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L'exotisme selon Kako

Née à Tokyo, Kako a grandi dans différents pays, dont la France, l’Argentine et le Brésil. Ce sont ses voyages et sa rencontre avec d’autres cultures qui ont été sa source d’inspiration.
« C’est simple, je peins ce que j’aime. J’ai eu le privilège de voyager assez longuement dans mon enfance. Je continue d’être influencée par différentes cultures et de leurs artefacts. »
Son amour pour les animaux et les milieux sauvages sont une des caractéristiques de ses peintures, qu’elle nous livre avec sensibilité.
Quand ? Vernissage le samedi Février 12, à 18h00
Où ? À l’Alliance Française de Los Angeles – 10390 Santa Monica Blvd, Suite 120 – Los Angeles, CA 90025
Entrée gratuite.
 

Les canelés de Céline emportent le prix du Club 600

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Il a suffi d’une phrase de Jean-Georges Vongerichten pour que Céline se lance. Elle était alors avocate, venue à New York où son mari travaille chez Moët-Hennessy et par hasard le célèbre chef français goûte les petits canelés de Céline. “Ils sont délicieux. Vous les vendez où” demande-t-il? Il n’en faut pas plus pour faire de Céline une entrepreneuse.
Il y a déjà plus d’un an, French Morning vous racontait l’aventure de Céline. Depuis elle s’est séparée de son associée du départ, mais continue plus que jamais: matins dans la cuisine qu’elle loue dans le Bronx et après-midi à démarcher hôtels et restaurants. Le plan qu’elle a présenté au Club 600 va lui permettre de changer de dimension. Elle souhaite trouver des investisseurs afin d’ouvrir une boutique dès 2011. “L’objectif est d’atteindre rapidement le volume nécessaire”. Le magasin dont elle rêve “sera très simple: un four visible derrière le comptoir, et l’odeur des canelés. C’est ça qui fait vendre!”

Le comité du Prix Club 600: (de gauche à droite) Olivier Foglizzo, Yves Coleon, Emmanuel Cargill (Award Committee Chair), Bernard Parisot, Aude Perrotin (Award Project Manager), Pierre Martin, Anne Busquet, Jean-Paul Imbert

Le prix remporté par Céline consiste en un chèque de 10 000$, qui lui permettra de développer sa société, ainsi que d’un “package” de conseils et suivi par les professionnels du Club 600. Créé il y a trois ans, le prix a récompensé l’an dernier Hypsios, une place de marché internet pour professionnels et en 2008 Fruition Sciences, une start-up offrant des technologies avancées pour le suivi de la santé du vignoble. Les jurés ont donc cette fois fait un choix nettement moins “high-tech” et plus traditionnel.
L’autre projet finaliste portait lui aussi l’empreinte de la tradition française. Voltaire Design, fondé par Brice Goguet se lance dans la fabrication de selles d’équitation haut de gamme. Une niche qu’il connait bien: ancien cavalier, il a aussi travaillé aux Etats-Unis pour un des leaders du marché . Depuis août dernier, ses selles sur-mesure (vendues à partir de 4200$) sont fabriquées dans un atelier à Espelette, au Pays-Basque et vendues pour l’instant exclusivement aux Etats-Unis. En quatre mois, le jeune homme qui veut devenir “le leader mondial du secteur” revendique déjà 250.000$ de chiffre d’affaires.
Les canelés de Céline
Voltaire Design

Exposition "Watercolors"

Daniele Ballerini a vécu et travaillé pendant longtemps  en Europe, Amérique du Sud et Etats-Unis. Un diplôme d’architecture en poche, l’artiste réalise aussi de nombreux dessins, peintures et illustrations.
L’Alliance Française propose jeudi une exposition de quelques une de ses aquarelles. Parmi ses thèmes de prédilection : les plages, les paysages urbains et les bâtiments.
Quand : Jeudi 10 février de 19h à 21h
Où : Alliance Française South Florida – 618 SW 8th Street – Miami, FL 33130
Plus d’infos sur le site de l’Alliance Française.

