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Quand Miami rend le polo sexy

Le “sport des rois” veut séduire le grand public. C’était l’objectif lors de la création du “Miami Beach Polo World Cup” il y a sept ans et petit à petit la sauce prend entre aristocrates cravatés et amateurs de crème solaire. Pour “éduquer” le public, les organisateurs sont allés chercher un animateur de télévision populaire (John Walsh, de “America’s most wanted”) qui explique que le polo n’est vraiment pas compliqué: “c’est comme le hockey sur glace, mais sur des chevaux”.
Au début, a raconté l’organisateur Bruce Oroz à Reuters, les traditionnalistes ont tordu le nez à l’idée d’amener leurs précieuses montures sur le sable de la plèbe. Ils se sont laissés convaincre, et l’évènement -gratuit pour le public général, 150 dollars pour le ticket VIP- a attiré l’an dernier 13,000 spectateurs.
Et le monde du polo tient à montrer qu’il n’a pas attendu Miami Beach pour être sexy. Dès ce jeudi, le tournoi féminin comptera parmi ses participantes le top model brésilien Paula Chermont. Et côté mâles, on pourra voir la star argentine du polo, Nacho Figueras, par ailleurs top model pour Ralph Lauren.
Pendant 4 jours entiers, vous pourrez voir évoluer les différentes équipes, et bien sûr assister au clou du spectacle, la finale du dimanche 24 avril.
Où ? A South Beach, entre la 20e et la 22e rue, derrière le Setai Hotel (2001 Collins Avenue).
Quand ? Du jeudi 21 au dimanche 24 avril 2011
Combien? Gratuit. Si vous souhaitez être VIP, cliquez ici pour réserver les billets.
Pour plus d’informations, cliquez ici ou téléphonez au 305 538-3809

Le pianiste Yefim Bronfman à l'honneur

Chaque orchestre à son virtuose : au Philharmonique de Los Angeles il s’agit du pianiste russo-israélien Yefim Bronfman – dont la réputation dépasse largement le cercle des initiés, Philip Roth faisant lui-même référence à ce pianiste de génie dans son roman La Tache.
A l’occasion de trois concerts au Walt Disney Concert Hall il s’attaquera au Concerto pour piano n˚2 avant de se lancer dans la Premiere Symphonie de Tchaïkovski n˚1, «Rêves d’un voyage d’hiver». L’assurance d’une superbe soirée (ou matinée !) musicale.
 
Où ? Walt Disney Concert Hall, 111 S. Grand Ave., L.A. CA
Quand ? Jeudi 21 avril à 20h. Vendredi 22 avril à 11h. Samedi 23 avril à 20h.
Combien ? De 52$ à 175$. Plus d’infos et achat des billets sur le site du Philharmonique de Los Angeles.

Une journée spéciale au Kidspace Children’s Museum

Ce musée explique aux enfants de tout âge la complexité et la beauté de mère Nature. Des fossiles aux phénomènes naturels en passant par les insectes, cet espace dédié aux plus jeunes leur permet de découvrir plus de 20 expositions interactives et d’apprendre tout en s’amusant. Les jeunes sont sensibilisés sur l’environnement, élément crucial de la prochaine génération.
Le Earth Day, vendredi 22 avril, est une bonne occasion pour le Kidspace Children’s Museum de sensibiliser davantage les enfants par des expositions et animations. Cette fois sur le thème de l’eau, la journée de la terre proposera aux enfants d’apprendre à purifier l’eau, à rendre le paysage marin artistique, à réaliser des collages écologiques ou à comprendre le cycle de l’eau, entre autres. Apprendre tout en s’amusant est véritablement le crédo de ce musée.
Et si votre enfant vient avec une bouteille d’eau, il aura $1 de réduction sur son entrée, ou il pourra le donner au Kidspace learning.
Où ? Au Kidspace Children’s Museum, 480 N. Arroyo Blvd, Pasadena, CA 91103
Quand ? Le vendredi 22 avril 2011, de 9h30 à 17h
Combien ? $10
Pour plus d’informations sur le musée et le programme de la journée, cliquez ici ou téléphonez au: 626-449-9144
 

