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Luca Fontaine, le premier acteur français de l’histoire de la Juilliard School

Robin Williams, Jessica Chastain, Adam Driver, Viola Davis : la liste de stars d’Hollywood et de Broadway issues de la très prestigieuse Juilliard School of Drama est longue. Depuis sa création il y a plus de cinquante ans, le conservatoire de la Juilliard, qui jouxte le Lincoln Center au cœur de Manhattan, est une véritable fabrique d’acteurs de haut calibre. L’an dernier, pour la première fois dans l’histoire de l’école, un Français en a reçu le diplôme. Il s’appelle Luca Fontaine. 

Un long périple jusqu’à la Juilliard 

Né d’une mère italienne et d’un père français et nourri de littérature et de musique, Luca Fontaine est multiculturel depuis toujours. C’est au vidéo club, référence rétro s’il en est, qu’il place la source de sa vocation. « On regardait des films français, Italiens et beaucoup de cinéma américain. Tous les vendredis soir, on allait en famille choisir et louer un DVD. J’allais chercher sur internet le nom des acteurs qui me plaisaient pour comprendre comment ils avaient fait pour réussir. »

Luca Fontaine. © Donatella Basso

Il remarque un fil rouge sur le CV de ses idoles : une école sélective New Yorkaise qui a la particularité d’offrir, outre un conservatoire de Théâtre, un cursus de danse et de musique tout aussi prestigieux. Il commence à s’intéresser à la Juilliard et se présente aux auditions pour l’École une première fois. C’est cependant à son troisième essai, 4 années plus tard, après avoir suivi des cours en Angleterre et à Paris au Cours Simon, que Luca franchi enfin les porte de la Juilliard. Il fera partie de la 51e promotion d’acteurs de l’école. Le premier Français de son histoire.

La vocation de comédien mieux perçue aux États-Unis

Pour Luca Fontaine, il y a quelque chose de libérateur et de prometteur associé au fait de développer son métier aux États-Unis. Il note que les Américains portent un regard différent sur la vocation de comédien : « En France Il y a moins de considération pour le métier. On a vite le sentiment que les gens voient ça comme un hobby ou une carrière un peu marginale. En dépit de l’immense production artistique française, il y a moins de respect pour ceux qui se lancent dans le métier » explique-t-il, «Aux États-Unis il y a beaucoup plus d’encouragement pour cette prise de risque. On rencontre aussi beaucoup de gens qui vivent de leur art et ça, ça donne beaucoup d’espoir et de force. »

Luca Fontaine dans « Indecent », de Paula Vogel. Juilliard Drama Division © Charles Erickson Photography

S’il tire plein parti de l’énergie créative new-yorkaise, Luca Fontaine a en revanche un regret : l’absence de réseau français officiel pour les artistes professionnels expatriés. « Les institutions françaises de New York sont de puissants connecteurs. Il y a des opportunités inexploitées pour favoriser la création artistique française aux États-Unis, et pour des projets qui peuvent ensuite être réexportés en France, remarque-t-il. J’ai des amis musiciens, acteurs, auteurs, compositeurs, tous Français. Ce sont des métiers solitaires la plupart du temps. Il serait utile et d’avoir un centre commun pour se rencontrer, échanger et créer ensemble ». Il sourit, enthousiaste. « Je serais le premier à m’investir dans un tel projet. »

La méthode américaine

Lorsqu’on l’interroge sur les différences entre l’enseignement théâtral « à la française » et celui reçu aux États-Unis, le comédien ne déclare pas de vainqueur. Ce sont deux méthodes différentes et complémentaires, selon lui. L’approche américaine met davantage l’accent sur le corps, et l’analyse de texte : « L’enseignement américain est très ‘’naturaliste’’ : il y a un attachement à tout imaginer du personnage, de son passé, de sa vie. Tout doit être le plus vrai possible et ça demande une analyse en amont du personnage extrêmement développée. Il doit y a voir un sens à tout. ».

Autre aspect notoire de l’enseignement américain : la grande place faite au corps. Les mots suivent le corps, et non l’inverse. « En France on se concentre davantage sur le texte, sur le langage. Il y a un aspect plus intellectuel. Il y a moins d’acteurs physiques ». Il parle de Moni Yakim, illustre professeur de Mouvement de la Juilliard qui soumets ses élèves à de nouvelles formes d’expression et d’improvisation physiques. « C’est comme ça que j’ai appris à être pleinement présent dans mon corps. Si, dans une scène, tu bouges un pied, il doit y avoir une raison. Dans ta vie tu as toujours un objectif physique. Dans un rôle, c’est pareil. »

Des perspectives de carrière transatlantique 

Quand on lui parle de ses inspirations et du rôle de ses rêves, il assure en riant : « J’ai dit à mon père : ‘’un jour je travaillerai avec Martin Scorcese’’ ». Avec sa double casquette franco-américaine et son diplôme en poche, Luca Fontaine ne se pose pas de limites. Il a d’ailleurs été, fraîchement sorti de la Juilliard, engagé dans « God’s Fool », une pièce de théâtre Off Broadway au théâtre La MaMa dont une nouvelle tournée est prévue en Italie.

Luca Fontaine. Juilliard Drama Division © Charles Erickson Photography

En août il sera en tournage en Espagne pour une série du réalisateur Oriol Paulo qui sera diffusée sur Netflix. Luca Fontaine ne s’arrêtera pas non plus au jeu. « J’ai toujours besoin de me renouveler » explique-t-il. Il a créé avec des amis Movart Studios, une compagnie de production, dans le but de produire ses propres films. Il vient d’écrire un court-métrage « Blue or Green » dont il sera à l’affiche, à produire prochainement.

Dans ses inspirations du moment, il cite, entre autres le film français, « L’Évènement » d’Audrey Diwan pour sa poétique et cinglante sobriété, et l’acteur Irlandais Barry Keoghan (nominé pour un oscar du second rôle dans « Banshees of Inisherin » ). « J’ai compris dans son jeu que tout est dans l’attitude plus que dans le texte. Il y a des acteurs dont l’attitude est une œuvre d’art en soi. » Comme disent les Américains, watch this space.

Les pailles françaises en bagasse plongent dans les cocktails américains

On a beau se dire que c’est bien mieux pour la planète, c’est quand même un peu frustrant. La paille en carton qui ramollit dans le mojito, se plie, et laisse un goût de papier mâché dans la bouche. Dans les villes américaines où les pailles en plastique sont interdites, les propriétaires de bars et de restaurants tentent de trouver le produit miracle, entre les pailles réutilisables en bambou, inox, verre ou silicone et celles, à la pomme, qui se croquent. Bientôt, ils pourront opter pour les pailles made in France en canne à sucre. Plus exactement en bagasse, la fibre résiduelle de la canne à sucre une fois pressée et extraite de son jus. Une paille qui « ne fond ni dans la bouche ni dans le verre, ne laisse aucun goût et se dégrade en trois mois », assure Pierre Thomas, le co-fondateur de l’entreprise Les Nouvelles Pailles qui a remporté le prix du jury et celui du public des Germinators, concours de start-up fondé par Ariane Daguin et organisé par la Chambre de commerce franco-américaine (FACC) de New York, le 26 juin dernier.

Ariane Daguin entourée de Jean-Philippe Teilhol (à gauche) et de Pierre Thomas (à droite), les co-fondateurs des Nouvelles Pailles et gagnants du concours 2023 des Germinators. © FACC

Des pailles réutilisables et compostables

Une promesse bien séduisante. L’entreprise parisienne, lancée avec un million d’euros en fonds propres, a vu son activité exploser l’an dernier après l’interdiction des pailles jetables en plastique en France. « Au départ, quand on a commencé en 2020, nous étions importateurs et distributeurs de produits issus de la canne à sucre, explique Pierre Thomas, qui s’est lancé dans l’entrepreneuriat avec deux amis, Brice Gallon et Jean-Philippe Teilhol, après huit années passées chez Danone. Le secteur de la canne à sucre produit des déchets en énorme quantité, et c’est ce qui nous intéressait. » Deux ans plus tard, les trois associés décident de passer côté industrie et de créer leurs produits dans leur usine de production à Aurec-sur-Loire, en Haute-Loire.

Aujourd’hui, la start-up produit un million de pailles par jour et fournit de grands groupes du secteur CHR (Café, Hôtel et Restaurant) comme Accor, Paris Society, La société des bains de mer à Monaco, et des distributeurs tels que Chomette, Cercle Vert, Pomona… « Notre marché est celui du haut de gamme, précise l’entrepreneur de 31 ans, nous sommes en France, dans une douzaine de pays en Europe et, depuis peu, aux Émirats Arabes Unis. »

La matière première vient essentiellement du Vietnam, gros fournisseur de bagasse. Ce résidu de canne à sucre entre pour moitié dans la composition des pailles, auquel sont ajoutés des matières minérales et du lubrifiant naturel entièrement biodégradables et biosourcés, selon l’entreprise, qui a obtenu, pour ses pailles, le label « OK compost home » certifié par l’organisme international TÜV Austria. Pour le décrocher, un produit doit pouvoir se désagréger en 6 mois maximum. « Nos pailles, c’est en 3 mois, dans un compost domestique à 28ºC », souligne Pierre Thomas, fier de la solidité de son produit. La paille résiste au lave-vaisselle, « ne bouge pas après 30 lavages, renchérissait Jean-Philippe Teilhol, le co-associé chargé de la production, lors de la soirée des Germinators. J’ai même testé jusqu’à 50 lavages… après j’ai fini par arrêter ! »

