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Presidents day : encore des soldes

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La fin de la Fashion week, des températures plus douces et un week-end de trois jours. Tous les ingrédients sont là pour profiter des soldes du Presidents Day. Petit tour d’horizon des meilleures affaires entre Manhattan et Williamsburg.
Si vous êtes prêtes à affronter une longue file d’attente pour profiter de soldes alléchantes chez Marc Jacobs, Phillip Lim, Dries van Noten, Rag & Bone, Stella McCartney et Chloé, rendez-vous à Barneys New York Warehouse. Les vêtements, chaussures, accessoires et décorations pour la maison sont à moins 70%. Où ? 255 W 17th St (212-450-8400). Vendredi 18 de 8h à 21h ;  du Samedi 19 février au Dimanche 6 mars de 10h à 19h. barneys.com
Filene’s Basement frappe fort avec 70% additionnel s sur des articles déjà soldés. Si d’autres articles sont moins bradés, la remise reste vraiment intéressante avec  une robe Calvin Klein à $24 au lieu de $100. Si jamais vous prévoyez de vous marier bientôt, Filene’s Basement est LE lieu ce week-end où trouver votre robe d’un jour parmi 2 000 articles dont les prix démarrent à $249 au lieu de plus de $10 000. Où ? 2232 Broadway, 80th St. (212-873-8000) www.filenesbasement.com
Bien sûr il y a aussi les incontournables, les classiques , chouchous des touristes mais pas seulement… Robes, pantalons ou tops pour préparer le printemps,  Macy’s offre entre 25% et 75% de réduction sur la gamme prêt-à-porter féminin notamment. Où ? 151 West 34th Street, New York, NY (212) 695-4400 www.macys.com
Chez Bloomingdales, les soldes du Presidents day sont plus frileux avec seulement 2à à 40% de promotion. Mais si vous avez envie de faire des achats pour la chambre ou la salle de bain, le deuxième article est à moins 50% jusqu’au 21 février. Où ? 1000 Third Avenue New York, NY 10022 (212) 729-5900 www.bloomingdales.com
Pour celles qui ont envie de sortir un peu de Manhattan, direction Williamsburg. Chez Jumelle, les vêtements Alexander Wang, A.P.C., Isabel Marant, Rachel Comey sont soldés à moins 75%. Où ? 148 bedford avenue, brooklyn, ny, 11211 (718.288.9525) Samedi de 12h à 19h30, Dimanche de 12h à 19h et Lundi de 13h à 19h30. www.shopjumelle.com
A ne pas manquer non plus jusqu’au Samedi 19 février, la Williamsburg’s Fashion Weekend qui mêle mode et arts. Pas question d’acheter quoi que ce soit mais c’est l’occasion de découvrir les collections de nouveaux créateurs comme Ruffeo Hearts Lil’ Snotty, Nathalie Kraynina, Alex Campaz ou encore La China Loca. Où? Glasslands Gallery will 289 Kent Ave, Williamsburg, Brooklyn (718-599-1450) Vendredi 18 et Samedi 19 de 20h à 4 heures. Entrée $8 williamsburgfashionweekend.com

Les "city symphonies", la ville au cinéma

Ce week-end UnionDocs accueille le critique cinéma David Phelps qui présentera plusieurs films rares en forme d’odes à la ville (« city symphonies »), un genre populaire dans les années 20 et 30.

A l’heure des premiers pas du 7e art, l’avant-garde cinématographique se met à capturer l’effervescence des villes alors en plein expansion. Résultat, des oeuvres poétiques à l’esthétique moderne, et qui vont à l’encontre des frontières traditionnelles entre la politique et l’art, le réalisme et l’abstraction, le documentaire et la propagande.

Parmi les films projetés dimanche soir, Rien Que Les Heures (1926) de Cavalcanti (photo), chef d’oeuvre muet sur Paris, ainsi que One Second In Montreal (1969), du réalisateur canadien Michael Snow.

