“Exportators” : c’est la nouvelle rubrique de French Morning Business. Des histoires de PME françaises qui se lancent à l’assaut du marché américain pour y vendre le savoir-faire tricolore. Vous y trouverez des histoires à boire, à manger, à porter et plein d’autres choses encore. Vous y trouverez surtout des hstoires de passionnés à la poursuite de leur rêve américain. On commence avec la choucroute d’André Laurent.
Dans le chaos du Fairway de l’Upper West Side à Manhattan, Jérôme Bouston (en photo ci-contre) est à l’aise. Il évite avec agilité les caddies de clients pressés et les palettes de produits qui se dressent entre lui et l’allée 6 du magasin. C’est là, entre des cheesecakes et des pizzas, que se trouve le produit que le Français à la tâche de représenter : les choucroutes André Laurent.
« L’emplacement est bon», souligne le « Brand Ambassador », qui travaille pour Altios, une compagnie qui soutient le développement d’entreprises sur des marchés lointains.
L’espace peut sembler exigu (le produit est également au rayon « condiments ») mais pour André Laurent, une PME familiale basée en Champagne, c’est un pas de géant. Depuis fin 2009, la choucrouterie française est partie à la conquête de l’Amérique. Après les Fairway de New York où elles sont présentes depuis janvier 2010, ses différentes variétés de choucroutes cuites, acidulées, en sachet et en conserve seront prochainement dans les rayons de Kings, la chaine de supermarchés du New Jersey. Et la marque, la seule française du secteur aux Etats-Unis, prévoit de s’implanter bientôt dans le Midwest. Avec « 150 000 tonnes de choucroute consommée tous les ans », le marché américain est un véritable eldorado, précise François Laurent, qui co-dirige avec ses deux sœurs et son beau-frère l’entreprise fondée en 1945 par leur grand-père. « Il y a un potentiel énorme, souligne-t-il par téléphone. On apporte la touche française à la choucroute. »
Avant d’arriver dans les rayons américains, la choucroute « french style » a parcouru un long chemin. L’histoire commence au Texas en 2000, lorsque François Laurent, alors instructeur-hélicoptères, commence sa love affair avec les Etats-Unis. Lorsque son père prend sa retraite, il décide de quitter le monde de l’hélicoptère tout en gardant l’horizon en ligne de mire. « J’ai toujours su que je voulais exporter nos choucroutes aux Etats-Unis » se rappelle-t-il.
Mais l’éloignement et la réglementation de la FDA (l’agence fédérale sanitaire américaine) semblaient faire de l’Amérique un marché difficile à conquérir. Il met donc le projet de côté jusqu’au jour où un responsable à la chambre de commerce et d’industrie de l’Aube le met en relation avec Steve Jenkins, l’acheteur de Fairway Market, qui montre son intérêt pour la commercialisation du produit. Les Laurent sautent sur l’occasion. Le contrat avec l’enseigne est signé en novembre 2009. Les produits arrivent en magasin en janvier 2010. En juin 2010, la choucrouterie participe même au Fancy Food Show de New York, vitrine réputée des dernières tendances culinaires.
«Les migrants polonais, allemands et français arrivés il y a 150 ans dans le centre et la côte Est ont placé la choucroute au cœur des traditions familiales aux Etats-Unis, avance-t-il pour expliquer le goût des Américains pour la choucroute. C’est un pays qui est habitué à consommer de la choucroute.»
Pour Jérôme Bouston, le regain d’intérêt autour du « manger-sain » devrait déjouer les effets négatifs de la crise économique et permettre aux choucroutes André Laurent, « produit naturel » « riche en fibre », de grappiller des parts de marché dans un secteur dominé par les marques américaines.
Malheureusement, ceux qui rêvaient de voir la choucroute française s’inviter dans le mythique hot-dog new-yorkais devront revenir sur terre. Le fabriquant précise que son produit haut de gamme n’a pas vocation à garnir la saucisse de Francfort tant prisée par les habitants de la Grosse pomme et les touristes. Elle sert plutôt d’accompagnement à un canard, poulet ou même à des fruits de mer. Raffinement on vous dit.
