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"Line up", Philippe Petit sur le fil

Il est l’auteur du “crime artistique du siècle”. En 1974, Philippe Petit traverse illégalement sur un simple cable l’espace entre les sommets des deux tours du World Trade Center. Il retrace cet exploit dans un de ses cinq livres, “To Reach the Clouds “, adapté l’année dernière au cinéma par James Marsh. Le documentaire, intitulé “Le Funambule” (“Man on a wire”) a d’ailleurs été oscarisé.
Jongleur, joueur d’échec, oenologue amateur, apprenti toréro, mais surtout équilibriste Philippe Petit a été distingué Chevalier des Arts & des Lettres et récompensé par plusieurs prix prestigieux : l’Action Maverick Award, le New-York Historical Society Award et le James Parks Morton Interfaith Award.

Fondée par une française, la Clic Gallery propose en ce mooment une petite rétrospective unique de cet artiste discret. Elle regroupe une vingtaine de clichés en noir et blanc de la photographe Victoria Dearing prises cet été à Brooklyn ainsi que des dessins de ses noeuds et autres cordages par Philippe Petit lui-même.

“LINE UP: RIGGING KNOTS + GLIMPSES OF A MASTER CLASS”
Clic Gallery
255 Centre Street
New York, NY 10013
Ouverte du mardi au dimanche de 11h à 19h

Lady Carine et Miss Gaga

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Sarkozy « l’iconoclaste ». Les diplomates de Washington se sont toujours montrés élogieux et enthousiastes à l’égard de celui qui porte le sobriquet de « Sarkozy l’Américain », saluant son « libéralisme », son « atlantisme » et son « communautarisme », apprenait-on dans les révélations WikiLeaks dans un article du Monde le mois dernier.
Changement de ton outre-Atlantique, lorsqu’il s’agit du prochain voyage de Sarkozy sur le sol américain, à Washington en janvier prochain. Pour le New York Times, la conversation de Sarkozy avec Obama sur la réorganisation du système monétaire mondial sera « un test pour le dollar ». Le journaliste a la dent dure contre Sarkozy. Il rappelle que ces deux dernières années, le président français affirmait que le rôle du dollar dans le marché monétaire mondial n’impliquait pas que l’on doive s’agenouiller devant le billet vert. Maintenant qu’il est président du G20, il « abandonne se tactiques de tyran sur la fluidité du dollar », remarque le New York Times.
« Des familles françaises adoptent 318 enfants haïtiens », titre le Washington Post. Les autorités ont apprêté deux avions pour que les familles françaises puissent récupérer les enfants, « juste à temps pour les vacances ».
Le milieu de la mode en est encore tout retourné. « Il est temps de faire autre chose », déclarait Carine Roitfeld au New York Times depuis Paris. La rédactrice en chef du Vogue Paris démissionne fin février, après dix ans de bons et loyaux services. « Un souhait exprimé depuis un an », affirme Jonathan Newhouse, le directeur de Condé Nast International, dans le New York Times. Pour le Huffington Post ou le New York Mag, son départ serait l’occasion de travailler avec Tom Ford, son ami et collaborateur de longue date.
Lady Gaga et ses fans ont eu chaud. La diva avait déjà annulé son concert à Paris en octobre dernier, à cause des grèves sur la réforme des retraites. Cette fois, c’est la neige qui était en cause. « Les deux concerts initialement prévus dimanche et lundi derniers ont été reportés à lundi et mardi soir », annonce le Washington Post. D’abord « furieuse et dévastée », place au soulagement et aux excuses à ses fans (NY Daily News) pour la chanteuse qui s’était affichée avec une robe faite de morceaux de viande, lors de la cérémonie des MTV Video Music Awards. Un soulagement d’autant plus grand que, rapporte le Washington Post, aucune charge ne sera retenue contre les deux membres de son équipe qui se sont fait arrêter en essayant de passer la frontière à Paris, pour que le concert ait lieu.