Le jardin de Monet pour les enfants

Dimanche 24 avril à partir de 14h, une lecture poétique sur le thème du jardin aura lieu devant la toile impressionniste Le Jardin de l’artiste à Vétheuil (1881) de Claude Monet.
Les enfants pourront aussi dessiner leur propre jardin ou écrire leur poème en même temps.
Norton Simon Museum
411 W. Colorado Blvd
Pasadena, CA 91105

"Journal d'un curé de campagne" de Bresson au LACMA

Grand prix du cinéma français et Grand prix du festival de Venise en 1951, Journal d’un curé de campagne (Diary of a Country Priest en anglais) narre avec une grande sobriété les états d’âme d’un jeune prêtre d’Ambricourt, dans le nord de la France.
Adaptation du roman éponyme de Georges Bernanos (1936), ce film en noir et blanc à la mise en scène épurée est considéré comme une oeuvre incontournable du 7e art, et continue d’influencer des réalisateurs comme Martin Scorsese, Olivier Assayas ou Pedro Costa.
Où ? Los Angeles County Museum of Art – Bing Theater, 5905 Wilshire Blvd, Los Angeles California 90036
Quand ? Vendredi 22 avril à 19h30 et à 21h40 ; Samedi 23 avril à 17h et 19h30
Combien ? $10 la séance ($7 membres seniors et étudiants)

durée 115 min

Michel Alexis expose ses peintures

Intitulée « The body of the text », l’exposition durera jusqu’au 4 juin.
L’occasion de découvrir des œuvres tirées d’un « rituel enfantin » selon l’artiste. Ce dernier souhaite, à travers ses œuvres, « concilier aisément les éléments minimalistes et Baroques du décor et les combiner dans des formes imaginaires, énigmatiques, suspendues entre l’attrait du vide et la profusion exubérante de vie ».
Où ? Ruth Bachofner Gallery, Bergamot Station, 2525 Michigan ave, Santa Monica
Quand ? Vernissage : samedi 23 avril 2011 , de 17h à 19h.
L’exposition : du 24 avril au 4 juin 2011. Ouvert du mardi au samedi, de 10h à 17h30
Combien? Gratuit