Le processus de fabrication des pailles en bagasse. © Les Nouvelles Pailles

Prochaine étape donc, les États-Unis et son énorme marché. Les Américains consommeraient 500 millions de pailles par jour, selon l’organisation américaine de recyclage Eco-Cycle (comparativement, les Français en consomment 6 à 8 millions par jour), soit 10% du marché mondial de la paille estimé à 20 milliards de dollars par an. « Même si on n’en récupère que 1%, ça fait 5 millions de pailles par jour ! » constate Pierre Thomas. Une dizaine d’États américains ont déjà interdit les pailles en plastiques dont la Californie (depuis 2018), New York, le New Jersey ou des villes comme Washington et Miami, cette dernière particulièrement ciblée pour sa « très grosse concentration de consommation. »

Assurer la production pour le marché américain

« On souhaite aller doucement sur le marché américain. On cherche un distributeur sur place. Si on voit qu’il y a un vrai intérêt pour notre produit, il faudra qu’on produise sur place, qu’on monte une usine via des investisseurs. » Une prudence pour éviter la rupture d’approvisionnement, le cauchemar de l’entrepreneur « Rien n’est pire pour une entreprise que de ne pas pouvoir livrer un client. C’est très nuisible en terme de réputation », explique encore Pierre Thomas qui en a fait la douloureuse expérience l’an dernier. « On est aujourd’hui très réactifs, capables de répondre en quelques heures seulement à une rupture de stocks signalée chez n’importe quel client. »

Pierre Thomas, co-fondateur des Nouvelles Pailles, lors de son pitch au concours des Germinators, le 26 juin 2023 au Hall des Lumières à New York. © FACC

La fabrication de la paille en bagasse coûte deux fois plus cher qu’une en papier (respectivement 3 centimes d’euro contre 2 centimes, alors que la paille en plastique revient à 1 centime), « mais elle est bien plus résistante donc au final, on en utilise moins », rétorque Pierre Thomas, qui ne compte pas s’arrêter aux pailles. Son entreprise s’apprête à lancer sur le marché européen des couverts en bagasse, ce qui devrait permettre, selon les projections des trois associés, d’atteindre 3 millions d’euros de chiffres d’affaires cette année, 4 millions voire 5 millions fin 2024. Ils veulent surtout garder la tête froide face au succès rapide des Nouvelles Pailles. « On veut conquérir le marché américain, mais on veut être bien conseillés et préparés ». Avec un nouveau nom… que les Américains pourront prononcer !

[Vidéo] Immobilier : emprunter et acheter à Los Angeles en 2023

Lors d’un webinaire dédié au marché immobilier californien, Marc de Longeville, agent immobilier francophone à Los Angeles, vous a divulgué ses conseils sur la meilleure méthode pour acquérir un bien immobilier à Los Angeles et alentour.

Il a également fait le point sur la santé du marché immobilier en Californie du Sud et sur les opportunités à saisir, ainsi qu’un rappel général sur la fonction de l’agent immobilier aux États-Unis, assez différente de celle que l’on peut connaître en France.

Il était accompagné de Betty Benzakein, spécialiste des prêts hypothécaires conventionnels et jumbo pour les emprunteurs internationaux et nationaux chez HSBC.

De la négociation du contrat d’achat au “closing”, en passant par les options de prêts hypothécaires résidentiels ou encore les changements à prendre en compte suite à la crise sanitaire, vous aurez après avoir visionné ce webinaire toutes les cartes en main pour réaliser votre investissement dans la Cité des Anges.

Visionnez la vidéo ci-dessous ou sur notre chaine YouTube

Contactez Marc de Longeville : https://www.vistasir.com/Contact/marcdelongeville

Contactez Betty Benzakein : 516-341-6020 ou [email protected]

Le bilinguisme chez les enfants et les adultes: vos questions à Aodrenn Guyodo

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Pour ce troisième épisode « expert », je suis allée tendre mon micro à Aodrenn Guyodo, orthophoniste française expatriée à Ottawa et créatrice du blog spécialisé dans le bilinguisme, 1Bulle2Langues.

Comment préparer les enfants au départ à l’étranger et à l’apprentissage d’une nouvelle langue ? Faut-il suivre des cours intensifs avant de quitter la France ou plutôt en arrivant ? Vous préparez un retour en métropole et vos enfants ne parlent presque plus français : comment s’assurer qu’ils parviendront à s’exprimer sans être mis à l’écart ? Ces questions, ce sont les vôtres. Plusieurs fois par an, French Expat vous invite à faire part de vos interrogations sur le profil instagram du podcast, en échange de quoi nous créons des épisodes proposant des réponses concrètes d’experts reconnus.

Les références des livres recommandées par Aodrenn Guyodo pour approfondir ce sujet sont les suivantes :

Retrouvez les autres épisodes « expert » sur les livres traitant de l’expatriation et sur l’accompagnement des enfants dans la vie à l’étranger.

French Expat est un podcast de French Morning qui raconte les parcours de vie des français établis hors de France. Retrouvez-le sur toutes les plateformes d’écoute : SpotifyApple PodcastDeezerGoogle PodcastPodcast AddictAmazon Music. Cet épisode est raconté, produit et réalisé par Anne-Fleur Andrle, habillé et mixé par Alice Krief.

Tournée: la morsure américaine de DJ Snake

DJ Snake a toujours été particulièrement aimé du public américain. Il pourra encore le vérifier dans les prochaines semaines. Il va en effet venir à plusieurs reprises cet été de ce côté-ci de l’Atlantique.

Le DJ français passera en effet une partie des beaux jours sous le soleil américain : le samedi 24 juin à Las Vegas (Zouk Nightclub ), le jeudi 10 août dans ce même lieu très branché du Nevada, puis le lendemain le vendredi 11 août à New York (au Brooklyn Mirage at Avant Gardner), à Washington DC le vendredi 18 août (Echostage), avant de revenir à Las Vegas (19 et 31 août) en passant par Houston (Clé) le dimanche 30 août. Le lendemain, le lundi 1er septembre, il sera à Miami (E11EVEN MIAMI), puis le samedi 2 septembre à Chicago où il rendra se produira au North Coast Festival, avant un dernier adieu au continent le vendredi 15 septembre, toujours au Zouk Nightclub de Las Vegas.

De quoi se rappeler au bon souvenir d’un public qui n’a certainement pas oublié sa prestation en préambule du dernier Super Bowl, la grand-messe du football américain. DJ Snake avait fait se lever des tribunes les spectateurs du State Farm Stadium de Glendale (Arizona) sur ses tubes les plus connus : « Lean On », avec Major Lazer et MO, qui a atteint lors de sa sortie en 2015 la première place des classements dans de nombreux pays ; « Turn Down for What » (avec Lil Jon),  devenu un véritable hymne de fête et certifié plusieurs fois platine ; « Let Me Love You » (avec Justin Bieber), qui l’a fait entrer dans une autre dimension, ou encore « Taki Taki » (avec Selena Gomez, Ozuna et Cardi B), un morceau en espagnol, sorti en 2018.

Celui qui mixe de nombreuses influences dans sa musique devrait également jouer un de ses derniers morceaux, Disco Maghreb, dont le clip visuellement impressionnant a connu un succès aussi grand que le son.

Voyage: Découvrir Kingman (Arizona), le cœur de la route 66

Publié le 21 juin 2022. Mis à jour le 18 juillet 2023.

Figurant au panthéon de la culture américaine, la route 66 est toujours très prisée des Américains et des étrangers séjournant aux États-Unis. Et si elle n’a plus d’existence officielle, elle conserve une formidable notoriété. Elle est même surnommée « The Mother Road » ou « Main Street USA ». De nombreuses associations américaines ont ainsi été créées pour en assurer la préservation et l’on trouve aussi des panneaux portant la mention « Historic Route 66 ».

Partant de Chicago (Illinois) pour rejoindre Santa Monica (Californie), elle est longue de 2 280 miles (3 670 kilomètres) et traverse huit états d’est en ouest. Avec une telle longueur, c’est en toute logique qu’elle est sillonnée par de nombreux sites touristiques qui valent le détour comme Collinsville (Illinois) où se trouve la plus grande bouteille de ketchup du monde, le Ed Galloway’s Totem Pole Park de Chelsea (Oklahoma) ou encore la ville fantôme de Callico (Californie).

Plongée dans l’Amérique oubliée

Sur les nombreuses villes traversées par la route 66, Kingman (Arizona) figure parmi les lieux de pèlerinage où il faut s’arrêter. Située à 1h30 de Las Vegas et 2h du Parc national de Grand Canyon, cette ville de 30 000 habitants revendique le titre de cœur de la route 66 (« The Heart of historic route 66 »). Le musée qui y est consacré est l’une des attractions touristiques à ne pas manquer. Installé dans l’ancienne centrale électrique de la ville, il présente de nombreuses pièces racontant l’histoire de cette route emblématique, de son utilisation comme voie commerciale indigène jusqu’à son apogée dans les années 1950. C’est une véritable plongée dans une Amérique parfois oubliée.

Tout au long de l’année, Kingman accueille aussi différentes animations autour de la culture américaine. L’an dernier, la ville a organisé ainsi le tout premier « National Road Trip Tour Day » (la journée national du road trip) avec entre autres une exposition de voitures, des concerts et une visite guidée du centre-ville historique. À vos agendas aussi pour les 13 et 14 octobre où, durant deux jours, Kingman sera le théâtre du Kingman 66 Fest. Au programme : ventes de goodies, dégustation de bières locales, exposition de vieilles voitures… Bref, de quoi ravir tous les amoureux de l’Amérique des années 50 et 60.

Un pied à Londres à Lake Havasu City

À moins d’une heure de voiture au sud de Kingman se trouve la ville de Lake Havasu City, connue pour son lac et sa réserve naturelle. Avec une population de plus de 50 000 habitants, cette agglomération attire de nombreux touristes puisqu’il s’agit d’un haut lieu de la pratique des sports nautiques mais aussi de randonnées pédestres avec de nombreux sentiers comme le Pilot Rock Trail ou le Cupcake Mountain Trail.