Les French restaurateurs qui font bouger New York

Ambiance St Tropez à Bagetelle, un bistrot français dans le Meatpacking District. Quand ils ont ouvert en 2007, Aymeric Clemente et Remi Laba pensaient ouvrir un « petit bistrot tranquille ». A Bagatelle qui ne désemplit pas, il n’est pas rare que des clients finissent la soirée en dansant sur les tables.« On pensait quand on a ouvert qu’on avait une carte à jouer mais on n’aurait jamais parié sur un tel succès, »explique Remi Laba.
Les nouveaux restaurateurs ne sont pas chefs étoilés comme Jean-Georges ou Daniel Boulud mais ils ont le sens des affaires.  Ils s’inscrivent dans la lignée de grands restaurateurs new-yorkais : Jean Denoyer (Orsay, La Goulue) François Marchand (Amaranth), Philippe (212), Frédérick Lesort (Matisse, Plein Sud, Opia) … Ils sont les petits frères, littéralement : Laurent Lesort, le petit frère de Frédérick, a cofondé Hello Pasta, une chaîne de pâtes à emporter. Ils sont aussi une bande de copains qui s’associent dans les affaires : « C’est un petit monde la restauration. Tout le monde travaille avec tout le monde», explique Maxime Paul-Mercier, 25 ans, coproprietaire de Tartinery et de Villa Pacri, un nouveau restaurant sur cinq étages. Des partenariats à géométrie variable où ils sont tour à tour et associés ou concurrents. Mais ne leur parlez pas de concurrence : “Il-y-a-de-la-place-pour-tout-le-monde”, insistent-ils. Rencontrez les nouveaux« movers and shakers » de New York.
En deux semaines, Aymeric Clemente, Remi Laba ont ouvert deux nouveaux établissements qui pourraient bien devenir des institutions new-yorkaises : La Petite Maison, une réplique de la célèbre maison niçoise et La Villa Pacri dans le Meatpacking district. Ils sont aussi les propriétaires de Bagatelle. Diplômé de Sup de Co Marseille, Aymeric Clemente a travaillé dans les restaurants de plages à St Tropez, Nice, à faire tout, ramasser les matelas… « Comparé à ça, travailler dans un restaurant à New York, c’est les vacances. » A New York depuis 15 ans, il a fait notamment l’ouverture de Mix d’Alain Ducasse (qui a fermé) et dans les bistrots français de l’Upper East. Au Charlot, il fait la rencontre de Remi Laba, alors directeur marketing pour le groupe de beauté Phyto. Ils deviennent amis et commencent à organiser des soirées ensemble. Grand succès. De là, ils créent leur agence de marketing promotionnel. Vient ensuite Bagatelle qui réalise désormais 250 couverts par soir le week-end et un chiffre d’affaires de 8 millions de dollars par an. La recette? Un restaurant de fête, sans pour autant transiger sur la cuisine. « Ce qui a été le plus formateur? C’est d’avoir grandi dans le Sud de la France. »
Restaurants : Bagatelle, (RDV, Kiss and Fly), Villa Pacri (Gazzetta, Tzigan), La Petite Maison
L’idée : ambiance St Tropez à New York
Gregory Baratte, Laurent Lesort,  Nicolas Barthelemy
Grégory Baratte, un ancien banquier  d’investissement était directeur marketing senior pour Louis Vuitton pendant 10 years avant d’ouvrir Hello Pasta.  De Louis Vuitton à  un chaîne de pâtes à emporter, le grand écart? Pas tout à fait “J’ai appris la passion pour la qualité à LV que j’apporte à Hello Pasta”, déclare-t-il. Oubliez le fast food, place au “fast casual”, un cran au dessus. Chez Hello Pasta, les « cups », le décor et l’image de marque sont glamour :  design des restaurants, avec mobilier en métal, lattes de bois clair et tons vert pomme. Sur le site Internet, vous trouverez des citations de Fellini et de Sofia Loren, ainsi que des informations nutritionnelles détaillées. LIRE ICI.
Restaurants : 2 restaurants Hello Pasta Midtown
L’idée : Un Starbucks des pâtes

Maxime Paul-Mercier, Stéphane Jauslin et Nicolas Dutko

Ils sont amis depuis l’école hôtelière de Lausanne. Fraîchement diplômés en 2006, ils se sont lancés le pari d’ouvrir leur propre restaurant à New-York, « c’était comme une évidence, beaucoup de Français attendait le retour de la cuisine facile, authentique, simple, bonne, rapide et surtout saine« . Pour réussir ce projet,  ils ont su s’entourer. Le restaurateur français Patrick Derderian (Oh Poivrier, Zebra Square à Paris et Monaco et Moscou) est un de leurs partenaires, et joue le rôle de mentor. Le chef Jean-Louis Dumonet, Président de l’association des chefs français à New-York, est consultant. Et, plus inattendu, la participation d’Alicia Rountree, mannequin chez Elite, qui a apporté une aide aussi bien financière que psychologique ». En quelques mois ils ont convertit les New-yorkais aux tartines au pain Poilâne : tartines: jambon-purée, saumon fumé, canard, le vrai foie gras du sud ouest, le bon fromage français avec le saint-marcelin … les sucrées avec par exemple la tartine nutella banane comme à la sortie de l’école. Ils réalisent un chiffre d’affaires de 150 000 $ par mois. Les 3 créateurs n’entendent pas simplement ouvrir un restaurant mais veulent le dupliquer.  Le Pain Quotidien est prévenu…
Restaurants : Tartinery, Villa Pacri (Maxime)
L’idée : des tartines sur du pain poilâne.
Laurent Halasz
Laurent Halasz, le patron de Figs and Olive de 41 ans a délaissé Wall Street pour la restauration.  Venu il y a une dizaine d’année à New York pour travailler dans la finance, il a passé parallèlement un MBA de business à NYU puis a participé au développement du Pain Quotidien aux Etats-Unisen tant que directeur des opérations. L’expérience l’aide à peaufiner son concept :  de la cuisine méditerranéenne. Pas française !
Restaurant : Figs and Olive, 3 restaurants à Manhattan
L’idée : une cuisine méditerranéenne, pas française
Benjamin Demarchelier
Benjamin Demarchelier  n’avait pas prévu de suivre le chemin de son père : Eric Demarchelier a le restaurant éponyme de l’Upper East. Après des études à l’université de Californie, il devient assistant de son oncle, le célèbre photographe de mode Patrick Demarchelier.  Mais sa passion pour la cuisine l’emporte :  il vient d’ouvrir à seulement à 28 ans L’Oubli, un bar restaurant dans le Lower East Side.  Il a emprunté pour l’occasion quelques recettes de papa, dont la ratatouille. LIRE ICI.
Restaurant : L’Oubli Gourmet Bar
L’idée : un bar « gourmet » : de sérieux cocktais avec des petits plats français

