Dans le cadre des conférences “French Literature in the making” de la Maison française de NYU, le journaliste français Olivier Barrot reçoit l’auteur Camille Laurens. Après ses débuts d’enseignante en France, elle déménage au Maroc où elle vécut pendant 12 ans. C’est à Marrakesh qu’elle écrit ses trois premiers romans.
Son livre Dans ces bras-là paru en 2000 a reçu le Prix Femina et le Prix Renaudot Lycéen. Ses ouvrages ont été traduits dans près de 30 langues. Camille Laurens vit aujourd’hui à Paris où elle est vice-présidente de la Maison des écrivains et de la littérature.
Quand : Lundi 21 mars à 19h
Où : Maison française de NYU- 16 Washington Mews – New York, NY 10003
Entrée gratuite. Renseignements ICI.
Conversation avec Camille Laurens
Déjeuner frenchie au Laguna Culinary Arts
Tous les troisièmes lundis de chaque mois, l’Alliance Française d’Orange County organise un rendez-vous gastronomique pour tous les francophones gourmants. Le prochain, c’est au Laguna Culinary Arts, lundi à 11h30 !
Où ? 845 Laguna Canyon Road, Laguna Beach, CA 92651
Quand ? Lundi 21 Mars de 11h30 à 13h30
Combien ? Déjeuner pour une dizaine de dollars. Réservations au [email protected] ou au 949.251.1610. T
Films français au LACMA
Décidément, le 7e art à la française n’a plus de secret pour le LACMA. Après sa rétrospective consacrée à Catherine Deneuve, voilà que le musée passe trois films français en deux jours !
Programme :
Vendredi 18 Mars à 19h30 :
Regarde les hommes tomber de Jacques Audiard (1994)
$10 ($7 membres seniors et étudiants)
Samedi 19 Mars
à 17h :
I Stand Alone de Gaspar Noé (1998)
$5 – Interdit au moins de 18 ans
à 19h30 :
Chronique d’Anna Magdalena Bach de Jean-Marie Straub et Danièle Huillet (1968)
$10 ($7 membres seniors et étudiants)
Los Angeles County Museum of Art – Bing Theater
5905 Wilshire Blvd
Los Angeles California 90036
Les Lutins à Pasadena
Depuis maintenant douze ans, Les Lutins du Court-Métrage participent à la promotion d’un genre cinématographique souvent mal connu. Soutenu par le Ministère de la Culture, la Mairie de Paris ou encore le Centre national de la cinématographie (CNC), le festival a permis de découvrir une nouvelle génération de talents, aussi bien réalisateurs qu’acteurs. En 2008, “Le Mozart des pickpockets” de Philippe Pollet-Villard, “Lutin” du meilleur court-métrage et du meilleur scénario en 2007, a par exemple remporté un César et un Oscar.
L’année dernière, plus de 2,000 professionnels ont voté pour sélectionner les meilleurs courts métrages européens de 2010. Vendredi soir, l’Alliance de Pasadena en présentera cinq, tous de réalisateurs français.
Programme :
Donde esta Kim Basinger? d’Edouard Deluc
Annie de Francia de Christophe Le Masne
Marcher de Jeanne Herry
Madagascar de Bastien Dubois
Malban d’Elodie Bouedec
20h30 : Cocktail et shooting photo
Les parties II et III du festival auront lieu en Avril et Mai.
Où ? Alliance Française de Pasadena, 34 E. Union Street, Pasadena, CA 91103 ; 626 683-3774
Quand ? Vendredi 18 Mars à 19h00
Combien ? $10 pour les membres, $15 pour les non-membres (et respectivement $25 et $35 pour le festival complet)
Réservations et informations à [email protected]
Pablo Sainz Villegas avec l'orchestre symphonique
L’orchestre symphonique de Miami se produit deux soirs de suite avec le guitaristen soliste espagnol Pablo Sáinz Villegas. Ce brillant musicien de 34 ans est l’un des meilleurs du monde en guitare classique. Il a remporté la médaille d’or à la compétition internationale de guitare Christopher Parkening. Pablo Sáinz Villegas s’est produit dans plus de 20 pays autour du monde et s’arrête cette semaine à Miami.