Mais si cette ville est reconnue, c’est aussi et surtout parce que l’on peut y retrouver l’authentique London Bridge. Datant de 1831, ce pont enjambait autrefois la Tamise à Londres, avant d’être démantelé en 1967, et remplacé par celui que les Anglais foulent tous les jours aujourd’hui. Après son démantèlement, le pont a été racheté pour 1,2 million de dollars par Robert P. McCulloch, un entrepreneur américain et fondateur de Lake Havasu City. En 1971, la reconstruction du pont est achevée et il permet alors de traverser le lac en plein cœur de la ville. Cet ouvrage architectural historique est devenu la seconde attraction touristique la plus visitée d’Arizona, après le Grand Canyon.

6 musées méconnus de Washington

Publié le 10 février 2023. Mis à jour le 18 juillet 2023.

Aucun des six musées listés n’est sur le National Mall ! Pour visiter Washington DC autrement, French Morning est allé découvrir six musées qui valent aussi le détour lors des dimanches pluvieux de la capitale.

Le musée de la Poste (Union Station)

Smithsonian National Postal Museum © Johannes Nacpil (Flickr)

C’est peut-être l’un des musées plus sous-estimés de DC. Timbres, boîtes aux lettres, uniformes bleus de USPS… le Smithsonian National Postal Museum n’est pas seulement pour les philatélistes. Il plonge ses visiteurs dans l’histoire de la Poste aux États-Unis avec, notamment, une exposition colorée sur les boîtes aux lettres du monde entier, une collection de camions et d’avions, une exposition historique sur le service postal à cheval (le Pony Express) et des salles remplies de timbres nationaux et internationaux. Le musée consacre une partie de sa collection au Titanic en présentant les télégrammes et les communications envoyés par les passagers. Ouvert tous les jours de 10am à 5:30pm au 2 Massachusetts Ave NE. Site.

Le musée de National Geographic (Downtown)

© National Geographic

Le célèbre magazine a son propre musée. National Geographic est connu pour publier des histoires touchantes de personnes, de lieux et de cultures du monde entier à travers des articles, mais surtout des photographies extraordinaires. Une des célèbres expositions du musée, « L’exploration commence ici », emmène au sommet de l’Everest. Ouvert tous les jours, de 10am à 6pm. L’entrée est payante, il faut compter 20$ par personne, 12$ pour les enfants entre 5 et 18 ans, gratuit pour les moins de 5 ans. Rendez-vous au 1145 17th Street NW. Site.

Le musée du textile (Foggy Bottom)

© GW University

Pour aller au musée du textile, il faut passer par le campus de Foggy Bottom, une bonne occasion de jeter un œil à la célèbre Université George Washington. Ce musée, dédié aux tapis, drapeaux et autres œuvres d’art textile, expose des tapis datant de 3000 ans avant J-C, spécialisé dans les pièces venues d’Asie. Ouvert du mardi au samedi, de 10am à 5pm au 701 21st Street. Site.

Le musée du Bonsaï et du Penjing (Southwest)

© Bonzaï Museum (Facebook)

Un grand musée rempli de quelque 300 espèces de bonsaïs et de penjings sous une pagode, une architecture traditionnellement chinoise. Le musée, qui fêtera ses 47 ans cette année, est très populaire lors du printemps (en fleur) et de l’automne (changement de couleur). Le National Bonsai and Penjing Museum est situé au sein de l’Arboretum national. Il est ouvert de 10am à 4pm tous les jours. Deux entrées avec parking sont à disposition : l’un au 3501 New York Avenue NE et l’autre au 24th & R Streets NE. Site.

Le musée Laogaï (Dupont Circle)

© Laogaï Museum (Facebook)

Dans une structure ornée ressemblant à un château fort, près du quartier de Dupont Circle, le musée Laogaï met en lumière des… camps de travaux forcés. Se présentant comme « une voix alternative sur la Chine », le lieu offre un regard multimédia fascinant sur ce pays, et sur ses camps de prisonniers. Ouvert de 10am à 5pm, le Laogaï Museum est situé au 1901 18th Street NW. Site.

Le musée de la police des drogues (Arlington)

© DEA Museum (Facebook)

C’est l’un des musées les plus insolites de la liste – il n’est pas techniquement à DC mais à Arlington. Pour l’ouverture du DEA Museum en 1999, la première exposition portait sur le cannabis, la coca et le pavot. Bien sûr, il ne faudra pas s’attendre à voir des arguments en faveur des drogues. La DEA (Drug Enforcement Administration) est également là pour donner son avis sur la question. On reprend l’histoire des drogues illégales et la manière dont les États-Unis combattent le trafic. Ouvert tous les jours sauf le lundi, de 10am à 4pm au 700 Army Navy Dr, Arlington. Site.

À découvrir les musées loufoques, insolites, voire coquins dans d’autres villes :

Comment bien négocier son financement immobilier en tant qu’expatrié ?

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[Article partenaire] La négociation d’un financement immobilier est un thème central pour les non-résidents ainsi que les expatriés et peut être la source de nombreuses complications.

Quels sont les bonnes pratiques et astuces pour négocier au mieux son financement ? Crédit International vous conseille.

Le timing

La première chose à prendre en compte et à anticiper, c’est le timing.

En effet, nombreuses sont les personnes qui pensent pouvoir négocier leur financement en trois semaines. Or, il est très rare que l’instruction d‘un dossier de financement pour un non-résident ou un expatrié se fasse en si peu de temps.

Entre le démarchage des banques, le montage du dossier, l’instruction du dossier, l’ouverture de compte, l’assurance prêt, la validation du comité de crédit, l’édition des offres de prêt, le délai de onze jours et le retour des offres de prêt, les délais peuvent rapidement s’allonger.

Par conséquent, la première chose à faire est de prévoir une clause suspensive de minimum deux mois et éviter, dans la mesure du possible, de signer un compromis de vente sans clause suspensive, à moins que vous ayez le cash disponible pour payer le bien sans crédit. 

Il sera toujours possible que les délais, même de deux mois, de la clause suspensive puissent être dépassés. Si c’est votre cas, pas de panique ! Ça arrive souvent et il suffit de fournir une lettre au notaire avant la fin de ce délai pour demander un délai supplémentaire. Généralement ça se passe toujours très bien.

Trouver la bonne banque

La deuxième chose à faire est de cibler les banques les plus à même de pouvoir vous financer.

Commencez déjà par solliciter votre propre banque car rien ne vaut un banquier qui vous connaît, chez qui vous avez déjà de l’épargne et qui aura plus de difficultés à vous dire non.

À noter : certaines enseignes bancaires n’ont tout simplement pas la possibilité de financer les non-résidents et les expatriés. D’autres auront plus de libertés et pourront vous faire des propositions.

Sur ce point, n’hésitez pas à vous faire accompagner de personnes dont c’est le métier, comme Crédit International. Cette société peut vous faire une étude de faisabilité et même un calcul d’enveloppe si vous n’avez pas encore de bien en vue. Pour en savoir plus, contactez l’équipe de Crédit International.

Trouver le bon banquier

On attache souvent beaucoup d’importance à la banque, mais il ne faut pas non plus négliger le banquier. Vous pouvez avoir deux banquiers dans une banque qui n’auront pas du tout la même efficacité et la même appétence sur votre dossier. Le feeling compte ! La négociation et l’instruction des dossiers de financement est une interaction humaine. 

La négociation du financement

Généralement, la durée maximum de financement négociable pour un non-résident ou un expatrié sur une résidence secondaire ou un investissement locatif est de vingt ans maximum.

La plupart des projets sont finançables : résidence principale, résidence secondaire, investissement locatif, construction + travaux et même les SCPI. Concernant les taux d’intérêt, ils peuvent être légèrement au-dessus des taux négociés pour les résidents.

Cependant ce n’est pas du tout systématique. Beaucoup de financements pour les non-résidents se négocient sur la même base de taux que les résidents. Mais attention à ne pas trop tirer sur la corde dans la négociation, car pour les banquiers, financer un non-résident ou un expatrié n’est pas toujours la meilleure opération : dossier plus long à instruire, pas de domiciliation de salaire, complications réglementaires, etc… 

La qualité du montage du dossier

La manière dont va être monté le dossier dans le cadre de la négociation d’un financement d’un non-résident ou d‘un expatrié est capitale.

Si vous montez un dossier mal classé et surtout incomplet, vous augmentez grandement vos chances de refus. Ce qu’il faut bien garder à l’esprit, c’est que les banques sont en permanence contrôlées et surveillées par les autorités de contrôle type AMF et ACPR. Ces autorités sont très vigilantes à la lutte contre le blanchiment et la traçabilité des fonds et n’hésitent pas à sanctionner les banques si celles-ci n’appliquent pas les vérifications et les recommandations nécessaires.

Par conséquent, si vous transmettez un dossier qui ne permet pas à la  banque de faire les vérifications nécessaires, vous augmentez vos chances que la banque ne soit pas intéressée par le dossier. Donc le meilleur conseil que l’on puisse vous donner est de soigner le montage de votre dossier :

  1. Bien trier et présenter les documents
  2. Que les documents soient biens lisibles
  3. Qu’il ne manque aucun document : avis d’imposition, relevé de compte, fiche de paye, titre de propriété, pièce d’identité, contrat de travail, etc …

Les critères d’accessibilité des banques

La première chose que vont regarder les banques est votre taux d’endettement.

Actuellement, le taux maximum autorisé est de 35%. Donc n’hésitez pas à bien prendre en compte tous vos revenus pour calculer votre taux d’endettement.