Pop-up patinoires

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THE STANDARD HOTEL (Meat Packing)
Rendu célèbre grâce au Boom Boom Room, son club privé perché au dernier étage en face du Bain, son bar panoramique doté d’un jacuzzi et d’une mini piscine intérieure vue sur l’Hudson, le plus branché des hôtels new yorkais créé à nouveau l’évènement cet hiver avec sa patinoire de 300m2, installée devant l’entrée de l’hôtel. Ici, vous pourrez exercer votre triple axel tout en sirotant un chocolat chaud marshmallow sorti tout droit du stand food & drinks mis en place pour l’occasion.
Standard ice skating rink
848 Washington St. (sur la place à l’entré de l’hôtel)
(212) 645-4646
Accès : $12
Location patins : $3
Ouvert tous les jours de 10am à minuit. Toujours pas de date de fermeture mais la patinoire sera definitivement là pour le nouvel an !
THE W HOTEL (Downtown)
Ouvert récemment Downtown Manhattan, le chic W Hotel inaugure cet hiver sa propre patinoire installée sur la terrasse de leur bar au cinquième étage. Vous pourrez, entre deux cocktails, slalomer sur une petite surface synthétique pouvant accueillir au maximum 15 personnes et admirer la vue sur le World Trade Center.
W Ice rink & Bar
123 Washington St. (5ème étage)
(646) 826-8600
Accès : gratuit
Location patins : $12
Ouvert tous les jours de 12pm à 10pm jusqu’au 14 février.
Et comme chanque année, ne manquez pas les grands classiques:

A Manhattan

ROCKEFELLER CENTER (Midtown)
Depuis 1936, la patinoire du Rockefeller Center continue d’attirer des millions de New Yorkais chaque année.
5th Ave between 49th & 50th St.
(212) 332-7654
Accès : $19 pour les adultes et $12.50 pour les enfants
Location patins : $9
Ouvert du lundi au jeudi de 9am à 10.30pm, du vendredi au samedi de 8.30am à minuit et le dimanche de 8.30am à 10pm, jusqu’en avril.
Le soir du 31 décembre la patinoire fermera à 9pm.
THE POND AT BRYANT PARK (Midtown)
La seule patinoire en libre accès de Manhattan. Alors, préparez vous à attendre des heures pour accéder à la glace. À moins que vous ne payez le fast pass à $20 pour une entrée rapide.
6th Ave between 40th & 42nd St.
(212) 661-6640
Accès : Gratuit
Location patins : $13
Ouvert du dimanche au jeudi de 8am à 10pm et du vendredi au samedi de 8am à minuit, jusqu’au 27 février.
WOOLMAN RINK AT CENTRAL PARK (Central Park)
Patiner dans Central Park est magique et la vue sur l’Upper East Side incomparable. Central Park South at 59th St. & 6th Ave
(212) 439-6900
Accès : de $10.50 à $15 en fonction du jour
Location patins : $6.25
Ouvert du lundi au mardi de 10am à 2.30pm, du mercredi au jeudi de 10am à 10pm, du vendredi au samedi de 10am à 11pm et le dimanche de 10am à 9pm, jusqu’en avril.
LASKER RINK AT CENTRAL PARK (Central Park)
Central Park at 110th St. & Lennox Ave
(917) 492-3857
Accès : de $6.50
Location patins : $5.50
Voir leur site internet pour les horaires d’ouverture qui changent chaque jour en fonction des entraînements de hockey.
SKY RINK AT CHELSEA PIER (Chelsea)
Pier 61, 23rd St. & the Hudson River
(212) 336-6100
Ouvert toute l’année. Voir leur site internet pour les horaires d’ouverture qui changent chaque jour en fonction des entrainements de hockey. Les horaires sont étendues durant les fêtes.

A Brooklyn

WOOLMAN PROSPECT PARK (Park Slope)
La patinoire de Prospect Park n’est malheureusement pas ouverte cette année en raison des travaux de rénovation.
FLOYD BENNET FIELD
3159 Flatbush Ave, Brooklyn
Pour éviter les foules, sur la route de Rockaway, l’ancien base d’aviation propose, parmi d’autres activités, la patinoire pour l’hiver. Plus d’info au (718) 758-7567.