Un duo sensuel venu de France

Lacompagnie 7273 sera à Miami pour un soir. Une compagnie qui prend en fait la forme d’un duo. Lui chorégraphe et elle danseuse se produisent ensemble dans un spectacle intitulé ” Listen and watch – Romance” en deux parties.
En première partie “Listen and watch”, Nicolas Cantillon se produira avec le guitariste américain Sir Richard Bishop. Puis dans la seconde partie “Romance” laissera place au duo sensuel de Nicolas Cantillon et Laurence Yadi.
Après une carrière de guitariste, Nicolas Cantillon suit une formation de danseur au conservatoire de Marius Petipa. Suite à des études d’éducation sportive, Laurence Yadi décroche une bourse pour le Alvin Aley center de New York.
Tous deux partagent leurs vies entre la France et la Suisse où ils créent tous leurs spectacles.
Quand : Jeudi 17 février 2011 à 19h30
Où : Theatre of the Coconut Grove School elementary – 3351 Matilda Street, Miami
Billets en vente à l’avance à la Coconut Grove School et à l’Alliance Française.
Membres et étudiants $12. Enfants de de 5 à 12 ans $8. Adultes : $15.
Une partie de la recette sera reversée à Parents Teacher Association.
Plus d’infos sur le site de l’Alliance Française.

Huit artistes exposent à l'Alliance Française

Ils sont 8 artistes de différents univers créatifs à participer à une exposition à l’Alliance Française intitulée “8 on eight”. Un nom qui fait écho à la calle 8 réputée pour son importante communité cubaine.
Pierre Traversat, Gerardo Gonzalez-Quevedo, Clara Varas, Edilberto Pelegrino, Silvia Vallecilla, Jean-Noel Frydman, Yaniel Montero et Aida Tejada proposent à travers leurs  photographies, peintures, vidéos et sculptures leur vision de la calle 8.
Quand : du 11 au 28 février
Où : Galerie Carré Rouge at Alliance Française
Entrée libre
Plus d’infos sur le site de l’Allliance Française.

Martine et la chocolaterie

Bienvenue dans le monde chocolaté de Martine. Avec sa devanture rose, sa boutique située sur la 82st et 1ère avenue, tient autant de Charlie et la Chocolaterie que d’Alice au pays des Merveilles. De grandes machines brassent le chocolat sous vos yeux. Deux chefs chocolatiers sont à la tâche : truffes au rhum, mousse au chocolat, crème fouettée ganache…
Martine connait la “sweet tooth” des grands : Paul Newman était un habitué, le chef d’orchestre Lorin Maazel aussi. Et quand Nicolas Sarkozy est venu pour l’Assemblée Générale des Nations Unies en septembre, on lui a offert la fine fleur de l’artisanat local : les chocolats de Martine.
On trouve dans sa boutique des figurines en chocolat enchanteresses. Car Martine ne manque pas d’imagination. Pour marquer le nouvel an chinois, elle a dessiné des chocolats en forme de lapin.  L’été dernier, en pleine canicule, elle a crée des chocolat en forme de pingouins. Elle a aussi été choisie par l’Empire State Building pour faire les figurines officielles à l’éfigie du gratte-ciel.
Rançon du succès oblige, il n’est pas rare qu’elle voit débarquer dans sa boutique “des hommes en costume et malette” visiblement en quête d’inspiration. Elle ne dira mot donc de ses futures créations.

Cette  ancienne journaliste pour l’hebdomadaire Le Point débarque à New York en 1992. Les Etats-Unis étaient alors un désert chocolaté : une offre à pleurer et des goûts américains limités au chocolat au lait. Elle décide de réaliser son rêve :  ouvrir sa boutique de chocolat. Elle ouvre dans l’Upper East Side et à Bloomingdale’s. Quatre ans plus tard, elle commence à vendre en ligne.
Le monde des chocolatiers est marqué par ses saisons (la saison haute qui s’étend d’Halloween, Thanksgiving jusqu’à Noel) puis la Saint Valentin, puis Pâcques puis rien… “Avec le réchauffement climatique,  je considère qu’il y a deux en mois en moins pour la saison du chocolat.”, déplore-t-elle. Heureusement, elle a plus d’un tour dans son sac et les fameux pingouins de la canicule sont devenus des bestsellers.
Si les tendances de consommation se rapprochent, des différences culturelles subsistent : les Américains sont friands des chocolats crème fouéttée, capucinno, pâte d’amande… Quant aux Français? “Ils Français adorent les prâlinés”. C’est ceux-là qu’elle a choisi pour Nicolas Sarkozy. 