Sachez également qu’il existe deux méthodes de calcul pour les taux d’endettement :  la première est la méthode classique qui consiste à diviser les charges avec les revenus. La deuxième est la méthode en déférentiel, qui favorise largement ceux qui ont déjà beaucoup d’endettement. Retrouvez plus d’informations sur le calcul d’endettement pour les non-résidents et les expatriés dans cet article

Le deuxième point est la société pour laquelle vous travaillez. Plus vous allez travailler pour une société connue et grande, plus votre dossier sera facile à faire financer, et inversement. Il est par exemple très compliqué de faire financer des personnes à leur compte. 

Le troisième point est l’apport au projet. Dans la plupart des cas, un apport au projet vous sera demandé. Plus il y a d’apport, moins il y a de risques pour la banque.

Enfin, un autre point important : les contreparties demandées par la banque. À ne pas confondre avec l’apport, les contreparties sont le placement que la banque va demander que vous fassiez chez elle en échange du financement. C’est généralement ce qui motive le plus la banque pour vous financer.

ll existe encore bien d’autres critères, consultables ici. 

Faites-vous accompagner pour la négociation de vos financements

Crédit International est un cabinet en gestion de patrimoine basé à Paris (dans le 7ème arrondissement), spécialisé et dédié exclusivement aux non-résidents et expatriés, et dont l’un des cœurs de métier est la négociation de crédit immobilier.

Ses près de quatorze ans d’activité de courtage en crédit immobilier pour les non-résidents et les expatriés lui ont permis de développer un savoir-faire entièrement dédié à la négociation :

? Montage du dossier
? Négociation des financements auprès de plus d’une vingtaine de banques
?
Réseau bancaire dédié aux non-résidents et expatriés
? Suivi du dossier jusqu’au déblocage des fonds et signature chez le notaire

N’hésitez pas à contacter l’équipe de Crédit International pour toute question, calcul d’enveloppe ou pré-validation du financement.

Crédit International, ce n’est pas uniquement la négociation de financement immobilier, c’est aussi : 

  • Un service de courtage en assurance : assurance de prêt, assurance habitation et assurance santé dédiée aux non-résidents et expatriés. Consultez la page dédiée.
  • L’investissement immobilier dédié aux non-résidents et expatriés : immobilier ancien, SCPI, Nue Propriété. Consultez la page dédiée
  • L’assurance vie accessible aux non-résidents et expatriés. Consulter la page dédiée.

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12 piscines publiques extérieures pour un été au frais à New York

C’est l’été, c’est le moment de profiter de la cinquantaine de piscines publiques de New York, pour se rafraîchir jusqu’à la fin de la saison, fixée cette année au dimanche 10 septembre. Elles sont gratuites et ouvertes de 11am à 7pm avec une pause nettoyage de 3pm à 4pm. Un conseil : il faut venir à l’ouverture pour s’assurer une place autour des bassins et apporter un cadenas pour mettre ses affaires dans l’un des casiers mis à disposition. Les appareils électroniques, la nourriture, les bouteilles en verre et les journaux sont interdits dans toutes les piscines de la ville. Petite sélection parmi les piscines des cinq boroughs.

Manhattan

Hamilton Fish Pool

Située dans Lower East Side, Hamilton Fish Pool (50 mètres de long) anime les étés des New-Yorkais depuis plus de huit décennies. Il s’agit en effet de l’une des 11 piscines construites en 1936 par la Works Progress Administration afin de créer des emplois pendant la Grande Dépression. Bâtie à l’emplacement d’un ancien complexe sportif, elle en a gardé le style Beaux-arts, ce qui lui confère un charme quelque peu désuet. Pas de chaises longues mais suffisamment de place autour de la piscine pour dérouler sa serviette. Ses deux bassins conviennent à tous les âges : les adultes profitent de la piscine olympique – pour l’anecdote, l’équipe américaine de natation s’y entraînait en prévision des jeux olympiques de 1952 à Helsinki – et les enfants de la pataugeoire. Le playground comprend des terrains de basketball et de handball. Hamilton Fish Pool128 Pitt St.

Dry Dock Pool

Le nom de cette piscine publique dans le quartier de East Village vient du quartier, connu autrefois sous le nom de Dry Dock District (quartier des cales sèches) pour ses usines sidérurgiques et ses chantiers navals. Aujourd’hui, il s’agit d’un quartier résidentiel avec de nombreuses familles, et les installations, comme la piscine de 22 mètres, est idéale pour les enfants. On y trouve une pataugeoire et un playground avec jets d’eau pour les petits, ainsi qu’un terrain de basket pour les plus grands. Cours de natation gratuits également. Dry Dock Pool, 408 E. 10th St (entre Ave. C & D).

Vesuvio Pool

Au cœur de Soho, cette piscine de petite taille (12 mètres de long) et peu profonde, est particulièrement bien adaptée aux enfants en bas âge. Le playground attenant, avec aires de jeux, terrains de basket, de handball, et tables de ping-pong garantissent une bonne journée bien remplie aux petits. Vesuvio PoolThompson Street entre Spring et Prince Streets.

John Jay Pool

© NYC Parks

Les habitants d’Upper East Side, notamment les Français du quartier (le Lycée français est à deux blocks), connaissent bien cette piscine de Yorkville située juste au bord de l’East River. On l’aperçoit notamment depuis la passerelle piétonne reliant John Jay Park à l’esplanade, de l’autre côté du FDR. Le bassin, de plus de 45 mètres de long, est bordé d’arbres, offrant un oasis ombragé bien agréable en cette période de forte chaleur. John Jay PoolEast of York Avenue on 77th St.

À noter que l’ex-Lasker Pool dans le nord de Central Park, rebaptisée Harlem Meer Center, est toujours en travaux et ne rouvrira qu’à l’été 2024. Même chose pour la Tony Dapolito Pool dans West Village.

Bronx

Crotona Park Pool

La piscine olympique (100 mètres de long sur 36 mètres de large) offre l’immense avantage d’être équipée d’une aire de jeux d’eau pour les tout-petits, bienvenue en cette période de fortes chaleurs. Autre plus : les chaises longues autour du bassin et le parc avec terrains de pickleball cette année. Mais mieux vaut venir dès l’ouverture pour pouvoir en profiter. En sortant, en allant vers le nord, se trouvent les restaurants italiens parmi les meilleurs de New York. Crotona Park Pool, 173rd Street et Fulton Avenue.

The Floating Pool

C’est l’une des plus petites piscines de notre sélection (25 mètres de long) mais la plus originale. Installée sur une barge mobile amarrée au Barretto Point Park. la Floating Pool est la dernière survivante d’une longue liste de piscines flottantes construites au XXe siècle afin d’aider les New-Yorkais à apprendre à nager. Aujourd’hui, c’est l’endroit idéal pour profiter d’une baignade avec vue imprenable sur la skyline de Manhattan. À savoir : l’arrêt de métro le plus proche est à plus d’un kilomètre à pied du parc. Floating PoolTiffany Street et Viele Avenue.

Queens

Grosse déception cette année, la plus grande piscine de Queens, Astoria Pool, est fermée pour rénovation. 

Fort Totten Pool

Parmi les sept piscines publiques d’extérieur de Queens, Fort Totten Pool a l’avantage de proposer trois bassins dont un de plongée – ce qui n’est pas si fréquent à NYC : le plus grand pour les nageurs (taille moyenne de 23 mètres de long sur 12 mètres de large), un deuxième donc pour les plongeurs et une pataugeoire pour les tout-petits. Terrains de football (soccer) juste à côté. Fort Totten Pool, 338 Story Avenue.

Liberty Pool

Cette piscine publique extérieure offre une vue magnifique sur l’Upper East Side. Deux bassins de taille différentes : À noter que pour les longueurs dans le bassin de 50m, il faut avoir 18 ans. Juste à côté, vous pouvez profiter des terrains de tennis et d’une piste de course à pied. Liberty Pool173rd Street et 106th Avenue.

Brooklyn

McCarren Park Pool

Située entre Williamsburg et Greenpoint, la Mc Carren Park Pool constitue l’oasis de fraîcheur des hipsters, célibataires ou familles, du nord de Brooklyn. Le plus de cette grande piscine (100 mètres de long sur 46 mètres de large) : des chaises longues sont installées autour du bassin, il n’y a plus qu’à y poser sa serviette. McCarren Park Pool776 Lorimer Street. 

Red Hook Pool

© NYC Parks

Un peu plus au sud dans Brooklyn, cette piscine olympique (100 mètres de long sur 40 mètres de large) datant elle aussi de 1936, a longtemps accueilli les familles d’immigrés irlandais, scandinaves et allemands qui travaillaient dans les usines du quartier. Le grand parc attenant comprend des terrains de baseball, de basketball et de handball, ainsi qu’un espace barbecue. Red Hook Pool, 155 Bay Street.

Staten Island

Lyons Pool

C’est la plus grande piscine publique de Staten Island (50 mètres de long, 30 mètres de large) et l’une des plus anciennes de New York (elle fait partie des 11 piscines construites en 1936 pendant la Grande Dépression). Le bassin principal peut accueillir jusqu’à 2 800 nageurs en même temps. Lyons Pool possède également un bassin de plongée, ainsi que des douches à jets dont raffolent  les enfants pendant les heures très chaudes. Dépaysement garanti en une courte traversée de ferry depuis Manhattan. Lyons Pool, Pier 6 et Victory Boulevard.

Faber Pool

La piscine n’est pas grande (40 mètres de long) mais sa localisation très agréable. Intégrée au Faber Park, elle offre une pause rafraîchissante à tous ceux qui profitent du skate park, des terrains de basket et du playground à proximité. L’endroit idéal pour passer toute une après-midi d’été new-yorkais. Faber Pool, Faber Street et Richmond Terrace.