Les bons plans du Nouvel an

La Saint Sylvestre, c’est d’abord l’occasion de bien manger. Voici nos suggestions de restaurants :
Pour réveillonner à la française, les restaurants Forgeois restent une valeur sûre. Au menu, chapon, filet de boeuf, magret de canard ou encore homard. Ambiance cabaret au Cercle Rouge dans TriBeCa (241 West Broadway at North Moore ; 212 226-6252), où pour $125 les convives pourront diner devant un show burlesque (diner seul $49.95). Dans East Village, Jules Bistro (65 Saint Marks Place; 212 477-5560) organise un premier service à $39.95, un second à $79.95, le tout au son de la musique live du Ginetta’s Vendetta Band. Du côté de Chelsea, le Singe Vert (160 7th Avenue; 212 366 4100) propose un menu à $75, tandis qu’à Bar Tabac (128 Smith St. et Dean St, Brooklyn; 718 923-0918) il sera à $45.
Plus exotique, le réveillon à la japonaise. La luxueuse EN Japanese Brasserie propose pour l’occasion un menu de six ou sept plats avec sashimi et autres tempuras, le tout arrosé de saké. Le clou de la soirée, le rite de la fabrication du mochi, ce gâteau de riz traditionnel du pays du soleil levant, à laquelle vous pourrez participer.
Services à 17h, 18h ou 21h15, de $80 à $120. EN Japanese Brasserie, 435 Hudson Street (entre Morton et Leroy streets); 212-647-9196.
Et pour plus d’idées restos, suivez ce lien !
Parce que nouvel an est avant tout synonyme de nuit blanche, French Morning vous livre son best of des festivités new-yorkaises immanquables le 31 au soir.
Pour assister au compte à rebours le plus légendaire de la planète, il vous faudra braver une foule de pas moins d’un million de spectateurs. On le rappelle encore cette année, agoraphobes, évitez Times Square ! Et pour avoir accès à des clubs, lounges et autres lieux festifs autour de Midtown, investissez dans le tout nouveau “Times Square All Access Party Pass”. ($ 275, en vente ici) Il existe aussi deux autres passes pour les soirées dans le Meatpacking District et dans Downtown, plus d’infos ici.
Cette année encore, le collectif éco-friendly Time’s Up revient avec sa Central Park Bike Ride. Chaussez vos rollers ou enfourchez votre vélo, munissez-vous de cotillons et de victuailles à partager et rendez-vous sous l’arc du Washington Square Park à 22h30. La balade cheminera vers le nord de la ville pour finir au Belvedere Castle (Central Park et 79th Street) pour une soirée en plein-air et un feu d’artifice.
Gratuit; Washington Square Park Arch, Fifth Avenue et Waverly Place; 212-802-8222.
Le dernier French Tuesday de 2010 a lieu un vendredi, et s’annonce comme le plus extravaguant de tous. Les Frenchies de New York fêteront la nouvelle année en beauté au restaurant Vermilion pour cette ultime soirée… qui sera masquée, ou ne sera pas.
$65 (diner et soirée) ou $45 (soirée seulement) ; Vermilion 480 Lexington Ave (et 46th St.)
Quoi de mieux qu’une croisière sur l’Hudson River pour célébrer 2011 loin de l’effervescence de Manhattan ? Embarquez à bord du Temptress ou du Half Moon dans lesquels vous pourrez contempler la skyline une coupe de champagne à la main, le summum du raffinement.
A partir de $150, plus d’infos ici et ici
La réputation des soirées Soul du Bell House n’est plus à faire, mais pour le 31, cette institution de Brooklyn sort le grand jeu. A l’affiche, la diva du funk Marva Whitney, Billy Prince du groupe The Precisions et le quatuor féminin The Sweet Divines. Avant et après les performances live, le son des 45 tours enflammera le dancefloor.
$30 sur Internet, $40 à l’entrée; à partir de 20h; Bell House, 149 7th Street (entre 2nd et 3rd avenues), Brooklyn; 718-643-6510.
Greenwich Village résonnera quant à lui aux rythmes endiablés du Poisson Rouge, lieu culte à l’inspiration Art Déco parisien. Bon à savoir, l’open bar étanchera votre soif toute la soirée et après minuit et demi, l’entrée sera à seulement $30.
$115-$185, à partir de 20h, Le Poisson Rouge, 158 Bleecker Street (entre Sullivan et Thompson streets); 212.600.9297.
Au Ace Hotel, les festivités investiront le Liberty Hall, où officiera la légende du hip-hop Q-Tip, mais aussi le Breslin, restaurant de l’hôtel, où les mets artisanaux de la chef April Bloomfield raviront les carnivores.
$50 sur Internet, $60 à l’entrée; ACE Hotel, 20 West 29th Street (entre Broadway et 5th Avenue); 646-214-5764
Pour dire adieu à 2010 avec élégance et style, c’est dans le Lower East Side que ça se passe, à Capitale plus précisément. Pour la 9e année consécutive, ce lieu exceptionnel accueille les fêtards dans une ambiance survoltée et bling bling. Open-bar à partir de 21h et DJ Pazel aux platines.
Billets à partir de $150 ici ; 130 Bowery (entre Broome St & Grand St)
Avec son toit à la végétation luxuriante, son intérieur chic et surtout son panorama grandiose, l‘Hudson Terrace semble bien être le spot parfait pour une soirée inoubliable. Cigares, open bar, hors d’oeuvres, on vous promet une nuit digne d’un VIP, mais il faudra en payer le prix.
Tickets: $185-$380; Hudson Terrace, 621 West 46th Street (entre 11th and 12th avenues). 212-315-9400.
Le soir de la Saint Sylvestre, New York regorge d’évènements de ce genre, souvent dans un cadre exceptionnel où le champagne coule à flot… Cliquez ici pour retrouver la liste exhaustive des soirées où il faudra être vu le 31.