Au programme de ces concerts, Concierto de Aranjuez de Rodrigo, Reconquista. System One World de Joaquin de Haro et The Three Cornered Hat de Manuel de Fall.
Samedi 19 mars à 20h au Gusman Concert Hall de l’University of Miami – 1314 Miller Rd, Coral Gables- Miami-Dade, Florida 33146
Dimanche 20 mars à 20h au New World Center – 500 17th St-Miami Beach, FL 33139
Information et réservation ICI.
Les poèmes de Cuza Malé Belkis
Cuza Malé Belkis est née en 1942 à Guantanamo, Cuba. Elle a épousé le poète cubain Heberto Padilla en 1967. Bien que d’abord partisane de la révolution castriste, Cuza Malé est devenue plus tard une des critiques des plus virulentes du régime.
Cuza est emprisonnée avec son mari en 1971 pour “écriture subversive”. Le couple s’exile aux États-Unis en 1979 où elle a continué à écrire de la poésie, de la fiction, la peinture et a également publié plusieurs livres.
Cuza Malé fonde plus tard le Linden Lane Magazine, une revue d’Amérique latine et du Nord d’écrivains américain. En 1995, elle a déménagé à Fort Worth et un an plus tard, elle fonde La Casa Azul. Elle a participé à plusieurs expositions d’art et son travail est présenté dans de nombreuses collections privées à Cuba.
Attention, les remarques faites au cours de la rencontre sont en espagnol.
Quand ? Vendredi 25 mars de 19h à 21h
Où ? Alliance Française South Florida 618 SW 8 St Miami – FL 33130 – USA
Entrée Libre
"L'Horloger de Saint Paul" sur vos écrans
Depuis Septembre 2008, l’Alliance Française de Miami a mis en place un Club de lecture avec Dulce M. Goldenberg, professeur de langue et littérature françaises à Miami à la Dade County Public Schools et membre de longue date de la famille Alliance Française. Généralement, le Club se réunit le troisième mercredi de chaque mois, mais pour ce mois-ci le club repousse exceptionnellement la réunion au quatrième mercredi.
Au programme :
L’horloger de Saint Paul – Film de Bertrand Tavernier avec Philippe Noiret, Jean Rochefort et François Perrier), basé sur le livre de Georges Simenon L’horloger d’Everton.
Quand ? Le 30 mars de 18h30 à 20h30
Où ? Alliance Française
South Florida
618 SW 8 St
Miami – FL 33130 – USA
René Magritte par Virginie Devillez
Virginie Devillez travaille normalement au Musée Royal des Beaux-Arts de Belgique. De 2008 à 2009, elle a été chef de projet et co-commissaire pour l’ouverture du nouveau Musée Magritte à Bruxelles. Son expertise se concentre sur la relation entre histoire et art, un domaine dans lequel elle a publié de nombreux ouvrages. Mme Devillez a aussi présenté des documentaires pour la télévision belge et a organisé et participé à de nombreux colloques, séminaires et conférences.
Pour vous, Mme Devillez fera une présentation de Magritte complète. Plusieurs aspects seront abordés à savoir l’oeuvre de l’artiste mais aussi sa vie et la façon dont il a travaillé ses oeuvres.
Cet événement est présenté par l’Alliance, en coopération avec le Consulat général de Belgique.
Quand ? Jeudi 24 mars, 19h
Où ?L’Alliance Francaise de Los Angeles – 10390 Santa Monica Blvd, suite 120 – Los Angeles, CA 90025
Evènement gratuit.
Ouvrir un compte bancaire aux Etats-Unis
Si toutes les banques françaises sont représentées sur le territoire américain, elles ne fonctionnent que comme banques d’investissement ou d’affaires. Il est donc indispensable d’ouvrir un compte individuel dans une banque américaine.
