Tandis que samedi sera l’occasion de planter des arbres et des fleurs pour redonner vie le long du metro-rail, le dimanche sera festif avec pique-nique, musique, et ballade tout au long de la journée organisée.
Quand? Samedi 11 et dimanche 12 juin 2011
Où? Au Coconut Grove Mtrorail Station (samedi), 2780 Southwest 27th Avenue, Miami, FL 33133, et A Former home of David Fairchild, 4013 Douglas Road, Coconut Grove, Florida.
Combien? Gratuit.
Pour plus d’informations concernant le programme et activités, cliquez ici.
L'été se fête avec des fleurs
C'est la fête des fruits
A Miami, tout ce qui est frais et le bienvenue. Donc lorsqu’il s’agit de fruits tropicaux, tout le monde approuve. Alors ne manquez pas ce rendez-vous annuel désormais incontournable à Miami: le Redland Summer Fruit Festival. Pendant deux jours, vous pourrez profiter d’une ambiance fruitée avec dégustation de vins locaux, de combinaisons délicieuses et de fruits tropicaux rares. Un pur plaisir!
Quand? Samedi 11 et dimanche 12 juin 2011, de 10h à 17h
Où? Au Fruit and Spice Park, 24801 S.W. 187th Avenue, Homestead, Florida 33031
Combien? $8, gratuit pour les enfants de moins de 11 ans.
Pour plus d’informations, téléphonez au 305 247 5727
Simone de Beauvoir se joue au théâtre
Célèbre philosophe, romancière et essayiste française, Simone de Beauvoir incarnait la France nouvelle avec son compagnon Jean-Paul Sartre durant les années 60-70. Son roman,Une mort très douce, date de 1964 et relate les derniers instants qu’elle vécut auprès de sa mère mourante. Il est considéré par son compagnon comme la meilleure oeuvre de la romancière.
Ce roman est aujourd’hui une pièce de théâtre et examine également les conflits entre une mère traditionnelle et sa fille, intellectuelle éprise de liberté. Court récit autobiographique, les scènes sont poignantes et évoquent l’euthanasie, la mort ou encore les conditions de travail des infirmières et conditions de séjour des malades.
Quand? Vendredi 10 juin 2011, à 20h
Où? Au Santa Monica Payhouse, 1211 4th St, Santa Monica.
Combien? $17
Pour réservez vos places ou avoir plus d’informations, appelez au 323 243 1931
Guillaume Musso nous conte New York
Le roi du suspense a encore frappé. Guillaume Musso manipule l’intrigue avec l’art d’un chef qui manie son couteau de cuisine, avec précision et efficacité, enchainant les pépipéties et laissant le lecteur à bout de souffle. Le scénario débute cette fois-ci en salle d’embarquement de JFK sur un échange accidentel de téléphones portables… Madeline et Jonathan ne se connaissent pas mais à travers leur téléphone respectif, ils vont vite réaliser que leur vie sont entremêlées. Elle vit à Paris, lui à San Francisco mais l’histoire se déplace au fur et à mesure dans les rues de New York. Un hasard ? Non. Une ivresse pour la pomme que Guillaume Musso croque à pleines dents depuis longtemps.
1993. Le jeune Musso débarque à New York pour la première fois. Il n’a alors que 19 ans. Pour couper le cordon ombilical qui le relie à ses parents, il a décidé de s’installer ici pour quelques temps. Il partage une bicoque du New Jersey avec des étudiants d’Europe de l’Est et enchaine les petits boulots: vendeur de glaces, employé dans un motel, laveur de voitures, etc. Ses longues semaines de travail sont récompensées par des “day off” passés à explorer le Manhattan pré-Giuliani des années 90. Musso se souvient du “côté dangereux et excitant” et de cette “sensation qu’ici plus qu’ailleurs, tout pouvait arriver à tout moment…” Une véritable initiation.