La choucroute "french-style" à la conquête des Etats-Unis
Les amitiés de MAM
Le Wall Street Journal se focalise sur la préoccupation des dirigeants européens à propos de la crise égyptienne. Ces derniers ont fait une mise au point en raison des attaques visant les journalistes. « Ils sont extrêmement occupés par la situation égyptienne ». Dans un déclaration commune, Nicolas Sarkozy, Angela Merkel, David Cameron, Silvio Berlusconi et José Luis Zapatero exhortent le gouvernement égyptien à entamer immédiatement une transition politique vers une représentation plus large de son peuple, de protéger les manifestants et les journalistes.
LA Times s’intéresse plus particulièrement à l’initiative du gouvernement français quant à l’arrêt de la vente d’armes en Egypte. Une décision prise par le premier ministre François Fillon le 27 janvier dernier, que CNN semble désapprouver. Mais comme le rappelle l’article, la France « n’a pas fait venir de soldats entre 2005 et 2008 selon un rapport du congrès américain »… Ce sont en fait les Etats-Unis qui « sont les principaux fournisseurs d’armes de l’Egypte et offrent 48 milliards de dollars dans l’armement en ce moment. » !
La France n’est pas vue d’un bon œil dans Voice of America. Les relations franco-tunisiennes sont vivement critiquées et les réactions de la France jugées «vides, maladroites et trop timides ».
Et l’affaire Michèle Alliot-Marie n’arrange rien. Le New York Times insiste: «Michèle Aliot Marie est une fois de plus un problème pour la Tunisie». Si Michèle Aliot Marie refuse sa démission et dément tout rapport entre son ami Aziz Miled et Ben Ali, le New York Times ne semble pas être convaincu de sa bonne foi. Même ton pour le LA Times qui évoque la bavure de Michèle Aliot Marie comme un « double faux pas ». Le quotidien liste d’ailleurs les principales critiques adressées par les politiques français, divisés dans cette affaire.
Le New York Times s’intéresse cette fois-ci au ministre de l’économie Christine Lagarde qui a annoncé que le Fonds européen de stabilité financière (FESF) est d’une taille suffisante pour qu’il soit entièrement mobilisable en cas de crise. Une collaboration franco-germanique qui semble enthousiasmer le journaliste « Si plusieurs pays de l’Union ne sont pas d’accord avec cette analyse, elle représente un tournant important qui pourrait conduire L’UE a accepter plusieurs de leurs politiques économiques dans la perspective d’un bloc unifié. »
Comme beaucoup, les journalistes américains attendaient que la négociation entre Sanofi et Genzyme prenne fin. Wall Street «Après des mois de négociations, Sanofi et Genzyme sont sur le point de conclure un accord de fusion qui valoriserait à environ 20 milliards de dollars le spécialiste américain des maladies rares. » Cependant le New York Times, s’interroge sur la crédibilité des deux groupes « il est intéressant de se demander si la longue attente en valait la peine… ».
La prochaine gauche de Wieviorka à Columbia
Sociologue, professeur à l’École des Hautes Etudes en Sciences Sociales, directeur de la Maison des Sciences de l’Homme, ancien président de l’International Sociological Association et compagnon de route du Parti Socialiste Français, Michel Wieviorka vient se sortir un nouvel essai qu’il présentera mercredi prochain à New York.
En s’appuyant sur cet ouvrage, intitulé Pour la prochaine gauche (Robert Laffont, Février 2011), il tentera de prouver comment la gauche française peut et devrait utiliser les sciences sociales pour échafauder une nouvelle politique, plus proche des réalités sociales de la France d’aujourd’hui.
Multiculturalisme, discrimination positive, identité nationale, statistiques ethniques, immigration :
autant d’enjeux sociaux contemporains qui grâce à une analyse sociologique, politique et historique pourraient être incorporés à un projet politique cohérent réaffirmant les valeurs de la gauche.
Mercredi 16 Février de 18h à 20h
East Gallery, Buell Hall – West 116th Street (et Broadway)
Science Po chasse sur les terres américaines
Science Po renforce sa présence aux Etats-Unis. Outre ses multiples partenariats signés avec 65 universités américaines telles Columbia, Yale, Georgetown, Princeton ou encore Yale, le prestigieux Institut d’études politiques parisien rejoint le College Board.
