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L'émotion de "War Horse" au Lincoln Center

Comédie musicale, pièce de théâtre ou spectacle de marionnette ? War Horse ne se définit pas : cet hybride venu de Londres s’est d’ores et déjà imposé comme le spectacle incontournable de cette saison alors même que la première officielle au Lincoln Center (Vivian Beaumont Theater) ne se tiendra que le 14 avril (les représentations précédentes sont des “previews”).
Adapté du roman de Michael Morpugo, War Horse c’est l’histoire d’une amitié entre Albert, un jeune garçon timide, et son cheval Joey à l’aube de la première guerre mondiale. Alors que celle-ci éclate, Joey est réquisitionné et envoyé en France comme cheval de guerre. Trop jeune pour s’engager, Albert décide de rejoindre clandestinement les troupes avec une seule idée en tête: retrouver Joey.
Dès les premiers instants les marionnettes de la compagnie sud-africaine Handspring Puppet Company captivent: les passionnés de chevaux remarqueront avec quelle précision la gestuelle équine a été reproduite, on en oublierait presque les marionnettistes de génie qui manipulent avec grâce ces personnages qui volent la vedette à des comédiens manquant parfois un peu d’inspiration.
On notera aussi le remarquable travail sur le son qui accompagne efficacement les effets visuels recréant l’enfer des tranchées. Car c’est là, la vraie force de War Horse : ces scènes où les dialogues laissent place aux sons et aux images.
Mais si War Horse est atypique ce n’est pas seulement par sa forme: alors que les comédies musicales penchent bien souvent vers un scenario prônant le «tout-est-bien-qui-finit-bien» de rigueur, ce spectacle assume au contraire des scènes souvent éprouvantes. La mise en scène ne triche pas: c’est bien de la Bataille de la Somme qu’il s’agit. Ici, donc, on choisit de montrer les cadavres humains et équins,  les enfants qui leur font les poches, ceux qui échangent leur identité contre celle d’un mort pour pouvoir rentrer plus vite mais aussi les instants d’humanités qui existent dans les deux camps. Car au fond ces Mémoires d’un Ane des tranchés racontent bien l’histoire d’une guerre… et de ceux qui y sont morts.
Une rencontre gratuite sera organisée le mercredi 13 avril à 17h45 au Vivian Beaumont Theater avec Michael Morpugo – dont le roman a aussi fait l’objet d’une adaptation au cinéma par Steven Spielberg qui sortira le 28 décembre aux Etats Unis – et les metteurs en scène Marianne Eliott et Tom Morris.
 
Où ? Vivian Beaumont Theater, Lincoln Center, 150 West 65th Street, New York 10023
Quand ? Jusqu’au 26 juin.
Combien ? De 75$ à 125$. Achat des tickets et plus d’infos sur le site du Lincoln Center.

« Expressions Dentelle », du Cambrésis à Manhattan

« Expressions Dentelle », c’est le projet artistique de deux Français, la créatrice Claire Catoire et le photographe Pascal Auvé. Présentée en ce moment au FIT, l’exposition regroupe douze robes de cocktail et de mariage “Claire Veut la Lune” (la marque de Claire Catoire) et une vingtaine de clichés en noir et blanc.

Un rêve devenu réalité pour ces deux passionnés, et surtout, l’occasion de promouvoir l’héritage de cet artisanat typique du Nord de la France, et plus spécialement de Caudry, l’autre capitale de la “dentelle de Calais”.

Organisée en parallèle par des professeurs et étudiants du Lycée Saint Jude (Armentières), l’exposition inaugure une série d’évènement pour promouvoir le Nord de la France à New York.