Après quatre mois de rencontres et d’aventures, Guillaume Musso rentre en France agaillardi par l’électricité new-yorkaise et fredonne avec Liza Minnelli “if I can make it there, I’d make it anywhere”. Un vrai déclencheur pour sa carrière d’écrivain. Ce voyage initiatique ayant marqué le jeune auteur au fer rouge, c’est donc naturellement que New York devient omniprésent dans bon nombre de ses romans.
Amoureux de la ville, il s’y rend deux fois par an pour alimenter sa boite à idées, avec un penchant pour les couleurs d’automne et la féerie de Noël. Il séjourne en général dans Greenwich Village, son quartier préféré. “J’ai l’impression de pouvoir y trouver un écho de ce passé bohême pas si lointain, celui où Dylan chantait dans les bars !” explique-t-il. Dans L’Appel de l’ange, ses héros passent ainsi une nuit dans une petite maison de la Mac Dougal Alley.
Mais son inspiration, il la trouve aussi devant un coucher de soleil sur le petit port de North Cove au nord de Battery Park City, dans un Coney Island recouvert par la neige en hiver ou en se baladant sur la High Line, le long de l’Hudson River – cadre qui lui a d’ailleurs insufflé une scène de course-poursuite dans l’Appel de l’ange.
North Cove Marina 385 South End Ave, (212) 786-1200
Coney Island, Brooklyn, Métro D, F, N, Q (Coney Island – Stillwell Av)
High Line , from Gansevoort St. to West 34th St., (212) 500-6035
Même s’il prétend ne pas connaître les adresses en vogue de la ville, c’est pourtant chez Peels, le hot spot de la Bowery ouvert par le trendy Taavo Somers que ses deux héros, Madeline et Jonathan, partagent un café. Hasard ou destinée ? Musso est simplement tombé sous le charme de cet endroit, l’hiver dernier, et en a fait son QG.
Peels, 325 Bowery (Corner of 2nd St.), (646) 602-7015
Car tel un vrai new-yorkais, Guillaume Musso brunch le weekend: oeufs benedict & Mimosa. Trois blocs plus bas, il savoure les délicieuses pizzas de Pulino’s.
Pulino’s, 282 Bowery (Corner of Houston), (212) 226-1966
Le soir, il aime dîner Midtown, à l’Atelier de Joël Robuchon, niché dans l’enceinte du Four Seasons, ou bien Downtown, chez Annisa, cuisine américaine contemporaine du West Village, mixée des influences asiatiques de la grande chef Anita Lo.
L’Atelier, 57 East 57th St., (212) 829-3844
Annisa, 13 Barrow St., (212) 741-6699
Mais son endroit préféré reste la Neue Galerie où il vient admirer les tableaux de Gustav Klimt et se délecter, ensuite, d’un véritable chocolat viennois au Café Sabarsky.
Neue Galerie + Café Sabarsky, 1048 5th Ave, (212) 628-6200
Et lorsque l’on demande à Guillaume Musso ce qui consituerait, pour lui, une journée typique new-yorkaise, il a vite fait de répondre : “il n’y a pas de journée typique justement ! Cette ville est tellement surprenante que j’aime me laisser porter au gré de mes rencontres et de mon inspiration.”
L’Appel de l’ange de Guillaume Musso aux Éditions XO
DSK, Lagarde et les schtroumpfs
La France commence une véritable introspection, rapporte le Los Angeles Times. Tout y passe : les politiciens, les médias ainsi que les lois. Le journal ajoute que différentes affaires sortent de l’ombre comme George Tron ou le ministre pris en flagrant délit de pédophilie au Maroc
Duel entre une simple femme de chambre et l’un des anciens hommes les plus puissants de la planète, au menu du Washington Post . Le journal compare le parcours et le mode de vie de chacun.
Les promotions canapé existent toujours en France, comme beaucoup d’autres pressions sexistes, explique le New York Times.
La prétendante française semble en mauvaise posture pronostique CNN car les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) se plaignent de voir toujours des européens occuper le poste de Directeur du FMI.