Fondé en 1900, cet organisme à but non-lucratif met en contact plus de 7 millions de lycéens américains avec 5 900 établissements d’enseignements supérieurs de 180 pays différents. Le College Board facilite ainsi les inscriptions et le recrutement de ces futurs étudiants.
L’IEP de la rue Saint-Guillaume à Paris est la première université française à rejoindre la liste des membres de cet organisme, aux côtés d’autres établissements français comme le lycée Louis Le Grand, The American University of Paris et Parsons, un école privée d’art et de stylisme.
Les élèves américains dont le lycée dépend de ce réseau, pourront désormais choisir de poursuivre leurs études supérieures à Science Po. Une opportunité pour eux de découvrir l’enseignement français et pour l’IEP parisien d’accroître son prestige outre-Altantique.
Sur les 10 000 étudiants que compte actuellement l’université, 500 sont américains.
“On fait un pari un peu fou en essayant de convaincre des familles américaines d’envoyer leurs enfants en Europe alors que les meilleurs établissements américains peuvent les accueillir”, déclarait Richard Descoings, président de Science Po depuis 1996, lors d’un point presse au Consulat de France mercredi.
Richard Decoings qui reconnaît que “le prestige de Science Po aux Etats-Unis n’existe pas », met un point d’honneur à prouver la qualité de l’enseignement délivré par son université.
Même si selon Richard Decoings, Science Po n’a pas pour vocation de “former le monde”, l’éducation européenne apporte, selon lui, une vision différente de celle donnée, par exemple, aux Etats-Unis.
Cette entrée au College Board renforce davantage la politique d’internationalisation de Science Po mise en oeuvre depuis les années 90.
“Convaincre aux Etats-Unis permet de convaincre ailleurs dans le monde”, ajoute-t-il.
Après quinze ans de relations académiques entre Science Po et les Etats-Unis, l’université a créé en décembre 2009, The U.S. Science Po Foundation, présidée par Anne Sinclair et pour laquelle un dîner de collecte de fonds sera organisé le 16 juin prochain à New York.
Actuellement, Science Po compte 40% d’étudiants venant de 130 pays différents. Richard Descoings aimerait atteindre les 50% en 2015. L’entrée de cette université française au College Board pourrait bien l’aider à remplir cet objectif.
Cuisine divine à Hell's Kitchen
David Malbeqi s’est associé avec deux anciens du Bernardin pour ouvrir ce restaurant élégant de cuisine française. Après avoir fait l’ouverture du Boom Boom Room à l’hôtel Standard, le repère des célébrités et “gossip girls”, cet ancien chef banquet de Daniel avait sûrement besoin d’un défi.”La gastronomie a pris une claque avec la récession”, explique David Malbeqi. Mais s’il a ouvert son restaurant, c’est pour “redonner ce qu’il a appris”. Et il a été à bonne école : le chef aux trois étoiles Michelin Michel Guérard en France, Daniel Boulud, Laurent Tourondel. “Avec eux, j’ai appris la logique. Par exemple, le crudo de daurade est disposé en rond parce que j’ai appris que la daurade avait un ventre rond. Tout a un sens”. Ca coule de source…
Commencez donc avec un crudo de daurade, coeur de palmier, pamplemousse ou bien la soupe de truffes noires et pommes de terre, et bacon, déjà un must sur les blogs. Grignotez les tranches très fines de bagel toastées et servies avec du boursin, clin d’oeil au pont Paris-New York. Continuez avec un flétan, choux-fleur, raisins et sauce aux câpres, une ode à la Bretagne ou une blanquette de veau (inspirée de celle qu’il mijotait pour Jacques Chirac quand il venait chez Michel Guérard). En dessert, un cheesecake très raffiné avec la glace à la noix de coco. Les prix ne sont pas astronomiques mais bien gastronomiques: comptez environ 80 à 90 dollars par personne.