Trois frères, une soeur et un burger joint

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Chelsea Ouest compte désormais un nouvel arrivant dans le quartier. A l’angle de la 23e rue et de la 10ème avenue, une fratrie française inaugurait mercredi la première franchise New York Burger Co. « Je suis allée manger dans l’un de ces restaurants, raconte Elisabeth Dufeu, 38 ans, l’aînée de ses trois frères, Brice, Petrous et Jonathan Moldovan. Au départ, la franchise n’était pas encore en place. Avec mes frères, nous avons racheté les droits d’utilisation de la marque. »

Il faut dire que chez les Moldovan, la restauration est une histoire de famille. Du dinner au fastfood, de la plonge au management d’équipe en salle de restaurant, les jumeaux Brice et Petrous Moldovan, 29 ans, sont passés par tous les domaines de la restauration. Ils sont d’ailleurs nés dans le bar restaurant de leurs parents, en Auvergne. « Ouvrir un restaurant était l’une de nos motivations en arrivant à New York, où les possibilités sont immenses », raconte Elisabeth. La jeune femme a travaillé pour le Buddha-Bhar à Paris et pour les brasseries Les Halles-Les Marais à New York où elle habite depuis 12 ans.
Elisabeth et ses frères ont signé le bail du restaurant en février 2009. Six mois de travaux ont été nécessaires avant son ouverture. Un processus plus long que prévu car « nous sommes dans un bâtiment classé », précise Elisabeth. Classé et… maudit. Quatre restaurants se sont succédés ces dix dernières années. « Ils ont tous fait faillite », raconte Elisabeth. Aux grands maux les grands remèdes, pour conjurer le mauvais sort, un prêtre, un rabbin et un bouddhiste ont chacun béni les hamburgers du New York Burger. Espérons que cela porte chance aux mini-burgers, hamburger végétariens, et sauces faites maison et créées par la propriétaire de la marque, Madeline Poley.
New York Burger Co, 470 West 23rd Street (& 10th Avenue)

"Motions Pictures", les portraits filmés d'Andy Warhol

En 1962, après les sérigraphies pop-art de Marilyn Monroe qui lui valurent un succès grand public, Andy Warhol se lance dans une série de portraits beaucoup plus confidentielle. L’expérimentation commence d’abord avec des photomatons puis, à partir de l’été 1963, avec sa toute première caméra, l’artiste se met à filmer connaissances et amis.

Musiciens, poètes, acteurs, dramaturges, mannequins, collectionneurs, critiques ou galeristes les plus influents de l’époque vont alors se succéder devant la caméra de Warhol. En l’espace de deux ans et demi, il va tourner près de 500 travaux, des bouts d’essai muets et en noir et blanc, pour la plupart filmés à la Factory, son studio de l’époque.

« Andy Warhol: Motion Pictures » présente une dizaine de ces portraits filmés. Dans de grandes toiles encadrées, les visages bougent avec une lenteur inhabituelle… comme le souhaitait l’artiste. En tournant à 24 images par seconde mais en projetant à une vitesse inférieure (16 images par seconde), Warhol cherchait à reproduire l’effet du cinéma muet de la fin du XIXe et du début du XXe.

La galerie de portraits réunit entre autres Edie Sedgwick, Nico, Lou Reed, Dennis Hopper ou Allen Ginsberg. Quelques films de plus sont aussi présentés : Sleep (1963), cinq heures et demi d’inactivité du poète et performeur John Giorno ou encore Kiss (1963–64) un patchwork de baisers de couples, diffusé dans une petite salle de cinéma située à la fin de la galerie et spécialement construite pour l’exposition.

Pour Glenn Lowry, le directeur du MoMA, ces « Motion Pictures » « repensent l’art du portrait ». Une apologie de l’individu qui traduit bien la fascination de Warhol pour le culte de l’image et de la célébrité, un aperçu de ce qu’il appellera en 1968 le « quart d’heure de célébrité ».