Le Washington Post rappelle que durant la visite de Christine Lagarde en Inde pour sa candidature au poste de Directeur du FMI, le ministre des finances indien a exprimé son desir que le prochain directeur soit choisi pour son mérite et non sa nationalité.
Dans un autre style, The Atlantic Wire rapporte un autre débat en France: Les schtroumpfs sont-ils communistes et antisémites? Le journal explique que les français adorent la sémantique, mais se demande s’ils ne vont pas trop loin en pensant que des petits personnages bleus de bandes dessinées sont dangereux.
Rendez-vous francophile
Trois rendez-vous auront lieu pour rencontrer des Français ou des Américains amoureux de la France et/ou désireux de discuter avec des Français. Une soirée décontractée idéale.
Quand? Le mardi 7 juin, jeudi 14 juillet et 16 août, de 18h30 à 20h30
Où? Au Skyroom du FIAF, 22 East 60th St, New York.
Combien? $12. Gratuit pour les membres.
Pour plus d’informations, cliquez ici.
Andrew Bird fête l'été en concert
L’ambiance sera joyeuse et bon enfant. Ne manquez pas le concert pop, folk et jazzy de cet artiste reconnu.
Quand? Vendredi 10 juin, à 18h30
Où? Au Prospect Park Bandshell à Prospect Park, 9th St, Brooklyn, NY 11215
Combien? Gratuit.
Pour plus d’information sur Andrew Bird, cliquez ici.
A la recherche de votre Statue de la Liberté
La statue de la Liberté fait rêver bien des personnes et représente un symbole fort et universel. Ce n’est pas pour rien qu’elle est le centre du concours dont le thème est “The Statue of Liberty and the Environment”. Cette compétition est réservée aux étudiants de pre-K à 12. Ces derniers pourront user de leur talent artistique pour créer une oeuvre artistique en s’inspirant du thème.
Qu’il s’agisse de peinture de sculpture ou encore d’une chanson, vidéo, photos ou d’une danse, toutes les expressions artistiques sont acceptées. Ces jeunes peuvent également réaliser ce projet en solo ou en groupe.
Ce mardi 7 juin, l’artiste Raymond Verdaguer présentera le concours plus en détails aux services culturels de l’Ambassade de France.
La date limite du concours est le lundi 17 octobre 2011. La cérémonie des résultats aura lieu à Ellis Island et les meilleurs travaux seront exposés à la Statue. Les grands gagnants remporteront des billets Air France.
Quand? Mardi 7 juin 2011, de 18h à 20h.
Où? Aux Services Culturels de l’Ambassade de France, 972, 5th Avenue, New York.
Combien? Gratuit.
Pour plus d’informations, cliquez ici.
Pour voir les règles du concours, cliquez ici.
Un coq chez les cops
S’il y a une personne qui suit la rocambolesque affaire DSK avec attention, c’est bien Cyril Pavoz. Du haut de son mètre quatre vingt dix, l’homme à la poigne d’acier est l’un des rares Français à évoluer dans l’industrie américaine de la sécurité privée. Une industrie d’ordinaire secrète qui a refait parler d’elle depuis que Dominique Strauss-Kahn est assigné à résidence dans une « townhouse » de TriBeCa, sous la responsabilité de Stroz-Friedberg, la même firme qui a contrôlé la « house arrest » du financier Bernard Madoff.
Arrivé à New York en 1998, le Parisien est un des quatre associés de Global Security Group (GSG). La société fondée fin 2001 par David Katz, un ancien agent spécial de l’administration anti-drogue, propose divers services, du « monitoring » d’assignations à résidence à la protection d’exécutifs et l’investigation. La firme a notamment assuré en 2008 la « house arrest » médiatisée du fabriquant de gilets pare-balles David Brooks, inculpé notamment pour délit d’initiés. Depuis la fin de la même année, elle est chargée de la sécurité du TriBeCa Film Festival.