Pour ouvrir un compte, on vous demandera votre passeport ainsi que votre numéro de “Social Security” (si vous ne l’avez pas encore, une carte bancaire type Mastercard ou Visa valide suffira), un justificatif de domicile (facture) ainsi que votre permis de conduire. Si vous y pensez avant de quitter la France, n’hésitez pas à demander une lettre de recommandation à votre ancienne banque, elle pourrait faciliter vos démarches.
Les moyens de paiement sont multiples aux Etats Unis, mais c’est surtout le “cash” et la carte bancaire qui sont acceptés dans la majorité des cas. Adeptes du chéquier, vous devrez vous habituer à devoir trouver une alternative. Les rares fois où ils seront acceptés, prévoyez de devoir montrer au moins deux pièces d’identité.
Votre banque peut vous proposer plusieurs types de cartes de paiement. La “debit card” est sans doute la plus courante, elle vous permettra de retirer de l’argent et de payer directement les commerçants. A ne pas confondre avec la “ATM card” avec laquelle vous pourrez uniquement retirer du liquide au distributeur. La “credit card” fonctionne sur la base du crédit “revolving”. Vous remboursez en fin de chaque mois une partie ou l’intégralité de ce que vous avez dépensé à un organisme de crédit. Attention, comme tout crédit, cela induit des intérêts parfois élevés.
Petit conseil, gardez tout de même votre carte bancaire française pour les premières semaines aux Etats Unis pour éviter de vous retrouver sans le sous.
"Porc-Epic", écrivain légionnaire
Tout téléspectateur de la TV française dans les années 80 connaît le ton lyrique et un brin dramatique de Frédéric Mitterrand. Un ton qui sied parfaitement aux discours officiels et le ministre de la Culture ne s’en est pas départi pour faire honneur à Eva Marie Saint, l’actrice de la Mort aux Trousses, à l’écrivain James Ellroy – « le maître des rêves en noir et des contre-histoires » – ou encore au réalisateur Gus Van Sant, tous les trois sacrés chevaliers des arts et des lettres.
Depuis son pupitre bleu blanc rouge installé face au jardin de la villa, Frédéric Mitterrand a aussi remis la Légion d’Honneur à l’écrivain Alain Mabanckou, et a salué son «mic-mac identitaire tricontinental, son ironie voltairienne, sa poésie». L’auteur des « Mémoires d’un Porc-Epic » (Prix Renaudot en 2006) est né au Congo, a travaillé en France et enseigne aujourd’hui la littérature francophone à l’université UCLA à Santa Monica.
Pour le « petit-fils nègre de Vercingétorix » comme il se surnomme, cette distinction va avant tout à la langue française : «parler le français ici, là où elle est une langue étrangère, lui donne encore plus de beauté et de pureté». La médaille au revers de son veston évoque elle le souvenir de son grand-père. «A chaque fois que je suis décoré, il se rappelle à moi, il fait crépiter les micros comme tout à l’heure. En tant qu’ancien combattant de la France qui n’a jamais été décoré, il trouve peut-être injuste que l’on décore à sa place un écrivain !», rit-il.
Emilio Robba, fleuriste-illusionniste
Il y a 14 ans, Emilio Robba, grand voyageur amoureux de la nature, débarque à Miami pour y découvrir sa faune luxuriante et tropicale. Il n’a pas vraiment d’idée précise sur ce qu’il va y faire mais son brillant passé lui a permis d’acquérir – enfin ! – la confiance qu’il lui manquait pour se sentir libre et un poil fataliste : «Ma vie est faite de rencontres heureuses. Si quelque chose doit se passer, cela se fera».