Où ? UnionDocs, 322 Union Avenue, NY 11211; (718) 395-7902

Quand ? Dimanche 20 Février à 19h
Combien ? Donation suggérée de $9. Billets en vente ici

Le best of des burgers new-yorkais


Les grands classiques
Certaines enseignes ont construit, au fil des années, leur réputation sur cette fameuse recette du tomate-oignon-pickle-laitue, typiquement américaine. Voici pour vous la liste des incontournables :
1/ Burger Joint, planqué au fond du chic Hotel Parker Meridien, vaut particulièrement le coup d’oeil pour le contraste de styles entre le petit burger shop populaire et le décor élégant de l’hotel. Cheese burger simple et sans chichi.
Burger Joint au Parker Meridien, 119 West 56th Street, (212) 245-5000 http://www.parkermeridien.com/eat4.php
2/ Un peu plus haut, dans l’Upper East Side, JG Melon. Depuis 1972, cette vieille enseigne continue de ravir les new-yorkais avec son épais burger juteux, le plat le plus populaire de la maison.
JG Melon, 1291 3rd Avenue, (212) 744-0585
3/ Dans la même lignée, le très célèbre Corner Bistrot situé dans une rue pavée du West Village, est devenu une véritable institution.
Corner Bistrot, 331 West 4th Street, (212) 242-9502 http://cornerbistro.ypguides.net/
4/ Enfin, la file d’attente interminable qui s’étend devant le Shake Shack du Madison Square Park tous les midis est une preuve suffisante de la qualité de son burger.
Shake Shack, Madison Quare Park, (212) 889-6600 http://www.shakeshacknyc.com/
Mais qui dit incontournable dit aussi très populaire. L’attente, vous l’aurez compris, y est donc affreusement longue. Alors, pour ceux qui n’auraient pas le courage de patienter des heures, voici les bons plans de French Morning :
5/ Petit pub planqué dans Alphabet City, Royale offre un merveilleux Royale cheese de qualité. Classique mais terriblement bon. À déguster devant le match de football ou dehors, dans la cour chauffée…
Royale NYC, 157 Avenue C, (212) 254-6600 http://royalenyc.com/
6/ Dumont, à Williamsburg, qui a fait du burger sa spécialité et est devenu LE repère de Brooklyn grâce à une recette étudiée à la perfection, alliant boeuf mariné dans une sauce secrète, choix varié de fromages et pain brioche fondant.
Dumont, 314 Bedford Ave, Brooklyn, (718) 384-6128  http://www.dumontburger.com/
7/ La version “diétique” (si l’on peut dire) avec Better Burger dont la mission est de s’assurer que tous les ingrédients du burger sont organic.
Better Burger, 178 8th Avenue, (212) 989-6688 http://www.betterburgernyc.com/home.html
Envie d’exotisme ?
Pour les aventuriers qui souhaitent pimenter le classique cheeseburger, nous avons sélectionné trois restaurants qui proposent des variantes à la tradition :
8/ DBGB, sur Bowery. Le chef n’est autre que le célèbre Daniel Boulud. Il réinvente avec succès la recette traditionelle. Notre préféré: Le Frenchie. Boeuf et confit de porc agrémenté d’une compote de tomate-oignon et roquette. Le morbier a remplacé le cheddar. Le tout servi dans une brioche poivrée. Hummm…
DBGB, 299 Bowery, (212) 933-5300 http://www.danielnyc.com/dbgb.html
9/ Prune sert son burger sur un Thomas’ English muffin. Une orginalité qui vaut à ce repère du East Village un vrai succès (seulement le midi).
Prune, 54 East 1st Street, (212) 677-6221 http://www.prunerestaurant.com/
10/ Et enfin, à Brooklyn, Five Leaves intègre rondelle d’ananas et de betterave, oeuf au plat et mayonnaise épicée. Pour les curieux, laissez-vous tenter…
Five Leaves, 18 Bedford Avenue, Greenpoint, Brooklyn, (718) 383-5345 http://www.fiveleavesny.com/

Jacques Brel revisité

Fans de Jacques Brel attention ! Jean Brassard va vous faire redécouvrir l’icône Belge. Si vous recherchez la mélodie, la musicalité et les textes de Brel (traduits en anglais), vous êtes les bienvenus. Si l’aspect cabaret et revival vous dérange, vous allez passer à côté d’un grand moment. Un mélange saugrenu et assumé. A découvrir sans plus attendre, une fois !
Quand ? Le 25 février, les 16, 23 et 30 mars à 20h
Où ? Le Triad. 158 West 72nd St à New York
Prix : $15 au lieu du prix initial de $20, en utilisant le code MKTG à l’adresse suivante : http://www.brownpapertickets.com/event/131725

Bienvenue à NY, United States of Alsace

L’appartement de Renée Roth-Hano, dans l’Upper East Side de Manhattan, est plein de fragments de son identité. Des livres sur l’Holocauste sont posés sur les étagères. Une collection d’églises miniatures et d’anges a grandi au fil des années sous la fenêtre de son salon. Et une poupée de “L’Alsacienne” en costume régional traditionnel, avec sa coiffe noire en forme de nœud, est assise confortablement sur le sofa.