Ouvert pour le dîner uniquement pour l’instant, le restaurant sera bientôt ouvert pour le lunch et pour le brunch à partir de ce week-end. Le menu brunch inclut les sandwich “hangover” (gueule de bois) dont le burger queen. Ce que David a appris au Boom Boom Room …
362 W. 53rd ST 212-581-2400 la-silhouettenyc.com
Anthropologie et littérature française
Vincent Debaene, Assistant Professeur du Department “French & Romance Philology” de l’Université Columbia de New York propose une conférence sur «l’Anthropologie et littérature françaises: De Mauss et Bataille à Lévi-Strauss et Barthes».
Il reprend dans son intervention, les thèmes de son dernier livre L’adieu au voyage . Son analyse rend compte assez largement des débats autour de l’accueil fait aux sciences humaines dans le champ académique. Il examine plus particulièrement l’éloge final fait par Roland Barthes à la littérature. Au cours de cette conférence, il discutera donc de la relation complexe et ambivalente de l’anthropologie française à la littérature. Amoureux de littérature française, soyez les bienvenus.
Où ? 16 Washington Mews NY, NY 10003
Tel: (212) 998-8750
[email protected]
Quand ? Lundi 7 février à 19h
Jesse Cook en concert au B.B. King
Jesse Cook détient un parcours hors norme. Né à Paris en 1964, il rejoint Toronto à l’age de trois ans. Passionné de musique il est admis à l’université Eli Kassner dès l’age de 10 ans. Il poursuivra sa formation dans de prestigieuses universités pour terminer sa formation au Berklee College of Music de Boston.
Il s’oriente très vite vers les rythmes de flamenco en découvrant notamment la musique des Gipsy Kings avec qui il partage une jam session désormais célèbre dans la ville d’Arles. Comme beaucoup d’autres guitaristes de son style, ses compositions mélange le jazz à la musique latine et la world music.
Ses tournées, lors de grandes manifestations comme le Festival de Jazz de Montréal, se jouent généralement à guichets fermés. Reconnu pour son énergie lors de ses apparitions et la qualité de sa musicalité, Jesse Cook est une valeur sûre !
Où? B.B. King’s Blues Club and Grill 237 W. 42nd St., New York, NY 10036, (212) 997-4144
Quand ? Dimanche 27 février à 20h
Prix: 30$ sur : http://events.nydailynews.com/new-york-ny/events/show/156975385-jesse-cook
Raquel Bitton chante « La Môme »
Elle est née à Marrakech et, adolescente, s’installe à San Francisco avec sa famille. C’est ici que Raquel Bitton débute sa carrière américaine. Elle découvre Edith Piaf à 16 ans, en fouillant dans les 33 tours de son père. Elle est transportée par le disque d’Edith Piaf « C’est l’amour », et se passionne pour les chansons françaises des années 30 et 40. Elle sera à New York les 13 et 14 février prochains avec un spectacle intitulé « A Little Bit Of Paris ».
Il faut dire que Raquel Bitton éprouve une véritable fascination pour la capitale française. Depuis sa “rencontre” avec Piaf, elle n’a de cesse de faire revivre l’âge d’or de la chanson française. Elle met en place son propre spectacle, « Raquel Bitton chante Piaf – son histoire, ses chansons ». Elle co-produit « The Nights of Edith Piaf » pour la radio nationale, elle est consultante et apparaît dans le documentaire « La Vie en Rose ». Raquel écrit un film docu-concert intitulé « Piaf – her story, her songs », dans lequel elle interprète le rôle principal. Le film est primé lors de plusieurs festivals prestigieux.
Raquel Bitton, “A Little Bit Of Paris”
Quand : Les dimanche 13 et lundi 14 février, à 20h30.
Où : Feinstein’s at Loews Regency – 540 Park Avenue (at 61 st Street), New York.
Réervez vos places par téléphone au 212 – 339- 4095 ou online.
Plus d’informations sur Raquel Bitton sur son site internet.
Yves Citton et l'avenir des Humanités
Yves Citton, professeur de littérature à l’Université de Grenoble, après dix ans d’enseignement aux Etats-Unis, propose une conférence autour des thématiques abordées dans sa dernière parution L’avenir des Humanités. Économie de la connaissance ou cultures de l’interprétation.