«Pete and Alice in Maine», le premier roman de Caitlin Shetterly

C’est une histoire à priori simple, comme le titre du roman. Début 2020, Pete et Alice vivent à New York quand la pandémie de covid éclate. Lui travaille dans la finance, elle écrit mais s’est surtout consacrée à élever leurs deux petites filles, Sophie et Iris. Ils décident de partir se réfugier dans leur maison de vacances du Maine. Pas si simple en fait : en fuyant la crise sanitaire qui dévaste alors la ville, le couple emporte avec lui ses difficultés – Alice a découvert que son mari la trompait depuis des années -, ses frustrations et ses ressentiments. Sans compter sur des résidents locaux pas vraiment accueillants.

L’écriture du quotidien

« Tout est inventé ! » répond immuablement Caitlin Shetterly, à chaque fois qu’on lui demande si Pete and Alice in Maine (HarperCollins, en anglais) est une autobiographie. Je n’ai pas deux maisons, je n’ai pas beaucoup d’argent, mon mari n’a rien à voir avec Pete. Ces caractères étaient là, en moi, depuis longtemps mais je ne savais pas quoi en faire. » Il n’empêche : il y a beaucoup d’elle dans Alice.

Caitlin Shetterly lors d’une séance dédicace à la boutique Agnès b. de Soho à New York, le 11 juillet 2023. © French Morning/E.Guédel

Caitlin Shetterly écrit depuis longtemps, pour le théâtre, pour le New Yorker et d’autres journaux, et pour Frenchly depuis deux ans, le site en anglais du groupe French Morning. « Le Covid m’a offert cette formidable opportunité de faire une pause. Le caractère d’Alice m’est apparu au printemps 2020, il a commencé à me parler et comme j’avais plus de temps – on n’allait nulle part, on n’avait pas à conduire partout – j’avais le temps mental et l’énergie. Je me suis mise alors à écrire. » Une page après l’autre, « j’ai écrit ce livre en six mois, neuf mois avec la réécriture. »

Neuf mois, c’est le temps que l’on passe avec cette famille, de mars à décembre 2020. L’auteur décrit avec beaucoup de justesse les détails du quotidien à cette époque – la crainte obsessionnelle du virus, les triples masques portés au supermarché, le rationnement de papier toilette… – et la confusion des sentiments du couple, les silences pesants, l’ombre de l’autre femme, désignée uniquement par Her tout au long du livre, les mots violents qui jaillissent, les incompréhensions notamment celle des enfants qui entendent les disputes. « Mes parents ont divorcé, je connais la crise de couple du point de vue de l’enfant, précise l’auteure. J’ai beaucoup d’amis qui ont connu des difficultés dans leur mariage durant le covid ». Caitlin Shetterly a également publié un livre en 2021, Fault Lines: Stories of Divorce, des histoires courtes sur le divorce.

«La vie, c’est compliqué, et c’est ok!»

Au fil des pages, Caitlin Shetterly nous fait suivre le chemin de la reconstruction de ses personnages – plus précisément celui d’Alice, personnage central, Pete et les enfants occupant moins de place dans le livre -, à l’abri dans ce Maine qu’elle aime tant, où elle est née et vit son mari Dan et leurs deux fils. « Un État pauvre, nous n’avions pas beaucoup de lits d’hôpitaux et peu de ventilateurs quand le covid est apparu. Ça m’intéressait de me mettre à la place d’Alice et de Pete, de comprendre ce qui les poussait à trouver refuge ici ». Des locaux qui ont vu avec angoisse débarquer les New-Yorkais au début de la pandémie et qui ne les ont pas accueillis avec empathie – Alice, Pete et leurs filles sont contraints, par le voisinage, de rester confiner chez eux. Si Caitlin Shetterly se moque volontiers du patois local – les New Yowkas – ce qui lui a valu des commentaires peu amènes de lecteurs offensés – le roman rend hommage à la beauté de cet État de Nouvelle-Angleterre, ses nuits claires et glaciales d’hiver, ses pivoines « aux pétales exubérantes » de juin. 

Sans dévoiler la fin, le roman s’achève sur une inconnue : la décision d’Alice sur l’avenir de son mariage. Caitlin Shetterly a déjà une suite en tête, un deuxième roman. En attendant, elle aimerait que ceux qui lisent Pete and Alice in Maine referme le livre avec «  l’impression d’avoir trouvé une amie. Qu’ils se disent “c’est compliqué d’être parent, c’est compliqué d’être marié, rien n’est parfait… et c’est ok !” ». Un roman « honnête » sur la vie avec ses tempêtes, ses ondées et ses éclaircies revigorantes… comme une journée d’été dans le Maine. 

Parc national des Everglades: Au cœur des marécages sauvages

Sur la côte Est, tout au sud de la Floride, dans un décor tropical comme on n’en trouve nulle part ailleurs aux États-Unis, se trouve le plus septentrional des parcs nationaux américains. Un parc entre terre et mer, ou plutôt entre marécages, côte sauvage et petits bouts de terre désolée où évolue une faune d’une rare richesse. À pied, en voiture ou à vélo, les Everglades se découvrent au rythme des rencontres que l’on y fait. Sortez des sentiers battus et prenez le temps d’observer la nature qui se laisse observer en toute simplicité, vous risquez d’être agréablement dépaysé.

Alligator parc national des Everglades

Informations pratiques

➤ Parc accessible toute l’année.

➤ Entrée 30$, pass America The Beautiful accepté.

➤ Pas de réservation nécessaire.

➤ Toutes les informations sur le site officiel du parc national.

Carte national d'Everglades
Steppe parc national des Everglades

Ce que le parc national des Everglades a de spécial

Soyons honnête, le parc national des Everglades n’est pas le parc le plus spectaculaire qu’il soit donné de voir aux États-Unis, en terme de paysages, en tous cas. Ce n’est pas le parc qui vous scotchera par la démesure de ses reliefs ou ses paysages à perte de vue. Vous le constaterez rapidement, la Floride c’est plat, très plat, et les paysages évoluent lentement. Aux Everglades aussi les étendues se déroulent horizontalement sans grande surprise (quoique). Mais la nature de l’expérience est toute autre. Ici, c’est un rendez-vous avec un écosystème aquatique et terrestre précieux qui vous y attend.

C’est d’ailleurs pour préserver cet écosystème que le parc national a été créé en 1947, plus que pour des raisons touristiques, puis inscrit au registre mondial de l’Unesco en 1976.  Le parc national couvre en réalité un petit 20% de l’ensemble de ce territoire immense et unique. Près de 6000 km2 de terres parcourues par les méandres de la rivière kissimmee et du lac Okeechobee dans un climat subtropical. C’est le plus vaste territoire tropical du pays, un espace unique où cohabite une faune d’une diversité peu commune.

Quand j’ai découvert les Everglades, je m’attendais à y voir des alligators c’est sûr, c’est l’une des attractions phare du parc, mais j’ai été bien surprise d’y voir aussi des panneaux indiquant la présence de panthères. Loin des marécages sur une route serpentant dans une brousse aride, je me serais crue un temps en Afrique. Des panthères, des lynx et des cerfs peuplent ces prairies désertiques, quand les alligators, les tortues et même quelques crocodiles américains pataugent dans les marais parfois non loin des lamantins qui remontent les eaux saumâtres depuis l’océan. Tout ce petit monde évolue sous le ballet des nombreux oiseaux du parc : pélicans, flamands, cigognes et autres aigrettes.

Vous réaliserez vite que le parc national des Everglades est vraiment spécial et que même s’il ne joue pas dans la même cour que les parcs grandioses de l’Ouest américain, il n’en reste pas moins étonnant. Sa faune c’est quelque chose, c’est sûr, mais sa végétation est tout aussi déroutante. Concentration de mangroves, forêts de pins, chênes centenaires d’où dégringole de la mousse espagnole, étangs de nénuphars, marais enveloppants, côte sauvage et deltas parsemés d’ilots de verdure, les Everglades c’est vraiment un condensé de tout ce que le sud des États-Unis a à offrir de plus nature et de plus sauvage.

Balade parc national des Everglades

Comment rejoindre le parc ?

Le parc se compose de 3 parties : 

  • La partie est, partie principale du parc, qui va de Royal Palm (incluant Ernest F. Coe Visitor Center et Royal Palm Information Station) à Flamingo, une marina tout au sud du parc national des Everglades.
  • La partie nord de Shark Valley, une toute petite zone en bordure de Big Cypress National Preserve.
  • La partie nord-ouest, la partie côtière tout à l’ouest du parc national des Everglades qui se visite sur l’eau.

Si ces deux dernières zones sont connectées par l’US 41, la partie sud, elle, se rejoint indépendamment par l’entrée sud-est en dessous de Florida City.

En avion :

L’aéroport international le plus proche est celui de Miami à une grosse heure de route de la partie est.

En voiture :

Vous pourrez rejoindre le parc depuis la côte est, comme depuis la côte ouest, selon votre destination. Depuis Miami, vous pourrez rejoindre le visitor center de Ernest F. Coe en une grosse heure de route et, de là, gagner l’extrémité sud du parc au niveau du visitor center de Flamingo en 45 min. Toujours de Miami, vous pourrez rejoindre Shark Valley plus au nord en un peu moins d’une heure de route. Cette toute petite zone est aussi accessible depuis l’ouest si vous venez de la région du golfe et d’Everglades City (comptez 50 min de là). Pour les visiteurs qui veulent rester sur la côte ouest, le Gulf Coast Visitor Center, se trouve juste à l’entrée ouest du parc national à  moins de 50 min de route de Naples.

À vélo :

Les routes très plates des Everglades en font un lieu de prédilection des balades à vélo, moyen de locomotion idéal pour observer la faune native. Vous pourrez louer des vélos notamment dans les visitors centers de Flamingo et Shark Valley, plus d’informations sur le site officiel du parc.