La réussite professionnelle par l’exil

En toute modestie, Ouenda avoue “avoir le tournis” devant la rapidité de sa carrière professionnelle américaine. La voilà à 36 ans vice-présidente chargée des finances de «Real Mex Restaurants», une entreprise qui compte plus de 200 restaurants, employant au total près de 17000 salariés dans une douzaine d’Etats du pays, pour un chiffre d’affaire annuel de 600 millions de dollars.
Rien ne prédisposait cette enfant de Montigny-les-Cormeilles, Val-d’Oise à grimper si vite les échelons de son entreprise. «Jamais je n’aurais imaginé en arriver là», raconte-t-elle. «Après mon bac, je me suis orientée vers un BTS et je ne pensais pas aller plus loin. Mais lors d’un stage  chez Colgate-Palmolive, j’ai eu une sorte de révélation sur l’orientation que je voulais donner à ma vie personnelle et professionnelle. Je sortais enfin d’un milieu ouvrier, de ma cité et des codes qui la régissaient, pour rencontrer des gens du monde entier. Une véritable nouveauté… J’ai également eu la chance de croiser des personnes qui ont eu la gentillesse de me prendre sous leur aile et de m’encourager à reprendre mes études.»
Suite à ce stage, la jeune femme décide donc de partir 6 mois en Ecosse, à l’Université d’Edimbourg, pour parfaire son anglais. «C’était la première fois que je partais seule. Cette liberté a été une bénédiction. J’ai compris que pour construire mon identité, je devais m’ouvrir aux autres et quitter ma banlieue où, d’habitude, une fille d’origine maghrébine doit se marier jeune et trouver un emploi. Dès mon retour en France, j’ai  redéfini mes objectifs et repris mes études à la Sorbonne.»
Un choix couronné de succès, puisque Ouenda Baaïssa poursuit son cursus jusqu’au doctorat. «Je ne l’ai toutefois pas terminé. J’avais démarré ce doctorat d’économie industrielle en 1999, mais j’ai  obtenu un stage en Californie et je suis partie dans la foulée.»
Le rêve américain se transforme cependant en déception, quelques jours après son arrivée. «J’ai vite réalisé que ce stage n’était pas sérieux et ne débouchait sur rien.» Mais une bonne étoile veille sur la jeune femme. Fortuitement, cette dernière rencontre en effet Charles Bonaparte, «un descendant de l’Empereur», à la tête d’une petite chaîne de restaurants, «El Gallo Giro». L’entrepreneur lui propose ainsi un poste d’analyste financier et la possibilité de rester sur le sol américain. «J’y ai effectué mes armes durant 5 ans, avant d’être débauchée par « Real Mex » qui m’offrait de devenir directeur comptable. Le challenge était intéressant, j’ai foncé.» Avec la réussite que l’on sait…
Plus de dix ans après son arrivée en Californie, Ouenda Baaïssa ne regrette donc nullement son exil californien. Et si la nostalgie de la France s’empare d’elle, la jeune femme sait pourtant qu’elle n’aurait pu y réaliser le même parcours : «Après mon DEA d’économie, je me suis aperçue que le marché du travail en France était sclérosé. En fonction du sexe, de l’origine et du diplôme, je pouvais connaître par avance le salaire, l’évolution et le montant de la retraite. C’était déprimant. Aux Etats-Unis, on ne vous rigole pas au nez et on n’hésite pas à vous donner des responsabilités lorsque vous êtes jeune. On vous donne votre chance et l’ambition n’est pas un mot grossier, même si le revers de la médaille est de travailler 12 heures par jour.»
La jeune femme pousse même la comparaison plus loin en se montrant inquiète quant à l’évolution de la société française : «Même si le marché du travail américain a été durement touche par la crise économique, je reste persuadée que l’on a plus de chance d’y faire carrière lorsque l’on est jeune diplôme et ambitieux. Il s’agit de deux sociétés profondément différentes quant à la valeur travail et à sa rémunération. Le revers de ce système, comparé à la France, est un filet social en peau de chagrin et des coûts d’éducation astronomiques, mais il vaut mieux être jeune diplômé ici qu’en France. A Paris, aurais-je pu doubler mon salaire en 2 ans et le tripler en 5 ans ? Ici, il n’y a pas de limite.»
De loin, elle suit les débats français, de l’égalité des chances à la laïcité et s’inquiète de ce “profond malaise”. “Pour parler franchement, ici, je n’ai jamais senti que mes origines, la couleur de ma peau ou mon accent ont été des paramètres pendant mon parcours professionnel. Or en France c’est un sujet qui revient constamment dans les conversations et dans la presse”.
La jeune femme n’est toutefois pas aigrie et s’avoue toujours séduite par la France, «sa culture, le niveau et  la qualité de conversation des gens». Elle aimerait d’ailleurs y revenir dans les mois à venir pour tenter d’intégrer l’ENA : «Pour l’heure, je n’ai pas trouvé de structure académique (un autre contraste avec les US) qui me permette de préparer l’examen d’entrée dès la rentrée prochaine. J’envisage donc de passer, l’an prochain, le concours externe de préparation au 3e concours.»
En attendant, Ouenda Baaïssa ne sombre pas dans la routine. En dépit d’un emploi du temps surchargé, elle a repris ses études à l’université d’UCLA afin de préparer l’examen du CPA (Certified Public Accountant) : «L’équivalent en France de cette certification est l’expertise comptable. J’ai tellement pratiqué cette profession, qu’il serait dommage de repartir en France sans un diplôme professionnel. C’est aussi une certification très reconnue à l’étranger et dans les entreprises travaillant à l’échelle internationale.»
Une fois ses études terminées, Ouenda Baaïssa pourra alors traverser l’Atlantique en sens inverse pour partir à la conquête de la France, et y suivre son rêve de travailler pour les Affaires Etrangères.