Pour Cyril Pavoz, la sécurité n’a pas de secret. Après le service militaire, il intègre la compagnie KO Internationale, un des leaders de la sécurité privée en Europe, où il fait du « statique », c’est-à-dire de la sécurisation d’accès. Après une formation à l’Académie internationale du risque, un établissement de formation des professionnels de la sécurité pionnier en France, il décide de se mettre à son compte. Il se spécialise dans la protection de VIPs. Il assure notamment la sécurité de Robert De Niro pendant le tournage de « Ronin », Tom Cruise, Will Smith, Angelina Jolie, Meg Ryan pour ne citer qu’eux. Il est aussi directeur de la sécurité du TriBeCa Film Festival depuis sa création en 2002. A en croire Cyril, son travail a plus en commun avec la diplomatie qu’avec le mercenariat. Au contact de personnalités, il doit trouver les mots justes pour communiquer avec des clients peu habitués à se faire intimer des ordres. Et surtout, il doit gérer des entourages parfois difficiles, du membre de la famille à l’assistant en passant par l’agent. « Je ne suis pas un mercenaire. Pour travailler dans ce secteur, il faut être entraîné, qualifié et montrer patte blanche. C’est une profession. C’est ma vie et j’aime mon travail ».
En tant que professionnel de la sécurité dans deux continents, Cyril Pavoz a pu mesurer le fossé qui sépare la France et la Etats-Unis en la matière. Secteur plus « reconnu » et « pris au sérieux » aux Etats-Unis, il prospère de ce côté-ci de l’Atlantique depuis la fin du 19ème siècle, période de naissance de la Brinks et de la firme d’investigation William Burns Inc. Récemment, les attentats du 11 Septembre 2001 ont bien aidé les affaires. En 2010, l’institut de recherche Freedonia évaluait le marché américain des services de sécurité à 48.3 milliards de dollars.
Que pense-t-il de « l’affaire DSK » ? La « house arrest », sous surveillance 24h sur 24 par au moins un garde armé : classique. La « perp walk » : c’est la procédure. « Quand quelqu’un est escorté par la police, il doit être menotté. » Ce qui le chagrine : avoir vu Anne Sinclair et la fille de Dominique Strauss-Kahn, Camille, sortir du bâtiment de la cour criminelle de Manhattan au vu et au su des journalistes, après l’audience du 19 mai au terme de laquelle DSK a été remis en liberté sous caution: « Je les aurai fait sortir par la porte de derrière et mis une voiture à l’entrée pour faire diversion auprès des journalistes. Il faut protéger l’image. On ne peut pas les jeter dans la gueule du loup. » Une French touch à la garde rapprochée .
La croisière française s'amuse
La French Culture Nights vous promet un soirée chic mais décontractée. imaginez-vous profitant d’un verre devant la Statue de la Liberté tout en dégustant des petits plats. Le cadre est unique et rend l’événement remarquable. Durant la soirée, vous profiterez également de plusieurs artistes.
Mademoiselle Fleur vous emmènera en France avec son jazz typique des quartiers parisiens tandis que DJ Madi et le batteur Manu Leger vous guideront plutôt dans leur propre univers via leur musique consistant à mélanger différents styles musicaux comme le jazz, le reggae, le punk, le rock ou encore les rythmes africains. Le peintre franco-italien Stefano Losi vous présentera “Violent Danses Fade“, concept unique de peinture mélangée à la poésie, puis le japonais Hiromi Nomurajima proposera ses dessins et peintures sur les expressions faciales humaines.
Ne tardez pas à réserver, et bénéficiez de réductions avec le code “FRENCH MORNING” avant le mardi 7 juin.
Quand? Mercredi 22 juin 2011, de 18h30 à 23h
Où? Au New York Skyports Marina, East River et 23rd St dans Manhattan, New York
Combien? $20 Avec French Morning (avant le 7 juin), $25 en réservant, $40 le soir même. Prévoir son ID.