En tramway :

Un système de tramway, le Homestead Trolley to the National Parks, dessert Royal Palm et Ernest F. Coe Visitor Center  de décembre à avril depuis le centre-ville d’Homestead, plus d’informations sur le site officiel du parc.

Une visite guidée en tramway partant du visitor center de Shark Area permet de faire un tour de 2h dans les marais, plus d’informations.

Marais du parc national des Everglades

À quelle saison visiter le parc national des Everglades ?

Il est clairement préférable de visiter le parc en hiver, de novembre à avril. C’est la saison idéale pour observer la faune locale mais aussi éviter la saison des pluies qui font de l’été une saison peu propice à la découverte du parc (fortes chaleurs, intempéries, faune dispersée dans le parc à l’abri de la chaleur, inondations de certaines parties du parc…).

Rolling View

Où se loger et où se restaurer dans le parc ?

Vous ne trouverez pas d’options de restauration dans le parc national des Everglades, pensez donc à partir avec votre pique-nique et tous vos repas si vous campez.

Côté logement, vous n’aurez qu’une seule option pour dormir dans le parc : camper. Les deux campings aménagés sont situés dans la partie sud-est du parc, il s’agit du Long Pine Key Campground près de l’entrée est et du Flamingo Campground, tout au sud. Plus d’informations sur le site officiel du parc.

Petit conseil : n’y allait pas sans répulsif et attendez-vous à être très appréciés des moustiques voraces des Everglades, cela fait presque partie de l’expérience.

Si vous souhaitez dormir dans un hôtel proche du parc, vous trouverez pas mal d’options du côté d’Homestead et Florida City, tout près de l’entrée sud-est du parc. De l’autre côté, vous pourrez vous loger à Everglades City, ou moyennant plus de route, dans la plus grande ville de Naples.

Camping parc national des Everglades

Conseils pour une expérience authentique

Vous pourrez facilement visiter les Everglades en un jour depuis Miami sans même louer de voiture. Mais si vous voulez vraiment découvrir ce parc, ne vous contentez pas d’une sortie organisée, d’un tour en airboart ou de quelques pas sur la balade aménagée du visitor center à l’entrée du parc. Préférez l’observation des alligators dans leur milieu naturel plutôt qu’enfermés dans une des fermes touristiques aux abords du parc. Prenez le temps de vous enfoncer dans le parc, dans ses marais et ses deltas. Prévoyez de marcher, peut-être même de pédaler, de louer un kayak et idéalement de passer même une nuit sur place en camping. Bref, mixez les expériences et surtout sortez des sentiers battus, c’est la seule façon de vraiment prendre la mesure de cette nature sauvage qui vous tend les bras.

Coucher de soleil parc national des Everglades

Que voir et que faire dans le parc national des Everglades ?

Pour explorer le parc national des Everglades, vous aurez plusieurs options : faire une boucle à vélo, marcher ou explorer le parc par voie aquatique (en canoé ou via une sortie en bateau). Si vous ne pouvez faire les 3, essayez au moins de combiner les deux dernières expériences pour observer le parc depuis la terre comme depuis l’eau.

Voici quelques sites et activités à considérer en priorité lors de votre visite du parc national des Everglades.

Naviguer dans le parc :

  • En bateau, il existe des sorties en bateaux traditionnels mais l’expérience la plus populaire étant en hydroglisseur : une embarcation à fond plat qui permet de survoler les marais. C’est assez impressionnant mais aussi assez bruyant.
  • En canoë ou en kayak, une sortie plus paisible et idéale pour se fondre dans le décor et ne pas gêner (ou bien moins) la faune locale.

Ces deux activités sont à prévoir tout au sud au niveau de Flamingo ou à l’ouest, du côté de Gulf Cost. Les visites en airboat, elles, se trouvent  essentiellement autour d’Everglades City et le long de l’US 41 qui relie Gulf Coast à Shark Valley.

Randonner dans le parc :

Il existe de nombreuses balades aménagées qui vous conduiront au cœur des marais, souvent via des passerelles en bois enjambant mangroves, étangs et marécages.

  • Depuis Royal Palm : le facile mais aussi très fréquenté sentier d’Anhinga Trail part du Royal Palm Visitor Center et permet d’observer des alligators (entre autres) en 30 min de marche ; le point de vue de Pa-hay-Okee (accessible en 15 min de marche) offre un panorama unique sur les étendues sauvages du parc national et la balade de 20 min dans la forêt tropicale de Mahogani hammock trail s’enfonce dans la végétation luxuriante dans une ambiance tropicale
  • Depuis Flamingo : le West Lake Trail permet d’observer des alligators en 20 min de marche ; le Snake Bight Trail conduit en 1h30 aller-retour jusqu’à un ponton où la faune locale se laisse aussi observer facilement et la plus longue randonnée de Coastal Prairie Trail (comptez 5h) qui part du camping de Flamingo remonte une ancienne route de pêcheurs et de cueilleurs de coton aux paysages variés
  • Depuis Shark Valley : le sentier de Bobcat Boardwalk Trail traverse forêts et marécages en 20 min de balade.

Pédaler dans le parc :

Plusieurs boucles offrent la possibilité de découvrir le parc à vélo. Depuis Flamingo, vous pourrez emprunter le Snake Bight ou le Rowdy Bend Trail. A l’entrée est, vous pourrez emprunter le Long Pine Key Natural Trail. Plusieurs sentiers cyclables sont aussi disponibles du côté de Shark Valley dont la Tram Road.

La Tram Road :

Cette route pavée d’une trentaine de kilomètres traverse la sawgrass, cette végétation de hautes herbes typiques des marécages. La célèbre voie se découvre aussi bien à pied, à vélo ou en tramway (départs du tramway et location de vélos au départ du visitor center de Shark Valley).

Balade bateau parc national des Everglades

  • FAQ

  • Faut-il une réservation pour visiter le parc national des Everglades ?

    Non, aucune réservation est nécessaire.

     

  • Peut-on dormir dans le parc ?

    Oui, mais uniquement en camping.

  • Peut-on visiter le parc national des Everglades en un seul jour ?

    Oui, vous pourrez visiter facilement la partie sud ou la partie nord en une journée mais il faudra choisir. Comptez plutôt deux jours pour visiter les différentes zones.

Envie d’améliorer votre anglais? On a demandé de l’aide à ChatGPT

ChatGPT n’a pas que des amis, mais ce n’est pas le cas de celles et ceux qui ne touchent pas leur bille en anglais. Nous avons testé l’outil d’intelligence artificielle générative d’Open AI dans une vingtaine de situations pour voir comment il pouvait aider les Françaises et les Français qui vivent aux États-Unis – et qui auraient besoin d’un petit coup de pouce linguistique. Si vous n’avez jamais utilisé la bête, il suffit de créer un compte sur le site d’OpenAI et de lancer un tchat. Il vous sera demandé d’entrer un prompt, une phrase ou question, qui générera une réponse de la part de l’interface.

Voici les 19 questions posées à ChatGPT et les réponses (texte en italique) du programme d’intelligence artificielle :

19. Se moquer de son propre accent français en anglais

  1. “My English is as French as a baguette wearing a beret!” (Mon anglais est aussi français qu’une baguette portant un béret !)
  2. “I speak English with a French flair – it’s a delicate balance of ‘Je ne sais quoi’ and ‘Lost in translation’!” (Je parle anglais avec une touche française – c’est un subtil mélange de ‘Je ne sais quoi’ et de ‘Lost in translation’ !)
  3. “My English accent is a French masterpiece – you won’t find it in any English textbooks!” (Mon accent anglais est un chef-d’œuvre français – on ne le trouve dans aucun manuel d’anglais !)
  4. “I have a PhD in ‘Franglais’ – the art of blending French and English into a linguistic adventure!” (J’ai un doctorat en ‘Franglais’ – l’art de mélanger le français et l’anglais dans une aventure linguistique !)
  5. “My English grammar is like a puzzle missing half the pieces – it’s a work in progress!” (Ma grammaire anglaise est comme un puzzle auquel il manque la moitié des pièces – c’est un travail en cours !)
  6. “I’m fluent in ‘Frenglish’ – it’s like speaking both languages at the same time, and confusing everyone around me!” (Je parle couramment le ‘Frenglish’ – c’est comme parler les deux langues en même temps et embrouiller tout le monde autour de moi !)

N’oubliez pas, l’objectif est de créer un moment amusant et de partager une connivence linguistique avec les autres. Assurez-vous de le faire de manière légère et amicale, en évitant de vous dévaloriser ou de vous moquer excessivement de vous-même. L’humour doit rester plaisant et respectueux pour tous les participants de la conversation. 

18. Écris-moi une lettre de motivation (cover letter) en anglais

Dear Hiring Manager,

I am writing to express my strong interest in the [position name] role at [company name]. As a highly skilled [your profession], I am confident that my qualifications, experience, and passion for [field/industry] make me an excellent fit for the position.

I have [number of years] years of experience working in [field/industry], with a focus on [specific skills or areas of expertise]. Throughout my career, I have honed my ability to [list some of your key skills or achievements], which I believe will be valuable assets to your team at [company name].

Furthermore, I am excited about the opportunity to work for [company name] because of its reputation for [specific values or qualities of the company that you admire]. I am eager to contribute to the company’s mission of [company mission or goals], and I believe that my skills and experience align well with the company’s needs.

In addition to my professional qualifications, I possess excellent communication skills, both written and verbal, and have a strong ability to work collaboratively with team members to achieve common goals. I am also highly adaptable and thrive in fast-paced, dynamic environments.