Le Miami Children's Museum célèbre la planète bleue

Tous les 22 avril depuis 1970, le Earth Day (Jour de la Terre) met à l’honneur notre planète et l’importance de sa préservation pour les générations à venir.
Rendez-vous en famille au Children’s Museum vendredi 22 avril de 11h à 17h pour une après-midi d’ateliers ludiques qui initieront vos enfants aux problématiques environnementales, le tout dans une atmosphère conviviale.
Miami Children’s Museum
980 MacArthur Causeway
Miami, Florida 33132
A noter aussi, à l’occasion de Pâques le musée organise une chasse à l’oeuf (et une multitude d’activités) dimanche de midi à 17h.

Les artistes de demain dès aujourd'hui au Loewe Museum

Jusqu’au 8 mai venez découvrir les grands noms de demain au Loewe Museum. Habituellement réputé pour ses collections d’antiquités et d’arts premiers, le musée vous propose pourtant comme chaque année une bouffée d’art contemporain en exposant œuvres des étudiants en art de l’Université de Miami à l’occasion de l’Annual Juried Student Competition. Plus d’infos : http://www6.miami.edu/lowe/index.htm
Quand ? Du 16 avril au 8 mai.
Où ? Loewe Museum, Lowe Art Museum, University of Miami, 1301 Stanford Drive, Coral Gables, Florida 33124-6310
Combien 10$

Le Trans-Siberian Orchestra en concert à la Germain Arena

Le mythique groupe de Paul O’Neill Trans-Siberian Orchestra sera en concert à Estero le dimanche 24 avril. Retrouvez dès 19h30 à la Germain Arena à deux heures de Miami ce groupe qui année après année a su s’imposer comme une valeur sûre du progressive rock. La line-up vous fera revivre l’émotions du classique « Beethoven’s last night » et les sons du plus récent « Night Castle ».
 
Où ? Germain Area, 11000 Everblades Parkway, Estero.
Quand ? Dimanche 24 avril a 19h30.
Combien ? Environ 50$.