400 East 82nd Street; Tel: 1 212 744 6289
http://martineschocolates.com/

"Les joueurs de cartes" de Paul Cézanne au Met

La Provence s’invite au Metropolitan Museum. Pour la première fois plusieurs toiles des Joueurs de cartes de Paul Cézanne et ses dessins préparatoires sont réunies pour l’exposition « Cezanne’s card players » par le Met, qui, en 1913, fut le premier musée américain à acquérir des toiles de Cézanne.
«C’est l’une de ses compositions les plus ambitieuses», raconte Gary Tinterow directeur du département XIXème siècle au Met. Cézanne était peu habitué à composer ses toiles de plusieurs personnages. Il lui a fallu quatre ans de travail pour achever cette œuvre dont il existe deux compositions différentes pour cinq toiles de tailles variables. Trois sont exposées jusqu’en mai prochain au Met.
Paul Cézanne (1839-1906) est à l’aube de sa vie quand il réalise Les Joueurs de cartes entre 1892 et 1896.
L’artiste connu pour ses paysages provençaux, se réapproprie ici le thème des joueurs de cartes assis autour d’une table dans une taverne très populaire depuis le XVIIème siècle. Des peintres comme Le Caravage ou les frères Le Nain l’ont d’ailleurs inspiré. Certaines gravures sont présentées en début d’exposition.
Les personnages que Cézanne peint sont plus stoïques, solennels et extrêmement concentrés sur leur jeu. A travers ses toiles, Cézanne célèbre aussi la Provence, région française à laquelle il était très attaché et où il vécut une partie de sa vie.
Afin d’élaborer au mieux son tableau, l’artiste a eu recours à de nombreux dessins préparatoires au crayon, aquarelle et huile.
Les mêmes personnages se retrouvent sur ses toiles. Le jardinier de Cézanne, Paulin Paulet et le Père Alexandre, l’homme à la pipe. Ces deux modèles étaient connus du peintre et posaient pour lui dans sa propriété de Jas de Bouffon, la maison de famille du peintre à Aix-en-Provence. Habituellement, Cézanne peignait individuellement chaque personnage dans ses études préparatoires avant de les reproduire sur sa toile finale.
Exposition « Cézanne’s cards players » jusqu’au 8 mai 2011 au Metropolitan Museum.
Plus d’information sur le site du Metropolitan Museum.

Ginkgoa en concert(s)

A la recherche de Joséphine, le spectacle de Jérome Savary consacré à Joséphine Baker avait révélé son talent.
Cette fois, c’est accompagnée d’Antoine Chatenet, d’Anne-Colombe Martin et de Grégory D’Addario, les autres membres de Ginkgoa, que Nicolle Rochelle se produira sur scène. Deux dates de concerts, une à Manhattan et une à Brooklyn, où vous pourrez découvrir sa voix suave et envoutante.
Frais et inventif, Ginkgoa réinvente la chanson française avec une touche jazzy et bossa-nova des plus poétique.
Samedi 12 février à 21h
Ella Lounge, 9 Av. A, East Village, Manhattan
 
Dimanche 20 février à 20h30
Zebulon, 258 Wythe Av., Brooklyn

Records au Lycée Français

Ce gala marquait aussi une dernière pour Yves Thézé.  le proviseur du Lycée de New York. Après dix ans, il part diriger une école internationale de 2800 élèves à Genève.“Partir sans laisser d’héritage, c’est partir comme un voleur. C’est l’héritage du fondateur Charles de Ferry de Fontnouvelle, celui d’Elsa Berry (la présidente du board de 2000 à 2010) et de mon équipe depuis dix ans”, explique-t-il à French Morning.  Son successeur, le directeur de la section américaine de Saint Germain-en-Laye arrivera en avril pour la transition et prendra ses fonctions à la rentrée prochaine.
Les photos du gala (crédits photos, Tony Behar, SIPA)
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La choucroute "french-style" à la conquête des Etats-Unis

“Exportators” : c’est la nouvelle rubrique de French Morning Business. Des histoires de PME françaises qui se lancent à l’assaut du marché américain pour y vendre le savoir-faire tricolore. Vous y trouverez des histoires à boire, à manger, à porter et plein d’autres choses encore. Vous y trouverez surtout des hstoires de passionnés à la poursuite de leur rêve américain. On commence avec la choucroute d’André Laurent.
 
