissements prévus.

Infos pratiques:

Alliance française de Los Angeles – 10390 Santa Monica Boulevard, suite 120, Los Angeles. Site  et RSVP ici 

 

Jonathan Adler en solde

La fameuse marque Jonathan Adler solde de 20% à 30% certains articles de décoration d’intérieur en stock. Au menu: tapisseries, meubles et sofas à prix reduits, entre autres bijoux. Le designer est réputé pour son style « heureux chic ». Pour une fois que faire les magasins donne la pêche ! Jonathan Adler. Jusqu’au samedi 4 mars. Pour les horaires et trouver le magasin le plus près de chez vous, consultez le site internet.

Envie de bijoux chics et raffinés ? Profitez des bons plans de la marque Slane, qui solde ses articles de 50% à 70%.  Colliers en argent, argent mixte ou en or de 18K et plus. La marque est destinée aux dames plutôt qu’aux demoiselles. Slane. Du jeudi 1 mars au samedi 3 mars. Ouvert du jeudi au vendredi de 10h à 19h et samedi de 11h à 18h. 260 Fifth Ave, mezzanine level. www.slane.com

La marque de bijoux Scosha  est connue pour ses bijoux faits mains… et ses prix élevés. La marque lance ses « Spring sales », alors profitons en. Surtout que les réduction atteignent 70%. Scosha. Du jeudi 1 mars au samedi 11 mars. Ouvert du mardi au samedi de midi à 18h et le dimanche de midi à 17h. En ligne et en magasin. 64 Grand Street. Williamsburg. www.scosha.com

Pour changer un peu, voici un bon plan pour vous messieurs ! La marque Bonobos propose des soldes de qualité sur ses pantalons, chemises ou polos. Il y en a pour tous les goûts. Vous trouverez des pantalons de toutes les couleurs et formes. Les pantalons sont à $50 au lieu de $88 à $195 et les polos à $25. Bonobos. Du mercredi 7 mars au vendredi 9 mars. Ouvert du mercredi au jeudi de 11h à 19h et le vendredi de 11h à 18h. Clothingline, 261 West 36th St, deuxième étage. www.bonobos.com

Ouverture de "Rendez-vous with French Cinema"

Le festival propose une sélection de succès du cinéma français, à voir dans des lieux aussi prestigieux que le Lincoln Center, l’IFC Center ou la BAM Cinématek. Des rencontres avec certains des acteurs les plus populaires de France vont rythmer le festival.

La grande fête du cinéma français à New York, 17eme édition, ouvrira  avec « Intouchables » le 1er mars. Le film qui raconte l’amitié improbable entre un millionnaire handicapé et un jeune de banlieue sera projeté en présence d’invités très spéciaux, en l’occurence François Cluzet, et les réalisateurs Olivier Nakache et Eric Toledano.

Le samedi 3 mars à 18h30 à BAM, Vincent Lindon présentera deux films : “Pater” d’Alain Cavalier, un film qui aborde le thème du pouvoir, et “La Permission de Minuit” de Delphine Gleizeat, sur la relation émouvante entre un médecin et son jeune patient atteint d’une maladie qui l’empêche de s’exposer à la lumière du jour. Une discussion avec le critique Michel Ciment suivra les projections.

“Les Enfants Du Paradis”, chef d’œuvre romantique en deux parties de Marcel Carné, aura droit à une projection spéciale le 7 mars à 19h au Lincoln Center. Cet incontournable du cinéma français, sorti en 1945, a connu une seconde jeunesse au Festival de Cannes 2011 lorsqu’une version restaurée de l’histoire d’amour tragique fut projetée pour la première fois.

Le Lincoln Center accueillera, pour la fermeture du festival le 11 mars, Audrey Tautou, après la projection de « La Délicatesse » de David et Stéphane Foenkinos où elle incarne une jeune femme qui tente de surmonter un deuil en vivant une étrange histoire d’amour. L’actrice reviendra sur son rôle et sur sa carrière à l’occasion de cette « conversation » à laquelle prendront part également les deux réalisateurs du film.

Egalement au programme: Mathieu Almaric viendra présenter en personne « L’Illusion Comique », qu’il a adaptée de la pièce de Corneille, au Lincoln Center le 4 mars à 18h15, à la BAM Cinématek le 4 mars à 21h et à l’IFC Center le 5 mars à 20h.

Carole Bouquet sera également présente aux projections de « Impardonnables », un film sur l’impact de la disparition d’un enfant sur un couple dans lequel l’actrice joue pour la première fois aux côtés d’André Dussollier. Les projections ont lieu le 7 mars à 18h30 à l’IFC Center et au Lincoln Center le 9 mars à 20h45.

De nombreux autres acteurs seront aussi de la partie, et des films comme « Louise Wimmer » ou « 17 filles» seront également montrés.

Infos pratiques :

« Rendez-vous with French Cinema » – du 1er au 17 mars – Lincoln Center, IFC et BAM – Programme complet ici