Renée Roth

New York révèle quelque chose en chacun de nous. Pour cette assistante sociale, sa venue à bord du paquebot Liberty en 1951 comme jeune fille au pair fut l’occasion de mettre des mots sur un passé traumatisant, celui d’une juive alsacienne, baptisée et cachée pendant deux ans dans un couvent en Normandie pour échapper à la folie antisémite de la Deuxième guerre mondiale.
Aujourd’hui, la « jeune femme de 79 ans », auteure de plusieurs livres dont « D’un monde à l’autre » (Ed. La Nuée bleue) qui retrace ses premières années à New York, raconte comment la ville l’a aidée à panser ses blessures:
Ecouter Renée Roth
L’histoire de Renée Roth-Hano fait partie de la grande mosaïque des trajectoires personnelles qui font la diversité de la communauté alsacienne actuelle. Hier, ils partaient  à la conquête des terres fertiles du Nouveau monde et fuyaient l’atrocité des guerres, le ballottement incessant entre la France et l’Allemagne. Aujourd’hui, les Alsaciens d’Amérique dirigent des restaurants réputés, investissent les hautes sphères de la diplomatie mondiale,  des finances et de l’art.
Originaire d’Obersaasheim dans le Haut-Rhin, Thierry Kranzer fait partie des douze alsaciens qui travaillent à l’ONU:
Ecouter Thierry Kranzer
Thierry Kranzer

L’émigration alsacienne vers les Etats-Unis remonte à la fin du 17ème siècle. La politique pro-catholique du royaume français ainsi que les mauvaises récoltes consécutives à l’hiver rigoureux de 1710 poussent de nombreux Alsaciens, protestants, au départ. Aux côtés d’autres « persécutés d’Europe », ils goûtent à la liberté religieuse et aux succès économiques que leur offre l’Amérique, posant les bases d’une migration qui perdurera tout au long du siècle.
Jusqu’à la fin du 19ème, l’émigration alsacienne, plutôt agricole, s’installe dans les grandes étendues rurales du Mid- west. Une colonie alsacienne, Castroville, voit notamment le jour au Texas en 1844 grâce aux efforts d’Henri Castro. L’ancien garde impérial et consul général de France au Texas était parvenu à convaincre plusieurs douzaines de colons, essentiellement de Mulhouse, de venir peupler les terres vides à l’extérieur de San Antonio. Castroville existe toujours et les signes de son héritage alsacien – son église Saint Louis, ses maisons aux toits à pentes inégales, sa rue de Paris et son ancien moulin transformé en auberge – sont encore bien visibles au détour des rues.
Les Alsaciens ne gagnent les grandes villes américaines qu’en 1870, sur fond de guerre franco-prussienne en Europe et d’industrialisation de l’Amérique. Chicago et New York sont les grands foyers d’accueil des nouveaux arrivants : En 1871, la Grosse Pomme compte huit sociétés alsaciennes (sur un total de 38 au niveau national). L’Union alsacienne de New York voit le jour cette année-là.  Sa présidente actuelle Catherine Zwingelstein, parle du rôle de l’UA:
Ecouter Catherine Zwingelstein
Catherine Zwinglestein

Cent quarante ans plus tard, l’Union Alsacienne compte quelque deux cent membres. C’est sans doute moins qu’au début du siècle, observe Catherine Zwingelstein en se basant sur les photos des grands bals organisés par l’association à l’époque. La baisse pose la question des statuts de l’association (seuls les Alsaciens, leurs conjoints et leur descendance peuvent devenir membres) et la difficulté de capter une émigration devenue volatile avec l’accroissement des visas temporaires.
Pourtant, les nombreuses associations d’amitié américano-alsacienne, les accords bilatéraux et surtout les dix “Strasbourg” à travers les Etats-Unis rappellent que les liens entre l’Aigle et la Cygogne demeurent forts.
 
 
Emmanuel Jaegle est le co-fondateur alsacien du cabinet d’experts-comptables franco-américains Jade Associates:
Emmanuel Jaegle

 
Ecouter Emmanuel Jaegle
 
 
 
Julien Villa, photographe strasbourgeois, est arrivé en 2009:
Ecouter Julien Villa

 
 
 
 
Patricia Catenne, d’Obernai, a fondé le traiteur Quintessencia à New York et assure que les New Yorkais connaissent sa terre natale:
Ecouter Patricia Catenne

Le nombre exact d’Alsaciens et de descendants d’Alsaciens aux Etats-Unis est difficile a déterminer. Mais leur influence est grande. Outre une riche tradition culinaire, la Statue de la Liberté, le Grand Concourse du Bronx, l’Alsace peut se targuer d’avoir apporté aux Américains… un Président : Barack Obama serait à 4,6865% Alsacien par un ancêtre né dans la petite commune de Bischwiller (Bas-Rhin). Certains rêvent déjà du jour où il déclarera devant Strasbourg en liesse: « Ich bin a Elsasser».
 