“Expressions Dentelle »
Jusqu’au dimanche 17 avril
Fashion Institute of Technology
Lobby du bâtiment 4
227 West 27th Street (et 7th Avenue)

Enseignement bilingue à Greenpoint: presque une réalité

Ecole, instituteur, directrice motivée : après plusieurs mois de rebondissement, le programme bilingue de Greenpoint est fin prêt. Ne manquent plus que les élèves! Les parents derrière le projet ont annoncé mercredi que quinze élèves étaient inscrits jusqu’à présent alors que le programme aurait besoin d’au moins 18 élèves pour ouvrir. Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 15 avril.
Léa Joly-Sloan, une des instigatrices du projet, se dit «surprise» mais reste confiante, compte tenu du fort engouement manifesté par les parents lors des réunions de présentation du programme à PS 110, l’école publique qui accueillera la classe bilingue à la rentrée si le seuil requis d’élèves  est franchi. La première année, seule une classe de Kindergarten verrait le jour et les niveaux supérieurs seraient ajoutés progressivement les années suivantes.
« C’est une superbe école, avec une directrice dynamique, située dans un cadre magnifique, juste à côté de McGolrick Park, souligne Léa Joly-Sloan. Nous encourageons les parents à devenir les pionniers de ce programme
S’il voit le jour, le programme bilingue de Greenpoint deviendrait le septième à New York.  (Voir ici le dossier French Morning sur l’éducation bilingue à NY)
Pour inscrire votre enfant, s’adresser à l’école : PS 110 The Monitor School – 124 Monitor Street Brooklyn, NY 11222 – (718) 383-7600

Philippe Beck, la poésie française à LA

Fondateur et ex-rédacteur en chef de la revue de poésie Quaderno, Philippe Beck participe encore aux comités de rédaction de plusieurs revues philosophiques.
En plus de ses 14 ouvrages de poésie, il a publié une biographie intellectuelle, Beck l’impersonnage (2006) ainsi qu’un ouvrage de prose, Un Journal (2008). Il présentera ses travaux en compagnie de son homologue américain, Guy Bennett.
Lundi 11 avril de 16h à 18h – University of Southern California (USC) (THH 121, 3551 Trousdale Pkwy Los Angeles, CA 90089)
Mercredi 13 avril de 19h à 23h – OTIS (9045 Lincoln Boulevard Los Angeles, CA 90045-3505)
Jeudi 14 avril de 19h à 22h – Poet Research Center (951 Chung King Rd Los Angeles, CA 90012)

"Paris: Life & Luxury", une journée au XVIIIe siècle

« Paris: Life & Luxury » reconstitue le quotidien de l’aristocratie sous le règne de Louis XV (1723–1774), en suivant de manière chronologique une journée dans la vie de nobles parisiens. Un mode de vie élégant et sophistiqué, alors envié au delà des frontières françaises, et qui va influencer les élites à travers toute l’Europe.
Mobilier, horlogerie, livres, vêtements, peintures, sculptures, instruments de musique… Une centaine d’objets au style rococo nous éclaire sur leurs rituels quotidiens, de la toilette matinale aux mondanités parisiennes.
Sans pour autant oublier les grands thèmes incontournables d’alors comme la science ou la religion, l’exposition révèle l’étendue de la contribution française et particulièrement parisienne aux Beaux-Arts et aux arts décoratifs de l’époque.
Paris: Life & Luxury
Du 26 avril au 7 août 2011
J. Paul Getty Museum
1200 Getty Center Drive
Los Angeles, CA 90049
Tel: (310) 440-7300
Photo : François Boucher, La Toilette, 1742