Andy Warhol: Motion Pictures

Du dimanche 19 Décembre 2010 au lundi 21 Mars 2011

The Museum of Modern Art, 6e étage
11 West 53rd Street, New York, NY 10019
(212) 708-9400

Robe à paillettes ou pull en laine

Pour célébrer les fêtes de fins d’année, la marque française d’optique Alain Mikli organise des apéros dans ses deux boutiques new-yorkaises de Madison Avenue. Tous les jours entre 17h et 18h30, vous aurez droit à des vins français (Val d’Orbieu), des bières (Kronenbourg) et des hors d’oeuvres (Le Bec Fin). L’occasion aussi de découvrir dans une ambiance festive la collection 2011 de cette marque parisienne créée en 1978 par le designer éponyme.
Jusqu’au mercredi 22 Décembre (excepté dimanche 19)
575 Madison Avenue – NY 10022  ; Tél : 212 751 6085 ; 986 Madison Avenue – NY 10075 ; Tél :  212 472 6085
Voici une nouvelle qui devrait provoquer des mouvements de foule : jusqu’à moins 80% tout le week-end sur une sélection d’articles Alexander Wang, la marque du jeune créateur américain qui a remis à la mode le look 90’s. Les manteaux en laine oversize passent de $1,100 à $300, les robes en jersey et soie de $895 à $160 et les hauts de la collection Wang T sont à seulement $45 (au lieu de $118).
Jusqu’au dimanche 19 Décembre
93 Mercer St entre Broome et Spring Sts
En ce moment, la collection Opening Ceremony, la marque avant-gardiste et déjà culte auprès des fashionistas brade, ou presque. Du côté des hommes, on trouve des pulls à $266 (au lieu de $380) ou encore un trench bicolore Band of Outsiders à $1,173 au lieu de $1,675 ; et pour ces dames, une robe en laine à $277 (au lieu de $395) ou une en soie de la marque Rodarte… à $5,175 (au lieu de $10,350).
Jusqu’au vendredi 24 Décembre
1190–1192 Broadway et 29th St (646-695-5680) ; 35 Howard St entre Broadway et Crosby St (212-219-2688)
Chez Bird, 25% sur une sélection de vêtements, accessoires, chaussures et bijoux hommes et femmes. Les tops en soie imprimée Yigal Azrouel sont à $519 (au lieu de $695), les derbies en cuir pour homme APC à $299 (au lieu de $400), et les sabots Swedish Hasbeens à $179 (au lieu de $239).
Jusqu’au mardi 28 Décembre
3 boutiques à Brooklyn, plus d’infos ici
De 30 à 50% sur une sélection d’articles dans les deux boutiques Built by Wendy. Slim à $72 (au lieu de $144), manteau à $202 (au lieu de $288) et robe réversible à $237 (au lieu de $338).
Jusqu’au vendredi 31 Décembre
46 North 6th St entre Kent et Wythe Aves, Brooklyn, Tél : 718-384-2882. 7 Centre Market Pl., (près de. Broome St.) Tél : 212-925-6538.
Les vêtements pour homme et le mobilier jusqu’à moins 50% dans la luxueuse boutique Hickey Freeman. Costumes à $897 (au lieu de $1,495), pulls en cachemire à $276.50 (au lieu de $395) et pantalons à $136.50 (au lieu de $195).
Jusqu’au vendredi 7 Janvier
543 Madison Ave., (et 54th St.), Tél : 212-546-6481
Tumi, la marque spécialisée dans les valises et accessoires de voyage propose jusqu’à moins 40% sur les articles de la saison. Valises à roulettes à $299 (au lieu de $495), et mallette à roulettes à $399 (au lieu de $550).
Jusqu’au dimanche 9 Janvier
Plusieurs adresses, plus d’infos ici
Le style féminin et éco-friendly de Stella McCartney devient (un peu) plus accessible. Jusqu’à 40% sur les vêtements et accessoires de la collection prêt-à-porter. Les cardigans en maille passent de $1,095 à $659, les robes en sequins de $2,495 à $1,499 et les bottes en daim de $1,045 à $629.
Jusqu’au dimanche 9 Janvier
429 W 14th St entre Ninth et Tenth Aves, Tél : 212-255-1556

Les dix meilleures « indoor plazas » de NYC

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– Ford Foundation Building: Situé à l’intérieur du bâtiment classé monument historique de la Ford Foundation, l’espace, haut de plusieurs étages, est doté de plantes et d’arbres fréquemment pris pour modèles par les dessinateurs. Les lieux sont silencieux mais manquent de chaises et de poubelles – 320 East 43rd St (entrées sur 42nd et 43rd St, à l’ouest de  First Avenue) ; Ouvert de 8am à 4pm du lundi au vendredi. Fermé pendant les vacances.
– 180 Maiden Lane: Parfait pour la pause déjeuner,  l’endroit accueille notamment des concerts gratuits par les étudiants de la prestigieuse Julliard School chaque mardi de 12 :30 à 1 :30 pm – 180 Maiden Lane (entre Front et South Sts) ; Ouvert du lundi au vendredi de 8:30 am à 5:30 pm.