Dans le chaos du Fairway de l’Upper West Side à Manhattan, Jérôme Bouston (en photo ci-contre) est à l’aise. Il évite avec agilité les caddies de clients pressés et les palettes de produits qui se dressent entre lui et l’allée 6 du magasin. C’est là, entre des cheesecakes et des pizzas, que se trouve le produit que le Français à la tâche de représenter : les choucroutes André Laurent.
« L’emplacement est bon», souligne le « Brand Ambassador », qui travaille pour Altios, une compagnie qui soutient le développement d’entreprises sur des marchés lointains.
L’espace peut sembler exigu (le produit est également au rayon « condiments ») mais pour André Laurent, une PME familiale basée en Champagne, c’est un pas de géant. Depuis fin 2009, la choucrouterie française est partie à la conquête de l’Amérique. Après les Fairway de New York où elles sont présentes depuis janvier 2010, ses différentes variétés de choucroutes cuites, acidulées, en sachet et en conserve seront prochainement dans les rayons de Kings, la chaine de supermarchés du New Jersey. Et la marque, la seule française du secteur aux Etats-Unis, prévoit de s’implanter bientôt dans le Midwest. Avec « 150 000 tonnes  de choucroute consommée tous les ans », le marché américain est un véritable eldorado, précise François Laurent, qui co-dirige avec ses deux sœurs et son beau-frère l’entreprise fondée en 1945 par leur grand-père. « Il y a un potentiel énorme, souligne-t-il par téléphone. On apporte la touche française à la choucroute. »
Avant d’arriver dans les rayons américains, la choucroute « french style » a parcouru un long chemin. L’histoire commence au Texas en 2000, lorsque François Laurent, alors instructeur-hélicoptères, commence sa love affair avec les Etats-Unis. Lorsque son père prend sa retraite, il décide de quitter le monde de l’hélicoptère tout en gardant l’horizon en ligne de mire. « J’ai toujours su que je voulais exporter nos choucroutes aux Etats-Unis » se rappelle-t-il.
Mais l’éloignement et la réglementation de la FDA (l’agence fédérale sanitaire américaine) semblaient faire de l’Amérique un marché difficile à conquérir. Il met donc le projet de côté jusqu’au jour où un responsable à la chambre de commerce et d’industrie de l’Aube le met en relation avec Steve Jenkins, l’acheteur de Fairway Market, qui montre son intérêt pour la commercialisation du produit. Les Laurent sautent sur l’occasion. Le contrat avec l’enseigne est signé en novembre 2009. Les produits arrivent en magasin en janvier 2010. En juin 2010, la choucrouterie participe même au Fancy Food Show de New York, vitrine réputée des dernières tendances culinaires.
«Les migrants polonais, allemands et français arrivés il y a 150 ans dans le centre et la côte Est ont placé la choucroute au cœur des traditions familiales aux Etats-Unis, avance-t-il pour expliquer le goût des Américains pour la choucroute. C’est un pays qui est habitué à consommer de la choucroute.»
Pour Jérôme Bouston, le regain d’intérêt autour du « manger-sain » devrait déjouer les effets négatifs de la crise économique et permettre aux choucroutes André Laurent, « produit naturel » « riche en fibre », de grappiller des parts de marché dans un secteur dominé par les marques américaines.
Malheureusement, ceux qui rêvaient de voir la choucroute française s’inviter dans le mythique hot-dog new-yorkais devront revenir sur terre. Le fabriquant précise que son produit haut de gamme n’a pas vocation à garnir la saucisse de Francfort tant prisée par les habitants de la Grosse pomme et les touristes. Elle sert plutôt d’accompagnement à un canard, poulet ou même à des fruits de mer. Raffinement on vous dit.