Il va tenter d’abord de distinguer information et connaissance. Il souligne combien « il serait erroné de considérer le savoir comme une somme de données segmentées subjectives ». D’autre part, Yves Citton dans son œuvre s’emploie à un éloge de l’interprétation qui selon lui est « une activité qui demande à être cultivée par un soin très particulier ».
Pour en savoir plus, rendez-vous le mardi 8 février à la maison française de NYU.
Où ? 16 Washington Mews NY, NY 10003
Tel: (212) 998-8750
[email protected]
Quand ? Mardi 8 février à 19 h
Fripes chic et fins de collection
Jusque samedi 5 février. Plus de 90 vendeurs vintage se rassemblent jusqu’à demain au METROPOLITAN PAVILION, et vous mettent au défi de trouver les pièces de vos rêves. Vous pourrez dénicher notamment des hauts Thierry Mugler à rayures multicolores pour seulement $95, une paire de chaussures à boucles façon 60’s, de la marque italienne DeLiso ($120), ou encore une robe en jersey Pucci ($350). C’est aussi l’occasion rêvée pour vous messieurs, de renouveler votre stock de cravates en laine des années 50 ou 60 à $15 pièce. Les amateurs de babioles en tous genres trouveront des vieilles poignées pour customiser leurs meubles ($10 pièce). Où : 125 W 18th St between Sixth and Seventh Aves (518-434-4312, manhattanvintage.com).
Jusqu’au dimanche 6 février. L’hiver n’est pas fini, réapprovisionnez-vous en pulls ou vêtements chauds chez STUART & WRIGHT, qui brade ses vêtements d’automne et d’hiver à plus de 50 %. Où : 85 Lafayette Ave., nr. S. Portland Ave. (718-797-0011).
Jusque lundi 7 février. Chez VANESSA NOEL, trouvez chassures à vos pieds. Boots, chaussures à talons ou sandales et vêtements en cachemire sont en vente à prix cassés. 20 % de réductions sur les chaussures à brides, et des écharpes en cachemire tressées à la main, à $185, au lieu de $525. Où : 158 E. 64th St., nr. Lexington Ave. (212-906-0055).
Jusque mardi 8 février. Soyez éco-friendly, initiez-vous aux vêtements biologiques. NATUREVSFUTURE brade sa collection de fin de saison avec des réductions de 50 % et plus, sur des manteaux avec des cols en coton organique ($468 à $298), ou des robes en laine à $128 (au lieu de $242). Où : W Houston St between La Guardia Pl and Thompson St (646-455-0164, naturevsfuture.com).
Jusqu’au samedi 26 février, CREATURES of COMFORT accueille la cultissime boutique de design de Shinichiro Nakahara, Playmountain. et propose des sculptures en bois, des objets issus de sa collection de céramique Chin Jukan, ainsi qu’une sélection d’objets artisanaux japonais de la boutique de Tokyo. Laissez-vous tenter par des vases Misturu Koga ($458), des taies d’oreiller ($182) ou des sacs fourre-tout Shigeki Fujishiro ($290). Où : 205 Mulberry St between Kenmare and Spring Sts (212-925-1005, creaturesofcomfort.us).
Une soprano et une pianiste françaises à la Trinity Church
Deux jeunes musiciennes françaises se produiront pour un concert d’une heure à la Trinity Church de Wall Street. Camille Dereux a fait ses débuts de soprano à l’âge de 11 ans dans le Choeur d’enfants de l’Opéra National de Paris. Après avoir fait le conservatoire de Lauzanne en Suisse, elle est venue en 2007 à New York où elle a décroché son diplôme de l’école de musique de Manhattan en 2009.
La pianiste qui l’accompagne, Audrey Abela est aussi une musicienne prodige qui a commencé le piano à l’âge de 7 ans. Après reçu des cours d’Olivier Cazal et d’autres professeurs au conservatoire de Boulogne-Billancourt en région parisienne, elle est également venue étudier à l’école de musique de Manhattan. Elle donne également de nombreux concerts en France.
Le concert sera diffusé en direct en podcast sur le site internet de la Trinity Church.
Quand : Jeudi 10 février à 13h – Durée : 1 heure
Où : Trinity Church – 89 Broadway – Manhattan, NY 10006
Pour tout autre renseignement sur le concert c’est ici.