Col-Coa se marre

S’agit-il de séduire les Américains sur leur propre terrain ou tout simplement de divertir ces adeptes du «fun» ? En tout cas, le festival de films français City of Lights- City of Angels (Col-Coa) parie cette année sur la comédie frenchie. Au programme, sur 34 films, deux diffusions en avant-premières mondiales, toutes deux dans cette catégorie: Low Cost, le troisième long métrage de Maurice Barthélémy, l’un des fondateurs en 1997 de la troupe des Robin des Bois, dont les gags absurdes ne sont pas sans rappeler les Monty Pythons.  L’autre,  Monsieur Papa, est le premier film de Kad Merad, plus connu dans le cadre de son duo un peu bouffon « Kad et Olivier ». Ce n’est d’ailleurs pas ses débuts sur le grand écran puisque les deux compères, qui se sont rencontrés alors qu’ils officiaient comme animateurs à la radio parisienne Ouï FM, avaient déjà écrit ensemble le scenario d’un film moyennement accueilli, « Mais qui a tué Pamela Rose ? », sorti en 2003.
Toujours dans la catégorie comédie, sauce romantique sur fond de lutte des classes, le film qui ouvre le festival. Les femmes du 6ème étage, avec Fabrice Luchini, Sandrine Kiberlain et Carmen Maura, prend corps dans l’univers des années 60, où une bourgeoisie parisienne guindée emploie et loge, dans des chambres de bonnes grandes comme des clapiers à lapins, des Espagnoles ayant fui le pays de Franco.
Y aurait-il comme un air de crise sociale en France ? Le dernier Cédric Klapisch, Ma part du gâteau, sélectionné par le programmateur de Col-Coa, avec Karin Viard et Gilles Lellouche, évoque comme le précédent la confrontation de deux mondes sociaux antagonistes, une chômeuse employée comme domestique par un trader… personnage qui s’avèrera être responsable du licenciement économique de la première.
Diffusée en prime-time mercredi 13 et en avant-première aux Etats-Unis, la comédie dramatique de Guillaume Canet, Les Petits Mouchoirs, pourrait aussi connaître un certain succès, en tout cas à en juger par celui au box office français.  Cette comédie sur l’amitié met en scène la compagne de Canet, Marion Cotillard, aux côtés de François Cluzet, Benoît Magimel, Gilles Lellouche (encore lui) et Jean Dujardin, dans une maison de vacances au bord de la plage…
Le populaire comique au penchant crooner, Jean Dujardin, sera d’ailleurs largement à l’affiche. Dans Un balcon sur la mer, signé Nicole Garcia. Et aussi (car Dujardin se mange sans faim) dans Le bruit des glaçons, la nouvelle comédie noire de Bertrand Blier, ainsi que dans 99 Francs, film projeté dans la catégorie des « classiques » (le film a été montré à Col-Coa en 2008). Côté comédies, la liste est longue, donc finissons-en avec Mammuth, réalisé par les rigolos de Canal+, Benoît Delépine et Gustave Kervern (Les Guignols de l’info et Groland), avec Yolande Moreau, Isabelle Adjani et Gérard Depardieu, entre autres.
Programmé pour cartonner, De vrais mensonges, diffusé samedi 16 au soir, sera suivi d’une discussion avec le réalisateur Pierre Salvadori et l’actrice Nathalie Baye. Côté drames et potentielles perles à voir, Angèle et Tony, premier film d’Alix Delaporte, qui filme avec grâce le milieu des marins-pêcheurs autour d’une histoire d’amour peu ordinaire. A voir, aussi, les courts métrages réalisés par les étudiants de la Fémis, mine d’or de sang frais au moment où il semble nécessaire que le cinéma français renouvelle ses visages.
La liste de tous les films (et liens vers le site du festival):
317TH PLATOON (THE) – La 317e section
99 FRANCS
A VIEW OF LOVE – Un Balcon sur la mer
ANGELE & TONY
BEAUTIFUL LIES – De Vrais mensonges
BIG PICTURE (THE) – L’Homme qui voulait vivre sa vie
CLINK OF ICE (THE) – Le Bruit des glaçons
COLD CUTS – Buffet froid
COPACABANA
DEEP IN THE WOODS – Au fond des bois
FROM ONE FILM TO ANOTHER – D’un film à l’autre
HIS MOTHER’S EYES – Les Yeux de sa mère
INTO OUR OWN HANDS – Entre nos mains
JO’S BOY– Le Fils à Jo
LES BONNES FEMMES
LILY SOMETIMES – Pieds nus sur les limaces
LITTLE WHITE LIES – Les Petits mouchoirs
LOLA
LONG FALLING (THE) – Où va la nuit
LOVE LIKE POISON – Un poison violent
LOW COST
MAMMUTH
MONSIEUR PAPA
MY AFTERNOONS WITH MARGUERITTE – La Tête en friche
MY PIECE OF THE CAKE – Ma part du gâteau
NAMES OF LOVE (THE) – Le Nom des gens
NIGHT CLERK (THE) – Avant l’aube
NOTHING TO DECLARE – Rien à déclarer
OUR DAY WILL COME – Notre jour viendra
SERVICE ENTRANCE – Les Femmes du 6ème étage
SLEEPING BEAUTY (THE) – La Belle endormie
TOSCAN, THE FRENCH TOUCH
WANDERING STREAMS– Les Petits ruisseaux
WHAT LOVE MAY BRING – Ces amours-là
Pour voir le programme complet.