Les amitiés de MAM

Le Wall Street Journal se focalise sur la préoccupation des dirigeants européens à propos de la crise égyptienne. Ces derniers ont fait une mise au point en raison des attaques visant les journalistes. « Ils sont extrêmement occupés par la situation égyptienne ». Dans un déclaration commune, Nicolas Sarkozy, Angela Merkel, David Cameron, Silvio Berlusconi et José Luis Zapatero exhortent le gouvernement égyptien à entamer immédiatement une transition politique vers une représentation plus large de son peuple, de protéger les manifestants et les journalistes.

LA Times s’intéresse plus particulièrement à l’initiative du gouvernement français quant à l’arrêt de la vente d’armes en Egypte. Une décision prise par le premier ministre François Fillon le 27 janvier dernier, que CNN semble désapprouver. Mais comme le rappelle l’article, la France « n’a pas fait venir de soldats entre 2005 et 2008 selon un rapport du congrès américain »… Ce sont en fait les Etats-Unis qui « sont les principaux fournisseurs d’armes de l’Egypte et offrent 48 milliards de dollars dans l’armement en ce moment. » !

La France n’est pas vue d’un bon œil dans Voice of America. Les relations franco-tunisiennes sont vivement critiquées et les réactions de la France jugées «vides, maladroites et trop timides ».
Et l’affaire Michèle Alliot-Marie n’arrange rien. Le New York Times insiste: «Michèle Aliot Marie est une fois de plus un problème pour la Tunisie». Si Michèle Aliot Marie refuse sa démission et dément tout rapport entre son ami Aziz Miled et Ben Ali, le New York Times ne semble pas être convaincu de sa bonne foi. Même ton pour le LA Times qui évoque la bavure de Michèle Aliot Marie comme un « double faux pas ». Le quotidien liste d’ailleurs les principales critiques adressées par les politiques français, divisés dans cette affaire.

Le New York Times s’intéresse cette fois-ci au ministre de l’économie Christine Lagarde qui a annoncé que le Fonds européen de stabilité financière (FESF) est d’une taille suffisante pour qu’il soit entièrement mobilisable en cas de crise. Une collaboration franco-germanique qui semble enthousiasmer le journaliste « Si plusieurs pays de l’Union ne sont pas d’accord avec cette analyse, elle représente un tournant important qui pourrait conduire L’UE a accepter plusieurs de leurs politiques économiques dans la perspective d’un bloc unifié. »

Comme beaucoup, les journalistes américains attendaient que la négociation entre Sanofi et Genzyme prenne fin. Wall Street «Après des mois de négociations, Sanofi et Genzyme sont sur le point de conclure un accord de fusion qui valoriserait à environ 20 milliards de dollars le spécialiste américain des maladies rares. » Cependant le New York Times, s’interroge sur la crédibilité des deux groupes « il est intéressant de se demander si la longue attente en valait la peine… ».

La prochaine gauche de Wieviorka à Columbia

Sociologue, professeur à l’École des Hautes Etudes en Sciences Sociales, directeur de la Maison des Sciences de l’Homme, ancien président de l’International Sociological Association et compagnon de route du Parti Socialiste Français, Michel Wieviorka vient se sortir un nouvel essai qu’il présentera mercredi prochain à New York.

En s’appuyant sur cet ouvrage, intitulé Pour la prochaine gauche (Robert Laffont, Février 2011), il tentera de prouver comment la gauche française peut et devrait utiliser les sciences sociales pour échafauder une nouvelle politique, plus proche des réalités sociales de la France d’aujourd’hui.

Multiculturalisme, discrimination positive, identité nationale, statistiques ethniques, immigration :
autant d’enjeux sociaux contemporains qui grâce à une analyse sociologique, politique et historique pourraient être incorporés à un projet politique cohérent réaffirmant les valeurs de la gauche.

Mercredi 16 Février de 18h à 20h

East Gallery, Buell Hall – West 116th Street (et Broadway)