Pour plus d’informations, cliquez ici.
Les meilleures tables françaises au nord de NYC
Westchester County:
-Buffet de la Gare à Hastings-on-Hudson, 20 miles de NYC :
Si le nom est souvent synonyme de médiocrité en France, sur les hauteurs de l’Hudson Valley, c’est un restaurant plein de charme, sans prétention et de qualité. Situé effectivement près de la gare du village, le petit bistrot de 35 couverts, récemment rénové (avec salle au 1er étage pour les repas privés), a été ouvert il y a 30 ans par Gwenael et Annie Goulet, originaires de Concarneau. Contraint de vendre en 2006 pour raison de santé, le couple breton, aidé de leur fils Gwendal, est revenu aux fourneaux 2 ans plus tard, sollicité par les riverains. Plats traditionnels: frisée aux lardons, brandade de morue, ris de veau, cassoulet, canard rôti. En dessert: îles flottantes, crêpes “suzette” ou encore la tarte tatin, très généreuse. Entrées: $10 à $20; plats: $26 à $36. Carte des vins 100% française. À savoir: le vol au vent de homard, spécialité de la maison, est introuvable sur le menu. Buffet de la Gare, 155 Southside Ave. (914) 478-1671. buffetdelagareny.com
-La Crémaillère à Bedford, ville des mansions et des stars, 45 miles de NYC:
Cuisine classique par excellence, pour les dîners en amoureux ou entre amis (en famille, éviter les très jeunes enfants). En 1947, le chef français Antoine Gilly, propriétaire de La Crémaillère à Manhattan, ouvre à Bedford, dans une farmhouse en bois blanc du 18e siècle, la version “à la campagne” de son établissement new-yorkais. En 1961, Robert Louis Meyzen, le fondateur de la Caravelle, reprend le restaurant et, depuis 1971, son fils Robert Olivier est aux commandes. Le designer Ralf Lauren, les acteurs Chevy Chase et Glenn Close ou encore le maire de New York Michael Blomberg y ont leur table. Les best: soupes de moules, au pistou; escargots aux cheveux d’ange; gratin de fruits de mer ; filet de bœuf sauce cognac ou encore cassolettes d’épinard ou de haricots verts. Sorbets maison. Carte des vins à 80% française, 20% nord-américaine. Prix-fixe déjeuner: $25. Dîner: entrées de $9 à $24; plats: $12,75 à $38. À savoir: le dimanche, pas de brunch mais une ouverture non stop de 13h00 à 20h00. Un carré d’agneau en plein après-midi, c’est possible! La Crémaillère, 46 Bedford-Banksville road. (914) 234-9647. cremaillere.com
-Le Château à South Salem, village en terre équestre, 50 miles de NYC:
Pour les amateurs d’histoire architecturale américaine en quête d’un bon dîner français. Le Château est une ancienne mansion de style Tudor construite en 1907 par JP Morgan sur 32 acres de terrain. Le financier en avait fait cadeau à un ami malade, le révérend Rainsford. L’endroit fut transformé en restaurant français en 1970 par une bretonne, Louise Lozach, propriétaire du Coq au Vin à Manhattan. Depuis, sa fille Monique Jaffre Lozach et sa petite-fille Lanaick maintiennent la tradition. Les chefs cuisinier et pâtissier sont français. Leurs spécialités: le Chateaubriand pour deux béarnaise et les cuisses de canard, et, en dessert, les soufflés chocolat ou Grand Marnier. Prix-fixe dîner: $49. Entrées: $8 à $20; plats: $30 à $40. Une bonne adresse pour réceptions ou séminaires “à la française” dans un cadre historique. Ne pas manquer la vue au coucher du soleil depuis le bar ou la terrasse. À savoir: un vrai menu enfants avec choix de soupes, raviolis, salades, filet de bœuf, poulet rôti ou saumon. Brunch le dimanche de 12h00 à 15h00. Dîners dansants les vendredis et samedis. Le Château, 1410 Route 35. (914) 533-6631. lechateauny.com