– 60 Wall Street Atrium: Cet espace gigantesque qui comprend notamment des palmiers géants dispose de cafés et de restaurants et d’un accès wifi gratuit – 60 Wall Street (entre William and Pearl Streets) ; Ouvert tous les jours de 7am à 10pm.
– The Winter Garden at the World Financial Center: De toutes les places intérieures, c’est sans doute la plus spectaculaire. Elle comporte de somptueux escaliers de marbre, une quarantaine de restaurants et une vue imprenable sur la Hudson River, à privilégier au coucher de soleil. Des concerts et des expositions gratuits sont organisés en hiver dans ce bâtiment reconnaissable à son extérieur de verre – 220 Vesey Street (à l’ouest de West Street) ; Ouvert tous les jours de 6am à minuit.
– Park Avenue Plaza : Cette place a des allures de mini centre-commercial. Elle abrite un magasin d’articles de tennis, un Starbucks, un chocolatier suisse et la boutique du Musée Danesh,  consacré aux travaux d’artistes formés dans l’Europe du 19ème siècle. Un pianiste se produit chaque vendredi de midi à 3 pm – 55 East 52nd Street (entre Lexington et Park Avenue) ; Ouvert tous les jours de 8am à 10pm .
– Sony Plaza : La plus “hi-tech” de toutes les “indoor plazas” accueille le Sony Wonder Technology Lab, un espace d’éveil à la technologie qui fait partie des incontournables pour les New Yorkais en culotte courte. Il est ouvert gratuitement du mardi au samedi de 10am à 5pm et le dimanche de midi à 5pm – 550 Madison Avenue (entre 55th and 56th Streets) ; Ouvert tous les jours de 7 am to 11 pm.
– 590 Madison Avenue: Des tables et des chaises sont disponibles en nombre dans cet espace aux parois de verre. Sur place, l’Obika Mozzarella Bar propose des snacks, du café et des glaces – 590 Madison Avenue (à  57th Street) ; Ouvert tous les jours de 8am à 10pm.
– Trump Tower : L’intérieur de la tour prisée des touristes est aussi « bling bling » que son propriétaire. Il dispose de murs de marbres, d’une cascade, d’un restaurant et d’un bar – 725 Fifth Avenue (entre 56th and 57th Streets) ; Ouvert tous les jours de 8am à 10pm.
– Les Nations-Unies: Le haut-lieu de la diplomatie mondiale n’est pas le premier lieu qui vient à l’esprit. Et pourtant, passé la sécurité, le visiteur a accès à une cafeteria, aux boutiques de souvenirs de l’ONU, aux expositions visibles dans le hall d’entrée et même à la poste des Nations-Unies, qui imprime son propre timbre – 405 East 42nd Street – Est de First Avenue ; Ouvert du lundi au vendredi de 9am à 5 :30pm et les weekends de 10am à 6pm.
– Glass Gardens au RUSK Institute du NYU Medical Center : Créée en 1958 pour les patients du centre, ce véritable oasis en pleine ville est aujourd’hui ouverte à tous tout au long de l’année. Il comporte une marre, des oiseaux et des plantes ainsi qu’un jardin pour enfant, qui accueille régulièrement des ateliers d’horticulture – 400 E 34th St ; Ouvert le lundi au vendredi de 8am à 6pm et le weekend de 1pm à 6pm.