Ancien étudiant des Beaux Arts à Paris, Emilio –issu d’une famille d’artistes italiens – laisse tomber son ambition de devenir artiste peintre le jour où il rencontre sa femme et ils décident ensemble de fonder une famille. Il devient fleuriste-paysagiste, trouve un vrai plaisir dans la composition de jardins – «c’était à mi-chemin entre la sculpture et la peinture» – et se fait vite remarquer en créant des jardins exotiques. L’orchidée devient sa muse et son emblème.
En 1979, le Printemps Haussman à Paris, dénicheurs de tendances et de talents, lui demande de se lancer dans la création de fleurs artificielles. «Jamais !» est sa première réponse. Mais il finit par accepter et s’installe peu après sous le dôme du Printemps pour présenter deux expositions : une d’orchidées naturelles et une d’orchidées d’illusion. Le succès est immense. Deux ans plus tard, Pierre Cardin fait appel à lui pour ouvrir la première boutique de fleurs de la très réputée maison « Maxim’s ». Il dessine alors ses premières compositions factices d’orchidées. Le couturier est certain de son talent : «Pierre Cardin m’a poussé à signer mes oeuvres et à déposer des brevets». Ces compositions florales sont bluffantes de vérité et ont une allure folle. Leur toucher même est impressionnant. Elles deviennent un objet de décoration à part entière, un objet de luxe aux lignes pures et couleurs délicates, un objet incontournable. Il ne cessera de chercher des moyens de reproduire, le plus fidèlement possible, leur fragilité, leur élégance, leurs formes subtiles.
Nous retrouvons Emilio Robba à Miami, dans le show room du Design district qui n’est autre qu’une jungle luxuriante mais contemporaine (le blanc est omniprésent): je me fraye un chemin au milieu de compositions magestueuses, plus hautes les unes que les autres. Posés sur des meubles transparents (de façon à ce qu’ils ne nuisent pas à l’objet), des vases aux lignes épurées accueillent des bouquets de fleurs délicates aux couleurs intenses et subtiles ; des coupes, de tailles diverses et aux formes arrondies, offrent un spectacle d’une beauté rare : des orchidées prisent dans les parois, y sont précieusement conservées pour le plus grand plaisir de nos yeux. Aux murs, des photos de grande taille sont là comme le témoin des nombreux voyages d’Emilio. « Je suis un nomade, héritage de mon père qui plantait son cirque de villes en villes ».
Il s’est imposé à Miami comme le spécialiste de la décoration florale des bateaux de croisières de luxe. La compagnie Celebrity Cruise a été son premier client. Il se souvient, amusé, du premier rendez-vous au cours duquel le vice-président lui assure qu’il veut des fleurs fraîches et pas autre chose ! Emilio pose alors sur le bureau une de ses compositions : quelques fleurs (factices !) délicatement posées dans un vase aux courbes délicates. «C’est exactement ça que je veux !» s’exclame son nouveau client.
Avec Costa Croisière, il ouvre la première boutique sur un paquebot : «une boutique souvenir, chic et de luxe». En Avril prochain, ce sont 4 autres boutiques qui verront le jour. Il décore aussi les tables et salles de bain du nouveau méga-yacht, le Boréal, de la compagnie du Ponant.
Emilio est un homme comblé et heureux. Et fort de cela, il continue à explorer la planète pour y chiner de nouvelles idées ; comme le bois pétrifié, ramassé autour des volcans en Indonésie, avec lequel il réalise des meubles ; ou encore, les cours qu’il donne bénévolement dans une école d’art à Casa de Campo en République Dominicaine.
Ce dont il a envie maintenant, c’est « d’échanger, de transmettre », de s’enrichir d’une autre façon.
http://www.emiliorobba.com/
Marine Palin ou Sarah Le Pen?