 
 
Vendredi 18 février: les membres de l’UA sont invités à un cocktail pour fêter les 140 ans de l’association. Au menu: Hors d’oeuvres par Quintessencia, le Kouglof  de Marjolaine Bakery. La flammenküche est fournie par White Toque et des vins Hugel seront servis. The Attic Studio, 11‐05 44th Road (44th road @11th street) à Long Island City.
Pour les autres festivités des 140 ans de l’Union alsacienne, lire ici
Pour plus d’informations, voir le site de l’Union Alsacienne ici

Rock et cinéma, la double voie de jumeaux

Fabien Hameline est un jeune Français de 28 ans qui a la niaque. Et comme ils sont deux, ils ont doublement la niaque. Fabien et son frère jumeau Sébastien se sont installés à Los Angeles il y a 6 ans pour percer dans le cinéma et le rock. Ca tombe bien, LA est la ville de prédilection dans ces deux domaines.
Très jeunes, les frères Hameline grandissent entre Paris et Los Angeles, avec un pied dans le cinéma. Le père sévit déjà à Hollywood en tant que réalisateur, et après un passage à La Sorbonne Nouvelle, les jumeaux s’envolent pour LA afin de goûter au gâteau cinématographique.
Fabien, en tant qu’assistant réalisateur, et Sébastien, en tant que chef opérateur, enchainent les projets. Beaucoup de courts-métrages, quelques longs. “Quand on était à l’école en France, c’était avant tout de la théorie. Dès qu’on est arrivé à LA, on a mis les mains dans le cambouis!”, s’exclame Fabien, le plus bavard des deux.
Si ils restent dans le monde du cinéma indépendant, Fabien et Sébastien acquièrent suffisamment d’expérience pour se lancer. Ils ont créé leur boite de production et réalisé leur premier long métrage cet été, un mockumentary sur les street racers qui sortira en DVD au printemps. “C’est l’histoire d’une bande de loosers extravagants qui ont vu Fast & Furious et veulent absolument faire du street racing à LA”, explique Fabien. La sortie du film – directement en DVD – est prévue pour cet été. “Réaliser un long métrage qui marche permet de se faire connaitre ici. Ca peut être un véritable tremplin”, assurent les deux frères.
Mais comme toute personne de “l’Industrie” du cinéma, Fabien et Sébastien ont une passion qui les occupe en dehors de leurs heures de travail : la musique. Ils ont fondé un groupe franco-américain, les “Ghost Robot”, où l’on discerne l’influence des grands groupes de rock mythiques des années 60 et 70 : Pink Floyd, Led Zeppelin, The Doors, Radiohead. Ils viennent à peine de finir l’enregistrement de leur premier album, sortie prévue courant mai.
C’est très difficile de se constituer un public ici à LA“, remarque Fabien, les lunettes légèrement teintées posées sur le nez. “Les gens sont frileux, et les salles mettent la pression pour qu’on remplisse, surtout sur Sunset boulevard”, poursuit-il, donnant l’exemple de la Viper Room, qui demande une garantie de 50 tickets vendus par concert. “C’est un peu dommage, car c’est vraiment le côté économique qui prime”, ajoute Sébastien, même style de lunettes.
En six ans, les jumeaux ont eu le temps de comprendre les rouages de cette industrie si convoitée. “20 000 acteurs déménagent et emménagent chaque mois à Los Angeles”, souffle Fabien, c’est dire si la concurrence est rude. Mais les frères Hameline ne regrettent rien, car “jamais ils n’auraient pu réaliser leur propre long-métrage si tôt” si ils étaient restés en France.
Reste que vivre à Los Angeles est loin d’être évident, même pour des Américains. “Ma copine, qui est Américaine, déteste LA!”, s’amuse Fabien. Le Parisien reconnait qu’établir des relations solides avec les gens prend plus de temps qu’en France : “On décèle tout de suite si une personne vous parle par intérêt ou non”, souligne-t-il. “Ce qui m’a frappé ici, c’est que les gens ne t’invitent jamais chez eux, même pour leur anniversaire! Ils préfèrent te donner rendez-vous dans un bar ou un restaurant plutôt que d’avoir à dévoiler leur intimité“, poursuit-il. “Les gens investissent tout dans leur voiture ici, dans les apparences. Mais montrer où on vit, c’est montrer réellement combien on gagne…”