"Potiche" à Miami

1977, Nord de la France. Femme au foyer soumise, Suzanne Pujol (Catherine Deneuve) va devoir prendre les rênes de l’usine de parapluies familiale à la place de son mari, le tyrannique et misogyne Robert Pujol (Fabrice Luchini).

Judith Godrèche, qui interprète Joëlle, la fille Pujol, évoque cette première expérience devant la caméra de François Ozon : « Il est directif et rapide, il sait ce qu’il veut ». Quant à son personnage, derrière son allure moderne à la Farrah Fawcett, elle se révèle finalement plus conservatrice que sa mère. Prisonnière des conventions, Joëlle n’évolue pas, ne s’émancipe pas : « en fait c’est elle la potiche de l’histoire », analyse l’actrice.

Car Potiche, c’est surtout la chronique d’une émancipation féminine. S’il a souvent fait la part belle au beau sexe, François Ozon confirme avec ce dernier long métrage son statut de cinéaste français le plus féministe du moment. Mais ce n’était pas vraiment volontaire : « Je n’en ai pris conscience qu’à la sortie du film, quand les femmes m’ont remercié», confie-t-il.

D’ailleurs, si Potiche se déroule dans les années 70, ce n’est pas un hasard. Pour Judith Godrèche, l’esthétique rétro participe indéniablement du comique du film. Mais surtout, le « recul historique permet plus facilement de rire » de la société de l’époque, de la position de la femme à la relation entre bourgeois et prolétaires. « Si l’intrigue avait été contemporaine, le film n’aurait pas été une comédie », confirme le réalisateur.

Mais cela n’empêche pas les allusions au climat politique français contemporain, et notamment aux élections présidentielles de 2007, quitte à faire quelques anachronismes. Si certains ont vu dans Potiche un film de gauche, François Ozon émet quelques réserves : « je joue surtout avec les clichés, j’assume le côté très caricatural ». Le réalisateur a d’ailleurs ajouté un troisième acte à la pièce de théâtre originale de Barillet et Grédy, dans lequel l’héroïne se lance en politique. Mais point trop n’en faut : il a refusé le film sur Nicolas Sarkozy, La Conquête, finalement réalisé par Xavier Durringer et prévu pour mai prochain. «Je le vois tous les jours à la télé, je n’ai pas envie de payer 10€ pour le voir au cinéma! ».

Beaucoup de références franco-françaises donc, pas toujours évidentes à saisir pour le public américain. Cela ne semble pas poser problème au réalisateur, qui défend « différents niveaux de compréhension ». Et puis « l’histoire, celle d’une femme qui veut prendre le pouvoir, qui veut trouver sa place, reste quand même universelle! ». Judith Godrèche, qui avait cartonné outre-Atlantique avec Ridicule (1996), approuve: « De toute façon, les spectateurs américains adorent les films qui font très français ». Surtout quand on retrouve à l’affiche deux icônes incontournables du cinéma hexagonal, Catherine Deneuve et Gérard Depardieu.

S’il espère évidemment un succès comparable à celui de Swimming Pool (2003), François Ozon reste lucide : « le public américain n’aime pas les sous-titres » et les films étrangers restent souvent destinés à une élite…

 
Pour plus d’informations sur les horaires des séances, cliquez ici
A ne pas manquer non plus, la rétrospective Catherine Deneuve au Tower: voir notre article ici

Rétrospective Catherine Deneuve au Tower

Le monument du cinéma français, que le Wall Street Journal considère comme la plus belle femme du cinéma hexagonal, est à l’honneur à l’occasion de la sortie américaine de «Potiche».
Une rétrospective retraçant son parcours aura lieu au Tower à partir du vendredi 8 avril, avec entres autres les Parapluies de Cherbourg (1964) de Jacques Demy, Belle de jour (1967) de Luis Buñuel et le Dernier Métro (1980) de François Truffaut.
Pour consulter le programme de la rétrospective, cliquez ICI.
En ce moment, Catherine Deneuve est aussi à l’affiche de “Potiche”. Pour voir notre article, cliquez ICI.