En digne fille de son père, Marine Le Pen fait parler d’elle, même outre-atlantique. La présidente du Front National, qui d’après plusieurs sondages parus la semaine dernière arriverait en tête au premier tour des élections présidentielles, “sème le désordre” dans la sphère politique française, relate Voice of America. Si l’article évoque les biais des instituts de sondage et le rôle des médias dans cette percée, il n’hésite cependant pas à ranimer les douloureux souvenirs d’avril 2002 et voit dans ces résultats la possibilité d’un scénario similaire en 2012. Un pronostic pas si extravagant, si l’on en croit le blog Global Spin du Time qui mentionne aussi l’éventuel succès de ce parti jadis “paria” de la politique. Cependant, l’auteur Bruce Crumley l’affirme : “une année est une éternité en politique”, et le sort de la France n’est heureusement pas encore scellé.
Décidément passionné par Le Pen fille, le blogueur tente même de la comparer à la leader républicaine Sarah Palin dans un autre article du blog, intitulé “Marine Le Pen et Sarah Palin : qui est la plus extrême ?”. Si la présidente du FN en ce moment en déplacement sur l’île de Lampedusa, au sud de Sicile (Washington Post) a elle-même affirmé que son courant n’avait rien en commun avec le Tea Party, l’auteur essaye de leur trouver des points communs : Anti-immigration, peine de mort, et nationalisme ne suffisent cependant pas à passer outre les “traditions culturelles et gouvernementales” des deux pays, qui font notamment que les deux femmes ne partagent pas le même point de vue sur le rôle de l’Etat.
“La France reconnaît l’opposition libyenne” titre le Wall Street Journal. Jeudi dernier, Sarkozy a en effet été le premier sur la scène internationale a admettre la légitimité du Conseil national de transition, l’opposition principale au Colonel Kadhafi. Un pari risqué, et une “déclaration unilatérale” trop prématurée pour certains dirigeants européens, rajoute un blog de CNN. De passage à Paris lundi, Hillary Clinton a rencontré les ministres des affaires étrangères des pays du G8 pour discuter de la crise libyenne, ajoute The Associated Press. Après le séisme de vendredi et ses conséquences nucléaires, la situation au Japon était aussi à l’ordre du jour, avant que la secrétaire d’Etat américaine ne décolle pour l’Egypte et la Tunisie.
Deux personnalités françaises du troisième-âge font aussi couler de l’encre :
Thérèse Blondeau d’abord, présentée par Reuters comme la seule athlète féminine française survivante des Jeux Olympiques de Berlin de 1936. Aujourd’hui âgée de 97 ans, l’ex-nageuse professionnelle se souvient de son séjour dans la capitale allemande et raconte l’espionnage orchestré par Hitler, qui voulait faire de cette rencontre sportive “un symbole de supériorité de la race aryenne et du nazisme”.
Le New York Times dresse aussi le portrait d’un autre nonagénaire français : le « héros de la résistance française », Stéphane Hessel, 93 ans et auteur du best-seller « Indignez-vous! » (1,5 millions d’exemplaires vendus). Le quotidien revient sur son enfance atypique qui a même inspiré «Jules et Jim» à François Truffaut, et énumère les critiques politiques et littéraires dont il a fait l’objet.
Enfin, le même quotidien consacre un article à une polémique passée quelque peu inaperçue dans la presse internationale: le projet de Nicolas Sarkozy de Maison de l’Histoire de France, loin de faire l’unanimité. Pour le New York Times, chaque président français a été à l’origine d’un monument culturel resté dans les annales : Beaubourg pour Pompidou, le Musée d’Orsay pour Giscard d’Estaing, l’Opéra Bastille, la BNF, l’Institut du Monde Arabe ou encore la pyramide du Louvre pour Mitterrand. Le “Président Bling-Bling”, comme l’appelle ironiquement le quotidien, qui ne s’était pour l’instant pas distingué par ses initiatives culturelles, s’est finalement décidé à léguer un “héritage culturel”. Un “instrument” politique et “idéologique”, voilà ce que retient le NY Times du projet présidentiel de Maison de l’Histoire de France, qui devrait ouvrir d’ici 2015 dans les Archives Nationales, au coeur du quartier parisien du Marais…