-Encore Bistrot à Larchmont, petite ville à dense communauté francophone, 18 miles de NYC:
Dans ce petit restaurant de 50 places, l’intérêt se situe davantage dans la salle que dans l’assiette: « on y trouve toujours des Français avec qui parler, au sujet notamment de l’école franco-américaine située à quelques pas » raconte une habituée américaine. Parfait pour les nouveaux venus francophones du quartier. Cuisine classique de bistrot: croque-monsieur, croque-madame, salades de chèvre chaud ou de lentilles, quiches, onglet à l’échalotte, truite aux amandes, jarret d’agneau braisé. Entrées: $7 à $15; plats du déjeuner: $9 à $17; plats du dîner: $21 à $26. À savoir: crêpes les lundis et soirées fromage (raclette, fondue…) les mercredis. Encore Bistrot, 22 Chatsworth Ave. (914) 833-1661. encore-bistro.com
-La Panetière à Rye, 25 miles de NYC:
Ambiance résolument provençale pour repas traditionnel. De sa Marseille natale, Jacques Loupiac en a gardé l’accent et le goût des plats du sud. Il a ouvert sa Panetière (hommage à ses parents boulangers) en 1986, après avoir fait ses premières armes à La Crémaillère (voir plus haut). Salle baignée de soleil au 1er étage pour parties privées. Spécialités: la friture de cuisses de grenouille, les œufs d’alose à la provençale et la dorade de Méditerranée. Entrées: $12 à $24. Plats: $29 à $48. Menu dégustation: $78, $126 avec vins. À savoir: démonstration de cuisine une fois par mois, suivie d’un déjeuner. Participation: $30. La Panetière, 530 Milton Road. (203) 438-1275. lapanetiere.come
Connecticut:
À Greenwich, ville la plus cosmopolite de la région, plusieurs adresses françaises complémentaires les unes des autres, 32 miles de NYC:
-Jean-Louis: pour ceux qui recherchent une expérience culinaire française. Originaire d’Annecy, diplômé de l’école hôtelière de Thonon Les Bains et formé par les chefs aux 3 étoiles François Bise et Guy Savoy, Jean-Louis Gerin innove sans complexe. Depuis l’ouverture de son restaurant, il y a 25 ans, sa cuisine “nouvelle classique” se veut simple (pas plus de 3 ingrédients par plat) mais intense et recherchée. Les fournisseurs sont les mêmes que ceux du Bernardin. Se laisser tenter par le Chef Bar Menu à $49 – vue fascinante sur la cuisine depuis le bar – ou le Grand Tasting Menu à $69 au cours duquel Jean-Louis mêle plats traditionnels et recettes surprenantes: endives aux trois caviars, bar au bacon, carpaccio d’autruche à la truffe, caille du Vermont farcie à la quenelle de volaille, foie gras sauté. Les spécialités desserts: tarte aux pommes ultra fine, flan à la pistache ou encore mousse au chocolat sans jaune d’œuf. Très belle carte de vins (prix raisonnables) constituée depuis 25 ans par la femme de Jean-Louis, Linda, la “boss” en salle. À savoir: JL to Go est un service de livraison à domicile pour les dîners en amoureux, les cocktail parties ou les repas d’entreprise. Commandes online: www.restaurantjeanlouis.com/jltogo. Jean-Louis, 61 Lewis Str. (203) 622-8450. www.restaurantjeanlouis.com