Les Bouygues Boys à l'attaque du tunnel de Miami

Le rendez-vous est pris sur le chantier. Guillaume Dubois et Louis Brais me font l’honneur d’une visite exclusive. Munie d’un casque, d’un gilet de protection et de chaussures de chantier –obligatoires- me voilà fin prête à découvrir l’envers du décor. Nous longeons le bras de mer qui sépare le downtown de Watson Island jusque sous le pont de l’autoroute I-395. Un frêle escalier métallique nous amène au beau milieu de l’autroute, la voie « aller » sur notre droite, celle « retour », sur notre gauche. Là, surprise: au milieu d’un champ de grues toutes plus grandes les unes que les autres, je découvre une immense piscine (certainement la plus grande de Miami), entourée de hauts murs de protection latéraux, sur laquelle un petit bateau de plongeurs flotte paisiblement. Guillaume et Louis m’expliquent qu’ils sont en train de creuser la rampe de lancement du tunnel, que ces hauts murs (6 mètres) ont été conçus pour éviter toute inondation en cas d’ouragan et de montée des eaux exceptionnelle. Les plongeurs sont là pour s’assurer «que là dessous», tout se passe bien.
(Photo: Guillaum Dubois, patron de Miami Access Tunnel, sur le chantier).
Avec quatre millions de croisiéristes et près de huit millions de tonnes de marchandises par an, le port de Miami est en pleine croissance. Situé  sur Dodge Island, le seul moyen d’y accéder est de passer par Downtown Miami. La circulation y devient critique et le trafic devrait y doubler d’ici 15 ans. Les commerçants se plaignent, leurs clients fuient le centre ville et le port commence à craindre la concurrence de Fort Lauderdale, à 30 minutes de là. D’où l’idée d’un tunnel qui permettrait de détourner les camions du centre et de faciliter l’accès au port. Après bien des péripéries politiques (et une controverse qui n’est toujours pas éteinte), c’est le consortium conduit par Bouygues qui a remporté l’appel d’offres en 2009. L’État de Floride a alors signé un contrat avec MAT ( Miami Access Tunnel), une société américaine créée pour l’occasion par le groupe Bouygues et un fonds d’investissement. Un contrat d’un type totalement inédit aux États-Unis: le tunnel sera conçu, construit, financé et entretenu par le partenaire privé. L’État de Floride devient « locataire » du projet et du tunnel pendant 35 ans. Il percevra alors un loyer couvrant toutes les dépenses (études, travaux, maintenance etc ).
Le savoir-faire est en grande partie français: Guillaume Dubois, aux commandes de MAT et Louis Brais, exécuteur de travaux chez Bouygues, sont responsables de la conception et de la construction. Ils se connaissent bien et ont déjà travaillé ensemble à la construction d’une autoroute en Jamaïque. Les Français représentent cependant moins de 10% des personnes travaillant sur place. L’énorme chantier emploie actuellement 200 personnes, un effectif qui va très bientôt monter à 500.
Après deux ans d’études, le tracé des deux tunnels (un pour la voie aller et l’autre pour le retour) est établi : il part de l’autoroute I-395 au niveau de Watson Island, passe sous le bras de mer et rejoint Dodge Island sur une longueur de mille cent mètres. Les contraintes ? Énormes. «Il a fallu déplacer une autoroute, rien que cela!» confie Guillaume Dubois. Et d’ajouter «sans pour autant perturber le trafic très chargé de l’I-395 (cent mille voitures par jour), un des axes principaux en direction de Miami Beach».
Actuellement, l’équipe creuse la rampe de lancement qui accueillera cet été le tunnelier, une énorme machine de douze mètres de diamètre, cent mètres de long et cinq mille tonnes !  Il arrivera d’Allemagne par la mer et sera assemblé sur place. «Ce montage  – trois mois ! – sera spectaculaire, les gens n’en croiront pas leurs yeux» se réjouit Guillaume Dubois. Puis, le tunnelier débutera sa lente mission, à raison de quelques centimètres par minute. Son rôle :  creuser, évacuer les déchets sur tapis roulant (séchés et utilisés ailleurs comme remblais, « so green ») et, tous les deux mètres, placer correctement un anneau en béton (soixante centimètres d’épaisseur), parois du futur tunnel, fabriqué au préalable dans une usine près des Everglades. Arrivé au bout, il fera demi-tour pour creuser la voie « retour » de la circulation.
Les moyens techniques utilisés pour creuser sous la terre et sous la mer  (sept couches géologiques différentes) sont étonnants: on congèle l’eau, on fait des injections pour renforcer le sol qui est sableux, on leste le tunnel de façon à ce qu’il ne remonte pas à la surface (vous vous souvenez, la poussée d’Archimède ?)… Tout ça sans faire de vagues: pas question de déranger les touristes qui débarquent au port, les sociétés qui chargent et déchargent leurs containers, ni même les usagers de l’autoroute. Pas question non plus d’affecter le fond marin. «Miami est le seul port industriel à avoir une eau transparente», m’explique Louis Brais. «La « turbidité » – l’opacité de l’eau de mer – doit rester nulle, le bruit n’est pas toléré». La question de l’environnement est capitale. «Trois agences gouvernementales en environnement travaillent avec nous sur le projet» rajoute Louis, «c’est une question très sérieuse».
La fin des travaux est prévue en 2014. D’ici-là, Guillaume et Louis porteront la responsabilité de cet ambitieux projet, illustration d’une belle alliance franco-américaine.
http://www.portofmiamitunnel.com/

L'Afterwork de l'Alliance Française

Amuses bouches, hors d’oeuvres et cocktails à moitié prix, voici le programme de l’happy hour organisée par l’Alliance Française au Blue Martini. Encore faudra t-il réussir à choisir entre les dizaines de martinis du menu !
Où ? Blue Martini – Mary Brickell Village 2e étage, 900 South Miami Avenue, Miami FL 33130
Quand ? Vendredi 22 avril de 17h à 20h
Combien ? Gratuit. RSVP auprès de Sonia à [email protected]
Les participants doivent avoir plus de 21 ans.