French connection

Le concert “French connection” porte bien son nom. Lise de La Salle, 21 ans est l’une des pianistes françaises les plus brillantes de sa génération. Elle se produit pour la première fois avec le Los Angels Chamber Orchestra dirigé par un autre Français, Louis Langrée.
Au programme de ce concert Pavane pour une infante défunte de Ravel, Piano Concerto No. 2 in G minor, Op. 22 de Saint-Saëns et enfin Symphony No. 2 in D major, Op. 36 de Beethoven.
Samedi 26 février à 20h au Alex Theatre
216 North Brand Boulevard
Glendale, CA 91203
818 243 7700 x 123
 
Dimanche 27 février à 19h au Royce Hall
340 Royce Dr.
Westwood, CA 90095
Achat des tickets et information sur le site du Los Angeles Chamber Orchestra.

Un "Chickchat" à la française

Organisées par Alexandra Montaya, les soirées “Chickchat” réunissent des femmes ambitieuses dans une ambiance conviviale et sophistiquée.

La prochainegirls night outrassemblera les invitées à l’Alliance Française, en présence de Debra Ollivier (photo), auteur de What French Women Know: About Love, Sex, and Other Matters of The Heart and Mind et Entre Nous: A Woman’s Guide to Finding Her Inner French Girl.

Où ? Alliance Francaise de Los Angeles – 10390 Santa Monica Blvd, suite 120 – Los Angeles, CA 90025

Quand ? Mercredi 23 Février à 18h

Combien ? $30 sur le site internet, $45 à l’entrée

L'Heure du Conte

Samedi, la librairie Children’s Book World accueillera les enfants de 3 à 8 ans pour une séance de lectures et d’ateliers en français.

Une opportunité unique de rencontre d’autres francophones et de faire connaitre la culture et la langue française, tout en stimulant l’imagination enfantine avec humour, mystère et magie.

Un adulte doit accompagner chaque enfant.

Où ? CHILDREN’S BOOK WORLD, 10580 1/2 W. Pico Blvd, Los Angeles, CA 90064
Quand ? Samedi 19 Février à 10h30
Combien ? Entrée gratuite. RSVP obligatoire au (310) 652-0306 ou à [email protected].

53ème Grammy Awards : les lauréats francophones

Bob Sinclar and Sly & Robbie – Made In Jamaica
Best Reggae Album
David Guetta – Revolver
Best Remixed Recording, Non-Classical
Ali Farka Touré & Toumani Diabaté – Ali And Toumani
Best Traditional World Music Album
Anita Tijoux – 1977
Best Latin Rock, Alternative or Urban Album
Pierre Boulez – Stavinsky: Pulcinella; Symphony in Three Movements; Four Etudes
Best Orchestral Performance

"Black bazar" ou la vie d'un immigré en France

Dans son roman Black bazar, Alain Mabanckou porte un regard plein d’humour sur la vie des immigrés confrontés à la discrimination, la ségrégation, le racisme et l’exil.
Modeste Nzapassara, comédien et écrivain français, a adapté ce roman au théâtre. Il incarne en solo sur scène le personnage central de la pièce : Fessologue.
Fessologue est un dandy Congolais, très élégant mais qui vit seul dans son studio du XVIIIe arrondissement de Paris. Quand il ne subit pas le racisme acharné de son voisin qui voue une haine aux Africains, Fessologue retrouve ses amis immigrés dans les bar des Halles.
C’est là qu’il commence à prendre des notes sur des étiquettes de bière et à raconter sa vie et celle des autres immigrés.
Quand : Jeudi 17 février à 20h
Où : Los Angeles Theatre Center (LATC)
514 S. Spring Street, Los Angeles, CA 90013
Entrée gratuite.

Musique de chambre de Brahms

La musique de chambre revisité et plus accessible. Tel est le pari de François Chouchan qui a fondé en 2010 l’Angeles Concerts Artists Corporation.  La même année, il produit sa première série de concerts : Le Salon de Musiques.
Au programme Dimanche, Brahms avec l’interprétation du Piano Quartet en sol mineur Opus 2 par le quartet Capîtol ensemble dont fait parti François Chouchan accompagné de Phillip Levy (violonniste), Victoria Miskolczy (violon alto) et David Low (violoncelle).
Où ? Dorothy Chandle Pavilion  – 135 North Grand Avenue – Los Angeles
Quand ? Dimanche 20 Février à 16h
Combien ? $65
Les tickets et tous les renseignements ici