-Méli-Mélo: la crêperie, ouverte il y a 18 ans par les bretons Marc et Evelyn Penvenne, propriétaires de Maison Sorbet, constitue une excellente halte familiale, surtout depuis son agrandissement (passant de 15 à 50 places assises). Grand choix de crêpes au blé noir et au froment, mais aussi soupes, salades et sandwiches. Glaces et sorbets maison exceptionnels. Pour un goûter gourmand, on recommande la crêpe caramel au beurre salé, accompagnée d’un chocolat chaud ou d’un jus de fruits/légumes frais (une 20aine au choix). Crêpes salées: $8 à $15,50. Crêpes sucrées et flambées: $3 à $11. À savoir: le restaurant va ouvrir un bar à chocolat dans l’ancienne salle du restaurant avec viennoiseries et pâtisseries à emporter. Le tout signé par le nouveau chef formé chez Ladurée à Paris, Maxime Ollivier. On peut déjà déguster ses macarons! Méli-Mélo, 339 Greenwich Avenue. (203) 629-6153. melimelogreenwich.com
-Versailles: ambiance salon de thé. Une adresse que l’on n’aurait pas recommandée avant l’été dernier et son déménagement quelques portes plus bas sur Greenwich avenue, dans un espace plus grand, plus élégant et plus accueillant aussi. Le chef niçois Jean-Pierre Bagnato propose une carte restreinte mais variée pour les déjeuners et dîners: on retient notamment les tartares de thon ou le filet mignon. Grand choix de desserts: Opéra, Saint Honoré, forêt noire, éclair… et petits fours sucrés. Vente sur place de pains, viennoiseries et pâtisseries. Entrées: $10 à $24; plats: $29 à $32. Fromages: $15. À savoir: ouvert dès 7h30 le matin, avec une carte petit déjeuner “Morning organic eggs” (l’œuf sous toutes ses formes) ou “Morning temptations” à base de jambon et de miel. Versailles, 315 Greenwich Ave. (203) 661-6634. versaillesgreenwich.com
-Chez Jean-Pierre à Stamford, 37 miles de NYC:
S’arrêter Chez Jean-Pierre, c’est comme faire une pause déjeuner sur la route des vacances en France: on retrouve une réelle ambiance de bistrot-restaurant, on croirait presque voir le PMU à côté (surtout l’été, en terrasse sur le trottoir). Note d’humour avec “le déjeuner des canotiers” de Renoir peint au mur: on y retrouve le propriétaire breton Jean-Pierre, sa femme et leurs 3 fils au milieu des convives. Depuis l’ouverture de son établissement il y a 12 ans, Jean-Pierre ne sert « que du frais, jamais de surgelé » à des prix très abordables: foie gras frais poêlé au porto, coq au vin, magret de canard à l’orange, cassoulet. Entrées: $8 à $24; plats déjeuner: $12 à $24; plats dîner: $22 à $32. Carte des vins suffisamment variée pour y trouver son bonheur. À savoir: 50% de réduction sur toutes les bouteilles le dimanche soir. Chez Jean-Pierre, 188 Bedford Street. (203) 357-9526. chezjeanpierre.com
L'Art est dans l'Avenue
Depuis 8 ans, les artistes de Brooklyn et d’ailleurs se réunissent à Atlantic Avenue pour exposer leurs oeuvres et les faire partager au public curieux. Ce public peut se balader sans les différents studios et ateliers pour découvrir les inspirations et techniques de chacun. On apprend, on s’étonne, on s’émerveille, parfois on cherche à comprendre. Et il ne s’agit pas uniquement de peinture mais aussi de films, de musique, d’art de la rue. Il y a également différents activités pour enfants de tout âges ou pour adultes. L’idée est d’éveiller l’esprit et de partir à la rencontre de l’Art sous toutes ses formes.
Les oeuvres peuvent être achetées si vous avez un coup de coeur, et si vous souhaitez seulement discuter les créateurs seront heureux de répondre à vos questions. Une ambiance chaleureuse. De plus, les restaurants et bars des environs proposent des prix réduits pour les visiteurs.
Quand? Samedi 4 et dimanche 5 juin 2011
Où? A Atlantic Avenue, Brooklyn, New York
Combien? Gratuit
Pour plus d’informations, cliquez ici.
Pour voir la carte précise des expositions, cliquez ici.