Noël au balcon, le guide

Radio City Christmas Spectacular, c’est LE spectacle culte de Noël. Plus de deux millions de spectateurs par an viennent applaudir les trente-six Rockettes et leur jeu de jambe. Tradition depuis 1933, ce vrai show à l’américaine, avec animaux, vraie fausse neige, Père Noël en lévitation au dessus du public et même feux d’artifices vous en mettra plein les yeux. Et avec trois à cinq représentations par jour, vous trouverez encore des places pour toute la famille.
Jusqu’au 31 Décembre, billets de $52 à $225. Radio City Music Hall, 1260 Avenue of the Americas
On ne présente plus The Nutcracker (Casse-Noisette), le ballet-féerie orchestré par Tchaïkovski et inspiré d’un conte d’Hoffmann. Comme tous les ans depuis 1954, le New York City Ballet présente la version de son fondateur, George Balanchine. Une véritable institution à voir au moins une fois… mais dont votre porte-monnaie ne se sortira pas indemne.
Jusqu’au 2 janvier, billets à partir de $200. David H. Koch Theater, 20 Lincoln Center
Cette année a vu fleurir une ribambelle de spectacles plus ou moins librement inspirés de Nutcracker. Des versions nettement plus abordables que l’originale pour lesquelles il vous faudra passer de l’autre côté du pont de Brooklyn…
Dans le cadre de son Festival Next Wave, le BAM propose The Hard Nut. C’est pour fêter ses 30 ans que la compagnie Mark Morris reprend cette irrévérencieuse réinterprétation de Casse-Noisette, qui transpose l’intrigue au beau milieu des années 70. Une relecture rétro-moderne à l’humour irrésistible, accessible dès 4 ans.
Jeudi 16, vendredi 17, samedi 18 Décembre à 19h30 et dimanche 19 à 15h, billets de $25 à $70.
Brooklyn Academy of Music, Howard Gilman Opera House, 30 Lafayette Avenue
Tout droit sorti de l’imagination fertile du chorégraphe Austin McCormick, Nutcracker Rouge est un divertissement hivernal décadent… pour les adultes seulement ! Dans une esthétique baroque et burlesque, la Company XIV offre un show sensuel et osé au son de Tchaikovski bien sûr, mais aussi de Duke Ellington. Un “mélange de music hall, cabaret, théâtre et danse” acclamé par le New York Times.
Jusqu’au 9 Janvier, $30 ($25 pour les étudiants). 303 Bond St. (& Union st), Brooklyn.
Enfin, plus de 80 jeunes danseurs de la School of Russian American Ballet interprèteront sur scène des extraits du ballet classique, dont la célèbre “Valse des flocons de neige”. Trois dates (deux à Brooklyn, une dans le Queens) dont une au Children’s Museum pour cette une version multi-culturelle à la scénographie spectaculaire.
Plus d’infos sur les dates, horaires et tarifs ici
Justin Bond revient dans un nouvelle version de son fantasmagorique Christmas Spells. La figure du cabaret, accompagnée des déjantés Pixie Harlots, propose encore plus de danse et de chant cette fois-ci. Inspiré d’une nouvelle de Kate Bornstein, “Dixie Belle: The Further Adventures of Huckleberry Finn”, ce show sexy et léger peut se targuer d’avoir été désigné l’une des cinq meilleures expériences théâtrales de 2009 par le New Yorker .
Jusqu’au 18 Decembre, $25 ($15 pour les étudiants). Abrons Art Center, 466 Grand Street (& Pitt Street)
All-You-Can-Eat Christmas, c’est la nouvelle extravagance de Jackie Beat, ce drag queen qui s’est fait connaitre avec ses parodies de chants de Noël. Un show déjanté, le tout dans l’ambiance conviviale du Laurie Beechman Theater, un cabaret de seulement cent places.
De jeudi 16 à dimanche 19 à 19h30, séance supplémentaire samedi à 22h, billets à $20, 407 W 42nd St (entre Ninth et Tenth Aves)
Plus conventionnel, Looking at Christmas, une comédie romantique 100% new-yorkaise mettant en scène un couple en train de contempler les vitrines de Noël de Manhattan… qui vont s’animer peu à peu.
Jusqu’au 30 Décembre, billets à $25, Flea Theater, 41 White Street (& Church Street), TriBeCa.
Inspiré du film éponyme à succès sorti en 2003, Elf enchantera à coup sur tous les enfants. La comédie musicale retrace l’hilarante épopée de Buddy, un jeune orphelin du Pôle Nord. Fraichement débarqué à New York pour retrouver son père biologique et découvrir ce qu’il est vraiment, il finira par aider les new-yorkais à croire à nouveau en Noël.
Jusqu’au 2 Janvier, à partir de $200 environ. Al Hirschfeld Theater, 302 West 45th Street.
Alternative plus économique, Wintuk, le spectacle familial du Cirque du Soleil qui revient pour la quatrième année consécutive au Madison Square Garden. Entre acrobaties et chansons, ce conte ludique retrace l’épopée de Jamie, un garçon parti en quête de la neige dans une contrée polaire imaginaire. Ne manquez pas non plus les activités pour enfants organisées avant chaque représentation du dimanche.
Jusqu’au 2 janvier, de $30 à $220 (30% pour les moins de 12 ans), The Theater at Madison Square Garden, 7th Avenue and 32nd Street

L'univers Disney sur glace

“Disney On Ice – Lets Celebrate”, c’est l’univers féerique de Disney tel qu’on le connait tous, le tout dans une ambiance de Noël.

Un spectacle de qualité où Mickey, Minnie, Alice aux Pays des Merveilles, les princesses, princes et traditionnels “méchants” sont interprétés par des professionnels du patinage.

Où ? Staples Center, 1111 S. Figueroa Street Los Angeles 34.0429483 -118.2667952
Quand ? Jusqu’au dimanche 19 Décembre
Combien ? A partir de $16 sur Internet ou au 800 745-3000
Le spectacle sera ensuite présenté au Honda Center d’Anaheim puis à la Long Beach Arena. Plus d’infos ici.

Shakespeare à Culver City

Depuis dimanche dernier, une troupe de 17 acteurs et musiciens américains, dont l’actrice oscarisée Helen Hunt, interprète l’une des comédies cultes de Shakespeare, “Much Ado About Nothing”.

Mise en scène par Ben Donenberg, la pièce a pour toile de fond un vignoble californien à la place de l’Italie du XVIème siècle, et pour bande-son la musique originale de Lyle Lovett.

Une comédie pleine d’esprit publiée en 1600 mais qui résonne encore aujourd’hui.

Où ? Kirk Douglas Theatre, 9820 Washington Blvd., Culver City
Quand ? Jusqu’au dimanche 19 Décembre
Combien ? A partir de $40, sur Internet ou au 213 628-2772
Durée : 2h40