Prenez des cours de Yoga gratuit à Bayfront Park

Lundi prochain (11 avril) et tous les lundis, mercredi et samedi suivants commencent les cours de yoga gratuit dans BayFront Park. Non seulement vous profiterez d’un cours avec  un professionnel pour vous ressourcer, mais vous pourrez également admirer la vue sur l’océan. Que vous soyez débutant(e), intermédiaire ou confirmé(e), si vous aimez le yoga et avez plus de 18 ans, cette expérience pourrait vous tenter.  Et n’ayez crainte, vous ne serez pas seul(e) car le succès semble au rendez-vous. Prévoir son matériel.
? Bayfront Park: 301 North Biscayne Boulevard Miami, 33132
Quand ? Lundi et mercredi: 6–7:15pm, Samedi : 9-10:15am.
Combien ? gratuit
Tél: 305.358.7550

Récital Hébraïque au Temple Emanu-El

Jeudi 14 avril aura lieu au Temple Emanu-El un concert hébraïque réalisé par Isabelle Durin et Michaël Ertzcheid. Mélodies hébraïques et ères romantiques sont au programme de ce récital violon-piano  de près d’une heure intitulé Romantisme Hébraïque.
L’occasion pour les deux instrumentistes de présenter la musique traditionnelle juive européenne et russe au public : chansons yiddish, musiques liturgiques et aires incitent à danser seront intégrés à d’autres traditions de composition occidentales, en collaboration avec Hector Berliow, Camille Saint-Saëns ou Claude Debussy entre autres.
Isabelle Durin et Michaël Ertzcheid, respectivement violoniste et pianiste, sont désireux de faire passer un message fort et évocateur et se plairont à jouer avec un ton caractéristique de la musique juive d’Europe de l’Est tout en créant un lien intense avec leur histoire, poignante et emplie de tragédie.
 
Où ? Au Temple Emenu-El, Washington Avenue – Miami Beach FL 33139-7513
Quand ? Jeudi 14 avril à 19h30
Combien ? $18. $15 pour les members du Temple Emanu-El et de l’Alliance Française.
Pré-vente à l’Alliance Française et au Temple Emanu-El.

Le Balcon en concert

Le Balcon est un «ensemble», c’est-à-dire un groupe de musiciens aux aptitudes différentes et en recherche constante du langage musical. Compositeurs, instrumentistes, chefs d’orchestre ou encore ingénieur du son se retrouvent dans le balcon pour un concert totalement  acoustique.
Créé en 2008 par six étudiants du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris, Le Balcon est en représentation mardi 12 avril à la FIU School of music de Miami. Ne vous attendez pas à un concert basique mais à une réelle recherche de son et d’interprétation concernant le regard du public sur la performance musicale de l’ensemble…
Où ? FIU School of music: Hall 10910 SW 17th St- Miami.
Quand ? Mardi 12 avril à 19h30.
Combien ? $25. $15 pour les seniors et le personnel du FIU. $10 pour les étudiants du FIU et les membres de l’association FIU Alumni.
Réservations au 305-348-0496 ou ICI.

« Parisian Glimmers » au New World Symphony

Stéphane Denève et Jean-Yves Thibaudet, respectivement chef d’orchestre et pianiste, se produiront ensemble au New World Symphony le samedi 9 et dimanche 10 avril pour la « Parisian Glimmers ».
Ils y interpréteront notamment Ravel et Roussel, compositeurs emblématique de l’entre-deux-guerres introduisant le modernisme, mais également Connesson. L’occasion pour eux d’interpréter ces géants du classique dans le nouveau site réalisé par l’architecte Frank Gehry, considéré comme l’un des plus grands architectes vivants, inauguré en janvier dernier.
La volonté de Frank Gehry ? Abolir la frontière entre musiciens et spectateurs et permettre au plus grand nombre de faire l’expérience de la grande musique. La qualité de l’acoustique et la précision des installations techniques semblent faire de ce bâtiment un haut lieu des représentations musicales.
? New World Symphony, 500 17th Street, Miami Beach, FL 33139 ; Tel: (305) 673-3330
Quand ? Samedi 9 avril à 19h30, dimanche 10 avril à 14h
Combien ? Détails des prix ici