Thank you for considering my application. I am excited about the opportunity to join the team at [company name] and contribute to its success. Please find my attached resume for your review.

Sincerely,
[Your Name]

17. Une lettre de motivation humoristique en anglais

Dear Hiring Manager,

I hope this letter finds you in good spirits, and not buried under a pile of serious and mundane cover letters. Let’s break the monotony, shall we?

You see, I believe that a dash of humor can brighten even the dullest of days. And that’s precisely what I bring to the table – a unique blend of skills, experience, and a knack for making people smile.

Now, I won’t bore you with the usual clichés about my qualifications and achievements. I’m sure you’ve read enough of those already. Instead, let’s talk about what truly matters: how I can bring a breath of fresh air to your team.

Imagine a workplace where laughter is not just permitted, but encouraged. A place where creativity flourishes, and ideas flow freely, accompanied by the occasional witty remark. That’s the kind of environment I strive to create.

But don’t let my light-hearted approach fool you. Behind the humor lies a dedicated professional with a track record of getting things done. I have successfully juggled multiple projects, tackled challenges head-on (with a smile, of course), and consistently delivered outstanding results.

In addition to my professional prowess, I’m a firm believer in building strong relationships with colleagues. After all, a happy team is a productive team. I pride myself on being a reliable and supportive teammate, always ready to lend a hand or share a well-timed joke to lighten the mood.

So, dear Hiring Manager, if you’re looking for someone who can bring a refreshing perspective, a touch of humor, and a strong work ethic to your team, then look no further. I’m here, armed with wit and determination, ready to take on new challenges and make a positive impact.

Thank you for considering my application. I’d be thrilled to discuss how my unique blend of skills and humor can contribute to the success of your organization. Let’s add a splash of laughter to the workplace!

Yours sincerely, [Your Name]

16. Rédige-moi un elevator pitch comme sur Shark Tank

“Attention, Sharks! Have you ever wanted to capture the thrill of extreme sports without leaving your living room? Well, look no further! Introducing the Couchsurfer 5000, the ultimate adrenaline-inducing experience for couch potatoes like yourself. Strap into our high-tech, motion-simulated recliner and get ready for the ride of your life. Feel the rush as you navigate treacherous virtual mountains, ride monster waves, or even soar through the sky like a superhero. With the Couchsurfer 5000, you can conquer your fear of missing out and become an adventure junkie without ever breaking a sweat. So, who’s ready to invest in the next level of lazy excitement? Step up and join us on this exhilarating journey with the Couchsurfer 5000!”

15. Phrases de drague romantiques

  1. “Do you have a map? Because I keep getting lost in your eyes.”
  2. “If you were a vegetable, you’d be a ‘cute-cumber’.”
  3. “Is your name Google? Because you have everything I’ve been searching for.”
  4. “Do you believe in love at first sight, or should I walk by again?”
  5. “Excuse me, but I think you dropped something: my jaw.”
  6. “If kisses were snowflakes, I’d send you a blizzard.”
  7. “Is your name Wi-Fi? Because I’m feeling a connection.”
  8. “Are you a magician? Because whenever I look at you, everyone else disappears.”
  9. “Is your dad a baker? Because you’re a cutie pie.”
  10. “Can I follow you home? Cause my parents always told me to follow my dreams.”

14. Expressions à utiliser au lit aux États-Unis

Il est important de noter que les expressions au lit peuvent varier en termes de niveau de familiarité et d’adéquation en fonction du contexte et de la relation entre les personnes. Cependant, voici quelques expressions générales et courantes en anglais pour évoquer des moments intimes avec une certaine légèreté :

  1. “That was amazing!” – Cela était incroyable !
  2. “You’re so good at that.” – Tu es si doué(e) pour ça.
  3. “I can’t get enough of you.” – Je ne me lasse pas de toi.
  4. “You drive me wild.” – Tu me rends fou/folle.
  5. “You’re the best I’ve ever had.” – Tu es le/la meilleur(e) que j’ai jamais eu(e).
  6. “I love how you touch me.” – J’adore comment tu me touches.
  7. “I can’t resist you.” – Je ne peux pas te résister.
  8. “You make me feel so good.” – Tu me fais me sentir si bien.
  9. “You’re so sexy.” – Tu es tellement sexy.
  10. “Let’s do that again.” – Faisons ça encore une fois.

Ces expressions sont à utiliser avec précaution, en respectant toujours les limites et le consentement mutuel. La communication dans l’intimité est personnelle, il est donc essentiel de s’adapter à la personne avec qui vous êtes et de veiller à ce que les expressions utilisées soient appropriées pour la situation et la relation. 

13. Dire diplomatiquement à quelqu’un qu’on ne l’aime pas 

Lorsque vous exprimez le fait que vous n’aimez pas quelqu’un, il est essentiel de le faire avec tact et diplomatie afin de ne pas blesser leurs sentiments. Voici une façon de le dire de manière respectueuse :

  1. “We seem to have different personalities, and we don’t naturally click.”
  2. “Our communication styles don’t seem to align well.”
  3. “I find it difficult to connect with you on a personal level.”
  4. “Our interactions have been strained, and it’s been challenging for me to build a rapport with you.”
  5. “I think we have conflicting interests and perspectives.”

Gardez à l’esprit qu’il est toujours préférable d’essayer de résoudre les conflits ou les désaccords de manière constructive. Parfois, il est possible de trouver un terrain d’entente ou de simplement maintenir une relation cordiale sans être très proche. Restez toujours respectueux et empathique lors de ce genre de communication.

12. En colère, j’exige un remboursement par e-mail

Subject: Urgent Request for Refund – Unacceptable Product/Service

Dear [Company Name],

I hope this email finds you, although I must admit that I am deeply frustrated and disappointed with the product/service I recently purchased from your company. Therefore, I am writing to demand an immediate refund.

To provide some context, on [date of purchase], I made a purchase of [product/service name] from your company’s website. However, upon receiving the product/using the service, it became apparent that it does not meet the promised standards or specifications.

Not only does this product/service fail to deliver what was advertised, but it also exhibits severe malfunctions/defects [provide specific details of the problems encountered]. I find this level of quality entirely unacceptable and far below my expectations.

I have attempted to reach out to your customer support team several times, but I have received no satisfactory response or resolution. This lack of proper communication and support has only further exacerbated my frustration and disappointment.

Given these circumstances, I demand an immediate full refund of the amount I paid for the product/service. I trust that you understand the seriousness of this situation and the impact it has had on my trust in your company.

If I do not receive a prompt response and the requested refund within [a reasonable timeframe, e.g., 10 business days], I will be left with no choice but to escalate this matter further by seeking legal advice and sharing my negative experience on various public platforms and consumer review websites. I sincerely hope it does not come to that.

I expect a written confirmation of my refund request and the actions being taken to address this matter within [specify a reasonable timeframe, e.g., 3 business days]. I strongly urge you to rectify this situation promptly and restore my faith in your company’s commitment to customer satisfaction.

Failure to comply with this request will leave me with no option but to take appropriate measures to protect my rights and warn others about the poor quality of your products/services.

I eagerly await your swift response and resolution of this issue.

Disappointed and frustrated,

[Your Name] [Your Contact Information]

11. Féliciter une ou un collègue en anglais de manière informelle et avec une pointe d’humour

Hey [Colleague’s Name]!

I couldn’t resist dropping you a quick note to say a huge congratulations on your recent achievement! You’ve totally rocked it, my friend!

I have to admit, when it comes to [describe the achievement], you’ve set the bar so high that it’s making the rest of us look like amateurs. Are you secretly a superhero with extraordinary powers? Because it seems like you can accomplish anything!

Seriously though, your dedication, hard work, and sheer talent have paid off in a big way. You’ve proven once again that there’s no challenge you can’t conquer. I’m in awe of your abilities!

Now, don’t let all this success go to your head, okay? We still need you to show up at work and pretend to be just like the rest of us mortals. But secretly, we’ll all be basking in the glow of your awesomeness.

Keep being amazing, [Colleague’s Name]! Can’t wait to see what incredible things you’ll accomplish next. And remember, if you ever need a sidekick, I’m always here, ready to provide witty commentary and moral support.

Cheers, [Your Name]

10. Saluer une personne dans la rue aux États-Unis

Lorsque vous voulez saluer un Américain dans la rue, vous pouvez simplement utiliser une salutation courante et amicale comme :

  • “Hello!” (Bonjour !)
  • “Hi there!” (Salut !)
  • “Good morning/afternoon/evening!” (Bonjour/bon après-midi/bonsoir !)
  • “Hey!” (Salut !)
  • “Howdy!” (Salut ! – une salutation plus courante dans certaines régions, comme le Texas)

N’oubliez pas de sourire et d’être respectueux lorsque vous saluez quelqu’un dans la rue. Si vous sentez que la personne est ouverte à l’interaction, vous pouvez également ajouter une question simple comme “Comment ça va ?” ou “Profitez bien de votre journée !”

Il est important de prendre en compte les normes culturelles et de respecter l’espace personnel des personnes que vous rencontrez dans la rue. Si vous remarquez que la personne ne souhaite pas être interpellée, il est préférable de respecter sa vie privée et de continuer votre chemin.

9. Parler du dernier match des Yankees (baseball) sans l’avoir vu

The recent Yankees baseball game was quite a spectacle, even though I didn’t have the chance to witness it firsthand. From what I’ve gathered, the team displayed their trademark resilience and put up a fierce fight against their opponents.

The starting pitcher showcased impressive control on the mound, consistently delivering pitches with accuracy. The fielders, known for their exceptional defensive skills, made some incredible plays to save runs and maintain a tight contest.

On the offensive side, the Yankees’ hitters exhibited their power and finesse at the plate. They connected with the ball, sending it soaring through the air, and managed to score crucial runs that kept the game competitive until the very end.

The atmosphere in the stadium must have been electric, with passionate fans cheering on their beloved team. Even though I couldn’t be there to witness the excitement firsthand, I can only imagine the cheers and roars of the crowd as the Yankees made their memorable plays.

Although the final result of the game remains a mystery to me, I’m confident that the Yankees’ performance was nothing short of impressive. They continue to be a force to be reckoned with in the baseball world, showcasing their talent and determination with each game they play.

I eagerly await the opportunity to catch a replay or hear more about the highlights from the game. In the meantime, I’ll be cheering on the Yankees from afar, excited to see what they’ll bring in their future matchups. Go Yankees!

8. Expressions en anglais pour passer pour une personne native du Texas

Si vous souhaitez passer pour un Texan, vous pouvez utiliser les expressions et le vocabulaire typiques de la région. Voici quelques exemples :

  1. “Howdy” – Une façon informelle de dire “Hello” ou “Hi”.
  2. “Y’all” – Utilisé à la place de “you all” pour désigner un groupe de personnes.
  3. “Fixin’ to” – Signifie “en train de” ou “sur le point de”. Par exemple, “I’m fixin’ to head on out” signifie “Je m’apprête à partir”.
  4. “Bless your heart” – Une expression utilisée pour exprimer de la sympathie ou de la compassion.
  5. “Git” – Une façon de dire “get”. Par exemple, “I need to git going” signifie “Je dois partir”.
  6. “Mighty” – Utilisé pour renforcer un adjectif. Par exemple, “mighty fine” signifie “très bien”.
  7. “All hat, no cattle” – Une expression utilisée pour décrire quelqu’un qui parle beaucoup sans agir.
  8. “Lone Star State” – Le surnom du Texas, en référence à son drapeau avec une étoile solitaire.
  9. “Texas-sized” – Utilisé pour décrire quelque chose de très grand ou d’énorme.

N’oubliez pas que l’utilisation de ces expressions doit être appropriée à la situation et au contexte. Essayez de les utiliser de manière naturelle et sans exagération pour éviter de paraître faux. L’accent et la prononciation peuvent également contribuer à donner l’impression d’être un Texan.

7. Expressions en anglais pour passer pour une personne native de Californie

6. Expressions optimistes utilisées aux États-Unis

Les Américains sont souvent connus pour leur optimisme et leur attitude positive. Voici quelques expressions couramment utilisées pour exprimer un état d’esprit optimiste :

  1. “Every cloud has a silver lining.” – Cette expression signifie qu’il y a toujours un aspect positif, même dans les situations difficiles.
  2. “When life gives you lemons, make lemonade.” – Elle suggère de tirer le meilleur parti des situations difficiles ou des obstacles.
  3. “The sky’s the limit.” – Elle implique qu’il n’y a pas de limites aux possibilités ou aux réalisations.
  4. “Stay positive and keep your chin up.” – Elle encourage à maintenir une attitude positive et à rester optimiste.
  5. “Believe in yourself.” – Cette expression incite à avoir confiance en ses propres capacités et à croire en ses chances de réussite.
  6. “Good things come to those who wait.” – Elle souligne l’idée que la patience peut être récompensée par de bonnes choses.
  7. “Don’t worry, be happy.” – Elle rappelle de ne pas se laisser submerger par les soucis et de chercher le bonheur.
  8. “Keep your eyes on the prize.” – Cette expression encourage à se concentrer sur l’objectif final et à persévérer.
  9. “Every day is a new beginning.” – Elle souligne l’idée que chaque jour offre une opportunité de commencer à nouveau.
  10. “You’ve got this!” – Cette phrase encourage à croire en ses propres capacités et à avoir confiance en sa capacité à réussir.

Ces expressions reflètent l’état d’esprit positif et l’optimisme qui sont souvent valorisés dans la culture américaine. Elles sont utilisées pour encourager les autres et maintenir une attitude constructive face aux défis et aux opportunités de la vie.

5. Terminer un e-mail pro 

  1. “Sincerely” – Cette formule de politesse est formelle et convient à la plupart des situations professionnelles.
  2. “Best regards” – Une salutation polie et courante qui exprime des souhaits chaleureux.
  3. “Thank you” – Si vous souhaitez exprimer votre gratitude à la personne avec laquelle vous correspondez.
  4. “Kind regards” – Une formule plus informelle qui reste respectueuse et conviviale.
  5. “Yours faithfully” – Une salutation formelle utilisée lorsque vous ne connaissez pas le nom de la personne à qui vous écrivez.
  6. “Warm regards” – Une formule plus chaleureuse et amicale pour conclure l’email.
  7. “Looking forward to hearing from you” – Cette expression indique que vous attendez une réponse ou un suivi de la part de la personne.
  8. “Best wishes” – Une formule de politesse généralement utilisée dans un contexte professionnel plus informel.

N’oubliez pas d’inclure votre nom et vos coordonnées professionnelles (comme votre titre et vos coordonnées téléphoniques ou votre signature électronique) après la salutation finale.

4. Refuser une invitation de manière diplomatique

  1. “Thank you so much for inviting me. Unfortunately, I won’t be able to attend due to a prior commitment.” (Merci beaucoup de m’avoir invité(e). Malheureusement, je ne pourrai pas y assister en raison d’un engagement antérieur.)
  2. “I truly appreciate the invitation, but I already have another engagement on that day.” (J’apprécie sincèrement l’invitation, mais j’ai déjà un autre engagement ce jour-là.)
  3. “I’m honored that you thought of me, but I regretfully won’t be able to join you.” (Je suis honoré(e) que vous ayez pensé à moi, mais je regrette de ne pas pouvoir me joindre à vous.)
  4. “I’m sorry, but I have a scheduling conflict that prevents me from attending.” (Je suis désolé(e), mais j’ai un conflit d’emploi du temps qui m’empêche d’y assister.)
  5. “I appreciate the kind invitation, but I won’t be able to make it due to a prior commitment.” (J’apprécie cette aimable invitation, mais je ne pourrai pas y être présent(e) en raison d’un engagement antérieur.)
  6. “Thank you for including me, but unfortunately, I won’t be able to participate.” (Merci de m’avoir inclus(e), mais malheureusement, je ne pourrai pas participer.)
  7. “I’m grateful for the invitation, but I won’t be able to attend this time.” (Je suis reconnaissant(e) pour l’invitation, mais je ne pourrai pas y assister cette fois-ci.)

3. Quelques blagues pourries pour faire rire un Américain

  1. Why don’t scientists trust atoms? Because they make up everything!
  2. What did the grape say when it got stepped on? Nothing, it just let out a little wine.
  3. Why don’t skeletons fight each other? They don’t have the guts!
  4. Why did the scarecrow win an award? Because he was outstanding in his field!
  5. What do you call fake spaghetti? An impasta!
  6. Why don’t scientists trust stairs? Because they’re always up to something.
  7. How does a penguin build its house? Igloos it together!
  8. Why couldn’t the bicycle stand up by itself? It was two-tired!
  9. What do you call a snowman with a six-pack? An abdominal snowman!
  10. Why don’t oysters donate to charity? Because they are shellfish!

N’oubliez pas que l’humour est souvent subjectif, donc l’effet peut varier d’une personne à l’autre. Choisissez-en une qui vous semble adaptée à votre auditoire et à votre contexte. Bonne chance pour faire rire votre ami américain !

2. Briser la glace en anglais

Voici quelques phrases pour briser la glace et entamer une conversation en anglais :

  1. “Hi, my name is [Your Name]. What’s yours?” (Salut, je m’appelle [Votre nom]. Et toi ?)
  2. “So, how do you know [Host/Event]?” (Alors, comment connais-tu [Hôte/Événement] ?)
  3. “This is quite a nice venue, isn’t it?” (C’est un bel endroit, n’est-ce pas ?)
  4. “Have you been to an event like this before?” (As-tu déjà assisté à un événement comme celui-ci auparavant ?)
  5. “I couldn’t help but notice your [interesting accessory/clothing]. It looks great!” (Je n’ai pas pu m’empêcher de remarquer [ton accessoire/vêtement intéressant]. Ça te va très bien !)
  6. “Do you have any exciting plans for the weekend?” (As-tu des projets excitants pour le week-end ?)
  7. “What brought you to this [place/event]?” (Qu’est-ce qui t’a amené à cet/ce [lieu/événement] ?)
  8. “I heard they have amazing [food/drink] here. Have you tried it?” (J’ai entendu dire qu’ils ont des [plats/boissons] incroyables ici. Les as-tu déjà goûtés ?)
  9. “Do you have any favorite hobbies or interests?” (As-tu des passe-temps ou des centres d’intérêt préférés ?)
  10. “I’m not very familiar with this area/city. Any recommendations for things to see or do?” (Je ne connais pas très bien cette région/ville. Des recommandations sur des endroits à voir ou des choses à faire ?)

1. Dire au revoir de manière peu élégante aux États-Unis

  1. “Later, dude!” (Plus tard, mec !)
  2. “Catch you on the flip side!” (On se retrouve de l’autre côté !)
  3. “Gotta bounce!” (Faut que je me tire !)
  4. “Peace out!” (La paix !)
  5. “See ya!” (À plus !)
  6. “Take off!” (Décolle !)
  7. “Time to hit the road!” (Il est temps de prendre la route !)
  8. “I’m outta here!” (Je me barre d’ici !)
  9. “Adios, amigos!” (Adieu, les amis !)
  10. “Make like a tree and leave!” (Fais comme un arbre et casse-toi !)

Ces expressions sont informelles et peuvent être utilisées dans des contextes décontractés ou entre amis proches. Cependant, il est important de savoir adapter votre langage en fonction de la situation et des personnes présentes pour éviter d’être irrespectueux ou impoli.